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Flash info pour le 12 Sha’ban 1439.

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Sur Ajib.fr, voici les titres.

Onze Marocaines à la conquête de l’Everest.
Après l’exploit réalisé en mai 2017 par Bouchra Baibanou et Ghizlane Aakar, deux alpinistes marocaines, c’est au tour de onze autres Marocaines de gravir à leur tour le mont Everest, le plus haut sommet du monde.
Le petit groupe a déjà accompli une bonne partie de l’ascension, en atteignant le camp de base de l’Everest, situé à 5.365 mètres.
Yasmina Sitail, qui est à l’origine du #moroccanwomentalk, Zhor Kabbaj, Yasmina Amor, Latifa Jabri, Seloua Bouhlal, Dounia Lahrichi, Siham Bensari, Meryem Alaoui Kacimi, Zeineb Alaoui Kacimi, Asmaa Chraibi et Nora Ibn Abdeljalil sont accompagnées de trois hommes, le coach Nacer Ibn Abdeljalil, Abdelatif Kabbaj et Othmane Jabri qui comme elles sont passionnés par l’aventure.
Nacer Ibn Abdeljalil qui avoue aimer « relever ce défi des plus exceptionnels » est à la tête de la petite expédition. Aguerri aux escalades à haut risque, Nacer est le premier Marocain à avoir gravi le toit du monde.
Cela dit, les onze femmes ne sont pas novices, une partie d’entre elles a fait l’ascension du mont Kilimandjaro en Tanzanie, en avril 2017 pour célébrer l’adhésion du Maroc au sein de l’Union africaine (UA).

Sur saphirnews.com, voici les titres.

Angleterre : The Times sommé de s’excuser pour des articles trompeurs visant des familles d’accueil musulmanes .
Le couperet est tombé pour The Times : l’organisme de régulation de presse au Royaume-Uni (IPSO) a reconnu, début avril, que le quotidien britannique a « déformé » l’histoire d’une petite fille placée chez des familles d’accueil musulmanes. The Times a été sommé, en conséquence, de publier la décision de l’IPSO dans l’une des premières pages de son journal et sur son site internet. Elle a été publiée mercredi 25 avril dans le quotidien dans son intégralité.
Fin août 2017, The Times a publié une série d’articles en Unes racontant l’histoire d’une fillette « chrétienne et blanche » de cinq ans retirée de la garde de sa mère par les services sociaux de Tower Hamlets, à l’est de Londres, pour être placée dans deux familles d’accueil musulmanes en l’espace de six mois.
L’une des familles a été décrite par le journal comme « intégriste », sur la base du témoignage de la mère de l’enfant, opposée à son placement. La fillette aurait ainsi été obligée de parler arabe en lieu et place de l’anglais que la famille ne saurait pas maîtriser ; il lui aurait également été interdit de porter son crucifix ou encore de manger des pâtes à la carbonara, son plat préféré, en raison de la présence de porc. Toujours selon The Times, ce sont ces raisons, dévoilées par la presse, qui auraient amené les services sociaux à placer l’enfant chez sa grand-mère maternelle.
Aucun préjudice pour la fillette.
Face à ces accusations, la mairie de Tower Hamlets, à l’origine de la plainte auprès de l’IPSO en décembre 2017, a mené des enquêtes qui ont révélé que les affirmations du journal étaient infondées, que la famille d’accueil visée parlait anglais et qu’elle a apporté un accueil approprié envers la fillette. À aucun moment, elle n’a subi les diverses préjudices évoquées dans le reportage, rapporte également l’organisation britannique de lutte contre l’islamophobie Tell Mama.
En outre, le placement de l’enfant était urgent et n’avait vocation qu’à être temporaire avant le placement (prévue) chez sa grand-mère, qui a tardé en raison de formalités administratives.
Il a été également révélé que la grand-mère était musulmane, décrite comme une « non pratiquante ». Or, le titre d’un des articles « Le juge décide que l’enfant doit quitter la famille d’accueil musulmane » était « trompeur et injuste pour les familles d’accueil concernées » pour la mairie, estimant que « si le journal était incapable de rendre compte des antécédents religieux de la grand-mère de l’enfant, par souci de protéger son anonymat, il aurait dû supprimer l’élément religieux de l’histoire et ne pas se référer à la religion des familles d’accueil ».
Le journal a reconnu, par la voix du rédacteur en chef adjoint Ian Brunskill, avoir causé « énormément d’offense et de colère » à cause de cette affaire. Les associations musulmanes britanniques, comme Tell Mama, ont salué la décision de l’IPSO. Le Conseil musulman de Grande-Bretagne (MCB) réclame même des excuses publiques dans cette affaire.
France : Macron : la fondation pour la mémoire de l’esclavage annoncée pour 2018.
Emmanuel Macron a annoncé, vendredi 27 avril, la création d’une Fondation pour la mémoire de l’esclavage pour « cette année » 2018, à l’occasion du 170e anniversaire de l’abolition de l’esclavage que le président français a commémoré au Panthéon où l’abolitionniste Victor Schoelcher, mort en 1893, est inhumé.
La création de cette fondation avait été annoncée en 2016 par François Hollande. Elle « sera logée à l’Hôtel de la Marine où l’abolition de l’esclavage fut décrétée le 27 avril 1848. Elle sera dotée de moyens humains et financiers mais aussi scientifiques pour mener des missions d’éducation, de culture, de soutien à la recherche et aux projets locaux », a-t-il fait savoir via sa page Facebook.
Elle sera présidée par l’ancien Premier ministre Jean-Marc Ayrault, « figure éminente de cette mémoire » pour le chef de l’Etat, qui a également fait part de son soutien au projet d’ériger à Paris, dans le Jardin des Tuileries, un mémorial national en hommage aux victimes de l’esclavage.
Aux associations plaidant pour la construction d’un musée consacré à l’esclavage à Paris à côté du mémorial, le président fait valoir que « la France possède déjà un tel lieu avec le Mémorial ACTe ». « Situé dans la France des Outremers, sur les lieux mêmes où les esclaves ont vécu, souffert et résisté, il œuvre de manière exemplaire depuis son ouverture à la préservation de cette mémoire et à la promotion des expressions culturelles liées à cette histoire », a-t-il fait part.
Ramadan 2018 : la zakat al-fitr augmente, une première depuis le passage de l’euro.
Info Saphirnews. La zakat al-fitr, l’aumône du Ramadan, augmente cette année 2018. La revalorisation est conséquente, à la hauteur du laps de temps écoulé, depuis le passage à l’euro, sans que les organisations musulmanes historiques en France ne s’en préoccupent. Pourtant, il était grand temps de réévaluer la somme. Pourquoi ? Et qu’en disent les fédérations musulmanes ? Réponses.
La zakat al-fitr, l’aumône due pendant le mois du Ramadan, passe en 2018 de 5 € à 7 € par personne en France ! L’annonce faite mi-mars par le Conseil théologique musulman de France passe totalement inaperçue. Pourtant, elle est de taille et n’a pas échappé à la vigilance de Saphirnews.
Cette soudaine augmentation, une première en 17 ans en France, mérite qu’on s’y attarde. Alors comment l’explique-t-on ? Le montant de la zakat al-Fitr n’a en effet pas été réévalué par les organisations musulmanes de France depuis 2002 lors du passage à l’euro, explique auprès de Saphirnews Mohamed Bajrafil, secrétaire général du Conseil théologique musulman de France.
La réévaluation de cette aumône était donc devenue prioritaire pour les responsables de cette organisation. « Il fallait prendre les taureaux par les cornes. Le Conseil théologique musulman de France (né en 2016, ndlr) s’est penché sur cette question assez rapidement », indique l’imam de la mosquée d’Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne).*
L’inflation des prix de matières premières enfin prise en compte.
L’augmentation s’explique principalement par l’inflation tirée par la hausse du prix des matières premières ces dernières années en France. Comment le Conseil théologique musulman de France a-t-il donc procédé pour parvenir à la somme de 7 € pour 2018 ? L’unité de mesure servant à calculer la zakat al-fitr est un sâ’, soit quatre fois la quantité des deux poignées de mains jointes pouvant contenir « des aliments les plus consommées en France pendant l’année et pendant le mois du Ramadan », note Mohamed Bajrafil, qui précise que les denrées prises en compte sont « le riz, les pâtes, la semoule, les dattes et le poulet ».
Après divers calculs basés sur plusieurs avis jurisprudentiels concernant le volume des denrées à considérer et, en conséquence, la valeur du sa’, « nous (au Conseil théologique musulman de France) avons fait une moyenne et sommes tombés d’accord sur une zakat à 8 € par personne » avant de trancher en définitive, pour l’année 2018, sur une zakat al-fitr équivalant à 7 €. Une décision qui a été la résultante de discussions avec des responsables de fédérations musulmanes dont le principe de réévaluer la zakat al-fitr a été accepté mais sans avoir à la fixer à 8 €.
Qu’en disent la Grande Mosquée de Paris et Musulmans de France ?
Les fédérations musulmanes telles la Grande Mosquée de Paris et Musulmans de France (ex-UOIF), qui ont pour habitude d’annoncer chaque année la somme à verser avant la fin du mois du Ramadan, vont-elles s’aligner sur le montant de la zakat annoncé par le Conseil théologique musulman de France ?
Contactés par Saphirnews, Djelloul Seddiki, directeur de l’Institut de théologie de la Grande Mosquée de Paris (GMP), comme Amar Lasfar, président de MF, ont tous deux confirmé, d’une part, la rencontre initiée en début d’année par le Conseil théologique musulman de France avec les instances dirigeantes des deux fédérations mais aussi, d’autre part, leur accord sur la revalorisation de l’aumône, obligatoire pour les jeûneurs qui en ont les moyens.
« C’est le Conseil théologique musulman de France qui a engagé la réflexion sur la zakat al-fitr », admet Amar Lasfar, louant le travail d’une instance « qui peut appuyer le processus de sédentarisation des musulmans de France ». Il admet également que le sujet n’était « pas à l’ordre du jour » pour sa fédération toutes ces dernières années. Néanmoins, « mieux vaut tard que jamais ! », lance-t-il.
La réévaluation de la zakat n’a jusque là « pas (été) une priorité mais dès que la question a été posée, la Grande Mosquée de Paris et l’Institut al-Ghazali s’y sont penchés », pose Djelloul Seddiki.
« On a décidé d’un commun accord de fixer la zakat à 7 € »
Sur la base d’une étude exposée auprès de la GMP et de MF, les membres du Conseil théologique musulman de France « nous ont proposés une fourchette de sommes allant jusqu’à 8 € ». « Le principe de l’augmentation était acquis mais il fallait trouver un chiffre. On s’est mis d’accord avec la GMP sur un don de 7 € par personne. Pour celui qui a les moyens bien sûr. On a estimé que 8 €, c’est beaucoup pour le moment », fait part Amar Lasfar.
Même son de cloche pour Djelloul Seddiki : « On a décidé d’un commun accord de fixer la zakat à 7 €, quitte à le réévaluer l’an prochain à 8€. (…) Cette décision reste fondée sur le plan du fiqh. » « Nous avons abouti à un accord avec d’autres organisations et nous espérons que cela se fasse plus souvent sur d’autres sujets théologiques », conclut-il, citant notamment la question de la réunification des calendriers des horaires de prières à laquelle Djelloul Seddiki dit être « particulièrement attaché ».
Mohamed Minta, imam de la mosquée de Décines (Rhône) et membre du Conseil théologique musulman de France, a pris l’initiative, pour son association Zakat France, de fixer la zakat al-fitr à 6 € pour le Ramadan 2017 mais sans faire publicité de sa décision.
Le Vendredi 20 avril : La Grande Mosquée de Paris, Musulmans de France ainsi que l’Union des mosquées de France (UMF) ont confirmé la revalorisation de la zakat al-fitr à 7 €.

Sur oumma.com, voici les titres.

Angleterre : Sport : Un réfugié palestinien court le marathon de Londres pour fournir de l’eau potable aux Gazaouis.
Athlète chevronné, le cœur de Mohammad Al-Qadi, 28 ans, s’est mis à battre très vite au moment de s’élancer à l’assaut de Londres, le 22 avril dernier, lors de son prestigieux marathon annuel, sous le coup d’une vive émotion : celle de courir pour la bonne cause, en sensibilisant la société environnante à la souffrance du peuple palestinien, et plus particulièrement au problème crucial de l’eau sale et impropre à la consommation qui affecte gravement Gaza.
Déterminé à porter haut les couleurs de la Palestine à travers l’une des plus rayonnantes capitales européennes, le fondateur de Runners For Freedom – une association sans frontières regroupant des coureurs de fond qui, comme lui, sont épris de paix, de liberté et de justice – est convaincu depuis toujours que le sport est un formidable vecteur de cohésion sociale mais aussi de communication.
« Quand j’étais enfant, je rêvais de devenir un jour un grand champion, mais à cause de la vie sous le joug israélien et d’un terrible conflit, mon rêvé s’est brisé et j’ai dû renoncer à courir », a confié à la BBC ce réfugié palestinien exilé en France.
L’étendard palestinien hissé haut, quand il n’est pas drapé dedans, Mohammad Al-Qadi avale les kilomètres avec une ardeur renouvelée à chaque fois qu’il s’aligne sur la ligne de départ de l’épreuve-reine de l’athlétisme, aux quatre coins du globe.
Et c’est en mettant le turbo qu’il a traversé Londres, au cours d’un week-end printanier, pour atteindre son but suprême : récolter plus de 12 000 euros afin de contribuer à fournir de l’eau propre et salubre aux Gazaouis, tout en éveillant les consciences européennes sur le fait que 95% de l’eau dans la plus grande prison à ciel ouvert du monde n’est pas potable.
Arabie saoudite : vers une réduction des condamnations à mort dans certains cas ?
MBS, le prince réformateur du royaume saoudien que l’on ne présente plus, se doublerait-il d’un opposant à la peine de mort ?
Alors que le temps de l’abolition du châtiment suprême n’est pas encore venu en Arabie saoudite, le glaive de la justice s’étant abattu sur 48 personnes depuis le début de l’année 2018 (la moitié pour des crimes non violents liés à la drogue, selon Human Rigths Watch), Mohammed ben Salmane a confié au Time Magazine, le 5 avril dernier, réfléchir à un plan visant à limiter le nombre d’exécutions et à commuer les condamnations à la peine capitale en prison à vie, dans certains cas, à l’exception des meurtres.
« Il est déjà assez déplorable que l’Arabie Saoudite exécute tant de personnes, mais beaucoup d’entre elles n’ont pas commis de crime violent », s’est récemment insurgée Sarah Leah Whitson , directrice de Human Rights Watch au Moyen-Orient.
« Tout le plan visant à limiter les exécutions relatives au trafic de stupéfiants devrait inclure des améliorations à apporter au système judiciaire saoudien, qui ignore les procès équitables », a-t-elle souligné, en faisant notamment référence à la peine de mort infligée pour trafic de drogue, en décembre 2014, à un Jordanien, Waleed al-Saqqar. En l’espace d’un seul jour, le sort de ce dernier fut scellé, et pire encore, toujours selon les dires de Human Rigths Watch, citant une source proche du dossier, son procès rondement mené n’aurait duré que cinq petites minutes.
Depuis 2014, l’Arabie saoudite n’a pas eu la main légère en matière de condamnations à la peine capitale. Les verdicts sans appel des juges saoudiens se sont succédé à un rythme soutenu, ordonnant pas moins de 600 exécutions, dont plus de 200 pour des affaires de drogue.
Des affaires judiciaires passées au crible de l’ONG Human Rights Watch, il ressort que les autorités saoudiennes ne sont guère enclines à informer les suspects des accusations portées contre eux et leur permettent rarement d’avoir accès aux preuves qui les accablent, même pendant leur procès.

Sur Mizane.info, voici les titres.

Ahmet Ogras : le manifeste des 300 « peut contribuer à la fracture de la société française ».
Ahmet Ogras est le président du Conseil français du culte musulman. Dans un entretien accordé à Mizane.info, il nous livre sa réaction après la publication du Manifeste des 300 personnalités dénonçant un antisémitisme musulman. Ahmet Ogras appelle notamment le Consistoire israélite et le grand rabbin de France a clarifié leur position.
Mizane.info : Quelle a été votre réaction à la lecture du Manifeste des 300 contre l’antisémitisme « musulman » ?
Ahmet Ogras : Le texte de ce manifeste est d’une maladresse déconcertante. A mon sens, il ne sert absolument pas la cause de l’antisémitisme ni celle de l’antiracisme en général. Je suis par ailleurs surpris que des personnalités de très grande qualité, telles que Bernard Cazeneuve, aient pu signer un texte parlant de « épuration ethnique ».
Vous pensez que tous les signataires n’ont pas signé la version finale de ce manifeste ?
J’attends des précisions des uns et des autres à ce sujet.
Vous parliez des personnalités ?
L’autre personnalité est Haïm Korsia (Grand rabbin de France, ndlr) qui est également conseiller politique du président sur l’islam de France. J’étais habitué aux discours constructifs et responsables du Grand rabbin. Sa signature me déçoit.
Cette prise de position du grand rabbinat incriminant le Coran et la communauté musulmane d’antisémitisme va-t-elle avoir des conséquences sur vos relations avec les institutions juives de France ?
Le CFCM ne participe pas au gala du CRIF, ni ne le boycotte. Les institutions religieuses (CFCM, Consistoire et grand rabbinat, ndlr) devront quant à elles s’expliquer. On ne peut pas continuer à parler de vivre-ensemble pour ensuite agir par derrière en accusant le Coran. Nous lançons au Consistoire et au grand rabbin un appel à clarifier leur position sur ce sujet.
Les musulmans ont sauvé les enfants de la communauté juive en Afrique du nord et dans l’Empire ottoman du temps de l’Inquisition en Europe (…) et ils l’ont fait au nom du Coran.
Selon vous, ce manifeste vous semble-t-il traduire une offensive idéologique contre l’islam, plusieurs de ces signataires étant notoirement connus pour leur hostilité affichée aux musulmans et/ou à l’islam, ou reflète-t-il une partie de ce que pense l’opinion publique française ?
Ce qu’il faut combattre ce sont les interprétations dévoyées des textes sacrés. Rappelons que les textes incriminés que l’on perçoit comme des « pousse aux crimes » étaient bien présents quand les musulmans ont sauvé les enfants de la communauté juive en Afrique du nord et dans l’Empire ottoman du temps de l’Inquisition en Europe. Ce sont les Ottomans et les Maghrébins qui ont sauvé cette communauté et ils l’ont fait au nom du Coran. Et on voudrait nous faire croire que le même Livre serait responsable de violences contre les juifs ? Les signataires de ce manifeste, en cautionnant une lecture littéraliste des textes, partagent curieusement le même type de lecture que certains djihadistes de Daesh, mais cette lecture n’est certainement pas celle de l’écrasante majorité des musulmans. Le seul point positif de cette polémique est d’avoir permis à chacun de s’exprimer. Je félicite d’ailleurs à titre individuel toutes les personnes qui ont répondu à ce manifeste et qui s’expriment. Ce n’est pas l’apanage du CFCM. La communauté musulmane à travers ses nombreuses voix doit s’exprimer et la majorité silencieuse se réveiller. Toutes les tribunes sont les bienvenues. Il existe aujourd’hui une dictature intellectuelle de certains politiques, intellectuels et académiciens imposée à la population française.
A quelles fins ?
Je ne comprends pas la finalité. Cela dit, ce texte peut contribuer à la fracture de la société française voir à une guerre civile de basse intensité. Ce que finalement recherche Daesh.

Sur des domes et des minarets.fr, voici les titres.

France : Mulhouse : le futur Centre Annour se visite.
Dimanche 29 avril, l’Association des Musulmans d’Alsace ouvre le chantier au public, l’occasion de découvrir le futur Centre Annour et l’avancée des travaux de celui-ci. De l’extérieur, le centre est terminé, mais il reste encore des travaux de finition à l’intérieur. Le centre sera opérationnel d’ici la fin de l’année, inch’Allah.
Ce complexe “eco-friendly” et moderne abritera en plus des salles de prières, des services commerciaux, des salles de sport, une piscine, une chambre mortuaire, une bibliothèque, une école, des salles de conférence, des bureaux. A terme, le centre sera l’un des plus grands d’Europe.
Dimanche 29 avril de 11h à 18h
Adresse : 178, rue d’Illzach, 68100, Mulhouse.

Sur le muslim post.com, voici les titres.

Algérie : un cheikh salafiste «excommunie» à tout-va et réveille les noirs souvenirs de la guerre civile.
Chiites, kharejites, soufis, Al mu’tazila, Asha’ari, Al-Daawa, Al-Tablight, Frères musulmans, Daech, Al-Qaeda, partis politiques, courants rationalistes, nationalistes, démocrates, grévistes, défenseurs des droits de l’homme, contestataires des gouvernants…
La liste est longue de ceux qui, selon le cheikh salafiste algérien, Mohamed Ali Ferkous, un des représentants du wahhabisme « madkhali », ne feraient pas partie des « gens de la sunna et du consensus », le « groupe sauvé ».
Ce sont des centaines de millions de musulmans et une multitude de courants qui, pour certains, ont fait la richesse de la pensée islamique qui ont été quasi-excommuniés, classés dans la catégorie des « égarés » par le cheikh salafiste dans un texte publié sur son site.
Dans une Algérie encore profondément marquée par le souvenirs de la guerre civile dans les années 90, la quasi-fatwa de ce salafiste « apolitique » — qui récuse comme un mal absolu toute contestation du gouvernement — a suscité une levée de boucliers générale.
Des partis islamistes bien sûr, mais également des représentants de la vieille association des oulémas, créée par l’imam Ben Badis. Le ministre des Affaires religieuses, Mohamed Aïssa, a menacé « d’appliquer la loi » contre celui qui a provoqué une des plus grandes controverses politico-religieuses de ces dernières années.
Salafiste quiétiste… « apolitique »
Le pouvoir algérien qui a très largement mis à contribution les salafistes dit scientifiques pour contrer un salafisme politique contestataire — incarné par l’ex-FIS — a dû hausser le ton.
Dans une Algérie très largement malékite avec une une minorité ibadite (Ghardaïa), la sortie inattendue de cheikh Ferkous mettait à mal le discours du ministre des Affaires religieuses, Mohamed Aïssa, défendant un « référent national » par rejet des fatwas d’importation, même s’il omet, par prudence diplomatique, de citer le wahhabisme.
Dans un entretien au journal El Watan en 2014, juste après sa désignation, Mohamed Aïssa estimait que « l’islamisme radical » était une perte de référents « authentiques. » « Nous avons oublié que nous appartenons à une civilisation qui a jailli de Cordoue et nous nous sommes retrouvés dans une pratique bédouine de la religion. »
Pourtant malgré ce discours « anti-bédouins », les autorités ont continué à s’accommoder du travail de salafistes « quiétistes », censés être sans risque pour l’ordre politique, contrairement au salafisme réformiste ou djihadiste.
La sortie de cheikh Ferkous qui a suscité une levée de boucliers générale, contraint le ministre à être plus offensif. D’autant qu’un religieux très populaire officiant sur la chaîne privée Ennahar (proche du pouvoir), cheikh Chemseddine Bouroubi, a sonné la charge avec virulence contre Ali Ferkous qu’il qualifie de « chef de la fitna ».
« Que Dieu te maudisse, toi et tes idées ! »
Ce chef de la fitna, a-t-il vitupéré dans son émission « a exclu tout le monde de la tradition de la sunna, il veut y rester tout seul ! Et bien, reste seul ! (…). L’Islam fait rentrer les gens en religion, mais vous et votre doctrine, vous faites le contraire, vous excluez tout le monde, vous êtes en-dehors de la religion, la vraie ! »
S’adressant directement au cheikh salafiste, Chemssedine a dit : « Que Dieu te maudisse, toi et tes idées ! », et a appelé les autorités à « criminaliser l’idéologie wahhabite ». Le ministre a dû mettre le curseur plus haut en déclarant que « l’Etat va faire face aux idées du courant sectaire dont se réclame Ali Ferkous. Des idées qui peuvent diviser la société ».
Le cheikh Ferkous, qui n’a pas enlevé son texte de son site, a déclaré qu’il respectait et vénérait les oulémas et les cheikhs mais qu’il « restait attaché à sa position dans ce qui lui paraît juste », jusqu’à ce qu’on lui prouve qu’il est dans l’erreur.
Cette vive polémique est intervenue quelques semaines avant la tenue à Alger, le 23 et 24 avril, d’une conférence internationale sur « l’enseignement de l’éducation islamique dans les établissements publics » en présence de représentants de 30 Etats et instances islamiques dans le monde.
Selon l’agence officielle Algérie Presse Service, les participants ont appelé dans leur déclaration finale à la « rénovation du discours religieux » et à « la purification des errements ». Ils ont également transmis un message assez mystérieux appelant à la “ libération de la fatwa des mains des laboratoires impérialistes qui exportent vers nous des pseudo-foukaha (docteurs de la foi musulmane, ndlr), dignes des époques des fitnas ».
Ainsi que le relève un analyste dans le HuffPost Algérie, s’il est clair que les « pseudo-foukaha » sont les oulémas salafistes (fondamentalistes), nulle part en odeur de sainteté actuellement, pas même dans leur berceau traditionnel, l’Arabie saoudite, il est plus difficile d’identifier ces ‘laboratoires impérialistes’. »
Par notre correspondant en Algérie, Rafik Larbi.
Palestine : le bilan de la « marche du retour » s’alourdit jour après jour.
Ce vendredi, au moins 25 Palestiniens ont été blessés, selon l’agence de presse palestinienne Maan, et trois hommes abattus par les forces israéliennes. La « grande marche du retour » continue. Selon l’agence palestinienne, des milliers de personnes y ont une nouvelle fois participé aujourd’hui.
Les organisateurs insistent sur l’aspect non violent de cette manifestation. Ils préviennent que cette grande marche continuera même après le 15 mai, jour du soixante-dixième anniversaire de la Nakba, le jour qui a suivi la proclamation de l’Etat d’Israël, indique Ismail Haniyeh, le chef du bureau politique du Hamas.
« Le peuple palestinien manifestera tout au long du mois de Ramadan pour faire face aux nombreux défis auxquels nous sommes confrontés, et en particulier le plan de paix proposé par le président américain Donald Trump, appelé ‘accord du siècle’ », a insisté le membre du Hamas qui veut « transformer cet accord en une gifle retentissante pour l’administration de Washington. »
Comme l’indique Haaretz, qui cite les Nations Unies, depuis le 30 mars, 42 Palestiniens ont été tués et plus de 5 500 blessés. Ce vendredi, le responsable des droits de l’Homme de l’ONU, Zeid Ra’ad al-Hussein, a déclaré qu’Israël doit arrêter le recours excessif à la force à Gaza et que le nombre de pertes humaines « est stupéfiant. »
Parmi les 2 600 blessés soignés dans les hôpitaux publics, plus de 450 étaient des mineurs, ajoute l’ONU.
Canada : Tuerie de la mosquée de Québec : « Un crime trop égoïste pour être terroriste » ?
En janvier 2017, Alexandre Bissonnette tuait six personnes au Centre Culturel Islamique de Québec. Dix mois plus tard, la justice expliquait que cet attentat contre la mosquée canadienne ne serait pas qualifié d’acte terroriste. Actuellement, alors que le procès se déroule, plusieurs experts témoignent. Parmi eux, un psychiatre qui, ce jeudi, a estimé que le crime commis par Alexandre Bissonnette n’était pas un acte terroriste.
Comme s’il fallait lui trouver des circonstances atténuantes, le psy a indiqué que le jeune homme envisageait de se suicider. « Dans sa vie, c’est devenu la porte de sortie », estime le médecin alors qu’Alexandre Bissonnette voulait faire plus de morts. Le psychiatre estime qu’il s’agit d’un crime « trop égoïste pour être terroriste. » Certes, ajoute-t-il, « ce crime-là est empreint de racisme, même si monsieur ne le voit pas. »
En effet, Alexandre Bissonnette, interrogé une première fois, avait assuré qu’il n’était pas islamophobe mais qu’il voulait se suicider. La preuve, continue le psychiatre, l’homme « avait gardé des balles » pour se tuer le soir de l’attentat. Déclaré coupable de six meurtres et de six tentatives de meurtre pour la tuerie du 29 janvier 2017, Bissonnette pourrait rester en prison entre vingt-cinq et cent-cinquante ans.
Mohamed Labidi, qui était président du Centre culturel islamique de Québec au moment de l’attaque, estime que le fait que l’acte raciste soit retenu est « un soulagement au niveau de la communauté. »
Le coupable connaîtra sa peine au mois de septembre prochain.

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

Israël ferme la décharge de Naplouse, lourdes pertes financières
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La municipalité de la ville d’Aqraba, au sud-est de Naplouse, a rapporté que de lourdes pertes ont été causées après que les autorités israéliennes ont décidé de fermer la route menant à la décharge de la ville et confisqué les véhicules utilisés pour transporter les déchets.
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Tirs sur la colonie de Beit El dans le centre de la Cisjordanie
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Les forces d’occupation israéliennes arrêtent 5 Palestiniens dans des raids en Cisjordanie
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Hanini: Abbas punit la Cisjordanie avec des arrestations politiques
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Un fonds de l’ONU accorde 2,2 millions de dollars pour répondre aux besoins humanitaires urgents à Gaza
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Haniyeh: les mains des assassins d’al-Batsh seront coupées
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Gaza reçoit le corps du martyr Fadi al-Batsh
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Marche du Retour: Nikki Haley accuse le Hamas d’utiliser des enfants « comme chair à canon »
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Plus de 100 colons prennent d’assaut la mosquée Al-Aqsa
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Funérailles de masse pour le martyr journaliste Ahmed Abu Hussein
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Les Roumains refusent d’adopter de la déclaration Trump sur Jérusalem occupée
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Les services de l’Autorité Palestinienne arrêtent trois prisonniers libérés et continuent à détenir d’autres
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42 morts et plus de 5 000 blessés tracent la « Grande marche du Retour »
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L’occupation attaque un magasin et arrête un jeune homme dans la vieille ville d’Hébron
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L’occupation ​arrête deux étudiants de la faculté d’Arroub à Hébron
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Les Palestiniens se préparent à faire leurs adieux au scientifique al-Batsh
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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