Suite à la décapitation du français Hervé Gourdel, ce jeudi 24 septembre, les médias français ont eu pour dessein de choquer la population française, jusqu’à provoquer la haine de personnes décervelées.
Menaces virtuelles
Alors que certains Français arrivent à différencier l’Etat Islamique et la communauté musulmane, d’autres ont tout simplement décidé de faire payer cette quatrième décapitation aux principales cibles des incultes à savoir les femmes voilées.
Quand certains en font un discours présidentiel…
…D’autres font des statistiques dignes d’un cancre en mathématiques, comme l’a relayé le site canalfrance.info
« Le remède peut être pire que le mal »
Quand bien même ces menaces peuvent perdre toute crédibilité par le ton employé, il n’est pas sans rappeler que les actes ignobles ne sont commis que par cette minorité de personnes, incapables de raisonner logiquement et intelligiblement. Lorsqu’un individu pense que la vengeance puisse être la solution, il est clair qu’il ait perdu toute notion de ce que signifie réellement le terme « paix », bien loin de devoir sacrifier des vies humaines afin d’en préserver d’autres.
Hassen Chalghoumi, « l’imam » bankable
Hassen Chalghoumi, ce prétendu imam de France qui ne cesse de prendre de la place sur la scène médiatique française. Cet homme, dont le français plus que douteux, est adulé par les chaînes de télévision pour ses propos plein de rondeurs. Dans une période où l’islamophobie ne cesse d’augmenter, où l’islam souffre de ses pseudo-représentants, Hassen Chalghoumi et son compère Birbach sont les géopolotico-théologiens préférés des médias mainstream pour parler de jihad.
Invité au Grand Journal de Canal +
Muets sur les sujets liés intrinsèquement aux musulmans tel le voile, l’éducation, l’islamophobie ou encore la Syrie et la Palestine, ces représentants d’un islam qui se veut de France, ont la parole facile pour parler d’Etat Islamique. Comme un clown, Hassen Chalghoumi est le divertissement des détracteurs et la risée de la communauté musulmane, plus que jamais bankable.