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Des centaines de soldats israéliens traités pour stress post-traumatique après les massacres à Gaza

Massacrer des civils, torturer des innocents, commettre les pires exactions sur des femmes et des enfants laissent des traces, ceci est prouvé par Tsahal qui compte déjà trois suicides parmi ses soldats et plusieurs centaines d’entre eux diagnostiqués comme souffrant du syndrome de stress post-traumatique (SSPT) suite à l’opération militaire “Bordure protectrice” à Gaza cet été.

Près de 500 soldats se sont vus proscrire un traitement de suivi lié aux horreurs qu’ils ont vécues.

La sous-commission des effectifs de l’armée à la Knesset, le parlement israélien, a pourtant félicité les efforts entrepris pour minimiser ce problème mental. Les soldats auraient bénéficié d’un cours Magen de huit heures dits de “premiers soins de santé mentale”, et il en faut pour tuer de sang froid et entrer par là même dans une euphorie de l’horreur historique.

Ce travail psychologique aurait permis aux troupes d’appréhender les signes de stress post-traumatique afin de les chasser et de pouvoir être apte au combat en quelques minutes.

La psychiatre Ginat s’exprime sur les “exploits” de ce dur labeur en évoquant ce que doit ressentir le soldat israélien :

« Nous voulons lui faire sentir qu’il est un héros ».

Tsahal demeure tout de même en alerte afin d’intervenir au moindre signe de cette maladie mentale. En effet, en août et en septembre trois soldats appartenant à la Brigade Givati se sont donnés la mort après avoir servi dans l’opération meurtrière et barbare “Bordure protectrice”. L’armée israélienne émet toutefois des doutes quant au lien direct entre les combats à Gaza et les suicides de ces trois militaires.
Bien que ce syndrome soit connu dans toute guerre, il apparaît d’autant plus frappant à travers ce conflit caractérisé de génocidaire.

Des centaines de juifs ont embrassé l’Islam en Israël


Des rapports officiels du ministère de l’Intérieur israélien révèlent que des centaines d’Israéliens se sont reconvertis à l’Islam ces dernières années. Selon le autorités israéliennes du culte, soixante-trois juifs ont quitté le judaïsme depuis le début de l’année 2014 en Israël.
Les juifs candidats a une reconversion (à l’islam ou au christianisme) doivent impérativement s’adresser à un tribunal afin de déposer officiellement une demande auprès du juge. Ce dernier se charge ensuite de présenter le dossier au ministère de la Justice qui acceptera ou non la demande.
Le journal israélien Haaretz qui rapporte ces chiffres ajoute que ces conversion à l’islam sont très mal vus à l’intérieur de l’état sioniste. Ces conversions sont qualifiés d’ « inadmissibles  » par les officiels israéliens qui s’efforcent d’inverser la balance démographique en Israël, en faveur des Juifs.
Ces chiffres ne reflètent pourtant pas la réalité puisque de nombreux israéliens préfèrent éviter toutes les étapes du circuit officiel et la bureaucratie qui va avec. Des centaines de juifs deviennent musulmans sans vraiment le déclarer auprès des autorités.
Le phénomène est tel qu’une association qui se charge de « combattre ce phénomène » a vu le jour.