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Flash info du 4 Dhou al Qa’da 1438.

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France : Saint-Etienne-du-Rouvray : « Non, la haine n’a pas triomphé et elle ne triomphera pas ».
Un hommage national a été rendu au matin du mercredi 26 juillet au Père Jacques Hamel à Saint-Etienne-du-Rouvray (Seine-Maritime).
Une messe a d’abord été célébrée à 9h à l’église de Saint-Etienne de Saint-Etienne-du-Rouvray par Mgr Dominique Lebrun, archevêque de Rouen. Le président de la République Emmanuel Macron, son Premier ministre Edouard Philippe et le ministre de l’Intérieur Gérard Collomb y ont assisté aux côtés de Roselyne Hamel, la sœur du prêtre, de Joachim Moyse, maire de la ville, et du député Hubert Wulfranc.
« Vous êtes là ce matin, entourés mais encore atterrés, peut-être révoltés ou simplement fatigués, après une année particulièrement difficile », a déclaré Mgr Lebrun. « Aujourd’hui, nous faisons mémoire d’un père qui continue de veiller sur nous. Le père Hamel a été réduit au silence. Non, la haine n’a pas triomphé et elle ne triomphera pas. »
« La République n’a pas à combattre la religion, ni à se substituer à elle »
Aux alentours de 10h, une stèle républicaine pour la paix et la fraternité a été dévoilée. « A la mémoire de Jacques Hamel, prêtre catholique », est-il inscrit, accompagné des articles de la Déclaration universelle des droits de l’homme de 1948.
« La Déclaration rappelle notre attachement aux valeurs républicaines qui sont les nôtres : la liberté, l’égalité et la fraternité », a expliqué le maire de Saint-Etienne-du-Rouvray, en présence du chef de l’Etat. « La cicatrisation sera longue. Mais le sang versé nous a mobilisé dans notre irréversible volonté de vivre ensemble. Pour qu’à jamais, les Stéphanais et les Stéphanaises demeurent unis dans l’espoir et dans la paix », a-t-il ajouté.
Emmanuel Macron, pour qui « le visage de Jacques Hamel est devenu le visage de ce qui, en nous, refuse cette culture de mort, et ce terrorisme arrogant. », a salué la réaction des catholiques, les remerciant « d’avoir trouvé la force du pardon, d’avoir refusé cette soif de vengeance et de représailles ».
« La République, oui, repose sur l’amour et le respect de l’humanité. Chacun œuvre à cet idéal, avec ses croyances, avec sa philosophie, sa morale. Lorsque c’est la foi qui soutient cet idéal, elle a toute sa place dans la République. C’est pour cela que la République garantit la liberté de croire, comme la liberté de ne pas croire. C’est pour cela qu’elle protège les lieux de culte. La République n’a pas à combattre la religion, ni à se substituer à elle. Elle œuvre chaque jour à ce que chacun puisse croire, en homme libre », a-t-il indiqué.
« Passons ensemble vers la lumière de l’amour ! »
« Permettez-moi, au nom même du Père Jacques Hamel, de lancer cet appel à ceux qui hésitent encore : quittez l’ombre de la haine, passons ensemble vers la lumière de l’amour ! Quittez l’ombre de la division et passons ensemble à la lumière de l’unité ! Quittez l’ombre des mensonges, des égoïsmes et des égos, passons ensemble à la lumière de la vérité et de la fraternité ! Quittez l’ombre de la guerre, passons ensemble à la lumière de la paix ! », a fait part Mgr Lebrun.
La cérémonie prend fin à 18h avec une prière du soir (vêpres) à la basilique Notre-Dame de Bonsecours, suivie d’un temps de prière sur la tombe du père Jacques Hamel avec la délégation musulmane qui prendra la parole.
saphirnews.com
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France : Calais : la police accusée de gazages routiniers au poivre contre les migrants.
La police française est accusée par un rapport de Human Rights Watch (HRW) d’utiliser régulièrement du gaz de poivre contre les migrants à Calais.
« L’usage de sprays au gaz poivre par la police à Calais est tellement répandu que beaucoup de demandeurs d’asile et de migrants avaient du mal à se rappeler précisément combien de fois ils en avaient été victimes », rapporte l’organisation de défense des droits humains dans le rapport « ‘C’est comme vivre en enfer’ : Abus policiers à Calais contre les migrants, enfants et adultes ».
Entre fin juin et début juillet 2017, HRW a interrogé 61 migrants dont 55 qui se souviennent avoir subi un gazage pendant leur sommeil, quelques jours avant l’entretien. Le rapport explique que ces opérations provoquent « une cécité temporaire, de fortes douleurs oculaires et des difficultés respiratoires, qui durent en général de 30 à 40 minutes ».
« Parfois ils aspergent même de gaz poivre la nourriture et l’eau des migrants – tout cela apparemment dans le but de les pousser à quitter la région », indique également l’ONG. « De tels agissements de la part de la police violent l’interdiction d’infliger un traitement inhumain et dégradant, mais aussi les normes internationales de comportement des forces de l’ordre. »
« On est dans des pratiques qui s’inscrivent dans la routine, sans qu’il y ait de sanctions, alors que ce sont des abus graves », affirme Bénédicte Jeannerod, directrice de HRW France. Waysira, un des adolescents interrogés, témoigne que « chaque jour, la police nous poursuit. Ils utilisent leurs sprays. Ils nous donnent des coups de pied. C’est ça notre vie, tous les jours ».
Fabien Sudry, préfet du Pas-de-Calais a « réfuté catégoriquement les allégations mensongères et calomnieuses » de l’ONG. « Les forces de police agissent bien entendu sur Calais dans le respect des règles de l’État de droit, avec le seul objectif de faire respecter l’ordre et la sécurité publics », a-t-il ajouté.
saphirnews.com
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Leçons vénézuéliennes.
La déstabilisation à grande échelle subie par le Vénézuela – dernier épisode d’une guerre larvée contre cet empêcheur de tourner en rond dans “l’arrière cour” impérialiste – vient administrer quelques leçons que les partisans d’un changement radical – c’est-à-dire tout autre que cosmétique – gagneraient à méditer. La première leçon, c’est qu’on ne peut construire une alternative politique sans prendre le risque d’un affrontement décisif avec les détenteurs du capital, qu’ils soient à l’intérieur ou à l’extérieur des frontières. Par alternative politique, on entendra exactement l’opposé de ce que l’on nomme “alternance”, c’est-à-dire la simple permutation des équipes au pouvoir. C’est un processus beaucoup plus profond, qui ne se contente pas de quelques modifications de surface, mais qui met explicitement en jeu les structures déterminant la répartition des richesses.
Cette alternative politique s’identifie donc avec la reprise expresse, par le peuple, des attributs de la souveraineté. Elle suppose la rupture des liens qui rattachent le pays au capital étranger dominant et au capital local “compradore” qui en dépend. Mais c’est une tâche colossale. A peine entreprise, la pesanteur objective des structures s’y conjugue avec la guerre acharnée que mènent les nantis pour conserver leurs privilèges de classe. La presse internationale décrit le Vénézuela comme un pays en faillite, mais elle oublie de préciser que cette faillite est celle d’un pays capitaliste latino-américain. Ce pays a accompli des progrès significatifs jusqu’en 2014, mais l’absence de transformation structurelle l’a laissé dans l’ornière de la dépendance économique. Ruiné par la chute des cours du pétrole, il n’a pas su – ou pu – bâtir un modèle alternatif.
Si les nervis de la droite vénézuélienne se déchaînent dans les rues de Caracas sous les vivats de la presse bourgeoise et des chancelleries occidentales, c’est parce que Maduro n’est ni Castro ni Tsipras. S’il était Castro, c’est-à-dire si le Vénézuéla avait pleinement restauré sa souveraineté et s’était engagé dans un processus de développement autonome non capitaliste, il n’y aurait pas de nervis à Caracas. Mais c’est de la politique fiction : Maduro n’est pas Castro, et le Vénézuela n’est pas Cuba. Inversement, Maduro n’est pas non plus de la graine d’un Tsipras. Il n’entend pas rendre les armes et céder à l’opposition malgré la crise économique gravissime que connaît le pays. Résolu – ou résigné – à occuper cet entre-deux, Maduro ne peut ni renier un chavisme dont il est l’héritier ni pousser les feux d’une “révolution bolivarienne” que la paralysie économique du pays et la victoire électorale de l’opposition ont suspendue de facto.
La crise qui sévit depuis 2014 a tendance à le faire oublier, mais le chavisme fut porté par un puissant mouvement social qui est loin d’avoir disparu – comme en témoigne la grande manifestation chaviste du 19 avril 2017 -. Depuis la première élection de Chavez en 1998, il a combattu les préjugés de race et de classe. Il a fait reculer de manière spectaculaire la pauvreté et l’analphabétisme. Nationalisant le pétrole, il a restitué à la nation la maîtrise de ses ressources naturelles. Bouleversant la politique étrangère du pays, il a rompu avec Israël, inventé l’alliance bolivarienne et défié l’Oncle Sam au coeur de son “arrière-cour” sud-américaine. Approuvé par le peuple vénézuélien, le chavisme a bousculé le désordre établi de manière séculaire en Amérique latine au profit des firmes multinationales nord-américaines et de la bourgeoisie raciste qui leur sert de VRP.
Bien sûr, la “révolution bolivarienne” n’a pas supprimé du jour au lendemain tous les maux de la société vénézuélienne, et elle traîna avec elle son lot d’erreurs et d’imperfections. Elle a utilisé la manne pétrolière pour sortir de la misère les couches sociales les plus déshéritées, mais elle a renoncé à transformer les structures sociales profondes du pays. Au Vénézuela, l’économie est toujours entre les mains d’une bourgeoisie réactionnaire qui en organise le sabotage pour exaspérer la crise et chasser Maduro du pouvoir. Ce n’est pas le gouvernement qui crée une inflation à trois chiffres, et l’immobilisme auquel le condamne une majorité parlementaire hostile devrait au moins tempérer les jugements hâtifs portés sur les responsabilités de l’exécutif.
Depuis l’élection de cette majorité réactionnaire, en décembre 2015, la droite vénézuélienne ouvertement appuyée par Washington et relayée par des médias locaux affidés rêve d’abattre Maduro et de liquider le chavisme. La “révolution bolivarienne” eut beau n’avoir de révolution que le nom, elle ne pouvait que déchaîner la haine revancharde des nantis et susciter l’hostilité mortifère des USA. Lorsqu’elle s’indigne des victimes – présumées – de la répression policière plutôt que des sanglantes opérations de l’ultra-droite, la gauche bien-pensante oublie qu’une protestation de rue n’est pas toujours progressiste, qu’une revendication démocratique peut servir de paravent à la réaction, et qu’une grève peut contribuer à la déstabilisation d’un gouvernement de gauche, comme le mouvement des camionneurs chiliens en fit la démonstration en 1973.
La leçon a été oubliée par les progressistes boboïsés des pays riches, mais les vrais progressistes latino-américains le savent : si l’on veut changer le cours des choses, il faut agir sur les structures. La nationalisation des secteurs-clé, la protection contre la mondialisation libérale, la restauration de l’indépendance nationale, la consolidation d’une alliance internationale des Etats souverains, la mobilisation populaire pour une meilleure répartition des richesses, l’alphabétisation, l’éducation et la santé pour tous sont les différentes facettes d’un même projet progressiste. Contrairement à ce que prétend une idéologie qui recycle les vieilles lunes social-démocrates, ce n’est pas sa radicalité qui condamne un tel projet à la défaite, mais la peur de l’assumer.
Dès qu’il s’attaque aux intérêts géopolitiques et géo-économiques des puissances dominantes, le projet progressiste franchit la ligne rouge. Ce cap une fois passé, toute imprudence peut devenir fatale. L’impérialisme et ses exécutants locaux ne font pas de cadeaux. Pourquoi faudrait-il leur en faire ? Franco n’a laissé aucune chance à la République espagnole (1936), ni la CIA à Mossadegh (1953), ni Mobutu à Lumumba (1961), ni Suharto à Soekarno (1965). Allende commit l’erreur tragique de nommer Pinochet au ministère de la Défense, et Chavez dut son salut en 2002 à la fidélité de la garde présidentielle. Il ne suffit pas d’être du côté du peuple, il faut se donner les moyens de ne pas le perdre en laissant ses ennemis prendre le dessus. Comme disait Pascal, il ne suffit pas que la justice soit juste, il faut aussi qu’elle soit forte.
Comme d’habitude, la majeure partie de la “gauche” occidentale ne comprend rien et elle hurle avec les loups. Comme si sa seule source d’information était “Le Monde”, elle exige de Maduro qu’il renonce au pouvoir pour mettre fin à la crise. Face à la rébellion de quelques milliers de fils de famille et d’une masse de lumpen-prolétaires manipulés, le président élu du Vénézuela devrait aller à Canossa. Capitulant devant la rue, il devrait renoncer à la convocation d’une Assemblée constituante (le 30 juillet) dont le mérite est pourtant, comme son nom l’indique, de remettre le pouvoir entre les mains du peuple. Faute d’avoir pu lui infliger le sort d’Allende, cette gauche “humaniste” se réjouirait, sans doute, de le voir finir comme Tsipras. Ce n’est pas gagné d’avance, et le peuple vénézuélien tranchera.
oumma.com
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Palestine : Jérusalem : crise des portiques ou éruption du chaudron colonial ?
Dans la nuit du 24 juillet, Benyamin Netanyahu a décidé de retirer les portiques de la discorde aux abords de l’Esplanade des mosquées au profit d’un système de surveillance aux contours encore flous mais que l’on sait plus discret. Israël a écouté les recommandations de son service de sécurité intérieur, le Shin Bet, qui martelait depuis plusieurs jours qu’ils ne constituaient pas un outil efficace pour lutter contre l’insécurité rampante sur l’Esplanade, alors que cinq Palestiniens et trois colons ont été tués depuis vendredi. Israël s’est plié aux injonctions de la communauté internationale, appelant courageusement au respect du statu quo de 1967 confiant la gestion de la sécurité du Haram el Sharif (le noble sanctuaire) à la Jordanie. Un retour au calme est annoncé, les passions religieuses des Palestiniens ayant été satisfaites. Ouf. Circulez, il n’y a plus rien à voir.
Voici, en substance, ce que l’on pouvait lire ce matin dans la plupart des grands titres de presse internationaux. Brillaient par leur absence toutes références explicites aux effets de la colonisation forcenée de Jérusalem depuis son annexion en 1967 et de la situation catastrophique à Gaza, que le blocus et la pénurie organisée d’électricité continuent d’asphyxier, comme si rien de tout cela n’était lié. C’est à se demander si le bureau de presse de Netanyahu ne leur a pas mâché le travail…
Commençons par appeler un chat un chat. Ce à quoi nous avons assisté à Jérusalem est un acte massif de désobéissance civile. Les Israéliens ont joué la carte de la sécurité pour s’assurer d’un contrôle plus étroit des abords de l’Esplanade, rompant de fait avec la logique du statu quo et faisant peser comme à son habitude la responsabilité de l’assassinat des policiers israéliens sur l’ensemble de la population palestinienne de Jérusalem. Mais les Palestiniens ont refusé de jouer le jeu de cet humiliant et inutile contrôle de sécurité. La désobéissance civile a ratissé bien plus large que le refus d’islamistes supposés, comme voudrait nous le faire croire l’extrême-droite religieuse et nationaliste israélienne, toujours prompt à instrumentaliser le fait religieux pour mieux dépolitiser l’analyse des mobilisations populaires palestiniennes – et, ainsi, dédouaner la puissance occupante et colonisatrice de toute responsabilité.
La solidarité active des Palestiniens chrétiens, venus nombreux aux abords de l’Esplanade des mosquées protester contre l’érection des portiques de sécurité, montre bien que la violation de la souveraineté des lieux saints musulmans n’est pas qu’une question strictement religieuse. L’opposition multiconfessionnelle à la provocation intrusive des forces de sécurité israéliennes nous rappelle que c’est d’une lutte de libération nationale dans un contexte colonial qu’il s’agit, d’une lutte contre l’accaparement de la seule partie de la Palestine qui ne soit pas sous contrôle israélien, d’une lutte contre l’effacement de leur présence historique et politique à Jérusalem, d’une lutte contre une étape supplémentaire de la colonisation de leur ville. Mais de tout cela, pas un mot.
Depuis la conquête de la partie orientale de la ville en 1967, Israël a fait de « Jérusalem réunifiée la capitale éternelle et indivisible du peuple juif ». Mesure-t-on la violence raciste de cette déclaration ? Réalise-t-on l’étendue des politiques publiques de dépossession déployées à l’encontre des « résidents permanents » palestiniens qui, pourtant soumis aux mêmes impôts que les Israéliens, ne disposent d’aucun droit politique, d’aucune protection juridique contre la violence des colons et des arrestations arbitraires de la police, d’aucune autorisation pour assurer le bon développement de leur communauté ? Nous contenterons-nous d’une opposition de principe à la colonisation de peuplement de la partie orientale de la ville à chaque annonce de construction de nouveaux blocs de logement, judaïsation de fait visant à rendre impossible la perspective d’en faire un jour la capitale d’un Etat palestinien souverain ?
Mais de tout cela, pas un mot. De la menace proférée par Tzachi Hanegbi, ministre de la coopération régionale et proche de « Bibi », menaçant les Palestiniens d’une troisième Nakba – c’est à dire d’une expulsion massive et donc d’un nettoyage ethnique – s’ils ne rentraient pas dans le rang, là non plus, pas un mot. Emmanuel Macron préfère garder le silence. C’est vrai qu’il avait déjà tout dit en annonçant, l’air grave, en présence de son « cher Bibi », « que l’antisionisme est une forme réinventée de l’antisémitisme ». L’Union Juive Française pour la Paix tient à apporter tout son soutien aux Palestiniens en lutt e à Jérusalem.
Le Bureau national de l’UJFP, le 25 juillet 2017.
oumma.com
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####### Aujourd’hui en Palestine #######
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Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
30 Journalistes blessés en deux semaines dans les évènements d’al-Aqsa
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Le Forum des médias palestiniens a fermement condamné les attaques continues de l’occupation contre les journalistes, indiquant que plus de 30 journalistes ont été différemment blessés au cours des deux dernières semaines
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Haniyeh adresse des messages aux dirigeants des pays arabes et islamiques pour soutenir Al-Aqsa
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400 mineurs palestiniens incarcérés dans les geôles de l’occupation
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La Knesset sioniste ratifie une loi consacrant le contrôle de Jérusalem
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Hébron: La Paix maintenant appelle à évacuer la maison volée par les colons
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CJUE: le Hamas retiré de la liste terroriste de l’UE
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Jérusalem occupée: des caméras de surveillance intelligentes installées dans les 6 mois
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Des colons prennent d’assaut une maison pour la confisquer
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Guerre américano-sioniste contre les militants de BDS
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Un Gazaoui arrêté par l’occupant sur les frontières de la Bande de Gaza
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L’occupation transfère le prisonnier gréviste Diab en détention administrative
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L’occupation arrêtent des citoyens à jérusalem
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Jordanie: Funérailles de masse pour un civil assassiné par l’agent de sécurité de l’ambassade sioniste
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Blessés et arrestations dans la répression des fidèles près d’al-Asbat
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Autriche: Un palestinien condamné à la perpétuité pour avoir planifié un attentat contre l’occupation
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Le Hamas appelle à une intervention urgente pour protéger Al-Aqsa des projets sionistes
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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Flash info du 3 Dhou al Qa’da 1438.

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Apprenons la notion du “pardon” à travers le prophète (‘alayhi salat wa salam).
Le pardon est une valeur morale primordiale souvent relevée dans le Saint-Coran.
« Et que les détenteurs de richesse et d’aisance parmi vous, ne jurent pas de ne plus faire des dons aux proches, aux pauvres, et à ceux qui émigrent dans le sentier d’Allah. Qu’ils pardonnent et absolvent. N’aimez-vous pas qu’Allah vous pardonne? et Allah est Pardonneur et Miséricordieux! » (Coran 24/22).
« Et celui qui endure et pardonne, cela en vérité, fait partie des bonnes dispositions et de la résolution dans les affaires. » (Coran, 42/43).
Afin d’être au plus proche d’un comportement exemplaire comme ordonné par Allah soubhanou wa ta’ala, le croyant peut suivre le chemin tracé par Notre Prophète Muhammad (‘alayhi salat wa salam).
Al Istighfar (le pardon) est une qualité défendue par Notre Messager ‘alayhi salat wa salam.
Le Prophète (‘alayhi salat wa salam) a dit : « Il arrive à mon cœur de se voiler et je demande certes pardon à Allah dans la journée cent fois. » [Rapporté par Mouslim (2702); Abou Daoud (1015) et Ahmed (4/211)].
Il a dit également : « Par celui qui tient mon âme entre ses mains ! Si vous ne commettiez pas de péchés, Allah vous feriez disparaître et remplacer par d’autres peuples qui pèchent puis lui demandent pardon pour ensuite leur pardonner. » [Rapporté par Mouslim (2748) et Tirmidhi (3533)].
Tout le long de sa vie notre modèle en religion demandait constamment pardon à Allah subhanou wa t’ala.
Le Prophète (‘alayhi salat wa salam) prononçait sans cesse, debout comme assis, la demande de pardon. Il a été rapporté d’après Abou Houraira qu’il n’a jamais vu quelqu’un dire autant de fois : « Astaghfiroullâha wa atoubou ilayhi » (je demande pardon à Allah et me repens vers Lui).
Mais il n’était pas seulement bon envers Notre Créateur mais aussi envers tous les autres hommes.
Par exemple, quand son voisin déversait ses ordures devant sa porte, il se contentait de ramasser, jusqu’au jour où il se rendit compte qu’il n’y avait pas d’ordures devant sa porte. Ce jour-là, il prit la décision de rendre visite à son voisin pour s’assure qu’il n’était pas malade !
Notre Prophète (‘alayhi salat wa salam) a dit par ailleurs:
« Avant vous, vivait un marchand qui accordait des prêts aux gens et lorsqu’il voyait parmi eux un nécessiteux, il disait à ses employés : pardonnez-lui, peut-être qu’Allah nous pardonnera, et Allah lui pardonna. » (Rapporté par Boukhari).
Un autre exemple parmi les nombreuses histoires illustrant la bonté du Prophète (‘alayhi salat wa salam) est le suivant :
Un jour, alors que le Prophète (‘alayhi salat wa salam) se rendit à Taïf pour propager l’Islam, les habitants refusèrent son invitation et lui firent subir de terribles souffrances ; les chefs de la ville avaient même envoyé des gens lancer des pierres sur lui ; il (‘alayhi salat wa salam) était blessé jusqu’au sang et très déçu après avoir traversé pieds nus monts et vallées en espérant être écouté.
Malgré tout, il (‘alayhi salat wa salam) n’avait pas l’intention de se venger, et fit même cette invocation à l’égard de ce peuple :
« Oh ! ALLAH, donne la guidée à mon peuple. Sans aucun doute, ces gens ne me connaissent pas bien. »
Dominer sa rage et sa rancœur permet d’atteindre une élévation glorieuse aux yeux d’Allah soubhanou wa ta’ala.
N’aimez-vous pas qu’Allah ’azzawajel vous pardonne ? Alors commençons nous-même, ici dans ce bas-monde !
AJIB.FR
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L’importance en Islam de préserver un secret que l’on vous confie.
Garder un secret est un devoir que chaque musulman doit entretenir sous peine de voir les siens révélés un jour ou l’autre.
Lorsqu’une personne nous confie un secret elle met entre nos mains une confiance intime, sa dignité et sa réputation.
Cheikh Otheimine explique la définition d’un secret : « ce qu’un frère te confie et te demande de ne pas le dévoiler aux gens. C’est aussi ce qu’une personne te confie en prenant soin que personne ne puisse entendre votre discussion, le secret c’est aussi ce qu’une personne te confie et dont elle craint que les gens le sache, ou aurait honte si les gens venaient à savoir etc… »
Ainsi, divulguer un secret s’apparente à une grave trahison:
Le Prophète (sallAllahou ‘alayhi wa salam) a dit : « Lorsqu’un homme raconte quelque chose puis se détourne, il est du devoir et de la responsabilité de celui qui l’a entendu de le garder secret. » (Hadith rapporté par Jâbir).
Allah soubhanou wa ta’ala dit:
« …Et remplissez l’engagement, car on sera interrogé au sujet des engagements. » (Coran, 17/34).
Le meilleur conseil a apporté à un croyant qui ne se sent pas capable de préserver un secret est de l’inciter à ne pas l’écouter afin d’éviter la colère de Notre Créateur.
Certains hadiths expriment combien le secret en Islam tient une place privilégié et l’importance pour les parents de l’inculquer à leurs enfants.
Anas ibn Malik (qu’Allah l’agrée) raconte:
« Le Messager de Dieu vint, alors que je jouais avec d’autres enfants. Il nous salua et m’envoya en mission. Ma mère fut inquiétée de mon retard et me demanda à mon retour à la maison: “Qu’est-ce qui t’a retenu ?” Je lui dis : “Le Messager de Dieu m’a envoyé faire une mission”. Elle me dit: “Et de quoi s’agissait-il ?” Je lui dis : “C’est un secret.” Elle dit : “Surtout ne dévoile à personne le secret du Messager de Dieu”. Anas dit à Thàbit : “Par Allah, O Thabit ! si j’avais révélé ce secret à quelqu’un d’autre avant toi, je t’en aurais parlé”. » (Hadith rapporté par Tàbit).
La femme délie très facilement sa langue mais l’homme doit également veiller à ne pas raconter publiquement l’intimité de sa vie de couple.
Le Prophète (sallAllahou ‘alayhi wa salam) a dit:
« Parmi les personnes qui auront chez Allah la plus mauvaise situation qui soit le Jour de la Résurrection, il y a l’homme qui a un rapport sexuel avec sa femme, puis il divulgue son secret ». (Hadith rapporté par Abû Sa’îd al-Khudarî).
Garder un secret est un signe de haute noblesse et il est l’une des caractéristiques des grands hommes ainsi que des femmes vertueuses.
AJIB.FR
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Quand dans le couple, l’homme et la femme font chambre à part.
Faire chambre à part est une preuve indiscutable du déclin du couple.
En effet, dormir avec son époux dans un même lit fait partie de « al-`ichratou bi al-ma`rouf » (vie conjugale fondée sur la bienfaisance mutuelle).
Ainsi, dormir séparément va à l’encontre de cela, et est une preuve de l’éloignement réel (dans le fond et la forme) des deux époux (selon la réponse de Cheikh Abdallah `Atiq al-Matterafi).
La pire des cas est lorsque la femme refuse de rejoindre le lit conjugal pour fuir son époux.
Le Prophète Muhammad (sallAllahou ‘alayhi wa salam) a dit:
«Si l’homme appelle sa femme à son lit et elle ne vient pas, et il passe la nuit en colère, les anges la maudissent jusqu’au matin.» (Hadith d’Abou Hourayra).
La seule excuse légiféré qui permet à la femme de s’abstenir de partager le lit conjugal est la maladie ou tout autre excuse de ce genre.
Même si à l’époque de notre Prophète (sallAllahou ‘alayhi wa salam) dormir dans le même lit n’était pas une obligation, on peut constater que partager son lit est un signe d’harmonie et d’amour dans le couple.
De nombreux couples font chambre à part lors de disputes mais il s’avère que cette solution aggrave la situation et prolonge ou envenime le conflit.
AJIB.FR
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Belgique : Bruxelles : l’école musulmane La Sagesse ouvrira à la rentrée de septembre.
Le conseil des ministres de la Fédération Wallonie-Bruxelles a approuvé le projet d’arrêté pour la création d’une école confessionnelle musulmane sur le territoire de Forest.
Mercredi dernier, le conseil des ministres de la Fédération Wallonie-Bruxelles a approuvé le projet d’arrêté pour la création d’une école confessionnelle musulmane sur le territoire de Forest. L’école La Sagesse (El Hikma, en arabe) ouvrira ses portes aux élèves dès cette rentrée de septembre.
Dans un premier temps, sept classes maternelles et cinq classes de primaire seront prêtes: elles pourront accueillir entre 240 et 250 élèves. A terme, la section fondamentale de La Sagesse, située rue Saint-Denis dans le bas de Forest, souhaite pouvoir offrir 400 places. Une bouffée d’oxygène pour cette partie du territoire bruxellois victime du boum démographique.
Le parcours de l’école la Sagesse est long et compliqué. Le projet remonte à 2014. Il voit le jour dans un contexte de défiance à l’égard de l’islam. Reste que pour les promoteurs du projet, il aura d’abord fallu convaincre les autorités publiques et récolter des moyens financiers pour pouvoir acquérir un bâtiment, l’aménager, le mettre aux normes… En trois ans, trois millions d’euros ont pu être récoltés.
journaldumusulman.fr
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Palestine : Un père juif accusé d’avoir tué sa fille de 17 ans, car elle voulait se convertir à l’islam.
Un père de famille israélien est accusé d’avoir tué sa fille de 17 ans, de plusieurs coups de couteau, car elle voulait se convertir à l’islam.
Elle venait tout juste d’être diplômée et de quitter le lycée. Retrouvée morte au domicile de ses parents, à Ramla, dans le centre d’Israël, le 13 juin dernier, le corps mutilé de multiples coups de couteau, Henriette Karra, 17 ans, n’aura jamais pu se lancer dans sa vie d’adulte. La faute, apparemment, à un différend familial ayant tragiquement tourné.
C’est en tout cas ce que pense la justice israélienne qui a mis en examen dimanche le père de la jeune femme, comme le rapporte notamment CNN.
Le père de famille a d’abord refusé de collaborer à l’enquête avant d’avouer être à l’origine du meurtre.
Poignardée à plusieurs reprises
Le meurtre a eu lieu le 13 juin dernier. La jeune adolescente de 17 ans a été retrouvée morte au domicile de ses parents à Ramla, dans le centre d’Israël. Son corps était mutilé de multiples coups de couteau. Trouvée gisante et inanimée sur le sol de la cuisine, Henriette Karrasera déclarée morte sur place par les secours. Comme le rapporte CNN, quelques heures auparavant, elle avait fait part de son intention de se convertir à l’islam. Ne supportant pas la nouvelle, son père, Sami Karra, aurait alors décidé de la tuer. Le père vient d’être mis en examen pour meurtre.
Sami Karra a été mis en examen pour meurtre, dimanche 16 juillet, près d’un mois après les faits. Il est accusé d’avoir tuée sa fille de 17 ans, parce qu’il était opposé à sa conversion. Pour le moment, la défense a contesté ces accusations, assurant qu’il n’y a pas assez de preuves.
journaldumusulman.fr
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France : Cannes : Cédric Herrou interpellé en compagnie de 156 migrants.
La police a interpellé 156 migrants à la gare de Cannes lundi 24 juillet. L’agriculteur Cédric Herrou a lui aussi été arrêté alors qu’il les accompagnait pour rejoindre Marseille afin d’y effectuer des demandes d’asile.
Il s’agit de la sixième fois que le militant est arrêté en l’espace d’un an pour ses activités de soutien aux migrants clandestins. Une centaine de migrants ont été conduit en car à Menton tandis que les autres ont été gardés par la police en attendant un transfert futur.
Cédric Herrou, originaire de Breil-sur-Roya, est membre de Roya citoyenne, une association qui vient régulièrement en aide aux migrants.
Depuis avril dernier, un millier de personnes ont pu entamer leurs démarches dans l’optique d’obtenir l’asile. Les demandeurs devaient se présenter au guichet de l’association Forum réfugiés à Nice. Mais, depuis lundi 24 juillet, cette structure n’enregistre plus que les dossiers de migrants qui souhaitent rester dans les Alpes-Maritimes. Le département n’a pas de centre d’accueil de première urgence car les élus s’y opposent. Ainsi, plus d’une centaine d’entre eux a choisi de se rendre à la préfecture de Marseille. Eric Ciotti, président du conseil département, a demandé à l’Etat de « faire cesser l’action de M. Cédric Herrou et de ceux qui le soutiennent ».
saphirnews.com
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Chine : les Ouïgours forcés d’installer une application de surveillance sur smartphone.
Le quotidien devient de plus en plus compliqué pour la minorité musulmane et turcophone des Ouïgours. Depuis juillet, le gouvernement chinois leur ordonne de télécharger sur leur smartphone « Jingwang », qui se révèle être une application de surveillance.
Selon Mashlabe, les habitants ont été averti d’un message transmis via la messagerie WeChat. Les utilisateurs doivent scanner un QR code pour la télécharger. Cette application permettrait de « détecter automatiquement les vidéos, images, e-books et documents éléctroniques religieux » dans les smartphones des utilisateurs.
Un bel outil d’espionnage qui a accès au contenu du smartphone tels que les logins des connexions wifi, les identifiants aux applications WeChat et Weibo, au numéro IMEI ainsi qu’aux données de la carte SIM. Jingwang scanne tous les fichiers stockés dans les appareils et les font correspondre à une base de données du gouvernement qui répertorie les contenus supposés faire l’apologie du terrorisme.
Si des contenus jugés illégaux sont interceptés, l’individu devra les supprimer. Les personnes n’installant pas l’appli encourent une peine de dix jours de prison. L’Etat promet des mesures de vérification afin de s’assurer que tous les smartphones soient équipés.
« Les autorités chinoises vont devoir s’expliquer sur cette application et sur ce qu’elle est capable de faire », dénonce Maya Yang, chercheure pour Human Rights Watch. « Je crois qu’il y a bien une raison de s’inquiéter sur les données que ces applis peuvent collecter à propos des utilisateurs et de leurs activités, sans qu’ils ne le sachent ni en consentent », ajoute, pour sa part, Joshua Rosenzweig d’Amnesty international. Le gouvernement chinois poursuit, par tous les moyens, sa politique de répression envers les Ouïgours, principalement implantés dans la province de Xinjang, dans le nord-ouest de la Chine.
saphirnews.com
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Australie : la figure de proue de la lutte contre l’islamophobie, victime d’un cyber-harcèlement, démissionne.
Elle vient de jeter l’éponge, usée par un cyber-harcèlement qui est allé crescendo en l’espace de trois ans, se déchaînant contre sa personne, ses origines afghanes et son islamité, Mariam Veiszadeh, 33 ans, une brillante avocate australienne devenue la figure de proue de la lutte contre l’islamophobie sur la terre du Bush, aura jusqu’au bout opposé une résistance pleine de panache à ses ennemis fanatisés à l’extrême, mais leurs menaces de mort glaçantes proférées à maintes reprises auront eu raison de sa ténacité.
Hissée sur un piédestal dans la lointaine Australie, la fondatrice et présidente de l’association « Islamophobia Register Australia » (IRA), encensée à la fois par ses coreligionnaires pour son activisme salutaire et l’ensemble de ses concitoyens qui, au paroxysme de la violence islamophobe qui l’a prise pour cible, ont fait bloc derrière elle via le hashtag #Istand with Mariam, a démissionné, la mort dans l’âme.
Dans le viseur de groupuscules ultra-nationalistes rendus hystériques par sa notoriété grandissante et les insignes distinctions qui l’ont doublement consacrée « Australienne de l’année» et « Femme musulmane de l’année » en 2016, Mariam Veiszadeh s’est notamment attirée les foudres de la bouillonnante Ligue de Défense Australienne pour avoir protesté vigoureusement, en 2014, contre un t-shirt aux relents nauséabonds commercialisé par Woolworths, la plus grande chaîne de supermarchés du pays.
Son sang n’avait alors fait qu’un tour à la vue du slogan délétère cousu sous l’étendard national ornant le t-shirt « L’Australie, l’aimer ou partir », qui n’est pas sans nous rappeler l’ère Sarkozy de sinistre mémoire et sa petite phrase décochée telle une flèche empoisonnée contre l’islam et la concorde nationale : « la France, tu l’aimes ou tu la quittes ».
Dès lors, elle fut en butte à des représailles impitoyables sur les réseaux sociaux, se retrouvant odieusement caricaturée, brocardée, injuriée, menacée des pires sévices, jusqu’à la « décapitation » par un site se réclamant ouvertement de son appartenance à la mouvance néo-nazie.
Mariam Veiszadeh, l’instigatrice du recensement des actes islamophobes sur le sol australien pour mieux en dénoncer l’ampleur, épouse de Ehssan Veiszadeh, le directeur de la communication de Gladys Berejiklian, la Première ministre de la Nouvelle-Galles du Sud, était devenue la musulmane à abattre sur la Toile gagnée par une effervescence malsaine.
La présidente de l’IRA qui, il y a peu encore, déplorait vivement que le terme « islamophobie » soit mal compris dans l’opinion, surtout par des « ignorants » prenant un malin plaisir à le dénaturer à seule fin de semer la confusion dans les esprits, a transmis les rênes de son association à l’Américain Brice Hamack, l’ex-coordinateur du Conseil sur les relations américano-islamiques (CAIR). Celui-ci s’est particulièrement illustré en 2015 par sa critique virulente du FBI, l’accusant de se livrer à une terrible chasse aux sorcières contre les musulmans derrière le paravent de la lutte anti-terroriste.
Avant de passer le flambeau avec une infinie tristesse, Mariam Veiszadeh, pleinement consciente que son combat ne s’achève pas avec son retrait de la scène publique, a une dernière fois tiré la sonnette d’alarme sur Facebook : « la sensibilisation à l’islamophobie et à la discrimination anti-musulmans demeure un défi de taille, comme c’était le cas en 2014 », a-t-elle averti avec gravité.
oumma.com
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Palestine : Solidarité : un chrétien prie avec les musulmans à Jérusalem.
Nidal Aboud, un palestinien de 24 ans de confession chrétienne, Bible à la main, a prié aux cotés des musulmans à Jérusalem, suite à l’installation par Israël de portiques de sécurité aux abords de l’esplanade des Mosquées, empêchant ainsi les hommes de moins de 50 ans de prier à la mosquée Al Aqsa, troisième lieu saint de l’islam
A la différence des fidèles musulmans il a effectué le rituel chrétien de la prière. Lorsque les musulmans se prosternaient, il effectuait le signe de la croix, lorsqu’ils récitaient des versets coraniques, il lisait la Bible, et lorsqu’ils prononçaient la formule “Allahu Akbar” (Dieu est le plus grand), il se tenait debout silencieusement avec beaucoup de respect.
Il était le seul chrétien parmi les milliers de musulmans à assister à la prière du vendredi dans le quartier de Wadi El-Joz, en dehors de la vieille ville de Jérusalem. Depuis, cette photo s’est largement répandue sur les réseaux sociaux, devenant un symbole de solidarité islamo-chrétienne en cette période de conflit.
Nidal Aboud, qui auparavant n’avait jamais assisté à une prière musulmane, a déclaré à CNN qu’il voulait se tenir aux côtés des musulmans pendant leur prière. “J’ai un rêve depuis que je suis petit, celui de propager l’amour dans le monde. Je voulais être celui qui sème l’amour dans le cœur des gens“.
“J’ai demandé la permission à mes amis musulmans de prier avec eux. Ils m’ont demandé de me tenir derrière eux.” a également précisé Nidal Aboud. “Ma motivation était de manifester ma solidarité avec mes frères musulmans et ma condamnation de ‘l’occupation israélienne, et sa politiques d’atteinte à la souveraineté de nos sites religieux , qu’il s’agisse de la mosquée ou de l’église “.
Aboud a par ailleurs signifié qu’il refuserait de passer au détecteur de métaux, si l’un d’eux était placé à l’extérieur de l’Église du Saint-Sépulcre située dans la vieille ville, un site qui englobe également le lieu de la crucifixion de Jésus Christ. Partisan du dialogue entre toutes les religions, Aboud perçoit son geste de solidarité comme un signe de Dieu que son rêve “soit devenu réalité: celui d’être un ambassadeur de bonne volonté entre les religions“.
oumma.com
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Etat d’Israël ou la culture de la braise au Proche-Orient.
Habitué aux provocations afin de justifier des répressions démesurées envers les Palestiniens, l’Etat d’Israël ne manque jamais d’ingéniosité, en recourant à des politiques toujours plus répressives afin de saboter toute tentative de paix et se constituer en “victime” aux yeux de l’opinion internationale.
Rappelons-nous du 28 septembre 2000. Une date marquée par la visite d’Ariel Sharon sur l’esplanade des Mosquées, provoquant près de 6.000 morts (à 90% palestiniens), altérant ainsi toute possibilité d’accord sur les 5 années supplémentaires, suivie d’une répression féroce de la population palestinienne.
Nous nous trouvons dans la crise actuelle dans la même configuration. Un remake de “l’oeuvre de Sharon” à la sauce Netanyahu, en portant atteinte cette fois-ci à ce qui reste de vital pour les Palestiniens, le sacré.
Après les avoir privés de leur indépendance, de leurs terres, de leurs droits les plus élémentaires, l’Etat d’Israël savait pertinemment qu’il allumait une nouvelle mèche en empêchant l’accès au plus grand nombre d’entre eux (les hommes de – 50 ans) à la mosquée Al Aqsa, coeur de l’identité palestinienne et l’un des lieux les plus sensibles du Proche et Moyen-Orient.
Une analyse partielle et hors contexte des médias.
Certains de nos médias, et particulièrement nos “fast-food” de l’info (qui préfèrent se concentrer davantage sur la starisation de leurs présentateurs plutôt que sur la qualité du contenu), présentent comme à chaque fois les faits sans rappeler le contexte. Ils contribuent ainsi à donner l’image d’un peuple violent qui refuse un simple contrôle par l’installation de portiques détecteurs de métaux, censée être une réponse au meurtre de trois israéliens implantés dans les colonies. Une information partielle, qui induit aussitôt des sous-entendus dans l’esprit du téléspectateur lambda.
Ces médias ne rappellent pas (ou trop peu) le contexte historique et politique. Depuis 60 ans, les Palestiniens vivent en effet dans une prison à ciel ouvert, voient leurs terres confisquées et leur territoire se réduire par le développement incessant de colonies (200 familles juives de France se sont récemment installées avec fierté). Ils subissent des coupures d’eau et d’électricité de façon répétitives, notamment durant les mois de ramadan. Leurs “droits” civiques, espace aérien et l’unique terminal commercial sont sous contrôle israélien. Aucun pays, ni aucune instance internationale ne peut influer sur les décisions israéliennes et sa politique coloniale. Quant aux résolutions de l’ONU, quand elles ne subissent pas le veto américain, elles sont tout simplement ignorées et même refusées en toute impunité.
Le refus de l’accès à la Mosquée Al-Aqsa, troisième lieu saint de l’islam, à la majorité des hommes palestiniens (les – de 50 ans), s’est traduit par des heures de files d’attente avec le risque de se voir refouler, une fois arrivé aux portiques. Une nouvelle humiliation qui caractérise cette “dépendance” supplémentaire vis-à -vis de celui qui vous colonise méthodiquement depuis plus d’un demi siècle. Autant d’éléments à rappeler pour une saine compréhension de ces événements, plutôt que de les réduire à une réaction violente des Palestiniens, incapables de comprendre cette politique sécuritaire israélienne.
La perception d’une situation prend une toute autre dimension, si l’on intègre tous les compartiments de ce contexte colonial. Une démarche intellectuelle dont nos médias sont très éloignés, préoccupés qu’ils sont par orienter l’opinion et non l’informer.
Quel peut- être le rôle de la France?
Notre président Emmanuel Macron pourra mesurer la portée de son message envoyé à Benyamin Netanyahu lors des commémorations de la rafle du Vel d’Hiv. Le président jupitérien lui a rappelé que la paix au Proche-Orient passe par l’arrêt des colonies, la reconnaissance de la Palestine comme Etat avec Jérusalem comme capitale conjointe… bref, une rhétorique classique qui vise à la reconnaissance légitime des droits d’un peuple, à sa liberté et à son auto-détermination.
Voilà, M. Le Président comment vous répond cet état “ami” de la France, par l’intermédiaire de son Premier ministre, reçu avec tous les égard par le pays des Droits de l’homme, à la devise républicaine arborant les valeurs de “Liberté, Égalité et Fraternité “. La France a été historiquement très influente au proche-Orient, mais il convient de demeurer réaliste et reconnaître sa faiblesse diplomatique dans cette région du monde.
Cher président Macron, l’Etat d’Israël a surtout comme principal ami, les Etats-Unis, son traditionnel allié, garant de sa sécurité. Israël, qui oeuvre avant tout pour la seule défense de ses intérêts, n’hésite pas à s’abriter derrière l’antisémitisme pour écarter toute critique de sa politique criminelle. Il pousse l’ignominie jusqu’à le pratiquer lui-même par ailleurs. Faut-il rappeler que les Arabes (et donc les Palestiniens) sont tout aussi sémites que les juifs ?
Sans effectuer de comparaison, ces discriminations nous rappellent celles dont sont victimes certains de nos citoyens français de confession musulmane, victimes d’une interprétation erronée de la laïcité, instrumentalisée comme moyen de combat contre les religions.
Eric Berlingen, Porte- parole de l’UDMF – Union des Démocrates Musulmans Français.
oumma.com
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Palestine : L’occupation retire les détecteurs de métaux des entrées d’al-Aqsa.
Le gouvernement d’occupation israélienne a retiré les détecteurs de métaux qu’il avait installés aux entrées de la mosquée sainte d’al-Aqsa à Jérusalem occupée, une mesure de sécurité arbitraire qui avait été suivie de violences meurtrières entre occupants et Palestiniens.
La décision de ne plus utiliser ces portiques de sécurité a été annoncée dans la nuit par le bureau du Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, après une intense mobilisation diplomatique internationale visant à empêcher une extension de la crise au-delà de l’Etat d’occupation et des territoires palestiniens.
Le cabinet israélien a accepté « la recommandation de tous les organismes de sécurité sionistes de remplacer l’inspection au moyen de détecteurs de métaux par une inspection de sécurité basée sur des technologies avancées et sur d’autres moyens » en référence à l’installation des caméras de surveillance aux entrées de la mosquée sainte d’al-Aqsa, a déclaré le bureau du criminel Netanyahu dans un communiqué.
Il est à noter que des caméras ont été installées cette semaine à certaines entrées de la mosquée sainte d’al-Aqsa.
Suite à cette décision, des ouvriers se sont immédiatement attelés, dans la nuit de lundi à mardi, à démonter les détecteurs positionnés aux entrées de la mosquée sainte d’al-Aqsa.
Dans le même temps, des centaines de fidèles palestiniens se sont rassemblés à la porte d’al-Asbat, mais ils ont été confrontés par les forces armées d’occupation israéliennes qui les ont matés et dispersés avec des grenades lacrymogènes et des bombes assourdissantes.
En savoir plus sur
https://french.palinfo.com/32449
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CPI Centre Palestinien D'information
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####### Aujourd’hui en Palestine #######
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Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
Autriche: Un palestinien condamné à la perpétuité pour avoir planifié une opération contre l’occupation
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La justice autrichienne a condamné lundi à la réclusion à perpétuité le réfugié palestinien, Abdul Karim Abou Habel, âgé de 27 ans, après qu’il avait donné des instructions pour deux personnes séjournant dans les territoires palestiniens
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Le Hamas appelle à une intervention urgente pour protéger Al-Aqsa des régimes sionistes
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Les forces israéliennes lancent un ballon de surveillance au dessus de la barrière de Zaatara
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Erdogan: Israël tente de prendre al-Aqsa aux musulmans
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Blessés et arrestations signalées lors de raids israéliens avant l’aube
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Les Brigades d’Al-Qassam endeuillés par la mort d’un de leurs combattants
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L’occupation retire les détecteurs de métaux des entrées d’al-Aqsa
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Cisjordanie: la mère de l’auteur de l’attaque de Halamish arrêtée
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L’occupation installe des barrières de fer devant la porte des Lions
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La mission diplomatique israélienne a quitté Amman
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Un palestinien blessé par balle lors des affrontements à Jerusalem
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Istanbul: L’OCI se réunit le 1er août pour discuter sur la mosquée al-Aqsa
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L’occupation installe des checkpoints et arrête deux journalistes à Toulkarem
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5 morts et 1090 blessés dans les affrontements d’Al-Aqsa
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DCI Palestine : 11 enfants tués par Israël depuis le début de l’année
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A l’ONU, le criminel Danon cherche à justifier les crimes sionistes à Jérusalem occupée
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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