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Flash info du 7 Rabi al Thani 1439.

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Sur Ajib.fr, voici les titres.

Les fondements du bien en Islam.
Allah soubhanou wa ta’ala accorde Sa miséricorde aux croyants et aux non-croyants dans le bas monde, mais uniquement aux croyant dans l’au-delà. Allah, notre Seigneur nous a inspiré la foi en Lui et la certitude de l’existence d’une vie après la mort. Il nous fait grâce de la bonne santé, de l’argent et des enfants et pour tous ces bienfaits il est de notre devoir de Le remercier.
Car celui que Allah guide, nul ne peut l’égarer, et celui qu’Il égare, nul ne peut le guider.
Le Messager d’Allah (sallAllahou ’alayhi wa salam) veillait les nuits pour remercier son Seigneur pour les bienfaits qu’Il lui a accordés, alors qu’Allajh lui pardonne tout péché passé ou à venir qu’il aurait pu faire, et pourtant il a dit : « Ne serais-je donc pas un esclave qui remercie ? »
« Si vous énumériez les bienfaits de Allâh, vous ne pourriez pas les compter, certes Allâh est Celui Qui accorde beaucoup de pardon, Celui Qui est très miséricordieux envers les croyants . » (Sôurat An-NaHl/18).
Et de ce fait il convient de remercier Allah pour les bienfaits dont il nous a fait grâce et dont nul autre que Lui n’en connaît le nombre. Ceux –ci sont de deux sortes : les bienfaits apparents et les bienfaits cachés.
Allah a dit : « Il vous a accordé énormément de bienfaits, certains apparents, certains cachés . » (Sôurat Louqmân/20).
Les premiers sont ceux que l’on voit comme la richesse, la descendance, la santé, la pluie, et l’accomplissement des actes de bien. Les seconds sont les bienfaits que l’on trouve en soi-même, tel que la connaissance d’Allah, mais aussi toutes les épreuves que Allah ta’ala repousse de Ses esclaves.
L’une de nos premières obligations est la foi en Allah et en Son Messager, et c’est le plus haut et le meilleur des bienfaits qui soit accordé à l’être humain. Car celui à qui le bas monde a été accordé mais à qui la foi ne l’a pas été, c’est comme si rien ne lui avait été accordé. Et celui à qui la foi a été accordée sans que rien de ce bas monde ne lui soit accordé, c’est comme s’il n’avait été privé de rien.
Ainsi, d’après `Abdou l-Lâh Ibnou Mas`oud, le Messager d’ Allâh (sallAllahou ’alayhi wa salam) a dit : « Certes, Allâh `azza wa jall accorde le bas monde à qui Il agrée et à qui Il n’agrée pas et Il n’accorde la religion qu’à celui qu’Il agrée. »
Le musulman qui n’a pas remercié Allâh pour Ses bienfaits et qui est mort en faisant partie des grands pécheurs, Il est sous la volonté de Allâh : s’Il veut, Il le châtie et s’Il veut, Il lui pardonne. Quant à celui à qui Allâh a accordé la force d’obéissance et qui a remercié Allâh pour Ses bienfaits, apparents et cachés, en se soumettant à l’ordre de Allâh de sorte à accomplir les devoirs, se garder des péchés et utiliser les bienfaits de Allâh dans l’obéissance à son Seigneur, sa rétribution sera dans l’au-delà la félicité éternelle qui ne prendra jamais fin et ne s’interrompra jamais.
Allah soubhanou wa ta’ala a dit : « Certes ceux qui ont été croyants et qui ont accompli les bonnes œuvres, ceux-là sont les meilleures des créatures, leur rétribution de la part de leur Seigneur ce sont des jardins d’Éden, dans lesquels coulent des fleuves, ils y resteront éternellement, Allâh les a agréés et ils se sont satisfaits d’Allah, ceci est réservé à ceux qui craignent leur Seigneur . » (Sôurat Al-Bayyinah/7-8).
Tout bien est issu de l’assistance d’Allah et pour obtenir Son aide, le musulman doit invoquer abondement Allah et chercher refuge auprès de Lui en espérant Sa récompense et en craignant son châtiment.
Si Allah répond favorablement à la demande de Son serviteur, c’est qu’Il veut lui accorder Sa miséricorde.
Le commandeur des croyants Umar ibn al Khattab -qu’Allah l’agrée- a dit : « Je ne me soucie pas de savoir si Allah exaucera mes invocations ou non. Mon souci principal est : Allah va t’il m’inspirer la volonté de L’invoquer ? Car du moment où Il m’inspire l’invocation, je sais pertinemment qu’Il m’exaucera . »
Plus le croyant implore la Miséricorde de son Seigneur, plus il bénéficiera de Son assistance. Allah ta’ala est donc le plus juste des juges et le plus omniscient des savants. Il offre Son aide quand il le faut et abandonne ceux qui ne méritent pas Son secours. Il est l’Omniscient, le Très Sage.
– Yahyâ ibn Mu’adh رحمه الله a dit : « N’est pas véridique celui qui prétend aimer Allah sans se conformer à Ses ordres ». (paroles rapportées par l’ imâm ibn Radjab el Hanbaly dans el Djâmi’).

Sur Katibin.fr, rien de neuf.

Sur journal du musulman.fr, rien de neuf.

Sur islam et info.fr, voici les titres.

Palestine : Palestine : à Bethléem, les Pères Noël manifestent contre l’occupation israélienne. VIDÉO.
Des manifestants palestiniens portant des costumes du père Noël ont affronté les forces israéliennes, qui ont utilisé des grenades assourdissantes et la force contre la foule à Bethléem.
Une séquence montre des manifestants agitant des drapeaux palestiniens et sonnant joyeusement des cloches au nom de la paix. Certains tenaient des pancartes qui disaient «Tout ce que nous voulons pour Noël, c’est Jérusalem et la justice» et «Hey Donald! Le pouvoir de la justice l’emportera sur votre intimidation. ”.Les manifestants ont marché vers l’entrée nord de la barrière de Cisjordanie à la périphérie de la ville, où ils ont rencontré la police des frontières israélienne.
Des soldats ont tenté de forcer les manifestants à sortir de la zone, certains d’entre eux se disputant avec des civils ou les repoussant. Après que des échauffourées aient éclaté entre les deux parties, les forces israéliennes ont déployé du gaz lacrymogène pour disperser la foule.
Plus tôt cette semaine, Bethléem, une ville célébrée dans l’histoire biblique, a vu de violents affrontements entre les Palestiniens et la police israélienne. Vendredi après les prières, les Palestiniens se sont livrés à des affrontements, jetant des pierres sur les forces de sécurité qui protégeaient l’entrée nord de la ville.
Les manifestants protestaient contre la décision de Washington de reconnaître officiellement Jérusalem comme capitale d’Israël, un geste qui a provoqué l’indignation et une vague d’émeutes anti-américaines dans certains pays arabes et à majorité musulmane.
reportage a voir sur islam et info.fr.

Sur saphirnews.com, rien de neuf.

Sur oumma.com, voici les titres.

Palestine : Gideon Levy :« Ahed Tamimi est une héroïne, une héroïne palestinienne ».
Mardi dernier, les Forces de défense d’Israël ont abattu Hamed al-Masri, 15 ans, d’une balle dans la tête, blessant grièvement l’adolescent de Salfit qui, par ailleurs, ne portait pas d’arme. Vendredi, les militaires ont fait de même avec Mohammed Tamimi, de Nabi Saleh, sans arme lui aussi, le blessant tout aussi grièvement à la tête. Vendredi encore, les militaires ont tué – toujours d’une balle dans la tête – Ibrahim Abu Thuraya, amputé des deux jambes. Et, le même jour, Ahed Tamimi était dans la cour de sa maison avec une amie et a giflé un homme des FDI qui avait fait irruption chez elle.
Du coup, Israël est sorti de sa colère vasouilleuse : Mais comment ose-t-elle ? Les trois victimes de cette fusillade barbare n’intéressent pas les Israéliens et les médias ne prennent même pas la peine d’en parler. Mais la gifle – et le coup de pied – d’Ahed Tamimi ont déclenché une colère furieuse. Comment peut-on oser gifler un soldat des FDI ? Un soldat dont les amis giflent, tabassent, kidnappent et – bien sûr – abattent presque quotidiennement des Palestiniens ?
Vraiment, elle a tous les toupets, la Tamimi. Elle a violé les règles. Gifler n’est permis que de la part des soldats. C’est elle, la véritable provocation, et non pas le soldat qui a fait irruption dans sa maison. Elle, qui a eu trois proches parents tués par l’occupation, elle dont les parents ont été arrêtés d’innombrables fois et dont le père a été condamné à quatre mois de prison pour avoir participé à une manifestation à l’entrée d’une épicerie – et c’est elle qui a osé résister à un soldat ! Voilà le culot des Palestiniens. Tamimi était censée tomber amoureuse du soldat qui avait forcé la porte de sa maison et, ingrate qu’elle a été, elle l’a récompensé d’une gifle. Tout cela, à cause de « l’incitation à la violence ». Sans quoi, elle n’aurait certainement pas manifesté cette haine à l’égard de son conquérant.
Mais cette pulsion de revanche à l’égard de Tamimi a d’autres sources (Le ministre de l’Éducation, Naftali Bennett a déclaré : « Elle devrait finir ses jours en prison. »). La fille de Nabi Saleh a fait éclater plusieurs mythes chers aux Israéliens. Le pire de tout, elle a osé détériorer le mythe israélien de la masculinité. Brusquement, il se fait que le soldat héroïque, qui veille sur nous jour et nuit avec audace et courage, se fait vilainement contrer par une fille aux mains nues. Que va-t-il advenir de notre machisme, si Hamimi le met en pièces si facilement, et de notre testostérone ?
Tout d’un coup, les Israéliens ont vu l’ennemi cruel et dangereux auquel ils sont confrontés : une gamine bouclée de 16 ans. Toute la diabolisation et la déshumanisation des médias flagorneurs ont volé en éclats d’un seul coup en étant brusquement confrontées à une gamine vêtue d’un sweater bleu.
Les Israéliens ont perdu la tête. Ce n’est pas ce qu’on leur a raconté. Ils sont habitués à entendre parler de terroristes et de terrorisme et de comportement criminel. Il est difficile d’accuser Ahed Tamimi de tout cela ; elle n’avait même pas de ciseaux en main. Où est la cruauté des Palestiniens ? Où est le danger ? Où est le mal ? On en perdrait la tête. Brusquement, toutes les cartes ont été rebattues : Pendant un rare instant, l’ennemi avait l’air si humain. Bien sûr, on peut compter sur la machine israélienne de propagande et de lavage de cerveau, si efficace, pour assassiner sans attendre le personnage de Tamimi. Elle aussi se verra coller l’étiquette de terroriste née pour tuer ; on dira alors qu’elle n’avait pas de motifs justifiables et qu’il n’y a pas de contexte pour expliquer son comportement.
Ahed Tamimi est une héroïne, une héroïne palestinienne. Elle est parvenue à rendre dingues les Israéliens. Que diront les correspondants militaires, les incitateurs de droite et les experts de la sécurité ? Quelle est l’efficience de 8200, Oketz, Duvdevan, Kfir et toutes ces autres unités spéciales si, à la fin de la journée, les FDI sont confrontées à une population civile désemparée, fatiguée de l’occupation et incarnée par une jeune fille portant un keffieh sur l’épaule ?
Si seulement il y en avait bien davantage comme elle ! Peut-être des filles comme elle seraient-elles en mesure de secouer les Israéliens. Peut-être l’intifada des gifles réussira-t-elle là où toutes les autres méthodes de résistance, violente ou non violente, ont échoué.
Dans l’intervalle, Israël a réagi de la seule façon qu’il connaît : un enlèvement nocturne de son domicile et son arrestation ainsi que celle de sa mère. Mais, dans le fond de son cœur, tout Israélien décent sait sans doute non seulement qui a raison ou qui n’a pas raison, mais aussi qui est fort et qui est faible. Le soldat armé de pied en cap qui fait irruption dans une maison qui ne lui appartient pas, ou la gamine sans armes qui défend sa maison et son honneur perdu à mains nues, par une gifle.
Publié le 20/12/2017 sur Haaretz sous le titre : A Girl’s Chutzpah: Three Reasons a Palestinian Teenage Girl Is Driving Israel Insane. Traduction : Jean-Marie Flémal.
Gideon Levy, “le journaliste le plus haï d’Israël”, est un chroniqueur et membre du comité de rédaction du quotidien Haaretz. Il a obtenu le prix Euro-Med Journalist en 2008, le prix Leipzig Freedom en 2001, le prix Israeli Journalists’ Union en 1997, et le prix de l’Association of Human Rights in Israel en 1996. Il est l’auteur du livre The Punishment of Gaza, qui a été traduit en français : Gaza, articles pour Haaretz, 2006-2009, La Fabrique, 2009.

Sur Mizane.info, rien de neuf.

Sur des domes et des minarets.fr, voici les titres, rien de neuf.

France : Mulhouse : opération don du sang à l’initiative de plusieurs mosquées.
Face à la baisse inquiétante de ses stocks, l’Établissement Français du Sang (EFS) a lancé début décembre un appel à la mobilisation pour reconstituer ses stocks.
Donner son sang n’est pas simplement un geste citoyen mais aussi un acte relevant de l’éthique musulmane. Sauver une vie équivaut à sauver l’humanité toute entière (verset 32 du chapitre la Table Servie).
En France, certaines mosquées organisent des journées «Don du Sang» où les fidèles sont invités à participer massivement. C’est le cas de la Coordination des Mosquées de Mulhouse et Environs (18 mosquées) qui organise une collecte ce mercredi 27 décembre, la deuxième cette année.
Noël 1568 : la dernière révolte des Morisques.
Le soir de Noël 1568 débutait, au cœur de Grenade, la grande insurrection islamique des Alpujarras. Pour les Morisques, les musulmans d’Espagne convertis par la force au catholicisme 70 ans plus tôt, il s’agissait de la révolte de la dernière chance… Seuls la victoire ou le martyre pouvaient en être l’issue.
L’année précédente avait été promulgué un nouveau décret qui les obligeait à remettre l’éducation de leurs enfants à l’Église catholique et réduisait encore leurs libertés vestimentaires (voile) ou culturelles (langue ou noms arabes), durcissant à nouveau la politique d’assimilation forcée. L’échec des négociations est, pour la noblesse morisque, la goutte d’eau : ils décident que la force sera désormais le seul et dernier recours, parcourent les villages de la région pour lever secrètement des partisans, stockent armes et provisions dans des grottes difficilement accessibles, multiplient les réunions dans le quartier musulman de Grenade, l’Albaicin.
À leur tête, Fernando de Valor, un descendant des califes omeyyades de Cordoue qui a été assigné à résidence pour avoir sorti sa dague en pleine séance municipale à Grenade : vêtu de la tenue pourpre des anciens émirs nasrides, il est proclamé “roi des Morisques” sous le nom d’Abén Humeya (ibn Umayya) lors d’une cérémonie solennelle – mais clandestine – qui réunit les chefs rebelles le soir de Noël 1568 dans le village de Béznar. Le même soir, son vizir pénètre dans le quartier de l’Albaicin à Grenade à la tête d’une troupe rebelle, proclame officiellement l’insurrection et appelle les musulmans à le rejoindre. Pour la première fois depuis 70 ans, l’adhân résonne à nouveau dans la péninsule ibérique. Il n’est désormais plus possible de faire machine arrière.
Les premières recrues d’Abèn Humeya sont des monfíes, des hors-la-loi qui ont, pour des raisons religieuses ou de droit commun, rejoint les montagnes. Mais rapidement, il est rejoint par 25.000 hommes en armes, soit un sixième de la population, et l’insurrection embrase toute la région, en particulier la région montagneuse des Alpujarras, qui lui donnera son nom. Après 7 décennies de persécutions de l’Église catholique à l’encontre des Morisques, la rébellion prend naturellement une tournure nettement anti-chrétienne : les prêtres coupables d’exactions à l’encontre des femmes portant le niqab notamment sont torturés et exécutés, et les églises systématiquement incendiées.
Le marquis de Mondéjar, envoyé pour mater la révolte, rencontre le succès dans un premier temps et parvient même à prendre le QG d’Abén Humeya malgré la neige qui couvre les Alpujarras. Mais les exactions de ses troupes, qui pillent et ravagent tous les villages morisques qu’ils traversent, retournent les indécis en faveur de la rébellion. Au printemps 1569, les Morisques reprennent ainsi l’initiative, d’autant qu’ils ont reçu le secours du régent d’Alger, Uluç Pasa, lui-même un “renégat” italien converti à l’islâm, et de ses navires qui ont débarqué 4000 hommes, Berbères et Arabes du Maghreb, ainsi que de nombreux conseillers militaires ottomans. La tactique de guérilla proposée par ces derniers porte ses fruits : à la fin de l’année, l’armée espagnole est épuisée par les embuscades et raids incessants de ces rebelles insaisissables qui disparaissent dans la “sierra” aussi vite qu’ils sont apparus.
Fin 1569, l’Andalousie est à feu et à sang, presque toutes les villes se sont ralliées à Abén Humeya et les Espagnols ne contrôlent plus rien en dehors des portes de Grenade, elle-même menacée. Le roi Philippe nomme alors son demi-frère, le terrible Don Juan d’Autriche, à la tête des 20.000 hommes qu’il envoie en renfort et organise un blocus des côtes pour empêcher tout renfort ottoman. Un événement inattendu va jouer en sa faveur : un noble morisque, Diego Alquacil, jaloux qu’Abèn Humeya ait pris sa cousine pour épouse, monte une conspiration contre lui et le fait étrangler le 20 octobre 1569. Son cousin Abèn Abû, lui aussi acteur du complot, est proclamé roi mais il n’a pas les épaules de son prédécesseur. Face à la contre-offensive terrible de Don Juan d’Autriche, il pense d’abord à négocier et se rendre avant de se raviser, mais ses hésitations sèment le trouble chez les rebelles.Les Espagnols en profitent pour pousser leur avantage. Au courant de l’année 1570, ils parviennent à encercler les rebelles dans les Alpujarras, puis y donnent l’assaut à l’automne. L’offensive est accompagnée de crimes terribles : les hommes sont systématiquement passés au fil de l’épée, femmes et enfants réduits en esclavage, maisons et villages détruits. Les derniers résistants sont asphyxiés par les feux allumés devant l’entrée des caves où ils sont réfugiés. Lorsque l’insurrection est finalement supprimée, en 1571, le couperet tombe : le roi ordonne la déportation intégrale des Morisques et leur dispersion à travers les régions chrétiennes du pays. Réunis dans les églises, on les force à marcher, sous la neige et presque sans nourriture, vers leur exil. Beaucoup mourront en chemin, et leurs terres seront redistribuées à des colons du Nord : al-Andalus était, définitivement, morte.
Histoire : Jabir ibn Hayyan (Geber), le père de la chimie.
Connu en Europe sous le nom de Geber, il est considéré par la communauté scientifique comme le père de la chimie.
Né en 103 de l’hégire (721) dans la région du Khorasan (actuel Iran), il aurait rédigé, selon le chercheur Paul Kraus près de 4000 traités et livres. Beaucoup en doute, ramenant le nombre de ces livres à 500 quand Ibn al Nadim rapporte à son époque 253 titres seulement. Il n’en fut pas moins un savant des plus prolifiques. Pour cause, il abordera tant l’astronomie, que la médecine, la biologie, la géométrie, la métaphysique que la logique. L’ensemble de ces sciences apprises et mises en pratique, il s’oriente vers ce qu’on appelle alors l’alchimie. Celle-ci n’est pas encore à proprement parler une science. Teintée d’occultisme, l’alchimie (déjà usée par les grecs ou égyptiens) n’est l’œuvre que de quelques illuminés peu consultés pour leur scientificité. Jabir ibn Hayyan va alors révolutionner le genre.
C’est à Kufa en Iraq qu’il fait ses armes, à l’époque tant commentée du Califat abbasside de Haroun Ar-Rachid. Envoyé très jeune par son père y apprendre le Coran et les mathématiques, il sera selon de nombreuses sources un élève du savant Ja’far as Sadiq. Se passionnant pour l’alchimie, il met un point d’honneur à passer par l’expérimentation, travaillant ainsi à produire des méthodes qui permettraient la reproductibilité de ses travaux. À force d’expériences, il devient au final le 1er à introduire en l’alchimie la méthode expérimentale. C’est la naissance de la chimie moderne.
On lui attribué ainsi la paternité d’un grand nombre d’équipements propres aux laboratoires de chimie. L’alambic est l’une d’elles, et non des moindres puisqu’elle sera l’instrument de base de tout chimiste qui se respecte, aidant grandement au processus de distillation. Plus encore, il sera derrière la découverte ou mise en application de bien de procédés et substances chimiques maintenant courants. Citons pêle-mêle la découverte de l’acide chlorhydrique, citrique, tartrique et nitrique, la mise au point et la préparation de l’acier et d’autres métaux, la prévention face à la corrosion ; l’usage du dioxyde de manganèse dans la fabrication du verre, le vernissage de tissus imperméables, la teinture sur d’autres ou l’identification de peintures et graisses. Il va aussi faire la classification des éléments en métaux, non-métaux et substances volatiles ceci en les distinguant quant à leurs propriétés. Il va encore durablement développer certaines techniques propres telles que la distillation, la cristallisation, la calcination ou l’évaporation. Aussi inventa-t-il l’eau régale, seul liquide permettant de dissoudre l’or.
Dans certains de ses ouvrages, il fait aussi état de ses vues philosophiques et religieuses. La gnostique et l’ésotérisme y sont constants, certains voyant parfois en lui un érudit chiite en ces temps de permanents conflits doctrinaux. Il était pour beaucoup difficile de savoir ce qui devait ainsi être compris symboliquement de ce qui devait l’être littéralement. Voyant la chimie comme une science au-dessus de toutes les autres, créant passerelles et ponts envers toutes, il fait entendre en ses travaux une véritable conception du monde, appelant à un effort en vue d’une connaissance totale. Il avait aussi recours à la numérologie : nature et propriétés des éléments étaient définies aux travers de nombres assignés selon les consonnes présentes dans leurs noms. Ses contemporains peinent cependant à croire que ces ouvrages (comme bien d’autres) furent tous siens. Les termes et idées prononcées ne devenant courants que quelques générations après lui, il est donc fort probable que des ajouts y ont été effectués au travers des multiples copies et traductions suivantes. Quant il ne s’agit pas simplement d’ouvrages de ses élèves ou lointains disciples. C’est pour cela qu’il est commun de parler de corpus jaberien.
Ces livres et traités ne resteront pas longtemps destinés au seul public arabo-musulman. Très tôt, les savants européens vont ainsi les faire traduire en latin. Dès le 12ème siècle chrétien, les principales universités européennes ont déjà leurs copies des travaux de Jabir ibn Hayyan. Parmi les plus fameux ouvrages qui circuleront : “Kitâb Al-Kîmia” (Le Livre de la Chimie) et “Kitâb As-Sab`in” (Le Livre des Soixante-dix). Certains termes introduits par Jabir passèrent aussi au travers du latin pour devenir des mots courants du vocabulaire scientifique, tel qu’al kali, al iksir ou al ambic.
Au-delà du flou entourant sa personne, tous sont d’accord pour dire que sans Jabir ibn Hayyan, la chimie moderne n’aurait eu l’impact et l’évolution qu’on lui a connu. Il quittera ce monde en 199 de l’hégire (815).

Sur Actualite islamique de Belgique, rien de neuf.

Sur agence media palestine.fr, rien de neuf.

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

Le Shin Bet prétend avoir déjoué 400 opérations de qualité en 2017
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Le service de renseignement israélien (Shin Bet) a affirmé que 400 opérations de commandos ont été déjouées cette année, dont 13 opérations de martyre et 8 processus d’enlèvements de soldats.
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Gaza: Un jeune succombe à ses graves blessures
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86 colons profanent la mosquée Al Aqsa
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Le prisonnier Rajoub refuse l’expulsion et entame une grève de la faim
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La déclaration de Trump a ravivé la question oubliée
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Les forces d’occupation arrêtent toute une famille à Selfit
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Les colons reconstruisent deux chambres dans la colonie évacuée de Homesh
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Colonisation: 300 000 nouvelles unités à Jérusalem occupée
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Bethléem : Les forces d’occupation oppriment « la marche de la naissance »
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Une association suédoise s’apprête à briser le blocus imposé à Gaza
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L’avis des Américains sur le conflit israélo-palestinien (sondage)
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Tel-Aviv: Manifestations de masse contre Netanyahou et son gouvernement
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L’occupation ferme l’entrée nord d’Al-Bireh jusqu’à nouvel ordre
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Istanbul : Une marche silencieuse par solidarité avec Ahed Tamimi
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10 blessés dans des affrontements avec l’occupation au sud de Naplouse
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L’occupation ferme les entrées de Naplouse pour protéger les marches des colons
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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