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France : Mobilisation : opération “Aidons Kays” !


Kays est notre petit frère en Allah et lui, ainsi que sa famille, traversent un moment très difficile. C’est le moment de mettre l’union de notre communauté en avant et de venir en aide à notre petit frère, ne l’oublions pas dans nos invocations !
Kays a 3 ans et vit en Tunisie. Ce petit garçon a été gravement brûlé à l’âge de 9 mois au visage. En effet, sa tête s’est trouvée prise dans un brasero. Cet événement tragique provoqua  des séquelles au niveau de l’audition et de la respiration ainsi qu’une grave malformation du visage comme le témoigne la photo liée à l’article.
Kays a besoin d’être opéré rapidement en France, cependant les frais d’hospitalisations s’élèvent à 30.000 € ce qui représente une charge beaucoup trop importante pour la famille de Kays qui possède des revenus très modestes.
Pendant près d’un an la famille a sollicité l’aide de son entourage et de la communauté tunisienne mais sans succès.
Aujourd’hui, la famille de Kays fait appelle à la communauté musulmane afin de permettre à leur fils de pouvoir grandir comme les enfants de son âge et en bonne santé. En effet, ce sont dans ces moments de détresse que notre communauté doit montrer son union et son amour mutuel comme nous le dit le hadith de notre bien aimé Prophète sallallahou ‘alayhi wa sallam qui nous dit :
« Les musulmans, dans l’amour, l’affection et la miséricorde qu’ils se portent sont comparables à un seul corps. Lorsqu’un membre est affecté, c’est l’ensemble du corps qui ressent la douleur et s’enfièvre »
(Rapporté par Al-Boukhari dans son Sahih n° 2018)
Kays a besoin de vous. Cette somme est certes importante mais nous ne doutons pas de la générosité de notre communauté et nous faisons appel à votre bonne volonté afin de venir en aide à Kays et sa famille.
Dans un premier temps, n’oublions pas Kays et sa famille dans nos invocations qui est une adoration aimée d’Allah ta’ala. Dans un second temps, faîtes un don selon vos capacités, 1, 2, 5, 20, 50€ et plus si vous le pouvez mais ne négligez rien, même les plus petites sommes, le jour dernier ce don sera peut être l’action qui vous sauvera.
D’après Abou Houreira radiAllahou anhou le Prophète sallAllahou ‘alayhi wa sallam a dit: « Une aumône n’a jamais fait diminuer de l’argent, Allah ne fait qu’agrandir la gloire d’un serviteur qui pardonne et personne ne fait preuve d’humilité sans qu’Allah ne l’élève ».
(Rapporté par Mouslim dans son Sahih n°858)
NOUS DEVONS TOUS AUTANT QUE NOUS SOMMES, sauver notre petit frère par la Grâce et la Permission d’Allah ‘azawajal!
Pour faire un don, rendez vous directement sur PAYPAL en utilisant l’adresse donpourkays@gmail.com, ou par courrier à l’adresse suivante :
Dounia  BOUFRIOUA
10 rue jules verne – 68200 Mulhouse

 

Ou directement par virement bancaire sur le compte suivant : La banque postale
 Etablissement :  20041   Guichet : 01015    N° de Compte : 0474313T036   Clé :72
IBAN : FR74    2004   1010   1504   7431    3T03672
BIC : PSSTFRPPSTR
 Plus d’information : 0782076837 
BarakAllahou fikoum et qu’Allah vous récompense par le paradis. –> Cliquez ici pour plus d’informations

Barakacity : la mobilisation prend de l’ampleur

Le mardi 19 août, nous apprenions que les banques Société Générale et C.I.C avaient brusquement décidé de clôturer les comptes bancaires de l’association humanitaire Barakacity.

En quelques heures, la mobilisation des internautes et des donateurs est énorme : de très nombreuses clôtures de comptes particuliers sont annoncées ainsi que des transferts de fonds vers d’autres banques, la Société Générale et le C.I.C reçoivent des milliers d’e-mails et de téléphones de citoyens indignés. Mieux encore, des employés des établissements bancaires incriminés annoncent leur démission.

Sur Twitter, le Hashtag #JeboycottSocieteGeneral est mis en place, les banques ne cessent d’être interpellées aux yeux de toutes et de tous. Gênés par l’ampleur rapide que prend la polémique, la plupart des employés n’osent plus répondre aux questions de leurs clients.

Fort heureusement, Barakacity a pu ouvrir un nouveau compte dans une autre banque. Les dons sont donc toujours possibles, une bonne nouvelle pour les deux campagnes principales du moment, les Rohingyas en exil et l’offensive à Gaza.

L’ONG a pourtant toujours scrupuleusement respecté les procédures administratives et bancaires dans les pays bénéficiaires. Voici la copie de l’e-mail envoyé au C.I.C par le Président de Barakacity :

« Monsieur J******

J’accuse réception de votre lettre du 7 courant nous faisant part de la décision du CIC de clôturer nos comptes, de rompre le contrat liant l’association BarakaCity et le CIC et de mettre un terme brutal à nos relations contractuelles pérennes, empreintes de loyauté et de bonne foi.

Au vu de nos activités et transactions cristallines et non équivoques, des factures à l’appui de toutes nos actions et initiatives, de la provenance des fonds dont la traçabilité peut être explicitée et justifiée et donc de la transparence intrinsèque à notre organisation, nous restons fort offusqués et indignés par cette décision tragique qui vise les 60 000 donateurs qui nous sont fidèles.

Nous sommes prêts à trouver, ensemble, une solution afin de continuer cette collaboration, car d’une manière directe et indéniable, ce sont des pauvres et des nécessiteux, des personnes particulièrement vulnérables qui seront touchés par une décision infondée, injustifiée et inique.

Dans le cas contraire et dans la mesure où vous maintiendriez votre décision incompréhensible, je vous demande de bien vouloir motiver ce choix de rupture de nos relations contractuelles qui survient « sans crier gare ».

Je vous prie de comprendre qu’en ma qualité de Président de l’association, je ne pourrai accepter une telle décision qui aura des conséquences absolument néfastes sur les nécessiteux que nous aidons, dans des pays qui ne sont ni sous embargo ni sous un dispositif quelconque. Dans cette hypothèse, votre position unilatérale de rupture de nos relations contractuelles ne peut s’expliquer.

Nous vous rappelons, qu’avant toute chose, nous consultons au préalable notre avocat et notre conseillère financière, n’étant autre que votre salariée, afin de garantir cette sécurité et cette traçabilité propres à notre fonctionnement.

Comptant toujours parmi vos clients, jusqu’à la résiliation effective de nos contrats, je vous sollicite donc pour obtenir un prompt rendez-vous afin de clarifier la situation car sans cette démarche nous craignons la réaction de nos donateurs et de nos partenaires nationaux et internationaux.

Ainsi, nous espérons trouver ensemble une solution à l’amiable, car encore une fois, il s’agit du devenir de milliers d’orphelins et de démunis.

Dans l’attente de vous lire, je vous prie de recevoir, Monsieur J******, mes salutations distinguées. »

Affaire à suivre !