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Caméra cachée en amérique : ils simulent l'agression d'un Musulman défendu de prier en public pour voir la réaction des passants

En octobre dernier, de jeunes Américains s’étaient filmés en train d’effectuer leur prière en plein cœur de New-York, afin de voir sur le vif la réaction des passants. Une initiative qu’ils réitèrent une nouvelle fois, ce dimanche, pour pouvoir assister à la réaction des New-Yorkais face à un Musulman défendu de prier en public.

Au milieu de la vidéo, l’un d’entre eux s’approche du musulman s’apprêtant à prier. Celui-ci lui rappelle son statut d’immigré mais également le fait qu’il puisse se faire tuer dans ces conditions, ce qu’une passante dément fortement en affrontant le jeune homme. Quand d’autres non-musulmans essaient de le raisonner, d’autres lui font un cours d’histoire, plus froidement cette fois-ci.

Maroc : le burkini interdit dans des hôtels

De plus en plus d’hôtels marocains situés dans des régions touristiques interdisent le port du burkini dans leur piscine, pour « raisons d’hygiène », selon les médias locaux.
C’est notamment le cas à Marrakech, ou à l’hôtel Ibis d’El Jadida, au sud de Casablanca, où le personnel de l’hôtel a informé dimanche 10 août des filles en burkini qu’elles ne pouvaient pas avoir accès à la piscine. Leur famille ont décidé de porter l’affaire en justice.
Pour prévenir de l’interdiction, une nouvelle gamme de pancartes a fait son apparition. Sur l’une d’elles, par exemple, un burkini barré dans un cercle rouge est représenté, accompagné des mentions « Burkini interdit » et « maillot de bain obligatoire », écrites en arabe, en français et en anglais.
Abdelaziz Aftati, député du Parti Justice et Développement au pouvoir, a écrit une lettre au ministre du Tourisme Lahcen Haddad, pour dénoncer ces interdictions. Loin d’être motivées par des raisons d’hygiène, il qualifie les décisions prises par ces hôtels d’« ingérence insupportable dans la liberté des gens et leurs croyances ». Ces interdictions relèvent de l’« insolence néocolonialiste », ajoute-t-il, et il fustige une « société laïque radicale » qui « traite encore les citoyens sur des bases raciales et religieuses ».