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Flash info du 6 Dhou al Qa’da 1438.

Flash info du 6 Dhou al Qa’da 1438.
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Voici pourquoi la pudeur fait partie de la foi.
La pudeur est un sentiment de réserve, de retenue et de honte de plus en plus difficile à préserver.
L’Islam distingue deux types de pudeur: la pudeur naturelle (« al hayaa-oun-nafsâniy ») qui existe en chaque être humain afin de lui éviter de faire des choses blâmables et la pudeur (« al hayaa-oul-Imâniy ») qui résulte de la foi en Allah soubhanou wa ta’ala.
Le musulman a le devoir d’entretenir et de développer ces deux sortes de pudeur.
Afin de souligner que la pudeur fait partie intégrante de la foi, on retrouve de nombreux hadiths mettant en valeur l’importance de la pudeur.
D’ailleurs, le Prophète a dit :
«La foi comporte soixante et quelques branches…. La pudeur fait partie de la foi». {Hadith rapporté par Abu Horeira que l’on retrouve dans le Sahih de Boukhari (livre de la foi, n°9)}.
D’après Abou Houreira (qu’Allah l’agrée), le Prophète (sallAllahou ‘alayhi wa salam) a dit: «La pudeur fait partie de la foi et la foi est au paradis. L’obscénité fait partie de la bassesse et la bassesse est dans le feu».
(Rapporté par Tirmidhi dans ses Sounan n°2009 qui l’a authentifié et il a également été authentifié par Cheikh Albani dans sa correction de Sounan Tirmidhi)
Aïcha (qu’Allah l’agrée) a dit :«Quelles excellentes femmes que les femmes des Ansars, la pudeur ne les empêchait pas de comprendre leur religion».
{Rapporté par Mouslim ( livre des menstrues, n°332 )}.
Allah soubhanou wa ta’ala a également mis en exergue la noblesse de la pudeur de la femme. IL dit :
« Et quand il fut arrivé au point d’eau de Madyan, il y trouva un attroupement de gens abreuvant [leurs bêtes] et il trouva aussi deux femmes se tenant à l’écart et retenant [leurs bêtes]. Il dit: «Que voulez-vous?» Elles dirent: «Nous n’abreuverons que quand les bergers seront partis; et notre père est fort âgé.
Il abreuva [les bêtes] pour elles puis retourna à l’ombre et dit: «Seigneur, j’ai grand besoin du bien que tu feras descendre vers moi».
Puis l’une des deux femmes vint à lui, d’une démarche timide, et lui dit: «Mon père t’appelle pour te récompenser pour avoir abreuvé pour nous». Et quand il fut venu auprès de lui et qu’il lui eut raconté son histoire, il (le vieillard) dit: «N’aie aucune crainte: tu as échappé aux gens injustes ». (Coran, 28, verset 23 à 25).
Ainsi, on peut conclure que la pudeur envers Allah, c’est le fait de lui obéir, et d’avoir honte de lui désobéir et qu’il n’y a pas de pudeur à avoir dans l’apprentissage de la science.
La pudeur n’engendre pas de perdre sa personnalité mais plutôt de l’utiliser pour faire du bien !
AJIB.FR
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Voici ce qu’il faut savoir sur salât joumou’a.
La prière du vendredi est une obligation pour les hommes.
Allah (soubhanou wa ta’ala) dit : «Ô vous qui avez cru! Quand on appelle à la Ṣalāt du jour du Vendredi, accourez à l’invocation d’Allah et laissez tout négoce. Cela est bien meilleur pour vous, si vous saviez!» (Coran, 62/9).
Le Prophète (sallAllahou ’alayhi wa salam) nous a indiqué également combien cette prière est incontournable dans la vie d’un musulman:
«Le Jour de Vendredi est de grande importance, le meilleur des jours de la semaine sur terre : c’est le jour où fut créé Adam, le jour où il fut introduit au Paradis, le jour où il en sortit . C’est aussi le jour où finira le monde.» [Rapporté par Mouslim].
«Certes ! Le jour du Vendredi renferme un instant de faveur. Si la prière de quelqu’un demandant des faveurs correspond à cet instant, Allah les lui accordera.» [Rapporté par Mouslim].
Comme pour chaque effort, la récompense de salat Jumu’a est grande.
A ce sujet, le Prophète (sallAllahou ’alayhi wa salam) a dit : «Le Jour de Vendredi est de grande importance, le meilleur des jours de la semaine sur terre : c’est le jour où fut créé Adam, le jour où il fut introduit au Paradis, le jour où il en sortit . C’est aussi le jour où finira le monde.» [Rapporté par Mouslim].
Un jour d’une telle importance, mérite d’être honoré, comme Allah ‘azawajel l’a glorifié. Ce jour-là on doit multiplier les bonnes œuvres et s’abstenir de tout péché. «Certes ! Le jour du Vendredi renferme un instant de faveur. Si la prière de quelqu’un demandant des faveurs correspond à cet instant, Allah les lui accordera.» [Rapporté par Mouslim].
Afin de prier dans les conditions dictées par Notre Créateur, le musulman doit respecter cinq règles fondamentales:
– le musulman doit être en état de résidence (et non voyageur)
– être libre (et non en position d’esclave)
– être un homme pubère (Joumou’a n’est pas obligatoire pour les femmes et les enfants)
– être proche du lieu de prière
– être en absence d’excuses légales (exemple : la maladie)
Au moment d’aller effectuer la prière, le musulman doit délaisser les activités commerciales ou celles qui le poussent à la distraction.
Enfin, la préparation pour se rendre à la prière est primordiale et revête toute son importance.
Le Messager d’Allah (sallAllahou ’alayhi wa salam) a explicité l’état dans lequel le croyant doit être pour se rendre à la prière du Vendredi:
«Cinq pratiques sont caractéristiques de la Fitra (nature primordiale) : la circoncision, le rasage du poil pubien, le coupage court des moustaches, le coupage des ongles et l’épilation des cheveux des aisselles.» (rapporté par Abû Hurayra).
De plus, le croyant doit porter des vêtements propres, se parfumer (uniquement les hommes), et se rendre à la mosquée de bonne heure.
Il doit accomplir les deux unités de prières surérogatoires en arrivant à la mosquée en étant concentré sur l’accomplissement de son devoir envers Notre Créateur (soubhanou wa ta’ala).
AJIB.FR
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France : L’unique centre de déradicalisation de France va fermer ses portes.
Le ministère de l’Intérieur annonce vendredi 28 juillet mettre un terme à l’expérimentation du centre de déradicalisation de Pontourny, situé dans la commune de Beaumont-en-Veront (Indre-et-Loire).
Ouvert en septembre 2016, le centre de « prévention, d’insertion et de citoyenneté » avait pour objectif de « préparer, proposer et dispenser une offre et un programme pédagogique utiles à la réinsertion de jeunes radicalisés en voie de marginalisation ». Il aurait dû recevoir 25 pensionnaires sur la base du volontariat mais n’en n’a accueilli que 9. Aucun des jeunes n’a suivi le programme jusqu’à son terme et depuis février, la structure n’accueille plus personne. Elle aura coûté 2,5 millions d’euros. Pour rien.
« Malgré la compétence, la détermination et l’investissement des personnels du centre, qui ont démontré leur savoir-faire pour assurer une prise en charge pluridisciplinaire des bénéficiaires, l’expérience ne s’est pas révélée concluante », déclare Place Beauvau. Le communiqué du ministère précise que « le gouvernement étudiera, notamment, la possibilité d’ouvrir des structures de petite taille pour y accueillir des individus sous main de justice et y développer des solutions alternatives à l’incarcération ».
La secrétaire générale du Comité interministériel de prévention de la délinquance et de la radicalisation (CIPDR) sera chargée de faire des propositions. Elles seront examinées à l’automne prochain lors d’une réunion du comité interministériel qui sera organisée par le Premier ministre.
saphirnews.com
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Arabie Saoudite : un missile tiré du Yémen intercepté près de La Mecque.
La coalition menée par l’Arabie Saoudite au Yémen contre les rebelles houthis annonce avoir intercepté un missile à 69 km au sud de la Mecque. Elle indique qu’il s’agit d’une « tentative désespérée des rebelles chiites Houthis de perturber le Hajj » qui se déroulera cette année à la fin du mois d’août. Un engin similaire, tiré depuis le Yémen, avait également été intercepté le 28 octobre 2016.
Ce nouveau tir de missile balistique est, selon la coalition, la preuve de la « poursuite du trafic d’armes (au profit des rebelles) au port de Hodeida », sur la mer Rouge. Elle met en cause « l’absence de contrôle » dans ce port. La coalition considère que cela est dû au « détournement des autorisations données par la coalition arabe pour l’acheminement de l’aide humanitaire et des cargaisons commerciales ».
Le port d’Hodeida est le principal point d’entrée de l’assistance humanitaire à destination du nord du pays et de la capitale Sanaa qui sont sous le contrôle des rebelles houthis. C’est pourquoi la coalition désire placer le port sous son contrôle ou celui de l’ONU. Mais les Nations unies rejette cette idée car elles craignent que l’arrivée de l’aide humanitaire soit entravée par le dispositif d’une coalition déjà accusée de la mort de centaines de civils.
Lancée en mars 2015, la guerre au Yémen a coûté la vie à plus de 8 000 personnes, en majorité des civils et plus de 44 500 blessés. Le conflit oppose les forces gouvernementales, soutenues par une coalition de pays arabes et dirigée par l’Arabie Saoudite, à des rebelles en majorité houthis, soutenus par l’Iran. Le désastre sanitaire occasionné par la guerre a favorisé une crise alimentaire sans précédent ainsi que la diffusion du choléra. Plus de 1 700 personnes en sont mortes et près de 320 000 en seraient malades.
saphirnews.com
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Palestine : Jérusalem : les musulmans mettent fin au boycott de l’esplanade des Mosquées.
Une victoire enregistrée pour les Palestiniens face à Israël. Après les détecteurs de métaux, les autorités israéliennes ont finalement décidé, jeudi 27 juillet, de retirer les caméras installées récemment à l’entrée de l’esplanade des Mosquées, où se trouve la mosquée Al-Aqsa.
Cette décision qui a tant révolté les Palestiniens était attendue des autorités religieuses qui gèrent le lieu saint. Ces derniers avaient en effet appelé les musulmans à boycotter l’esplanade en signe de protestation contre les mesures de la puissance occupante tant que celles-ci n’étaient pas abrogées.
La situation étant celle qui prévalait avant le 14 juillet, date de l’attaque contre des policiers israéliens, le boycott a pris fin la veille de la grande prière hebdomadaire du vendredi.
« Le rapport technique a montré que tous les obstacles que les occupants (Israël) avaient installés aux abords de la mosquée ont été retirés » et que, par conséquent, « les autorités religieuses musulmanes à Jérusalem appellent les Palestiniens à entrer à Al-Aqsa pour faire la prière de l’après-midi », a déclaré un responsable du Waqf, en charge de l’esplanade des Mosquées. Un appel soutenu par le président palestinien Mahmoud Abbas. Des milliers de Palestiniens s’y sont rendus afin de célébrer ce moment.
saphirnews.com
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La Cour suprême des États-Unis considère le Prophète comme l’un des plus grands législateurs de l’histoire.
Non loin du Capitole, à Washington, se dresse la Cour suprême des Etats-Unis, majestueuse et d’inspiration antique, à l’intérieur de laquelle une grande frise, ciselée dans la pierre par le sculpteur A. Weimann au cours des années 1930, rend hommage à 18 illustres législateurs passés à la postérité.
Dans une atmosphère polluée par la rhétorique politico-médiatique aux accents islamophobes, rendue électrique par l’accession au pouvoir du pyromane de l’unité nationale, Donald Trump, il serait bon, de temps à autre, de lever les yeux vers cette œuvre d’art érigée au sein de la plus haute instance judiciaire américaine pour y découvrir ou y redécouvrir la place prépondérante occupée par le Prophète Muhammad (saws).
Dans l’Amérique de Trump où les vieux démons ressurgissent et prolifèrent, libérant leurs pires pulsions contre les citoyens de confession musulmane, ces nouvelles victimes expiatoires, il est tout à la fois extrêmement valorisant et réconfortant de réaliser la très haute estime dans laquelle la puissante Cour suprême tient le grand homme de l’islam, et ce depuis des décennies, et l’importance historique que revêtent à ses yeux les enseignements et la loi islamiques.
Considéré comme l’un des législateurs les plus éminents de la Grande histoire, aux côtés d’autres figures de premier plan, religieuses et laïques, telles que, entre autres, l’ancien gouverneur égyptien Menes, le Prophète Moïse, Hammurabi, Confucius, César, William Blackstone, Napoléon et John Marshall, la sculpture de celui que l’on n’incarne pas témoigne du fait que la législation américaine n’est pas fondée sur un texte juridique ou religieux spécifique, mais qu’elle s’est nourrie, à travers les siècles, des traditions et des lois millénaires du monde entier.
Alors qu’il est bon, en ces temps troublés par la haine de l’altérité, de contempler cette frise grandiose pour mesurer l’honneur qui y est fait au Prophète Muhammad, sa représentation, bien que perçue comme des plus positives et bien-intentionnée par la plupart des responsables musulmans, a inévitablement posé problème.
« Nous sommes persuadés que la Cour suprême était animée des meilleures intentions du monde en honorant le Prophète de cette manière, et nous apprécions l’hommage qui lui est rendu. Nous demandons juste, afin de ne pas offenser notre communauté, de sabler son visage ou d’y apposer un morceau de marbre sur lequel serait inscrit un verset du Coran ou une de ses célèbres citations relative à la justice. Il va de soi que nous sommes prêts à payer les changements demandés », déclarait en 1977 Nihad Awad, l’actuel porte-parole du Conseil sur les relations américano-islamiques (CAIR).
Face au refus opposé par William Rehnquist, l’honorable magistrat siégeant au sommet du pouvoir judiciaire américain, au motif qu’il était « illégal d’enlever ou de nuire à une caractéristique architecturale dans le bâtiment de la Cour suprême », une fatwa en faveur de la frise et de la sculpture du Prophète fut émise par Taha Jaber al-Alwani, le président du Conseil de la jurisprudence islamique (Fiqh) de l’Amérique du Nord et ancien professeur émérite en Arabie saoudite.
« Ce que j’ai vu dans la salle de la Cour suprême ne mérite que l’appréciation et la reconnaissance des musulmans américains. C’est un geste positif envers l’Islam de la part du sculpteur et des autres décideurs de la Cour suprême que d’avoir taillé dans la pierre une représentation du Prophète. Si Dieu le veut, cela aidera à contrecarrer les effets désastreux de la malheureuse désinformation qui entoure l’islam et les musulmans dans ce pays », écrivait-il en 2000 pour justifier son avis juridique favorable.
oumma.com
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Honda Kôichi, le maître incontesté de la calligraphie arabe au Japon.
On dit de lui qu’il a révolutionné la calligraphie arabe, et ce n’est pas pour déplaire à l’orfèvre de l’écriture ciselée qu’il est, le japonais Honda Kôichi fait autorité au Japon, mais également au-delà des frontières, jusque dans le monde fascinant de l’islam qui est et demeure une source d’inspiration intarissable pour sa plume alerte, minutieuse et respectueuse des règles d’or de cet art millénaire.
Maître incontesté d’un graphisme unique au monde, dont la beauté des mille et une arabesques avait émerveillé Picasso, Honda Kôichi s’attelle à apporter sa touche nippone à un art majeur qui n’est nulle part ailleurs plus étudié et respecté qu’au Japon sans en comprendre pour autant les idiomes. Pour ce virtuose de la calligraphie, dont certaines œuvres sont exposées au British Museum à Londres, les idéogrammes chinois et les kana japonais ont contribué à développer une fibre artistique incomparable chez ses concitoyens, qui les rend, plus que tout autre peuple, particulièrement réceptifs à la magnificence de la calligraphie arabe.
“La forme de tous les caractères est naturelle, bien équilibrée. Les proportions sont magnifiques. La calligraphie arabe possède une sorte de rythme musical, on a l’impression d’entendre une mélodie, n’est-ce pas ? Même sans en comprendre la signification, on ressent quelque chose“, décrit avec passion cet artiste de renom, dans un entretien accordé à la presse japonaise, subjugué comme au premier jour par l’élégance et la finesse de la belle et noble écriture venue d’Orient, qui incarne la beauté parfaite enviée par l’Occident sans jamais atteindre son niveau de perfection.
“Je recherche la beauté des lignes tout en respectant totalement les règles. C’est un principe auquel je me conforme. Les autres calligraphes se montrent compréhensifs à mon égard, ils ne rejettent pas mes œuvres. Et ils apprécient ma façon de voir les choses. J’en suis ravi“, poursuit celui qui officiait en tant qu’interprète au Moyen-Orient avant d’être séduit par la splendeur de sa calligraphie. “Mon séjour au Moyen-Orient a radicalement changé ma vision du monde. J’ai même ressenti la nécessité d’exprimer ce changement. Cette énergie motrice est toujours en moi“, renchérit-il avec un enthousiasme qui ne s’est jamais émoussé depuis.
C’est à Honda Kôichi, l’ascète des beaux caractères du pays du soleil levant, qui a consacré toute sa vie à sublimer les sourates du Livre Saint, comme s’il composait à chaque fois une nouvelle symphonie, que l’on doit la « Pyramide des prières », une pyramide bleue qui s’élance vers le firmament, ornée de superbes motifs sur lesquels des versets du Coran s’égrènent pour culminer au sommet avec le mot Allah.
oumma.com
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####### Aujourd’hui en Palestine #######
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Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
Le père de Hadar Goldin : Lieberman veut nous garder 50 ans à vivre dans les cauchemars
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Simcha Goldin, père du soldat israélien Hadar Goldin, dont le corps est détenu par le Hamas, a exprimé sa critique du ministre de la Défense, Avigdor Lieberman, lors d’un service commémoratif de trois ans depuis la disparition de son fils, selon les médias hébraïques.
plus
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Un ministre sioniste confirme l’échec d’Israël à Al Aqsa
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Le captif Moataz Hamid poursuit sa grève de la faim pour la deuxième semaine
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Un palestinien succombe à ses blessures à Jérusalem
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Le sit in d’Al aqsa entame son 11e jour
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Arrestations et raids en Cisjordanie
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L’occupation détruit partiellement une maison palestinienne à Lod
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Renouvellement des restrictions sur l’entrée des musulmans à al-Aqsa
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Abu-Marzouk: la victoire des maqdessites à al-Aqsa est un coup dur pour les forces d’occupation
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L’occupation impose un siège sur le village de Janata à l’est de Bethléem
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Colonisation: Proposition sioniste d’annexer des colonies en échange de villes arabes
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L’occupation prolonge l’ordre de confiscation d’une maison palestinienne à l’est de Qalqilya
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Peine de mort pour l’auteur de l’opération de Halamish, exige Netanyahu
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Al-Jazeera: Les menaces de Netanyahu contre notre bureau sont une attaque brutale
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Une campagne d’arrestation en Cisjordanie et l’occupation détruit trois carbonifères à Nassiria
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Haniyeh : les Palestiniens sont les défendeurs d’al-Aqsa
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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Flash info du 4 Dhou al Qa’da 1438.

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France : Saint-Etienne-du-Rouvray : « Non, la haine n’a pas triomphé et elle ne triomphera pas ».
Un hommage national a été rendu au matin du mercredi 26 juillet au Père Jacques Hamel à Saint-Etienne-du-Rouvray (Seine-Maritime).
Une messe a d’abord été célébrée à 9h à l’église de Saint-Etienne de Saint-Etienne-du-Rouvray par Mgr Dominique Lebrun, archevêque de Rouen. Le président de la République Emmanuel Macron, son Premier ministre Edouard Philippe et le ministre de l’Intérieur Gérard Collomb y ont assisté aux côtés de Roselyne Hamel, la sœur du prêtre, de Joachim Moyse, maire de la ville, et du député Hubert Wulfranc.
« Vous êtes là ce matin, entourés mais encore atterrés, peut-être révoltés ou simplement fatigués, après une année particulièrement difficile », a déclaré Mgr Lebrun. « Aujourd’hui, nous faisons mémoire d’un père qui continue de veiller sur nous. Le père Hamel a été réduit au silence. Non, la haine n’a pas triomphé et elle ne triomphera pas. »
« La République n’a pas à combattre la religion, ni à se substituer à elle »
Aux alentours de 10h, une stèle républicaine pour la paix et la fraternité a été dévoilée. « A la mémoire de Jacques Hamel, prêtre catholique », est-il inscrit, accompagné des articles de la Déclaration universelle des droits de l’homme de 1948.
« La Déclaration rappelle notre attachement aux valeurs républicaines qui sont les nôtres : la liberté, l’égalité et la fraternité », a expliqué le maire de Saint-Etienne-du-Rouvray, en présence du chef de l’Etat. « La cicatrisation sera longue. Mais le sang versé nous a mobilisé dans notre irréversible volonté de vivre ensemble. Pour qu’à jamais, les Stéphanais et les Stéphanaises demeurent unis dans l’espoir et dans la paix », a-t-il ajouté.
Emmanuel Macron, pour qui « le visage de Jacques Hamel est devenu le visage de ce qui, en nous, refuse cette culture de mort, et ce terrorisme arrogant. », a salué la réaction des catholiques, les remerciant « d’avoir trouvé la force du pardon, d’avoir refusé cette soif de vengeance et de représailles ».
« La République, oui, repose sur l’amour et le respect de l’humanité. Chacun œuvre à cet idéal, avec ses croyances, avec sa philosophie, sa morale. Lorsque c’est la foi qui soutient cet idéal, elle a toute sa place dans la République. C’est pour cela que la République garantit la liberté de croire, comme la liberté de ne pas croire. C’est pour cela qu’elle protège les lieux de culte. La République n’a pas à combattre la religion, ni à se substituer à elle. Elle œuvre chaque jour à ce que chacun puisse croire, en homme libre », a-t-il indiqué.
« Passons ensemble vers la lumière de l’amour ! »
« Permettez-moi, au nom même du Père Jacques Hamel, de lancer cet appel à ceux qui hésitent encore : quittez l’ombre de la haine, passons ensemble vers la lumière de l’amour ! Quittez l’ombre de la division et passons ensemble à la lumière de l’unité ! Quittez l’ombre des mensonges, des égoïsmes et des égos, passons ensemble à la lumière de la vérité et de la fraternité ! Quittez l’ombre de la guerre, passons ensemble à la lumière de la paix ! », a fait part Mgr Lebrun.
La cérémonie prend fin à 18h avec une prière du soir (vêpres) à la basilique Notre-Dame de Bonsecours, suivie d’un temps de prière sur la tombe du père Jacques Hamel avec la délégation musulmane qui prendra la parole.
saphirnews.com
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France : Calais : la police accusée de gazages routiniers au poivre contre les migrants.
La police française est accusée par un rapport de Human Rights Watch (HRW) d’utiliser régulièrement du gaz de poivre contre les migrants à Calais.
« L’usage de sprays au gaz poivre par la police à Calais est tellement répandu que beaucoup de demandeurs d’asile et de migrants avaient du mal à se rappeler précisément combien de fois ils en avaient été victimes », rapporte l’organisation de défense des droits humains dans le rapport « ‘C’est comme vivre en enfer’ : Abus policiers à Calais contre les migrants, enfants et adultes ».
Entre fin juin et début juillet 2017, HRW a interrogé 61 migrants dont 55 qui se souviennent avoir subi un gazage pendant leur sommeil, quelques jours avant l’entretien. Le rapport explique que ces opérations provoquent « une cécité temporaire, de fortes douleurs oculaires et des difficultés respiratoires, qui durent en général de 30 à 40 minutes ».
« Parfois ils aspergent même de gaz poivre la nourriture et l’eau des migrants – tout cela apparemment dans le but de les pousser à quitter la région », indique également l’ONG. « De tels agissements de la part de la police violent l’interdiction d’infliger un traitement inhumain et dégradant, mais aussi les normes internationales de comportement des forces de l’ordre. »
« On est dans des pratiques qui s’inscrivent dans la routine, sans qu’il y ait de sanctions, alors que ce sont des abus graves », affirme Bénédicte Jeannerod, directrice de HRW France. Waysira, un des adolescents interrogés, témoigne que « chaque jour, la police nous poursuit. Ils utilisent leurs sprays. Ils nous donnent des coups de pied. C’est ça notre vie, tous les jours ».
Fabien Sudry, préfet du Pas-de-Calais a « réfuté catégoriquement les allégations mensongères et calomnieuses » de l’ONG. « Les forces de police agissent bien entendu sur Calais dans le respect des règles de l’État de droit, avec le seul objectif de faire respecter l’ordre et la sécurité publics », a-t-il ajouté.
saphirnews.com
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Leçons vénézuéliennes.
La déstabilisation à grande échelle subie par le Vénézuela – dernier épisode d’une guerre larvée contre cet empêcheur de tourner en rond dans “l’arrière cour” impérialiste – vient administrer quelques leçons que les partisans d’un changement radical – c’est-à-dire tout autre que cosmétique – gagneraient à méditer. La première leçon, c’est qu’on ne peut construire une alternative politique sans prendre le risque d’un affrontement décisif avec les détenteurs du capital, qu’ils soient à l’intérieur ou à l’extérieur des frontières. Par alternative politique, on entendra exactement l’opposé de ce que l’on nomme “alternance”, c’est-à-dire la simple permutation des équipes au pouvoir. C’est un processus beaucoup plus profond, qui ne se contente pas de quelques modifications de surface, mais qui met explicitement en jeu les structures déterminant la répartition des richesses.
Cette alternative politique s’identifie donc avec la reprise expresse, par le peuple, des attributs de la souveraineté. Elle suppose la rupture des liens qui rattachent le pays au capital étranger dominant et au capital local “compradore” qui en dépend. Mais c’est une tâche colossale. A peine entreprise, la pesanteur objective des structures s’y conjugue avec la guerre acharnée que mènent les nantis pour conserver leurs privilèges de classe. La presse internationale décrit le Vénézuela comme un pays en faillite, mais elle oublie de préciser que cette faillite est celle d’un pays capitaliste latino-américain. Ce pays a accompli des progrès significatifs jusqu’en 2014, mais l’absence de transformation structurelle l’a laissé dans l’ornière de la dépendance économique. Ruiné par la chute des cours du pétrole, il n’a pas su – ou pu – bâtir un modèle alternatif.
Si les nervis de la droite vénézuélienne se déchaînent dans les rues de Caracas sous les vivats de la presse bourgeoise et des chancelleries occidentales, c’est parce que Maduro n’est ni Castro ni Tsipras. S’il était Castro, c’est-à-dire si le Vénézuéla avait pleinement restauré sa souveraineté et s’était engagé dans un processus de développement autonome non capitaliste, il n’y aurait pas de nervis à Caracas. Mais c’est de la politique fiction : Maduro n’est pas Castro, et le Vénézuela n’est pas Cuba. Inversement, Maduro n’est pas non plus de la graine d’un Tsipras. Il n’entend pas rendre les armes et céder à l’opposition malgré la crise économique gravissime que connaît le pays. Résolu – ou résigné – à occuper cet entre-deux, Maduro ne peut ni renier un chavisme dont il est l’héritier ni pousser les feux d’une “révolution bolivarienne” que la paralysie économique du pays et la victoire électorale de l’opposition ont suspendue de facto.
La crise qui sévit depuis 2014 a tendance à le faire oublier, mais le chavisme fut porté par un puissant mouvement social qui est loin d’avoir disparu – comme en témoigne la grande manifestation chaviste du 19 avril 2017 -. Depuis la première élection de Chavez en 1998, il a combattu les préjugés de race et de classe. Il a fait reculer de manière spectaculaire la pauvreté et l’analphabétisme. Nationalisant le pétrole, il a restitué à la nation la maîtrise de ses ressources naturelles. Bouleversant la politique étrangère du pays, il a rompu avec Israël, inventé l’alliance bolivarienne et défié l’Oncle Sam au coeur de son “arrière-cour” sud-américaine. Approuvé par le peuple vénézuélien, le chavisme a bousculé le désordre établi de manière séculaire en Amérique latine au profit des firmes multinationales nord-américaines et de la bourgeoisie raciste qui leur sert de VRP.
Bien sûr, la “révolution bolivarienne” n’a pas supprimé du jour au lendemain tous les maux de la société vénézuélienne, et elle traîna avec elle son lot d’erreurs et d’imperfections. Elle a utilisé la manne pétrolière pour sortir de la misère les couches sociales les plus déshéritées, mais elle a renoncé à transformer les structures sociales profondes du pays. Au Vénézuela, l’économie est toujours entre les mains d’une bourgeoisie réactionnaire qui en organise le sabotage pour exaspérer la crise et chasser Maduro du pouvoir. Ce n’est pas le gouvernement qui crée une inflation à trois chiffres, et l’immobilisme auquel le condamne une majorité parlementaire hostile devrait au moins tempérer les jugements hâtifs portés sur les responsabilités de l’exécutif.
Depuis l’élection de cette majorité réactionnaire, en décembre 2015, la droite vénézuélienne ouvertement appuyée par Washington et relayée par des médias locaux affidés rêve d’abattre Maduro et de liquider le chavisme. La “révolution bolivarienne” eut beau n’avoir de révolution que le nom, elle ne pouvait que déchaîner la haine revancharde des nantis et susciter l’hostilité mortifère des USA. Lorsqu’elle s’indigne des victimes – présumées – de la répression policière plutôt que des sanglantes opérations de l’ultra-droite, la gauche bien-pensante oublie qu’une protestation de rue n’est pas toujours progressiste, qu’une revendication démocratique peut servir de paravent à la réaction, et qu’une grève peut contribuer à la déstabilisation d’un gouvernement de gauche, comme le mouvement des camionneurs chiliens en fit la démonstration en 1973.
La leçon a été oubliée par les progressistes boboïsés des pays riches, mais les vrais progressistes latino-américains le savent : si l’on veut changer le cours des choses, il faut agir sur les structures. La nationalisation des secteurs-clé, la protection contre la mondialisation libérale, la restauration de l’indépendance nationale, la consolidation d’une alliance internationale des Etats souverains, la mobilisation populaire pour une meilleure répartition des richesses, l’alphabétisation, l’éducation et la santé pour tous sont les différentes facettes d’un même projet progressiste. Contrairement à ce que prétend une idéologie qui recycle les vieilles lunes social-démocrates, ce n’est pas sa radicalité qui condamne un tel projet à la défaite, mais la peur de l’assumer.
Dès qu’il s’attaque aux intérêts géopolitiques et géo-économiques des puissances dominantes, le projet progressiste franchit la ligne rouge. Ce cap une fois passé, toute imprudence peut devenir fatale. L’impérialisme et ses exécutants locaux ne font pas de cadeaux. Pourquoi faudrait-il leur en faire ? Franco n’a laissé aucune chance à la République espagnole (1936), ni la CIA à Mossadegh (1953), ni Mobutu à Lumumba (1961), ni Suharto à Soekarno (1965). Allende commit l’erreur tragique de nommer Pinochet au ministère de la Défense, et Chavez dut son salut en 2002 à la fidélité de la garde présidentielle. Il ne suffit pas d’être du côté du peuple, il faut se donner les moyens de ne pas le perdre en laissant ses ennemis prendre le dessus. Comme disait Pascal, il ne suffit pas que la justice soit juste, il faut aussi qu’elle soit forte.
Comme d’habitude, la majeure partie de la “gauche” occidentale ne comprend rien et elle hurle avec les loups. Comme si sa seule source d’information était “Le Monde”, elle exige de Maduro qu’il renonce au pouvoir pour mettre fin à la crise. Face à la rébellion de quelques milliers de fils de famille et d’une masse de lumpen-prolétaires manipulés, le président élu du Vénézuela devrait aller à Canossa. Capitulant devant la rue, il devrait renoncer à la convocation d’une Assemblée constituante (le 30 juillet) dont le mérite est pourtant, comme son nom l’indique, de remettre le pouvoir entre les mains du peuple. Faute d’avoir pu lui infliger le sort d’Allende, cette gauche “humaniste” se réjouirait, sans doute, de le voir finir comme Tsipras. Ce n’est pas gagné d’avance, et le peuple vénézuélien tranchera.
oumma.com
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Palestine : Jérusalem : crise des portiques ou éruption du chaudron colonial ?
Dans la nuit du 24 juillet, Benyamin Netanyahu a décidé de retirer les portiques de la discorde aux abords de l’Esplanade des mosquées au profit d’un système de surveillance aux contours encore flous mais que l’on sait plus discret. Israël a écouté les recommandations de son service de sécurité intérieur, le Shin Bet, qui martelait depuis plusieurs jours qu’ils ne constituaient pas un outil efficace pour lutter contre l’insécurité rampante sur l’Esplanade, alors que cinq Palestiniens et trois colons ont été tués depuis vendredi. Israël s’est plié aux injonctions de la communauté internationale, appelant courageusement au respect du statu quo de 1967 confiant la gestion de la sécurité du Haram el Sharif (le noble sanctuaire) à la Jordanie. Un retour au calme est annoncé, les passions religieuses des Palestiniens ayant été satisfaites. Ouf. Circulez, il n’y a plus rien à voir.
Voici, en substance, ce que l’on pouvait lire ce matin dans la plupart des grands titres de presse internationaux. Brillaient par leur absence toutes références explicites aux effets de la colonisation forcenée de Jérusalem depuis son annexion en 1967 et de la situation catastrophique à Gaza, que le blocus et la pénurie organisée d’électricité continuent d’asphyxier, comme si rien de tout cela n’était lié. C’est à se demander si le bureau de presse de Netanyahu ne leur a pas mâché le travail…
Commençons par appeler un chat un chat. Ce à quoi nous avons assisté à Jérusalem est un acte massif de désobéissance civile. Les Israéliens ont joué la carte de la sécurité pour s’assurer d’un contrôle plus étroit des abords de l’Esplanade, rompant de fait avec la logique du statu quo et faisant peser comme à son habitude la responsabilité de l’assassinat des policiers israéliens sur l’ensemble de la population palestinienne de Jérusalem. Mais les Palestiniens ont refusé de jouer le jeu de cet humiliant et inutile contrôle de sécurité. La désobéissance civile a ratissé bien plus large que le refus d’islamistes supposés, comme voudrait nous le faire croire l’extrême-droite religieuse et nationaliste israélienne, toujours prompt à instrumentaliser le fait religieux pour mieux dépolitiser l’analyse des mobilisations populaires palestiniennes – et, ainsi, dédouaner la puissance occupante et colonisatrice de toute responsabilité.
La solidarité active des Palestiniens chrétiens, venus nombreux aux abords de l’Esplanade des mosquées protester contre l’érection des portiques de sécurité, montre bien que la violation de la souveraineté des lieux saints musulmans n’est pas qu’une question strictement religieuse. L’opposition multiconfessionnelle à la provocation intrusive des forces de sécurité israéliennes nous rappelle que c’est d’une lutte de libération nationale dans un contexte colonial qu’il s’agit, d’une lutte contre l’accaparement de la seule partie de la Palestine qui ne soit pas sous contrôle israélien, d’une lutte contre l’effacement de leur présence historique et politique à Jérusalem, d’une lutte contre une étape supplémentaire de la colonisation de leur ville. Mais de tout cela, pas un mot.
Depuis la conquête de la partie orientale de la ville en 1967, Israël a fait de « Jérusalem réunifiée la capitale éternelle et indivisible du peuple juif ». Mesure-t-on la violence raciste de cette déclaration ? Réalise-t-on l’étendue des politiques publiques de dépossession déployées à l’encontre des « résidents permanents » palestiniens qui, pourtant soumis aux mêmes impôts que les Israéliens, ne disposent d’aucun droit politique, d’aucune protection juridique contre la violence des colons et des arrestations arbitraires de la police, d’aucune autorisation pour assurer le bon développement de leur communauté ? Nous contenterons-nous d’une opposition de principe à la colonisation de peuplement de la partie orientale de la ville à chaque annonce de construction de nouveaux blocs de logement, judaïsation de fait visant à rendre impossible la perspective d’en faire un jour la capitale d’un Etat palestinien souverain ?
Mais de tout cela, pas un mot. De la menace proférée par Tzachi Hanegbi, ministre de la coopération régionale et proche de « Bibi », menaçant les Palestiniens d’une troisième Nakba – c’est à dire d’une expulsion massive et donc d’un nettoyage ethnique – s’ils ne rentraient pas dans le rang, là non plus, pas un mot. Emmanuel Macron préfère garder le silence. C’est vrai qu’il avait déjà tout dit en annonçant, l’air grave, en présence de son « cher Bibi », « que l’antisionisme est une forme réinventée de l’antisémitisme ». L’Union Juive Française pour la Paix tient à apporter tout son soutien aux Palestiniens en lutt e à Jérusalem.
Le Bureau national de l’UJFP, le 25 juillet 2017.
oumma.com
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####### Aujourd’hui en Palestine #######
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Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
30 Journalistes blessés en deux semaines dans les évènements d’al-Aqsa
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Le Forum des médias palestiniens a fermement condamné les attaques continues de l’occupation contre les journalistes, indiquant que plus de 30 journalistes ont été différemment blessés au cours des deux dernières semaines
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Haniyeh adresse des messages aux dirigeants des pays arabes et islamiques pour soutenir Al-Aqsa
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400 mineurs palestiniens incarcérés dans les geôles de l’occupation
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La Knesset sioniste ratifie une loi consacrant le contrôle de Jérusalem
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Hébron: La Paix maintenant appelle à évacuer la maison volée par les colons
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CJUE: le Hamas retiré de la liste terroriste de l’UE
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Jérusalem occupée: des caméras de surveillance intelligentes installées dans les 6 mois
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Des colons prennent d’assaut une maison pour la confisquer
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Guerre américano-sioniste contre les militants de BDS
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Un Gazaoui arrêté par l’occupant sur les frontières de la Bande de Gaza
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L’occupation transfère le prisonnier gréviste Diab en détention administrative
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L’occupation arrêtent des citoyens à jérusalem
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Jordanie: Funérailles de masse pour un civil assassiné par l’agent de sécurité de l’ambassade sioniste
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Blessés et arrestations dans la répression des fidèles près d’al-Asbat
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Autriche: Un palestinien condamné à la perpétuité pour avoir planifié un attentat contre l’occupation
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Le Hamas appelle à une intervention urgente pour protéger Al-Aqsa des projets sionistes
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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