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Flash info du 4 Rabi al Awwal 1439.

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Sur Ajib.fr, voici les titres.

Le droit de la femme envers son mari.
Une mère de famille pose une question au Cheikh Ferkous qui relève à la fois du domaine familial et conjugal. Elle se confie auprès du savant concernant le comportement de son mari au sein du foyer.
En effet, elle se plaint qu’il ne subvient pas assez aux besoins du quotidien, préférant aller jouer aux jeux de hasard jusqu’à tard la nuit.
Démunie, elle décide de le punir en lui refusant le lit conjugal.
Voici la conversation religieuse entre la femme et Cheikh Ferkous qui tente de lui apporter une réponse éclairée.
La question :
Mon mari n’estime pas la responsabilité de la vie conjugale. Il néglige ses enfants et manque aux dépenses ; plutôt il ne fait quasiment de dépenses. Il passe tout son temps aux cafétérias où il s’adonne aux jeux de hasard et autre jusqu’à minuit.
Il est indifférent à mon égard en tant que conjointe et mère de ses enfants. Je n’ai trouvé de moyen pour faire face à cela que de me refuser à lui ; alors, moi je dors sur le sol et lui dans le lit. Après un quart de siècle, je ne supporte plus de vivre avec lui. Prière de me donner un conseil qui remontera mon moral.
Et quelle position, selon la charia, dois-je adopter en tant que conjointe ? Et qu’Allah vous rétribue abondamment.
La réponse :
Louange à Allah, Maître des Mondes; et paix et salut sur celui qu’Allah soubhannou wa ta’ala a envoyé en miséricorde pour le monde entier, ainsi que sur sa Famille, ses Compagnons et ses Frères jusqu’au Jour de la Résurrection.
Ceci dit : Sache que la femme, face à l’époux qui ne subvient pas à ses besoins, ou néglige les dépenses qu’il est sommé d’acquitter selon le Coran, la Sounna et le consensus des savants, c’est-à-dire ne la nourrit pas, ne lui assure pas l’habitat et le traitement ou n’est pas à son service et autre – même si elle est riche – peut agir envers lui de deux manières :
Ou elle demande au juge d’imposer au mari la dépense, et le juge la lui impose dès que la validité de la revendication de la femme est confirmée.
Ou elle prend de l’argent de son mari ce avec elle subvient à ses besoins et à ceux de ses enfants à juste proportion, si elle peut les estimer, sans pour autant être abusive, et ce, même si le mari ne se rend pas compte de cela ; car elle a le droit à la dépense qui est un devoir du mari.
Donc, elle prend son droit si elle est en mesure de le faire ; la preuve établissant cela est ce que les deux imams, Al-Boukhâri et Mouslim, et d’autres ont rapporté par l’intermédiaire de Aicha (qu’Allah l’agrée) qui a dit:
« Hind a dit au Messager (sallAllahou ‘alayhi wa salam): « Ô Messager d’Allah, Abou Soufyâne est un homme avare, il nous donne pas à moi et à mes enfants ce qui nous suffit, sauf ce que je lui retire sans qu’il s’en rende compte. » Le Messager (sallAllahou ‘alayhi wa salam) répondit : « Prends ce qui te suffit et suffit tes enfants raisonnablement ».
(Rapporté par Al-Boukhâri, chapitre des « Dépenses » (hadith 5364), par Mouslim, chapitre des « Jugements » (hadith 4574), par Abou Dâwoûd, chapitre de « La rente » (hadith 3534), par An-Nassâ’i, chapitre des « Jugements » (hadith 5437), par Ibn Mâdjah, chapitre des « Commerces » (hadith 2381) et par Ahmed (hadith 248454), par l’intermédiaire de `Â’icha Qu’Allah l’agrée).
Néanmoins, il y a lieu de souligner que la femme ne méritera la dépense que si elle ne se refuse pas à son mari, le laissant ainsi se jouir d’elle. Mais, si elle s’y refuse, couche seule et s’éloigne de lui à chaque fois qu’il la demande, elle commet alors un péché. Ceci d’une part, d’autre part, elle ne méritera pas la dépense, car dans ce cas, elle s’y refuse sans raison valable.
En effet, le Messager (sallAllahou ‘alayhi wa salam) épousa Aïcha qu’Allah l’agrée deux ans avant de consommer le mariage, et n’a pas pris en charge ses dépenses qu’après la consommation du mariage.
Cependant, le mari demeure enjoint de subvenir aux dépenses des enfants.
Cela dit, il y a lieu de souligner également que ce qu’endure cette femme n’est qu’un échantillon de ce qui se passe dans cette société, où la majeure partie des hommes sont négligents vis-à-vis de leurs devoirs religieux et des tâches qui leur sont assignées.
Par ailleurs, les caractères des gens et leurs moralités diffèrent. La femme perspicace et intelligente, dans ce genre de situations, accomplit ses devoirs envers son mari et lui obéit dans le bien, tout en demandant – après avoir sollicité l’aide d’Allah – l’aide de ceux à qui son mari peut écouter, qui pourraient l’influencer parmi ses proches et les hommes de son quartier, afin de le ramener à la droite conduite et de corriger son comportement et [éventuellement] ses déviations.
Elle veille aussi à réaliser l’affection, la miséricorde et le bonheur en empruntant la voie de la victoire qui consiste en l’endurance, le pardon et la patience ; ceci est la recommandation d’Allah soubhanou wa ta’ala dans le verset suivant :
« Et celui qui endure et pardonne, cela en vérité, fait partie des bonnes dispositions et de la résolution dans les affaires. » (Coran, 42/43).

Sur Katibin.fr, rien de neuf.

Sur journaldumusulman.fr, rien de neuf.

Sur islam et info.fr, voici les titres.

Les violences inter-quartiers tuent notre communauté.
Nous partageons cette vidéo non pas en fait divers mais bien en constat d’un phénomène constant et croissant touchant les quartiers à majorité muslim ou de la dite “diversité”.
Si la violence a toujours touché ces quartiers et n’a jamais été absente du fait des inégalités, de la pauvreté, de l’exclusion systémique et de la précarité sociale; le fait est qu’aujourd’hui elle croit en flèche.
Si les difficultés sociales et l’exclusion xénophobe entretenues par le système continuent et demeurent les premier moteurs de ces incidents, d’autres phénomènes renforcent cet état de crise.
Le premier est culturo-religieux. Les familles déracinées de deuxième ou troisième génération perdent leurs valeurs et leurs principes islamiques mais n’assimilent pas ou prou le peu de valeurs “stabilisatrices” françaises bourgeoises du fait de leur acculturation et de leur mise au banc de la société.
Le deuxième est la démocratisation voulue du marché de la drogue qui inonde désormais les quartiers en touchant beaucoup plus tôt les plus jeunes. Les drogues dures plus rentables ont leur corollaire : une hyper-violence et une destruction plus profonde des jeunes touchés par ce fléau.
Le troisième est l’accentuation de la pression des services de l’état pour empêcher tout regroupement sociale ou politique muslim au nom de la lutte contre le “communautarisme” qui est en fait qu’une négation de plus du “nous”. Ainsi chaque initiative communautaire organisée de cohésion, de solidarité, d’éducation ou d’émancipation est découragée systématiquement sans aucune raison si ce n’est du fait de son origine coupable.
Cette perte de principes fondateurs et stabilisateurs entraîne un affaiblissement de l’institution famille, une anarchie organisée de la cité et une hyper-violence lucrative qui vient désormais s’imposer via la rue ou … l’école, et ce même dans les foyers anciennement préservés.
Il est important que les familles muslims conscientes ainsi que les prêcheurs et acteurs de terrain réinvestissent ce champ de ruines et fassent directement face à ce défi qui s’assimile de plus en plus au phénomène de dissolution programmée connue dans les milieux afro-américains aux USA. Sur ce sujet, le lecteur s’intéressera au phénomène Black Panthers et au plan Cointelpro.
Car cette violence combinée à une perte de sens généralisée des plus jeunes ne peuvent plus être endigués par des individus seuls atomisés, et ne le sont d’ailleurs plus par une société française qui encourage plus qu’elle ne combat ce genre de régressions dangereuses qu’elle préfère aux dits phénomène de “communautarisme” …
Une action coordonnée de réappropriation de nos principes et de nos espaces de vie est donc une nécessite vitale à prioriser absolument. Car l’absence d’actions concrètes portées par les nôtres revient à hypothéquer l’avenir de nos enfants ou le confier à nos ennemis déclarés …
L’individualisme et notre passivité sont notre mort future.
Car cet état de fait n’est ni une fatalité, ni un problème qui se réglera seul. Nous nous devons de nous réveiller et d’agir en conscience.
Pour finir nous vous proposons ici un texte de Frantz Fanon qui explique le pourquoi de cet état de violence entre-soi et illustre au combien la prise en main émancipatrice est la seule solution.
“Cette agressivité sédimentée dans ses muscles, le colonisé va la manifester d’abord contre les siens. C’est la période où les nègres se bouffent entre eux et où les policiers, les juges d’instruction ne savent plus où donner de la tête devant l’étonnante criminalité nord-africaine. Nous verrons plus loin ce qu’il faut penser de ce phénomène.
Face à l’arrangement colonial le colonisé se trouve dans un état de tension permanente. Le monde du colon est un monde hostile, qui rejette, mais dans le même temps c’est un monde qui fait envie.”
“La criminalité de l’Algérien, son impulsivité, la violence de ses meurtres ne sont donc pas la conséquence d’une organisation du système nerveux ni d’une originalité caractérielle mais le produit direct de la situation coloniale.
Que les combattants algériens aient discuté ce problème, qu’ils n’aient pas craint de remettre en cause les croyances installées en eux par le colonialisme, qu’ils aient compris que chacun était l’écran de l’autre et qu’en réalité chacun se suicidait en se jetant sur l’autre devait avoir une importance primordiale dans la conscience révolutionnaire.
Encore une fois, l’objectif du colonisé qui se bat est de provoquer la fin de la domination. Mais il doit également veiller à la liquidation de toutes les non-vérités fichées dans son corps par l’oppression.
Dans un régime colonial tel qu’il existait en Algérie, les idées professées par le colonialisme n’influençaient pas seulement la minorité européenne mais aussi l’Algérien. La libération totale est celle qui concerne tous les secteurs de la personnalité.“
Et certes rien n’a changé …
La guerre au Yémen “traîne”, avec “l’assentiment, voire la complicité des grandes puissances”.
Laurent Bonnefoy, chercheur au CNRS et spécialiste du Yémen, revient sur la situation dans le pays. Guerre civile, blocus, famine et épidémie. La population yéménite est la première victime de cette guerre qui oppose l’Iran et l’Arabie Saoudite via différents acteurs sur le terrain.
Les miliciens chiites financés par l’Iran continue de tenir une grande partie du pays malgré l’offensive saoudienne. L’action militaire lancée par Muhammad Ben Salmane , prince héritier saoudien, s’est complétement enlisée rendant la situation dans le pays encore plus compliquée.
reportage a voir sur islam et info.fr.
France : Valls en Espagne : “les musulmans” sont “un problème pour la société française”.
Bien que l’islamophobie de Valls soit de notoriété publique pour les musulmans de France beaucoup continuent à nier l’évidence. Valls lui même a osé se proclamer il y a peu “protecteur” des musulmans sur une radio française …
Mais à l’instar d’autres islamophobes comme Finkielkraut, Valls a dévoilé ses vrais convictions … à l’étranger.
Le principal artisan du franco-socialisme en France pensait sans doute les français musulmans trop bêtes pour ne pas comprendre sa langue.
Et le message est clair et sans équivoque pour Valls le problème n’est pas l’ “islamisme” ou les “islamistes” mais bien l’Islam et les musulmans.
“Tous les pays souffrent d’une crise d’identité culturelle en raison de la mondialisation, de la crise politique, des réseaux sociaux, des réfugiés ; des problèmes apparaissent, par exemple dans la société française, le problème lié à l’islam, aux musulmans”, dixit Valls le franco-socialiste lors d’un entretien donné à El Pais.
“Todos los países sufren de una crisis de identidad cultural, por la globalización, por la crisis política, las redes sociales, el problema de los refugiados; surgen problemas, por ejemplo en la sociedad francesa el problema del islam, de los musulmanes”
Il s’agit là d’un appel clair à l’islamophobie, à la haine d’une minorité en raison de ses croyances et de ses pratiques. Des propos qui tombent sous le coup de la loi et qui devraient discréditer à jamais l’ex-premier ministre dont on comprend désormais mieux la politique à notre endroit.
Observons et voyons combien d’associations antiracistes amèneront Valls devant les tribunaux comme ils l’ont fait pour d’autres.
Observons et voyons si comme pour le cas Filoche les médias, les politiques et la justice se manifestent avec ferveur pour dénoncer cette xénophobie non dissimulée.
Observons et voyons cette France des élites complices de l’islamophobie systémique nous prouver qu’il n’existe pas de deux poids deux mesure en France …

Sur saphirnews.com, voici les titres.

La Mauritanie veut systématiser la peine de mort pour blasphème.
Un projet de loi durcissant la législation en vigueur contre les auteurs d’apostasie et de blasphème a été adopté par le gouvernement mauritanien selon l’agence de presse AMI. « Chaque musulman, homme ou femme, qui se moque ou outrage Allah ou Son Messager, ses anges, ses livres ou l’un de ses Prophètes est passible de la peine de mort même en cas de repentir », a déclaré le 16 novembre le ministre de la Justice Brahim Ould Daddah.
Ce projet de loi abroge et remplace l’article 306 du Code pénal. Cette décision a été prise suite à l’affaire Mohamed Ould Cheikh M’Kheitir. Ce blogueur mauritanien a été détenu en prison pendant près de quatre ans pour un article jugé blasphématoire. Le 25 décembre 2014, la cour criminelle de Nouadhibou, dans le nord-ouest du pays, a condamné à mort le blogueur pour s’être rendu coupable d’apostasie car il avait « parlé avec légèreté » du Prophète Muhammad.
Dans son article, Mohamed Ould Mkheitir avait affirmé que certaines personnes en Mauritanie se servent de la religion pour justifier des discriminations raciales ou de caste. Il s’était appuyé sur des exemples inspirés de la vie du Prophète Muhammad pour condamner ces pratiques. Le jeune homme a ainsi dénoncé les discriminations dont sont victimes les membres de sa communauté, les Maalmines (la caste des forgerons et des artisans), tant sur le plan social que religieux.
Le 9 novembre dernier, le blogueur a finalement vu sa condamnation à mort être convertie en une peine de prison de deux ans. Il a été libéré dans la foulée. La Cour d’appel de Nouadhibou a suivi l’article 306 du Code pénal qui prévoit que, si le prévenu se repent avant la décision de justice, elle peut commuer la peine capitale en sentence de trois à vingt-quatre mois de prison. Le projet de loi est la (mauvaise) réponse de l’Etat à la libération du militant.
Selon un rapport du Département d’Etat américain, la Mauritanie n’a jamais mis à exécution une peine capitale pour apostasie depuis son accession à l’indépendance en 1960. De plus, l’Etat mauritanien a ratifié le Pacte international des Nations unies relatifs aux droits civils et politiques dont l’article 6 stipule que les pays qui n’ont pas aboli la peine de mort doivent la réserver « exclusivement aux crimes les plus graves ».
France : Accusée de « prêches radicaux », une mosquée de Sartrouville à nouveau fermée.
La mosquée du du quartier des Indes à Sartrouville (Yvelines) avait été fermée dans le cadre de l’état d’urgence puis rouverte après que celui-ci a officiellement pris fin le 1er novembre.
La préfecture des Yvelines a de nouveau décidé de fermer le lieu de culte en accusant ses responsables de diffuser des « prêches radicaux », a-t-elle annoncé lundi 20 novembre.
La mosquée, a fait l’objet d’une fermeture administrative samedi, est présenté dans l’arrêté préfectoral comme un « foyer ancien de l’islam radical » qui diffuse « des prêches radicaux, marquant leur hostilité aux principes républicains et incitant à la haine à l’encontre des autres religions ».
L’Association cultuelle des musulmans de Sartrouville est aussi accusée de donner une influence néfaste auprès de jeunes qui « se sentaient autorisés à légitimer le jihad, ainsi qu’en témoignent les nombreux tags aux alentours de la mosquée, légitimant Daesh et insultant l’Etat français ».
La préfecture justifie enfin la fermeture par des « tensions et actes violents survenus de manière récurrente » après la première fermeture, comme des « incendies de véhicules » ou « le caillassage des véhicules RATP », qui démontreraient « l’emprise » de la mosquée « sur la vie locale et la radicalisation de certains habitants du quartier ».
Les responsables de la mosquée ont formellement démenti ces accusations, indiquant avoir fait des efforts pour montrer leur bonne foi en installant deux caméras de vidéosurveillance à l’entrée et dans la salle de prière afin de pouvoir enregistrer les prêches de l’imam. L’ACMS a déposé un recours pour excès de pouvoir devant le tribunal administratif qui sera examiné ce mardi 21 novembre à Versailles.

Sur oumma.com, voici les titres.

Tunisie: une greffe de foie a été pratiquée avec succès sur un nourrisson de 18 mois.
Le mercredi 15 novembre, l’hôpital Fatouma Bourguiba à Monastir a annoncé la réussite d’une opération sans précédent en Afrique. Une greffe de foie a été pratiquée avec succès sur un nourrisson de 18 mois, à la suite d’une intervention chirurgicale de plus de 10 heures. L’opération était planifiée depuis 1 ans, et se préparait depuis plus de 3 ans. Une équipe expérimentée de 30 personnes y a participé.
reportage a voir sur oumma.com.
Finkielkraut l’affirme : #balancetonporc a été créé pour « noyer le poisson de l’islam ».
Immortel au sein des « immortels » de l’Académie française, Alain Finkielkraut est éternellement égal à lui-même, nourrissant une obsession pathologique de l’islam qui lui fait déceler derrière le hashtag #balancetonporc ce que personne n’y avait vu, même parmi les plus islamophobes des faiseurs d’opinion ou de guerre (BHL en Libye) qui forment, avec lui, un cercle de clercs peu vertueux : un subterfuge pour « noyer le poisson de l’islam ». Renversant !!
Ce philosophe, défenseur inconditionnel de la politique d’apartheid d’Israël, qui alterne les grandes envolées lyriques avec les coups de sang tonitruants, qui loue les vertus du débat d’idées aussi longtemps qu’on ne lui oppose pas la contradiction étayée, serait-il frappé d’une complotite aiguë ? Il faut le croire si l’on en juge par son analyse du phénomène de la libération de la parole des victimes d’abus sexuels qu’il a livrée dans un entretien au FigaraVox.
Alain Finkielkraut, en plus de jouer les prophètes de malheur percevant un « péril vert » partout, insinue, sans jamais prononcer le mot qui fâche “complot”, que tout ce grand déballage n’est pas dû hasard, mais poursuivrait un sombre dessein caché.
« L’un des objectifs de la campagne #balancetonporc était de noyer le poisson de l’islam: oubliée Cologne, oubliée la Chapelle Pajol… et puis patatras, les noyeurs de poisson attrapent, bien malgré eux, un très gros poisson islamiste : #Tariqramadan », a-t-il commenté.
Après avoir fait fort en matière de théorie du complot, Alain Finkielkraut, coutumier des outrances verbales, n’y est pas allé avec le dos de la cuiller envers le site Mediapart : « Mediapart n’est pas un site d’information, c’est une secte fanatique ». On aimerait bien savoir dans quelle boule de cristal le philosophe, vénéré comme un oracle du parisianisme, lit de telles énormités proches du délire et… de la diffamation.
Frédéric Haziza accusé de harcèlement sexuel, une plainte a été déposée.
Connu pour son fervent militantisme pro-israélien et son empressement malsain à museler toute critique d’Israël, en accusant d’antisémitisme ceux qui ont l’audace de fustiger la politique d’apartheid menée par le gouvernement de Netanyahou, Frédéric Haziza, le présentateur de la chaîne parlementaire LCP et de Radio J, semble s’être illustré dans un autre domaine, plus inavouable et sordide : l’agression sexuelle.
En effet, selon BuzzFeed, le virulent propagandiste qui s’est acharné longtemps contre Pascal Boniface, le courageux directeur de l’IRIS devenu sa bête noire, et sur ceux qui, comme lui, ne vont pas dans le sens du vent, est aujourd’hui accusé par plusieurs de ses collègues, actuels ou anciens, d’avoir eu des « comportements déplacés ».
Parmi eux, Astrid de Villaines vient de porter plainte contre lui pour une agression sexuelle remontant à 2014, comme le rapporte Buzzfeed. «Je précise qu’au cours des années qui ont précédé, monsieur Haziza avait des gestes ou des allusions plus ou moins déplacées, à savoir : qu’il me frôlait le haut de ma poitrine avec ses mains et qu’il me déclarait que mes hauts de vêtements m’allaient bien, tout en fixant ma poitrine», souligne-t-elle dans sa plainte. A l’époque, la direction s’est contentée de lui adresser un avertissement. Une sanction jugée trop légère par certains journalistes.
Toujours d’après les témoignages recueillis par BuzzFeed, une ancienne salariée raconte : «J’étais dans un bureau avec un autre rédacteur en chef. J’étais en jupe lorsque Haziza est rentré dans la pièce. Il s’est accroupi d’un coup et il a attrapé mes mollets avec ses mains pour les toucher. J’ai crié pour l’engueuler. L’autre personne présente a ri en lui disant légèrement qu’il ne devait pas faire ça.»
Un témoignage corroboré par le récit accablant d’une ancienne collaboratrice : «Un jour, je portais une robe assez banale alors que nous enregistrions des interviews avec plusieurs députés. Tous les députés et Frédéric Haziza étaient autour de moi pour faire des réflexions sur ma tenue. Certains la touchaient en me disant par exemple que c’était “un beau tissu”. Pour Haziza et les députés, j’étais juste un morceau de viande, jusqu’à ce qu’un autre élu intervienne pour mettre fin à cela.»
Frédéric Haziza serait-il à ce point au-dessus de tout soupçon ou intouchable que le signalement fait en décembre 2016, auprès de la chaîne LCP, par la députée Isabelle Attard qui avait été informée de son comportement pour le moins inapproprié, soit resté sans suite ?
Autre détail révélateur du deux poids deux mesures qui règne dans le landerneau politico-médiatique : François de Rugy, alors vice-président de l’Assemblée nationale, aurait alors accusé la parlementaire, cette lanceuse d’alerte dans le désert, de «relayer des rumeurs». En d’autres termes : Circulez, y’a rien à voir !!
Maroc: une bousculade lors d’une distribution de farine fait au moins 15 morts.
Une distribution humanitaire a tourné au drame dans un village au nord d’Essaouira, faisant au moins 15 morts et plusieurs blessés.

Sur Mizane.info, rien de neuf.

Sur des domes et des minarets.fr, voici les titres.

Nigéria : 50 morts dans un attentat-suicide contre une mosquée à l’heure du Fajr.
Massacre dans une mosquée à l’heure du Fajr. Au moins 50 personnes ont été tuées mardi 21 novembre dans un attentat-suicide à Mubi au nord-est du Nigeria. “Pour l’instant nous avons au moins 50 morts” et plusieurs blessés après une attaque kamikaze contre une mosquée de Mubi, a déclaré le porte-parole de la police de l’Etat d’Adamawa, Othman Abubakar. Le kamikaze “s’est mêlé aux fidèles” pour entrer dans la mosquée et “a déclenché ses explosifs” durant les prières, a-t-il précisé.
L’attentat n’a pas été revendiqué mais les autorités pointent du doigt la secte terroriste Boko Haram, qui mène régulièrement des attaques contre des villages et des attentats-suicides. A noter que les organisations des droits de l’Homme font aussi état d’atrocités dans cette région commises par l’armée Nigériane.
Puisse Allah accorder Sa miséricorde aux victimes.
Quand un blogueur juif israélien prend la pose à l’intérieur de la mosquée du prophète.
La Mecque et Médine sont deux villes saintes interdites aux non musulmans. Pourtant, un juif a pu contourner cette interdiction. Depuis quelques jours, Ben Tzion, un blogueur actif sur le site “The Times of Israel” publie des photos de lui en Arabie Saoudite, d’abord à Riyad puis à Médine et au sein même de la mosquée du prophète (Salla Allahou alayhi wa Salam).
Salahuddin al-Ayyubi, libérateur de Jérusalem.
«Pour cette guerre (le jihad), Salahuddin était supérieurement assidu et zélé… La guerre sainte et la passion qu’il y portait avaient une emprise incroyable sur son cœur et son corps; il ne parlait pas d’autre sujet, ne songeait qu’à ses préparatifs. Il ne s’occupait que de ceux qui y combattaient, n’avait de sympathie que pour ceux qui en parlaient ou exhortaient à y participer. Par amour pour le jihad sur le sentier d’Allah, il quitta sa famille et ses enfants, sa patrie, sa maison et son pays; il ne désira au monde qu’habiter à l’ombre de sa tente.» – Baha ad-din ibn Shaddad (biographe de Salahuddin).
«Après les grandes conquêtes des premiers siècles de l’islam, la civilisation musulmane est entrée dans une période de division et de décadence symbolisée par la prise d’al-Quds par les croisés en 1099. Mais comme le rappelle Allah, et il s’agit là d’une leçon pour les musulmans de notre époque, « Nous faisons succéder la nuit au jour, et le jour à la nuit… » (Qur’an, 24/4) L’aube, en l’occurence, c’est l’épopée d’une des plus légendaires figures de l’islam : Salahuddine al-Ayyoubi, archétype du « chevalier de l’islam », libérateur d’al-Quds et des terres de Palestine ! Une oeuvre qui lui prendra près de 20 ans et qui s’achèvera au mois de Ramadan de l’an 584 de l’Hégire dans les collines de Safed…
«Né dans une tribu kurde partiellement arabisée des environs de Tikrit, il entre, comme son père, au service de l’émir zengide Nur ad-Din et connaît vite une ascension politique fulgurante : nommé vizir par le calife fatimide al-Adid au Caire à 29 ans (en 1169), il défend avec succès l’Egypte des invasions franques et byzantines tout en imposant progressivement un pouvoir sans partage, dans le but, toujours sous-jacent, de la reconquête d’al-Quds à travers l’unité de la Oumma. Il fortifie et embellit le Caire, abolit le califat chiite fatimide, fait sa bay’a au calife abbasside de Bagdad, conquiert le Yémen comme base arrière, élimine les traîtres en écrasant plusieurs révoltes chiites financées par les Francs.
«Cinq ans plus tard, en 1174, le vent tourne en sa faveur : son suzerain de Mossoul, le fameux Nur ad-Din, et le roi croisé de Jérusalem Amaury 1er décèdent tour à tour, ne laissant chacun qu’un fils mineur. Le fruit est mûr pour le projet de toujours de Salahuddine : l’unification du Sham et de l’Egypte sous une même autorité et la reprise du jihad contre les Francs…
«Rapidement, les lieutenants de Nur ad-Din se déchirent : Salahuddine en profite pour prendre Damas, où il est accueilli par une foule en liesse, et imposer son protectorat sur Alep, échappant au passage à plusieurs tentatives d’assassinat de la secte ismaélienne, les fameux Assassins. Les roitelets de Syrie survivants, conscients du danger pour leurs trônes et de la popularité du nouveau champion du jihad, s’allient aux Francs pour prendre les troupes Salahuddine à revers : c’est le début d’une lutte à mort qui durera 8 ans, pour s’achever en 1183 par l’unification du Sham sous son autorité unique et même la mise de Mossoul sous protectorat.
«Simultanément à ces opérations de pacification, Salahuddine ne ménage pas ses efforts dans la lutte contre les croisés : il subit une sévère défaite en 1177 suite à un excès de confiance de ses lieutenants, prend sa revanche à Mar Ayoun en 1179 puis signe une trêve. Au printemps 1182, coup de théâtre : le seigneur brigand Renaud de Châtillon viole la trêve et capture 15.000 pèlerins en route pour le hajj, puis tente une expédition pour prendre et détruire la Mecque mais sa flotte est détruite par le frère de Salahudddine en 1183 : la haine est alors à son paroxysme entre l’émir des musulmans et le traître croisé.
«Malgré tout, le roi Baudouin de Jérusalem, un homme sage, parvient à tenir habilement Salahuddin à distance jusqu’à sa mort en 1185 : son beau-frère Guy de Lusignan, qui lui succède, est beaucoup moins prudent et laisse Renaud de Châtillon rompre à nouveau la trêve en pillant une caravane où se trouvait la soeur de Salahuddin, insultant le Prophète et faisant torturer et exécuter tous les captifs. Fou de rage à l’annonce de la nouvelle, Salahuddin fait le serment d’exécuter personnellement Renaud et de reprendre al-Quds.
«L’émir souhaite en finir : il lance un appel au jihad au printemps 1187 et regroupe une immense armée à Damas. Le 4 juillet de la même année, il anéantit l’armée croisée à la légendaire bataille de Hattin : assoiffés et totalement encerclés après une marche épuisante dans le désert, les hommes de Guy de Lusignan et de Raymond III de Tripoli, la noblesse comprise, sont presque tous tués au combat ou capturés.
«Salahuddin honore son serment en décapitant le traître Renaud de Châtillon de ses propres mains, épargnant toutefois le roi Guy, affirmant qu’il ne convient pas à un roi de tuer un autre roi. Son secrétaire particulier, Imad ad-Din, nous raconte la scène : « Salahuddine ordonna qu’ils (les Templiers, coupables de nombreux crimes à l’égard des musulmans) soient décapités, choisissant de les voir morts plutôt qu’emprisonnés. Un cortège d’érudits islamiques et de soufis et un certain nombre d’hommes dévots et ascétiques l’accompagnaient : chacun d’entre eux sollicitait d’être autorisé à participer à l’exécution, tirait son sabre et remontait ses manches. Salahuddine, le visage gai, siégeait sur son estrade; les infidèles affichaient un noir désespoir. »
«La route d’al-Quds est désormais libre : cependant, pour éviter d’être pris à revers par des renforts d’Europe, Salahuddine prend tous les ports du royaume au cours de l’été; seul Tyr lui résiste. Ses arrières assurés, il met le siège devant Jérusalem le 20 septembre 1187. Balian d’Ibelin, seul noble du royaume survivant, résiste et affirme même préférer raser la cité que la rendre. Il rend finalement les armes le 2 octobre contre l’assurance de la vie sauve pour les habitants (contre une rançon) : par ce geste, Salahuddin, qui permet aux chrétiens de quitter les villes et de regagner les terres chrétiennes sains et saufs avec une partie de leurs biens, construit sa légende de « chevalier de l’islam ». Il rend l’église du Temple à l’islam (la mosquée al-Aqsa) mais laisse le Sépulcre aux chrétiens et rend aux Juifs leurs synagogues. En Orient comme en Occident, il sera désormais connu pour sa bonté et sa miséricorde.
«Al-Quds enfin reprise après 88 ans d’occupation croisée, Salahuddine s’attaque aux derniers bastions chrétiens : il poursuit la conquête du comté de Tripoli et de la principauté d’Antioche l’année suivante. Enfin, au mois de ramadan de l’an 584 (1188), il prend la forteresse templière de Safed, aux portes des collines du Golan… La reconquête de la Palestine est achevée !
«Le seul et unique objectif de sa vie enfin atteint après près de vingt ans de lutte, Salahuddin rendra l’âme à Damas le 4 mars 1193, non sans avoir donné l’intégralité de sa fortune aux plus pauvres de ses sujets…

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####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

Mission de l’OLP: Nous gelons les rencontres avec les Américains
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L’Autorité Palestinienne a décidé de geler les rencontres avec les officiels américains après l’annonce par l’administration Trump de la fermeture à venir de la représentation palestinienne à Washington, ont indiqué mardi des responsables.
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Un rabbin sioniste appelle à achever les palestiniens blessés
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L’occupation harcèle les palestiniens dans un checkpoint de la vallée du Jourdain
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45 colons juifs profanent la sainte mosquée d’al-Aqsa
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Israël exige trois conditions pour accepter l’initiative américaine
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Des colons israéliens détruisent des pierres tombales islamiques au cimetière de Jérusalem
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Le Caire: Lancement du 2ème tour du dialogue inter-palestinien
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Jénine: Un enfant arrêté à l’intérieur d’un tribunal
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Naplouse: Affrontements près de la tombe de Youssef
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14 Palestiniens dont 4 femmes arrêtés en Cisjordanie et Jérusalem
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L’Égypte revient sur sa décision d’ouverture du passage de Rafah
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L’occupation confisque des terres à l’est de Ramallah pour les colonies
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Deux prisonniers condamnés à de lourdes peines et des amendes élevées
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Mladenov: l’accord de réconciliation n’a pas amélioré la situation humanitaire à Gaza
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Qatar: Notre soutien vise Gaza dévastée par la guerre
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Un prisonnier transféré à l’hôpital après un AVC
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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Flash info du 3 Rabi al Awwal 1439.

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Sur saphirnews.com, voici les titres.

Au Sri Lanka, de fausses rumeurs à l’origine de violences contre les musulmans.
La Birmanie n’est pas le seul pays d’Asie du sud-est où les musulmans sont victimes de violences. Au Sri Lanka, pays à majorité bouddhiste, des dizaines de maisons et de commerces appartenant à des musulmans ont été attaquées vendredi 17 novembre à Galle, poussant l’armée à imposer un couvre-feu dans cette ville située dans le sud de l’île.
Les violences islamophobes ont surgi après un accident de la route, qui a vite dégénéré entre bouddhistes et musulmans. Les assaillants ont endommagé ou détruit 62 commerces et maisons appartenant à la minorité musulmane. Au moins quatre personnes ont été blessées.
Les forces de l’ordre, qui ont imputé les violences à des « groupes extrémistes », ont arrêté 19 personnes. Un porte-parole de la police a indiqué samedi que les personnes arrêtées sont de ceux qui propagent de fausses rumeurs, dont une selon laquelle des musulmans prépareraient un projet d’attentat contre un temple bouddhiste. De fausses rumeurs qui ont donc conduit à une nouvelle éruption de violences islamophobes.
« Je suis conscient que certains groupes politiques sont dans une mission désespérée pour transformer une dispute mineure en un affrontement intercommunautaire », a déploré le ministre chargé de la sécurité et de la justice Sagala Ratnayaka, exhortant l’opinion publique « à ne pas être induite en erreur par la fausse propagande ».
Les bouddhistes forment 71 % de la population sri-lankaise, contre 12 % d’hindous, 9 % de musulmans et 8 % de chrétiens. Le Sri Lanka, qui compte 21 millions d’habitants, est en proie ces dernières années à une montée des violences intercommunautaires qui sont souvent le fait de groupes ultra-nationalistes bouddhistes.
La France accueille les premiers réfugiés évacués de Libye .
La France s’apprête à accueillir les premiers réfugiés évacués de Libye par le Haut Commissariat aux réfugiés (HCR) au Niger, annoncé lundi 20 novembre Pascal Brice, directeur général de l’Office français de protection de réfugiés et apatrides (Ofpra). Selon le ministère de l’intérieur, ces réfugiés devraient arriver en France « au plus tard en janvier ».
Le HCR avait présenté à l’Ofpra une liste de personnes qui nécessitait un besoin de protection. Parmi elles, 25 personnes d’origine érythréenne, éthiopienne et soudanaise, dont «15 femmes et quatre enfants », ont été retenues après une évaluation sécuritaire. Elles obtiendront le statut de réfugié « très rapidement » après leur arrivée en France, a affirmé Pascal Brice, estimant que c’est « une manière de sauver des personnes qui sortaient d’un véritable enfer, avec des tortures, des viols, des enlèvements d’enfants ».
A leur arrivée en France, ces refugiés seront hébergés dans un premier temps dans une structure collective « le temps de leur donner un certain nombre de clés sur la vie en France », précise la Direction générale des étrangers en France (DGEF), qui coordonne l’opération de réinstallation.
Cette annonce est faite alors que la diffusion récente d’un documentaire sur CNN montrant la vente de migrants noirs aux enchères a provoqué un tollé international. Un rassemblement contre l’esclavage en Libye a eu lieu samedi 18 novembre à Paris.

Sur oumma.com, voici les titres.

Les hindouistes sortent de leurs guides touristiques le Taj Mahal, édifié par un musulman.
Alors que cet immense mausolée de marbre blanc, érigé entre 1631 et 1653, est le monument le plus fréquenté en Inde, accueillant sept millions de visiteurs par an, le parti nationaliste hindou tente de le marginaliser. Les raisons ? Il a été construit par un empereur moghol musulman.
Traditionnellement, les chefs d’Etat étrangers, en visite officielle en Inde, se faisaient photographier devant le Taj Mahal. Ce joyau de l’architecture moghole est l’un des chefs-d’œuvre universellement admirés du patrimoine de l’humanité. Il est tout naturellement inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO. Mais depuis l’arrivée de Narendra Modi, au poste de Premier ministre en mai 2014, il leur est conseillé de ne plus le visiter. Narendra Modi est l’un des dirigeants du Bharatiya Janata Party (BJP), un parti nationaliste hindou, ouvertement anti musulman.
Le BJP a franchi une étape supplémentaire. Le Taj Mahal est dorénavant banni des guides touristiques indiens, sous prétexte que les monuments construits par les musulmans ne feraient pas partie du patrimoine national. Imaginez que la France efface de ses guides touristiques la tour Eiffel ou le Mont-Saint-Michel !
L’Inde, le pays le plus peuplé du monde (1,3 milliard d’habitants) après la Chine, compte pourtant 178 millions de musulmans.
Peu importe que le Taj Mahal, en accueillant des millions de visiteurs dans la ville d’Agra, fasse travailler des milliers d’Indiens. L’immense majorité des touristes ne sont pas des étrangers, mais des autochtones, qui fréquentent les hôtels, les restaurants, les boutiques. Et visitent d’autres monuments, comme le fort d’Agra ou l’Amar Singh Gate. Ancienne capitale, qui a connu son apogée au XVIe et XVIIe siècle, Agra est une agglomération de 1,5 million d’habitants. M Le magazine du Monde raconte que le gouvernement de l’Etat de l’Uttar Pradesh (tenu par les extrémistes hindous) débloque à présent des fonds pour promouvoir d’autres sites à la place du Taj Mahal.
Notamment le village natal de Deendayal Upadhyay, « idéologue des extrémistes hindous, grand défenseur du système des castes et ennemi du sécularisme ». Le magazine ajoute : « Pas sûr que le personnage, et encore moins la maison où il est né, n’attirent les foules du monde entier ». En clair, il s’agit d’organiser des circuits touristiques qui n’auraient pas de liens avec l’islam…
Le poète Rabindranath Tagore assure que le Taj Mahal est « une larme sur le visage de l’éternité ». Cette merveille architecturale se dresse sur les berges de la Yamuna, le second fleuve sacré de l’hindouisme après le Gange. Depuis New-Dehli, il faut compter trois bonnes heures pour y accéder, si la circulation n’est pas trop intense. Ce mausolée a été construit par l’empereur moghol musulman Shâh Jahân en mémoire de son épouse Arjumand Bânu Begam. Elle était connue sous le nom de Mumtaz Mahal, qui signifie en persan « la lumière du palais ». Elle meurt en 1631 en donnant naissance à leur quatorzième enfant.
La construction du Taj Mahal, entrepris dès l’année suivante de sa disparition, ne s’est achevée qu’en 1653. Près de 20 000 ouvriers auraient participé aux travaux, tandis qu’un millier d’éléphants transporteront les matériaux de construction. Les guides touristiques racontent que le marbre blanc est extrait du Rajasthan, la turquoise du Tibet, le lapis-lazuli du Sri Lanka, le corail de la mer Rouge, l’onyx de Perse, les grenats du Gange, l’agate du Yémen.
Malheureusement, il ne faut guère s’attendre à une évolution positive de la part du gouvernement indien dans un avenir proche. L’actuel Premier ministre, Narendra Modi, 67 ans, n’a jamais caché sa proximité avec le groupe paramilitaire Rashtriya Swayamsevak Sangh. Quand il était ministre en chef de l’Etat du Gujarat, son administration n’a rien fait en 2002 pour freiner la vague de violence anti musulmans qui a entraîné la mort d’un millier à 2 000 personnes. Des organisations de défense des droits de l’homme, des membres de l’opposition et certains médias avaient alors ouvertement accusé Narendra Modi d’avoir approuvé ces violences.
Pour évoquer le Taj Mahal, de pauvres mots ne restituent guère ce que l’écrivain britannique Rudyard Kipling présentait comme « l’incarnation de la pureté ». Mieux vaut admirer les photos de ce joyau.
L’américano-palestinienne Linda Sarsour élue “femme de l’année” par le magazine Glamour.
De bête noire de l’ère Trump, où le racisme d’Etat plein de morgue le dispute à la bêtise humaine abyssale, à « femme de l’année » mise à l’honneur par le magazine Glamour, il n’y avait qu’un pas que l’Américano-palestinienne, Linda Sarsour, a franchi en beauté.
Sous son voile frémissant de convictions, cette activiste musulmane très connue à Brooklyn, devenue le visage de la contestation contre l’accession au pouvoir du magnat new-yorkais de l’immobilier, notamment lors de la Marche des Femmes à Washington, le 21 janvier 2017, est l’incarnation de la femme d’exception aux yeux du célèbre magazine américain, aux plus de 2 millions d’exemplaires vendus par mois.
Lauréate d’un prix automnal prestigieux, récompensant non pas le « glamour » mais la fibre militante, l’âme de pionnière, la volonté de changer les regards et le cours des choses qui caractérisent des personnalités triées sur le volet, Linda Sarsour se retrouve propulsée en couverture de Glamour, aux côtés de trois autres heureuses candidates.
Plus habituée à monter à la tribune pour prononcer de vibrants plaidoyers en faveur des droits des femmes musulmanes et de couleur, ou à s’illustrer à New York au cours d’une opération « coup de poing », en formant une grande chaîne humaine au pied de la vertigineuse et très bling-bling “Trump Tower” afin de dénoncer un mandat de sinistre augure, la combative Linda Sarsour est moins rompue à poser devant l’objectif pour la gloire…
Celle qui fut la révélation de l’impressionnante Marche des Femmes à Washington, s’imposant comme un tribun hors pair devant près de 500 000 personnes galvanisées par son discours exhortant au vivre-ensemble, au cœur d’une Amérique intrinsèquement plurielle, a ainsi rejoint le club fermé des femmes américaines voilées mises en pleine lumière sur papier glacé.
« Beaucoup de nos communautés, dont la communauté musulmane, ont souffert en silence au cours de ces 15 dernières années sous l’administration Bush et l’administration Obama. Vous êtes la conscience des Etats-Unis. Nous sommes la boussole morale de cette nation », a-t-elle martelé devant un public captivé et sous le regard admiratif de ses enfants, avant de lancer un vibrant appel à l’unité entre les minorités marginalisées, stigmatisées et discriminées au pays de l’oncle Sam.
Manifestation sur les Champs-Élysées contre l’esclavage en Libye.
Des slogans criés par des manifestants, tous noirs de peau, alors que la nuit vient de tomber en ce samedi 18 novembre après-midi sur les Champs-Élysées : « On en a marre ! », « Libérez l’Afrique, libérez-nous, on est des humains pareils que vous ! », « On veut vivre tranquilles. » Des CRS casqués rabattent violemment les manifestants sur le trottoir en les menaçant de coups de matraque. « Assassins », « Noir et fier de l’être », « En Libye, ils vendent des Noirs, il y a encore de l’esclavagisme en Libye », « Ils vendent des Noirs aux enchères ! » Puis le ton monte : « Vous êtes des diables, c’est vous l’enfer, vos parents, vos arrières grands-parents… » « Toute l’Afrique de l’Ouest, il faut qu’ils nous libèrent du franc CFA ! » Une seule voix s’élève pour dénoncer le reportage de CNN sur les esclaves africains vendus en Libye.
Nous sommes là par hasard, pour une petite balade entre deux séances de Kino Polska, le festival de film polonais qui se déroule au Balzac. Les fortes odeurs de gaz lacrymogènes nous attirent. Nous n’avons que nos iPhone et tentons de recueillir des témoignages. Les slogans fusent dans une ambiance électrique, alors que les commerces préparent déjà Noël.
Cette manifestation spontanée a commencé un peu plus tôt devant l’ambassade de Libye dans le 15e, avant de finir sur les Champs-Élysées. « Nous avons été gazés par les CRS plusieurs fois au prétexte que la manifestation n’était pas autorisée, nous avons juste répondu à un appel lancé sur les réseaux sociaux. » On trouve effectivement un appel à manifester du Collectif contre l’esclavage et les camps de concentration en Libye (CECCL) émanant du journaliste et présentateur Claudy Siar qui l’a diffusée sur Facebook le matin même. Les manifestants se défendent de toute action préméditée : « On est venus demander nos droits ici. On a vu sur Youtube, sur Facebook, tout le monde s’est donné l’information, mais on ne se connaît pas. »
Certains tentent de rallier les CRS à leur cause en les interpellant : « On est du bétail, vous vous rendez-compte ? » « C’est peut-être trop complexe pour vous », dit un homme en montrant le reportage de CNN sur son smartphone. Un CRS à lunettes semble montrer une certaine empathie. Il est questionné par un homme plus grand que lui : « Il y a de l’esclavage aujourd’hui dans le monde et vous ne seriez pas au courant ? » Une jeune fille enchaîne : « Vous venez mais vous ne savez pas pourquoi ! » Un autre surenchérit : « C’est une question d’humanité, ce n’est pas normal. Ce qui m’énerve encore plus, c’est que certains d’entre vous sont de notre côté mais ils sont obligés de faire leur travail. » Mais la plupart des CRS font les gros bras pour empêcher les manifestants de gagner la chaussée et paralyser la circulation.
Certains sont nés là-bas, d’autres en France. Quand on parle d’origine, certains ripostent : « Nous refusons de nous définir par un pays, nous sommes tous kemet. Kemet est la grande nation noire, au-delà des nations. Nous appartenons au même peuple qu’on soit originaire d’Afrique ou des Antilles. Seule compte la couleur de la peau. »
Je tente alors de trouver des références communes : Malcolm X ? Oui, à l’unanimité. Franz Fanon, Marcus Garvey ? Personne ne connaît. François-Xavier Vershave et l’association Survie, non plus. « Il est impossible qu’un Blanc nous comprenne. » Tribu K et Kemi Seba ? Oui. Mais à l’évocation de ce dernier nom, l’un des manifestants s’interpose : « Attention, il ne faut pas répondre, c’est un piège. Elle essaye de nous piéger avec ses questions pour connaître nos liens. Ce sera repris contre nous. »
Ils me considèrent comme une privilégiée qui ne peut comprendre ce qu’ils endurent. Certains ont vraiment la haine et me le disent en face : « Vous représentez le pouvoir blanc, celui qui nous a mis en esclavage ! » Ils m’interpellent comme si j’avais une quelconque responsabilité dans cette affaire. Je tente de me défendre en évoquant d’autres discriminations : de la misogynie à l’islamophobie, tous répondent : « Tout ça n’est rien comparé à ce qui se passe en Libye : des Noirs sont vendus, à cause de la couleur de leur peau ! » et de retrousser leur manche pour montrer la couleur de leurs avant-bras. « C’est parce qu’on est noirs qu’on nous traite comme ça ! » Ils et elles (les femmes sont nombreuses) se présentent comme des laissés-pour-compte, toujours en butte au racisme. « On veut tous se fédérer, nous les Noirs devons être ensemble pour être respectés. On est solidaires de ceux qui tentent de venir en Europe et sont réduits en esclavage en Libye alors qu’ils ne font que traverser ce pays. »
Je leur propose alors de témoigner à froid devant une caméra, de les rencontrer dans un autre contexte. « Non ! On n’a confiance en personne, nous ne voulons ni être filmés ni enregistrés car chacune de nos paroles sera retournée contre nous, utilisée pour nous desservir, alors que nous ne faisons que manifester notre outrage sur le sort réservé aux Noirs. » Un homme prend la parole et se veut plus didactique : « On est obligés d’agir de manière spontanée comme ça, on ne peut pas se fédérer, s’organiser en un groupe. Si on s’organise en parti, on va nous accuser d’être des terroristes, des antisémites. C’est toujours pareil : on n’a pas le droit de se rassembler, de créer un mouvement politique. Les Noirs n’ont aucune légitimité en France. » Une femme ajoute : « Au moins, aujourd’hui, nous bloquons les Champs-Élysées, nous foutons le bordel devant les touristes pour que le gouvernement ait honte de ce qu’il fait aux Noirs. Mais sans rien casser, sans faire de mal, alors que les CRS nous ont plusieurs fois chargés avec des bombes lacrymo. »

Sur Mizane.info, voici les titres.

De quoi le réformisme musulman est-il le nom ?
Au coeur de nombreux débats, souvent polémiques, la tendance du réformisme musulman tente d’émerger progressivement en France. Quelles sont les thèses poursuivies par ses promoteurs ? Quelles sont les spécificités du réformisme musulman en contexte francophone ? Les 29 et 30 septembre 2017, quelques-uns de ses initiateurs ont organisé un colloque à l’EHESS intitulé « Le réformisme musulman et son rayonnement francophone » pour tenter de répondre à ces interrogations et y présenter, à titre de vitrine,, quelques-uns des thèmes clés, des acteurs et des problématiques du réformisme musulman en France. Un colloque auquel a assisté la rédaction de Mizane Info. Dans un dossier exclusif proposé en deux parties, Mizane Info vous présente un compte-rendu détaillé du colloque. Une analyse critique de ces thèses sera publiée dans un second temps.
Compte-rendu détaillé et non exhaustif du colloque sur « le réformisme musulman et son rayonnement francophone / débat acteurs-observateurs » qui s’est déroulé les 29 et 30 septembre 2017 à l’Ecole des hautes études en sciences sociales. Les interventions de Asma Lamrabet (« La question des femmes en islam : penser le réformisme au sein de l’orthodoxie officielle ») de Hmida Ennaifer (« Le réformisme musulman au Maghreb : thèmes, personnages et approches »), de Ousma Timera (« Aborder la cohérence du Texte coranique en contextes multiples ») le 29 septembre et l’introduction liminaire de Tareq Oubrou le 30 septembre, n’y figurent pas pour cause de non présence du rapporteur (Fouad Bahri). Des vidéos de ces interventions, annoncées par les organisateurs, combleront ultérieurement ce manque. Ce colloque a été préparé et réalisé à l’initiative de l’Institut d’études de l’Islam et des sociétés du monde musulman (IISM) et du Laboratoire Pléiade de l’université Paris XIII. Il a été financé par le bureau des cultes sous la houlette du ministère de l’Intérieur et en partenariat avec le ministère de la Recherche et de l’Enseignement. Steven Duarte (voir statut défini ci-dessous) a été le responsable scientifique du projet, et président de séance. Omero Marongiu (Chercheur associé à l’Institut pour le pluralisme religieux et l’athéisme à l’université de Nantes, directeur pédagogique de l’ECLEE France) et Djuhra Benchir (aumônier militaire du culte musulman – ministère des Armées Paris Ecole militaire) sont les membres du comité organisateur et ont été présidents de séance, pour la journée du 29 septembre. Michaël Privot (Islamologue, docteur en langues et lettres, collaborateur scientifique à l’université de Liège) et Ousmane Timera (Diplômé de Sciences Po Paris, chef de projet et conférencier), ont été les présidents de séance de la journée du 30 septembre.
L’IISM a été fondée en 1999 sur une initiative ministérielle avec pour mission principale l’articulation entre le monde de la recherche sur l’islam et les sociétés du monde musulman, et le grand public. L’idée était de favoriser et diffuser les résultats de cette recherche pour toucher le plus grand nombre. L’IISM faisait appel au sein de l’EHESS à des chercheurs pour organiser des séminaires, des colloques et des formations doctorales. Depuis septembre 2016, le CNRS a trouvé cette expérience très intéressante et a décidé de s’associer avec l’EHESS ce qui a conduit à une augmentation du budget, du personnel ce qui nous permet de développer nos actions et nos missions. Son objet d’étude est l’islam en tant que fait religieux et l’Islam en tant que fait culturel et social dans lequel des non musulmans peuvent être intégrés (musulmans et non musulmans dans des pays non musulmans, juifs et chrétiens en terres d’islam, etc). Ce colloque s’est fait en lien avec le bureau central des cultes. L’IISM travaille de manière non organique mais régulière avec ce bureau via les appels à projets dans la recherche sur l’islam qu’il finance. « Vulgariser sans trahir », devise de Steven Duarte. Le but de ce colloque est de faire dialoguer observateurs et acteurs.
Retrouvez l’intégralité de l’article sur Mizane.info.

Sur des domes et des minarets.fr, voici les titres.

VIDÉO. “L’Islam tue le racisme”.
Aucune place pour le racisme en Islam. Dans un hadith rapporté par l’imam Ahmad (ra), le prophète (sws) dit : «Ô gens ! Sachez que votre Seigneur est Unique et que votre père est unique.
Sachez qu’il n’y a aucune différence entre un arabe et un non arabe. Il n’y a pas de différence non plus entre un blanc et un noir, si ce n’est par la piété. Ai-je bien transmis le message?»
Citons l’exemple suivant. Malcolm X, ou al-Hajj Malik El-Shabazz, est un musulman qui a découvert le véritable Islam lorsqu’il a accompli le pèlerinage au mois d’avril 1964. En tant qu’ex-membre et conférencier de la “Nation de l’Islam”, un mouvement nationaliste et spirituel réservé aux personnes de race noire, il croyait que l’homme blanc était le diable et que l’homme noir lui était supérieur.
Après avoir quitté ce mouvement en mars 1964, il se rend au pèlerinage, ce qui lui a permis de modifier de façon radicale sa vision des Blancs et du racisme.
Voici un extrait de la lettre que al-Hajj Malik El-Shabazz a écrite à ses anciens confrères de Harlem, une lettre écrite du fond du cœur, qui raconte son expérience en détail.
vidéo a voir sur des domes et des minarets.fr.

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####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

Le président palestinien accueilli par le roi d’Espagne à Madrid
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Le président palestinien, Mahmoud Abbas a été reçu par le roi d’Espagne, Felipe VI au palais royal de Zarzuela, lundi, à Madrid, selon l’agence de presse officielle palestinienne « Wafa ».
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Néguev : Des maisons et une mosquée menacées de démolition
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L’occupation arrête deux enfants de Shufat
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Des bâtiments palestiniens menacés de démolition à Jérusalem
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Les factions palestiniennes en route vers le Caire pour reprendre les négociations de réconciliation
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La sécurité de l’Autorité Palestinienne en Cisjordanie arrête un jeune homme et convoque un autre
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Hamas: les USA font pression sur l’OLP pour protéger les criminels de guerre israéliens
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Les colons juifs et les forces de police envahissent la mosquée al-Aqsa
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Le gouvernement d’al-Hamdallah entraverait-il les discussions du Caire ?
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Les députés jordaniens accusent l’UNRWA de retirer les cartes de la Palestine des écoles
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Raids et arrestations en Cisjordanie et affrontements avec des citoyens
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L’occupation empêche des photojournalistes de travailler à Bab al-Amoud
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Le procureur général palestinien arrive à Gaza
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L’occupation émet des notifications de démolition et pénètre dans un hôpital à Hébron
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Les colons envahissent une mosquée en Cisjordanie
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Un tribunal israélien oblige l’Autorité Palestinienne à payer 18 millions de dollars aux colons
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