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Flash info du 16 Shawwal 1436.

Flash info du 16 Shawwal 1436.
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Un bébé palestinien brûlé vif par des israéliens.
Quatre colons israéliens ont mis le feu à deux maisons maisons dans un village de Cisjordanie provoquant la mort d’un bébé.
Les infos suivantes sont issues de la page H&O production, des infos que vous ne trouverez pas dans les médias mainstreams.
Les TERRORISTES ISRAÉLIENS ont tagué « prix à payer », « vengeance » et « longue vie au messie » sur les murs de la maison incendiée.
La famille de la victime a souffert de brûlures et de blessures dues à l’inhalation de fumée. Les parents de l’enfant et deux de ses frères et sœurs sont dans un état jugé critique.
La RÉSISTANCE PALESTINIENNE a appelé à une journée de la colère en Cisjordanie en ce jour béni de vendredi à la mosquée Al-Aqsa en réaction au drame.
Sous l’appellation du « prix à payer », des colons israéliens ont intensifié ces derniers mois les agressions contre des Palestiniens.
Des lieux de culte catholique et musulman sont également régulièrement visés.
Source :https://www.facebook.com/pages/Mission-Reporter/1445766265714974?fref=photo
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Un bébé palestinien brûlé vif par des israéliens par islamatouswebradio
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Le roi du maroc, Mohammed 6, déclare, Ne permets à personne de te donner des leçons sur ta religion.
A occasion de la fête du Trône, hier 30 juillet 2015, le souverain marocain a réaffirmé à son peuple le besoin d’un retour aux valeurs de tolérance de l’Islam. Le « jihadisme », »l’État Islamique » et tout se qui se passe en dehors du Royaume n’a rien à faire dans celui-ci. C’est en substance le discours du Roi Mohammed 6.
« Ne permets à personne venu d’ailleurs de te donner des leçons sur ta religion ».
Le ton est clair, la mise en garde aussi. L’Islam du Maroc ne doit pas être imprégné de tout courant ou mouvement religieux externe qui se voudrait rigoriste voire -dans le cas le plus tragique- terroriste, quand bien même islam et terrorisme sont fondamentalement incompatibles. Le discours s’est porté en partie sur le combat contre les forces terroristes qui menacent la paix dans le monde et notamment les valeurs de cohabitation et de tolérance.
Fidèle à ses appartenances arabe et islamique, le Royaume s’est engagé dans les coalitions arabes de lutte contre le terrorisme et pour le rétablissement de la légitimité au Yémen, alliances auxquelles a appelé Notre très cher Frère, le Serviteur des deux Saintes Mosquées, le Roi Selmane Ibn Abdulaziz Al-Saoud, outre la volonté de soutenir nos frères et partenaires stratégiques arabes. ».
Sans oublier un mot pour la Palestine : « Malgré le contexte difficile que traverse la région arabe en raison de la multiplication des bandes de l’extrémisme et du terrorisme, la question palestinienne demeure au cœur de la paix au Moyen-Orient. ».
Un ton ferme et bienveillant.
Le Maroc occupe une place géopolitique et stratégique particulière : allié de tous, ennemi de personne, le Royaume est connu pour son hospitalité et ses valeurs d’ouverture bien que dernièrement, le côté religieux -quand il a fallu condamner des homosexuels ou encore des sujets qui bafouaient allègrement le jeûne de Ramadan- semble avoir déçu de nombreux observateurs. Sur un ton bienveillant et ferme, le Roi Mohammed VI a tenté de couvrir toutes les thématiques propres au Royaume mais également aux tensions dans le monde, qui ont dans le fond les mêmes causes.
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L’offensive turque se poursuit contre une cible principale : le PKK.
Une semaine après le début de l’offensive turque contre les positions de DAESH en Syrie, lancée le 24 juillet dernier, la Turquie a intensifié ces derniers jours ses attaques contre les rebelles du PKK (Parti des travailleurs du Kurdistan, d’Abdellah Oçalan).
Un processus de paix qui risque de voler en éclat.
Dans sa détermination à lutter contre le terrorisme, le président turc, Recep Tayyip Erdogan a clairement affirmé qu’il ne négocierait pas avec le PKK tant que ce dernier ne déposerait pas les armes.
Or, on assiste ces derniers jours à une escalade de la violence entre les forces armées turques et les rebelles kurdes. Les raids aériens massifs de ce jeudi contre les positions du PKK en Irak et les arrestations qui ont lieu à travers tout le pays à la suite d’actes terroristes du PKK ne laissent guère entrevoir d’issue favorable à la reprise des négociations. Le fragile cessez-le-feu effectif depuis 2013 qui avait permis de mettre un terme à une rébellion qui avait fait plus de 40 000 morts depuis 1984 est visiblement compromis.
Recep Tayyip Erdogan, qui avait l’ambition de régler la question kurde sur la base de la fraternité musulmane, après l’accession au pouvoir de son parti l’AKP, déclare aujourd’hui qu’« il est impossible de continuer (le processus de paix) avec ceux qui menacent l’unité nationale » .
Offensive militaire et politique.
Par les récentes attaques aériennes contre les positions de DAESH en Syrie mais aussi contre les bases du parti PKK (considéré comme organisation terroriste par le gouvernement turque et l’Union Européenne) en Turquie et en Irak, le président turc met ainsi sur un même plan les deux organisations et signifie qu’elles sont toutes deux ennemies de la Turquie.
Ces raids, que l’on peut qualifier de massifs avec une trentaine de F-16, se sont particulièrement intensifiés contre les opposants kurdes en représailles à l’attaque dans la journée de jeudi d’un convoi militaire dans le sud-est du pays où trois soldats turcs ont été tués.
Sur le plan politique également, le président turc souhaite défaire de leur immunité tous les parlementaires «affiliés avec des groupes terroristes» et les soumettre éventuellement à la justice. Ainsi une enquête est ouverte ce jeudi par les autorités judiciaires turques à l’encontre du leader pro kurde du HDP, Selahattin Demirtas, pour « troubles à l’ordre public » et « incitation à la violence » lors des manifestations d’octobre 2014 où des violences avait fait au moins 35 morts. Ce dernier a défendu que le parti le HDP « n’était pas la branche politique du PKK » et accuse le président turc de la reprise des hostilités. C’est peu de dire que les tensions entre les députés du parti HDP et AKP sont extrêmement vives au sein du parlement turc et que les accusations mutuelles n’empêchent pas à l’heure actuelle l’enlisement du conflit.
Zone de sécurité et bénédiction de la communauté internationale.
La campagne militaire turque pour sécuriser la frontière Sud du pays, après l’attentat suicide de Suruç du 20 juillet qui a fait 32 morts parmi les militants de la cause kurde et revendiqué par DAESH, a pris une nouvelle tournure. En effet, le président Recep tayyip Erdogan souhaite la création d’une zone de sécurité entre la Turquie et la Syrie pour permettre aux 1,8 millions de réfugiés syriens installés en Turquie de rentrer chez eux après le « nettoyage de ces régions ».
Pourtant, cette région est déjà occupée par les Peshmergas, les combattants kurdes soutenus par les occidentaux dans leur lutte sur le terrain contre les djihadistes. Ce qui n’arrêtera pas la détermination du président Recep tayyip Erdogan à aller jusqu’au bout alors qu’il a récemment reçu l’appui de l’OTAN, par son secrétaire général Jens Stoltenberg, pour faire face à toute forme de « terrorisme » rappelant « l’instabilité aux portes de la Turquie et aux frontières de l’Otan » et que l’« autodéfense doit être proportionnée ».
Pour l’heure, les inquiétudes sont palpables au sein de la communauté kurde de Turquie face à l’ embourbement d’un conflit à l’issue très incertaine. En France, la communauté kurde a aussi manifesté son soutien au PKK, mercredi à Paris et Marseille, notamment pour dénoncer ces attaques et reprocher au président turc de se tromper d’ennemi.
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Menacés de mort, des musulmans sont contraints d’abandonner leur religion.
« Certains musulmans revenus dans des zones ayant fait l’objet d’un nettoyage ethnique dans l’ouest de la République centrafricaine ont été contraints d’ abandonner leur religion », écrit Amnesty International dans un rapport rendu public vendredi 31 juillet.
Intitulé Suppression de l’identité – les musulmans dans les zones de la République centrafricaine soumises au nettoyage ethnique, ce document révèle que, dans une grande partie de l’ouest de la République centrafricaine, les milices armées anti-balaka empêchent des musulmans ayant regagné leur domicile après la folie meurtrière de 2014 – et les déplacements forcés de grande ampleur qui ont suivi – de pratiquer leur religion ou de s’en revendiquer en public. Certaines de ces personnes ont été menacées de mort afin qu’elles se convertissent au christianisme.
« Alors qu’elles ont déjà contraint des dizaines de milliers de musulmans à fuir l’ouest de la République centrafricaine, les milices anti-balaka s’en prennent désormais à l’identité religieuse des centaines de musulmans qui sont restés ou revenus », a déclaré Joanne Mariner, conseillère d’Amnesty International sur la réaction aux crises.
« Dans les zones où l’absence des forces de maintien de la paix sous mandat des Nations unies est notable, les musulmans sont pris pour cible en toute impunité. Certains ont été forcés à se convertir au christianisme et d’autres se sont vu interdire d’exprimer leur identité musulmane. ».
« Les anti-balaka ont juré de nous tuer … ».
Un ancien musulman de 23 ans vivant dans la préfecture de Sangha-Mbaéré a expliqué à Amnesty International :
« Nous n’avions pas d’autre choix que de rejoindre l’Église catholique. Les anti-balaka ont juré de nous tuer si nous ne le faisions pas. ».
« Il faut redoubler d’efforts pour protéger les musulmans menacés dans l’ouest de la République centrafricaine », a déclaré Joanne Mariner.
Les prières sont considérées comme illégales.
Amnesty International a découvert que, dans l’ouest du pays, les musulmans vivant hors des zones placées sous la protection des forces de maintien de la paix des Nations unies n’étaient pas libres de pratiquer leur religion en public. Les prières sont interdites, les tenues traditionnelles musulmanes ne peuvent être portées librement et la reconstruction de mosquées, dont on estime que 400 ont été détruites dans tout le pays, n’est pas autorisée. Sur le reste du territoire, notamment à Bangui et Carnot, seules quelques mosquées ont été rebâties.
« Nos prières sont effectivement considérées comme illégales, a déclaré un négociant musulman à Mbaiki. Nous devons nous cacher, prier rapidement et discrètement. Les prières collectives du vendredi sont impossibles. ».
Amnesty International a appelé les autorités centrafricaines, la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations unies pour la stabilisation en République centrafricaine (MINUSCA) et la communauté internationale à soutenir plus largement les efforts des musulmans visant à réintégrer les villes et villages de l’ouest du pays, et à renforcer la présence des forces de maintien de la paix afin de mieux protéger la population des milices anti-balaka.
« Parmi les dizaines de milliers de réfugiés musulmans qui ont été expulsés du pays en 2014, nombreux sont ceux qui souhaiteraient rentrer chez eux un jour mais attendent de pouvoir le faire en toute sécurité et durablement. Le sort des musulmans qui ont tenté de réintégrer les villes et villages de l’ouest de la République centrafricaine peut être déterminant de ce point de vue. Leur sécurité, leur liberté de religion et les autres droits doivent être protégés. ».
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Omar Sy refuse de prendre position sur le conflit israélo-palestinien et indigne les internautes.
Omar Sy avait jusqu’alors laissé une image plutôt positive de lui-même déclarant notamment que sa foi l’aidait à avancer dans sa vie. Il s’est fait remarquer cette fois de manière beaucoup moins sympathique en déclarant sur une chaîne israélienne qu’il ne voulait pas se positionner sur le conflit israélo-palestinien n’ayant pas « toutes les infos ».
Lors d’une interview donnée à la chaîne israélienne i24 news, l’acteur français a refusé de donner son point de vue sur le conflit israélo-palestinien jugeant qu’il « n’a pas toutes les infos ». Parallèlement à cette étonnante esquive, il soutient tout de même suivre l’actualité et « vivre très mal » la montée de l’antisémitisme et du communautarisme.
Cette curieuse éviction de la question se heurte au drame qui a bouleversé une famille palestinienne aujourd’hui avec la mort d’un bébé de 18 mois brûlé vif dans sa maison incendié par des colons israéliens.
De même, les réseaux sociaux se sont enflammés pour répondre à l’acteur, ironisant son intervention, et rappelant les désastres commis par Israël. On se souvient notamment de l’été dernier durant lequel plus de 2000 palestiniens ont trouvé la mort dont un tiers sont des femmes et des enfants. Récemment, un rapport de l’ONU incriminait sévèrement l’armée israélienne pour sa conduite durant cette opération militaire, l’opération brodure protectrice, l’accusant de crimes de guerre. C’est sans surprise que le premier ministre, Benyamin Netanyahu, a balayé d’une phrase cette accusation défendant et se rangeant du côté de son armée : «Israël ne commet pas de crimes de guerre».
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Ali Saad Dawabsha, bébé palestinien de 18 mois, brûlé vif par des colons israéliens.
Ce vendredi 31 juillet est une date macabre, un bébé palestinien de 18 mois a été brûlé vif dans sa maison incendiée par des colons israéliens, près de Naplouse en Cisjordanie occupée, tôt dans la matinée.
L’un des habitants de la ville de Ma’an témoigne que des colons israéliens se sont rués sur deux maisons, brisant les fenêtres pour y jeter des liquides inflammables et des cocktails molotov.
Un petit bébé, Ali Saad Dawabsha, a été pris au piège. Il a été gravement brûlé et est décédé rapidement. La famille du jeune enfant a également été blessée. La mère et le père, Riham et Saad ainsi que son grand frère de 4 ans, Ahmed, ont subi des brûlures d’une grande gravité. Ils ont directement été conduits à l’hôpital.
La maison a quant à elle été complètement détruite, l’autre maison a été taguée par des inscriptions en hébreu.
Les criminels israéliens ont réussi à se sauver sans être vus, personne n’est en mesure de les identifier.
« Nous avons vu quatre colons fuir en restant à distance les uns des autres. Nous avons essayé de les poursuivre mais ils ont fui vers la colonie de Maale Efrayim située à proximité.. », a affirmé Musallem Dawabsha, 23 ans.
Cette agression n’est pas la première, en seulement quelques mois, depuis le début de l’année, on compte 120 attaques menées par des colons israéliens envers les palestiniens situés à Jérusalem-Est et en Cisjordanie occupées d’après le Bureau des Nations Unies pour la Coordination des affaires humanitaires (UNRWA).
Les autorités israéliennes et les forces armées sont conciliantes vis-à-vis de ces actes barbares.
« La politique non déclarée des autorités israéliennes en réponse à ces attaques est clémente et conciliante », déclare l’organisation B’Tselem. «Les auteurs sont rarement jugés, et de nombreux cas sont soumis à aucune enquête ou sont classés sans suite. »
Qu’Allah accueille le petit Ali Saad Dawabsha dans son vaste paradis et qu’Il vienne en aide à sa famille.
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Ali Saad Dawabsha, bébé palestinien de 18 mois… par islamatouswebradio
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