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Flash info du 7 Joumada At-Thani 1439.

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Sur Ajib.fr, voici les titres.

Syrie : Je m’appelle Mohamed, Je vis à Ghouta… ceci est mon message d’adieu.
Mohamed pourrait être l’un de ces milliers d’orphelins de Ghouta. Une ville dans la ville. 400 000 âmes à Damas. Qui vivent dans l’enfer depuis sept ans. Le monde les a oubliés. Dans un autre contexte on aurait appelé cela un camp de concentration. Ou d’extermination. On l’appelle la Ghouta orientale. On les a massacrés au gaz sarin. On les a affamés. On les a bombardés et on les bombarde encore. Un seul camion d’aide alimentaire est rentré dans la ville depuis trois mois. Et la moitié des hôpitaux ont été rasés cette semaine. Mais leur foi ne peut pas être bombardée. Et ils iront probablement au Paradis si leur foi tient le coup malgré les bombes et la souffrance. Quant à nous, Allah seul sait…
Je m’appelle Mohamed. J’ai sept ans aujourd’hui. Je suis né dans un pays, dans une ville, dans un quartier en guerre. Et je vais mourir dans quelques minutes, dans ce même pays, dans cette même ville, dans ce même quartier en guerre. J’étais le plus jeune d’une famille de sept frères. Mon père Youssef et deux de mes frères Yanis et Hatem sont morts en 2013 dans un bombardement au gaz sarin. Ma mère a tellement pleuré ce jour-là que je ne l’ai plus jamais vu pleurer ensuite, comme si elle avait épuisé toutes les larmes de son corps. Elle pleurait pour ceux qui partent, mais elle pleurait aussi pour les six membres de la famille qui restaient en vie mais dont le destin était désormais scellé. Mon père était médecin.
Deux autres de mes frères sont morts de faim et de froid l’hiver suivant, Mahmoud et Ali. J’avais à peine appris à prononcer leur prénom. Quand mon frère Ali agonisait, ma mère a décidé de lui enlever sa couverture et de me couvrir avec. Pour accélérer son départ peut-être. Ou pour me sauver car j’aurais pu aussi m’en aller ce jour-là tant la nuit était glaciale. Ma mère elle n’avait plus froid, n’avait plus faim, n’avait plus mal…
Il ne me restait que deux frères avec qui jouer le printemps suivant. Amr, de deux ans mon aîné était mon exemple. Toujours au service de ma mère, toujours en train de chercher des solutions, ou plutôt des astuces, pour rester en vie un jour de plus. Lui aussi est mort, d’intoxication alimentaire pendant l’été 2016. Il a essayé de broyer du plastique puis en faire une soupe, mais ce n’était pas comestible. Il avait essayé le premier avant de nous faire goûter. Il était si fier de la couleur de son potage chimique, et avait rajouté quelques cailloux pour s’imaginer des morceaux de viande qu’il pêchait fièrement avec sa cuillère. Aucun d’entre nous n’a osé goûté. On aurait peut-être dû le faire pour partir avec lui cette nuit-là et ne plus avoir à souffrir ensuite…
Par pudeur je ne vous dirai pas ce qu’on a mangé depuis que Amr est parti. Depuis l’âge de quatre ans mon poids n’a pas bougé d’un gramme. La peau sur les os. Mon corps a appris à économiser la moindre goutte d’eau et la moindre calorie. Mes oreilles ont aussi appris à ne plus souffrir du bruit des bombes et de la destruction autour de nous. Je pèse douze kilogrammes à sept ans. C’est moins que la moyenne, mais je tiens debout c’est l’essentiel. Ou en tout cas je tenais debout jusqu’à cette bombe hier qui m’a fauché les deux jambes et éclaté les yeux. J’étais à l’hôpital. Mais l’hôpital a été bombardé. Par les Russes on dit ici. Par Bachar on dit chez vous. Qu’importe dans quelques heures je serai au Paradis inshaAllah et tout cela sera qu’un amer souvenir. Allah jugera les responsables.
Ma mère a tout sacrifié pour me garder en vie. Pour elle j’étais l’espoir d’un enfant né dans la guerre et qui vivra dans la paix. Elle me l’a promis quand je suis né. Elle ne pourra pas tenir sa promesse. Mais pour me rassurer je me dis que là-bas au Paradis, nous vivrons tous dans la paix, donc elle tiendra sa promesse. Elle aussi est morte, d’épuisement, il y a trois semaines. Je ne l’ai pas vu mourir. Mayssara, mon dernier frère, m’a raconté qu’elle était si fière d’avoir trouvé du bois pour nous chauffer après cet hiver terrible. Quelques bûches qu’elle avait trouvé par chance, mais qui auront pris ses dernières forces et l’auront tuées. Dans cette pente qui mène à notre abri de fortune. A quelques mètres de moi. Sans que je n’ai pu l’embrasser et la serrer dans mes bras une dernière fois.
Nous vivons sous quelques tôles dans les ruines du bâtiment où l’on vivait si heureux avant que je naisse. Et avant que cette boucherie ne commence. C’est mon dernier frère qui m’a ramené à l’hôpital sur son dos il y a deux jours suite à une première blessure au bras d’un éclat d’obus. Il a dû s’arrêter des dizaines de fois sur le kilomètre qui nous sépare de l’hôpital. Lui aussi est épuisé et on n’a rien mangé depuis des jours. Il pensait me sauver la vie en m’amenant au risque de sa vie à l’hôpital car le sang coulait à flot. Il m’a sauvé la vie. Mais pour deux jours seulement. Je pense à lui dans ces dernières minutes car il n’est pas mort. Il a 10 ans aujourd’hui. On dirait qu’il en a cinq à peine. Il est le seul survivant de notre famille. Je l’aime et je lui ai dit au revoir. Il porte tout l’espoir qu’un jour notre famille revivra et que la Syrie sera libérée. Un paradoxe que ce soit Mayssara, le plus fragile d’entre nous tous qui ait survécu. Ou en tout cas jusqu’à aujourd’hui.
Je vous dis au revoir à vous aussi. Priez pour nos frères. Priez pour vous-mêmes. Car notre souffrance, baignée dans le sang est bientôt finie. Il n’y aura que du bonheur ensuite. Vous n’avez pas partagé notre souffrance ici-bas. J’espère que vous partagerez notre bonheur dans l’au-delà…

Sur islam et info.fr, voici les titres.

Syrie : A La Ghouta, 400 000 civils vivent sous les bombardements des troupes de Bachar.
Des résidents désespérés piégés dans la Ghouta orientale ont attendu leur “tour de mourir” mercredi sous l’un des bombardements les plus intenses de la guerre syrienne.
Le chef des droits de l’homme de l’ONU, Zeid Ra’ad Al-Hussein, a décrit l’agression des forces du régime syrien comme une “monstrueuse campagne d’anéantissement” contre le territoire contrôlé par l’opposition aux abords de Damas.
Au moins 310 personnes ont été tuées dans le district depuis dimanche soir et plus de 1 550 blessées, a annoncé l’Observatoire syrien des droits de l’homme. Au moins 38 personnes sont mortes mercredi.
Le Secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a appelé à un arrêt immédiat des combats afin de permettre l’acheminement de l’aide aux personnes dans le besoin et l’évacuation des blessés.
Le bombardement a signifié que les 400 000 personnes piégées dans la région “vivent un enfer sur Terre”, a déclaré M. Guterres au Conseil de sécurité.
“Nous attendons notre tour de mourir. C’est la seule chose que je peux dire “, a déclaré Bilal Abu Salah, 22 ans, dont la femme est enceinte de cinq mois dans la plus grande ville de la Ghouta orientale Douma.
“Presque toutes les personnes qui vivent ici vivent dans des abris maintenant. Il y a cinq ou six familles dans une maison. Il n’y a pas de nourriture, pas de marché », a-t-il déclaré à Reuters.
Des images de l’intérieur de la zone ont montré des hommes fouillant dans les décombres des bâtiments détruits, transportant des gens endoloris à l’hôpital et recroquevillés dans des rues jonchées de débris.
Un médecin travaillant dans la région a déclaré à la BBC que la situation est “catastrophique”.
“Nous n’avons rien – pas de nourriture, pas de médicaments, pas d’abris”, a déclaré le Dr Bassam.
“Peut-être que chaque minute nous avons 10 ou 20 frappes aériennes … Je vais traiter quelqu’un – et après un jour ou deux, ils reviennent, blessés à nouveau.”
Il a dit que la communauté internationale avait abandonné les gens qui y vivaient.
La Ghouta orientale, un district agricole densément peuplé, est la dernière grande zone proche de la capitale encore sous contrôle rebelle. Elle est assiégée par les forces du régime depuis des années.
Egypte : Rodaina, 4 ans, violée et massacrée par son agresseur de 16 ans.
A l’instar de ce qui s’était produit au Pakistan avec la petite Zainab Ansari, une fillette de quatre ans a été récemment violée et assassinée dans un village égyptien Un meurtre barbare qui a suscité l’indignation.
Rodaina Abdou, originaire d’un village du gouvernorat de Menoufia, au nord de l’Egypte, a été brutalement violée et “massacrée” par son violeur.
Les résidents de la région ont déclaré que le père a signalé que sa petite fille avait disparu le samedi midi et a commencé à la chercher dans les maisons voisines, mais en vain. Par coïncidence, les villageois ont trouvé “des traces de sang” à l’extérieur de la maison d’un des résidents. L’homme était «confus» lorsque les villageois ont posé des questions sur la fille, qu’il avait nié avoir vu ou avoir dans sa maison.
Cependant, les habitants du village ont insisté pour fouiller sa maison. Après les avoir finalement laissés entrer, les résidents «ont trouvé des restes de sang sur un lit», qu’il prétendait être d’un chat. Non convaincu de sa version de l’histoire, les résidents ont fait pression afin que l’homme dise la vérité.
Son fils de 16 ans a finalement avoué le crime, disant qu’il avait pris la fille de l’extérieur de sa maison et l’avait incitée à jouer avec son téléphone portable. Il a ensuite tenté de la violer, mais a échoué. Par peur de se faire prendre, il a cogné sa tête avec une pierre jusqu’à ce qu’elle perde connaissance. Il l’a ensuite «massacrée avec un couteau» et a jeté son corps dans une boîte, avant de le cacher dans le sous-sol.
L’enquête a montré que les traces de sang trouvées à l’intérieur de la maison de l’agresseur appartenaient à la jeune fille.
L’agresseur a avoué son crime aux policiers, qui l’ont renvoyé au bureau du procureur pour qu’il reprenne le dossier. La justice a autorisé les funérailles de l’enfant.
Syrie : des centaines de combattants pro-Assad viennent aider le YPG Kurde contre la Turquie.
Un convoi de combattants pro-gouvernementaux est entré mardi dans la région d’Afrin en Syrie pour soutenir les combattants kurdes combattant l’armée turque, mais a immédiatement été pris sous le feu de l’artillerie.
La télévision d’Etat syrienne a montré une vidéo du convoi de forces progouvernementales déployées pour aider à repousser l’assaut turc contre les combattants YPG kurdes.
“Le gouvernement syrien a répondu à l’appel du devoir et envoyé des unités militaires ce jour-là … se déployer le long de la frontière et participer à la défense de l’unité du territoire et des frontières syriennes”, a déclaré le porte-parole du YPG, Nouri Mahmoud.
La télévision d’état a montré environ 20 véhicules avec des armes lourdes entrant dans Afrin. Des dizaines d’hommes armés étaient à bord des véhicules brandissant des drapeaux syriens et scandant des slogans pro-gouvernementaux.
Rami Abdel Rahman, chef de l’Observatoire syrien des droits de l’homme, a confirmé que “des centaines de combattants sont entrés dans la région d’Afrin mardi après-midi”.
Les forces turques ont tiré des “coups de semonce” sur les combattants soutenus par Damas alors qu’ils pénétraient dans la région vers la ville d’Afrin mardi.
Mevlut Cavusoglu, ministre turc des Affaires étrangères, a déclaré lundi que son armée riposterait si les forces pro-Assad intervenaient à Afrin pour aider les YPG.
Bahreïn : 5 ans de prison pour un militant ayant critiqué la guerre au Yémen de l’Arabie Saoudite sur Twitter.
Un tribunal de Bahreïn a condamné le militant politique Nabeel Rajab à cinq ans de prison, pour ses commentaires en ligne dénonçant le rôle de l’Arabie saoudite dans la guerre au Yémen et pour avoir critiqué les abus dans son pays.
Le Centre des droits de l’homme de Bahreïn a déclaré mercredi que Rajab avait été reconnu coupable “d’avoir répandu de fausses rumeurs en temps de guerre”, “offensant un pays étranger” et “insultant un organe statutaire” tel que codifié dans le code pénal bahreïnite.
Les accusations de Rajab comprennent un message sur les médias sociaux le 26 mars 2015, le jour où l’Arabie Saoudite a lancé l’invasion du Yémen. Son poste a critiqué les guerres qui «apportent la haine, la destruction et les horreurs».
Dans un communiqué, Dimitris Christopoulous, président de la Fédération internationale des droits de l’homme (FIDH), a déclaré que la “condamnation scandaleuse” de mercredi “contribue à fermer davantage les libertés pour la société civile et les manifestations pacifiques à Bahreïn”.
“Nabeel Rajab n’est pas un criminel, il est un éminent défenseur des droits humains et un prisonnier politique”, a déclaré Christopoulos.
Lui et son organisation ont appelé le gouvernement bahreïnite à «libérer immédiatement» Rajab et d’autres militants des droits de l’homme en détention.

Sur saphirnews.com, voici les titres.

Christiane Taubira à Mennel Ibtissem : La France, « c’est votre pays. Ne vous le faites pas voler ».
Moins de deux semaines après avoir quitté l’aventure The Voice, Mennel Ibtissem a annoncé être en préparation de son premier album. Christiane Taubira s’est exprimée dans une lettre ouverte publiée jeudi 22 février sur sa page Facebook afin de soutenir l’artiste après le tourbillon de critiques auquel elle a dû faire face. Saphirnews choisit de publier in extenso sa tribune.
Chère Mennel,
L’affaire dure. Je l’ai découverte tardivement, du fait de déplacements successifs hors de France. Je pourrais en rire et railler, voilà, dès que je m’éloigne, ce pays s’égare. Mais cette histoire ne donne guère envie de plaisanter.
D’abord l’essentiel : votre voix, imbibée d’émotion et de chaleur, est pleine de personnalité. Et cette interprétation que vous donnez d’« Hallelujah » est un enchantement. Leonard Cohen la chantait divinement dans ses récentes années. Jamais la spiritualité et la sensualité ne furent mêlées dans une voix et un corps d’homme avec autant de grâce et de puissance. Comme un vin de glace ou un rhum vieux qui aurait fait mine de s’être assoupi dans un fût de chêne ou de wapa d’Amazonie. Il chante, implore, exalte et sublime. « Dance me to the end of love » s’en approche, mais « Hallelujah » transcende tout, si merveilleusement. Et que vous, si jeune, rendiez un tel hommage à cet immense poète, si tendre, si triste, si raffiné et qui nous demeure si indispensable, donne envie de renouer avec un optimisme d’essence et d’existence.
Chaque fois que je vais au Canada, je ramène un recueil de ses poèmes que j’achète en librairie à Montréal, Québec ou Ottawa ; et comme je les ai déjà tous, je les offre. Vous l’avez probablement vu ou entendu chanter « The Partisan ». Leonard Cohen fait partie de mes grandes amours des années 1970, du temps de mes études universitaires. Ce fut d’abord « Suzanne », évidemment, puis le temps passant, je l’ai poursuivi de concert en concert. Vous avez-vu comme il tient son micro lorsqu’il interprète « So long, Marianne », tout en joie et en mélancolie ? Et ce solo de violon… Nous imaginons, vous et moi, ce que donnerait, en notes plus graves, un solo de oud ou un duo violon-oud.
Mais revenons à l’hystérie.
On vous reproche votre « turban », disent-ils. Il vous sied délicieusement, sans rien dissimuler de votre beauté encore en éclosion. Ils vous reprochent de chanter en arabe… incultes, ils ne savent pas finir la phrase : en arabe, la chanson d’un Juif, magnifique. Quelle somptueuse audace, et quelle promesse pour notre monde !
On vous reproche des tweets passés. Vos références intellectuelles étaient loin d’être recommandables. Je ne me situe pas dans le champ moral, il est le moins fécond. Sur le plan philosophique d’une conception de la vie, du rapport à l’autre, de l’exigence envers soi-même, d’une vision de la socialité possible et souhaitable, ces deux références sont simplement indigentes et lamentables. Manifestement fourbes, parfois immondes. Ils ne sont pas les seuls. Le souci, c’est la fascination qu’ils parviennent à exercer sur de jeunes esprits, même brillants. C’est cela le seul sujet, pour nous autres adultes.
Vous vous êtes excusée et vous avez bien fait. N’en ayez surtout aucun regret, c’est votre hauteur. Et tant pis si les fâcheux eurent le dernier mot sur les pusillanimes et les commerciaux. Ce n’est qu’un avant-dernier mot. Le dernier, c’est vous qui l’aurez si vous décidez qu’il vous revient de tracer vous-même votre chemin de vie.
Les seules personnes que vous devez avoir à l’esprit sont les familles et les proches des victimes de l’attentat à Nice ainsi que celles du père Jacques Hamel. Il y a tout lieu de croire, pour ce que nous savons de sa bonté, que lui aurait su vous offrir une écoute et vous dire en quoi vous faites gravement erreur. Vos excuses sont la marque de votre dignité. Elles ne doivent pas vous exonérer d’une vigilance sur la sensibilité des autres, sur les plaies qui ne referment pas, sur ces cicatrices qui saignent et saigneront encore, selon les mots du poète Antara.
Le philosophe Emmanuel Levinas confiait que son père, s’adressant à ses fils, les adjurait de s’installer en France, c’est là qu’il faut aller vivre, dans ce pays où l’on est capable de se déchirer pour l’honneur d’un capitaine juif, le capitaine Dreyfus. Tant d’agressions antisémites, de défiance et d’injures à l’encontre des musulmans, d’actes et de propos racistes, de déchaînement xénophobe, de résurgence homophobe, d’arrogance sexiste, laisseraient accroire que ce temps est révolu, que l’intolérance règne sans partage. En attestent les victoires des pleutres à pseudonymes, aux doigts fébriles sur leurs claviers. Il n’en est rien. La France reste une terre de passion et de générosité, elle est une béance du monde d’où surgissent, toujours vives, des querelles et des fureurs qui n’ont jamais su dissoudre ses ardeurs fraternelles. C’est bien là qu’il faut vivre. Et d’abord, c’est votre pays. Ne vous le faites pas voler.

Sur oumma.com, voici les titres.

Tariq Ramadan reste en prison.
Tariq Ramadan, qui avait fait appel de son placement en détention provisoire, dormira ce soir encore en prison.
La justice a en effet décidé ce jeudi, au cours d’une audience à huis clos et en l’absence de l’islamologue genevois qui, selon l’AFP, a refusé de comparaître devant la cour d’appel de Paris, de son maintien en détention provisoire.
L’ expertise médicale qui avait été ordonnée, jeudi dernier, par la chambre de l’instruction, afin de statuer sur la recevabilité de son appel, ayant abouti à la conclusion que son état de santé n’est pas incompatible avec son incarcération.
La présence d’Israël au Qatar, à un tournoi international de handball, suscite un tollé.
Au Qatar, pays organisateur du Championnat du monde des écoles de handball, la présence d’Israël, à travers des équipes de jeunes garçons et filles, âgés de 15 à 18 ans, dérange grandement, au point de soulever une houle d’indignation sur les réseaux sociaux.
Les appels à refuser de faire le jeu d’un Etat d’Apartheid se multiplient et se font toujours plus pressants, exhortant les Qataris à se dresser contre cette normalisation insidieuse des relations entre leur émirat et la chimérique « seule démocratie du Proche-Orient ».
Encouragés à retirer leurs enfants de la compétition en signe de leur plus vive protestation, les habitants de Doha, qu’ils soient des parents de handballeurs en herbe ou des passionnés de ce sport collectif, sont incités à ouvrir les yeux sur les grandes manœuvres de la géopolitique qui, en l’espèce, se sont sournoisement déplacées sur le terrain du sport.
« Je demande à tous les parents de retirer leurs enfants et de les empêcher de participer à cette normalisation des relations », a commandé un internaute, alors qu’un autre lançait au même moment : « Maintenant, il est temps de parler à vos enfants de la Palestine ». Un twittos s’est fait fort d’enfoncer le clou : « la présence d’Israël à ce tournoi, c’est le signe de la reconnaissance de l’occupant israélien par Doha ».
Le mouvement de la Jeunesse du Qatar opposée à la normalisation ( QAYON) leur a rapidement emboîté le pas. Le hashtag, à l’intitulé tout trouvé « les Etudiants du Qatar contre la normalisation », a vu le jour, faisant florès grâce à la couverture du réseau satellitaire arabe Al-Jazeera de Doha.
De son côté, un journal local très lu s’est chargé d’amplifier la contestation en listant, dans ses colonnes, tous les pays participant au championnat, à l’exception d’Israël qu’il a soigneusement occulté, tandis que les responsables de la Fédération internationale du sport scolaire (ISF) annonçaient que le drapeau israélien ne serait pas hissé lors de la cérémonie d’ouverture.
Selon Christopher Davidson, professeur de sciences politiques à l’université de Durham, spécialisé dans le monde arabe, le Qatar devra jouer serrer à l’approche du Mondial de Football, en 2022, pour faire accepter à sa population et à l’opinion publique arabe ce qu’elles jugent inacceptable dans leur ensemble : la présence d’Israël.
« Ce sera très, très difficile », prédit cet expert, en faisant observer le fossé qui existe à ce sujet entre le peuple arabo-musulman et ses élites et risque fort de se creuser à l’occasion de la grand-messe du ballon rond.
Londres: la “meilleure pâtissière” répond à un islamophobe, furieux contre les portes ouvertes des mosquées.
Sacrée reine des saveurs sucrées au royaume de Sa Gracieuse Majesté, Nadiya Hussain, la première lauréate voilée du grand concours télévisuel organisé en 2015 par la BBC, n’excelle pas seulement dans l’art de manier le rouleau à pâtisserie, elle a aussi un sens inné de la répartie qui fait mouche sur Twitter.
La meilleure pâtissière de la Couronne britannique qui croule sous les honneurs depuis sa consécration sur le petit écran, jusqu’à avoir été choisie par la Reine Elisabeth II pour confectionner un délicieux cake au zeste d’orange pour son 90ème anniversaire, régale avec le même bonheur les papilles de ses concitoyens et les twittos friands de ses posts acidulés ou vitriolés…
C’est avec gourmandise que ses nombreux fans, musulmans et non musulmans, dévorent ses commentaires toujours pleins d’à-propos, qui répondent du tac au tac aux esprits chagrins et autres islamophobes de tous poils.
Ainsi, le 17 février, la nouvelle icône du multiculturalisme britannique, originaire du Bangladesh où elle a fait un retour aux sources émouvant et enrichissant, dans le cadre de l’émission qui porte son nom « Les chroniques de Nadiya », a cloué le bec à un internaute qui fulminait contre l’ouverture au grand public de 200 mosquées, à l’occasion de l’opération « Visit my Mosque Day ».
« Je n’y mettrai jamais les pieds, même si j’étais payé pour le faire ! Et il est hors de question que mes enfants y aillent ! », a éructé de rage un inconnu, retranché derrière son écran, qui aurait été mieux avisé de se taire.
Car c’était sans compter Nadiya Hussain, et sa réplique bien sentie et bien envoyée : « C’est une honte ! Nous élevons des enfants musulmans et ils aiment aller à l’église pour assister aux offices religieux. Cela leur permet d’apprécier leur propre religion, ainsi que les autres religions autour d’eux. Vous savez qu’ils (vos enfants ndlr) ne se transformeront pas en musulmans s’ils y vont (dans les mosquées), n’est-ce pas ? »

Sur tribune lecteurs.com, le journal d’algérie, voici les titres.

Abdelhamid Si Afif reçoit M. Santiago Cabanas, ambassadeur du Royaume d’Espagne à Alger : Un partenariat privilégié.
LE PEN RECONNAIT DANS SES MÉMOIRES QUE L’ARMÉE FRANÇAISE A BIEN PRATIQUÉ LA TORTURE EN ALGÉRIE : L’AVEU !.
Visite officielle d’Abdelkader Messahel en République de Biélorussie : Divers domaines de coopération évoqués.
Grève de l’intersyndicale de l’éducation : Un taux de suivi de 70 %.

Sur le muslim post.com, voici les titres.

Syrie : après les bombardements, la Ghouta, «un autre Srebrenica»?
L’armée de l’air syrienne bombarde depuis plusieurs jours maintenant l’enclave rebelle de la Ghouta près de Damas. L’OSDH a comptabilisé au moins 250 civils tués depuis dimanche. La journée de lundi représente le plus lourd bilan de pertes civiles en un jour dans les combats dans cette région depuis le début de 2015, selon l’organisation.
Depuis les hôpitaux sont saturés et l’ONU a annoncé mardi soir que six hôpitaux de la Ghouta avaient été bombardés en quarante-huit heures. Trois sont désormais hors service et deux fonctionnent partiellement.
Les bombardements de civils « doivent cesser maintenant », a demandé le coordinateur de l’ONU pour l’aide humanitaire en Syrie (mais hier encore, les bombardements ont causé la mort de 24 civils selon l’OSDH).
« La situation humanitaire des civils dans la Ghouta orientale est totalement hors de contrôle. Il est impératif de mettre fin immédiatement à cette souffrance humaine insensée », a t-il ajouté.
Même réaction pour le Fonds des Nations unies pour l’enfance (Unicef), qui a également exprimé sa colère dans un communiqué intitulé « Pertes humaines massives », et ce en une seule phrase seulement : « Aucun mot ne rendra justice aux enfants tués, à leurs mères, leurs pères, à ceux qui leur sont chers. »
Mais malgré les régulières déclarations politiques officielles d’indignation, les menaces de « lignes rouges » brandies, l’absence de réactions, de réponses concrètes et la paralysie de la communauté internationale ne passe plus. Dans la presse, de nombreux journaux comparent la situation actuelle de la Ghouta à celle de Srebrenica, durant la guerre de Bosnie en juillet 1995.
« Encore une fois, les Nations unies sont impuissantes »
Dans une tribune, The Guardian titre : « La Ghouta orientale est un autre Srebrenica, et nous détournons le regard une fois encore. »
« A Srebrenica, quelque 8 000 hommes et adolescents musulmans furent massacrés en quelques jours. (…) Le tribunal pénal pour l’ex-Yougoslavie a plus tard déclaré que ces crimes constituaient un génocide. (…) La communauté internationale savait pourtant très bien ce que le général Radko Mladic (commandant en chef de l’armée de la République serbe de Bosnie) était en train de faire, et qu’un massacre était imminent. Elle a détourné le regard. L’agonie de la Ghouta orientale (…) est plus lente mais ignorée de la même façon. Encore une fois, des civils, dont de nombreux enfants, sont massacrés. Encore une fois, les pouvoirs occidentaux, avec des forces présentes dans le pays, refusent d’intervenir. Encore une fois, les Nations unies sont impuissantes », rappelle le journaliste Simon Tisdall.
La chaîne américaine CNN a elle aussi repris cette comparaison : « Après trois ans d’horreur en Bosnie, il a fallu le massacre de Srebrenica pour pousser l’Occident à passer à l’action contre les Serbes de Bosnie. Au moins, la communauté internationale avait mis fin au conflit en Bosnie au bout de quatre ans. Mais après sept ans de conflit sanglant, le conflit syrien continue. Et l’échec à y mettre fin signe la faillite de la diplomatie internationale », analyse t-elle.
Mais ce silence suscite aussi l’incompréhension de la population directement concernée. Dans un article du Monde, une femme dont la maison à été bombardée ainsi que celle de ses beaux-parents témoigne via WhatsApp. « Il fait très froid, on ne dort pas, on ne mange pas, nos enfants n’ont pas de lait », explique t’elle, avant d’interroger: « Frères musulmans, où êtes-vous ? Que fait le monde ? ».
Guerre au Yémen : la France complice de la coalition saoudienne.
Plus de vingt millions de personnes en danger et sept millions d’habitants menacés par la famine faute d’accès à une aide humanitaire rapide. Le constat date de plusieurs mois et pourtant, au Yémen, rien ne bouge. L’Organisation mondiale de la Santé (OMS), l’Unicef et le Programme alimentaire mondial (PAM) sont pourtant unanimes : « Des milliers de victimes innocentes, et parmi elles de nombreux enfants, vont mourir » les associations humanitaires ne peuvent agir sur le sol yéménite. Nous sommes, dans ce pays, face à « la plus grande crise humanitaire au monde », estiment même les Nations Unies.
Dans ce pays où un enfant meurt toutes les dix minutes de maladies pouvant être évitées, l’ONG chrétienne contre la torture et la peine de mort ACAT pose la question de la responsabilité de la France dans cette tragédie. « Alors qu’elle appelle à une solution pacifique du conflit, la France continue d’approvisionner l’Arabie saoudite et les Emirats arabes unis en armes », déplore l’ONG qui accuse : « D’une main elle caresse, de l’autre elle jette de l’huile sur le feu. »
ACAT France regrette le fait que les autorités françaises ne demandent pas des garanties à leurs clients. Si les armes françaises étaient utilisées au Yémen, l’Hexagone contreviendrait au droit international : « De sérieux doutes planent sur la conformité de ces ventes au Traité sur le commerce des armes dont la France a été un des fers de lance, ainsi qu’à la Position commune de l’Union européenne définissant des règles sur les exportations d’armes », estime l’ONG chrétienne.
ACAT estime par ailleurs que la position de la France n’est pas claire, alors que d’autres pays — l’Allemagne, la Norvège et le Canada — ont pris conscience de la tragédie qui se joue au Yémen et limité leurs ventes d’armes aux pays de la coalition qui bombarde chaque jour ce pays. « La mobilisation citoyenne a conduit les gouvernements à prendre conscience de l’illégalité et des conséquences humaines potentiellement désastreuses de leurs exportations d’armes à la coalition dans le conflit au Yémen », assure l’ONG qui demande, en France, « d’ouvrir un vrai débat démocratique sur le sujet. »
L’organisation chrétienne demande aux citoyens de s’adresser aux députés car, « de cette façon, nous multiplions nos chances de faire la lumière sur les ventes d’armes françaises à l’Arabie Saoudite et aux Emirats arabes unis. »
France : Gilles Clavreul livre un rapport sur la laïcité qui « manque de rigueur ».
Le Figaro nous promettait des « propositions choc », mais le rapport remis par Gilles Clavreul au gouvernement ne restera finalement pas dans les annales, tant il est approximatif et ne fait que servir l’idéologie de son auteur, un proche du Printemps républicain et de Manuel Valls. Ce rapport, intitulé « Laïcité, valeurs de la République et exigences minimales de la vie en société, des principes à l’action » succède à une note consacrée à la « mouvance décoloniale » réalisée pour la fondation Jean Jaurès, dont la méthode semblait elle aussi peu académique.
L’ancien patron de la DILCRAH, aujourd’hui secrétaire général du ministère de l’Intérieur, fait quinze propositions dans son dossier d’une quarantaine de pages, parmi lesquelles celle d’intégrer la laïcité dans les épreuves du BAFA ou encore celle de former tous les agents de l’Etat à la laïcité à l’horizon 2020.
Le document a fait bondir l’Observatoire de la laïcité. Car c’est ce dernier qui a recommandé la rédaction de ce rapport pour améliorer « la coordination des actions des administrations de l’Etat et des collectivités locales » et, selon lui, Gilles Clavreul est totalement hors-sujet. L’auteur du rapport ne fait qu’un rappel de la laïcité et, surtout, fait des propositions qui montrent la méconnaissance du préfet en la matière : l’Observatoire de la laïcité cite pas moins de quatre propositions faites par Gilles Clavreul qui ont… déjà été mises en application.
Parmi celles-ci, la proposition n°11 du rapport, de « créer un site internet public consacré à la laïcité. » L’Observatoire de la laïcité rappelle également que les associations subventionnées doivent signer une charte de la laïcité de la Caisse nationale des allocations familiales, une proposition écrite noir sur blanc dans le rapport. En ce qui concerne la formation au BAFA, on y parle déjà de laïcité, suite à un décret.
Jean-Louis Bianco, président de l’Observatoire de la laïcité, écrit qu’il « regrette le manque de rigueur méthodologique » de ce rapport et « la méconnaissance d’actions déjà mises en œuvre par les pouvoirs publics. » Gilles Clavreul pourra toujours se consoler en se disant que ses propositions n’étaient pas si mauvaises que cela, puisque certaines d’entre elles ont déjà été mises en œuvre.
france : ne Jeanne d’Arc trop bronzée réveille les identitaires orléanais.
Elle s’appelle Mathilde Edey Gamassou et a été choisie pour incarner Jeanne d’Arc lors des fêtes johanniques d’Orléans. Les tenants de la droite identitaire — les mêmes qui sont certainement persuadés que Jésus était blanc aux yeux bleus — trouvent que cette jeune femme est trop bronzée pour représenter la pucelle d’Orléans, qui avait reçu la mission de délivrer la France de l’occupation anglaise.
Depuis l’élection de Mathilde Edey Gamassou, c’est un torrent de propos racistes et d’injures qui est déversé sur les réseaux sociaux. Une séquence terrible pour l’adolescente de seulement 17 ans, qui a des origines béninoises et polonaises. La jeune fille a été choisie parmi deux-cent-cinquante autres candidates pour incarner l’Orléanaise lors d’une célébration de la victoire de Jeanne d’Arc en avril 1429 sur les Anglais.
Face au flot d’insultes, Mathilde Edey Gamassou a reçu plusieurs messages de soutien, dont celui de la secrétaire d’Etat chargée de l’Egalité entre femmes et hommes, Marlène Schiappa, qui rappelle que « Jeanne d’Arc n’appartient pas aux identitaires » et « l’histoire de France non plus. » Marlène Schiappa ajoute que « la haine raciste de la fachosphère n’a pas sa place dans la République française. »
Du côté des organisateurs, le choix ne semble pas remis en question : « En 2018 comme depuis 589 ans, le peuple d’Orléans célèbre Jeanne d’Arc par une jeune femme qui évoque son courage, sa foi et sa vision. Mathilde possède toutes ces qualités », explique la présidente du comité Jeanne d’Arc alors que le maire d’Orléans ajoute que « cette jeune fille a été choisie pour ce qu’elle est, une personnalité intéressante et un esprit bien fait. »
« Elle répond aux quatre critères de choix que nous nous sommes fixé : résider à Orléans depuis dix ans, être scolarisée dans un lycée orléanais, être catholique et donner du temps aux autres », rappellent les organisateurs. L’extrême droite, qui voit dans ce choix une transformation de l’histoire « un récit où ce seront les Arabes et les Noirs qui ont fait l’histoire de France depuis les débuts », peut donc se rassurer : leur Jeanne d’Arc 2018 est bel et bien catholique, à défaut d’être blanche.
Les écoles musulmanes dans le viseur des sénateurs.
Elles ne représentent que 4 % des écoles hors contrat : les écoles musulmanes sont de plus en plus nombreuses mais encore très minoritaires par rapport aux écoles catholiques (25 %) et même juives (6 %).
En 2015, le directeur de l’institut Ibn Badis de Nanterre, Sabar Kabbouchi, expliquait que « l’école publique malheureusement ne correspond plus à l’attente des familles pour beaucoup de choses. On a vu la polémique par rapport au repas sans viande dans les établissements scolaires alors qu’on ne demande pas de viande halal. On demande juste à ce que les enfants puissent choisir. Même chose pour la discrimination de l’entrée dans l’établissement des jeunes filles collégiennes qui portent leur voile. Ça a provoqué une prise de conscience collective dans la communauté. »
Mais une proposition de loi, faite par les sénateurs et soutenue par le ministre Jean-Michel Blanquer, vise à mieux contrôler les écoles hors contrat. Cette proposition, portée par la sénatrice UDI Françoise Gatel, vise bien toutes les écoles libres, mais cible sans vraiment le dire les écoles musulmanes. La sénatrice l’avoue d’ailleurs en prenant pour exemple le cas d’une école à Toulouse : « Le cas de l’école coranique de Toulouse a montré l’impuissance totale de l’Etat. On est dans un pays qui s’indigne de la radicalisation. Comment rester inactif ? », demande Françoise Gatel qui cite un établissement dont la fermeture avait été demandée en décembre 2016 par le tribunal correctionnel pour « non-respect de l’enseignement du socle commun de l’Education nationale. » L’école avait finalement obtenu de la part de la justice l’annulation de cette fermeture en l’absence de motivations du rectorat.
Le texte de loi proposé par la sénatrice centriste prévoit de simplifier et mieux encadrer le régime d’ouverture des établissements privés hors contrat. Le texte sera étudié jusqu’à aujourd’hui au Sénat. Selon François Gatel, l’administration dispose de « motifs trop restreints pour garantir aux enfants une instruction de qualité et prévenir les dérives potentielles (risque de radicalisation, insuffisance pédagogique…). »
La précédente ministre de l’Education, Najat Vallaud-Belkacem, avait déjà tenté, sans succès, de freiner l’élan des écoles musulmanes hors contrat, alertée par de plus en plus de signalements « de citoyens et élus locaux inquiets de voir se développer en France des embrigadements idéologiques. » Mais viser exclusivement les écoles musulmanes aurait signé l’arrêt de mort de la proposition de loi. François Gatel veut donc s’attaquer à tous les établissements alternatifs : la droite semble d’accord avec la sénatrice concernant l’encadrement strict des écoles musulmanes mais risque de ne pas apprécier que les écoles catholiques soient elles aussi dans le viseur de l’Etat.

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

Hamas: le discours d’Abbas devant le Conseil de sécurité est en dessous du niveau requis
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Le mouvement de la résistance islamique Hamas a dit que le discours du président Mahmoud Abbas devant le Conseil de sécurité en dessous du niveau requis, ne reflète pas la position nationale pour mettre fin à Oslo, et que l’initiative ne représente pas la position nationale.
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Des colons tuent des moutons et agressent des agriculteurs à Naplouse
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Le passage de Rafah soudainement fermé après une journée d’ouverture
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Blessés et arrestations suite à la répression d’une manifestation de solidarité près d’Ofer
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6 soldats sionistes blessés près de Gaza
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La mort d’un jeune palestinien arrêté par les forces d’occupation aujourd’hui à l’aube
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ARIJ : Les restrictions sur le mouvement des citoyens visent à les humilier
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Rassila Shamasne en grève de la faim depuis 18 jours à Ofer
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L’occupation tire sur les agriculteurs à l’est de Khan Younis
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Le ministre des Affaires étrangères du Qatar discute avec le Mufti de Jérusalem
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Raids et arrestations en Cisjordanie occupée
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Installation de maisons mobiles dans la colonie d’Amihai au détriment d’un village palestinien
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Qabha exige l’arrêt immédiat de la honteuse
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Abou Zouhri: Abbas devrait changer ses convictions sur le projet de paix
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20 Palestiniens arrêtés en Cisjordanie
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Gaza: Un Palestinien meurt des suites de ses blessures subies vendredi dernier
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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