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Flash info du 17 Rabi al Awwal 1439.

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Sur Ajib.fr, voici les titres.

« Le Rappel est pour le cœur ce que l’eau est pour le poisson ».
Le rappel d’Allah, le dhikr a bien des avantages, car celui qui veut gagner l’Amour d’Allah doit le mentionner souvent. Ainsi il adorera Allah comme s’il Le voyait, car il n’y a pour l’insouciant aucune autre issue vers le rang de l’ihssan que celle du dhikr, de la même manière que celui qui demeure assis ne pourra jamais rejoindre sa maison (qu’en marchant).
Mentionner Allah dans son cœur ou à haute voix de manière régulière sans se lasser, verra son cœur se tourner vers Allah en toutes circonstances. Allah devient son refuge et son asile, son Protecteur contre les malheurs de ce monde.
Plus le dhikr est abondant, plus le musulman se trouve dans la proximité d’Allah et plus son insouciance s’accroît, plus son éloignement s’accentue.
Dieu a dit : « Souvenez-vous de Moi et Je Me souviendrai de vous ». (Coran 2/152).
Le Prophète (sallAllahou ’alayhi wa salam) a rapporté ce que son Seigneur a dit :
« Celui qui se souvient de Moi en lui-même, Je Me souviendrai de lui en Moi-Même. Celui qui me mentionne dans une assemblée, Je le mentionnerai dans une assemblée meilleure ». [Cité par Bukhârî].
Le chaykh al-islâm Ibn Taymiyya a dit : « Le dhikr est au cœur ce que l’eau est au poisson. Quel serait l’état du poisson s’il venait à quitter l’eau ? »
– Il évacue la rouille du cœur. Chaque chose à sa rouille et celle du cœur, c’est l’insouciance et les passions irréfléchies ; et son polissage se fait par le dhikr, le repentir et la demande du pardon à Allah.
– Il efface les fautes et les élimine complètement. Il compte au nombre des plus grandes œuvres et celles-ci chassent inévitablement les mauvaises actions.
– Il détruit l’appréhension (al wahchatou) qui sépare l’adorateur de son Seigneur.
C’est qu’entre l’insouciant et Allah, il y a une cloison (appréhension) qui ne peut être effacée que par le dhikr.
– Lorsque le serviteur fait la connaissance d’Allah à travers son dhikr pendant les jours heureux, il le connaîtra aussi pendant les jours sombres.
En effet, lorsque le serviteur obéissant, qui invoque Allah, est gagné par l’adversité ou demande à Allah de satisfaire un de ses besoins, les anges disent : « Ô Seigneur ! C’est une voix connue d’un serviteur connu ».
Par contre, quand l’insouciant appelle Allah et lui demande quelque chose, les anges disent : « Ô Seigneur ! C’est une voix inconnue qui provient d’un serviteur inconnu ».
Le dhirk est la nourriture du cœur, Ibn al-Qayyîm dit avoir assisté une fois à la prière de l’aube avec Sheikh al-Islâm Ibn Taymiyyah, à la fin de la prière, il s’est assis et s’est mis à invoquer le Nom d’Allah jusqu’à environ la moitié du jour, « puis il se tourna vers moi et me dit : “Voici mon déjeuner. Si je ne le prends pas, je perds vite mes forces” ».
(Al-Wâbil us-Sayb min al-Kalâm it-Tayb de Ibn al-Qayyîm, p.95-96).

Sur Katibin.fr, rien de neuf.

Sur journal du musulman.fr, voici les titres.

Belgique : Un professeur marocain enfermé à son arrivé en Belgique : « Je suis resté toute la nuit sur une chaise métallique, c’est humiliant ».
Abdelkader Hakkou, vice-président de l’Université Mohammed Premier, a été placé au centre fermé de Steenokkerzeel suite à son arrivée en Belgique, vendredi soir, à l’aéroport de Charleroi. Muni d’environ 80 euros sur lui, la douane a estimé qu’il n’avait pas l’argent nécessaire pour son séjour en Belgique. Pourtant, à l’aéroport, un collaborateur de l’ULB attendait le professeur pour lui fournir l’argent et les documents nécessaires. Car Abdelkader Hakkou est venu en Belgique pour un projet de coopération entre plusieurs universités. Un projet financé par l’ULB et par la Fédération Wallonie-Bruxelles.
« C’est un peu psychiquement difficile ».
Ce dimanche vers midi, nous avons finalement appris que M. Hakkou avait été libéré. Notre journaliste Ludovic Delory l’a rencontré à l’aéroport de Charleroi au moment de sa libération. « Je suis resté toute la nuit sur une chaise métallique en attendant ce qu’on allait faire de moi, donc ça c’est un peu un aspect d’humiliation, c’est un peu psychiquement difficile à quand on l’habitude d’être libre, donc ça fait un peu mal », a confié l’universitaire qui a eu bien du mal à retenir ses larmes en retrouvant ses collègues marocains et ses homologues belges.
Le professeur marocain a d’ailleurs tenu à remercier chaleureusement Yvon Englert, le recteur de l’ULB, qui a tout mis en œuvre pour qu’il soit libéré le plus rapidement possible. Les deux hommes sont tombés dans les bras l’un de l’autre à l’aéroport.
France : Colombes : Une épicerie halal menacée de fermeture en justice, car elle ne vend ni vin ni porc.
Le tribunal de Nanterre doit trancher, lundi, le litige opposant un office HLM de Colombes à l’un de ses locataires, une épicerie halal…
Il y a bien quelques bonbons Haribo dans les rayons. Mais ni bouteilles de vin, ni côtelettes de porc. Le tribunal de Nanterre (Hauts-de-Seine) doit trancher, lundi, un litige opposant un office HLM de Colombes à l’un de ses locataires, une épicerie accusée de ne vendre quasiment que des produits halal et donc, de ne pas respecter son bail établi pour « alimentation générale ».
L’affaire remonte au mois d’août 2016. Alerté par plusieurs de ses résidents, l’office HLM de la ville de Colombes, présidé par la maire (Les Républicains) Nicole Goueta, décide d’attaquer en justice la supérette Good Price pour demander la rupture du bail. Louée pour être « un commerce généraliste d’alimentation », l’enseigne qui ne vend ni porc, ni alcool, ne respecte par son contrat, selon la plainte de l’office HLM.
Dans les rayons, des produits halal à 96 % ?
« C’est un dossier qui peut paraître singulier mais qui est tout de même assez simple, avait assuré François Meyer, l’avocat de l’office HLM, en octobre lors de l’audience au tribunal de Nanterre. Dans les clauses du bail, il y a une mention pour que ce commerce soit généraliste. Or là, il s’agit d’une alimentation particulière. A 96 %, elle vend des produits halal. »
Good Price et son avocate avaient jugé l’accusation bancale, estimant que le chiffre de 96 % ne correspond pas à la réalité. « On nous reproche de ne pas vendre de vin, or c’est une activité annexe : le vin ne fait pas partie de l’alimentation générale », avait notamment défendu l’avocate de l’enseigne, avant de dresser la liste des marques bien connues vendues dans le magasin, parmi lesquelles les célèbres bonbons Haribo.

Sur islam et info.fr, voici les titres.

Yémen : Ali Salah exécuté par les milices chiites houthis.
L’ancien président du Yémen a été tué il y a quelques heures à Sanaa capitale du Yémen.
Cet assassinat intervient alors qu’Ali Salah avait annoncé vouloir trouver un accord avec les saoudiens …
Après cette déclaration les troupes houthis ont pris d’assaut la capitale Sanaa controléé en partie par les troupes de l’ex-président et ont donc fini par y exécuter Ali Salah accusé de trahison par les chiites yéménites soutenus par l’Iran.
Le président “officiel” M. Hadi soutenu par l’Arabie qui bombarde le Yémen depuis des années a lui annoncé le lancement d’une bataille pour reprendre la capitale.
La bataille semble donc être proche entre les chiites et les tribus sunnites alliés à l’Arabie pour le contrôle de la capitale. La position des groupes islamistes de la région dans cette bataille restent encore inconnu.
Tout semble donc annoncer un désastre humanitaire pour la population yéménite qui avait déjà beaucoup de mal à survivre.
Pour mieux comprendre le conflit nous vous proposons une vidéo explicative, a voir sur islam et info.fr.

Sur saphirnews.com, voici les titres, rien de neuf.

France : Colombes : une épicerie halal « à 96 % » jugée pour « communautarisme ».
Pas d’alcool ni de porc, tels sont les produits que les gérants d’une épicerie de Colombes (Hauts-de-Seine) ont choisi de ne pas commercialiser dans leur magasin d’alimentation, estimant qu’ils ne trouveraient pas leurs clients.
Ce choix, Colombes Habitat Public, l’office HLM abritant le commerce Good Price, le lui reproche, l’accusant d’être « une épicerie communautaire, qui correspond à une pratique religieuse ».
Refusant la « communautarisation » des commerces de Colombes, l’office HLM présidé par la maire (LR) Nicole Gouéta estime qu’une des clauses du bail n’est pas respectée par l’épicerie, qui se devait non pas d’être halal mais « généraliste ». Elle l’attaque alors en justice en août 2016.
Lors d’une audience au tribunal en octobre, l’avocat de Colombes Habitat Public a estimé que l’épicerie est halal… « à 96 % ». De son côté, l’épicerie avait fait savoir que la vente de vins est un complément de l’alimentation générale, une activité annexe qui n’a rien d’une obligation à instaurer pour les commerçants.
Le contrat de location devant durer jusqu’en 2019, l’office réclame la rupture du bail et donc sa fermeture. Le tribunal de Nanterre est appelé à trancher le litige ce lundi 4 décembre.

Sur oumma.com, voici les titres.

Palestine : Samah Jabr, directrice de la Santé mentale en Cisjordanie occupée: “Les Palestiniens ne renonceront jamais à leur terre”.
A l’occasion de la parution de son premier ouvrage « Chroniques d’une psychiatre psychothérapeute palestinienne sous occupation », conçu comme un recueil de chroniques quotidiennes écrites de 2003 à ce jour, toutes plus marquantes les unes que les autres, Samah Jabr, celle par qui les traumatismes cachés de la vie sous le joug israélien sont révélés au grand jour, a accordé à Oumma une interview dans laquelle elle évoque, entre autres, son rôle central dans le film réalisé par Alexandra Dols : « Derrière les fronts : Résistances et Résilience en Palestine » (projeté actuellement en salle en France). Ou quand le poids des mots s’associe à la force de l’image pour rendre visibles les ravages invisibles de l’occupation israélienne.
Samah Jabr, vous êtes à la fois une psychiatre/psychothérapeute palestinienne de renom et une auteure. Qu’est-ce qui vous a poussée à devenir le grand témoin du film-documentaire réalisé par Alexandra Dols : « Derrière les Fronts : Résistance et Résilience en Palestine » ?
Je suis directrice de l’Unité de Santé Mentale en Cisjordanie occupée, et à ce titre, je suis responsable des services de santé mentale pour l’ensemble de la région. Ce qui m’a incitée à participer à ce film, c’est la même motivation qui m’a poussée irrésistiblement à écrire depuis 1998. A travers mes écrits, je veux informer sur les blessures invisibles du peuple palestinien, afin que le monde sache tout de ses souffrances cachées. Je mets des mots sur des maux, des sentiments et des vécus enfouis, tandis que la réalisatrice Alexandra Dols les illustre en images.
Je pense que cette union entre mes mots et ses images contribue à donner une autre image des Palestiniens qui sont constamment diabolisés par les médias internationaux pro-israéliens, ou présentés comme des victimes impuissantes par les défenseurs de la souveraineté de la Palestine. Dans le film « Derrière les Fronts », les Palestiniens sont représentés comme un peuple digne, créatif, plein de ressources, en dépit des terribles épreuves et traumatismes subis.
La colonisation d’Israël se poursuit de plus belle en faisant des ravages considérables, notamment dans ce que vous appelez « l’espace mental » de vos concitoyens. Quels messages essentiels avez-vous voulu délivrer dans ce film ?
Tout d’abord, que l’occupation israélienne s’attaque délibérément au mental et à la volonté de la population qui vit sous son joug, pour mieux les affaiblir, les anéantir, de la même manière qu’elle s’attaque à son intégrité physique pour mieux la détruire.
Ensuite, que la résistance à l’oppresseur est cruciale pour le mieux-être des Palestiniens, dans le sens où elle produit des effets bénéfiques, valorisants et fédérateurs, et qu’au contraire la capitulation conduit à la dépression collective et à un désir de vengeance occasionnel.
Je voulais également insister sur le fait qu’un processus de libération psychologique devrait aller de pair avec les efforts menés pour libérer la terre de Palestine. La libération psychologique des Palestiniens n’a pas besoin de psychiatres pour soigner les pathologies et administrer des traitements, pour la simple et bonne raison que les Palestiniens sont occupés et pas malades ! Au lieu de cela, la libération psychologique requiert des leaders responsables, capables de construire une résilience collective et d’insuffler ce souffle d’énergie positive à l’ensemble de la population.
La plupart des Palestiniens puisent dans les enseignements de la spiritualité, de la morale ou de la philosophie, la force de panser les blessures infligées par le traumatisme politique.
Enfin, je voulais clamer haut et fort que les Palestiniens ne renonceront jamais à leur terre, que l’occupation israélienne ne connaîtra jamais la paix et ne gagnera jamais en légitimité.
Comment vos concitoyens, selon vous, peuvent-ils résister le plus efficacement possible à la politique d’apartheid d’Israël ? Les femmes palestiniennes jouent-elles un rôle important ?
En restant plus que jamais connectés avec le reste du monde face à l’isolation forcée, plus que jamais soudés face à la menace de fragmentation. Les femmes apportent en effet une précieuse contribution, en retissant le tissu social déchiré de leur pays et en perpétuant la tradition orale de l’histoire de la Palestine.
Deux ans après son tournage, le film « Derrière les fronts » est actuellement projeté en salle, à Paris et dans quelques villes de province. Quel accueil reçoit-il de la part du public français et, vous-même, comment êtes-vous accueillie ?
Je me réjouis que ce film très authentique, qui reflète fidèlement la réalité palestinienne, au point d’être susceptible de déplaire à la sphère institutionnelle, n’ait reçu aucun soutien de ce côté-là. Je suis pleinement satisfaite qu’il ait réussi à se frayer, seul, un chemin vers le grand public, et qu’il soit devenu un support créant les conditions d’un vrai débat sur la Palestine, en dehors des cercles d’initiés classiques.
Le film est long, mais il est réconfortant de constater que les gens restent pendant les deux heures de projection pour pouvoir ensuite en discuter. Il a reçu un excellent accueil de la part de la presse et plusieurs personnes m’ont écrit pour me dire combien elles avaient été marquées par la mise en lumière d’une réalité palestinienne méconnue.
Est-ce que la population palestinienne pourra voir le film ?
Le film a été projeté en Palestine, à Nablus et dans le camp de Dheisheh, un camp de réfugiés palestiniens situé au sud de Bethléem. Nous avons appris avec joie sa sélection pour le festival annuel Days of Cinema qui, chaque octobre, place la Palestine sur la carte de l’industrie cinématographique internationale, et nous avons eu le grand bonheur qu’il remporte the Sunbird Award du meilleur documentaire en 2017.
Plusieurs films ont déjà traité de la Palestine et des Palestiniens, mais si plusieurs d’entre eux peuvent rencontrer un certain succès en Occident, rares sont ceux qui sont appréciés et remportent l’adhésion du public palestinien. Aussi, ai-je été si heureuse que les efforts d’Alexandra Dols et de son équipe soient reconnus à leur juste valeur et récompensés par les Palestiniens.
Etes-vous soutenue dans votre démarche par des hommes politiques palestiniens ou des personnalités palestiniennes ?
Non, pas du tout. Je ne suis pas connue en Palestine pour mon activisme ou mes opinions politiques. Je ne suis membre d’aucun parti et cela constitue un obstacle, et en aucun cas un avantage. Mais cependant, je peux entreprendre beaucoup de choses par moi-même.
En Palestine, je suis surtout connue pour être une très bonne clinicienne, formatrice et professeure d’université. J’interviens souvent dans les médias afin d’instruire le public sur la santé mentale et de défendre les droits des patients en psychiatrie. Les gens n’ont pas besoin de moi pour ruminer la réalité politique qu’ils ne connaissent que trop bien. C’est dans ma discipline que je peux être le plus utile à mes concitoyens, en m’attelant à développer les services de santé mentale localement et en informant le monde sur ce qui passe dans mon pays.
Quel bilan dressez-vous des traumatismes nés de cette occupation implacable, qui affectent les Palestiniens ? Y a-t-il des raisons d’espérer, envers et contre tout ?
Je suis spécialisée dans les traumatismes cachés sous occupation, à la fois en psychiatrie et en psychothérapie. J’effectue une grande partie du travail orthodoxe d’un psychiatre en traitant les patients atteints de troubles mentaux, plus ou moins sévères. J’enseigne également. Grâce à ma connaissance de la psychologie et ma conscience politique, je suis en mesure d’analyser et de transmettre les différentes manières de vivre ou de subir l’occupation par les Palestiniens.
Je suis à même de mesurer l’ampleur des dégâts psychologiques causés par une politique de domination, et contrairement à beaucoup de professionnels intimidés, je ne crains pas que la politique soit un agent pathogène pouvant nuire à notre discipline. Ce n’est pas faire une entorse à la neutralité ou à l’impartialité, et cela ne me discrédite pas en tant que professionnelle. Au contraire, toute conceptualisation de la santé mentale sans tenir compte des droits de l’Homme serait vaine et vide de sens. A l’instar des médecins généralistes qui recommandent une bonne hygiène de vie et une nutrition équilibrée pour l’état général, nous, les professionnels de santé mentale, nous devrions nous efforcer de lutter pour la justice et la liberté afin de favoriser une bonne santé mentale.
Quant à ce que j’entrevois de la réalité politique, j’observe avec inquiétude le sombre scénario qui s’élabore contre les Palestiniens. Je ne suis pas aveugle. Des politiques occidentales et régionales sont mises en œuvre pour réduire le peuple palestinien au silence et légitimer l’occupation.
Il est évident que l’existence de régimes tyranniques dans le monde arabe sert les intérêts de l’oppresseur israélien, compte tenu du fait que ces régimes sont bien plus intéressés par le maintien de leur stabilité que par l’adoption d’un véritable agenda national qui serait bénéfique à leur peuple. Mon espoir réside dans la conscience politique et la résistance psychologique des Palestiniens, ainsi que des peuples arabes. L’Egypte a signé les accords de Camp David il y a 40 ans, qui n’ont jamais fait et ne feront jamais des Egyptiens des amis d’Israël, pas plus que les efforts déployés par les régimes totalitaires arabes pour normaliser l’image d’Israël, en dépit du ressentiment de leurs populations respectives, ne parviendront à le faire passer pour un « Etat normal » dans la région.
Est-ce que la révélation au grand jour des souffrances invisibles du peuple palestinien peut avoir l’effet d’un remède ?
« Jusqu’à ce que votre inconscient devienne conscient, alors il dirigera votre vie », c’est une citation célèbre du psychiatre suisse Carl Gustav Jung, en psychoanalyse. Et pour ma part, j’ajouterai que jusqu’à ce que l’invisible devienne visible, alors il vous hantera et sèmera le trouble dans votre esprit.
La réalisatrice Alexandra Dols et moi-même avons entendu des réactions étonnantes de part et d’autre, qui témoignent de l’impact positif du film sur le public, de Palestine et d’ailleurs. Ainsi, une jeune femme palestinienne nous a confié : « Je suis souvent submergée par l’émotion quand j’essaye d’expliquer ce que nous vivons à des étrangers, je me sens souvent incapable de trouver les bons mots pour exprimer mes opinions et ce que je ressens, et je cherche souvent de l’aide pour que l’on parle à ma place. Maintenant, grâce à ce film, je sais ce qu’il fait dire et comment le dire ».
Il y a eu aussi ce jeune homme palestinien, qui nous a dit : « Je comprends mieux à présent ce qui peut me libérer des sentiments d’infériorité et de honte qui m’habitent ». Ou encore ce psychologue israélien qui s’est exclamé « Ce film m’a fait passer de la prise de conscience à l’action », sans oublier ce Français socialiste qui a reconnu humblement : « J’ai passé 40 ans de ma vie à soutenir les Israéliens. Ce film m’a changé, je réalise combien j’étais dans l’erreur et la confusion ».
Vos chroniques quotidiennes, écrites de 2003 à ce jour, font l’objet de votre tout premier livre : « chroniques d’une psychiatre psychothérapeute palestinienne sous occupation ». Si vous deviez extraire une histoire particulièrement édifiante de ce recueil (disponible en librairie au mois de mars 2018), quelle serait-elle ?
Je pense à “S’envoler hors de nos cages”, un article qui met en lumière la crise psychologique causée par la violence structurelle, les inégalités économiques et l’injustice criante qui sont autant de fléaux qui s’abattent sur la société palestinienne sous occupation. Il a été publié dans le magazine Washington Report on Middle East Affairs, en juin 2014.
Propos recueillis par la rédaction d’Oumma.
France : Selon Aymeric Caron, Manuel Valls instrumentalise l’islam.
Aymeric Caron était reçu ce dimanche dans l’émission “Et en même temps” sur BFMTV. Le journaliste et essayiste est revenu sur la polémique suscitée par les propos de Manuel Valls qui a évoqué le “problème avec l’islam” en France lors d’un débat organisé par le journal espagnol “El Pais” le 21 novembre dernier. “Est-ce que vous considérez, comme d’autres, que Manuel Valls utilise la laïcité pour en réalité mener une guerre contre les musulmans?”, lui a demandé Laurent Neumann. “Le mot de guerre est très maladroit”, a répondu Aymeric Caron. “En ce qui concerne Manuel Valls, oui clairement à mon sens, il y a une utilisation, une instrumentalisation d’un combat pour la laïcité […] poussé à son extrême jusqu’à devenir parfois un combat contre l’islam”, a-t-il ajouté.
reportage a voir sur oumma.com.

Sur Mizane.info, rien de neuf.

Sur des domes et des minarets.fr, voici les titres.

France : Et si vous financiez un pilier de la mosquée Eyyûb Sultan de Strasbourg ?
Après la pose de la première pierre de la Grande Mosquée Eyyûb Sultan de Strasbourg le 15 octobre dernier, place à présent à l’étape suivante, celle de la mise en place des fondations, qui seront composées de 201 piliers en béton armé enfouis dans le sol pour soutenir l’édifice. Pour financer cette première phase des travaux, la CIMG lance la “campagne de piliers”, chaque pilier coûtant 2 000 euros.
“Parce qu’une œuvre n’est bonne que lorsque sa fondation est saine, et parce que l’enjeu n’est pas seulement d’élever des murs mais plutôt de bâtir des générations pieuses pour l’avenir, nous vous invitons à répondre présent à notre campagne de financement des fondations”, écrit Eyup Sahin patron de la confédération musulmane pour le Grand Est.
(Car une Mosquée fondée dès le premier jour, sur la piété, est plus digne que tu t’y tiennes debout [pour y prier]. On y trouve des gens qui aiment bien se purifier, et Allah aime ceux qui se purifient), Saint-Coran.
DONNER POUR UNE MOSQUÉE : UNE AUMÔNE CONTINUE.
Il est rapporté dans un Hadith authentique la parole prophétique suivante : «Lorsque le fils d’Adam meurt, ses œuvres s’arrêtent sauf trois choses : une aumône continue, une science dont les gens tirent profit et un enfant vertueux qui invoque Allah, exalté soit-Il, pour lui». Construire une mosquée ou participer à la construction d’une mosquée fait partie de ces aumônes continues qui œuvrent pour le défunt même après sa mort.
POUR FAIRE UN DON :
par Chèque : CIMG, GMES, 8, rue la Fayette, 67100, Strasbourg.
par Virement bancaire : IBAN, FR76, 1027, 8010, 0400, 0208, 9570, 160, B I C, C, M, C, I, F, R, 2, A.

Sur Actualite islamique de Belgique, rien de neuf.

Sur agence media palestine.fr, rien de neuf.

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

Une enfant palestinienne renversée par une israélienne près de Hares
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Un enfant palestinien a été renversée lundi par une voiture conduite par une femme israélienne près de la ville de Hares, au nord-ouest de Salfit, au nord de la Cisjordanie occupée.
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Baisse historique du nombre de recrues dans l’armée d’occupation
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Les autorités arrêtent deux citoyens en Cisjordanie
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Un Palestinien blessé par des tirs israéliens lors d’affrontements au sud de Naplouse
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Les forces de l’occupation prennent d’assaut 2 écoles au sud de Bethléem
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Erekat: la reconnaissance américaine de Jérusalem comme la capitale d’Israël favorise l’anarchie
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L’OCI met en garde contre l’adoption de Jérusalem comme capitale d’Israël
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ISESCO: l’invasion du Dôme du Rocher par les colons est une agression flagrante
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Conseil National: Toute mesure américaine envers Jérusalem sera
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Les forces d’occupation imposent des restrictions militaires à Qalqilia
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Des enfants parmi 23 palestiniens arrêtés dans une campagne de raids
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L’armée d’occupation déclare la bordure de Gaza zone militaire fermée
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45 Gazaouis visitent leurs proches détenus à Nafha
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Le président de la Ligue arabe met en garde Trump avant une décision sur Jérusalem
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Des affrontements après la prise d’assaut de Rumaneh par l’occupation
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Badran: nous avons discuté des différents dossiers de la réconciliation
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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