La décision vient de tomber. Le Maroc n’organisera pas la coupe d’Afrique 2015.
Le royaume avait demandé un délai d’un an de report à la FIFA pour pouvoir organiser la compétition dans ” les meilleurs conditions sanitaires “. En effet, les autorités marocaines évoquaient depuis des mois le risque certain d’accueillir une compétition de cette ampleur alors même que le virus ébola touche de plein fouet des pays dont les supporters, potentiels porteurs de la maladie, allaient se déplacer en masse dans tout le pays.
La punition est double puisque l’équipe nationale marocaine est disqualifiée au grand damne de ses supporteurs et de tous les amoureux du ballon rond.
On attend de connaitre quel pays prendra la place du Maroc pour accueillir la CAN. Le nom de la Tunisie est déjà sur toute les bouches …
Le Grand Rabbin d’Israël: “les juifs qui violent l’enceinte d’Al Aqsa commettent un grand péché “
Lors de la cérémonie funéraire d’un israélien tué par un palestinien à Jérusalem, le Grand Rabbin séfarade d’Israël a condamné les colons juifs et la politique menée par Benjamin Netanyahu, rapporte lemag.ma.
Yitzhak Yosef, Grand Rabbin séfarade, a tenu un discours extrêmement dur à l’égard des fanatiques juifs qui depuis plusieurs semaines poussent à la profanation de la Mosquée Al Aqsa. Pour le religieux, ces israéliens sont encouragés par des politiciens d’extrême droite et des rabbins de 4ème rang à violer l’enceinte sacrée du 3ème Lieu saint de l’Islam.
Toujours d’après le Grand Rabbin, les personnes qui commettent ces agissements font ‘‘un grand péché qui sera brutalement puni par le ciel’’. Selon Yitzhak Yosef, les fanatiques juifs provoquent la haine et les actions violentes “des terroristes arabes”.
La plus grande autorité religieuse du pays a fini son discours en expliquant qu’il était interdit aux juifs d’aller sur le “mont du temple” (où se trouve actuellement la Mosquée Al Aqsa et le Dôme du Rocher) car selon les Textes sacrés, les juifs doivent se purifier avant de se rendre sur l’esplanade et cela est impossible à notre époque.