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Flash info du 13 Rabi al Awwal 1439.

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Sur Ajib.fr, voici les titres.

Quel est le jugement concernant celui qui abandonne sa mère ?
On dit très couramment que le Paradis est sous les pieds de la mère.
En effet, la mère est une cime incommensurable d’affection et de dévouement pour son enfant.
Dans l’Islam, elle a toujours eu un rôle distingué et très privilégié par rapport à celui du père car elle donne la vie à son enfant, le nourrit, le protège et parfois aux dépens de sa propre santé.
Alors qu’en est-il de celui qui ose abandonner sa mère ?
D’après Abou Hourayra Abou Hourayra (qu’Allah l’agrée), un homme se présenta au Messager d’Allah (sallAllahou ‘alayhi wa salam) et lui dit :
– Qui parmi les gens mérite mieux mon bon traitement ?
– « Votre mère. »
– « Puis qui ? »
– « Votre mère. »
– « Puis qui ? »
– « Votre mère. »
– « Puis qui ? »
« Votre père. »
(rapporté par Boukhari, 4/13 et Mouslim, 2548).
Question:
Un frère demanda : Un étudiant qui observe ses Salâ, jeûne, et fait acte de charité, mais ayant abandonné sa mère; est-ce que ses Salâ, sa charité et son jeune lui profitent alors qu’il a abandonné sa maman, ne lui prête pas attention pourtant, telle que nous la connaissons, elle est musulmane, elle prie et jeûne ?
Réponse de Cheikh ‘Abdel-‘Azîz Ibn ‘Abdi-llâh Ibn Bâz:
Qu’un musulman abandonne sa maman est répréhensible et relève d’une désobéissance majeure.
Il doit se repentir auprès d’Allah et revenir à son obéissance, recommencer à lui faire du bien, à la réconforter, et lui demander pardon.
Voila ce qui lui incombe, il ne doit pas continuer dans l’abandon et la désobéissance, car cela est abominable et un péché majeur.
Il se doit de cesser, de demander des excuses à sa maman, d’aspirer à son agrément et de se repentir auprès d’Allah le Très-Haut.
Cependant, ses Salats, son jeûne et ses cultes ne s’annulent pas.
Ses cultes et ses œuvres restent correctes s’ils sont accomplis de manière juridique.
Mais alors, sa foi s’affaiblit sous l’effet de ce péché qui la diminue.
Pour ‘Ahl As-Sounna les péchés amoindrissent la foi et l’affaiblissent mais celui qui les commet n’est pas incrédule.
Mais il l’est chez les Kharijites qui jugent incrédule le pécheur.
Ils sont injustes et criminels à ce propos.
Ils sont en erreur et dans la fausseté du point de vue des gens de la Sunna et du consensus (‘Ahl As-Sounna wal Djamâ`a).
Pour ‘Ahl As-Sounna : le péché diminue la foi et ne fait pas de son auteur un incrédule et ne l’éternise pas en Enfer.
Il est pécheur et son péché diminue sa foi et l’affaiblit et provoque la colère d’Allah contre lui et le rend susceptible d’aller en Enfer, mais il n’est pas incrédule.
Même s’il va en Enfer il n’y sera pas éternellement.
Voilà l’avis des gens de la Sunna et du consensus à leur sujet.
Ils n’éternisent pas les pécheurs à l’Enfer s’ils y entrent pour leurs péchés.
Somme toute, c’est pour lui un péché majeur que d’abandonner sa maman, et lui désobéir.
Toutefois cela n’est pas une cause de reniement ni de la nullité de son œuvre sauf s’il considère cela licite, s’il trouve que la désobéissance à ses parents est licite, dans ce cas il est mécréant, puisse Allah garde de rendre halal la désobéissance aux parents.
Quiconque le fait et le considère comme halal, ou considère l’usure et la fornication comme halal renie l’Islam à moins qu’il soit polythéiste et ignorant à cause de son éloignement de l’Islam, comme celui qui grandit dans un pays non islamique, en l’occurrence on devra lui enseigner l’Islam et lui montrer que la désobéissance aux parents est l’un des choses qu’Allah interdit à ses serviteurs.
L’obéissance aux parents est l’un des devoirs qu’Allah soubhanou wa ta’ala commande à tout musulman, et leur désobéir est interdit pas Allah soubhanou wa ta’ala. Une fois que l’ignorant et celui qui s’est islamisé l’ont appris, ils sont apostats, Puisse Allah soubhanou wa ta’ala nous en prémunir, si jamais ils continuent à commettre cette faute, à plus forte raison un étudiant : son péché est plus considérable.

Sur Katibin.fr, rien de neuf.

Sur journal du musulman.fr, rien de neuf.

Sur islam et info.fr, voici les titres.

France : Une islamophobe terrorise les femmes voilées à Perpignan !
Nous continuons à vous faire parvenir les témoignages glaçants de mères portant le hijab qui sont victimes d’une traque islamophobe en plein Perpignan.
Agressions, attaque à la voiture, menace avec un couteau, faut-il un drame pour que le préfet de la région se saisisse de l’affaire sérieusement ?
A vous de faire savoir ce qui peut se passer en 2017 en France sans réaction proportionnée des médias, des politiques et des services.
– COMMUNIQUE DU CRI –.
Depuis plusieurs mois, à Perpignan et dans le secteur des écoles Romain Roland et Cassanyes des agressions parfois physiques ou verbales sont perpétrées par une femme qui quelques fois exhibe également un couteau qu’elle porte dans son sac à main.
Les victimes ont des points communs ; ce sont toutes des femmes, elles sont lors de ses agressions la plupart du temps en présence de leurs enfants, elles ont toutes la même religion, elles portent toutes le voile.
On parle de tentative d’écrasement par véhicule , d’agression physique sur une femme enceinte accompagnée de son fils sur un passage piéton !
Elles ont porté plainte. Cette islamophobe met en danger tout les enfants et les mères portant un voile sur Perpignan.
La Coordination contre le Racisme et l’Islamophobie des P-O les accompagnent dans leurs démarches afin d’obtenir justice. Nous savons que cela concerne hélas bien plus de victimes.
Nous lançons un appel. Si vous avez été agressée par cette femme raciste et que vous n’aviez oser porter plainte, vous pouvez encore le faire !
Ces agressions sont le résultat de la libération du discours médiatico-politique au relent ISLAMOPHOBE qui donne le sentiment aux agresseurs d’accomplir un acte d’héroïsme, ce qui rappelle les pages les plus noirs de notre histoire.
Pascal Boniface, directeur de l’institut des relations internationales (IRIS)
“On entend et on cite sur les musulmans, le même type d’arguments que l’on réservait aux juifs dans les années 30″
Nous appelons les autorités préfectorales ainsi que la mairie et la police à réagir rapidement afin de garantir la sécurité à ces femmes et a ces enfants traumatisés face à de lâche agressions islamophobe.
CRI 66, cri.perpignan@gmail.com, Mr Rhighi Abdelaziz.

Sur saphirnews.com, voici les titres, rien de neuf.

Attentat en Egypte : les imams de France appelés à élever des prières vendredi pour les victimes.
Le Conseil régional du culte musulman (CRCM) Rhône-Alpes a lancé, jeudi 30 novembre, un appel aux imams à élever des prières en hommage aux victimes de l’attentat contre une mosquée en Egypte, qui a provoqué la mort de 305 fidèles en pleine prière du vendredi 24 novembre.
Une semaine après la tragédie, l’instance régionale appelle également les imams à conduire des prêches ce vendredi 1er décembre « en faveur de la paix, de l’apaisement et de la stabilité ».
Pour le CRCM Rhône-Alpes, présidé par Benaissa Chana, cet attentat « vise à conduire le Sinaï au chaos » en s’attaquant à une mosquée, « lieu de paix, de sérénité et de quiétude ». Le CRCM exprime de cette façon « sa totale solidarité avec le peuple égyptien dans ces moments difficiles ».
Turquie : une fatwa contre le Bitcoin, une monnaie qui bat des records.
Le Bitcoin a franchi, mercredi 29 novembre, le seuil des 10 000 dollars (8 400 €), une valeur jamais atteinte jusqu’ici depuis la création de cette monnaie virtuelle en 2009. A son lancement, le Bitcoin ne valait pourtant que quelques centimes. Elle n’a cessé de monter pour devenir aujourd’hui une monnaie sur laquelle de très nombreux investisseurs ont misé dessus.
La valeur de cette cryptomonnaie, stockée sur un support électronique, a ainsi été multipliée par dix depuis le début de l’année 2017, faisant craindre une bulle spéculative qui, en explosant, finisse par ruiner des investisseurs parmi les moins avertis.
Cette monnaie digitale n’est cependant pas compatible avec l’islam, la spéculation faisant notamment partie des interdits en matière d’économie et de finance islamiques, a fait savoir mercredi le Diyanet, le ministère turc des Affaires religieuses à l’issue d’une réunion consacrée à cette question vendredi 24 novembre.
« Acheter et vendre des monnaies virtuelles n’est pas compatible avec la religion en raison du fait que leur évaluation est ouverte à la spéculation. Elles peuvent aussi être facilement utilisées dans le cadre d’activités illégales comme le blanchiment d’argent et elles ne sont pas sous le contrôle et la surveillance de l’Etat », a expliqué la plus haute autorité religieuse du pays.
Arabie Saoudite : quand une femme fait du wakeboard dans une ville inondée, (vidéo).
La vidéo diffusée sur le Web le 21 novembre fait le buzz depuis une semaine. En Arabie Saoudite, une femme, accessoirement voilée, a décidé de profiter des rues inondées de Djeddah pour faire du wakeboard.
La drôle de scène filmée montre une femme debout être tirée par une voiture en pleine rue pour une séance insolite de wakeboard. Et elle se débrouille plutôt bien avec sa planche !
La ville de Djeddah a subi d’importantes intempéries qui ont provoqué la mort de trois personnes.
reportage a voir sur saphirnews.com.

Sur oumma.com, voici les titres.

La population musulmane pourrait plus que doubler en Europe, à l’horizon 2050.
Alors que l’orage du nationalisme gronde sur le Vieux Continent, les dernières projections chiffrées établies par le très sérieux Pew Research Center, l’institut américain indépendant spécialisé dans l’étude de la démographie religieuse, risquent fort de faire l’effet d’un coup de tonnerre pour ceux que la présence musulmane en Europe dérange grandement.
On entend d’ici les cris d’orfraie poussés par nos polémistes de salons et autres propagandistes de l’islamophobie des beaux quartiers, en apprenant que les musulmans, dont ils souhaiteraient gommer la visibilité dans l’espace public, pourraient représenter entre 7,4% et 14% de la population européenne à l’horizon 2050, contre 4,9% en 2016.
Trois scénarios de flux ont été élaborés par l’institut américain, qui estime à 53% le taux de musulmans parmi les migrants arrivés en Europe entre 2010 et 2016, sur un périmètre comprenant les 28 pays membres de l’Union européenne (Royaume-Uni compris), la Norvège et la Suisse incluses.
Le premier scénario (immigration zéro), qui prévoit un arrêt immédiat et permanent de l’immigration même régulière vers les Etats concernés, estime que la population musulmane passerait de 4,9% à la mi-2016 à 7,4% des habitants de ces pays en 2050. Pew l’explique par le fait que “les musulmans sont plus jeunes (de 13 ans en moyenne) et ont une fécondité plus grande (environ un enfant de plus par femme) que les autres Européens“.
Le deuxième (immigration moyenne), qui prédit la poursuite de l’immigration légale en Europe et la fin de l’arrivée des migrants y cherchant asile, évalue que le nombre de musulmans atteindrait 11,2% de la population européenne en 2050.
Enfin, le troisième et dernier scénario (forte immigration), qui imagine la poursuite d’un afflux d’exilés jusqu’en 2050, avance que les musulmans représenteraient 14% de la population européenne. Soit une proportion près de trois fois supérieure à celle d’aujourd’hui, mais “considérablement moindre” que celle des chrétiens et des “sans religion” réunis, fait observer l’institut.
On n’ose imaginer la réaction épidermique de Finkielkraut, à la lecture de cette étude publiée jeudi et indiquant que la communauté musulmane française demeurerait la plus importante d’Europe, lui qui, récemment, frisait la crise d’hystérie en clamant que le hashtag #balancetonporc était un subterfuge (mais alors très grossier) pour « noyer le poisson de l’islam »… C’est plutôt le philosophe, atteint d’une obsession maladive de l’islam et d’un ridicule achevé, qui est en train de se noyer dans un verre d’eau !
Ne lui en déplaise, les 5,7 millions de citoyens français de confession musulmane (soit 8,8% de la population), tels qu’ils ont été dénombrés en 2016 par le Pew Research Center, continueraient de caracoler en tête des communautés musulmanes européennes, que ce soit dans le cadre d’une « immigration zéro » (8,6 millions, soit 12,7% de la population), d’une « immigration moyenne » (12,6 millions soit 17,4% de la population), voire d’une « immigration forte (13,2 millions, soit 18% de la population).
Donald Trump critiqué par Theresa May pour avoir retweeté des vidéos islamophobes.
C’est à se demander si l’outrancier Donald Trump sait faire autre chose que tweeter, en désacralisant chaque fois un peu plus la fonction suprême, quand il joue les maîtres du monde derrière le Bureau ovale…
On reste atterré devant la rare inconséquence du 45ème président des Etats-Unis qui gazouille à tort et à travers, en exacerbant particulièrement la haine anti-musulmans, et plus encore devant l’inertie de son entourage proche qui serait bien inspiré de lui confisquer ses joujoux électroniques, avant qu’une grave crise diplomatique n’éclate.
L’homme fort de Washington, selon la formule consacrée, a encore fait des siennes depuis sa tour d’ivoire dorée, en retweetant trois vidéos hautement délétères publiées par la sulfureuse Jayden Fransen, la vice-présidente du parti d’extrême droite britannique Britain First.
Donald Trump est-il à ce point irresponsable et oisif qu’il n’ait rien trouvé de mieux à faire que de relayer des vidéos islamophobes abjectes, qui polluent le Net depuis plusieurs années, sous l’impulsion maléfique des ultras du nationalisme et autres suprémacistes blancs ?
Ces vidéos aux titres choc et racoleurs sont diffusées sans garde-fous et, bien évidemment, sorties de leur contexte pour mieux faire trembler dans les chaumières : « Un immigré musulman tabasse un Néerlandais en béquilles!», «Un musulman détruit une statue de la Vierge Marie!» et «Foule islamiste pousse un adolescent du toit et le bat à mort ! ».
Mais c’était sans compter la réaction scandalisée de Theresa May, la Première ministre britannique, qui, rompant avec la traditionnelle langue de bois diplomatique et contrastant avec le ton cordial qui caractérise les échanges entre deux alliés si proches, a reproché à son homologue américain d’avoir commis « une erreur ».
Piqué au vif, le m’as-tu-vu, raciste et sexiste, de la bannière étoilée, loin de calmer le jeu, a au contraire répondu sèchement aux critiques venues de l’autre côté de l’Atlantique, de surcroît émises par une femme…
La consternation qui a étreint l’ami de toujours, le Royaume-Uni, a traversé l’océan pour gagner les rangs des démocrates américains, affligés d’avoir aux commandes d’un « pays qui protège la liberté de religion et où vivent des millions de musulmans, un islamophobe notoire », et pire encore, fier de l’être.
Reportage sur la Maison Soufie à Saint-Ouen.
Oumma s’est déplacée à Saint-Ouen pour un reportage sur la Maison Soufie qui “est un espace polyvalent visant à faire rayonner les enseignements du Soufisme sous tous ses aspects, culturel , artistique, intellectuel et spirituel.” Dans cette vidéo, son directeur Abd el Hafid Benchouk nous présente cette Maison Soufie ainsi que le programme de la première édition du Festival Soufi de Paris sous le thème : « La cité, au coeur… » qui aura lieu du 24 novembre au 17 décembre 2017.
reportage a voir sur oumma.com.

Sur Mizane.info, voici les titres.

L’appel d’Omar Sy en faveur des réfugiés rohingyas.
Plusieurs artistes dont le comédien Omar Sy ont fait le déplacement dans un camp de réfugiés Rohingyas, cette minorité musulmane chassée de Birmanie et du Bangladesh, pour témoigner de la situation et appeler à la solidarité humanitaire. Un appel qui n’est pas tombée dans l’oreille de sourds. La vidéo et le hashtag #LoveArmyForRohingya faisaient partie des tendances twitter les plus virales. Plus d’un million de dollars a été réuni en leur faveur.
reportage a voir sur Mizane.info.
Ziauddin Sardar : l’accord entre foi et raison a permis l’essor scientifique en Islam.
Ziauddin Sardar est un écrivain, érudit et intellectuel londonien extrêmement prolifique. Dans un long article en anglais publié par nos partenaires de islam-science.net, et traduit par Mizane Info, il traite de la question du statut de la science dans la philosophie de la connaissance islamique. Enrichi par de nombreux exemples historiques replacés dans leur contexte, l’auteur plaide pour un mariage éclairé et intelligent entre foi et raison et rappelle, à l’inverse des postures de rupture contemporaine, que la condition de l’émergence massive de nombreux savants musulmans à l’âge d’or islamique reposait sur cette alliance synthétique, féconde et équilibrée.
Dans son approche de l’étude de la nature, l’Islam tente de synthétiser la raison et la révélation, la connaissance et les valeurs. Les connaissances acquises par des efforts humains rationnels et par le Coran sont considérées comme complémentaires : toutes deux sont des « signes de Dieu » qui permettent à l’humanité d’étudier et de comprendre la nature. Entre le IIe et le VIIIe siècle, lorsque la civilisation musulmane était à son zénith, la métaphysique, l’épistémologie et les études empiriques de la nature fusionnèrent pour produire une explosion d‘ « esprit scientifique ». Des savants comme Ibn al-Haytham, ar-Razi, Ibn Tufayl, Ibn Sina et al-Biruni ont associé les idées de Platon et d’Aristote sur la raison et l’objectivité avec leur foi musulmane, produisant ainsi une synthèse unique de religion et de philosophie. Ils ont également mis l’accent sur la méthodologie scientifique, donnant de l’importance à l’observation systématique, l’expérimentation et la construction de la théorie. Initialement, l’enquête scientifique était motivée par les besoins liés aux pratiques quotidiennes de l’Islam. Par exemple, les développements en astronomie ont été influencés par le fait que les temps de la prière musulmane étaient définis astronomiquement et que sa direction était définie géographiquement. À un stade ultérieur, la quête de la vérité pour elle-même est devenue la norme, entraînant de nombreuses nouvelles découvertes et innovations. Les scientifiques musulmans ne reconnaissaient pas les frontières disciplinaires entre les « deux cultures » de la science et des sciences humaines, et les chercheurs individuels avaient généralement tendance à être polymathes. Récemment, des érudits musulmans ont commencé à développer une philosophie islamique contemporaine de la science en combinant des concepts islamiques fondamentaux tels que « ilm » (connaissance), « khilafa » (vicariat sur le monde) et « istislah » (intérêt public) dans un cadre de politique scientifique intégrée.
La synthèse entre science et métaphysique.
L’inspiration musulmane pour l’étude de la nature vient directement du Coran. Le Coran demande spécifiquement et à plusieurs reprises aux musulmans d’enquêter systématiquement sur les phénomènes naturels, non seulement comme un moyen de comprendre la nature, mais aussi comme un moyen de se rapprocher de Dieu. Dans la sourate 10, par exemple, nous lisons : « C’est lui qui a fait du soleil une [source de] lumière radiante et de la lune une lumière [réfléchie], et a déterminé pour elle des phases afin que vous sachiez calculer les années et mesurer [le temps] … dans l’alternance de la nuit et du jour, et dans tout ce que Dieu a créé dans les cieux et sur la terre, il y a des signes pour ceux qui sont conscients de Lui ». (Sourate 10: 5-6). Le Coran consacre aussi environ un tiers de ses versets à la description des vertus de la raison. L’investigation scientifique, fondée sur la raison, est ainsi vue dans l’Islam comme une forme de culte. La raison et la révélation sont des méthodes complémentaires et intégrées pour la poursuite de la vérité. La philosophie de la science dans l’Islam classique est un produit de la fusion de cette métaphysique avec la philosophie grecque. Nulle part cela n’est plus apparent que dans la théorie de la connaissance humaine d’Ibn Sina qui, après Al-Farabi, transfère le schéma coranique de la révélation à la philosophie grecque. Dans le Coran, le Créateur s’adresse à un homme – le Prophète – par l’intermédiaire de l’archange Gabriel ; dans le schéma néoplatonicien d’Ibn Sina, la parole divine est transmise à la raison et la compréhension à toute personne qui se soucie d’écouter.
Pour al-Biruni, les universaux sont sortis d’un travail pratique et expérimental ; les théories sont formulées après les découvertes. La critique était la clé pour progresser vers la vérité.
Le résultat est un amalgame de rationalisme et d’éthique. Pour les savants musulmans, les valeurs sont objectives et le bien et le mal sont des caractéristiques descriptives de la réalité qui ne sont pas moins présentes dans les choses que leurs autres qualités, telles que la forme et la taille. Dans ce cadre, toute connaissance, y compris la connaissance de Dieu, peut être acquise par la raison seule. L’humanité a le pouvoir de savoir et d’agir et est ainsi responsable de ses actions justes et injustes. Ce que cette philosophie impliquait à la fois en termes d’étude de la nature et de façonnement du comportement humain a été illustrée par Ibn Tufayl dans son roman intellectuel, Hayy ibn Yaqzan.
Hayy est un humain spontanément généré qui est isolé sur une île. Grâce à son pouvoir d’observation et à l’utilisation de son intellect, Hayy découvre des faits généraux et particuliers sur la structure de l’univers matériel et spirituel, déduit l’existence de Dieu et parvient à un système théologique et politique. Tandis que les savants mu’tazilites avaient de sérieuses différences philosophiques avec leurs principaux adversaires, les théologiens ash’arites, les deux écoles s’accordaient sur l’étude rationnelle de la nature. Dans son al-Tamhid, Abu Bakr al-Baqillani définit la science comme « la connaissance de l’objet tel qu’il est réellement ». Tout en réagissant aux violations des mu’tazilites dans les domaines de la foi, les ash’arites ont reconnu la nécessité d’une étude objective et systématique de la nature. En effet, certains des plus grands scientifiques de l’Islam, comme Ibn al-Haytham (mort en 1039), qui a découvert les lois fondamentales de l’optique, et al-Biruni (mort en 1048), qui mesuraient la circonférence de la terre et discutaient de la rotation de la terre sur son axe, étaient des partisans de la théologie ash’arite.
La vérité, rien que la vérité.
La préoccupation générale des scientifiques musulmans était la délimitation de la vérité. Comme Ibn al-Haytham l’a déclaré, «la vérité est recherchée pour elle-même », et al-Biruni a confirmé dans l’introduction à son al-Qanun al-mas’udi : « Je ne fuis pas la vérité de quelque source qu’elle vienne ». Cependant, il y avait des disputes au sujet du meilleur chemin pour atteindre la vérité rationnelle. Pour Ibn Sina, les questions générales et universelles sont venues en premier et ont conduit au travail expérimental. Il commence son al-Qanun fi’l-tibb (Canon de médecine), qui était un texte standard en Occident jusqu’au XVIIIe siècle, avec une discussion générale sur la théorie de la drogue. Pour al-Biruni, cependant, les universaux sont sortis d’un travail pratique et expérimental ; les théories sont formulées après les découvertes.
La critique était la clé pour progresser vers la vérité. Comme l’a écrit Ibn al-Haytham, « il est naturel pour tout le monde de considérer favorablement les scientifiques …. Dieu, cependant, n’a pas préservé le scientifique de l’erreur et n’a pas protégé la science contre les défauts » (voir Sabra 1972). C’est pourquoi les scientifiques sont souvent en désaccord entre eux. Ceux qui s’intéressent à la science et à la vérité, poursuit Ibn al-Haytham, « devraient se transformer en critiques hostiles » et devraient critiquer « à tous les points de vue et sous tous les aspects ». En particulier, les défauts dans le travail des prédécesseurs devraient être impitoyablement exposés. Les idées d’Ibn al-Haytham, d’al-Biruni et d’Ibn Sina, ainsi que de nombreux autres scientifiques musulmans, ont jeté les bases de « l’esprit scientifique » tel que nous le connaissons.
Méthodologie, modèles et constructions théoriques.
La « méthode scientifique », telle qu’elle est comprise aujourd’hui, a d’abord été développée par les scientifiques musulmans. Les partisans du mu’tazilisme et de l’ash’arisme accordaient beaucoup d’importance à l’observation systématique et à l’expérimentation. L’insistance sur l’observation précise est amplement démontrée dans le zij, la littérature des manuels et des tables astronomiques. Ceux-ci ont été constamment mis à jour, avec des scientifiques vérifiant et corrigeant le travail des chercheurs précédents. En médecine, les observations cliniques détaillées et très précises d’Abou Bakr Muhammad al-Razi, au début du IIIe siècle de l’Hégire, nous fournissent un modèle universel. Al-Razi a été le premier à observer avec précision les symptômes de la variole et a décrit de nombreux « nouveaux » syndromes. Cependant, ce n’était pas seulement une observation précise qui était importante ; la clarté et la précision avec lesquelles les observations sont décrites sont également significatives, comme l’a montré Ibn Sina dans ses écrits. L’accent sur la construction de modèles et la construction de la théorie peut être vu dans la catégorie de la littérature astronomique islamique connue sous le nom d’ilm al-haya ou science de la structure de l’univers, qui consiste en une exposition générale des principes sous-jacents à la théorie astronomique. C’est sur la base de l’observation précise et de la construction de modèles que l’astronomie islamique a lancé une attaque rigoureuse sur ce qui était perçu comme un ensemble d’imperfections dans l’astronomie de Ptolémée. Ibn al-Haytham fut le premier à déclarer catégoriquement que les arrangements proposés pour les mouvements planétaires dans l’Almagest étaient « faux ». Ibn Shatir (mort en 1375) et les astronomes du célèbre observatoire de Maragha, Adharbayjan, construit au XIIIe siècle par Nasir al-Din al-Tusi, développèrent le couple Tusi et un théorème pour la transformation des modèles excentriques en modèles épicycliques. C’est ce modèle mathématique que Copernic a utilisé pour développer sa notion d’héliocentrisme, qui a joué un rôle important dans la « révolution scientifique » européenne.
Les conditions de l’essor scientifique du monde musulman.
En dehors des sciences exactes, le domaine le plus approprié et intéressant dans lequel le travail théorique jouait un rôle essentiel était la médecine. Les médecins musulmans ont tenté d’améliorer la qualité de la pratique médicale et leurs utilisations thérapeutiques par un développement théorique continu. L’accent a également été mis sur l’élaboration d’une terminologie précise et la garantie de la pureté des médicaments, une préoccupation qui a conduit à un certain nombre de procédures chimiques et physiques précoces. Les auteurs musulmans étant d’excellents organisateurs de la connaissance, leurs textes purement pharmacologiques étaient eux-mêmes une source de développement des théories. L’évolution des théories et la découverte de nouveaux médicaments ont lié la croissance de la médecine islamique à la chimie, à la botanique, à la zoologie, à la géologie et au droit, et ont conduit à de nombreuses élaborations de classifications grecques.
Dans sa philosophie et sa méthodologie, l’Islam a cherché une synthèse complète de la science et de la religion. Des polymathes tels que al-Biruni, al-Jahiz, al-Kindi, Abu Bakr Muhammad al-Razi, Ibn Sina, al-Idrisi, Ibn Bajja, Omar Khayyam, Ibn Zuhr, Ibn Tufayl, Ibn Rushd, as-Suyuti et des milliers d’autres savants n’ont pas été une exception mais la règle générale dans la civilisation musulmane.
Les connaissances pharmacologiques devinrent ainsi plus diversifiées et produisirent de nouveaux types de littérature pharmacologique. Comme cette littérature abordait son sujet à partir d’un certain nombre de perspectives disciplinaires différentes et d’une grande variété de nouvelles directions, de nouvelles façons d’envisager la pharmacologie se sont développées ; de nouvelles zones ont été ouvertes pour une exploration plus poussée et une investigation plus détaillée. La fabrication du papier rend la publication plus complète et moins coûteuse que l’utilisation du parchemin et du papyrus, ce qui a rendu les connaissances scientifiques beaucoup plus accessibles aux étudiants. Alors que les scientifiques musulmans accordaient une confiance considérable à la méthode scientifique, ils étaient également conscients de ses limites.
Même un adepte du réalisme mathématique, comme al-Biruni, a soutenu que la méthode d’enquête dépendait de la nature de l’investigation : différentes méthodes, toutes également valables, étaient nécessaires pour répondre à différents types de questions. Al-Biruni lui-même a eu recours à un certain nombre de méthodes. Dans son traité sur la minéralogie, Kitab al-jamahir (Livre des pierres précieuses), il est le plus exact des scientifiques expérimentaux. Cependant, dans l’introduction de son étude novatrice sur l’Inde, il déclare que « pour exécuter notre projet, il n’a pas été possible de suivre la méthode géométrique » ; il recourt donc à la sociologie comparative.
Une inflation de savants polymathes.
Le travail d’un érudit du calibre et de la prolificité d’al-Biruni défie inévitablement la simple classification. Il a écrit sur la minéralogie, la géographie, la médecine, l’astrologie et toute une gamme de sujets qui traitaient de la datation des festivals islamiques. Al-Biruni est un produit spécifique d’une philosophie de la science qui intègre la métaphysique à la physique, n’attribue ni à une position supérieure ni à une position inférieure, et insiste sur le fait que les deux sont dignes d’être étudiés et tout aussi valables. En outre, les méthodes d’étude de la vaste création de Dieu – du mouvement des étoiles et des planètes à la nature des maladies, l’aiguillon d’une fourmi, le caractère de la folie, la beauté de la justice, le désir spirituel de l’humanité, l’extase d’un mystique – sont tous également valables et façonnent la compréhension dans leurs domaines respectifs d’enquête. Dans sa philosophie et sa méthodologie, l’Islam a cherché une synthèse complète de la science et de la religion. Des polymathes tels que al-Biruni, al-Jahiz, al-Kindi, Abu Bakr Muhammad al-Razi, Ibn Sina, al-Idrisi, Ibn Bajja, Omar Khayyam, Ibn Zuhr, Ibn Tufayl, Ibn Rushd, as-Suyuti et des millirs d’autres savants n’ont pas été une exception mais la règle générale dans la civilisation musulmane. La civilisation islamique de la période classique était remarquable par le nombre de polymathes qu’elle produisait. Ceci est considéré comme un témoignage de l’homogénéité de la philosophie islamique de la science et de l’accent mis sur la synthèse, les recherches interdisciplinaires et la multiplicité des méthodes.
Les tentatives de renaissance scientifique.
À la fin du XXe siècle, des érudits, des scientifiques et des philosophes du monde musulman tentent de formuler une version contemporaine de la philosophie de la science islamique. Deux mouvements dominants ont émergé. Le premier s’inspire du mysticisme soufi et soutient que les notions de « tradition » et de « sacré » devraient constituer le noyau de l’approche islamique de la science. La seconde affirme que les questions de science et de valeurs dans l’Islam doivent être traitées dans le cadre de concepts qui façonnent les objectifs d’une société musulmane. Dix concepts islamiques fondamentaux ont été identifiés comme constituant le cadre dans lequel la recherche scientifique devrait être menée, quatre autonome et trois paires opposées : tawhid (unité), khilafa (vicariat), ‘ibada (adoration),’ ilm (connaissance), halal (licite) et haram (illicite), ‘adl (justice) et zulm (tyrannie), istislah (intérêt public) et dhiya (souillure). On fait valoir que, lorsqu’il est traduit en valeurs, ce système de concepts islamiques embrasse la nature de la recherche scientifique dans sa totalité ; elle intègre les faits et les valeurs et institutionnalise un système de savoir fondé sur la responsabilité sociale. Il est trop tôt pour dire si l’un ou l’autre de ces mouvements portera de vrais fruits.

Sur des domes et des minarets.fr, rien de neuf.

Sur Actualite islamique de Belgique, rien de neuf.

Sur agence media palestine.fr, voici les titres.

Plus de cent vingt groupes de défense des droits de l’homme exhortent le Giro d’Italia à déplacer le départ d’Israël en raison des violations des droits des Palestiniens.
Aujourd’hui, plus de cent-vingt organisations de défense des droits humains, syndicats, associations de tourisme éthique, groupes sportifs et confessionnels de plus de 20 pays lancent un appel international appelant l’événement majeur cycliste Giro d’Italia à déplacer son « Big Start » 2018 d’Israël en raison des graves et croissantes violations du droit international et des droits humains des Palestiniens.
Le célèbre linguiste Noam Chomsky, les éminents juristes John Dugard et Richard Falk ancien rapporteur spécial des Nations Unis sur la Palestine, le dramaturge italien Moni Ovadia, les parlementaires européens Eléonore Forenza, Curzio Maltese et Sergio Cofferati, l’ancienne vice-présidente du Parlement européen Luisa Morgantiniont également signé l’appel.
L’appel est lancé à la veille de la présentation officielle de la course prévue le 29 novembre à Milan, qui coïncide avec la Journée internationale de solidarité des Nations Unies avec le peuple palestinien.
Les signataires soulignent que la tenue du Giro d’Italia en Israël masquerait à la fois l’occupation militaire israélienne, la discrimination contre les Palestiniens et augmenterait le sentiment d’impunité d’Israël, encourageant le déni continu des droits des Palestiniens tels que stipulés par les Nations Unies.
Giro d’Italia travaille avec la société israélienne Comtec Group, l’organisateur de l’événement «Big Start», qui a des activités dans les colonies israéliennes illégales. Dans des images officielles de course, cartes et vidéos , le Giro d’Italia décrit de manière trompeuse Jérusalem-Est, qui est sous occupation militaire israélienne depuis cinquante ans, comme si elle faisait partie d’Israël et la capitale unifiée de l’État d’Israël.
L’étape finale prévue pour le sud d’Israël passera par des douzaines de villages bédouins palestiniens qu’Israël refuse de reconnaître ou à qui Israël refuse de fournir « les services les plus élémentaires, y compris électricité, eau, cliniques, écoles et routes », l’un de ces villages ayant été détruit plus de cent fois .
Les soutiens de la déclaration condamnent également le projet du Giro d’Italia de « célébrer » 70 ans de la création de l’État d’Israël alors que les Palestiniens commémorent 70 ans de dépossession, de déplacement forcé et de déni des droits des réfugiés palestiniens conformément aux résolutions des Nations Unies .
Quelques jours avant le Giro d’Italia, l’équipe nationale israélienne de cyclisme, en lice pour l’une des quatre invitations privilégiées au Giro d’Italia, participera à une course illégale à travers Jérusalem-Est occupée jusqu’à la colonie illégale de Pisgat Ze’ev. La Fédération israélienne de cyclisme sponsorise et organise des compétitions de la ligue nationale dans les zones sous occupation militaire israélienne.
L’appel exhorte le propriétaire de la course, RCS MediaGroup, à «déplacer le départ de la course vers un autre pays pour s’assurer de ne pas être impliqué dans les violations israéliennes du droit international et des droits humains palestiniens».
Les signataires rappellent également à RCS, aux équipes participantes et aux sponsors «les conséquences juridiques et les atteintes à la réputation découlant de la collaboration avec des institutions israéliennes et des entreprises impliquées dans des violations des droits humains et du droit international».
Bien que RCS affirme qu’il s’agit d’un évènement purement sportif, aucun des commentateurs cyclistes n’est dupe de la manœuvre. Ainsi, le départ de la course en Israël a été décrit par les journalistes et les journalistes sportifs comme un «coup de maître de la diplomatie douce» , un «coup de relations publiques » et un «polissage de l’image» en échange de millions d’euros de parrainage officiel israélien.
Des groupes de la société civile palestinienne ont également écrit au Pape François pour l’exhorter à ne pas accepter l’invitation du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu à donner le départ de la course en Israël l’année prochaine et à ne pas « associer son nom d’une quelconque façon au Tour cycliste d’Italie 2018 en raison de l’insistance malheureuse à blanchir l’occupation militaire d’Israël et les graves violations des droits humains. «
Des milliers de défenseurs des droits de l’homme et de passionnés de cyclisme ont écrit à RCS pour lui demander de déplacer le départ d’Israël.
Des villes de toute l’Italie organiseront des manifestations sur deux roues , les 25 et 26 novembre, pour protester contre l’utilisation d’un sport étroitement associé à la liberté afin de masquer l’occupation militaire brutale et le régime d’apartheid d’Israël.
Rencontre « Voix juives décoloniales ».
Eléonore Merza-Bronstein et Eitan Bronstein (De-Colonizer) et Maxime Benatouil (UJFP) aborderont les mouvements décoloniaux en Israël/Palestine et en France, le croisement des répressions ici et là-bas, ainsi que les spécificités d’une voix juive au sein de l’antiracisme politique et du mouvement de solidarité avec la Palestine. Une discussion ouverte est prévue.
Le 5 décembre à 19h30 au CICP 21ter rue Voltaire 75011 PARIS.
Venez nombreux/euses !
Pour info :
De-Colonizer est un centre de recherche alternatif sur Palestine / Israël, crée par des militantEs anticolonialistes à Tel Aviv. Fortement enraciné dans le mouvement de solidarité avec le peuple palestinien, l’objectif de De-Colonizer est de dénoncer la nature coloniale du régime israélien et de décoloniser la société israélienne, notamment en produisant des outils scientifiques et militants.
De-Colonizer est un laboratoire de recherche et d’art ouvrant un nouvel espace pour penser et créer de pour touTEs celles/ ceux qui souhaitent vivre ensemble et dans une égalité réelle en Palestine/ Israël. Mais « vivre ensemble », « paix » ou « cohabitation » ne sont que des coquilles vides sans la reconnaissance essentielle que nous sommes des occupantEs, et sans un processus profond de décolonisation de notre propre société et de notre identité collective de colons.
Pour cela, nous dressons la perspective d’un futur dépassant le régime colonialiste et raciste dans lequel nous vivons actuellement au profit d’un nouvel espace commun dans lequel touTEs seraient égaLES/aux. Il n’y a pas d’occupation sereine, dans tout contexte colonial, le colon, l’occupant paie aussi un prix. Nous pensons que les JuifVEs-IsraélienNEs paient également le prix du projet colonial, plus d’actualité que jamais, en vivant dans une peur constante et sans espoir de paix.
De-Colonizer a été établi en Janvier 2015 par Eitan Bronstein, fondateur de l’ONG Zochrot et militant anticolonialiste israélien et Eléonore Merza, anthropologue du politique, spécialiste de la société israélienne contemporaine, militante féministe et anticolonialiste franco-syrienne.
Nous vous invitons à un voyage inédit au cœur de la société israélienne, à travers une présentation de notre travail et des vidéos, et nous vous présenterons notre dernière carte « Colonialisme en destru(A)ction : Localités palestiniennes, syriennes et juives détruites depuis le début du sionisme jusqu’à aujourd’hui ».
Événement Facebook.
Pour plus de renseignements sur De-Colonizer.
Voir en ligne : l’évènement sur Démosphère.
Rendez-vous.
À Paris (11ème), rencontre « Voix juives décoloniales ».
Le mardi 5 décembre 2017 de 19h30 à 21h30.
au CICP, 21ter, rue voltaire, 75011 PARIS.
Source : Union juive française pour la paix.

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

Raids aériens israéliens intensifs sur la Bande de Gaza, au moins trois blessés
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3 Palestiniens ont été légèrement blessés jeudi soir dans une série de raids intensifs par les avions militaires d’occupation israéliens sur des sites de la résistance palestinienne dans toute la bande de Gaza.
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Le Mossad impliqué dans l’attentat du Sinaï (Analyse)
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Un palestinien tué par un colon à Qusra
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Jordanie : 4 conditions pour la réouverture de l’ambassade israélienne
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Des ONG appellent l’ONU à annuler la résolution sur la partition de la Palestine
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Des photographies suspectes de l’armée d’occupation dans la vallée du Jourdain
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Abbas menace ceux qui tiennent des propos nuisibles à la réconciliation
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Guterres se dit « résolu » à concrétiser la solution à deux Etats
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Al-Sinwar appelle les factions palestiniennes à une réunion urgente
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Tel-Aviv : Deux palestiniens arrêtés pour possession de couteau
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Exercices militaires et explosions dans les environs de Qalqiliya
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L’occupation arrête un activiste du bloc islamique à l’université de Birzeit
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Les Marocains exigent la criminalisation de la normalisation avec Israël
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La réunion des factions à Gaza a-t-elle empêché l’effondrement de la réconciliation?
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L’occupation transforme un site historique à Jérusalem en un complexe résidentiel
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France: La femme et le fils d’un prisonnier palestinien invités en mairie de Bezons
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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