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Flash info du 30 Mouharram 1437.

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France : Jacques Attali déclare qu’il est Beaucoup plus difficile d’être un jeune musulman qu’un jeune juif.
L’écrivain, économiste et ex conseiller d’Etat Jacques Attali s’est exprimé samedi sur la chaîne LCP. Invité à l’émission Bondy Blog, l’ancien conseiller spécial de François Mitterrand, a affirmé qu’il était « beaucoup plus difficile aujourd’hui d’être un jeune musulman que d’être un jeune juif ».
Jacques Attali soutient donc que le quotidien des musulmans est moins aisé que celui des juifs, bien que les médias et l’ère contemporaine poussent tout un chacun à penser le contraire. L’écrivain a d’ailleurs déclaré : « Je passe mon temps à dire ça », preuve que la situation des musulmans le marque.
Afin d’expliquer la difficulté de ce quotidien pour les musulmans en France, l’économiste pointe du doigt la société. C’est en ce sens qu’il a ajouté : « Je crois qu’il y a une difficulté qui est vraiment terrible dans cette société et c’est ça qu’il faut changer ».
L’ancien conseiller d’Etat se rend à l’évidence, comme il l’explique, « l’histoire de France est ainsi faite. Il a été très difficile d’être un jeune Italien au début du XXème siècle, puis un jeune Polonais, puis un jeune juif. Aujourd’hui, c’est au tour des jeunes musulmans d’être dans une situation difficile ». Finalement, il n’est pas compliqué d’ouvrir les yeux sur la réalité du quotidien des musulmans comme l’a si bien fait Jacques Attali.

Jacques Attali : « Beaucoup plus difficile d’être un jeune musulman qu’un jeune juif »


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Angleterre : La magnifique et poignante réponse de Samar Batrawi à l’invitation de l’ambassade d’Israël.
Samar Batrawi est une jeune chercheuse palestinienne qui vit à Londres où elle étudie à l’Université King’s College. Ses recherches et ses études sont principalement axées sur les mouvements violents basés en Irak et en Syrie. Récemment, elle a publié un article portant sur l’Etat islamique qui a particulièrement attiré l’attention de l’ambassade d’Israël à Londres, qui n’a pas tardé à inviter cette dernière pour une « discussion ». Mais contre toute attente, la réponse de la jeune femme fut des plus cinglantes…
Elle répond :
« J’aimerais dire sans équivoque et de la manière la plus claire que je rejette toute association ou coopération avec l’ambassade d’Israël à Londres, pour deux raisons.
D’abord, je suis la petite fille de Mahmoud et Fatima Batrawi, aujourd’hui décédés, deux Palestiniens d’Isdud, qui ont été déplacés de force quand l’état que vous représentez a été créé. Ils sont tous les deux enterrés dans un cimetière en Cisjordanie, surplombé par les colonies illégales de Psagot, cautionnées par le gouvernement de l’état que vous représentez. Ma famille est l’une des nombreuses familles palestiniennes qui ont survécu envers et contre tout, en continuant à contribuer à la société dans laquelle ils vivent. Ils sont médecins, enseignants, avocats, journalistes, écrivains ou universitaires. C’est grâce à ces êtres humains exceptionnels que j’ai pu résister, moi une Palestinienne ayant vécu la brutale occupation de la Cisjordanie pendant la seconde Intifada.
Vous êtes, comme l’une de vos compatriotes les plus conscientes a pu le dire, « leurs occupants, leurs bourreaux, leurs geôliers, leurs voleurs de terre et d’eau, ceux qui les exilent, qui détruisent leurs maisons, ceux qui bloquent leur horizon ». C’est sous l’occupation de l’état d’Israël que mon père est forcé de vivre, chaque jour. C’est le siège de Gaza par Israël que la moitié de ma famille a enduré pendant trop longtemps. C’est la gouvernance criminelle d’Israël qui a séparé ma famille en deux pendant plus d’une dizaine d’années. C’est « le droit à la défense » d’Israël qui perturbe mon sommeil chaque nuit, quand je redoute de me réveiller en apprenant la triste nouvelle d’avoir perdu mes êtres chers, « dommages collatéraux » dans l’une de vos opérations soigneusement orchestrées. C’est l’odeur des gaz lancés par les « forces de défense » israéliennes que je sens dans mes cauchemars, un souvenir d’enfance partagé par plusieurs générations de Palestiniens.
Ensuite, l’article que j’ai écrit à propos de l’Etat Islamique et sa façon de s’approprier la question palestinienne n’impliquait d’aucune manière que ce soit un intérêt commun entre les Israéliens et les Palestiniens, comme tous ceux qui ont attentivement lu l’article l’auront compris. Vous représentez l’occupant et je représente l’occupé. Ce n’est pas une position politique mais simplement la réalité de ma vie. Une réalité que m’impose l’état d’Israël. Il n’y a aucun intérêt commun qui peut émerger de cette réalité factuelle. La seule chose à discuter est la question des droits humains les plus basiques des Palestiniens vivant sous occupation et en exil. Et l’état que vous représentez n’a clairement pas d’intérêt pour cette question.
Pour finir, deux commentaires :
Que représente pour vous la date du 3 novembre ? Ce jour où précisément, il y a 59 ans, les forces israéliennes ont massacré des centaines de Palestiniens à Khan Younis. Ma grand-mère était une jeune maman à l’époque, mon père n’avait que quelques mois. Elle l’a gardé sur ses genoux, en le cachant sous sa robe, terrifiée à l’idée que les forces israéliennes pourraient le trouver et le lui arracher. Entre 275 et 415 personnes sont mortes ce jour-là, mais ma famille a survécu pour raconter l’histoire. Voilà ce que représente le 3 novembre pour moi.
En tant que citoyenne palestinienne et porteuse d’une carte d’identité cisjordanienne, je n’ai pas le droit de poser le pied en Israël sans obtenir un permis de le faire. Pour cette raison, je contemple avec amusement l’idée que l’ambassade d’Israël souhaite m’inviter pour une rencontre, car même si je vous prenais au mot sur cette offre, je craindrais d’être battue et enfermée par vos gardes pour cause d’infiltration.
Je trouve honteux que vous vous adressiez à moi dans de telles circonstances. Il est probable que j’aie à supporter les exigences de votre état pour encore de nombreuses années, mais ceci est l’une des rares et belles occasions où je peux dire à mon occupant, à mon bourreau, à mon geôlier, au voleur de ma terre, à celui qui m’exile, au démolisseur de ma maison, à celui qui bloque mon horizon :
Non.
Sincèrement,
Samar Batrawi”

La magnifique et poignante réponse de Samar Batrawi à l’invitation de l’ambassade d’Israël


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France : Boycott anti-Israël interdit en France : 14 militants BDS injustement condamnés !
Le 26 septembre 2009 et le 22 mai 2010, des membres du groupe BDS (Boycott Désinvestissement Sanction) avaient organisé une manifestation dans un magasin Carrefour à Illzach, afin de protester contre la politique sanglante et inhumaine de l’Etat colon. 5 ans plus tard, ces mêmes membres sont condamnés par la « justice » française.
Le soutien d’un Etat hypocrite à un Etat criminel…
Distribuer des tracts appelant au boycott des produits israéliens en faisant passer comme message : « Acheter les produits importés d’Israël, c’est légitimer les crimes à Gaza, c’est approuver la politique menée par le gouvernement israélien  » et porter des T-shirt sur lesquels était inscrit le slogan : « Palestine vivra, boycott Israël » ne devait pas être du goût de l’Etat français… ni même de l’Etat colon. Et pour cause. Après avoir été jugés et relaxés par la Cour de cassation en 2011 en ayant simplement été reconnus « coupables de provocation à la discrimination nationale », les membres du groupe BDS sont aujourd’hui condamnés à 28 000 euros de dommages et intérêts et à 1 000 euros d’amende chacun, par cette même Cour.
En 2011, leur jugement avait été basé sur un article de loi de 1881 qui « condamne toute discrimination à l’encontre de personnes ou groupe de personnes » et donc non d’un Etat. De plus, aucune plainte n’avait été faite de la part de l’enseigne et aucun incident n’avait été constaté. Mais aujourd’hui, le boycott anti-Israël étant devenu illégal en France, ce jugement se veut être juste et justifié.
Un soutien -presque- exagéré !
Face à cette annonce, certaines personnalités ont démontré leur désapprobation vis-à-vis de cette décision. Comme le journaliste américain, Glenn Greenwald, qui a déclaré sur son site : « France, autoproclamé pays de la liberté, qui fait de vous un criminel  pour être allé dans un supermarché vêtu d’un tee-shirt appelant à boycotter d’Israël. » Ou encore Patricia Vendramin, co-auteure d’un livre d’analyse sur les pratiques du boycott, qui a dénoncé qu’en France « tous les appels au boycott ne sont pas traités de la même manière » affirmant que :
« Les appels au boycott contre l’Afrique du Sud du temps de l’apartheid, contre la Birmanie du temps de la junte ou même le Mexique au moment de l’affaire Florence Cassez n’ont jamais fait l’objet de poursuites. »
Aujourd’hui, la France renforce son soutien à Israël et s’enfonce de jour en jour dans le sable mouvant du sionisme jusqu’à en être devenu le premier Etat « démocrate » à interdire le boycott, droit légitime du peuple. Et pendant ce temps, l’Etat colon, lui, continue ses crimes en toute impunité et les actes de répression et de torture se multiplient de jour en jour, sous le silence complice du monde.

Boycott anti-Israël interdit en France : 14 militants BDS injustement condamnés !


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Palestine : Mort du président Yasser Arafat : les Palestiniens accusent Israël !
Tawfiq Tirawi est catégorique lors de son annonce à l’AFP : il sait qui a tué Yasser Arafat et sans surprise, il accuse Israël. En effet, le chef de la commission d’enquête a fait cette déclaration la veille du 11 ème anniversaire de la disparation de l’ancien leader palestinien.
Contradictions entre les experts français et suisses.
Les juges d’instruction français qui étaient en charge de l’enquête avaient déclaré que Yasser Arafat était décédé naturellement. Mandaté par Souha Arafat, épouse de Yasser Arafat, des experts suisses ont pour leur part jugé que leurs résultats « soutiennent raisonnablement l’hypothèse de l’empoisonnement » au polonium. Une contradiction qui laisse planer le doute.
Selon Tawfiq Tirawi, « La commission d’enquête est parvenue à identifier l’auteur de l’assassinat du défunt président Yasser Arafat », tout en refusant de divulguer plus d’informations. « Il faudra encore un peu de temps pour élucider les conditions exactes de cet assassinat », ajoutant qu’« Israël est responsable de cet assassinat » comme le martèlent de nombreux Palestiniens depuis une dizaine d’années.
Si les éléments découverts sont tangibles, Israël sera de nouveau sur le banc des accusés. Or, on sait la facilité qu’a l’Etat colon à se défaire -en toute impunité- des allégations qui lui sont destinées.

Mort de Y. Arafat : les Palestiniens accusent Israël !


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Aris Messinis : « Il faut que le monde entier voit cela ».
Aris Messinis, reporter et responsable photo de l’Agence France-Presse en Grèce, rapporte que la situation chaotique des réfugiés les a accompagnés durant leur long périple, mais a également élu domicile sur les côtes grecques.
La conscience.
Aris Messinis, habitué des clichés pour obtenir les meilleures photos, a tout simplement laissé tomber l’appareil photo pour venir en aide aux réfugiés. Face au chaos, faire ce choix était bien plus fort que celui de couvrir la plus grande crise migratoire depuis 1945. Pourtant, comme l’écrit Aris Messinis, il s’est aussi confronté aux regards malveillants de certains confrères qui ne semblent pas comprendre que « la vie » prévaut sur « la bonne image » figée dans la pellicule.
C’est pourquoi, souvent, je lâche le boîtier et j’aide. C’est un besoin.
Personne ne me l’a jamais dit en face, mais parfois je sens comme un non-dit de la part de certains collègues, quand je pose mon appareil et que je commence à aider. Que je ne devrais pas faire cela, parce que ce n’est pas mon travail, et que je vais peut-être rater une bonne image.
Ce qu’il déplore, c’est qu’il n ‘y ait pas assez de bras pour venir secourir ces femmes, ces hommes, ces enfants et ces bébés qui, après avoir fui la guerre, traversent une mer qui dicte leurs sorts.
Un goût amer.
Depuis de nombreuses semaines, le reporter se lève aux aurores pour se rendre sur la côte, car les bateaux accostent les uns après les autres. Les réfugiés qui pour la plupart traversent cette mer, pensant y trouver la sécurité, n’y trouveront en réalité que désolation. Les sourires et les joies ressentis, à la fin d’un périple digne du parcours de combattant, s’effaceront des visages pour laisser place aux cris, aux hurlements et à « la panique totale ». Une situation qu’Aris Messinis a eu le temps d’observer et dont l’issue semble jouée d’avance comme il le rapporte :
Mais en ce qui me concerne, les mauvais moments dépassent les bons. De surcroît, je sais ce qui les attend. J’ai suivi des réfugiés cet été de Grèce en Europe du nord. J’ai fait le voyage, je sais ce qu’ils vont endurer.
Ils ne sont pas les bienvenus en Europe. Peut-être qu’ils sont contents quand ils arrivent sur la plage, mais ce n’est que le début.
Aris Messinis a troqué le cliquetis de son appareil pour tendre sa main et dire au monde que des êtres humains se meurent dans une mer qui les bercent jusqu’au fracassement des corps contre les falaises de l’Europe. Une Europe, où « ils ne sont pas les bienvenus ».
La belle Europe qui se dandine dans ses plus beaux discours brodés d’humanisme et danse la valse au son des cris qui hurlent à sa porte. La belle Europe.

Aris Messinis : « Il faut que le monde entier voit cela »


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France : La police arrête une femme en niqab et tente de prendre son enfant.
La vidéo ci-dessus est édifiante. Une femme en voile intégral est arrêtée par la police belge sous les pleurs déchirants de son bébé. Les policiers tentent également de prendre son enfant.
Les lois islamophobes votées dans toute l’Europe démontrent leur limite avec ce type d’images éloquentes. Ces mesures ne s’en prennent qu’à des femmes sans histoire, des mères de famille qui vivent paisiblement.
vidéo a voir sur www.muslimradio.info.

[VIDEO] La police arrête une femme en niqab et tente de prendre son enfant


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L’Union Européenne impose l’étiquetage des produits importés des colonies israéliennes, Netanyahu s’énerve.
Un pas en avant vient d’être fait en matière de dénonciation de l’exploitation des terres colonisées israéliennes puisque l’Union européenne impose aux 28 l’étiquetage des produits importés des territoires occupés.
Cette décision n’a évidemment pas été du goût du gouvernement Netanyahu qui a immédiatement convoqué les représentants de l’UE pour leur faire part de sa désapprobation.
Devant le mépris d’Israël de la condition des palestiniens et du droit international, les organisations mondiales sont bien obligées de concéder certaines mesures.
vidéo a voir sur www.muslimradio.info.

L’UE impose l’étiquetage des produits importés des colonies israéliennes, Netanyahu enrage

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