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Flash info du 25 Safar 1437.

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Il était une fois un réfugié syrien qui vendait des stylos.

Souvenez-vous, en août dernier, nous vous parlions de ce réfugié syrien qui vendait des stylos en pleine rue au Liban, tenant sa fille endormie dans les bras.

Abdul Haleem Al-Kader vendait ces stylos toute la journée afin de subvenir aux besoins de sa famille. Le réfugié, photographié par un passant et diffusé sur les réseaux sociaux, avait suscité une immense vague d’émotion et de nombreux dons, affluant du monde entier.

Les internautes émus par cette image d’un père portant sa fille et travaillant avec le peu de moyens qu’il possède, avaient fait des dons s’élevant à 191 000 dollars. Avec cet argent, Abdul Haleem Al-Kader a décidé de prendre un nouveau départ pour offrir le meilleur à sa famille.

Il a investi dans une boulangerie, un restaurant et un kebab. Devenu chef d’entreprise alors qu’il ne possédait rien, Abdul Haleem Al-Kader n’oublie pas d’où il vient. C’est ainsi qu’il est venu en aide à d’autres réfugiés syriens en leur proposant de travailler dans ces commerces. Abdul Haleem a donc 16 employés réfugiés syriens. Fier de son parcours, il précise : « Je devais investir l’argent, sinon il aurait été perdu ». Cette somme a également permis à l’ancien vendeur de stylos de se montrer solidaire avec les syriens restés au pays.

C’est en ce sens qu’il a confié : « Cet argent a changé ma vie mais aussi celle de mes enfants et d’autres personnes en Syrie que j’ai aidées ». Ce papa se retrouve seul à s’occuper de ses deux enfants car son épouse a décidé de retourner en Syrie. Ce réfugié souligne sa reconnaissance envers Dieu face à une telle réussite : « Quand Dieu veut vous récompenser, vous l’aurez tôt ou tard ».

Abdul Haleem a pu s’installer avec ses deux enfants dans un modeste appartement deux pièces et offrir quelques jouets à sa petite de 4 ans. L’internaute qui l’avait pris en photo et qui est donc à l’origine de cette vague de dons a déclaré : « En voyant qu’il a ouvert un restaurant et que ses enfants vont bien, je suis vraiment heureux ».

Cette réussite professionnelle pour le moins impressionnante fait plaisir à voir al hamdouliLlah. Souhaitons encore de longues années d’entrepreneuriat à Abdul Haleem. Qu’Allah fructifie son commerce ainsi que celui de tous les musulmans.

http://www.ajib.fr/2015/12/il-etait-une-fois-un-refugie-syrien-qui-vendait-des-stylos/

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France : Calais : il menace d’écraser des réfugiés et se fait licencier.

Le chauffeur hongrois qui menacait d’écraser des réfugiés à Calais a été licencié par son employeur autrichien mercredi 4 décembre 2015.

La vidéo publiée par ce chauffeur jeudi 26 novembre 2015 a fait le tour de la toile et choquée par ses propos infâmes. Suite à sa démission, il affirme avoir seulement éviter que les réfugiés grimpent sur les véhicules. Une justification peu convaincante et démentie par les propos clamés ce jour-là au volant de son véhicule : « Je vais vous écraser ! Venez ! Vermines ! ».

La situation des près de 7000 réfugiés à Calais ne semble pas s’améliorer. Boudés par les habitants, peu accueillants à leur arrivée, ils sont aujourd’hui encore nombreux à camper dans la lande calaisienne. La cinéaste Catherine Corsini est partie à leur rencontre et nous dévoile les images des conditions désastreuses des réfugiés.

vidéo et reportage a voir sur www.muslimradio.info.

http://www.katibin.fr/2015/12/06/calais-il-menace-decraser-des-refugies-et-se-fait-licencier/

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France : Éducation Nationale : 857 cas de suspicion de radicalisation d’élèves musulmans.

L’Éducation Nationale a déclaré avoir recensé 857 cas de « suspicion de radicalisation » d’élèves musulmans pour l’année 2014-2015. Un chiffre impressionnant qui interroge sur le fichage des élèves de confession musulmane dans l’école publique.

Najat Vallaud-Belkacem, ministre de l’Éducation, évoquait lors d’une audition devant le Sénat le chiffre de 816 signalements de « suspicion de radicalisation ». L’éducation nationale vient de revoir le bilan à la hausse avec 857 cas.

Depuis l’année dernière, des circulaires sont transmises dans les collèges et lycées permettant le fichage d’élèves suspectés de s’intéresser à l’actualité internationale (Palestine, Moyen-Orient), de se laisser pousser la barbe ou encore de ne pas écouter de musique. Des pratiques contestées par la Communauté musulmane qui s’inquiète de la montée de la stigmatisation de leurs enfants sous couvert de lutte contre le « radicalisme ».

Selon les informations du journal Le Monde, les signalisations d’élèves sont faites sur la base de dénonciations de professeurs ou de camarades. Des posts Facebook ou une discussion au sein de l’établissement scolaire suffisent à permettre une signalisation à la police ou à la justice via un référent « radicalisation » au sein de l’académie.

Trois semaines après le début de l’état d’urgence en France qui a entraîné la perquisition d’au moins 2500 appartements ou maisons, la lutte contre le terrorisme et la « radicalisation » se transforme en arsenal de stigmatisation et d’amalgames. Sur les réseaux sociaux, la multiplication de témoignages de perquisitions administratives sans aucune preuve fondée, d’abus policiers ou encore les licenciements d’employés musulmans entrainent un ras-le-bol général. Pour autant, le Ministère de l’Intérieur ne semble pas remettre en doute l’efficacité et l’intérêt des mesures d’exception contre la minorité musulmane.

http://www.islametinfo.fr/2015/12/05/radicalisation-education-nationale-musulman/

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Norvège : les directeurs d’école hostiles à l’interdiction du hijab proposée par l’ex-ministre de la Culture d’origine pakistanaise.

A chaque contrée européenne, sa femme politique issue de l’immigration qui se fait plus royaliste que le roi en matière de signes religieux ostensibles, et plus laïque que les laïques les plus dogmatiques à l’encontre de la présence musulmane, jusqu’à mener une croisade contre le port du voile qui n’a pas lieu d’être, en gage de son jusqu’au-boutisme mais aussi et surtout en signe de son ambition dévorante…

C’est en Norvège que se trouve cette figure de proue de la politique de bas étage, en la personne de Hadia Tajik, l’ancienne ministre de la Culture et vice-présidente du Parti travailliste d’origine pakistanaise, dont la capacité à créer des problèmes là où il n’y en a pas semble se retourner contre elle aujourd’hui.

En effet, celle-ci a récemment suggéré d’interdire le hijab dans les écoles élémentaires du pays, en s’autorisant une comparaison inepte et déplacée qui n’a pas plaidé en sa faveur : « Nous n’accepterions jamais qu’une fillette de 9 ans aille à l’école en mini-jupe et talons hauts, il en va de même pour le hijab. C’est un vêtement qui est censé rendre les femmes moins attirante sexuellement pour les hommes », a-t-elle déclaré en révélant le néant abyssal de sa pensée.

Tel est l’argument massue donné par celle dont on se demande comment, avec un tel niveau de réflexion intellectuelle, elle a pu obtenir un portefeuille ministériel, de surcroît celui de la Culture, si ce n’est grâce à un sacré coup de pouce…

Pas de chance pour Hadia Tajik dont la proposition a fait chou blanc, suscitant la ferme opposition de la plupart des directeurs des écoles d’Oslo. Cartésiens et épris de tolérance, aucun d’entre eux ne voit l’intérêt d’interdire un couvre-chef qui n’est porté par aucune élève ou presque, préférant dans tous les cas le dialogue à la répression bête et méchante.

Alors pourquoi diable monter en épingle une affaire qui n’existe pas ? Telle est la question pertinente qu’ils posent à Hadia Tajik en guise de réponse, campant sur leur position qui sert tout sauf les intérêts particuliers de l’ex-ministre de la Culture.

http://oumma.com/222137/norvege-directeurs-decole-hostiles-a-l-interdiction-h

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France : Valeurs actuelles condamné pour provocation à la discrimination envers les musulmans.
La cour d’appel de Paris a confirmé jeudi la condamnation du directeur de la publication de l’hebdomadaire Valeurs actuelles, Yves de Kerdrel, à 2.000 euros d’amende pour provocation à la discrimination envers les musulmans, pour une couverture présentant notamment une Marianne voilée.
Titrée « Naturalisés l’invasion qu’on nous cache », l’édition du 22 septembre 2013 du magazine de droite présentait également en appel de une « Deux Français sur trois contre les naturalisations massives de Valls », « Islam, immigration: comment la gauche veut changer le peuple », « Le poids des musulmans n’a cessé d’augmenter ».

Valeurs actuelles condamné pour provocation à la discrimination envers les musulmans


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France : Paris : Témoignage d’une jeune femme voilée agressée à la sortie du métro Saint Lazare.
Le 28 novembre dernier, vers 16h30, une jeune femme voilée est agressée à la sortie du métro Saint Lazare.
Voici son témoignage.
« Je sortais de la station de métro de la gare Saint Lazare à Paris 8ème, quand une femme m’a agressée.
Cette agression a eu lieu précisément au niveau de la jonction de la station de métro et de la galerie marchande de la gare, en face de la boulangerie Paul.
Cette femme s’est approchée de moi, elle m’a dit « Non mais c’est quoi cette tenue on est en France ! ». J’ai continué ma route, mais celle-ci m’a attrapée le bras et m’a donnée un coup de poing sur la tête.
Ensuite cette femme est partie en direction du métro.
J’ai reçu un coup de poing sur la tête, qui sur le coup m’a fait mal. »
Elle a tout de suite porté plainte et contacté le CCIF, à qui elle a transmis toutes les pièces nécessaires au suivi de son dossier.
Est-il normal qu’en France, en 2015, une femme puisse en frapper une autre au motif que celle-ci porte un foulard ?
En cas d’agression islamophobe, n’hésitez pas à contacter le CCIF http://www.islamophobie.net/contact
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Témoignage d’une jeune femme voilée agressée à la sortie du métro Saint Lazare


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France : Marseille : quatre cocktails molotov jetés sur une salle de prière.
Le local d’une association culturelle turque a été visé par 4 cocktails molotov dans la nuit de vendredi à samedi. Le lieu sert de salle de prière à la communauté turque avoisinante.
Vendredi soir, le local d’une association culturelle turque « Millenium » a été la cible de plusieurs jets de cocktails molotov dans le nord de Marseille. Trois à quatre personnes seraient responsables de ce nouvel acte islamophobe contre un lieu de culte.
Actuellement, aucune personne n’a été interpellée suite à cette attaque contre la salle de prière. L’association Millenium développe des activités culturelles et sportives pour les travailleurs turcs. Le vendredi, le lieu sert de mosquée pour le sermon et la prière hebdomadaire.
Depuis les attentats du 13 novembre, un regain d’acte islamophobe a été noté par les associations musulmanes. De nombreuses mosquées ont été taguées, des femmes voilées agressées et des restaurants halal attaqués.

Marseille : quatre cocktails molotov jetés sur une salle de prière


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France : Suite à un soupçon de radicalisation, les enfants d’un couple musulman enlevés.
Amelle et Adda souhaitaient partir en vacances en Grèce avec leurs deux enfants. Mais ce voyage s’est transformé en cauchemar après qu’un des parents du couple les ait soupçonnés de vouloir se rendre en Syrie.
Amelle et Adda, ce jeune couple musulman, était en partance pour la Grèce avec ses deux enfants. Alors qu’ils sont sur le point de prendre le ferry à Ancone pour rejoindre Igoumenista en Grèce, la police les interpelle et enlève leurs enfants de 2 ans et 7 mois.
Derrière ce calvaire, les accusations de la grand-mère des enfants qui soupçonne le couple de vouloir se rendre en Syrie ou en Egypte. Pour cette dame, cela est suffisant pour accuser sa propre fille de vouloir partir pour le « jihad ». Selon le témoignage du couple et de la grand-mère maternelle, la mamie n’a pas été prévenue du départ en vacances ce qui a entraîné cette dernière à fouiller la chambre dans laquelle vit le couple et de découvrir ce fameux voyage vers la Grèce.
« On allait monter dans le bateau et la police aux frontières nous a arrêtés. Il nous ont dit : ‘c’est une simple vérification de papier’ ». (…) Ils ont fouillé toute la voiture. Ils ont vu qu’il n’y avait rien du tout. Puis ils nous ont dit qu’il y avait un problème avec les enfants et qu’il fallait les prendre ».
Le couple n’a pas le droit d’accompagner sa progéniture. Depuis, ils sont de retour en France tandis que leurs enfants sont bloqués en Italie. Amelle, la maman, est désespérée et veut les récupérer au plus vite.
« je ne comprends rien à ce qui se passe, je veux juste juste mes enfants et que la vérité éclate. Si je n’étais pas musulmane, ça ne se serait pas passé comme ça », conclut-elle, amère.
Retour dans les années les plus sombres de notre histoire où sur une simple lettre anonyme, on pouvait faire déporter son voisin. Désormais il est question de dénoncer un proche, un voisin ou un camarade sur le simple soupçon qu’il pratique un peu trop sa religion. Depuis près d’un an, le Ministère de l’Intérieur et celui de l’Education Nationale ont mis en place des numéros verts afin d’encourager la délation ainsi que le signalement selon des critères bien spécifiques du musulman soupçonné de radicalisation.
Cette jeune famille, de 23 et 21 ans, en liberté malgré les accusations, se retrouve dans la pire situation possible pour des parents. Leurs enfants à des milliers de kilomètres sans qu’ils puissent les voir ni leur expliquer la situation. Une situation dramatique qui n’est pas inédite. La famille Msakni avait connu un schéma similaire après que le père avait été accusé de vouloir rejoindre la Syrie.

Suite à un soupçon de « radicalisation », les enfants d’un couple musulman enlevés


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Belgique : Yassine 16 ans, interpellé et conduit au poste à la suite d’un débat scolaire qui a provoqué une islamo-paranoïa.
Cédant à un emballement qui présente tous les symptômes de l’islamo-paranoïa aiguë, l’établissement secondaire belge « L’Athénée royal de Jette » a manqué cruellement de discernement, vendredi 4 décembre, en s’imaginant que derrière le jeune Yassine, 16 ans, sommeillait un « islamiste » en herbe faisant l’apologie du terrorisme en classe.
C’est au détour d’un débat scolaire portant sur les attentats de Paris et la religion que l’adolescent a été encouragé à s’exprimer par son professeur, mais en se libérant, sa prise de parole, sans arrière-pensée et émise à l’unisson de l’opinion générale, a inspiré de bien mauvaises pensées à l’enseignant, avant d’affoler l’équipe éducative, jusqu’au sommet de la hiérarchie. Cette véritable tempête dans un verre d’eau prêterait à sourire si elle n’avait été aussi lourde de conséquences pour Yassine et sa famille…
De là en déduire que la liberté d’expression d’un lycéen musulman est un peu moins libre, et davantage sujette à caution, que celle de ses petits camarades de classe non musulmans, il n’y a qu’un pas que l’on franchit allègrement en apprenant l’irruption fracassante de policiers à l’école, dès le lendemain d’un débat qui avait scellé le sort de Yassine, à son insu.
« Le professeur insiste alors pour que mon fils Yassine participe. Et ce dernier lâche: je suis d’accord avec les autres. Les autres, à ce moment-là, évoquaient l’éventualité d’attentats à Bruxelles, notamment dans le centre-ville, à De Brouckère. En fait, ils ne faisaient que répéter ce qu’ils avaient entendu aux informations pendant qu’on était plongé dans le niveau 4 d’alerte terroriste », relate Sophie dans un entretien à la RTBF, la mère bouleversée de Yassine qui n’en revient toujours pas de l’hystérie collective qui s’est emparée de l’Athénée royal de Jette et de l’interpellation traumatisante subie par son fils.
Celui-ci, bien ingénument, pensait qu’il allait se faire remonter les bretelles pour ses retards en cours, mais l’incroyable réalité l’a fait brutalement revenir sur terre. Conduit au poste manu militari et soumis à la question lors d’un interrogatoire mené sans ménagement, Yassine a eu le temps, pendant près de deux heures, de réaliser qu’il était suspecté d’apologie du terrorisme pour avoir simplement relayé, comme nombre d’autres élèves, ce dont les médias se faisaient l’écho à longueur de journaux télévisés : la possibilité que des répliques des attentats de Paris aient lieu en Belgique.
« On leur demande de parler de leur situation familiale, comment ça se passe à la maison, de leur parcours scolaire… On leur demande aussi de répéter ce qu’ils ont dit en classe »,a précisé sa mère, en indiquant que la police poussera le bouchon jusqu’à lui demander s’il mesurait la gravité de ses dires…
« J’aurais préféré que le professeur vienne m’en parler pour qu’on puisse éclaircir les choses », dira Yassine aux policiers. « Je ne pensais pas que cela allait avoir de telles conséquences », a-t-il confié, ressortant très éprouvé de son arrestation abusive et d’un placement en garde à vue humiliant qui en a fait, sans l’ombre d’un doute, le coupable idéal aux yeux de tous. Fort heureusement, Younès, son frère jumeau, a été finalement épargné par la police, alors que l’épée de Damoclès de la garde à vue pesait également sur lui.
« On nous dira que ce n’est plus la peine », a poursuivi leur maman, en s’insurgeant contre les dérives sécuritaires alarmantes de la psychose du terrorisme : « Mes fils assistent à un cours où il est question de débat, de citoyenneté. Et lorsqu’ils se mettent à discuter, on ne les écoute pas, on les juge, on les prend pour des terroristes et on appelle la police, sans le moindre discernement. A ce rythme-là, toutes les classes du pays seront vidées de leurs élèves! Ce qui me surprend, c’est qu’alors que toute la classe participe à ce débat, on a ciblé mes fils qui sont de confession musulmane et leur copain d’origine turque. Pourquoi? »
Après avoir vainement tenté de joindre la directrice de l’établissement scolaire ainsi que le Préfet, murés dans un silence assourdissant, Sophie a accueilli avec un immense soulagement la conclusion de la police, évoquant un malheureux « malentendu », et c’est un doux euphémisme, pour expliquer la peur panique irrationnelle d’un enseignant qui, comble de l’ironie, est un fervent défenseur de la libre expression.
Pour cette famille ébranlée par une épreuve qui paraissait, il y a peu encore, inimaginable, une chose est certaine désormais : le fameux débat d’idées, aussi contradictoire soit-il, prôné par les esprits éclairés des Lumières a ses limites quand les débatteurs sont musulmans…
http://oumma.com/222131/belgique-yassine-16-ans-interpelle-conduit-poste-a-su