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Flash info pour le 14 Joumada At-Thani 1439.

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Sur Ajib.fr, voici les titres.

Palestine : La libération de Salah Hamouri a été une nouvelle fois reportée.
L’état hébreu dispose de ses propres lois et règles et ne s’inquiète pas outre mesure de choquer la communauté internationale lorsqu’il enfreint les droits humains les plus élémentaires.
Un comportement qui explique la situation de milliers de Palestiniens détenus dans les prisons israéliennes depuis de nombreuses années sans possibilité d’en sortir pour la bonne raison que la grande majorité d’entre eux n’a été ni inculpée ni jugée.
A l’image de l’avocat franco-Palestinien, Salah Hamouri. Celui-ci a été arrêté il y a six mois et jeté en prison pour la seconde fois sans que lui ou ses avocats ne soient informés des charges retenues contre lui.
Annoncée pour le 28 février, sa libération a été reportée aux calendes grecques par le ministre israélien de la Défense, Avigdor Liberman.
Ce dernier a signé un nouvel ordre de détention administrative de quatre mois et ceci bien que le président français Emmanuel Macron soit intervenu personnellement pour demander la libération du franco-Palestinien auprès du Premier ministre Netenyahou le 10 décembre dernier.
Ceci prouve l’obsession du régime sioniste de n’en faire qu’à sa tête sans craindre les retombées politiques de ses actes.
Des milliers de concitoyens, 1600 élus, des dizaines de conseils municipaux et de municipalités ont voté ou signé des résolutions demandant la libération immédiate de Hamouri.
Après plusieurs mois de silence, le Quai d’Orsay est sorti de sa réserve pour dénoncer « l’utilisation abusive et systématique de la détention administrative » par l’état hébreu.
Une prise de position officialisée par une déclaration du porte-parole du Quai d’Orsay, Agnès Romatet-Espagne à l’attention du gouvernement israélien :
« Nous demandons que l’ensemble des droits de Salah Hamouri soient bien respectés et espérons sa libération. Nous demandons aussi que sa famille puisse lui rendre visite ».
Le ministère des Affaires étrangères s’est dit « préoccupé » par le sort de Salah Hamouri, et s’étonne de n’avoir reçu aucune indication sur les éventuelles charges retenues contre l’avocat.
« La France rappelle que l’utilisation abusive et systématique de la détention administrative porte atteinte au droit à un procès équitable et aux droits de la défense », a insisté Agnès Romatet-Espagne.
La France a fait libérer plusieurs de nos ressortissants détenus à l’étranger, pourquoi a-t-elle tant de difficulté à obtenir gain de cause lorsqu’il s’agit de l’état hébreu ?

Sur islam et info.fr, voici les titres.

Nigéria : 515 opérations de l’œil réalisées en une semaine par cinq chirurgiens saoudiens.
Cinq médecins saoudiens spécialisés dans la chirurgie oculaire ont effectué 515 opérations en une semaine dans le cadre d’un convoi médical saoudien au Nigeria, en coopération avec l’Assemblée mondiale de la jeunesse musulmane.
L’une des opérations chirurgicales réalisées par l’équipe a consisté à supprimer la cataracte pour les personnes aveugles de tous âges, aveugles depuis des années à cause des ressources limitées et du manque de médecins dans de nombreuses régions du Nigeria.
Les cinq médecins ont préparé et examiné les patients tous les jours, de 7 heures à 20 heures, ont vérifié les patients le deuxième jour pour assurer le succès de l’opération et ont donné des instructions aux patients et fourni des traitements et des médicaments gratuits.
Dr Said al-Wedaani, consultant en ophtalmologie dans les hôpitaux universitaires, professeur adjoint à la Faculté de médecine de l’Université du Roi Saoud et également membre de l’équipe, a déclaré que le convoi était médicalement équipé et avait l’intention de mener plus de 400 opérations.
Cependant, leur enthousiasme, affecté par la situation dans la région et voyant l’impact positif qu’ils ont eu sur les communautés musulmanes au Nigeria les a poussés à dépasser les opérations attendues pour atteindre 515 malgré les conditions de travail difficiles, les faibles ressources, le manque d’électricité, les outils et l’expérience des assistants, et la difficulté des cas médicaux eux-mêmes.
La mission a commencé le 20 février et se poursuivra jusqu’au 2 mars à Katsina, au Nigeria. Elle est organisée par le comité médical de l’Assemblée mondiale de la jeunesse musulmane. Le convoi a attiré l’attention de la presse locale qui a remercié les médecins pour leurs efforts.
Irlande : la grande mosquée de Dublin ouvre ses portes aux SDF.
La mosquée Clonskeagh dans la capitale de l’Irlande, Dublin, a ouvert ses portes à la population locale des sans-abri.
La mosquée a annoncé qu’elle fournirait un abri à n’importe qui indépendamment de sa nationalité ou de sa religion tant que les températures tombent en-dessous de zéro à la suite de la tempête Emma.
La tempête Emma, ​​surnommée «La Bête de l’Est» a apporté de la neige et des vents glaciaux en Europe.
Avec des températures qui devraient tomber à moins de 10, la mosquée a converti une de ses salles en un abri temporaire. Des sacs de couchage et deux repas chauds par jour seront également fournis.
Summayah Kenna, chef du Département du bien-être communautaire du Centre culturel islamique d’Irlande, a déclaré:
“Nous aurons une équipe de sécurité de service la nuit, et les équipes de maintenance ont été alertées pour s’assurer qu’il y a suffisamment de chauffage dans le bâtiment, surtout tard dans la nuit”.
Encore un exemple de l’organisation des associations musulmanes britanniques qui s’engagent intelligemment dans la société.
Plus d’informations sur la communauté musulmane au Royaume-Uni avec l’agence d’expatriation : www.muslim-moves.com .
Syrie : des personnes travaillant pour des ONG utilisent l’aide humanitaire pour obtenir des faveurs sexuelles.
Des hommes travaillant pour des organisations caritatives internationales sont accusés d’avoir utilisé l’aide humanitaire pour obtenir des faveurs sexuelles de femmes en Syrie.
Selon un rapport explosif de la BBC, des avertissements sur l’exploitation sexuelle ont été émis il y a au moins trois ans. Un travailleur humanitaire a déclaré que le secteur de l’aide connaissait le problème depuis bien plus longtemps.
Danielle Spencer, conseillère en charité, a déclaré à la BBC :
” L’exploitation sexuelle et la maltraitance des femmes et des filles ont été ignorées. Il a été dénoncé et ignoré pendant sept ans. L’ONU et le système actuel ont choisi de sacrifier le corps des femmes. “
Spencer a dit qu’elle avait entendu les premières allégations en mars 2015 d’un groupe de femmes syriennes vivant dans un camp de réfugiés en Jordanie. Ils lui ont dit que les hommes des conseils locaux dans des régions telles que Quneitra et Daraa avaient demandé des rapports sexuels en échange de l’aide.
“Ils refusaient l’aide qui avait été fournie et utilisaient ensuite ces femmes à des fins sexuelles”, a déclaré Spencer à la BBC. “Certains l’avaient expérimenté eux-mêmes, certains étaient désemparés”.
“Je me souviens d’une femme qui pleurait dans la pièce et elle était très bouleversée par ce qu’elle avait vécu. Les femmes et les filles doivent être protégées lorsqu’elles essaient de recevoir de la nourriture, du savon et des articles de base pour vivre. La dernière chose dont vous avez besoin, c’est d’un homme dont vous êtes censé faire confiance qui vous demande d’avoir des relations sexuelles avec lui et de vous refuser de l’aide”.
Les auteurs présumés seraient des «tiers» employés sur le terrain et des fonctionnaires locaux. Leur coopération est nécessaire pour acheminer l’aide vers des régions dangereuses de la Syrie, ce qui signifie que certaines organisations humanitaires sont prêtes à fermer les yeux sur la corruption et même la criminalité.
USA : des groupes américains de défense des droits civiques dénoncent un projet de loi islamophobe.
Une série de projets de loi dans les assemblées législatives des états à travers les États-Unis ont été décriées par les groupes de défense des droits civiques comme islamophobes.
Plus récemment, le Conseil des relations américano-islamiques (CAIR), un groupe de défense des droits civils musulman basé à Washington DC, a appelé le Sénat de l’Idaho à voter contre un projet de loi récemment adopté par la Chambre des Représentants.
Selon le CAIR, le projet de loi, connu sous le nom de HB-419, cible les musulmans et s’inscrit dans une longue série de projets de loi «inconstitutionnels» qui diabolisent les musulmans en interdisant la charia, ou la loi islamique.
Le HB-419 a été adopté par la Chambre des représentants de l’Idaho à un moment où des projets de loi similaires sont envisagés dans plusieurs États américains, dont le Montana, l’Oregon et le Wisconsin.
Dans une lettre ouverte au sénateur Jeff C Siddoway, président du Comité sénatorial des affaires d’État, le directeur des affaires gouvernementales du CAIR, Robert McCaw, a décrit le HB-419 comme «contraire aux valeurs de notre nation de ne pas élever ou marginaliser une religion ou une communauté».

Sur saphirnews.com, voici les titres.

New York : des femmes forcées de retirer leur voile indemnisées par la ville .
New York va verser 180 000 dollars (148 000 €) à trois femmes musulmanes qui avaient été contraintes par des policiers, lors de leurs gardes à vue, de retirer leur voile lorsqu’elles devaient prendre leur photo d’identité judiciaire. Elles recevront donc chacune près de 50 000 euros, ont annoncé des responsables mercredi 28 février.
Un accord a été passé en début de semaine devant un tribunal fédéral de Brooklyn, où ont eu lieu les trois arrestations, l’une en 2012 et les deux autres en 2015, a annoncé leur avocate Tahanie Aboushi.
« La résolution de ces affaires était dans les meilleurs intérêts de toutes les parties concernées », a fait part une porte-parole du service judiciaire de la ville de New York.
Depuis ces affaires, la police de New York a dû revoir ses procédures vis-à-vis des personnes portant un signe religieux sur la tête. Celles-ci – musulmanes, juives orthodoxes ou encore sikhs – ont aujourd’hui la possibilité de se rendre dans une pièce à part pour que la photographie soit prise en toute discrétion par un policier du même sexe.
Arabie Saoudite : de l’argent offert aux hommes pour les marier avec des femmes de plus de 30 ans.
Une organisation de charité saoudienne a décidé de booster le nombre de mariages des femmes âgées de plus de 30 ans en proposant aux hommes de les épouser en échange de la somme de 20 000 riyals (4 375 €).
Apportant plus d’explications sur cette initiative, Abdul Rahman Al Hameed, président de l’organisation de charité Al Berr, affirme au journal Akhbaar 24 (en arabe) que le but de cette démarche consiste à « encourager les hommes à se marier » et à « faire baisser le taux de célibat ». Selon le communiqué que Saphirnews a pu consulter, les femmes choisies doivent habiter la ville de Tabarjal et ses alentours, située dans le nord saoudien, près de la frontière jordanienne.
Depuis l’annonce de cette initiative mi-février, nombre de personnes se sont enflammés sur les réseaux sociaux arabes pour déplorer une campagne présentée comme un acte de charité.
Ils sont très nombreux à dénoncer un dénigrement des femmes d’un certain âge, basé sur une idée moyenâgeuse qui classe les femmes de plus de 30 ans dans la catégorie des « causes perdues » dans la société, à marier contre une somme d’argent telles des objets.
Bien évidemment, les féministes y trouvent une insulte, une société régressive qui cherche à emprisonner les femmes dans la structure du mariage. Pour quelques uns, la somme serait mieux utilisée dans une cause plus importante et juste comme l’aide aux nécessiteux.
Face au grand froid, la grande mosquée de Dublin ouvre ses portes aux sans-abris .
La mosquée Clonskeagh à Dublin, la plus grande d’Irlande, a annoncé qu’elle ouvre ses portes pour accueillir les sans-abris indépendamment de leur origine et de leur religion, suite à l’alerte rouge lancée par le service météorologique locale. Les autorités conseillent aux habitants de ne plus sortir de chez eux ce jeudi 1er et vendredi 2 mars, les jours où la tempête Emma va balayer l’Irlande et la Grande-Bretagne. Selon les prévisions, Emma occasionnera les chutes de neige les plus importantes depuis 1982 dans la région.
L’alerte météo parle d’une forte abondance de neige pendant la nuit, entrainant des accumulations jusqu’à 16 cm à Dublin. Quant aux prévisions nationales, on s’attend à ce que les chutes de neige atteignent 25 cm à la mi-journée de jeudi.
Avec l’importante baisse de température et les chutes de neige, plusieurs mosquées ont annoncé l’ouverture de leurs portes aux SDF. La mosquée Clonskeagh en fait partie : elle a aménagé une de ses grandes salles en refuge temporaire pour les sans-abris.
Summayah Kenna, président du département du bien-être communautaire du centre islamique, a expliqué qu’une équipe de sécurité travaillant de nuit est mise sur pied. Une équipe de maintenance a également été sollicitée pour s’assurer qu’il y aura assez de chauffage dans le bâtiment, surtout à la tombée de la nuit.
Ceux qui se réfugieront dans la salle aménagée auront droit à des sacs de couchage et à deux repas chauds gratuits par jour fournis par le restaurant de la mosquée. Le refuge est ouvert depuis mardi 27 février et accueillera les nécessiteux jusqu’à dimanche 4 mars à 10h. Selon les responsables de la mosquée, qui peut accueillir quelque 1 700 personnes, les horaires de fermeture peuvent être modifiés en fonction de l’évolution des conditions météorologiques.
Nourriture contre sexe en Syrie, le scandale qui éclabousse des ONG et l’ONU.
Se faire aider, mais à quel prix ? En Syrie, selon diverses sources, les faveurs sexuelles seraient devenues une monnaie d’échange pour obtenir de l’aide humanitaire. Un scandale qui éclabousse de fait des ONG et des agences de l’ONU opérant dans le pays.
Des travailleurs humanitaires en Syrie, cités par la BBC, accusent des employés de partenaires locaux des ONG internationaux d’obliger les femmes à céder à leurs désirs sexuels en contrepartie des dons fournis.
L’un d’eux a même affirmé que certaines organisations fermaient les yeux sur ces abus afin qu’elles puissent acheminer à bien les aides qu’elles reçoient à travers le pays, y compris dans les zones les plus dangereuses et les plus reculées où elles ne peuvent pas accéder. Or, c’est là où les pratiques dénoncées ont été répertoriés, là où les ONG sont contraintes d’avoir recours à des acteurs locaux.
L’accusation appuyée par le rapport du Fonds des Nations unies pour la population (FNUAP) intitulé Voices from Syria. Dans ce document, il est clairement affirmé que « le harcèlement sexuel et l’exploitation sexuelle ont pris place dans le contexte des distributions ».
« Les femmes et filles sans  »mâle protecteur », comme les veuves, les femmes divorcées et les femmes déplacées, sont considérées comme particulièrement vulnérables à l’exploitation sexuelle », indique le rapport, qui dévoile également que « des femmes ou des jeunes filles se sont mariées à des employés (des conseils locaux, ndlr) sur une courte période pour recevoir des repas ».
Ces pratiques ne datent pas d’hier. Un rapport émis par l’International Rescue Commitee il y a trois ans parlait déjà de 40 % de femmes victimes d’abus et de violences sexuelles dans le cadre de la distribution de l’aide humanitaire dans les régions de Daraa et Quneitra.
En 2015, une réunion entre ONG et représentants de l’ONU a eu lieu en Jordanie pour remédier à ce problème, mais jusqu’ici, aucune mesure radicale et effective n’a été mise en place.
Une nouvelle attaque recensée contre les musulmans au Sri Lanka .
Une mosquée et plusieurs magasins détruits, au moins 5 personnes blessées, tel est le bilan des violences commises lundi 26 février par des membres de la majorité cinghalaise bouddhiste contre la minorité musulmane dans la ville d’Ampara, à l’est du Sri Lanka, selon les rapports de la police locale mardi 27 février. Toutefois, le porte-parole de la police, Ruwan Gunasekara, a mentionné qu’aucune arrestation n’a été effectuée.
Le conseil musulman du Sri Lanka, une instance qui regroupe les organisations musulmanes du pays, condamne fermement cette nouvelle flambée de violence et incite le gouvernement à conduire une enquête neutre et impartiale pour arrêter les responsables.
Dans une déclaration officielle, le conseil a rappelé que « le gouvernement a la responsabilité d’assurer la sécurité de tous les citoyens indépendamment de leur religion, leur caste et leur ethnie ».
Depuis plusieurs années, une tension grandissante se développe entre ces deux communautés. Des accusations, qui naissent souvent sur la base de simples rumeurs, sont portées contre les musulmans, en position minoritaire à Sri Lanka, provoquant ainsi des violences. Selon des groupes d’extrémistes bouddhistes, ils forceraient les gens à se convertir à l’islam ou encore à vandaliser leurs sites sacrés et archéologiques.
A Ampara, une rumeur a également été à l’origine des violences : un restaurant musulman servirait des pilules contraceptives, voire même « des pilules de stérilisation », dans leurs plats aux clients.
L’année dernière, les diplomates ont condamné les violences contre les musulmans en Sri Lanka, victimes d’une vingtaine d’attaques ciblant des commerces et des mosquées. Le président Maithripala Sirisena et le Premier ministre Ranil Wickremasinghe ont promis de protéger la minorité, mais les violences contre les musulmans ne se sont pas arrêtées pour autant. La population de Sri Lanka est composée de 71 % de bouddhistes, de 12 % d’hindous et de 9 % de musulmans.

Sur oumma.com, voici les titres.

Le BDS expliqué à ma fille…. par Roger Waters. Vidéo.
Pendant sa tournée très réussie en Australie, Roger Waters, le célèbre chanteur des Pink Floyds, n’a pas hésité à prendre longuement la parole sur la nécessité du boycott d’Israël et a expliqué pourquoi cet appel palestinien était incontournable. Un extrait de cette intervention remarquable à Melbourne cette semaine (avec notre traduction) !
Parlant de certains artistes : “Vous allez accepter de divertir ceux qui tirent intentionnellement dans les pieds de jeunes Palestiniens jouant au football et qui ne pourront ainsi plus jamais y jouer ? Sept balles dans un pied, 4 balles dans l’autre ? “
(Se moquant 🙂 “Oh, je suis juste un musicien, je ne fais pas de politique…” Mais vous vous rendrez compte ? Roger Waters décrit alors l’enfer que vivent les Palestiniens (raids de nuit par l’armée d’occupation à leur domicile, traitement inhumain des enfants, Ahed en prison).
“Est-ce qu’on croit au droit ou pas ?”
“Est-ce qu’on pense que les êtres humains, ont des droits, oui ou non ?”
Puis il reprend l’historique : “Depuis le début, depuis 1948, Israël n’a jamais eu l’intention de se plier aux résolutions de l’ONU. Il a fait semblant d’être pour deux Etats, mais leur politique a constamment consisté à s’emparer des terres des Palestiniens et à infliger une vie intolérable à la population autochtone pour la pousser à aller vivre dans des pays voisins, dans des camps de réfugiés”.
“Maintenant Netanyahou est au moins obligé de l’admettre”.
“Mais tous vos efforts ne sont pas vains, je vous le dis. Et je le vois aux USA, même si les médias dominants n’en rendent pas compte. Même dans la communauté juive, notamment chez les jeunes, le soutien au colonialisme et à l’apartheid israéliens diminue à grande vitesse. Et on voit des gens ordinaires, des gens de toutes sortes, manifester au coude à coude pour les droits fondamentaux d’autres gens qui vivent jusqu’à 10.000 km de chez eux. Et c’est cela qui nous rend humains”.
reportage a voir sur oumma.com.
Théodore Timboussaint et Stéphane Délices créent une appli pour géo-localiser les restos Halal.
Au sommaire de la “Lucarne de l’entrepreneur”, un entretien avec Théodore Timboussaint et Stéphane Délices, deux jeunes entrepreneurs de Seine-Saint-Denis qui ont créé Hal’Rezo, une application qui permet de géo-localiser les restos Halal. Lancé le 6 novembre 2017, cette application a déjà référencé plus de 100 restaurants en Ile-de-France et possède plus de 9 000 utilisateurs.
reportage a voir sur oumma.com.

Sur tribune lecteurs.com, le journal d’algérie, voici les titres.

Le CNAPESTE décide de suspendre sa grève : La voie de la sagesse ….
Les lampes LED : C’est un risque photo-biologique.
Malainin Lakhal, journaliste sahraoui, à Tribune des Lecteurs : » Nous mourrons libres si c’est le prix à payer « .
Il a refusé de libérer le Franco-palestinien Salah Hamouri : Netanyahou humilie la France.
Bilan des activités de la gendarmerie nationale de 2017 : Une couverture sécuritaire de l’ordre de 96, 82% « .
Intervenant devant la commission de la culture et de la communication de l’APN : Kaouane fait son bilan.
Agression » arabe » contre le Yémen : Un drame humanitaire absolu.
Promotion et protection des droits de l’homme en Algérie : Le SG du MAE évoque les avancées réalisées.
Le temps d’une mémorable journée : Imad, ambassadeur d’honneur d’Algérie en France.
Akhbar al-Yaoum dénonce espionnage et pressions sur les journalistes : Sale temps pour la presse marocaine.

Sur le muslim post.com, voici les titres.

Maraudes : Au cœur de la précarité a lancé son « plan grand froid ».
Une vague de froid s’est installée en France depuis quelques jours avec des températures allant jusqu’à -15°C, pour un ressenti de -25 °C. La nuit du 26 février a été la plus froide de l’hiver, et trois personnes sans-abri sont déjà décédées sur le territoire.
Pour leur venir en aide, 68 départements ont lancé le plan « Grand Froid ». Ce plan mis en place sur décision du préfet, permet ainsi de multiplier les maraudes et d’ouvrir des places d’hébergement supplémentaires dans les centres d’accueil. Le Samu social renforce également ses effectifs au 115.
L’association Au cœur de la précarité a elle aussi lancé son « plan grand froid ». Comme chaque année les bénévoles effectuent des maraudes pendant l’hiver. Mais durant les pics de froid de la saison, une campagne spécifique est lancée pour faire face aux besoins accrus des plus démunis.
« Depuis les premiers épisodes de neige, nous avons relancé la campagne grand froid. Nous avons accentué nos activités alimentaires la nuit, lancé un appel aux dons pour plus de vêtements chauds et nous avons aussi un budget consacré aux nuitées en hébergement d’urgence », explique Bilal, du pôle communication de l’association.
Depuis presque dix ans, l’association organise des maraudes toute l’année, arpentant différents quartiers de la capitale. Les bénévoles distribuent également des repas à des points fixes, vers Saint-Lazare (8e) la semaine, à la Chapelle (18e) le week-end. Le samedi et le dimanche matin, du thé, du café et des gâteaux sont apportés aux bénéficiaires.
Avec plus de 250 bénévoles, Au cœur de la précarité sert chaque année environ 100 000 repas, dont près de 1000 repas par jour pendant le mois de Ramadan.
« On a réussi à marauder tout le temps, même les soirs de neige ».
Mais l’hiver reste une des périodes d’activité les plus intenses pour Au cœur de la précarité, qui a même lancé un partenariat avec d’autres associations comme Umma Charity et Info maraudes, leur permettant de distribuer d’autant plus de gants, chaussettes, chaussures, bonnets, écharpes et sacs de couchage.
« Ce type d’équipement est à renouveler souvent car les gens se font voler ou se font enlever leurs sacs de couchage par la police dans les camps », indique Bilal.
Il y a quelques semaines, la neige a paralysé Paris et la circulation dans les rues, mais l’association est fière d’avoir pu mener à bien ses actions de solidarité : « On a réussi à marauder tout le temps, même les soirs de neige. Il y avait moins de personnes dans les rues, mais nous avons discuté plus longtemps avec les sans-abri pour leur proposer d’aller à l’hôtel ou renforcer leur équipement », témoigne le bénévole de l’association.
Des maraudes relayées et racontées sur la page Facebook de l’association, afin de sensibiliser le public. « C’est un peu malheureux mais il faut qu’il neige pour faire comprendre aux gens qu’il fait froid et les rendre plus sensibles au sort des sans-abri. Alors que ce sont surtout les températures négatives qui tuent », rappelle Bilal.
L’association poursuit donc son plan, jusqu’à ce que les températures deviennent plus clémentes.
Lafarge en Syrie : le Quai d’Orsay reconnaît une rencontre avec les dirigeants.
L’ex-ambassadeur de France en Syrie, Eric Chevallier, a reconnu avoir eu un entretien avec des dirigeants du cimentier Lafarge. C’est ce que révèle aujourd’hui le quotidien Libération dans un article consacré à cette affaire.
Dans un courrier datant du 15 janvier 2018, envoyé aux juges en charge de l’enquête sur le financement du terrorisme dont est accusé le groupe français, Eric Chevallier a admis pour la première fois avoir eu « un entretien », « à l’été 2012 ».
Pour rappel, le groupe Lafarge est suspecté d’avoir versé entre 2011 et 2015 plus de 12 millions d’euros à des groupes armés en Syrie, dont l’Etat islamique (EI), afin que sa cimenterie de Jalabiya (nord) puisse continuer de fonctionner malgré la guerre.
Le 9 janvier dernier, le diplomate a été confronté chez les juges à l’ancien directeur adjoint de Lafarge, Christian Herrault, mis en examen avec cinq autres responsables du groupe.
Il avait dit à ce moment là « ne pas avoir souvenir de ces rencontres », suite au témoignage de Christian Herrault qui avait affirmé que l’ambassadeur « était au courant du racket ». Selon lui, Eric Chevallier aurait déclaré : « Vous devriez rester, les troubles ne vont pas durer ».
Depuis, la version de l’ex-ambassadeur a changé, soutenant qu’une « jeune femme du bureau du Moyen-Orient » au Quai d’Orsay lui a indiqué avoir « souvenir de cette réunion ».
Mais l’ambassadeur conteste toutefois propos qui lui sont attribués. Dans son courrier, il précise « ne pas avoir conseillé le maintien de l’usine Lafarge en Syrie » lors de cet entretien dont il ne se souvenait pas jusqu’alors.
Joint par l’AFP, le Quai d’Orsay a souligné que « ni le ministère de l’Europe et des Affaires étrangères, ni aucun de ses agents n’étaient mis en cause par la procédure judiciaire en cours ».
Les juges d’instruction concentrent leurs investigations sur ce que savait la diplomatie française et cherchent à établir si elle a pu pousser le cimentier à se maintenir en Syrie, comme l’affirment plusieurs de ses dirigeants de l’époque.
« Black Panther » : le slogan du film devient un signe de ralliement politique.
En seulement quinze jours, « Black Panther » est devenu un phénomène mondial. En tête du box-office, le film a engendré plus de 700 millions de dollars de recettes et a dépassé le million d’entrées en France.
Un succès qui s’explique par le message militant et politique qu’il véhicule. En effet le film dénonce le racisme met en avant pour la première fois un super-héros noir, qui doit retourner au Wakanda.
Ce pays africain imaginaire est riche en matières premières, très moderne et avancé technologiquement. Il n’a surtout pas connu l’esclavage, ni la colonisation ou toute autre forme d’impérialisme.
Une terre idéale où l’harmonie règne entre les tribus mais aussi entre les hommes et les femmes. Ces dernières sont d’ailleurs représentées comme des femmes fortes, indépendantes et engagées.
Ainsi, plusieurs personnalités se sont emparées du slogan du film, « Wakanda forever ». Lors du match de championnat entre Manchester United et Chelsea le 25 février dernier, les joueurs Jessie Lingard et Paul Pogba ont croisé leurs bras pour former un W, afin de célébrer le but de leur équipe. Une façon de signifier le « black power » qui émane du film.
Quelques jours plus tôt, le 22 février, le joueur Michy Batshuayi du Borussia Dortmund, a également fait référence au film suite à des insultes racistes lors d’un match de la Ligue Europa. Dans un post Twitter, il dénonce le racisme dans le football et utilise le hashtag #GoWatchBlackPanther.
D’autres personnalités ont également évoqué le film, comme le chanteur Snoop Dogg, réalisant aussi un W avec ses bras ou encore l’athlète Jasmine Todd, effectuant ce qu’elle appelle le #WakandaSalute.
Mais de manière plus large, des internautes reprennent aussi ce geste à travers des photos sur Twitter. La mobilisation de la communauté afro-américaine est donc importante suite à ce « Blackbuster », comme l’a surnommé Libération. Mais la force de ce dernier est qu’il a toutefois réussi à séduire un public large.
#MosqueMeToo : une campagne qui pose question.
Le hashtag #MosqueMeToo et les témoignages lui étant associés ont largement été repris dans les médias ces derniers temps, suscitant de nombreuses réactions de soutien, d’indignation, mais aussi de haine…
Et comme tout mouvement lancé sur les réseaux sociaux, la viralité qui s’en suit impose la prudence. Il s’agit de savoir désormais si cette campagne pourra permettre une libération de la parole efficace des femmes musulmanes et de savoir et à qui elle profitera vraiment. Une question qui se posait déjà pour les mouvements #BalanceTonPorc et #MeToo.
Tout a commencé le 2 février dernier, lorsque Sabina Khan, une Pakistanaise a publié un long post sur Facebook, partageant une douloureuse expérience lors de son pèlerinage à La Mecque. Dans son témoignage, aujourd’hui supprimé, elle expliquait comment, en plein tawaf, elle avait senti une main sur sa taille, croyant d’abord à un geste maladroit, une « erreur ». Un geste qui s’est pourtant répété, la jeune femme réalisant alors qu’on essayait de lui pincer les fesses.
Son post a suscité de nombreux commentaires et environ 2 000 partages. Suite à ce récit, Mona Eltahawy, journaliste américano-égyptienne, auteure de « Pourquoi le Moyen-Orient doit faire sa révolution sexuelle » (Belfond) a décidé de lancer #MosqueMeToo.
« J’ai partagé mon expérience d’agression sexuelle pendant le Hajj en 1982 alors que j’avais 15 ans, dans l’espoir que cela aiderait les femmes musulmanes à briser le silence et le tabou qui entourent leur expérience de harcèlement ou d’agression sexuelle pendant le Hajj ou dans des lieux sacrés », écrit-elle sur Twitter.
De nombreuses autres femmes ont alors suivi le mouvement et apporté leurs témoignages, mettant à jour une vérité bien dérangeante. Difficile en effet d’imaginer que dans un des lieux considérés comme les plus saints, de telles violences puissent être commises.
Le harcèlement sexuel, un vaste problème de société .
Cependant, le choix même du hashtag #MosqueMeToo est quelque peu problématique. Peut-on généraliser ces cas de harcèlement sexuel à La Mecque à l’ensemble des mosquées ?
Il y a certes un souci de sexisme dans les lieux de culte musulmans dont « la critique est antérieure au #MeToo et #MosqueMeToo », rappelle la sociologue Hanane Karimi, et porte-parole du collectif Les femmes dans la mosquée. Mais pour le moment, les accusations de harcèlement sexuel semblent surtout se concentrer sur La Mecque.
Il convient aussi de souligner que dans toutes nos sociétés consuméristes, la femme est encore bien souvent considérée comme un « objet sexuel ». Le harcèlement n’épargne donc malheureusement aucun milieu social, professionnel ou confessionnel. « La société française est patriarcale, qu’on soit musulman ou non, on en a intégré les codes », souligne la professeure de Lettres et militante Karima Mondon.
Mais ce hashtag a bien évidemment aussitôt été repris par les xénophobes et islamophobes. Ayant déjà fait leurs choux gras de l’affaire Tariq Ramadan, cette campagne n’a fait que continuer de nourrir les stéréotypes sur les musulmans et en particulier sur les hommes.
On peut d’ailleurs se poser la question : Quelle parole a été la plus libérée grâce à hashtag ? La parole des musulmanes ? Des islamophobes ?
Il est peu probable que dans ce contexte, la parole des femmes ait été écoutée avec attention et prise en compte. D’autant que, pour un certain nombre de musulmans, il est aussi très facile d’étouffer ces témoignages sous prétexte qu’il « saliraient » l’Islam, reproche qui a également été fait à Mona Eltahawy.
Cette féministe est loin de faire l’unanimité dans le monde musulman et même auprès des femmes (elle est notamment l’auteure d’un article très controversé paru en 2012 et intitulé « Pourquoi nous détestent-ils ? : La vraie guerre contre les femmes au Moyen-Orient »). Mais le harcèlement dont elle a été victime sur la toile et les propos sur son physique n’avaient pas lieu d’être. Elle semblait toutefois connaître les conséquences du lancement d’un tel hashtag.
« Je suis consciente que les femmes musulmanes sont prises en étau entre les islamophobes qui diabolisent tous les hommes musulmans et notre communauté qui défend tous les hommes musulmans », a-t-elle fait savoir à un journaliste de Slate, Aymann Ismail.
« Le sexe est tabou dans toute communauté religieuse, mais nous ne pouvons plus éviter d’en parler ».
A ce propos, Aymann Ismail nuance et écrit dans un article: « Nous ne pouvons pas ignorer et traiter cette affaire comme un « problème de femme » lorsque les auteurs sont si souvent des hommes. C’est seulement en prenant nos responsabilités que nous pouvons combattre un problème d’une telle envergure. Je suis bien conscient qu’en tant qu’homme musulman, cette responsabilité m’en incombe. Je félicite mes sœurs courageuses d’avoir exprimé leurs préoccupations et je veux qu’elles sachent qu’elles ne sont pas seules. »
« Je pense que cette réalité à été difficile à accepter pour certains, surtout en France. Des musulmans ont pu se sentir agressés, mais on ne peut pas rester dans le déni. Il faut que les musulmans prennent ce problème à bras le corps. Nous devons aider les filles à se défendre », renchérit Karima Mondon.
Désormais, après cette vague de témoignages, il serait en effet regrettable que ceux-ci tombent dans l’oubli ou soient déconsidérés. Il s’agit donc de se poser les vraies questions. A savoir : que font ou feront les autorités saoudiennes — où les droits des femmes sont bafoués depuis des décennies — pour sanctionner les mauvais comportements et pour assurer davantage de sécurité aux femmes ? Seront-elles contraintes d’être séparées des hommes ? Les imams n’ont-ils pas non plus leur rôle à jouer auprès des fidèles pour aborder ces sujets délicats, trop peu évoqués ?
Il en revient de la responsabilité de chacun et c’est ce que souligne Aymann Ismail : « En tant que musulmans, nous sommes religieusement tenus de nous protéger les uns les autres. C’est à nous d’empêcher que ce genre de violence ne se produise à l’avenir. Le sexe est tabou dans toute communauté religieuse, mais nous ne pouvons plus éviter d’en parler. »

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

Une jeune fille arrêtée à Bethléem pour possession présumée d’un couteau
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Les forces d’occupation sionistes ont arrêtés jeudi 1 Mars une jeune fille palestinienne, au nord de Bethléem (sud de Jérusalem occupée), pour possession présumée d’un couteau.
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Un enfant palestinien forcé de dire qu’il n’a pas été blessé par les tirs israéliens
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Des colons profanent le sanctuaire de Kifl Hares à Salfit
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L’armée israélienne lance une incursion limitée dans la bande de Gaza
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La délégation du Hamas rentre du Caire
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5 Palestiniens dont des ex-prisonniers arrêtés par l’Autorité Palestinienne
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Erdogan: Nous ne renoncerons pas à notre position sur Jérusalem en tant que capitale de la Palestine
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Raids et arrestations dans diverses zones de la Cisjordanie occupée
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Rajoub critique la gestion du dossier de réconciliation par l’Egypte et incite à Gaza
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Le député Ibrahim Dahbour libre
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L’ex-prisonnier jérusalémite Hamza Derbas arrêté de nouveau
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ONU/Palestiniens: conférence des donateurs le 15 mars à Rome
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L’occupation confisque des terres à Burin pour créer une route coloniale
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L’occupation reporte des démolitions dans une colonie sauvage en Cisjordanie
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Canada: L’opposition promet de reconnaître Jérusalem comme capitale d’Israël en cas de victoire aux élections
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L’église du Saint-Sépulcre rouvre ses portes après la suspension de l’impôt
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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