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Australie : il se fait passer pour un islamophobe pour voir la réaction des passants


Face à une islamophobie ambiante qui se propage à travers le monde, les actes racistes se sont accrus avec pour principales cibles les femmes voilées et ceux dont l’accoutrement ne plaît pas.
Une simulation avantageuse
A l’instar des jeunes Américains qui avaient simulé une attaque afin de tester la réaction des passants, des Australiens ont décidé de suivre eux aussi l’initiative en démontrant que la haine du Musulman n’a pas sa place dans ce pays de l’hémisphère sud. Voyez la réaction étonnante des passants!

Condamné à 6 mois de prison ferme après s’être emporté en criant « vive l’Etat islamique ! »


A Strasbourg, une grosse colère contre les employés de la Caisse d’Allocations Familiales aura valu 6 mois de prison ferme à Abdelhafid Ayadi.
« Vive l’Etat islamique »
Ce lundi 6 octobre, M. Ayadi se rendait dans les locaux de la Caisse d’Allocation Familiale pour se plaindre d’une baisse de prestations sociales mais malheureusement, les employés n’ont rien pu faire pour lui. C’est ainsi, qu’Abdelhafid s’est emporté jusqu’à soutenir l’Etat islamique en ces termes : « Vive l’État islamique! ». Aussi, il aurait également déclaré qu’à « chaque fois qu’un Français est décapité, je suis content ». Des mots qui ont valu à cet homme de 57 ans une comparution devant le tribunal correctionnel de Strasbourg.
Condamné à 6 mois de prison ferme
Mercredi 8 octobre, après comparution devant le parquet, l’homme, en larmes, a regretté ses mots et a avoué qu’il avait prononcé ces atrocités sous l’impulsion de la fatigue et de l’énervement. Il a même qualifié les membres de cet Etat islamique d’inhumains et de non musulmans : « ce ne sont pas des musulmans, ce sont des chiens ». Mais Abdelhafid a été reconnu coupable « d’apologie publique d’un acte de terrorisme », d’ « outrage » et a été puni de 6 mois de prison ferme. Et cela, bien que le parquet ait avoué que :

« M. Ayadi n’est absolument pas connu par les services de renseignement, ce n’est pas quelqu’un qui serait susceptible de partir en Syrie. »

Ce sont des termes, certes, condamnables mais jusqu’à quel point ? La sentence n’a-t-elle pas été abusive ? D’autant plus que cet homme n’est pas connu des services de renseignement et est décrit comme quelqu’un de sensible mais d’inoffensif.