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Flash info du 1er Rajab 1438.

Flash info du 1er Rajab 1438.
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France : Benoît Hamon soutient Karim Benzema.
Ce lundi 27 mars, Benoît Hamon invité de « L’Equipe du soir » déclare que la polémique autour de Benzema est liée à ses origines.
Une médiatisation à deux vitesses.
Sur le plateau, le journaliste en entretien avec Benoît Hamon est venu à parler de Benzema, toujours écarté de l’équipe de France suite à l’affaire de la sextape. Il a rappelé qu’ « une partie du buzz médiatique est venue de la classe politique (…), en revanche on ne l’a pas entendue du tout dans le cas de Karabatic ». En effet, Manuel Valls avait notamment appelé le sélectionneur des Bleus à ne plus faire appel à Benzema. Parallèlement, le handballeur français Karabatic qui a été reconnu coupable dans une affaire de paris truqués, n’a quant à lui suscité aucune polémique et a continué à participer à des compétitions sous le maillot français.
Une critique sans tabou.
Benoît Hamon qui a reconnu la responsabilité des politiques a répondu : « Il y a un climat, en France, raciste qui existe et qui est fort. Aux yeux de certains, Benzema était l’archétype du jeune joueur issu de la banlieue, non respectueux de la République » (…). Ça s’appelle la discrimination, la réalité du fait qu’on n’a pas le même jugement sur un jeune français d’origine musulmane que sur un jeune français non musulman ». Le vainqueur de la primaire de gauche est ainsi favorable à un retour du joueur en sélection nationale : « Si Benzema joue bien et qu’il est bon en club et qu’il n’y a pas meilleur que lui, oui, je suis pour son retour. C’est un sujet sportif », a-t-il ajouté.
Un Benoît Hamon qui parle sans tabou du racisme en France. Enfin un politicien qui dit tout haut ce que beaucoup refusent d’admettre.

katibin.fr
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Le Yémen face à une crise humanitaire : famine, choléra, guerre…
Cela fait deux ans que le conflit armé dure au Yémen. Les premières victimes sont les civils qui, de jour en jour, voient leur accès à la nourriture de plus en plus compliqué.
7 700 morts en deux ans dont 1 546 enfants.
Au Yémen, les Houtis, en lien avec l’Iran, s’opposent au président Hadi soutenu par l’Arabie Saoudite. Un conflit qui coûte énormément en armement mais aussi en vies humaines. D’après l’ONU, il y a eu 7 700 morts en deux ans dont 1 546 enfants. La faim se répand également de plus en plus dans un pays considéré comme le plus pauvre de la région. L’insécurité alimentaire s’ajoute ainsi aux menaces auxquelles doit faire face la population. Stephen O’Brien, coordinateur des Nations Unies, a déclaré : « Sept millions de Yéménites ne savent pas exactement comment ils feront pour trouver la nourriture nécessaire à leur prochain repas. C’est cette situation qui nous a fait lancer cet appel à l’aide: il y a un réel danger de famine au Yémen. » Bien que de l’aide alimentaire arrive dans le pays, elle reste souvent bloquée en raison de l’insécurité sur le terrain. Aujourd’hui ce sont trois millions de femmes et d’enfants qui souffrent de malnutrition aiguë.
Le choléra s’ajoute à ce constat tandis que l’accès aux soins est rendu difficile par les bombardements des centres de santé mis hors service.

katibin.fr
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France : L’initiative de Benoît Hamon pour la reconnaissance de l’État palestinien.
En février dernier lors de sa rencontre avec Mahmoud Abbas, Benoît Hamon avait appelé à la reconnaissance de l’Etat palestinien. Cette initiative reste plus que jamais d’actualité.
Pour la sécurité d’Israël.
Interrogé très récemment sur le sujet, le candidat du Parti Socialiste à la présidentielle a parlé de sa volonté de reconnaître un Etat palestinien pour assurer la sécurité d’Israël et sa pérennité. Dans l’émission BFM Politique, il a déclaré : « Notre devoir historique est d’assurer la pérennité et la sécurité d’Israël. Or une des clés pour faire tomber l’hostilité régionale à l’égard d’Israël, c’est la création d’un État palestinien viable et durable » . Benoît Hamon a pointé du doigt la responsabilité de la communauté internationale face à la solution à deux Etats qui s’éloigne chaque jour davantage notamment en raison de la colonisation.
Les paroles face aux actes… Quelle sera l’issue réelle du discours de Benoît Hamon s’il venait à être élu président ?

katibin.fr
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La Chine exige à la France la justice pour le chinois tué par la police parisienne.
La Chine via son ambassade a fait connaître sa colère suite au meurtre d’un ressortissant chinois à Paris.
L’homme, comme nous vous le relations dans un article précédent, a été tué par la police chez lui devant ses enfants. Tout laisse à penser à une « bavure » policière qui a très mal tourné.
Des exactions dont les minorités visibles sont désormais accoutumées d’où un soutien spontané de la communauté musulmane pour la famille du défunt.
La Chine par voie diplomatique a fait connaître sa colère auprès des plus haute autorité française. Pékin a exigé que le gouvernement français fasse « toute la lumière sur cette affaire » et qu’elles « prennent des mesures efficaces afin de protéger la sécurité des droits et les intérêts légitimes des citoyens ».
Une réaction qui tranche avec celles des pays arabes musulmans qui eux collaborent systématiquement dans l’islamophobie systémique française.
islametinfo.fr
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Palestine : Le cofondateur du mouvement BDS, Omar Barghouti, détenu depuis plus d’une semaine par Israël.
Le dimanche 19 mars, le cofondateur du mouvement BDS et fervent défenseur des droits de l’Homme, Omar Barghouti a été arrêté par les autorités fiscales israéliennes qui ont fait irruption chez lui. Il a été interrogé ainsi que son épouse Safa.
Ce n’est pas la première mesure d’intimidation à son encontre puisque cela fait des années qu’il subit des menaces et diverses répressions par le gouvernement d’extrême-droite israélien. Ce dernier considère d’ailleurs le mouvement BDS comme une « menace stratégique » à l’encontre du système axé sur les injustices vis-à-vis des Palestiniens.
En mars 2016, il y a un an déjà, des ministres en personne avaient menacé Omar Barghouti et des têtes dans la défense des droits de l’Homme de mesures drastiques pouvant aller jusqu’à « l’élimination civile ciblée ».
L’incursion au domicile d’Omar Barghouti fait suite à ce contexte et à l’échec du gouvernement à annuler son permis de résident permanent. Une affaire tirée par les cheveux de revenu perçu hors Israël à donc été mise en scène afin de ternir l’image du militant respecté.
Cette investigation qui inclut une interdiction de voyager intervient quelques semaines avant le déplacement prévu d’Omar Barghouti pour les Etats-Unis où il devait recevoir le Prix Gandhi pour la paix (Gandhi Peace Award) lors d’une cérémonie à l’université de Yale.
Cette tentative désespérée de faire taire l’un des hommes les plus actifs dans la lutte contre l’oppression et l’injustice démontre les limites du gouvernement israélien et son échec dans sa politique d’apartheid et de colonisation.
islametinfo.fr
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France : Un homme chinois tué par la police devant ses enfants.
Le drame a eu lieu en début de semaine.
La police en civil intervient suite à des plaintes d’un voisin pour tapage nocturne.
La famille entend alors des violents coups sur la porte et prend peur, le père hésite à ouvrir et pense à une agression. La police est en civil et rien ne laisse à penser à une intervention policière.
Le père se trouve devant les policiers alors que le porte est défoncée un ciseau à poisson dans les mains. La police n’hésite pas un instant, sans un rappel à l’ordre, sans même un coup de sommation, elle tire sur le quinquagénaire qui s’écroule devant sa famille terrorisée.
La police bloque alors l’accès à la famille de leur père mourant. Il décède alors que la famille est confinée dans une pièce pendant 2 heures par les policiers alors qu’elle ne représente aucun danger.
La presse française a immédiatement pris fait et cause pour la police sans mener d’investigation sur cette étrange intervention meurtrière. Pour beaucoup on parlait sans doute d’une famille musulmane et on attendait avec impatience l’excuse de radicalisation venir étouffer définitivement l’affaire et justifier le meurtre.
Mais tel n’est pas le cas. La famille chinoise a tenu à témoigner pour faire éclater la vérité que certains voulaient faire taire. Et la version n’est pas du tout la même …
Évidemment sur les réseaux sociaux la réaction a été vive et on a pu assister à un réel soutien moral de la communauté musulmane aux victimes. Une communauté muslima qui est habituée aux stigmatisations et aux outrances de la police ne pouvait que comprendre la détresse de cette famille mille fois vécue.
En France, la police a toujours été incapable de défendre la communauté chinoise face à la délinquance voilà maintenant qu’elle tue un chinois chez lui devant sa famille. Une preuve de plus que la France réserve systématiquement aux minorités ethno-confessionnelles un traitement inique différent de celui de la majorité.
Reportage vidéo à voir sur www.mouslimradio.info.
w w w . m o u s l i m r a d i o . i n f o .

islametinfo.fr
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Richard Gere compare la vie des Palestiniens à Hébron à la ségrégation aux USA.
Le célèbre acteur Richard Gere a tenu une parole audacieuse et montre son implication pour un monde de paix usant de sa position de célébrité. Il a comparé ce que vivent les Palestiniens à Hébron, en Cisjordanie, à la ségrégation vis-à-vis de la population noire aux Etats-Unis.
C’est à Hébron même que l’acteur de « Pretty Woman » a dénoncé la politique du gouvernement israélien accompagné d’anciens soldats israéliens actifs dans cette lutte. Le groupe s’appelle « Breaking the silence ».
Richard Gere a rapporté la similarité entre le sud des Etats-Unis sous la ségrégation et la situation actuelle à Hébron.
islametinfo.fr
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France : Un village des Vosges dit « Merci aux migrants ».
A Monthureux-sur-Saône, un petit village des Vosges, les migrants arrivés de Calais il y a six mois vont rejoindre d’ici mi-avril un centre pour demandeurs d’asile à environ 50 kilomètres plus loin, à Epinal. Mais les Monthurolais sont déjà nostalgiques:
« Merci aux migrants. On a vu des personnes qui avaient beaucoup moins que nous et qui gardaient le sourire », raconte une habitante. « Ça va faire un grand vide pour moi puisque j’étais au quotidien avec eux « , rapporte la gérante du tabac.
Satisfait de la réussite de la mission, le maire étudie d’autres formes d’accueil pour les migrants à l’avenir.
islametinfo.fr
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Yémen : plus de 10 000 attaques contre les femmes recensées en 2016.
Le Fonds des Nations unies pour la population (FNUAP) rapporte, lundi 27 mars, qu’il a recensé plus de 10 000 attaques contre les femmes au Yémen en 2016.
« Les déplacements et la dégradation des mécanismes de protection ont radicalement augmenté la vulnérabilité des femmes et des filles face aux violences alors que leur position dans la société n’était déjà pas favorable avant la guerre », a indiqué le FNUAP dans un communiqué.
Le rapport tombe deux ans après le lancement de l’intervention au Yémen par une coalition militaire arabe dirigée par l’Arabie Saoudite contre des rebelles houthis. Selon le FNUAP, « les incidents liés à des violences à caractère sexiste ont augmenté de 63 % au cours des deux dernières années ».
Il évoque aussi « plus de viols, de violences domestiques, de mariages forcés de jeunes filles, d’abus physiques et psychologiques à l’encontre des femmes et des filles par rapport aux chiffres établis deux ans auparavant ». L’organisation internationale indique par ailleurs que 18,8 millions de personnes nécessitent aujourd’hui une aide humanitaire au Yémen dont 10,3 millions en urgence.
Six ONG (Médecins du Monde, Care, Solidarités international, Première Urgence internationale, Action contre la Faim et Handicap International) ont alerté l’opinion publique du désastre humanitaire dans le Yémen. Le conflit a provoqué la mort de plus de 7 500 personnes.
saphirnews.com
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France : La mort de Liu Shaoyo, une bavure policière pour les Chinois de France.
Après Adama et Théo, une autre affaire de violences policières fait jour en France. Liu Shaoyo, un Chinois de 56 ans, a été tué par balle, dimanche 26 mars, lors d’une intervention policière à son domicile dans le 19e arrondissement de Paris.
D’après des agents de la brigade anti-criminalité (BAC), la police a été appelée pour un « différend familial » dans une immeuble du quartier Curial. « Dès l’ouverture de la porte » de l’appartement, Liu Shaoyo se serait précipité pour agresser un des policiers avec une paire de ciseaux. L’un des agents aurait alors ouvert le feu pour protéger son collègue, blessant mortellement le père de famille.
Calvin Job, l’avocat de la famille, affirme que ses clients « contestent totalement la version des faits » exposée par les policiers, expliquant que Liu Shaoyo « n’a blessé personne ». Selon lui, « un voisin a appelé la police en disant qu’il y avait des cris » mais il n’y a eu « aucun différend familial ». La victime était « en train de tailler des poissons avec des ciseaux », rapporte-t-il. « Les policiers ont ouvert de force la porte de l’appartement, ce qui l’a propulsé vers l’arrière », ajoute l’avocat. Il précise que le quinquagénaire n’a « porté aucun coup » et « ne s’est pas précipité » sur les policiers. Par ailleurs, l’agent de la BAC aurait « tiré sans sommation » dans la zone du thorax.
La famille du défunt doit être entendue mardi après-midi par l’Inspection générale de la police nationale (IGPN) qui a été saisie de l’enquête. Les quatre enfants de Liu Shaoyo, dont certains disent avoir assisté à la scène, se sont exprimés à la télévision. La vidéo d’une partie de l’entretien est visible sur Facebook
« Indépendamment du témoignage des jeunes filles qui mettent en doute la version policière, ce qui est choquant est l’usage disproportionné de l’arme à feu par notre police », déclare l’Association des jeunes chinois de France (AJCF), qui a exprimé sa solidarité envers la famille du défunt et dénoncé une bavure policière.
Dans la soirée du lundi 27 mars, environ 150 personnes se réunies pour un rassemblement devant le commissariat du 19e arrondissement. La manifestation a dégénéré et 35 personnes ont été interpellées par la police.
Lors d’une conférence de presse organisée mardi 28 mars, Hua Chunying, le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, a indiqué que la Chine a « exigé » que la France fasse « toute la lumière sur cette affaire ». Pékin a demandé à Paris de protéger « la sécurité et les droits » de ses ressortissants.
saphirnews.com
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France : A Dammartin-en-Goële, un projet de mosquée qui irrite la mairie .
Une réunion publique autour du projet de mosquée à Dammartin-en-Goële (Seine-et-Marne), à l’initiative de l’Association culturelle et cultuelle de Dammartin-en-Goële (ACCDG), a été organisée dans l’après-midi du dimanche 26 mars afin de présenter les contours de l’initiative et de répondre aux interrogations des habitants. Dammartin-en-Goële a été tristement rendue célèbre après l’assaut contre les frères Kouachi, auteurs des attentats en janvier 2015, alors qu’ils étaient retranchés dans une imprimerie de la commune.
La réunion s’est déroulée sans la présence de Michel Dutruge, maire LR de Dammartin-en-Goële, qui s’est indigné dans un communiqué en date du 23 mars de la tenue d’une réunion « faite sans aucune concertation avec le conseil municipal », sur un projet dont la maire découvre « l’existence en même temps que tous les habitants de notre ville ».
« Dans la plus grande transparence, la municipalité a alloué le prêt (du) gymnase (municipal Jesse Owens, ndlr), dans le cadre d’une réunion d’information uniquement auprès de leurs adhérents. La mairie se dit trompée quant à la véritable nature de cet évènement et à la présentation de ce projet », a-t-elle indiqué. Déplorant les méthodes utilisées par l’ACCDG « à des fins de propagande sans avoir consulté, ni présenté leur projet aux élus locaux », la mairie déclare ne pas cautionner « ce genre de comportement irresponsable allant à l’encontre du dialogue nécessaire au bien vivre ensemble ». En conséquence, le maire ne s’est pas rendu à l’événement qui a accueilli environ 200 personnes.
« Je ne comprends pas sa réaction, il a bien été prévenu mais il nous ignore. Pourtant, tout a été fait dans la transparence. Nous ne l’avons plus revu depuis le 5 janvier, date à laquelle nous l’avons rencontré pour lui parler du projet », a déclaré le porte-parole de l’association, cité par Le Figaro. « Nous avons tous reçu les mêmes mails d’information. Il faut que le maire assume ses responsabilités et qu’il avoue ne pas avoir envie de leur vendre le terrain », a appuyé en ce sens Stéphane Jabut, ancien maire PS de Dammartin.
L’ACCDG souhaite mettre en oeuvre son projet sur un terrain de 2 500 m2 dans lequel serait construit un bâtiment de 900 m2 qui conprendra tant des espaces culturels que cultuels. Les salles de prière pourraient accueillir environ 800 personnes lors de la prière du vendredi. Le coût des travaux reviendrait à 3 millions d’euros. L’association entend combler ainsi un vide dans les alentours : le lieu de culte musulman le plus proche de Dammartin est situé à une quinzaine de kilomètres, à Mitry-Mory.
saphirnews.com
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Tunisie : vers une autorisation du mariage des femmes aux non-musulmans ?
Une soixantaine d’associations tunisiennes font front commun pour réclamer l’autorisation aux femmes de se marier avec des non-musulmans.
Elles ont appelé, lundi 27 mars, à l’abrogation d’une circulaire prônant une telle interdiction depuis 1973, estimant qu’elle viole la liberté de conscience et la non-discrimination entre les citoyens inscrites dans la Constitution ainsi que dans diverses conventions internationales ratifiées par la Tunisie en matière de libertés individuelles et d’égalité entre les hommes et les femmes.
En Tunisie comme dans d’autres pays à majorité musulmane, un certificat de conversion du futur conjoint délivré par le mufti de la République est actuellement exigé pour enregistrer toute union entre une femme considérée comme musulmane et un ex-non-musulman, auquel cas leur mariage ne saurait être reconnu en Tunisie, de même que les enfants qui naîtraient de l’union. Une telle formalité n’est en revanche pas exigée des Tunisiens souhaitant épouser une non-musulmane.
La loi n’est pas inscrite dans le Code du statut personnel adopté en 1956 sous l’ère Bourguiba mais elle a été formalisée au travers d’une circulaire du ministre de la Justice 17 ans plus tard. Une règle qui tire son origine d’une loi coutumière islamique à laquelle s’accorde une large majorité de jurisconsultes musulmans.
Dans le collectif, on retrouve l’Association tunisienne des femmes démocrates (ATFD), l’Association tunisienne de soutien aux minorités (ATSM), le Comité pour le respect des libertés et des droits de l’Homme en Tunisie (CRLDHT), la Fédération des Tunisiens pour une citoyenneté des deux rives (FTCR), le Forum Tunisien pour les droits économiques et sociaux (FTDES) ou encore la Ligue tunisienne de défense des droits de l’Homme (LTDH). Toutes espèrent un retrait de la circulaire d’ici novembre 2017, 44 ans après sa promulgation.
saphirnews.com
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Des musulmanes s’affirment et affirment leur islamité dans l’Amérique de Trump.
La stratégie de diabolisation des musulmans élaborée par le populiste Donald Trump n’a pas seulement libéré la parole raciste, elle a aussi, et plus étonnamment, désinhibé la parole de femmes américaines musulmanes qui s’autorisent désormais à s’affirmer et à affirmer au grand jour leur islamité, sans craindre de s’attirer les foudres d’une certaine Amérique islamophobe et xénophobe.
Comme libérées de leurs peurs paralysantes, l’accession de Trump au pouvoir a produit sur Maysoon Khatib (photo ci-dessus), 44 ans, et Iman Abid (photo ci-dessous), 25 ans, pour ne citer que ces deux citoyennes qui ont refusé de se laisser bâillonner sans réagir, l’exact effet inverse de celui recherché en haut lieu.
Professeure de littérature anglaise à l’Université d’Etat de Murray, dans le Kentucky, Maysoon Khatib, qui a grandi sous les cieux ensoleillés de la Californie du Sud, au milieu d’un creuset de cultures et de religions, ne s’est jamais autant sentie musulmane que depuis qu’elle a migré, en famille, vers une bourgade de 18 000 âmes, en plein cœur de l’Amérique profonde.
Dans cette ancienne terre démocrate, frappée de plein fouet par la crise, qui attend des miracles du nabab new-yorkais de l’immobilier devenu roi, cette enseignante que certains étudiants aiment provoquer en arborant, à chacun de ses cours, des t-shirts à l’effigie du nouveau président des Etats-Unis, n’est plus en proie à la vive inquiétude qui l’habitait avant l’élection présidentielle.
Disparue l’angoisse qui était montée crescendo, au fur et à mesure que le candidat Trump sillonnait le pays en exacerbant la haine de l’islam ! Maysoon Khatib, qui troque volontiers sa casquette de pédagogue passionnée pour celle de rédactrice en chef engagée du site MuslimGirl.com, est soulagée d’un poids, comme elle l’a confié au micro de CBS News.
« Quand la victoire de Donald Trump a été annoncée, j’ai ressenti un violent serrement au cœur. Et puis, il y a eu l’impressionnante Marche des femmes à Washington, le 21 janvier, et j’ai pu constater avec une immense émotion que nombre de mes concitoyens, femmes et hommes, de toutes origines et religions, étaient eux aussi entrés en résistance contre le pouvoir en place », a déclaré la co-fondatrice d’un site dédié à ses coreligionnaires, dont la vocation première est de favoriser leur autonomisation et leur ascension au sein de la société américaine.
« Parfois, je suis démangée par l’envie d’écrire une lettre à Trump afin de le remercier de nous avoir poussés à nous unir contre lui et ce qu’il représente, par-delà nos différences. Peut-être avions-nous besoin de ce changement pour nous inciter à lutter tous ensemble, à résister », a-t-elle ajouté.
A Rochester, dans l’Etat de New York, Iman Abid, la figure de proue locale de l’Union américaine pour les libertés civiles (ACLU), s’investit sans compter auprès des réfugiés, et même avec une détermination renforcée depuis que le décret anti-immigration signé par le nouvel homme fort de Washington a révélé une islamophobie institutionnalisée implacable.
En dépit de ce climat hautement délétère, sa volonté de revendiquer son islamité n’a jamais été aussi forte et la fierté de ses racines moyen-orientales aussi grande.
« Beaucoup de gens ont des préjugés sur les musulmans. Quand je dis que je suis musulmane, la plupart de mes compatriotes sont surpris que je ne porte pas le hijab. J’en profite pour amorcer un dialogue », a-t-elle expliqué sur CBS News.
« Il est essentiel de montrer que la communauté musulmane américaine n’est pas un bloc monolithique, que l’on peut être musulmane sans porter le voile. Je m’efforce de changer les regards et pour ce faire, je refuse que l’on confisque ma parole. Les femmes musulmanes, dans la diversité de leurs composantes, ne devraient pas permettre que le président Trump parle à leur place, en leur nom », a-t-elle insisté, tout en appelant instamment ses coreligionnaires à se fédérer et à se réapproprier leur parole volée par un démagogue de la pire espèce.
« Nous devons prouver que nous existons en tant que groupe », exhorte Iman Abid, plus libre et combative que jamais, depuis que son angoisse face à l’avenir, dans une Amérique passée sous pavillon nationaliste et suprématiste blanc, s’est évanouie comme par enchantement… C’est l’effet extraordinairement salutaire de l’effet Trump ravageur !
oumma.com
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France : menaces de mort contre des militants pro-palestiniens.
Communiqué d’Amnesty International (21/3/17)
Le 4 mars 2017, un groupe dénommé la Brigade juive a lancé un ultimatum aux membres dirigeants de l’Association France Palestine Solidarité (AFPS) : si l’AFPS ne cessait pas d’appeler au boycott des produits israéliens, les coordonnées personnelles des membres de son conseil national seraient rendues publiques.
Depuis le 8 mars 2017, des militants français des droits du peuple palestinien font l’objet d’une campagne scandaleuse de menaces, d’intimidations et de harcèlement.
Un appel relayé par certains sites.
Cette menace a été mise à exécution le 8 mars dernier, et relayée par les sites de la Ligue de Défense Juive, de JSSNews (basé en Israël) et de coolamnews . Depuis, plusieurs membres dirigeants de l’AFPS ont reçu des menaces de mort : les auteurs menaçaient de s’en prendre à leur famille ou à leurs enfants, de brûler leur domicile…
Certains ont répandu des rumeurs malveillantes, allant jusqu’à déclencher l’intervention des pompiers avec l’annonce erronée du suicide du président et du Secrétaire général. Cette vague de harcèlement fait suite à des menaces déjà prononcées contre des dirigeants de l’AFPS ces derniers mois.
En France, la criminalisation de l’appel au boycott doit cesser sans délai.
Ces intimidations visant l’AFPS font état du fait que « le boycott est puni par la loi ». En effet, depuis 2010, la France est l’un des rares pays au monde à prévoir des poursuites contre des personnes appelant au boycott de produits israéliens dans le cadre de la campagne internationale Boycott-Désinvestissement-Sanctions (BDS).
La circulaire ministérielle CRIM-APN 09-900-44 signée en 2010 par Mme Alliot Marie, alors ministre de l’Intérieur, engage les procureurs à poursuivre les appels au boycott de produits israéliens, considérés comme caractéristiques de délits de provocation publique à la discrimination à l’égard d’une personne ou d’un groupe de personnes en raison de leur appartenance à une nation.
En octobre 2015, la Cour de cassation a confirmé la condamnation de quatorze personnes uniquement en raison de leurs actions pacifiques de promotion du boycott de produits israéliens. Des militants du mouvement BDS se sont vu enjoindre par la préfecture de Paris de s’engager par écrit à renoncer à toute promotion du boycott de produits israéliens.
Si la répression de l’incitation à la haine et à la discrimination est légitime et nécessaire, elle ne peut se confondre avec la critique tout aussi légitime de la politique d’un Etat. L’appel pacifique au boycott d’un Etat rentre dans le cadre de cette critique et de l’action citoyenne non violente et s’inscrit donc dans le droit à la liberté d’expression, reconnu par le droit international.
Solidarité avec ces défenseurs des droits humains!
Cette campagne haineuse à l’encontre de défenseurs des droits humains doit immédiatement cesser, et leurs auteurs être traduits en justice dans les meilleurs délais.
Nous apportons notre entière solidarité aux victimes de ces menaces et intimidations, et appelons les autorités françaises à diligenter sans délai des enquêtes rapides contre les responsables de ces incitations à la haine.
Nous avons à plusieurs reprises demandé aux autorités françaises d’abroger la circulaire Alliot-Marie et de cesser les poursuites à l’encontre des militants du mouvement BDS. Le fait que cette circulaire serve désormais de prétexte à des actions de piratage et de harcèlement de ses militants démontre l’urgente nécessité d’y mettre un terme.
Nous réitérons notre appel aux autorités françaises, ainsi qu’à tous les candidats à l’élection présidentielle, à abroger sans délai cette circulaire, qui bafoue le droit à la liberté d’expression et de protestation pacifique dans notre pays.
Source: Amnesty International.
oumma.com
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####### Aujourd’hui en Palestine #######
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Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
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Des témoins oculaires ont déclaré mardi soir que l’armée d’occupation israélienne a déployé des patrouilles dans les montagnes de Salfit et ont lancé deux ballons de surveillance dans ses cieux.
plus
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Le Hamas appelle le sommet d’Amman à admettre la priorité absolue pour Jérusalem et al-Aqsa
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La sécurité de l’Autorité Palestinienne arrête 3 citoyens et convoque un journaliste
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Forum des Médias: La campagne répressive contre les Journalistes ne servira que l’ennemi occupant
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L’Occupation vole un bidonville et des plantes au sud d’Hébron
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Une manifestation à Gaza exigeant la libération immédiate de Halabi
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Le tribunal israélien détient le directeur de TIKA à Gaza
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Le ministère de l’Intérieur réduit les restrictions imposées à Beit Hanoun
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Badran: L’emprise sioniste sur Al-Aqsa sera contrée par une résistance croissante
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L’occupation mène une campagne d’arrestations et de raids en Cisjordanie
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Bahar appelle le sommet arabe à protéger le peuple palestinien du terrorisme d’Israël
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L’Autorité Palestinienne coopère avec le Shin Bet pour empêcher toute réaction à l’assassinat de Fuqha
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L’ambassadeur des Etats-Unis auprès de l’ONU: L’ère du dénigrement d’Israël est terminée
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La famille de Shaul accuse l’armée israélienne de mensonge
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Jérusalem: Démolition de deux maisons à Issawia
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Haniyeh: Israël cherche à mélanger des papiers du crime d’assassinat de Fuqha
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information

Flash info du 23 Joumada At-Thani 1438.

Flash info du 23 Joumada At-Thani 1438.
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Le mariage et les jeunes: obstacles et solutions.
Le mariage, sujet sensible et si précieux à la fois.
Dans l’article précédent de cette série consacrée au mariage et les jeunes, nous avons essayé de nous remémorer le caractère obligatoire du mariage en islam. A l’énumération d’ahadiths et versets coraniques, entre recommandations, exhortations et permissions, certains peuvent se sentir perdus. Pourtant la religion est claire.
Selon le consensus des savants, le refus du mariage ne peut être sujet à polémique, et encore moins envisagé. En témoigne la parole du Prophète, paix et salut sur lui, à fin du hadith cité dans le précédent article : «Celui qui refuse ma tradition ne m’appartient pas».
Dans cet article nous allons rechercher à comprendre les obstacles au mariage chez les jeunes et tenter d’apporter des éléments de solutions avec la permission d’Allah Azza wa Jal.
Mais tout d’abord, qu’est-ce qui empêche nos jeunes de se marier ?
Le manque d’argent.
L’un des premiers motifs évoqués qui barre la route vers le mariage est la question financière. Se marier requiert évidemment un coût pour les prétendants à une vie paisible en couple loin de toutes tentations et fornications, qu’Allah nous préserve ainsi que nos jeunes. Les ignorer n’est pas judicieux. Même avec la volonté de vivre une vie simple, en commençant par de modestes moyens, s’engager dans le mariage signifie, surtout pour les jeunes hommes, avoir la responsabilité de prendre soin d’une autre personne que soi. Ce n’est pas une aventure à prendre à la légère.
Garder en mémoire que le Rizq, la subsistance, ne provient que d’Allah Le Grand Pourvoyeur, et en avoir la certitude n’empêche pas de faire les causes pour préparer une situation stable favorable au mariage et ses exigences. La multiplication d’invocations sincères mais aussi finir ses études et rechercher activement un emploi et un logement font partie des causes à mettre en œuvre, avec l’aide d’Allah. C’est ce qu’englobe le terme de «man astata’a al baa minkoum» «(…)Et celui d’entre vous qui en a les capacités(…)» dans l’exégèse du hadith rapporté par Boukhari.
L’accord des parents.
Se voir refuser son choix, ou même l’idée de se marier par ses parents est un énorme handicap encore actuel auquel les jeunes sont plus souvent confrontés que l’on ne croit. Cela pose problème évidemment et rend difficile la voie vers le mariage, mais cela permet de rappeler l’importance du rôle des parents et des règles du mariage en islam pour que tout un chacun sache ce qu’il a à respecter.
1. Le Prophète, salla Allah ‘alayhi wa salam, a dit : «Pas de mariage sans tuteur» Rapporté par Ahmad. Les parents sont ceux qui connaissent et défendent le plus l’intérêt de leurs enfants. Respecter leur refus c’est respecter leur capacité à choisir ce qui peut convenir, et leur autorité sur nous. Cela induit notre devoir d’obéissance envers eux sauf en cas de contrainte. Car ils ne peuvent forcer à épouser quelqu’un que le ou la jeune ne désire pas.
2. Si par contre, la raison des parents évoquée pour refuser le mariage est d’ordre raciale, culturelle ou autre, cela n’est pas permis en islam.
«Et si un prétendant vous vient et que vous êtes satisfait de sa religion et de son comportement, mariez-le ( avec votre fille). Si vous ne le faites pas, il y aura une tentation sur terre et une grande corruption». Rapporté par Tirmidhi et Ibn Majah.
Et l’on peut avoir recours à une tierce personne de confiance pour leur faire entendre raison ou annuler un mariage forcé. Cela ne doit bien sûr être utilisé qu’en dernier recours. Et l’issue favorable que l’on espère à tous ne provient que d’Allah ta’ala.
La bonne personne à trouver.
Quand beaucoup préfèrent choisir leur promise et se plaignent de la lenteur à laquelle vont les choses, désespérant de la venue du jour où ils l’épouseront, certaines se lamentent de l’absence de prétendants, et d’autres encore de ne pas avoir trouver la bonne personne.
A vous tous, nous demandons : Avez-vous perdu de vue l’objectif premier de notre existence, adorer Allah sans rien lui associer. Ni votre propre discernement devant Sa Volonté, ni le désespoir inspiré par le Maudit ne fera bouger les choses en votre faveur.
C’est plutôt revenir à un attachement sincère aux prescriptions divines, fuyant les flèches que le diable maudit envoie dans vos cœurs, qui vous aidera à trouver la certitude qu’Il, Azza wa Jal, a un meilleur projet pour vous.
Nul impatience ou tristesse devant ce qui tarde à vous arriver ne vous facilitera la tâche. Se laisser mûrir, s’éduquer à ce qui nous attend comme responsabilités et préparer sa situation dans la positive attitude sont le comportement du musulman ou de la musulmane qui attend le meilleur à venir.
En résumé, quels sont les solutions au problème du mariage des jeunes ?
La confiance en La Volonté de notre Seigneur. Il connaît ce qui est caché et ce qui est apparent, et vous réserve une issue favorable à la condition d’y croire fermement et de vous attacher à Son Amour.
Le respect des prescriptions d’Allah. Aucun mariage ne peut se construire sur la base de ce que vos yeux ont choisi en transgressant les limites de la religion comme la mixité et les relations inspirées par Sheytan.
Multiplier les invocations pour demander Son Secours.
et les causes à renouveler sont le mode d’emploi qui vous manquent. Que ce soit si l’on n’a pas de moyens, ou pas trouver de personnes sérieuses à qui demander la main, l’issue favorable viendra si l’on joint le cœur, l’invocation du Très Haut à l’action.
Et parmi les causes, que l’on ne mentionne que peu souvent, il y a la demande d’aide aux proches comme les parents, la famille, les responsables de mosquées de confiance. En faisant renaître ce que signifie le mot solidaire, la Oumma sera actrice du bien-être et de l’équilibre de tous.
C’est en toute sincérité que l’on prie pour que tous ceux et toutes celles qui espèrent se marier, vivent heureux une fois le beau jour venu, car certes « A côté de la difficulté, est certes une facilité». Sourate Sharh, verset 5 et 6.
AJIB.FR
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La gravité de célébrer les anniversaires.
Fêter un anniversaire revient à ouvrir la porte à une nouvelle innovation, appelée en arabe « bidaa ».
Les seuls fêtes que le musulman doit célébrer sont la fête du sacrifice (‘Aïd el-Adhâ), ainsi que la fête de la rupture du jeûne du mois de Ramadan (‘Aïd el-Fitr).
Lorsque le Prophète Muhammad (sallAllahou ‘alayhi wa salam) est arrivé à Médine, il trouva ses habitants en célébration et les interrogea:
« Que sont donc ces deux jours ? » Les gens dirent: « Nous avions l’habitude de les célébrer durant la période de l’Ignorance. »
Le Prophète Muhammad (sallAllahou ‘alayhi wa salam) répliqua alors:
« Allah vous a donné en échange deux jours bien meilleurs que ces deux là, le jour de Ide oul Adha et le jour de Ide oul Fitr. » (Aboû Dâoûd).
Organiser un anniversaire pour se réunir, offrir des cadeaux, souffler des bougies et chanter un cantique est un rituels d’origine païenne qui mène le croyant à sa perte.
Les bougies étaient censées protéger des démons celui qui célébrait son anniversaire; on assurait ainsi sa sécurité pour l’année à venir. Jusqu’au IVe siècle, même les savants chrétiens ont rejeté la célébration des anniversaires, les considérant comme une coutume païenne.
Allah (soubhanou wa ta’ala) dit :
« Ne vous entraidez pas dans le péché et la transgression. Et craignez Allah, car Allah est, certes, dur en punition! » (Coran 5/2).
Le Prophète Muhammad (sallAllahou ‘alayhi wa salam) a aussi dit:
« La meilleure parole est le livre d’Allah, et le meilleur des guides est Muhammad. Les plus mauvaise des choses sont celles qui sont inventées et chaque innovation est un égarement. » (Mouslim et Nasa’i).
Fêter l’anniversaire du Prophète (sallAllahou ‘alayhi wa salam) est également une innovation. Il n’a jamais fait cela ou il n’a jamais ordonné à quelqu’un de de le faire pendant sa vie ou après sa mort. De même les sahabas et les califes bien guidés ne l’ont jamais pratiqué.
A ce sujet, Il disait:
« N’exagérer pas sur moi comme les chrétiens ont exagérés au sujet du fils de Maryam. Je suis seulement un serviteur ainsi dites : « serviteur d’Allah et son Messager. » (al-Boukhari).
De plus, ne pas fêter l’anniversaire d’un enfant ne doit pas être perçu comme une frustration. En effet, si on explique dés le plus jeune âge de l’enfant, que l’anniversaire ne fait pas partie de nos préceptes religieux, il se familiarisera vite à cette position adoptée par les parents. Mieux vaut profiter des deux fêtes islamiques pour offrir des cadeaux à nos enfants.
Si le parent veut souhaiter longue vie ou bonne santé à son enfant, il est préférable de le faire à travers des invocations auprès d’Allah (soubhanou wa ta’ala).
Le musulman a plus de mérites à se concentrer sur ses obligations envers Allah (soubhanou wa ta’ala), plutôt que de suivre le chemin épineux de la mécréance.
AJIB.FR
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France : La mosquée de Fréjus ne sera pas démolie comme le réclamait le maire FN.
La cour d’appel d’Aix-en-Provence a tranché mardi 21 mars 2017 : la mosquée de Fréjus ne sera pas démolie comme le réclamait le maire Front national David Rachline.
La cour d’appel n’a pas retenu les infractions relatives aux permis de conduire délivrés dans des conditions contestées. Les juges ont simplement estimé que la construction de la mosquée n’avait pas respecté les obligations du plan de protection des risques d’inondation (PPRI) et qu’il n’était pas nécessaire pour autant de détruire le lieu de culte musulman ouvert en janvier 2016.
En février 2016, la municipalité FN de la ville remet en cause le permis de construire de la mosquée sur le plan pénal. Le tribunal correctionnel de Draguignan condamne l’association El-Fath à 60 000 € d’amende pour avoir construit l’édifice religieux avec un permis périmé et au mépris de certaines dispositions sur les zones inondables.
Communiqué de la mosquée de Fréjus
Aujourd’hui, la Cour d’Appel d’Aix en Provence a rendu un arrêt extrêmement important qui, nous l’espérons, viendra conclure définitivement le volet pénal de ce dossier.
L’association El Fath et son président, M. Maaroufi ont été relaxé de la plupart des infractions qui leur avaient été reprochées.
En effet, les juges ont confirmé qu’aucune fraude n’a été commise par l’association dans l’obtention de ses permis de construire.
Les juges ont par ailleurs estimé que les permis n’étaient pas caduc contrairement au TGI de Draguignan en première instance, ou plus récemment, au Tribunal administratif de Toulon.
Seul un point a été retenu à l’encontre de l’association et de son président.
De façon surprenante, la Cour d’appel d’Aix en Provence estime qu’il n’existe pas de vide sanitaire. Or, nous savons tous que cela n’est pas le cas.
Nos avocats travaillent pour régulariser ce point.
De manière générale, l’arrêt de la Cour d’appel d’Aix en Provence reste un franc succès. Les amendes prononcées par le Tribunal de grande instance de Draguignan ont été divisées par trois.
Nous ne pouvons donc que nous féliciter de cette décision qui clôt une procédure pénale particulièrement à charge et durant laquelle le Maire FN de Fréjus David Rachline et le Maire LR de Saint-Raphaël Goreges Ginesta ont usé de tous les artifices juridiques pour faire condamner la Mosquée et obtenir sa démolition pour des raisons purement idéologiques et politiques.
Face à la commune de Fréjus et de Saint-Raphaël, nos avocats ont su faire avancer et respecter le Droit.
De son côté, l’association El Fath n’a pas « échappé » à la démolition comme l’indique la Presse, elle a fait face à ses responsabilités et mené cette bataille juridique et politique avec dignité et un grand sens des responsabilités.
C’est un grand jour pour toute la communauté musulmane et tous nos concitoyens attachés au Droit et aux libertés fondamentales.
Aussi nous remercions toutes celles et ceux, et ils sont nombreux, qui nous ont toujours témoigné leur soutien.
journaldumusulman.fr
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France : Double meurtre à Paris : le cri pour l’honneur de la mère de famille.
La vie de Khedija a basculé dans la tragédie, vendredi 17 mars, lorsque l’un de ses fils a tué son autre fils et son mari. Il a été hospitalisé en psychiatrie.
Au drame qui dévaste la famille s’est ajouté le déshonneur. C’est pour cela que Khedija veut prendre la parole. Son cri, vibrant de douleur, tient en ces mots : «Mon fils n’est pas un terroriste ! Ce n’est pas la vérité ! Il adorait son père, ses frères, sa famille… Il était en arrêt maladie à cause d’un harcèlement au travail. Il a une femme et deux enfants…»
Vendredi 17 mars, rue de Montreuil à Paris (XIe arrondissement), Ramzi, son aîné de 31 ans, est retrouvé prostré près des corps ensanglantés de son père et de son jeune frère. Ils ont été égorgés. Soupçonné d’être l’auteur de ce double homicide, Ramzi est interpellé. Son état n’est pas compatible avec une garde à vue. Dans l’après-midi, il est placé à l’infirmerie psychiatrique de la préfecture de police de Paris, où il était toujours hospitalisé dimanche. Depuis, Khedija est sans nouvelles. Dans l’appartement où se pressent amis et proches, elle a revêtu sa tenue de deuil. De son mari, Mohamed, 63 ans, chauffeur de taxi, et de Skander, 27 ans, «le plus jeune de mes fils», elle ne parvient à parler qu’au présent. «On n’y croit pas», soupire un ami.
Fiché S, une incompréhension pour ses proches.
Khedija ne pleure pas encore ses morts. Ce n’est pas d’eux qu’elle parle, mais de son aîné. Comme si elle ne réalisait pas. Elle se réfugie dans sa colère. Car très vite après le drame, des informations selon lesquelles son fils aurait fait l’objet d’un signalement par sa famille comme «radicalisé», ont circulé – et ce jusqu’en Tunisie, le pays d’origine des parents. «Ils mentent !», rétorque-t-elle, scandalisée.
journaldumusulman.fr
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France : Eclaboussé par un scandale, Bruno Le Roux démissionne du ministère de l’Intérieur.
Il n’aura pas tenu 24 heures après l’annonce d’un scandale. Le ministre de l’Intérieur a remis sa démission, mardi 21 mars, après l’ouverture d’une enquête préliminaire du parquet national financier (PNF), qui fait suite aux révélations de l’émission Quotidien sur les emplois de ses filles à l’Assemblée nationale entre 2009 et 2016. Or, ces dernières étaient âgées de 15 et 16 ans seulement lorsque leurs premiers contrats de travail auraient été signés.
L’enquête a été confiée à l’Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales. Bruno Le Roux a annoncé la nouvelle lors d’une conférence de presse à Bobigny, son fief en Seine-Saint-Denis dont il a été député de 1997 jusqu’à son entrée au gouvernement en décembre 2016.
« J’affirme mon honnêteté dans les rapports humains comme dans toutes mes actions politiques. Mais ma responsabilité est de préserver l’action gouvernementale. J’ai présenté ma démission au président de la République », s’est-il défendu.
L’Elysée a annoncé que Mathias Fekl, actuel secrétaire d’Etat chargé au Commerce, prendra la succession de Bruno Le Roux au poste de ministre de l’Intérieur chargé des Cultes pour le dernier mois du quinquennat de François Hollande.
saphirnews.com
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France : Débat pour la présidentielle : passe d’armes entre candidats sur la laïcité .
Benoît Hamon, Jean-Luc Mélenchon, Emmanuel Macron, François Fillon et Marine Le Pen. Cinq des 11 candidats à l’élection présidentielle ont participé, lundi 20 mars, au débat organisé par TF1. Parmi les thématiques passées au crible, celle sur la laïcité a créé un climat de tension sur le plateau, marqué par un clash entre Emmanuel Macron et Marine Le Pen.
Le débat s’est tendu lorsque la présidente du Front national a accusé Emmanuel Macron d’être pro-burkini. « Je n’ai pas besoin d’un ventriloque », lui a-t-il lancé, lui demandant de ne pas parler à sa place. « Ça n’a rien à voir avec la laïcité, ce n’est pas cultuel, c’est un sujet d’ordre public », a-t-il estimé, en indiquant avoir été favorable aux arrêtés anti-burkini.
Le candidat du mouvement En marche ! a accusé à son tour son interlocutrice de vouloir faire tomber les Français dans une embûche consistant à « diviser la société » en agitant à tout-va le drapeau de la laïcité, et de « faire des quatre millions de Français dont la religion est l’islam et qui ne sont, pour la très grande majorité, absolument pas dans le communautarisme (…) des ennemis de la République ».
De son côté, le candidat des Républicains, qui n’a pas attendu la première minute du débat pour évoquer la menace du « totalitarisme islamique », a préféré parler de « la montée de l’intégrisme qui menace la laïcité, le vivre ensemble et l’intégration de la religion musulmane dans la République », lançant une énième injonction aux musulmans à aider la France à lutter contre l’extrémisme.
« La laïcité n’a pas besoin qu’on en rajoute » et « ne doit pas servir de prétexte à (stigmatiser) les musulmans », a fait part Jean-Luc Mélenchon, candidat de La France insoumise, préférant ironisé sur la proposition de Marine Le Pen d’interdire les signes religieux dans l’espace public au nom supposé de la laïcité. « Vous ne pouvez pas aller jusqu’à établir une police du vêtement dans la rue. (…) Vous voulez interdire aux gens de porter les cheveux verts dans la rue ? ». Son rival socialiste Benoît Hamon a, quant à lui, rappelé que la laïcité doit demeurer une « condition du vivre ensemble ».
saphirnews.com
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France : Une mosquée des Hauts de Rouen cambriolée.
Le cambriolage s’est déroulé dimanche 19 mars entre 14h et 19h. Un ou des individus se seraient introduits dans la mosquée des Hauts de Rouen, en Seine-Maritime, en escaladant le portail, rapporte la presse locale.
Profitant du fait qu’elle n’était pas verrouillée, ils sont entrés dans le lieu de culte par la porte d’entrée. Plusieurs portes ont ensuite été forcées. Les brigands se sont notamment introduits dans le logement de l’imam et se sont emparés d’un ordinateur portable, d’un téléviseur, d’un téléphone et de plusieurs centaines d’euros en espèces.
La sûreté départemental enquête sur l’affaire qui, a priori, aurait un mobile uniquement crapuleux et non islamophobe.
saphirnews.com
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L’Arabie saoudite accrédite sa première femme guide touristique.
La richesse historique et patrimoniale de Médine, sa ville natale, n’a aucun secret pour Ayesha Khaja. En mêlant leurs pas aux siens, c’est un guide touristique affable, passionné et incollable que sont conviés à suivre les milliers de visiteurs qui convergent annuellement, tel un flot continu, vers la deuxième ville sainte de l’islam et la majesteuse Al-Masjid Al-Nabawi, la mosquée du Prophète (saws).
Nul besoin pour elle d’arborer une casquette de guide pour en avoir le talent et la légitimité. En effet, cette experte fraîchement certifiée en patrimoine islamique par le Centre de recherches et des études islamiques (ISRC) vient de graver son nom dans l’histoire de son pays, en sa qualité de première femme saoudienne habilitée à prendre en charge des groupes de touristes, dans le cadre de visites à thème qu’elle anime avec un bonheur renouvelé.
Après avoir évolué dans le domaine de l’éducation pendant 14 ans, où ses qualités de pédagogues ont fait merveille, Ayesha Khaja, titulaire d’un diplôme en langue anglaise, a choisi de s’orienter vers son secteur de prédilection et de vivre pleinement sa passion pour l’histoire du patrimoine culturel de sa ville.
Ayant travaillé d’arrache-pied pour obtenir le certificat délivré par l’ISRC, ce précieux sésame lui ouvrant les portes d’un avenir radieux en tant que guide-conférencière de la Commission saoudienne pour le tourisme et le patrimoine national (SCTH), la Médinoise se fait aujourd’hui la fervente avocate de la féminisation de cette profession auprès des autorités du royaume.
« Je demande à la commission (SCTH) de permettre à de plus en plus de femmes de devenir guides touristiques », plaide-t-elle sans relâche, comme elle l’a fait récemment dans un entretien à la Saudi Gazette. « Le nombre de touristes est en augmentation constante. Les saisons de tourisme durent désormais toute l’année, et non plus quelques semaines par an. Médine a une histoire tellement riche, c’est l’une des cités les plus visitées du royaume », a-t-elle souligné.
Avant de repartir pour de nouvelles excursions vers les Saintes mosquées et des sites d’exception, en se réjouissant à l’avance de la qualité des échanges qu’elle nouera avec les visiteurs issus des quatre coins du monde, forte de son sens inné de la communication et de sa parfaite maîtrise de la langue de Shakespeare, Ayesha Khaja a eu une dernière pensée pour ses concitoyennes désireuses de lui emboîter le pas : « Il y a un nombre croissant de femmes qui veulent être accréditées par la commission pour devenir guides touristiques. La commission serait bien inspirée de leur offrir une formation spécifique », appelle-t-elle de ses vœux.
oumma.com
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Israël, Palestine : les renoncements de François Hollande.
En 1967, après la guerre des six jours, le général de Gaulle mit brutalement fin à l’alliance stratégique franco-israélienne, un des axes majeurs de la diplomatie de la IVeRépublique. La France était le premier fournisseur d’équipements militaires d’Israël et l’avait aidé à obtenir l’arme nucléaire. Les deux pays s’étaient lancés de concert avec la Grande-Bretagne dans la catastrophique intervention de Suez de 1956. En mai 1967, avant le déclenchement de la guerre des six jours, de Gaulle déclare : « Si Israël est attaqué, nous ne le laisserons pas détruire, mais si vous attaquez, nous condamnerons votre initiative. ». Il prédisait une victoire militaire israélienne mais, du point de vue international, des « difficultés grandissantes ». Regrettant de ne pas avoir été entendu, il déclarait lors d’une conférence de presse en novembre 1967 : « Maintenant (Israël) organise sur des territoires qu’il a pris, l’occupation, qui ne peut aller sans agression, répression, expulsion et où s’y manifeste une résistance qu’à son tour, il qualifie de terroriste. »
De Gaulle avait opéré une rupture profonde de la politique française, contre l’avis de la majorité de la population française, à l’époque très pro-israélienne. Selon un sondage IFOP, réalisé les 5 et 6 juin 1967, 58% des Français éprouvaient de la sympathie pour Israël (contre 8% pour les pays arabes). Le président ne s’était bien sûr pas soucié des réactions du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF) ou d’autres associations communautaires.
En mars 1982, François Mitterrand, considéré comme l’ami d’Israël – qui avait en 1967 condamné la rupture de l’alliance franco-israélienne – déclare devant la Knesset (parlement israélien) que les Palestiniens doivent aller au bout de leur droit « ce qui peut, le moment venu, signifier un État ». Le discours est prononcé avant la guerre du Liban de l’été, qui contribuera à dégrader l’image d’Israël en France. François Mitterrand sauvera ensuite Yasser Arafat encerclé à Beyrouth en 1982, allant à l’encontre de l’opinion française et, plus encore, du Parti socialiste globalement pro-israélien. En 1988, il reçoit Yasser Arafat à Paris, visite durant laquelle ce dernier déclarera la charte de l’Organisation de libération de la Palestine (OLP) caduque. Le CRIF allait fortement protester contre la venue de celui qu’il considérait comme un terroriste, ce à quoi Mitterrand répliqua faire la politique de la France et non celle d’une communauté.
Le Premier ministre, Jacques Chirac, devant se rendre au dîner du CRIF, reçut le discours qu’entendait prononcer le président de l’organisation. Or, celui-ci contenait des passages très critiques de la diplomatie française, concernant le conflit israélo-palestinien. Jacques Chirac protesta et menaça de ne pas s’y rendre. Le président du CRIF accepta de modifier ses propos afin de les rendre moins abrasifs.
En février 2017, François Hollande, quant à lui, se rendait au dîner du CRIF – où, depuis Sarkozy, le président prononce son discours au lieu du Premier ministre[1]. Le ministre des Affaires étrangères, Jean-Marc Ayrault, n’y avait pas été invité, « puni » d’avoir organisé la conférence pour la paix au Proche-Orient à Paris, le 15 janvier 2017, sans que cela ne suscite aucun émoi, à l’Elysée comme au gouvernement.
À la lecture du discours du président français, on réalise que pour plaire à son auditoire, il reprend les arguments de ses hôtes. François Hollande s’est, en effet, félicité que la France soit le « seul pays à avoir une législation interdisant l’appel au boycott » tout en assurant « la faire appliquer ». Il assume donc qu’un mouvement de protestation non violent, issu de la société civile, soit interdit en France et nulle part ailleurs. De plus, la poursuite de la colonisation – qu’il a brièvement critiquée – ne provoque/provoquera aucune réaction française. Il a ensuite précisé que « (…) la solution ne sera jamais imposée par la communauté internationale, jamais. C’est aux Israéliens et aux Palestiniens qu’il reviendra de s’entendre sur chacune des questions du statut final et notamment sur celle de Jérusalem. » Il reprend donc mot pour mot l’argumentation israélienne et laisse le gouvernement Netanyahou décider seul, sans la moindre menace de pression extérieure, d’accepter ou non la paix. Or, au vu de la composition dudit gouvernement, comment penser qu’en promettant de s’abstenir de toute pression, il puisse avancer vers la paix ?
Dans une lettre adressée aux parlementaires qui lui demandaient de procéder à la reconnaissance de la Palestine, il renouvelle cet abandon en écrivant : « La France restera prête à prendre ses responsabilités si la voie de la négociation et l’objectif de l’État devaient être abandonnés ». Mais ils le sont depuis longtemps !
François Hollande n’a donc pas tenu sa promesse électorale de 2012 de reconnaitre l’État de Palestine. On aurait pu penser que la voie de la négociation ayant été vainement poussée à son maximum, le président français, qui ne se portait pas candidat à sa réélection, respecterait sa promesse de se (re)mettre en phase avec la politique étrangère de la Ve République et s’exprimerait, au nom de la France, en faveur du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes et du droit international.
François Hollande, non content de rompre ses engagements et ceux de la France, autrefois championne du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, défie notre intelligence.
oumma.com
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Le Maroc accueillera une «ville industrielle» chinoise.
Le Maroc a signé une convention avec le groupe chinois Haite pour l’édification d’une «ville industrielle» près de Tanger, dans le nord du pays. Elle accueillera quelque 200 entreprises chinoises et devrait créer des milliers d’emplois.
Au cours d’une cérémonie présidée par le roi du Maroc, le 20 mars au palais de Tanger, les autorités marocaines ont signé une convention avec le groupe Haite, basé à Chengdu, dans le centre de la Chine, et présenté les grandes lignes de cette future «Cité Mohammed VI Tanger Tech», selon un journaliste de l’AFP
Erigé sur 2 000 hectares et porté par la région Tanger-Tétouan-Al Hoceima, Haite et le groupe marocain BMCE Bank, ce vaste projet fait suite à un mémorandum d’entente signé en mai 2016 au cours d’une visite officielle de Mohammed VI à Pékin.
Mobilisant une enveloppe d’un milliard de dollars [930 millions d’euros], il consiste en «la construction d’un pôle économique capable de générer 100 000 emplois, dont un minimum de 90 000 emplois bénéficiera aux habitants de la région de Tanger», selon la présentation officielle.
«Les opérateurs économiques chinois sont à la recherche de plateformes compétitives. Et ils ont choisi le Maroc comme l’une de ces plateformes», s’est réjoui dans une déclaration à l’AFP le ministre de l’Industrie Moulay Hafid El Alamy. «Le premier coup de pioche sera donné durant le deuxième semestre de 2017» et l’édification de cette cité chinoise devrait durer dix ans, a-t-il ajouté.
Selon la présentation officielle, la «Cité Mohammed VI Tanger Tech» accueillera 200 entreprises chinoises des secteurs de la construction automobile, de l’industrie aéronautique ou encore du textile. «L’investissement total des entreprises dans la zone après dix ans atteindra dix milliards de dollars (9,3 milliards d’euros)», a annoncé Li Biao, président du groupe chinois, cité par l’agence de presse officielle marocaine MAP.
Le Maroc mène ces dernières années une politique d’industrialisation dynamique, notamment autour de Tanger, ville d’un million d’habitants qui abrite aujourd’hui plusieurs parcs industriels. Le secteur automobile y est particulièrement développé, notamment depuis l’implantation sur une zone franche d’une usine Renault, la plus grande d’Afrique. En septembre dernier, l’américain Boeing avait annoncé la création d’une zone industrielle spécialisée pour ses sous-traitants, dans la même région.
Porte du Maroc vers l’Europe, l’Atlantique et la Méditerranée, Tanger se veut un hub industriel depuis la création d’une zone franche et d’un port en eaux profondes.
Africa24.info
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Kim Jong-Un s’engage à réduire en “cendres” les USA avec des frappes nucléaires si Trump tire “même une seule balle” à la Corée du Nord.
Kim Jong-Un a menacé de réduire les États-Unis «en cendres» avec des armes nucléaires si les Américains tire «même une seule balle» à la Corée du Nord.
Pyongyang a déclaré qu’il utiliserait ses «fusées Hwasong invincibles incliné avec des ogives nucléaires» pour défendre son territoire alors que les tensions avec la Corée du Sud continuaient de s’aggraver.
Séoul a insisté sur le dernier test de la Corée du Nord d’un moteur de fusée , une étape dangereuse vers son objectif de développer une fusée qui pourrait frapper les États-Unis.
La déclaration, de Kim Jong-Un , a été publié plus tôt ce mois-ci avant les derniers tests.
«L’Armée populaire coréenne réduira les bases de l’agression et de la provocation en cendres avec ses fusées Hwasong invincibles dotées d’ogives nucléaires et défendra de façon fiable la sécurité du pays et le bonheur de son peuple au cas où les forces américaines et sud-coréenne tire même une seule balle sur le territoire de la RDPK.
Africa24.info
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La surdouée camerounaise Stéphanie Mbida entre à l’université aux USA à l’âge de 11 ans.
La jeune Stéphanie Mbida, actuellement âgée de 16 ans est une surdouée. Elle a été révélée aux africains il y a quelques temps à travers quelques articles parus dans la presse internationale. Stéphanie, américaine d’origine camerounaise, vit à New York avec ses parents camerounais et a à son jeune age, un parcours hors du commun. Parcours qu’elle résume elle-même ci-dessous dans une récente interview publiée dans les quotidiens camerounais:
Je viens tout juste de fêter mon seizième anniversaire. Je pourrais être qualifiée de précoce. A quatre ans, je connaissais déjà toutes les tables de multiplication et à l’âge de six ans, je lisais, résumais et interprétais les œuvres et essais philosophiques d’auteurs tels que Voltaire, Victor Hugo, Charles Dickens, ou encore Emerson. J’ai passé mon premier examen d’entrée à l’université (le Sat II Us History) à l’âge de onze ans avec un score de 780 points sur un total maximum de 800, surpassant de loin 96% de tous les candidats aux Etats-Unis qui avaient en moyenne l’âge de dix-sept ans. Présidents Bush et Clinton m’ont félicité pour cette performance. J’ai entre-temps passé deux autres examens avec des résultats comparables l’année suivante, à l’âge de douze ans. Au début de cette année, j’ai été invitée dans 5 pays différents (Etats-Unis, France, Royaume Uni, Allemagne, Irlande) par les chanceliers de 10 des universités les plus prestigieuses et sélectives du monde à aller étudier dans leur établissement, en l’occurrence l’université de Cambridge au Royaume Uni, l’université de Dublin, la Sorbonne (Paris 1er), l’université technique de Munich, la Columbia University à New York, l’université de Boston, l’université de North Carolina Chapel Hill, Georgia Tech, l’université de Wisconsin-Madison, et la Nortwestern University.
Elle a aussi correspondu avec 190 leaders des pays les plus développés, parmi lesquels 25 chefs d’état et de gouvernement à l’instar des Présidents Bill Clinton, George W. Bush et Barack Obama, du Pape Benoît XVI, de la reine d’Angleterre Elizabeth II, 16 ministres de l’éducation, 103 PDG des plus grandes compagnies du monde, et bien d’autres.
J’ai en effet correspondu avec un total de 190 des plus grands dirigeants de ce monde dans les domaines de la politique, de l’éducation et de l’industrie. En fait, j’ai échangé ma première correspondance avec un président à l’âge de huit ans. Cependant, la majorité de ces échanges de correspondances datent des années 2009 et 2010 et portent sur les observations et recommandations que j’ai faites à ces dirigeants concernant la crise économique mondiale et les catastrophes industrielles de grande envergure, telles que la marée noire de BP ou encore les rappels massifs de produits défectueux qui non seulement mettent les vies d’un grand nombre de personnes en danger et déstabilisent les entreprises qui les produisent, mais affaiblissent aussi considérablement le système financier international. Tous ces dirigeants m’ont répondu qu’ils avaient énormément apprécié mes conseils et m’ont promis qu’ils feraient de leur mieux pour les mettre en pratique.
Et ensuite:
J’ai reçu des lettres de 25 présidents, chefs d’Etat et de gouvernements tels que le Président Obama, le Pape Benoît XVI, la Reine Elizabeth II d’Angleterre, la Présidente Tarja Halonen de Finlande, les Premiers ministres d’Espagne et d’Australie, la Chancelière allemande Mme Angela Merkel, et bien d’autres. J’ai également reçu des lettres de 16 ministres de l’Education de pays comme la Suisse , les Pays-Bas, le Royaume Uni, le Danemark, Singapour, Taiwan, ou encore l’Espagne. J’ai suggéré à ces ministres de réviser le curriculum de leurs universités et de leurs établissements d’enseignement secondaires. Je leur ai également proposé des méthodes pratiques afin de réadapter ces curricula aux problèmes du vingt-et-unième siècle. De plus, 103 Présidents-Directeurs-Généraux des plus grandes entreprises mondiales et 41 chanceliers des universités les plus sélectives et prestigieuses du monde m’ont eux aussi remercié pour mes conseils.
Clinton m’a dit qu’il était très impressionné par le caractère unique de mes idées et par ma détermination d’améliorer la qualité de vie des êtres humains aux Etats-Unis et dans le reste du monde. Il m’a d’ailleurs écrit deux autres lettres après celle-là.
Meme Paul Wolfowitz, Président de la banque mondiale, n’a pas résisté à l’idée de recevoir la jeune fille dans ses bureaux de Washington DC, aux Etats Unis:
C’était une expérience chaleureuse et inoubliable, un des événements les plus marquants de ma vie. M. Wolfowitz m’a fait l’honneur inestimable de m’accorder un entretien entre deux meetings extrêmement importants, alors que je n’avais que dix ans, en signe d’appréciation pour les conseils que je lui ai donnés sur la réduction de la pauvreté de masse et ses corollaires. Je lui en serai éternellement reconnaissante.
Africa24.info
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####### Aujourd’hui en Palestine #######
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Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
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L’occupation a arrêté Omar Barghouti, l’un des fondateurs du mouvement BDS
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Pour la 3ème semaine de Mars .. 7 opérations de commando et un palestinien tué
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L’occupation arrête un jeune Palestinien à un poste de contrôle militaire
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Le parlement britannique acquitte la baronne Tonge d’antisémitisme
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Sit-in à Gaza en solidarité avec Rima Khalaf et condamnant le retrait du rapport de la CESAO
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Nombreux palestiniens arrêtés dont le député al-Tal en Cisjordanie
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Les soldats israéliens répriment les chauffeurs palestiniens à Tulkarem
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La e-campagne « Mère des Héros » débutera sur les réseaux sociaux
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Jihad islamique dément la tentative d’assassinat contre Shallah
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Centre juridique:11 députés palestiniens incarcérés dans les geôles de l’occupation
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Israël organise des festivités sacrilèges en plein lieu saint
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L’expansion illégale d’une colonie sauvage va bon train à Erka
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Une agricultrice renversée par une jeep israélienne
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Un officier palestinien meurt dans les prisons égyptiennes
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L’Egypte ouvre le passage de Rafah pour rapatrier deux corps de Palestiniens
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Le Hamas condamne la position de Washington sur la situation des droits de l’homme en Palestine
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information