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Primark : des employées interdites d’entrer dans le magasin avec leur voile

Le distributeur de vêtements irlandais, Primark, revoit sa politique d’entreprise et décide dorénavant d’interdire aux employées voilées l’accès au magasin munit de leur voile.

Nouvelle règle 

C’est la déception pour une employée de Primark, embauchée depuis 4 mois en CDI. Elle avait pour habitude de s’y rendre voilée et de le retirer qu’une fois dans les vestiaires. En revanche, elle refuse de se soumettre à cette nouvelle loi de l’établissement à l’instar de sa collègue qui a alors contacté le CCIF.

Histoire similaire

Ce dernier a fait part des antécédents de l’enseigne qui a déjà été confronté à des cas d’islamophobies, en refusant l’accès à des femmes en niqab, comme le souligne le CCIF :

Elles s’étaient vues refuser l’entrée du magasin sous prétexte que leur tenue ne correspondait pas à la « charte de l’établissement ». Pour l’une d’entre elles, la responsable avait ensuite sollicité l’intervention de la police pour un contrôle d’identité, qui s’était passé sans incident.

Etant une entreprise privée, Primark ne peut interdire la liberté de religion de tout employé au « nom de la loi » qui, elle, l’autorise.

Israël interdit à Human Rights Watch et à Amnesty International d’entrer à Gaza

Amnesty International et Human Rights Watch, qui souhaitent enquêter sur l’opération « Bordure protectrice » qui a fait plus de 2000 morts coté Palestinien dont 541 sont des enfants et 250 des femmes, ont vu leur demande d’entrer à Gaza rejetée.

Depuis le 7 juillet 2014, les deux ONG veulent se rendre à Gaza mais l’état colonial avance différentes excuses pour justifier son refus.

La première raison invoquée par l’administration sioniste est la fermeture du chekpoint de Erez et qu’aucune autorisation n’était accordée jusqu’à nouvel ordre. Ce qui est totalement faux affirme le journal Haaretz qui rappelle que c’est par cet endroit que sont passés des employés de l’ONU, des Palestiniens en urgence médicale et des journalistes.

Le second prétexte, c’est que ni Amnesty, ni Human Rights Watchs ne se sont enregistrées auprès du ministère israélien des Affaires sociales en tant qu’organisations humanitaires auprès du ministère israélien des affaires sociales.

En réalité, Israël fait tout pour retarder l’enquête afin que les preuves physiques telles que les cratères provoqués par l’impact de missiles ou les traces de munitions disparaissent avant  la venue d’experts militaires indépendants.

Malgré les sollicitations d’Amnesty International, les ministres des affaires étrangères européens restent muets à ce sujet.