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Flash info du 2 Sha'ban 1437.

Flash info du 2 Sha’ban 1437.

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Réchauffement climatique: la montée des eaux ensevelit cinq îles du Pacifique.

Une étude scientifique australienne publiée ce samedi conclut à la disparition de cinq îles de l’archipel Salomon, dans le Pacifique, à cause de la montée des eaux et de l’érosion cotière. En cinq ans, deux villages ont été forcés de se relocaliser.

Le réchauffement climatique continue à faire des ravages. Cinq îles des Salomon, un archipel du Pacifique, ont disparu en raison de la montée des eaux et de l’érosion côtière révèle une étude australienne publiée ce samedi dans Environmental Research Letters. Six autres sont en danger.

Située à l’est de la Papouasie-Nouvelle-Guinée, la monarchie des Salomon est constituée d’une douzaine d’îles principales et d’environ un millier de petits îlots. Désormais cinq sont à rayer de la carte.

« Il s’agit cependant d’une étude rétrospective des dernières décennies », tempère le climatologue Jean Jouzel. « Et les six autres îles risquent elles de disparaître dans les prochaines décennies également. Ce n’est pas un phénomène qui s’opère rapidement ». En outre, une île ne disparaît pas en l’espace d’un an, précise le climatologue.

Une dizaine de maisons précipitées dans la mer en cinq ans.

Inhabitées, ces îles sablonneuses où certains pêcheurs faisaient escale, pouvaient mesurer jusqu’à cinq hectares. « Six autres îles risquent de subir le même sort », alerte Simon Albert, l’un des auteurs de l’étude scientifique. Les îles Salomon sont particulièrement touchées par la montée des eaux anormalement plus haute que partout ailleurs dans le monde et par la violence des vagues qui érodent les cotes.

« Si l’on regarde l’élévation du niveau de la mer actuellement, il est de 3mm par an, nous explique Jean Jouzel. Dans les îles Salomon en revanche, il est trois fois plus élevé: le niveau des eaux augmente de près d’un centimètre par an ».

En cinq ans, une dizaine de maisons ont été précipitées dans le Pacifique et deux villages ont été forcés de se relocaliser. Selon les chercheurs, la ville de Taro, capitale de l’île de Choiseul, a déjà prévu de se relocaliser vers l’intérieur des terres.

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Chaabane, mois de jeûne et d’adoration, annonce le Ramadan.

Le croissant de lune a été observé dans la nuit de Samedi 7 à dimanche 8 confirmant le premier jour du mois de Chaabane 1437 de l’Hégire. C’est un mois où le jeûne est vivement recommandé, de même que tous les actes d’adoration. Il permet ainsi de se préparer au mois béni du Ramadan. Dans un hadith, le Prophète (salaLlahou alayi wa sallam) demandait à Allah Azawajjal de bénir ce mois, ainsi que celui de Rajab : « Ô Allah! Bénis-nous les mois de Rajab et de Chaabane et fais-nous parvenir au mois du Ramadan! » (Rapporté par Ahmed et Annassaï).

Un hadith appuie les mérites du jeûne durant ce huitième mois hégirien. Il n’est pas obligatoire, mais il est une tradition prophétique, qui plus est grandement récompensée.

D’après Ousama Ibn Zayd (qu’Allah l’agrée), j’ai dit : « Ô Messager d’Allah, je ne t’ai pas vu jeûner dans un mois autant que tu le fais dans le mois de chaabane! Alors le Prophète (que la prière d’Allah et son salut soient sur lui) a dit: « Ceci est un mois à propos duquel les gens sont négligents, il est entre rajab et ramadan, c’est un mois durant lequel les actes sont élevés vers Allah, et j’aime que mes actes soient élevés alors que je jeûne« . (Rapporté par Nasaï et authentifié par Cheikh Albani).

Ou encore dans une autre version :

Le compagnon Oussama Ibn Zaïd (radhia Llahou anhou) raconte: « Le Messager d’Allah (salaLlahou alayi wa sallam) jeûnait certains jours d’affilés à tel point que nous pensions qu’il ne s’arrêtait jamais. Et il mangeait certains jours d’affilés à tel point qu’il ne jeûnait plus si ce n’est deux jours par semaine. Il les consacrait séparément au jeûne en dehors des périodes où il jeûnait. Il n’y a pas un mois où il se consacrait le plus au jeûne que pendant Chaabane. Je lui posais la question à ce sujet :

« Cher Messager d’Allah! Tu te consacres au jeûne à tel point que tu ne le romps pratiquement plus. Et tu interromps le jeûne à tel point que tu ne t’y consacres pratiquement plus si ce n’est deux jours que tu consacres séparément au jeûne en dehors des périodes où tu jeûnes. « Quels sont ces deux jours? » Demanda-t-il. Le lundi et le jeudi lui répondis-je. Au cours de ces deux jours, les œuvres sont exposées au Seigneur de l’univers, et j’aime être en état de jeûne lorsque mes œuvres Lui sont exposées. Je ne te vois pas autant jeûner les autres mois que pendant celui de Chaabane. Les gens oublient ce mois qui se trouve entre Rajab et Ramadan. C’est pourtant le mois au cours duquel les œuvres montent vers le Seigneur de l’Univers, et j’aime être en état de jeûne lorsque mes œuvres Lui sont montées. » (Rapporté par Ahmed et Annassaï).

Ces paroles du Prophète (salaLlahou walayi wa sallam) soulignent l’importance d’accomplir de bonnes oeuvres puisque c’est le mois au cours duquel elles « montent vers le Seigneur de l’Univers ». Il rappelle également la négligence des gens quant aux mérites de ce mois.

D’après Aïcha (qu’Allah l’agrée), le Prophète (salaLlahou alayi wa sallam) jeûnait au point où nous disions: « Il ne rompt plus son jeûne »; et il rompait son jeûne au point où nous disions: « Il ne jeûne plus ». Je n’ai pas vu le Prophète (que la prière d’Allah et son salut soient sur lui) jeûner un mois complet à l’exception du ramadan et je ne l’ai pas vu jeûner un mois autant que cha’ban. (Rapporté par Boukhari et Mouslim).

Ainsi, ce hadith montre clairement qu’après le mois de Ramadan, c’est le mois où le Prophète (salaLlahou alayi wa sallam) jeûnait le plus. Un autre hadith le confirme, lui aussi par la Mère des Croyants, Aïcha (Qu’Allah l’agréé) :

« Le Messager d’Allah (salaLlahou alayi wa sallam) jeûnait tout le mois de Chaabane, il le jeûnait entier sauf peu (de jours). » (Rapporté par Al-Boukhari et Mouslim).

A noter qu’il existe une divergence concernant le jeûne des quinze derniers jours du mois de Chaabane.

Profitons donc de ce mois de chaabane pour nous préparer physiquement, et surtout spirituellement, à accueillir le mois du Ramadan.

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Angleterre : Maire de Londres : Un journaliste britannique ridiculise la presse française sur BFM TV.

Le journaliste britannique Alex Taylor était l’invité de BFM TV, ce vendredi 6 mai, en vue de débattre sur le candidat travailliste, Sadiq Khan, qui était favori pour remporter la mairie de Londres, avant son élection vendredi en fin d’après-midi.
« La religion de Sadiq Khan n’a pas du tout compté ».

« Maire de Londres et musulman », « Le musulman Sadiq Khan favori pour devenir le prochain maire de Londres » sont autant de titres typiques que l’on a pu lire ces derniers jours dans la presse française, notamment sur BFM TV. La ligne éditoriale de certains médias français a fortement surpris Alex Taylor qui ne s’attendait pas à un tel engouement :

« Sa religion n’a pratiquement pas compté du tout, nous ont est passé outre de tout ça. Je suis fasciné de voir à quel point les médias français disent ‘grand symbole, un musulman, etc’ « . Ajoutant qu’à Londres, cela aurait été « politiquement incorrect d’avoir insisté là-dessus«

Reportage vidéo a voir sur www.muslimradio.info.
w w w . m u s l i m r a d i o . i n f o .

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Bosnie : réouverture de la mosquée Ferhadija !

Construite au 16ème siècle, classée au patrimoine de l’Unesco puis dynamitée en 1993 lors de la guerre, la mosquée Ferhadija de Banja Luka a été reconstruite depuis 2001. Quinze années de travaux et d’efforts qui ont permis la réouverture de la mosquée sous les yeux des différents représentants de cultes de la région.
Une envie d’unité.

A travers le reconstruction de l’édifice, en grande partie financée par la Turquie, la volonté est de rassembler les trois grandes communautés : Serbes orthodoxes, Bosniaques musulmans et Croates catholiques. La guerre qui a sévi pendant les années 90 et qui a vu la destruction de plus de 600 mosquées dans la région est encore bien présente dans les esprits et les tensions ne sont pas véritablement apaisées. C’est la quinzième mosquée qui est reconstruite, et malgré l’héritage douloureux de ce conflit qui a fait plus de 100.000 morts, la volonté commune semble être l’unité. Les différents représentants se disent prêts à s’engager pour que chacune des communautés essaie de comprendre l’autre, de vivre en harmonie et dans le respect des croyances et pratiques de chacun. Lors du démarrage du projet, en 2001, des manifestations anti-musulmans avaient eu lieu. Quinze ans plus tard, les représentants s’estiment confiant pour que la cérémonie se déroule dans le calme et la paix.

La guerre des balkans a laissé des traces indélébiles et est encore très récente. Des milliers de personnes sont mortes, des milliers déplacées et c’est malheureusement un conflit dont on parle trop peu en europe de l’ouest. Avec cette volonté commune d’unité et de paix, il faut souhaiter à la Bosnie et aux pays voisins de réussir à construire un avenir harmonieux où chacun vivra sereinement dans le respect de l’autre.

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Des réfugiés syriens viennent en aide aux évacués de Fort McMurray.

Suite à l’incendie de forêt qui s’est propagé à une vitesse fulgurante à Fort McMurray, au Canada, plus de 80 000 habitants ont dû fuir précipitamment la région.

« Nous avons traversé la même chose ».

Devoir quitter son propre domicile par crainte des répercussions que cela peut avoir sur sa propre vie : les réfugiés syriens du Canada connaissent parfaitement cette situation tragique. Rita Khanchet, réfugiée au Canada depuis plusieurs mois, a pris l’initiative d’apporter son soutien aux sinistrés de Fort McMurray : «Nous avons traversé la même chose, nous avons tout perdu en une seconde» a-t-elle confié. Elle a invité les réfugiés syriens à donner chacun 5 dollars, ce qui permettrait d’acheter des produits d’hygiène aux Canadiens évacués. Cet appel à la solidarité a été posté sur un groupe Facebook dédié aux réfugiés de la commune de Calgary, un message traduit et relayé par la suite par de nombreux médias.

Le Canada ayant accueilli plus de 25 000 réfugiés syriens depuis l’automne dernier, Rita Khanchet a estimé qu’il était de leur devoir d’aider, à leur tour, cette population : « Ils ont fait beaucoup pour rendre notre nouvelle vie facile. Maintenant, c’est à notre tour ».

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Les Arabes ont-ils trahi la Palestine ?

Le Monde arabe s’est transformé en un gigantesque terrain d’affrontements pour de sales jeux politiques entre vieux et nouveaux rivaux. Et si les Palestiniens en ont été victimes, c’est aussi le cas des Syriens, des Égyptiens, des Libyens, des Yéménites et d’autres.

L’invasion du Koweit par l’Irak en 1990 avait conduit à la constitution d’une large coalition internationale sous la houlette des États-Unis et sur un conflit armé majeur, qui a terme a ouvert la voie à l’invasion US de l’Irak en 2003. Je me suis rendu compte que les Palesti­niens étaient soudain “haïs” en Égypte, en raison du soutien que Yasser Arafat avait apporté à l’Irak à l’époque. Je ne m’étais seulement pas rendu compte de l’étendue de cette prétendue “haine”.

C’est dans un hôtel bon marché du Caire, où j’épuisais petit à petit le pécule des quelques livres égyptiennes dont je disposais, que j’ai rencontré Hajah Zainab, une gentille gardienne d’un certain âge, qui me traita comme un fils. Elle avait l’air en mauvaise santé, chancelante quand elle marchait, s’appuyant contre les murs pour reprendre son souffle avant de reprendre son chemin pour s’acquitter de corvées interminables. Son visage portait des tatouages jadis soigneusement tracés, qui avec le temps et les rides étaient devenus un fouillis d’encre qui souillait sa peau. Mais malgré tout, la gentillesse qui se lisait dans ses yeux surpassait tout, et chaque fois qu’elle m’a vu elle m’a étreint dans ses bras en pleurant.

Hajah Zainab pleurait pour deux raisons : elle avait pitié de moi alors que je devais me battre contre un ordre d’expulsion du Caire – qui n’avait aucune autre raison d’être que le fait que j’étais Palestinien à une époque où Yasser Arafat soutenait Saddam Hussein alors que Hosni Mubarak avait choisi de s’allier aux États-Unis. J’étais de plus en plus désespéré et je craignais de devoir affronter les services de renseignement israéliens, le Shin Bet, qui ne manqueraient pas de me convoquer dans leurs bureaux à la minute même ou je franchirais à nouveau la frontière de Gaza. L’autre raison était que le fils unique de Hajah Zainab, Ahmad, avait trouvé la mort dans le Sinaï en combattant les Israéliens.

Les Égyptiens de la génération de Zainab percevaient les guerres qui avaient mis leur pays aux prises avec Israël, en 1948, 1956 et 1967 comme des guerres dans lesquelles la Palestine était une cause centrale. Ni les politiques auto-centrées ni le conditionnement par les médias n’ont jamais pu changer cela. Mais la guerre de 1967 fut une défaite absolue. Grâce à un soutien direct et massif des États-Unis et d’autres puissances occidentales, Israël avait sèchement battu les armées arabes, sur trois fronts différents. Gaza, Jérusalem-Est et la Cisjordanie furent perdus, de même que les hauteurs du Golan, la vallée du Jourdain et le Sinaï.

C’est à ce moment que les relations entre certains pays arabes et la Palestine ont commencé à changer. La victoire d’Israël et le soutien inlassable des États-Unis et de l’Occident ont convaincu certains gouvernements arabes qu’il leur fallait revoir leurs attentes à la baisse, en espérant que les Palestiniens en feraient autant.

L’Égypte, qui avait porté fièrement le flambeau du nationalisme arabe, succomba à un sentiment d’humiliation collective, et par la suite redéfinit ses priorités en cherchant à obtenir la libération de son propre territoire de l’occupation israélienne. Privés du leadership essentiel de l’Égypte, les pays arabes se sont divisés, chaque gouvernement ayant ses propres objectifs. La totalité de la Palestine se trouvant sous contrôle israélien, les Arabes ont lentement pris leurs distances avec une cause qu’ils avaient pourtant considérée longtemps comme la cause centrale de la Nation arabe.

La guerre de 1967 a aussi mis un terme au dilemme de l’indépendance de l’action des Palestiniens par rapport à divers pays arabes qui l’avaient détournée. Qui plus est, cette guerre a concentré l’attention sur la Cisjordanie et Gaza, et a permis au Fatah, la faction palestinienne, de fortifier sa position à la lumière de la défaite arabe et des divisions qui en ont découlé.

Cette division a été particulièrement mise en évidence en août 1967, lors du sommet de Karthoum, où les leaders du monde arabes se sont affrontés à propos des priorités et de définitions. Les gains territoriaux israéliens devaient-ils redéfinir le statu quo ? Les Arabes devaient-ils mettre l’accent sur un retour à la situation d’avant 1967 ou à celle d’avant 1948, lors de la première occupation de la Palestine historique et du nettoyage ethnique visant les Palestiniens ?

Le 22 novembre 1967, le Conseil de Sécurité des Nations Unies adopta la résolution 242, qui reflétait le souhait de l’administration étatsunienne du Président Johnson, qui voulait capitaliser sur le nouveau statu quo : le retrait d’Israël “from occupied territories” en échange d’une normalisation des relations avec Israël. Le nouveau langage, dans la période suivant immédiatement la guerre de 1967, alarma les Palestiniens, qui se rendirent compte que tout accord futur était susceptible de faire l’impasse sur la situation qui existait avant la guerre.

Finalement, l’Égypte combattit et célébra sa victoire dans la guerre de 1973, qui lui permit de consolider son contrôle sur la majeure partie de ses territoires perdus. Quelques années plus tard, les Accords de Camp David, en 1979, ont encore accentué la division parmi les pays arabes, et mirent officiellement fin à la solidarité de l’Égypte avec les Palestiniens, tout en garantissant au pays arabe le plus peuplé un rétablissement sous condition de sa souveraineté sur son propre territoire dans le Sinaï. On ne saurait trop souligner les répercussions négatives de cet accord. Néanmoins, en dépit du temps qui a passé, le peuple égyptien n’a quant à lui jamais accepté vraiment la normalisation des relations avec Israël.

En Égypte, un gouffre persiste entre le gouvernement, dont le comportement est basé sur des urgences politiques et l’instinct de conservation, et le peuple qui, en dépit d’une intense campagne médiatique contre les Palestiniens, est toujours décidé à rejeter la normalisation avec Israël aussi longtemps que la Palestine n’aura pas été libérée. Contrairement à un cirque médiatique abondamment financé qui démonise Gaza depuis quelques années, ceux qui partagent l’avis de Hajah Zainab ont peu de possibilités d’exprimer ouvertement leur solidarité avec les Palestiniens. Dans mon cas, j’ai eu la chance de rencontrer la concierge vieillissante qui, tant d’année après, pleurait à la fois pour la Palestine et pour la mort de son fils unique.

Néanmoins, des personnages comme Zainab, j’en ai rencontré des réincarnations de nombreuses fois au cours de mes voyages. Je l’ai rencontrée en Irak en 1999. Elle était une vieille vendeuse de légumes vivant à Sadr City. Je l’ai rencontré en Jordanie en 2003. Elle était un chauffeur, avec un drapeau palestinien accroché à son rétroviseur déglingué. Elle était aussi un journaliste saoudien à la retraite, que j’ai rencontré à Jeddah en 2010, une étudiante marocaine que j’ai rencontrée à Paris en 2013, au cours d’une tournée de conférences. Elle avait à peine plus de 20 ans. Après mon intervention, elle me raconta en sanglotant que la Palestine reste pour son peuple une blessure qui suppure. “Je prie chaque jour pour une Palestine libre”, me dit-elle, “tout comme mes vieux parents le faisaient dans chacune de leurs prières”.

Hajah Zainab c’est aussi l’Algérie, toute l’Algérie. Quand l’équipe nationale palestinienne de football a rencontré son homologue algérienne, en février dernier, un phénomène étrange et sans précédent en a laissé plus d’un perplexe. Les supporters algériens, qui figurent parmi les plus ardents des amoureux du football où que ce soit, n’ont pas cessé d’acclamer les Palestiniens, sans arrêter. Et quand l’équipe de Palestine a marqué un but, ce fut comme si les gradins s’enflammaient. Le stade plein à craquer explosa d’un chant intense à la gloire de la Palestine. Et de la Palestine seule.

Alors, les Arabes ont-ils trahi la Palestine ?

C’est une question que l’on entend souvent, et souvent on y répond par l’affirmative : “oui, ils l’ont trahie”. Les médias égyptiens, prenant les Palestiniens de Gaza pour boucs émissaires, les Palestiniens de Yarmouk, en Syrie, affamés et pris pour cible, naguère la guerre civile au Liban, les mauvais traitements infligés aux Palestiniens au Koweit en 1991 et, plus tard, en Irak en 2003, sont souvent cités en exemple. Aujourd’hui, d’aucuns insistent sur le fait que ce qu’on a appelé “le printemps arabe” a représenté le dernier clou du cercueil de la solidarité arabe avec la Palestine.

Je m’inscris en faux. L’émergence de l’infortuné “printemps arabe” a été un abandon, sinon une trahison, non juste des Palestiniens mais de la majorité des Arabes. Le Monde arabe s’est transformé en un gigantesque terrain d’affrontements pour de sales jeux politiques entre vieux et nouveaux rivaux. Et si les Palestiniens en ont été victimes, c’est aussi le cas des Syriens, des Égyptiens, des Libyens, des Yéménites et d’autres.

Il faut faire une distinction claire entre ce que peut désigner le mot “Arabes”. “Arabes”, cela peut désigner des gouvernement non-élus, tout aussi bien qu’une vieille femme pleine de gentillesse qui gagne 2 dollars par jour dans un hôtel crasseux du Caire. “Arabes”, cela peut désigner des élites occidentalisées [NdT : “emboldened elites”, littéralement “élites enhardies”] qui ne se soucient que de la préservation de leurs propres privilèges et de leur fortune, sans aucun égard ni pour la Palestine ni pour leur propre nation, mais aussi une multitude de gens, divers, uniques, engagés, opprimés, qui à ce moment de l’histoire sont rongés par le souci de leur propre survie et qui se battent pour la liberté.

Notes :

[1] la résolution 242 prévoit, dans sa version anglaise, le retrait des troupes israéliennes “from occupied territories”, ce qui en français peut se traduire aussi bien par “de territoires occupés” que par “des territoires occupés”. La première traduction, contrairement à la seconde, n’implique en rien l’idée d’un retrait de la totalité des territoires en question. Selon les règles en vigueur aux Nations Unies, les versions anglaise et française font également foi (la première pour des raisons de rapports de force de l’après-guerre 40-45, la seconde en vertu des traditions diplomatiques occidentales). Selon qu’ils soutiennent le colonialisme sioniste ou les droits des peuples, les différents pays adoptent l’une ou l’autre traduction, sans qu’on puisse trouver dans le texte lui-même le moyen de trancher entre les interprétations qui en découlent. C’est d’ailleurs probablement cette ambiguïté intrinsèque du texte qui avait permis qu’il soit adopté à l’époque par le Conseil de Sécurité, chacun des pays membres y voyant ce qu’il voulait y voir.

[2] Environ 300.000 Palestiniens vivaient au Koweit à l’époque où Yasser Arafat apporta son soutien à Saddam Hussein dans le différend qui l’opposait au Koweit à propos de l’exploitation de champs pétrolifères frontaliers, qui déboucha sur l’invasion du Koweit par l’Irak (avec ce que Saddam Hussein avait cru, à tort, pouvoir interpréter comme une approbation tacite par les États-Unis)

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Angleterre : Sadiq Khan, le nouveau maire de Londres, n’est plus en faveur du boycott contre Israël.

Le pouvoir aurait-il contraint Sadiq Khan, le nouveau maire de Londres, à trouver des accommodements avec sa conscience et à mettre son mouchoir sur son militantisme en faveur du boycott d’Israël ?

Dans un entretien accordé au très britannique « Jewish Chronicle » qui n’a pas manqué de rappeler que le champion du parti travailliste avait exhorté le gouvernement, en 2008 et à plusieurs reprises, à prendre des sanctions contre l’Etat hébreu, Sadiq Khan se défend aujourd’hui de tout parti pris pro-boycott, en évoquant le fruit de sa longue réflexion sur l’épineuse question qui l’a amené à tirer la conclusion suivante : « La preuve démontre clairement que le mouvement Boycott, Désinvestissements, Sanctions (BDS) contre Israël ne contribue à pacifier les choses, nous ne devons pas tourner le dos à Israël. Comme les boycotts de Sodastream international l’ont montré, les boycotts affectent les personnes qui travaillent et n’aboutissent pas à la construction d’une paix durable dans la région. »

Tout au long de sa campagne pour les municipales menée tambour battant, le nouvel homme fort de la capitale britannique, par ailleurs place forte de la finance islamique en Occident, n’a eu de cesse de donner des gages de son revirement bienveillant envers Israël, justifiant sa position d’hier en ces termes : « Comme la plupart des gens, j’ai été profondément marqué et bouleversé par les offensives meurtrières contre Gaza en 2008 et 2009. Plus de 1000 personnes sont mortes – à la fois israélienne et palestinienne – et il y avait un risque réel que le conflit s’embrase. En 2008, j’ai rencontré les ministres du Foreign Office, dont David Miliband, pour les inciter à agir urgemment afin de parvenir à un cessez-le des deux côtés ».

Et de poursuivre en mettant en avant son islamité : « Je veux adresser un message fort au monde entier, en tant que premier maire musulman de Londres, et assurer que je ferai plus pour protéger les juif londoniens de l’antisémitisme que tout autre maire avant moi ne l’a jamais fait. »

Revenu à de meilleurs sentiments pour les uns, et auteur d’une volte-face spectaculaire pour les autres, qui semblait quasi inévitable pour prétendre au pouvoir suprême, Sadiq Khan, le premier magistrat des rives de la Tamise, se fait désormais le fervent promoteur de la « solution à deux Etats pacifiques », répétant sans relâche que sa mission consistera à faire de Londres une ville où il fait bon vivre pour « tous les Londoniens, y compris les juifs londoniens ». Gageons qu’il sera attendu au tournant et qu’il devra joindre le geste à la parole pour dissiper les moindres doutes qui subsistent sur sa loyauté…

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####### Aujourd’hui en Palestine #######
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Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information C P I, Centre Palestinien D’Information.

Les enfants de Gaza s’adressent au monde. Laissez-nous vivre.
La petite fille, Marah Al-barbar (10 ans) avec ses larmes aux yeux, a été profondément choquée en voyant les trois enfants incendiés de la famille al-Hindi et s’est interrogé, pourquoi cette tragédie, ce crime s’est-il passé en silence et pour quelle complicité, qu’attendez, de nous voir tous brûler afin que notre message soit transmis?
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Les Palestiniens d’Europe exigent une action internationale pour arrêter les crimes de l’occupation.
Les participants à la 14ème Conférence des Palestiniens en Europe, à la ville suédoise « Malmo » ont renouvelé l’appel du peuple palestinien au droit du retour à ses terres occupées en Palestine historique, peu importe combien de temps passé, soulignant qu’il est un droit collectif et individuel irréversible, tout en insistant que le peuple palestinien continue sa lutte jusqu’à ce que le droit au retour soit réalisé.
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Manifestation de piétons palestiniens de Haïfa à al-Aqsa.
Des dizaines de citoyens palestiniens ont lancé, une marche à pied de la ville de Haïfa, au nord des territoires occupés, en direction de la mosquée al-Aqsa.
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Une large campagne de dévastations et d’arrestations en Cisjordanie.
Les forces d’occupation israéliennes ont devasté à l’aube plusieurs contrées de la Cisjordanie occupée et ont arrêté un nombre de jeunes palestiniens.
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Colonisation: l’occupation décide de construire une nouvelle colonie en Cisjordanie.
Le soi-disant « ministère de la sécurité » de l’establishment sioniste a décidé de construire une nouvelle colonie, près de « Shiloh », pour ceux qui seront évacués de l’avant-poste colonial d’Amona.
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L’UNRWA appelle les pays donateurs à mettre fin à la crise d’électricité à Gaza.
Le directeur d’opération de l’UNRWA dans la Bande de Gaza, Bo Shack, a appeler le samedi soir 7 mai, à soutenir des solutions innovantes pour mettre fin à la crise des pannes continues de l’électricité.
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Le Hamas présente ses condoléances pour la mort de la femme âgée al-Amour.
Le mouvement du Hamas a présenté ses condoléances suite à la mort de la femme âgée Zana al-Amour (60 ans), tandis que le dirigeant du mouvement Dr. Khalil al-Hayya a salué ses sacrifices et ce qu’elle a fait pour la résistance palestinienne.
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Données: environ 24 000 soldats israéliens tués dans les guerres de l’occupation.
Le ministère sioniste de la guerre a publié de nouvelles données sur le nombre des soldats israéliens qui ont été tués dans les guerres menées par l’armée israélienne, notant que 23 447 soldats sont morts depuis 1860 jusqu’à aujourd’hui.
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L’occupation mate une marche pacifique à l’est de Bethléem.
Les forces armées d’occupation sionistes et des groupes de colons ont opprimé le samedi 7 mai une activité pacifique palestinienne pour planter des terres agricoles à l’est de Bethléem.
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Un Jérusalémite, 11 travailleurs et une jeune fille arrêtés par l’occupation dans les territoires occupés.
La police d’occupation israélienne a arrêté le samedi soir mai, onze travailleurs palestiniens, et une étudiante dans les différentes parties des territoires palestiniens.
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Hébron: Des colons sionistes attaquent des militants à Tel Armida.
Des colons sionistes ont attaqué, hier, des militants juridiques qui documentaient les attaques de l’occupation israélienne contre la population au quartier de Tel Armida à Hébron dans le sud de la Cisjordanie occupée.
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Un jeune homme palestinien blessé par les tirs de l’occupation au sud de la Cisjordanie.
Un jeune homme palestinien a été blessé le samedi soir 7 mai, par les tirs des forces armées d’occupation sionistes dans la zone « Wadi Hams ».
5/8/2016 8:36:55 AM
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Rapport : Dima al-Wawi, la plus petite captive palestinienne, sous la torture
Les regards sont pleins d’innocence, de tristesse, de terreur, mais la voix est pleine de volonté, d’optimisme et d’assurance, l’assurance d’un futur meilleur. C’est ainsi que paraissait la fillette Dima al-Wawi, la plus jeune captive du monde. Elle vient de quitter la détention sioniste. Elle est avec sa famille, parmi les siens, à l’air de la liberté, après soixante-quinze jours d’emprisonnement, une période de détention, si longue pour une toute petite fille. Elle n’en croit pas ses yeux.
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La marine d’occupation israélienne arrête deux pêcheurs.
Les forces de la marine d’occupation israélienne ont arrêté au large de Beit Lahya ce samedi soir, deux pêcheurs palestiniens.
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L’occupation a empêché 45 palestiniens de voyager via le passage de Karama la semaine dernière.

Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D’Information, sur http://french.palinfo.com

Flash info du 1 Sha'ban 1437.

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Salat Istikhara : la prière de consultation.
La prière de consultation (salat istikhara) est un des bienfaits dont dispose notre communauté. En effet, il nous est possible de consulter notre Seigneur avant d’effectuer un choix en particulier. Cette prière est donc importante car elle nous permet de consulter Allah sur nos choix et ainsi, d’éviter certaines erreurs. Il nous semble essentiel de présenter ce qu’est la prière de consultation en la définissant, en prouvant son importance et en exposant les termes de son invocation inchaAllah. Notre rappel se base sur l’ouvrage de ‘Abdullah Al-Hammadi intitulé « La Prière d’Istikhara ».
Qu’est ce que la prière de consultation ?
Nous pouvons définir la prière d’istikhara du point de vue littéraire mais également selon l’aspect religieux. Du point de vue littéraire, l’istikhara veut dire « la demande de ce qui est le mieux pour une chose ». Ainsi, la prière d’istikhara est une prière qui consiste à demander ce qui est le mieux pour une chose, un choix.
Selon la définition religieuse, l’istikhara est « le fait de demander de remettre l’affaire au choix d’Allah et à ce qui est le mieux ». La prière d’istikhara est composée de deux rak’a et d’une invocation bien précise rapportée dans les recueils prophétiques de manière authentique. Cette prière est donc une Sunna (tradition prophétique). Ainsi, la prière de consultation consiste en une demande à Allah, de ce qui est le mieux lorsque nous devons faire un choix concernant un mariage ou un voyage par exemple. Dans cette invocation que nous citerons plus bas, le serviteur demande à Allah d’écarter cette chose si elle comporte un mal pour lui et de la lui faciliter si elle comporte un bien pour lui. Bien que cette prière ne soit pas une obligation, elle présente une certaine importance.
Pourquoi la prière de consultation est importante ?
La prière de consultation, comme toutes les composantes de notre belle religion possède une importance capitale. La cause la plus évidente de cette importance est le fait que l’homme a besoin de l’aide de son Seigneur car sans Lui, il est perdu. Ainsi, il est très important pour tout un chacun de demander l’aide d’Allah dans ses choix car Il est le Très Savant et le Très Sage. Notre Créateur sait parfaitement ce qui est un bien pour nous et ce qui ne l’est pas. Il est donc nécessaire pour chacun d’entre nous de Le consulter avant d’effectuer un choix.
La prière de consultation est importante car à travers elle, le serviteur place toute sa confiance en Allah. En effet, lorsque nous demandons l’aide d’Allah par le biais de la salat istikhara, nous nous remettons entièrement à Lui et à Sa volonté. Nous savons pertinemment qu’Il est Le Connaisseur de toute chose et que, par conséquent, Son aide ne peut être que bénéfique pour nous. Allah le Très-Haut a dit : {Ton Seigneur crée ce qu’Il veut et choisit : eux n’ont pas le choix. Transcendance à Allah le Très-Haut, par-dessus tout ce qu’on Lui associe ! Ton Seigneur sait aussi bien ce que cachent les poitrines que ce qu’elles dévoilent. Il est Allah ; il n’est de Dieu que Lui ; à Lui louange dans la première et dans la dernière ; à Lui le Jugement ; c’est vers Lui que vous retournerez} (Sourate 28 : Verset 68 à 70). Il est de notre devoir d’implorer l’aide d’Allah en le consultant à travers cette prière. L’importance de la prière d’istikhara est donc prouvée par l’infinie connaissance de notre Créateur.
L’importance de la prière de consultation a été soulignée par de nombreux savants. Parmi eux, le savant Mohamed ibn Ahmed Al Qurtubi (qu’Allah lui fasse miséricorde) a dit : « Certains savants ont dit : Il n’appartient à personne d’entreprendre un projet quelconque, concernant la vie d’ici-bas, qu’après avoir demandé à Allah ce qui est le mieux dans ce projet et en accomplissant deux rak’a de la prière d’istikhara. » Les savants considèrent que la prière d’istikhara est indispensable à l’accomplissement d’un projet, quel qu’il soit. Il est donc important de savoir comment effectuer la prière d’istikhara.
Comment effectuer la salat istikhara ?
La manière dont il faut faire la prière de consultation nous a été enseignée par le Messager d’Allah (‘alayhi salat wa salam). Le hadith qui suit détaille la façon dont nous devons prier et l’invocation particulière que nous devons prononcer. Il est rapporté par Al Boukhari et Ahmed, entre autres et son authenticité a été prouvée par Cheikh Al Albani (qu’Allah lui fasse miséricorde).
Jabir (qu’Allah l’agrée) rapporte : « L’Envoyé d’Allah (‘alayhi salat wa salam) nous apprenait la façon de demander à Allah ce qui est le mieux – al istikhara – dans toutes nos affaires, de la même manière qu’il nous apprenait une sourate du Coran. Il disait : « Quand l’un de vous décide d’entreprendre un projet, qu’il effectue deux inclinations en dehors de la prière obligatoire, puis qu’il dise : « Mon Dieu ! Je Te demande ce qui est le mieux, en vertu de Ta science, je Te demande de m’en accorder la capacité en vertu de Ton omnipotence, et je Te demande de Ton immense faveur. Tu es puissant et je ne suis pas puissant. Tu sais et je ne sais pas. Tu est le Très savant des choses cachées ! Mon Dieu ! Si tu sais que cette affaire – il mentionne la nature de cette affaire – est meilleure pour moi, concernant ma religion, ma vie, et les conséquences-mêmes de cette affaire, maintenant et plus tard, décrète-la donc pour moi et facilite-la moi, puis bénis-la moi ! Et si tu sais que cette affaire est mauvaise pour moi, concernant ma religion, ma vie et les conséquences-mêmes de cette affaire, maintenant et plus tard, détourne-la de moi, détourne-moi d’elle et décrète pour moi ce qui est le mieux, quoi qu’il s’agisse, puis rends-moi satisfait [de ce bien que Tu m’as décrété] » ». (Translittération phonétique de l’invocation : « Allahumma inni astakhiruka bi ‘ilmika wa astaqdiruka bi qudratika, wa as-aluka min fadlika l’azimi. Fa innaka taqdiru wa la aqdiru, wa ta’lamu wa la a’lamu, wa anta ‘allamu lghuyubi. Allahumma in kunta ta’lamu anna hadha l-amra – il mentionne la nature de cette affaire – khayrun li fi dini wa ma’ashi, wa ‘aqibati amri, fa qdurhu li, wa yassirhu li, thumma barik li fihi. Wa in kunta ta’lamu anna hadha l-amra – il mentionne la nature de cette affaire – sharrun li fi dini wa ma’ashi wa ‘aqibati amri fa srifhu ‘anni, wa srifni ‘anhu, wa qdur li lkhayra haythu kana thumma ardini bihi. »).
Qu’Allah nous accorde Sa bénédiction dans nos affaires d’ici-bas. Qu’Il nous facilite ce qui nous sera bénéfique dans l’au delà.
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Londres : Sadiq Khan, Londres à son premier maire… musulman.
Sadiq Khan, musulman est un ancien avocat, défenseur des droits de l’homme, né de parents pakistanais. Désigné candidat de son parti aux fonctions de maire de Londres pour les élections, il vient d’être élu Maire de Londres.
À 34 ans, ce député issu d’un milieu social modeste vient de prêter serment ce samedi à Londres.
Sadiq Khan devient donc le premier maire musulman d’une grande capitale occidentale.
Lors de sa cérémonie d’investiture, il a tenu à s’entourer des représentants de toutes les communautés et de toutes les confessions qu’il a promis de toujours défendre.
« je suis déterminé à diriger l’administration la plus transparente, la plus engagée et la plus accessible que Londres ait connue et à représenter chaque communauté et chaque partie de notre ville en tant que maire de tous les Londoniens ».
En France, des médias à l’instar des Grandes Gueules de la radio europe 1, ont surfé toute la semaine sur ces futures élections, allant même jusqu’à poser la question nauséabonde suivante :
» Pourriez vous voter pour un candidat musulman à une élection ? »
Alors qu’en France, la simple évocation du mot musulman provoque l’hystérie, dans la capitale d’une des plus grandes puissances du monde, un musulman peut devenir Maire.
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Ramadan 2016 : Il ne nous reste plus qu’1 mois pour nous préparer.
Il ne nous reste environ plus qu’un seul mois afin de nous préparer à vivre pleinement le mois Saint du Ramadan.
Évidemment, conformément à la sunna du prophète (RSS), la date exacte ne sera confirmée qu’après observation du croissant lunaire. Cette observation aura lieu autour du 6 juin 2016 Incha’Allah.
Ce mois est un mois Saint car c’est le mois durant lequel Allah a choisi de révéler le Coran au prophète Mohamed (RSS).
Ce mois est un mois durant lequel il faut jeûner du lever du soleil jusqu’à son coucher mais aussi se comporter de la meilleure manière en faisant preuve de bonté, d’altruisme et de générosité.
C’est un moyen de nous expier de nos péchés, de nous rapprocher de notre Seigneur et de nous rappeler l’essence même de notre existence.
Préparons nous donc pour ce mois béni et efforçons nous de le vivre de la meilleure façon à l’image de notre prophète (RSS). Comme Allah (S) a dit :
{Ô les croyants! On vous a prescrit as Ṣiyam comme on l’a prescrit à ceux d’avant vous, ainsi atteindrez-vous la piété} (Sourate 2 : Verset 183).
Alors qui est déjà prêt ?
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Autriche : Un homme dépose deux têtes de porc devant la Mosquée.
Un islamophobe qui a déposé deux têtes de porcs devant une Mosquée jeudi soir a été arrêté.
En effet, un homme de 46 ans dénoncé par des passants a été interpellé par les forces de l’ordre à Graz en Autriche.
Cette information est rapportée par la police locale : « Il a déposé les têtes de porc sur le chantier et souillé le minaret avec du sang »
La communauté musulmane de Graz est sous le choc car de plus en plus d’actes à l’encontre des musulmans sont à déplorer.
Hélas, il ne s’agit pas seulement d’une attaque contre un édifice religieux musulman mais d’une attaque à l’encontre de l’ensemble des musulmans du pays.
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La première Miss USA musulmane se convertit au christianisme.
Rima Fakih a fait bien des couvertures depuis 2010, année de son élection au prestigieux titre de beauté Miss USA.
Sa particularité : l’Américaine d’origine libanaise était musulmane et ce fut une première aux Etats-Unis.
Cette fois, Rima Fakih fait parler d’elle outre-Atlantique en raison de sa conversion au christianisme, effectuée en avril en prévision de son mariage le 15 mai avec un producteur libanais très fortuné nommé Wassim Salibi, lui-même chrétien maronite.
La jeune femme, qui a grandi dans une famille d’obédience chiite et était scolarisée dans une école catholique près de Beyrouth, avait déclaré en 2010 s’être reconnectée à l’islam lors de ses années passées à l’université du Michigan car une forte communauté musulmane est implantée dans la région, rappelle Christian Today.
Dans le même temps, elle déclarait volontiers avoir une approche très libérale de la religion, célébrant aussi bien des fêtes chrétiennes et musulmanes car plusieurs membres de sa famille sont chrétiens dont un oncle, devenu prêtre après sa conversion au christianisme.
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France : Une lycéenne interdite d’entrée dans son établissement scolaire pour cause de jupe trop longue.
Et revoilà venu le temps, non pas des cerises, mais de la crispation laïciste, nettement moins juteuse et franchement plus amère, sur la longueur d’une jupe qui, si elle était raccourcie de plusieurs centimètres, ne susciterait aucun émoi dans le temple scolaire, car comme chacun sait : l’émancipation des femmes, jeunes et moins jeunes, se mesure à l’aune de bouts de tissus qui ne dissimulent rien ou si peu, la pudeur étant suspecte dans un Hexagone qui serait pourtant bien avisé d’exiger un peu de tenue sur ses bancs d’école…
Alors que la chasse aux voiles est ouverte toute l’année et comme si la loi liberticide de mars 2004 ne suffisait pas, l’ostracisme envers les élèves portant une jupe désormais considérée comme un « signe religieux ostentatoire » défraye la chronique au mois de mai, à l’heure où fleurit le muguet, comme ce fut le cas l’année dernière avec les deux affaires d’exclusion au fort retentissement qui frappèrent deux collégiennes mortifiées, l’une de Charleville-Mézières, l’autre d’Orléans (voir photo de la jeune Sarah ci-dessus).
Un an plus tard, au moment où la nature reverdit, la laïcité sectaire et répressive sévit de nouveau contre une lycéenne en 1ère STMG, au lycée Flora-Tristan à Montereau-Fault-Yonne (Seine-et-Marne), qui n’a pas pu franchir, mardi dernier, le seuil de son établissement scolaire en raison de sa jupe à la longueur qui fâche, et fait perdre pied et la raison aux responsables de cette interdiction arbitraire.
Des responsables qui se murent dans un silence éloquent face à l’incompréhension de la jeune fille de 16 ans, bannie brutalement sans autre forme de procès. « C’est injuste, je ne fais pas de provocation », se désole-t-elle, en précisant qu’elle s’est convertie à l’islam il y a un an et qu’elle retire son voile pour se rendre en cours, comme le relate le Parisien.
« On ne sait pas si c’est la jupe ou l’attitude de l’élève qui est à l’origine de cette décision », a indiqué le rectorat de Créteil, en assurant qu’elle sera « reçue lundi par la direction ».
Parmi les polémiques paroxystiques qui ont l’art d’enflammer la République laïque jusqu’à sombrer dans le grotesque, les cris d’orfraie poussés par la bien-pensance hexagonale contre une jupe jugée un peu trop longue quand elle est revêtue par certaines adolescentes ont été fustigés par le New York Times en 2015, en ces termes sans fioritures : « Cela devient ridicule quand les professeurs se permettent d’émettre un jugement en considérant que tel ou tel habit est une prise de position religieuse. Plus largement, les officiels français doivent cesser de se cacher derrière la laïcité quand leur unique but est en réalité d’imposer leur identité et leurs codes à des personnes aux racines différentes des leurs. (…) Aucune religion ne menace sérieusement la laïcité en France aujourd’hui, et invoquer un principe aussi noble contre une jeune fille ne fait que le dévoyer ».
La France farouchement anti-voile, qui revendique sa préférence pour les mini-jupes à dessein, ne réalise-t-elle pas que son islamophobie institutionnelle a contribué à ce que ses valeurs cardinales se soient, elles aussi, réduites comme peau de chagrin ?
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France : L’antisémitisme, arme d’intimidation massive.
L’antisionisme a beau se définir comme un refus raisonné du sionisme, l’admettre comme tel serait encore faire un compromis avec l’inacceptable. Empreint d’une causalité diabolique, l’antisionisme est moralement disqualifié, mis hors jeu en vertu de l’anathème qui le frappe.
Dans un monde où le ressassement médiatique tient lieu de preuve irréfutable, certains mots sont des mots-valises, des signifiants interchangeables dont l’usage codifié à l’avance est propice à toutes les manipulations. De perpétuels glissements de sens autorisant le passage insidieux d’un terme à l’autre, rien ne s’oppose à l’inversion maligne par laquelle le bourreau se fait victime, la victime se fait bourreau, et l’antisionisme devient un antisémitisme, comme l’a affirmé Manuel Valls, premier chef de gouvernement français à avoir proféré une telle insulte. Au moment où « l’intifada des couteaux », en outre, est renvoyée par certains à la haine ancestrale pour les juifs, il n’est pas inutile de se demander pourquoi cette assimilation classique et néanmoins frauduleuse occupe une fonction essentielle dans le discours dominant.
Depuis soixante-dix ans, tout se passe comme si l’invisible remords de l’holocauste garantissait à l’entreprise sioniste une impunité absolue. Avec la création de l’Etat hébreu, l’Europe se délivrait miraculeusement de ses démons séculaires. Elle s’octroyait un exutoire au sentiment de culpabilité qui la rongeait secrètement pour ses turpitudes antisémites. Portant sur ses épaules la responsabilité du massacre des juifs, elle cherchait le moyen de se débarrasser à tout prix de ce fardeau. L’aboutissement du projet sioniste lui offrit cette chance.
En applaudissant à la création de l’État juif, l’Europe se lavait de ses fautes. Simultanément, elle offrait au sionisme l’opportunité d’achever la conquête de la Palestine.Ce rachat par procuration de la conscience européenne, Israël s’y prêta doublement. Il reporta d’abord sa violence vengeresse sur un peuple innocent de ses souffrances, puis il offrit à l’Occident les avantages d’une alliance dont il fut payé en retour. L’un et l’autre liaient ainsi leur destin par un pacte néo-colonial. Le triomphe de l’Etat hébreu soulageait la conscience européenne, tout en lui procurant le spectacle narcissique d’une victoire sur les barbares. Unis pour le meilleur et pour le pire, ils s’accordaient mutuellement l’absolution sur le dos du monde arabe en lui transférant le poids des persécutions antisémites. En vertu d’une convention tacite, Israël pardonnait à l’Europe sa passivité face au génocide, et l’Europe lui laissait les mains libres en Palestine.
Son statut exceptionnel, Israël le doit à ce transfert de dette par lequel l’Occident s’est défaussé de ses responsabilités sur un tiers. Parce qu’il fut l’antidote au mal absolu, qu’il plongeait ses racines dans l’enfer des crimes nazis, Israël ne pouvait être que l’incarnation du bien. Mieux encore qu’une sacralité biblique aux références douteuses, c’est cette sacralité historique qui justifie l’immunité d’Israël dans la conscience européenne. En y adhérant implicitement, les puissances occidentales l’inscrivent dans l’ordre international. Le résultat est indéniable : avalisée par les maîtres du monde, la profession de foi sioniste devient loi d’airain planétaire.
L’invocation du sacré démonisant toujours son contraire, cette sacralité d’Israël ôte alors toute légitimité aux oppositions qu’il suscite. Toujours suspecte, la réprobation d’Israël frôle la profanation. Contester l’entreprise sioniste est le blasphème par excellence, car c’est porter atteinte à ce qui est inviolable pour la conscience européenne. C’est pourquoi le déni de légitimité morale opposé à l’antisionisme repose sur un postulat simplissime dont l’efficacité ne faiblit pas avec l’usage : l’antisionisme est un antisémitisme. Combattre Israël, ce serait, par essence, haïr les juifs, être animé du désir de rejouer la Shoah, rêver les yeux ouverts de réitérer l’holocauste.
L’antisionisme a beau se définir comme un refus raisonné du sionisme, l’admettre comme tel serait encore faire un compromis avec l’inacceptable. Empreint d’une causalité diabolique, l’antisionisme est moralement disqualifié, mis hors jeu en vertu de l’anathème qui le frappe. On a beau rappeler que la Palestine n’est pas la propriété d’une ethnie ou d’une confession, que la résistance palestinienne n’a aucune connotation raciale, que le refus du sionisme est fondé sur le droit des peuples à l’autodétermination, ces arguments rationnels n’ont aucune chance d’être entendus. L’antisionisme s’inscrit depuis un siècle dans le champ politique, mais il se voit constamment opposer une forme d’irrationalité qui n’a décidément rien de politique.
L’assimilation frauduleuse de l’antisémitisme et de l’antisionisme, il est vrai, procure deux avantages symboliques. Le premier est à usage interne. Cette assimilation limite drastiquement la liberté d’expression, elle tétanise toute pensée non conforme en l’inhibant à la source. Elle génère une autocensure qui, sur fond de culpabilité inconsciente, impose par intimidation, ou suggère par prudence, un mutisme de bon aloi sur les exactions israéliennes. Mais cette assimilation mensongère est aussi à usage externe. Elle vise alors à disqualifier l’opposition politique et militaire à l’occupation sioniste. Cible privilégiée de cet amalgame, la résistance arabe se voit renvoyée à la haine supposée ancestrale qu’éprouveraient les musulmans pour les juifs.
Ce qui anime les combattants arabes relèverait d’une répulsion instinctive pour une race maudite, et non d’une aspiration légitime à la fin de l’occupation étrangère. La chaîne des assimilations abusives, en dernière instance, conduit à l’argument éculé qui constitue l’ultime ressort de la doxa : la « reductio ad hitlerum », la souillure morale par nazification symbolique, dernier degré d’une calomnie dont il reste toujours quelque chose. Terroriste parce qu’antisioniste, antisioniste parce qu’antisémite, la résistance arabe cumulerait donc les infamies.
Les attaques au couteau ne seraient pas l’effet explosif d’une humiliation collective, dit-on, mais le fruit de la haine inextinguible pour les juifs. Seule force qui ne cède pas devant les exigences de l’occupant, la résistance, pour prix de son courage, subira alors le tir croisé des accusations occidentales et des brutalités sionistes. Et comme si la supériorité militaire de l’occupant ne suffisait pas, il faut encore qu’il se targue d’une supériorité morale dont ses crimes coloniaux, pourtant, attestent l’inanité.
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####### Aujourd’hui en Palestine #######
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Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information C P I, Centre Palestinien D’Information.
La sécurité de l’Autorité Palestinienne arrête un jeune garçon d’Hébron.
Les forces de la sécurité préventive de l’Autorité Palestinienne à Ramallah ont arrêté le samedi après-midi 7 mai, l’adolescent Oussama Ahmed Salhab (16 ans) de Kherbat Qalqas dans le sud d’Hébron.
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Suède : 14e Conférence des palestiniens en Europe.
La ville suédoise « Malmo » a témoigné samedi 7 mai le début des activités de la 14ème session de la Conférence des Palestiniens en Europe.
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Un dirigeant du FPLP annonce son retrait de la vie politique.
Zulfikar Suergo, membre du Bureau politique du FPLP, a annoncé sa retraite de travail public et de la vie politique.
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Gaza : Funérailles des enfants brûlés vifs.
Des milliers de citoyens palestiniens ont participé samedi aux funérailles des 3 enfants qui ont trouvé la mort dans l’incendie de leur maison à cause des bougies la nuit dernière.
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Haniyeh: l’occupation met le feu à Gaza avec le consentement de l’Autorité Palestinienne.
Ismaïl Haniyeh, vice-président du Bureau politique du mouvement du Hamas, a considéré que la mort des enfants de la famille Abou Hendi est parallèle aux crimes incessants de l’ennemi sioniste contre la Bande de Gaza.
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Les villageois palestiniens exigent l’ouverture de routes agricoles à Deir Istiya.
Les agriculteurs et citoyens palestiniens se sont rassemblés, hier après-midi, dans la ville de Deir Istiya.
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Sheikh Salah: Nous allons célébrer notre liberté à la Mosquée al-Aqsa
Sheikh Ra’ed Salah, chef du Mouvement islamique dans les territoires occupés en 1948, a exprimé sa confiance que «le peuple palestinien va bientôt célébrer sa liberté.
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L’occupation ouvre une nouvelle fois le carrefour de Beyt Anoun à l’est d’Hébron.
Les forces d’occupation israelienne ont ouvert à nouveau, ce matin, le carrefour de Beyt Anoun à l’est d’Hébron après avoir été fermé pendant six mois.
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L’occupation interroge les citoyens à l’ouest de Jénine.
Les forces d’occupation sionistes ont interrogé, la nuit dernière, quatre citoyens de la ville de Silat al-Harithiya à l’ouest de la ville de Jénine, dans le nord de la Cisjordanie.
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Des colons prévoient d’abattre des centaines d’oliviers.
Des colons israéliens ont marqué des centaines d’oliviers appartenant à des Palestiniens dans la ville de Deir Estia à l’ouest de Salfit comme un prélude à les couper.
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Un calme prudent règne dans la bande de Gaza
Les Forces d’Occupation Israéliennes se sont retirées des zones frontalières orientales de Gaza, hier après-midi, après avoir effectué plusieurs incursions.
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Hamas: l’Autorité Palestinienneisraelienne et l’occupation portent l’entière responsabilité de l’incendie de la famille Hindi.
Le mouvement du Hamas a souligné que la vie à Gaza est devenue impossible, sous le blocus, la strangulation et la complicité, tout en appelant la communauté internationale et toutes les parties concernées à agir pour arrêter cette détérioration de la situation humaine dans l’enclave assiégée depuis des années.
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Shin Bet: la résistance palestinienne a effectué 115 attentats en Avril.
La sécurité d’Israël a dévoilé que la résistance palestinienne en Cisjordanie occupée a commis 115 « attaques documentées » contre des cibles sionistes, qui ont blessé des dizaines de soldats et de colons durant les mois d’Avril et mai.
Les données publiées par le service des renseignement israéliens (Shin Bet), ont montré que pour la première fois en six mois, aucun décès n’a été enregistré du côté israélien, au cours d’une vague d’opérations palestiniennes.
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5677 palestiniens arrêtés depuis le début du soulèvement de Jérusalem.
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Deux raids aériens sionistes sur l’est de Khan Younis.
Les drones de l’armée occupante israélienne ont lancé deux raids aériens, à l’aube samedi, sur l’est de la ville de Khan Younis, dans le sud de la bande de Gaza.
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A cause de la crise de l’électricité, Trois enfants meurent dans l’incendie de leur maison à Gaza.
Trois enfants sont morts, tard la nuit de ce vendredi, alors que leur mère et leurs deux frères sont blessés suite à un incendie qui a ravagé leur maison à l’ouest de la ville de gaza.
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Un jeune palestinien blessé par les balles d’occupant au nord de Gaza.
Les forces d’occupation israéliennes ont ouvert le feu et lancé des bombes lacrymogènes sur un groupe de jeunes palestiniens, blessant l’un d’eux et asphyxiant plusieurs d’autres.
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