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La place de Jésus dans l’Islam.
Pour comprendre la place de Jésus (sur lui le salut et la paix) dans l’Islam il faut aller à la source, revenir au Coran : message divin révélé au Prophète Mohammed (sur lui le salut et la paix).
A l’avènement de l’Islam, il y avait de nombreux sujets de division entre les différentes communautés chrétiennes (les monophystes, nestoriens, priscilliens, ariens…) se réclamant du message de Jésus. Est-il fils de Dieu ? Dieu lui-même ? Quelle place accorder à Jésus ? Dans ce contexte le Prophète Mohammed, à travers la révélation coranique, va honorer et réhabiliter Marie et préciser la mission de Jésus.
Dans l’Arabie pré-islamique, deux événements majeurs, en relation avec les chrétiens marquent le destin du Prophète : le premier, lors d’un voyage avec son oncle Abu Talib en Syrie à l’âge de 7 ans Mohammed est reconnu, à certains signes, par le moine chrétien nestorien Bahira. Le second a lieu lors de la première révélation du Coran au Mont Hira qui troubla le Prophète et c’est un chrétien dénommé Warraka, parent de sa femme Khadija, qui lui confirmera sa mission prophétique .
On peut aussi ajouter qu’au cours de la période mecquoise où les musulmans étaient oppressés le Prophète Mohammed recommande à ses compagnons d’émigrer vers l’Abyssinie chrétienne avec qui il entretenait une relation cordiale et amicale. En effet, le Négus, roi d’Abyssinie, avait entendu parler du Prophète et lu les premiers récits coraniques parlant de Jésus et Marie. Ayant été touché par la vénération et le respect avec lequel le Coran parlait de Jésus et de sa mère, il accorda sa protection aux premiers émigrés de l’Islam malgré la réprobation répétée des mécquois avec lesquels pourtant il entretenait un fructueux commerce.
A sa mort, le Prophète Mohammed réunit ses compagnons et il fit avec eux une prière dans la mosquée de Médine pour le repos de son âme. Un autre événement qui donne réfléchir sur les relations qui existaient entre les deux communautés. Lorsque la délégation du Najrân (région se situant actuellement au Yémen) arriva à Médine avec soixante personnes et à sa tête un évêque pour voir le Prophète et passer avec lui un pacte d’alliance. Voulant prier il demandèrent un lieu pour célébrer l’office. Le Prophète leur suggéra que le meilleur lieu pour prier était sa mosquée : la maison dédiée à l’adoration de Dieu. Et pour la première fois la messe sera célébrée dans l’un des lieux les plus saint de l’Islam.
On le voit, la reconnaissance et le respect de Jésus et de sa communauté existent dès le début de la mission du Prophète. Ainsi les rapports entre l’Islam et la chrétienté se trouvent dès le départ invités au dialogue et au respect mutuel.
Comme les textes le prouvent, il existait un rapport fécond, d’une grande richesse d’échanges tant du point de vue intellectuel, artistique, commercial et spirituel, malgré les affrontements d’intérêts politiques, économiques, qui jalonnent l’histoire, chacun utilisant ses références religieuses et dogmatiques pour justifier sa domination. Ce bref aperçu évoqué, quel regard porte le musulman ouvert et sincère sur Jésus (Sidna Aissa) très souvent associé à Marie (Myriam) ?
Il est considéré comme un être spirituel exceptionnel. Exception confirmée par le Prophète quand il annonce le retour de Jésus pour les temps messianiques où la paix, la justice, l’égalité triompheront enfin sur terre.
Donc dans la conscience musulmane le retour de Jésus est une espérance. C’est la fin d’un cycle apocalyptique au cœur duquel se trouvent les germes du renouveau. Dès lors les hommes s’uniront pour oeuvrer au bien de l’humanité et terrasser le mal.
Ce que je viens d’évoquer, concerne l’aspect extérieur, l’aspect temporel celui lié au sens de l’histoire. Il existe un autre aspect peu connu c’est celui de la place accordée à Jésus par l’ésotérisme musulman. C’est celui relatif au verbe incarné de Dieu comme le dit le Coran sourate 4, verset 171 :
Cela signifie qu’il est intemporel. II ne peut être ni cerné, ni connu, ni localisé. Le message spirituel de Jésus ne peut pas se révéler à celui qui ne va pas à la source même d’où émane cette réalité divine. Dans l’ésotérisme musulman (Tacawwuf – soufisme), il y a des stations (degrés spirituels) pour chaque prophète évoqué dans la Bible, et dans le Coran. La station de Jésus est particulière et parmi les plus élevées. Son enseignement délivre une spiritualité pure sans lien déterminé dans le temps et dans l’espace.
Cette réalité se révèle à celui qui fait l’effort soutenu d’arriver à cette station, à ce maqqam de Sidna Aïssa (Jésus). Celui-ci, délivre un message extraordinaire : la force de l’amour à puissance sur tout. Par sa naissance Jésus nous apprend que les lois physiques, et temporelles qui gèrent la création peuvent être bouleversées voire inversées par le divin, telle la résurrection des morts. Notre conception du divin se référant uniquement aux lois qui gèrent le monde manifesté est si limitée, qu’elle nous empêche de comprendre la mission de Jésus et sa station. De ce fait, son message demeure inconnu pour le plus grand nombre.
Pour les soufis, Jésus est l’émanation ou la démonstration physique que l’être par une voie initiatique peut retrouver l’essence universelle qui donne équilibre et harmonie au monde manifesté, mystère de la création. L’avènement du message mohammadien vient confirmer et révéler dans sa profondeur le contenu du message christique. Comme le dit le prophète Mohammed « Nul n’est plus en droit de se réclamer de Jésus et Marie que moi-même, car entre lui et moi il n’y a aucun prophète ». Ainsi le message rnohammadien devient le miroir révélateur de Jésus car entre les deux prophètes il n’y a aucune altération, aucune rupture. C’est donc dans l’équilibre entre ses deux pôles que le mystère de la vérité se dévoile à l’homme.
Ce qu’on peut encore retenir du message de Jésus c’est que les valeurs matérielles du monde ne sont que l’ombre trompeuse des illusions qui nous égarent et exacerbent nos passions. A l’exemple de son entrée dans le temple pour le purifier, Il nous invite à se situer à la verticalité du Divin, symbole du soleil au zénith ou nulle ombre est perçue ou nulle illusion est permise. Par-là, l’homme est habité par l’esprit divin. Quant à Mohammed, il apporte lui l’équilibre de l’horizontalité, symbole du serviteur qui accepte totalement son appartenance au divin. Il se confie à Lui, et assume cette responsabilité d’en être le témoin dans le monde. Ainsi l’homme habité par le divin, réalise et manifeste l’état parfait de l’homme universel.
Selon l’ésotérisme musulman si Jésus de par sa naissance échappait aux lois physiques de la vie, sa mort devrait aussi échapper à celle de tout un chacun. Car il existe une réciprocité. Pour les musulmans en général et les soufis en particulier Jésus a été élevé à Dieu, n’étant d’ailleurs pas le seul puisque d’autres prophètes sont dans le même cas : Elie, Idris, Enoch, … Cette élévation est une occultation mais aussi une présence, une permanence.
Il était, n’est plus mais personne ne peut dire où il se trouve, ou qu’il n’existe plus. On ne peut le situer dans l’espace ou dans le temps, sans nier sa présence. Si on lui assigne une place, un rôle, une fonction même la plus sacrée, elle demeure en dessous de la vérité qu’il incarne car le message spirituel de Jésus est élevé et intemporel. Mais chacun par une démarche intérieure de purification, d’humilité, de pardon, d’amour peut retrouver l’essence de ce message, son parfum et sa béatitude.
J’ajoute qu’on pourrait aussi qualifier le message de Jésus de radical. Il ébranle la forteresse des croyances, des dogmes, des certitudes… notre conception limitée des choses de ce monde, qui n’ont de réelles valeurs qu’en étant rattachées à l’essence, à Dieu. Sans ce rattachement, les pouvoirs, les savoirs, les connaissances ne sont qu’illusoires. Le message de Jésus ne se comprend et ne se vit que dans l’amour absolu intransigeant et décapant.
Cette vertu, cet état d’être sont très difficiles à concevoir et à réaliser. Il suffit de voir comment nous vivons. Le constat est affligeant ! Quelles sont les valeurs qui déterminent notre époque ? Jésus est le verbe divin et les valeurs qu’il enseigne ne sont pas celles sur lesquelles reposent notre monde. Nous ne comprendrons son message et réaliserons cette transformation alchimique que par la quête de ces valeurs spirituelles et chevaleresques qu’il est venu pour nous enseigner.
Un message prophétique où l’homme est prêt à se sacrifier pour le bien être d’autrui afin que la Vérité demeure parmi nous. Ainsi il triomphe de l’absurdité de son égocentrisme , il renaît et il vit dans le monde parfait de l’Essentiel.
Qui laisse croire qu’il n’existe aucune réalité, hormis celle que l’homme s’impose dans ce conflit permanent avec lui-même et avec son prochain ? Incapable de pardonner car incapable de se pardonner. Aujourd’hui nous sommes dans les situations où le message de Jésus semble d’une urgence capitale, voire vitale. Notre monde est gravement malade, seule une médecine radicale peut le soigner.
Pourquoi tant de misère et de haine, de conflits et de corruption ? Au nom de qui ? Pour servir quels intérêts ?Au nom de Dieu ? Au nom d’Allah ?… Quel est le sens d’un monde en démence où personne n’ose dire la vérité par peur d’être incapable de la vivre et d’en assumer la responsabilité et les conséquences. La vérité est exigeante comme l’est le message de Jésus. Dans l’atmosphère dramatique de notre époque qui peut concevoir que pour trouver Dieu il faut tout donner. Quel est le pays, la communauté, l’être capable de tout donner pour tout recevoir ?
Dans le monde actuel ne pas tricher avec soi-même soulève mépris, ironie et sarcasme. Pourtant nous allons vers un monde qui nous impose d’ être et non de paraître. Humain se conjugue au verbe être et non au verbe avoir. C’est à ce prix que nous pourrons résister au chaos qui nous attend.
Que Dieu accorde sa grande miséricorde à tous les innocents qui périssent par la faute de l’incompréhension et de la bêtise humaine.

Sur Mizane.info, voici les titres.

La langue arabe, de la sacralité à la créativité.
Tayeb Chouiref est docteur en islamologie à l’université de Strasbourg, spécialiste de la mystique musulmane et des sciences du hadith. Il dévoile, sur Mizane Info, quelques-uns des secrets de la langue arabe, véhicule du texte coranique.
Parlée par environ 250 millions de personnes, la langue arabe est la langue officielle de 25 États dans le monde. Mais elle est également la langue sacrée de plus d’un milliard et demi d’hommes et de femmes. Mise à l’honneur dès la période antéislamique par les fameuses « odes suspendues » (mu‘allaqât) dans le temple de la Kaaba, elle fut promue au rang de langue sacrée par la révélation coranique. Le Coran, du reste, revient souvent sur le rôle de l’arabe comme véhicule de la Parole divine. Voici quelques versets permettant de saisir ce qu’est la place de la langue arabe dans le Coran : « Ce sont là les versets du Livre explicite. Nous l’avons révélé en langue arabe afin que vous puissiez le comprendre[1] ». « Cette révélation est en langue arabe bien claire[2] ». « Révélé en langue arabe, ce Coran ne contient aucune équivoque. Peut-être seront-ils amenés à craindre [le Seigneur][3] (dans le verset il n’y a pas mention de Dieu ou Seigneur) ».
La langue arabe, véhicule de la Parole divine.
Que voulons-nous dire lorsque nous affirmons que la langue arabe, en tant que langue du Coran, possède un caractère sacré ? Lorsqu’une langue est choisie pour devenir le véhicule de la parole de Dieu, c’est-à-dire pour être la langue d’un livre révélé, cela signifie, d’une part, que la langue choisie possède certaines caractéristiques lui permettant de jouer ce rôle et, d’autre part, qu’elle va être marquée et transformée par la révélation elle-même. Tout, d’abord, la langue destinée à recevoir la Parole révélée doit être restée suffisamment « archaïque » et primordiale : Dieu choisit toujours de « parler » en une langue primordiale qui exprime les vérités les plus profondes dans les termes les plus concrets. C’est seulement plus tard que la langue sacrée acquiert une dimension abstraite et philosophique[4]. Ensuite, la langue d’un texte sacré va se préciser et s’enrichir grâce au travail des exégètes dont le rôle est de préciser le sens des mots et des tournures employées par la révélation. Ces deux phénomènes se vérifient dans le cas du Coran et donc de la langue arabe : la révélation coranique exprime effectivement les vérités spirituelles et les enseignements eschatologiques avec des termes simples et concrets.
Ismaël, le premier homme à parler l’arabe.
Quant à la dimension « abstraite et philosophique de l’arabe », elle n’est apparue qu’avec le développement du vocabulaire technique des différentes sciences islamiques comme la théologie (‘ilm al-kalâm) et la mystique (taṣawwuf). Une autre impulsion majeure fut celle initiée par la fondation de la « Demeure de la sagesse » (Bayt al-ḥikma), institution fondée à Bagdad en 832 par les musulmans afin de recueillir toutes les formes de savoir, sans partis pris, ni ostracisme. Astronomes, mathématiciens, penseurs, lettrés, traducteurs, la fréquentaient. Avec les traductions arabes d’ouvrages grecs ou syriaques qui virent alors le jour, l’arabe devint une langue scientifique majeure. De nombreux érudits de toutes origines, musulmans, chrétiens et juifs, composèrent leurs œuvres écrites dans cette langue. Selon la Tradition musulmane, le premier homme à avoir parlé en arabe fut Ismaël, le fils avec qui Abraham construisit le temple de la Kaaba et qui s’installa définitivement en Arabie. On rapporte que ce fut l’ange Gabriel qui lui enseigna l’arabe et lui enjoignit d’utiliser cette langue et de la transmettre à ses descendants. On rapporte également que l’ange Gabriel enseigna au prophète Muhammad l’arabe originel car, entre l’époque d’Ismaël et la sienne, l’arabe avait évolué et perdu de sa richesse première[5]. Du point de vue de la classification linguistique moderne, l’arabe appartient à la famille des langues sémitiques, et plus précisément au rameau méridional de ces langues, comme par exemple l’éthiopien. Quant au rameau septentrional, il rassemblait l’assyrien, le babylonien, l’hébreu, l’araméen et le syriaque.
De l’oral à l’écrit : préserver le texte coranique.
Jusqu’à l’avènement de l’islam, la langue arabe fut essentiellement utilisée pour la communication orale. La mise par écrit était rare et le système graphique n’était pas complet puisque seul le squelette consonantique s’écrivait. En conséquence, certaines consonnes ne pouvaient être distinguées. Si l’on ajoute que les voyelles n’étaient pas notées, il apparaît aisément que l’écrit n’avait qu’une fonction d’aide-mémoire pour fixer un message déjà connu et transmis oralement.
L’arabe, comme les autres langues sémitiques, se caractérise par l’utilisation de certains schèmes ou modèles sur lesquels les mots sont formés. Les schèmes permettent d’obtenir des termes ayant une signification précise à partir de racines abstraites. Les racines arabes se composent généralement de trois consonnes et, grâce à la variété des schèmes, elles rendent possible la création d’un grand nombre de termes, y compris des néologismes. La sacralité de la langue arabe ne s’oppose donc pas à sa créativité.
La nécessité de préserver le texte du Coran des altérations dues à la faillibilité de la mémoire humaine fut à l’origine de l’introduction de points pour distinguer les consonnes identiques et de signes pouvant être placés sur ou sous la lettre pour marquer les voyelles brèves. L’histoire de l’alphabet arabe est donc inséparable de celle du Livre saint de l’islam. C’est cette histoire que nous allons maintenant évoquer. Mais avant d’aller plus loin, il faut remarquer que le terme français « alphabet » rappelle les deux premières lettres de la langue arabe : alif et bâ’. D’où vient cette proximité ? C’est ce que nous allons découvrir maintenant.
Le phénicien, ancêtre des langues sémitiques.
On considère que l’alphabet arabe est un dérivé de l’alphabet araméen dans sa variante nabatéenne dont l’écriture remonte au IVe siècle avant J. C. L’alphabet araméen lui-même descend du phénicien comme la plupart des systèmes d’écriture de la région. L’alphabet phénicien était essentiellement consonantique. Il fut inventé vers le milieu du deuxième millénaire avant notre ère et se répandit dans tout le Moyen-Orient. Il fut modifié selon les besoins des peuples qui l’adoptaient. Il donna ainsi naissance, entre autres, aux alphabets hébreu, syriaque et grec. L’ordre alphabétique des alphabets issus du phénicien est souvent identique, mais on constate que l’ordre alphabétique actuel arabe est différent (alif, bâ’, tâ’, thâ’, jîm, ḥâ’, khâ’, dâl…). Ce n’est pourtant pas le cas de l’ordre ancien. En effet, au VIIe siècle, on ajouta des points sur ou sous certaines lettres afin de les différencier. C’est au cours de ces changements que l’ordre des lettres fut modifié. Depuis lors, l’alphabet arabe ne suit plus l’ordre traditionnel des autres alphabets sémitiques, appelé « ordre levantin ». En arabe cet ordre est appelé abjad, du nom des quatre premières lettres.
Les caractéristiques d’une langue sacrée.
Un des aspects rattachant le plus directement l’alphabet au caractère sacré de la langue arabe est l’existence d’une « science des lettres ». À chaque lettre correspond une valeur numérique et les combinaisons obtenues en additionnant les lettres d’un mot permettent de saisir les correspondances entre les « signes » qui constituent le langage humain et les « signes » que sont les phénomènes et les êtres présents dans la Création. Il s’agit d’une connaissance spirituelle et initiatique – réservée à une élite – qui s’est développée dans les courants ésotériques de l’Islam.[6] Enfin, l’arabe, comme les autres langues sémitiques, se caractérise par l’utilisation de certains schèmes ou modèles sur lesquels les mots sont formés. Les schèmes permettent d’obtenir des termes ayant une signification précise à partir de racines abstraites. Ainsi, le schème d’un verbe permet de savoir s’il possède une valeur pronominale ou non, ou encore s’il s’agit d’accomplir une action ou de la faire faire à autrui (factitif). Les racines arabes se composent généralement de trois consonnes et, grâce à la variété des schèmes, elles rendent possible la création d’un grand nombre de termes, y compris des néologismes. La sacralité de la langue arabe ne s’oppose donc pas à sa créativité, bien au contraire.

Sur des domes et des minarets.fr, voici les titres.

Allemagne : une éblouissante mosquée décorée par une femme.
Vous connaissez plus ou moins la belle mosquée Sakirin d’Istanbul, considérée comme la première au monde dont l’architecture a été conçue par une femme, Zeynep Fadɩllɩoǧlu. En Allemagne, c’est la mosquée Yunus Emre d’Aachen qui émerveille par sa décoration intérieure, entièrement imaginée, là encore par une femme. Il s’agit du cabinet Sonay İlbay Mimarlık qui a déjà à son compte plusieurs projets de mosquées.
Cette mosquée dont la construction aura coûté près de 7 millions d’euros est en voie de finalisation. Voici les images éblouissantes en avant-première !
reportage photo a voir sur des domes et des minarets.fr.
Immersion au coeur de Small Heath, le quartier musulman de Birmingham.
Birmingham, la 2ème ville d’Angleterre est connue pour ses canaux, mais aussi pour son multiculturalisme, avec un grand nombre de musulmans, plus particulièrement dans le quartier de Small Heath.
SMALL HEATH, UN COCON MUSULMAN.
A l’est de Birmingham se trouvent les quartiers musulmans, et plus particulièrement Small Heath. Ce qui est surprenant lorsque l’on arrive dans ce quartier, c’est le contraste entre l’avenue commerçante et animée Coventry Road, et les rues des habitations parallèles et perpendiculaires très calmes, ces “row houses” monotones, alternant briques rouge et façade blanche. Pakistanais, Somaliens, Bengalis… Et Français musulmans y ont élu domicile, et ont peu à peu transformé démographiquement, socialement et économiquement cette partie de la ville.
VIS TA VIE DE MUSLIM A BIRMINGHAM.
Avec les tensions islamophobes où chaque semaine nous avons une polémique en France, où le voile est combattue pour la prétendue liberté des femmes, dans ce climat tendu qui ne fait que s’accentuer, et dont tout le monde sait, de nombreux musulmans français, originaire du Maghreb ou reconvertis, ont choisi la 2ème ville d’Angleterre, et plus particulièrement Small Heath.
Ici, tout est fait pour vivre sa vie de muslim du levé ou coucher du soleil : toutes sortes de commerces halal, où, pakistanais oblige, les fast-food chickens imitation KFC sont plus nombreux que les kebabs et autres sandwiches triples X de chez nous. Pour les courses “classiques”, on a même un centre commercial ouvert la semaine 7j/7 ! Mais au-delà de manger, il y a des écoles musulmanes et même des crèches ! des créneaux de piscine réservées aux femmes, à l’hôpital, les femmes peuvent se faire ausculter par un médecin femme sans que cela ne pose problème. On peut faire sa prière sur son lieu de travail, c’est même un droit ! Les femmes voilées n’ont aucun souci pour travailler, qu’elles soient cadres ou simple employées. Imaginez une femme voilée à l’accueil des Halles à Paris, cela serait impossible, pas ici ! Et bien sûr d’innombrables mosquées. En fin de journée, on trouve que c’est finalement sympa la vie à Islamabad, pardon à Mogadiscio.
Certes, la religion est commune, mais toutes ces origines amènent des différences cultuelles et culturelles. Entre les écoles juridiques et les groupes, des femmes portant le niqab à la modest fashion by London, ce sont toutes les nuances qu’offre l’Islam qui est présente à Small Heath, c’est le communautarisme dans le communautarisme. En espérant que certains ne tombent pas dans le piège de la division en voulant imposer sa vision. Les divisions sont parmi les causes qui minent les musulmans actuellement. Il ne faudrait pas que Small Heath soit le reflet de nos carences actuelles.
S’INSTALLER A BIRMINGHAM.
Pourquoi pas ? Mon hôte qui m’a accueilli (​Sunnah Digital) vit ici depuis 10 ans. Après s’être habitué à cette liberté religieuse, il n’a aucunement envie de revenir en France. Il me conseille cependant de prévoir 6 mois d’économie, car les aides sociales, l’équivalent du RSA mettent du temps à se débloquer dorénavant. Après chacun sa situation professionnelle, son rizq. Aussi, une personne mariée avec des enfants n’est pas dans la même situation qu’un célibataire.
On est quand même dans la 2ème ville d’Angleterre, Small Heath n’est pas loin du centre-ville de Birmingham, avec sa célèbre université, et son quartier commerçant, le Bull Ring, très vivant. Birmingham est une bonne alternative à Londres.
Néanmoins, nous sommes quand même dans un pays non-musulman, il y a des racistes qui s’affirment plus qu’en France, il y a l’inconnu du Brexit, la nourriture et moins qualitative, le soleil se couche tôt en hiver, et les limites de ceux que prétendre un muslim chez les britanniques a sûrement été atteintes, les musulmans sur place ont intérêt à préserver ceux qui a été durement acquis.
L’Islam ce n’est pas que les facilités pratiques du quotidien, c’est ce lever à l’heure pour la prière du fajr, le droit du voisin, ne pas médire, affronter ses épreuves qu’on soit à Dubaï ou à Sanaa… Certains musulmans veulent un retour à la campagne pour vivre simplement, pour être en adéquation avec leur éthique islamique tandis que d’autres continueront le combat pour la oumma française. Et finalement, tant qu’on œuvre, tout dépend de ce qu’Allah a prévu pour nous.
Aller faire un tour là-bas, puis faite la prière de consultation si un départ vous enchante !
reportage photo a voir sur des domes et des minarets.fr.

Sur Actualite islamique de Belgique, rien de neuf.

Sur agence media palestine.fr, rien de neuf.

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

Conflit israélo-palestinien: Le pape plaide pour une solution à deux Etats
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PROCHE-ORIENT – Le pape François a, dans son traditionnel message de Noël, plaidé, lundi, en faveur d’une solution à deux Etats dans le conflit israélo-palestinien et pour « la paix » pour Jerusalem au moment où les « vents de la guerre » soufflent sur le monde.
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La Palestine met en garde contre les répercussions du nouveau plan de colonisation d’Israël
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Les États-Unis reportent leur plan politique jusqu’à la reprise du dialogue avec l’Autorité Palestinienne
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Le tribunal israélien prolonge la détention de Ahed Tamimi
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Un député israélien monte à bord du bus du CICR et insulte les mères de prisonniers
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44 colons prennent d’assaut al Aqsa
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L’occupation condamne « Cheikh al-Araqib » à 10 mois de prison
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22 Gazaouis visitent leurs proches détenus dans les prisons sionistes
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Le Guatemala annonce le transfert de son ambassade à Jérusalem
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Annulation de la célébration de Noël en Palestine en signe de rejet de la Déclaration de Trump
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Turquie: Manifestation de masse à Shanli Orfa contre la déclaration américaine
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Mansour: 129 pays ont voté pour la Palestine aux Nations Unies
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L’occupation mène une vaste campagne d’arrestations en Cisjordanie
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Ahed Tamimi: « J’ai froid et ils refusent de me faire entrer des vêtements chauds  »
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L’occupation envisage d’agrandir la colonie Gilo à Jérusalem occupée
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Gaza: 12 morts et 666 blessés depuis la Déclaration de Trump
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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