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Flash info du 12 Joumada Al Awwal 1438.

Flash info du 12 Joumada Al Awwal 1438.
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Palestine : Abu Saqr, un Palestinien qui se moque de l’armée Israélienne!.
Abu Saqr vit comme un bédouin avec sa famille dans le désert Palestinien. Son campement a été entièrement détruit en octobre dernier pour la 7éme fois par l’armée Israélienne.
Abu Saqr raconte:
« D’abord ils arrivent et détruisent la route pour que vous ne puissiez pas partir. Ensuite ils détruisent les abris pour animaux, les tentes pour la famille et confisquent les tracteurs ou voitures. Pour les récupérer il faut payer une taxe. »
Une formidable leçon de vie d’Abu Saqr.
Abu Saqr est un personnage extraordinaire. Quand on lui demande comment il a vécu ça , il nous dit:
« Je suis resté les regarder en souriant et c’était pire que si j’avais une mitraillette. J’ai dit à l’officier; pourquoi vous vous fatiguez, dès demain je vais reconstruire. »
Un bédouin qui n’a jamais été à l’école mais qui nous apprend beaucoup Mash’Allah!
Quand on lui parle des accords d’Oslo, il dit:
« Moi j’ai mon diplôme de gardiens de moutons, ceux qui ont signé on fait de grandes études! »
À méditer!
Qu’Allah protège Abu Saqr et sa famille ainsi que tout nos frères et sœurs dans la difficulté!
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Non, le prophète (sallAllahou ‘alayhi wa salam) ne s’appelait pas « Mahomet ».
Le musulman a le devoir de prononcer chaque mot avec une délicatesse et une précision donné à un être doué de langage.
En effet, certaines fautes de langue peuvent se transformer en insultes inacceptables. Le prénom de Notre Messager d’Allah (sallAllahou ‘alayhi wa salam) n’est pas épargné par ce jeu de déformations linguistiques.
Son magnifique prénom Muhammad qui signifie en arabe «Béni» est souvent modifié dans des textes occidentaux ou des livres scolaires pour prendre la forme de «Mahomet» qui provient de l’expression « Ma houmid » traduit par la négation «le non-Béni».
Cette altération du nom de notre Prophète (sallAllahou ‘alayhi wa salam) a débuté il y a plusieurs siècles où certains mécréants se plaisaient à remplacer son nom par de détestables sobriquets.
Au XIIIe Siècle, Alexandre du Pont écrit : «Mahumet» mais aussi «Mahumette» et Salman Rushdie (Qu’Allâh le guide), auteur des versets sataniques, utilisa le nom «Mahoond», qui dans l’édition française nous donne «Mahound», alors que cette appellation signifie «le prince des ténèbres», autre nom du Diable. Oum Djamîl, qui n’est autre qu’Oum Qabîha la femme d’Aboû Lahab (qui sont tous deux destinés en Enfer) disait «Moudhammam» (celui qui mérite d’être blamé), fait rapporté par Al-Hâfidh Aboû Ya’la [1/53, voir Tafsîr Ibnou Kathîr de la Sourate 17 Verset 45] d’après Asma Bint Abî Bakr.
Oum Djamîl disait: «Moudhammam nous a rejeté. Et sa Religion nous a fait frire. Et son affaire (ou sa Mission) nous a défié». Notre messager de son nom complet Abū al-Qāsim Muḥammad ibn ʿAbd Allāh ibn ʿAbd al-Muṭṭalib ibn Hāshim, a subi les railleries des juifs qui avaient fortement développé l’appellation « mahomet » en hébreu.
Ainsi la Umma doit s’évertuer à rectifier le nom de Notre Prophète (sallAllahou ‘alayhi wa salam), puisque Muhammad est un terme universel qui ne nécessite aucune traduction dans d’autres langues. En 2014, le journal Le Monde publie un article sur les prénoms les plus populaires.
Il faisait appel à des sociologues, des historiens, et même à un professeur d’économie, Thierry Mayer, qui a étudié la diffusion des prénoms, pour connaître les modes, les tendances, et les raisons qui poussent les parents à choisir tel prénom plutôt qu’un autre.
Au terme de cette étude il apparaissait que le nom le plus donné aux nouveaux-nés dans le monde était « Muhammad ». On peut suivre cette belle progression faisant honneur à Notre messager (sallAllahou ‘alayhi wa salam), tout en s’évertuant à orthographier ce prénom de manière exacte et vertueuse: «MUHAMMAD».
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La Mecque : L’histoire extraordinaire de la ville sainte !
Aujourd’hui, nous vous proposons de faire un bref tour d’horizon sur l’histoire d’Al Haram, la Grande Mosquée de la Mecque, à travers les siècles. Une histoire riche de nombreuses phases successives de travaux de construction ou d’agrandissement, parfois dans l’opulence, parfois dans douleur ou dans le conflit, qui ont fait du Haram ce grand ensemble que nous connaissons aujourd’hui qui accueille le plus grand rassemblement religieux au monde. L’occasion aussi de faire le point sur les travaux en cours ou à venir qui vont continuer de changer le visage de ce magnifique ensemble sacré pour accueillir à terme inchaAllah en 2020 près de 20 millions de pèlerins par an.
Les débuts : du Prophète Ibrahim aux Ommeyades.
La Mosquée Sacrée de la Mecque est le premier lieu de prière des musulmans sur Terre.
comme rappelé dans le Coran (Sourate 3, Verset 96) et dans les hadiths. Ainsi il a été rapporté dans le Sahih Muslim qu’Abu Dharr dit: «J’ai interrogé le Messager d’Allah (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) à propos de la première mosquée à être construite pour les gens de la terre. Il a dit, ‘Al-Masjid al-Haram. ». Puis je lui ai demandé,« Quelle autre par la suite? »Il dit:« Al-Masjid al-Aqsa [à Al Qouds]. Puis j’ai demandé :« Combien de temps s’est écoulé entre les deux constructions? et il m’informa: «Quarante ans. ‘ »
Nous avons dans le Coran des détails sur la construction par Ibrahim et Ismaïl ‘alaihim assalaam des murs et fondations de la Mosquée sur ordre de leur Seigneur (Sourate 2, versets 121 à 127) mais nous n’avons aucune indication précise de l’année à laquelle elle fut érigée. Dans l’histoire plus récente de notre Prophète bien aimé Mohammed ‘alaihi assalaat wassalaam, nous avons plus de détails sur les différents épisodes précédents la Révélation et en particulier l’épisode de la bataille de l’Éléphant ou encore l’épisode de l’inondation qui a endommagé la mosquée et qui a conduit les arabes de Qouraych à demander à notre Prophète, ‘alaihi assalaat wassalaam, reconnu pour son intégrité et sa justice dès son plus jeune âge, d’arbitrer le différend entre les tribus de Qouraych pour remettre la pierre noire dans son emplacement après la reconstruction de l’édifice. Les ascendants du Prophète salla Allah ‘alaihi wassalaam parmi les Banu Hashim et les tribus frères ont donné les premiers la forme quadrangulaire au sanctuaire avec son toit à près de 20 mètres de haut, et ses larges murs avec plusieurs portes pour accueillir les pèlerins. Cette construction différait en plusieurs points de la mosquée originale construire par Ibrahim et Ismaïl ‘alaihim assalaam. Après l’islamisation de la Mecque, le Prophète a choisi toutefois de ne pas détruire la Kaaba et la reconstruire selon sa conception originale, et indiqua dans le hadith de Aïcha les raisons de cette décision.
Mouslim a rapporté d’après Aïcha (Allah soit satisfait d’elle) qu’elle a dit :
« J’ai interrogé le Messager d’Allah (Sala Allah ‘alih wa salam) pour savoir si le mur situé derrière la Maison Sacrée en faisait partie et il m’a dit : oui. Et je lui ai dit : pourquoi n’est-il pas intégré dans la Maison ? – Il a dit : ton peuple se retrouva à court de moyens- Je lui ai dit: Et pourquoi ont-ils surélevé la porte ? – Il dit : c’était pour pouvoir laisser entrer celui qui leur plaisait et en interdire l’accès à celui qui leur déplaisait. N’eût-été la récente conversion de ton peuple qui leur inspirerait la réprobation (de toute modification de l’édifice), j’envisagerais l’intégration du mur (al-Huttaym) dans la Maison et ramènerait sa porte au ras du sol.
Suite au décès du Prophète ‘alaihi assalaat wassalaam, le Haram fut progressivement étendu par les califes au pouvoir tout en restant fidèle à cette précaution du Prophète de ne pas détruire puis reconstruire. L’extension par le Calife Omar, qu’Allah soit satisfait de lui, est citée comme la première sous l’ère islamique.
AbdAllah ibn Zoubayr, le fils de Zoubayr bin al Awwam et Asma bint Abu Bakr, pris l’initiative, en 65, année hégirienne, de reconstruire et étendre le Haram après le siège qu’il subit par le clan de Yasid auquel il refusa de faire allégeance. L’incendie et les dommages dus aux bombardements furent la cause du projet d’extension. Sous la dynastie des Oumeyyades, plusieurs califes entreprirent des travaux dans la Mosquée Sacrée, parfois par nécessité et parfois en signe d’opposition politique et pour asseoir leur autorité. Nous ne retracerons pas cette histoire ici que les arabophones pourront découvrir par exemple dans le livre l’Histoire de la Mecque d’Al-Azraqui. Les arceaux décorés de mosaïque et les colonnes de marbre venus de Syrie et d’Égypte commencèrent au fil des temps à décorer la Mosquée, malgré la mise en garde du Prophète à ce sujet…
Les vastes chantiers des Ottomans et Mamelouks.
Si les premières reconstructions et extensions eurent lieu après des dévastations des guerres, celles des périodes Ottomane, Turque, et Mamelouke, survinrent pour des raisons d’appartenance à un Minhaj – école juridique – plutôt qu’une autre. Ainsi la Mosquée connut plusieurs investissements dans la création d’écoles coraniques, madrassats, et dans des éléments architecturaux venus décorer la Mosquée Sacrée.
Les travaux venaient en particulier distinguer les maqamat, emplacements pour la prière, de l’école juridique ayant le plus de disciples à la Mecque, comme ce fut le cas du maqam Hanafi.
Servir le Haram était aussi une marque de distinction des Califes successifs, qui prirent ainsi depuis Salaheddin al Ayyoubi le titre honorifique de Serviteur des Deux Mosquées Saintes.
Cette histoire reste chère aux descendants de ces peuples, par exemple la Turquie, qui insiste auprès des autorités saoudiennes aujourd’hui pour que les dômes de l’époque ottomane par exemple autour du Mataf (lieu du Tawaf) soit restaurés à chaque extension (travaux en cours actuellement).
Dès la prise de pouvoir de la dynastie des Saud en Arabie, l’extension du Haram devint une priorité pour tous les rois successifs du Royaume. En 1925, puis en 1941 suite à une inondation, le roi AbdelAziz programma des travaux de reconstruction et d’extension de la Mosquée Sacrée. Ses fils, successifs suivirent le pas, jusque reprendre à partir du roi Faysal le titre Ottoman de Serviteur des deux mosquées. La capacités d’accueil dans les années 60 atteignit les 400 000 fidèles.
Le roi Fahd continua l’extension jusqu’à porter la superficie du Haram à 300 000 m² et ainsi étendre l’accueil des pèlerins à plus d’un million chaque année. Mais les travaux les plus ambitieux ont été lancé par le défunt roi Abdallah, qui n’aura par contre pas survécu au plus grand agrandissement jamais réalisé.
Le projet d’extension en cours.
La maquette de la Mosquée Sacrée selon sa configuration après les travaux en cours de réalisation est exposée au musée de la Mecque. Elle montre à quel point l’extension des lieux visant un passage en 10 ans d’une capacité de 5 millions de pèlerins à une capacité de 20 millions de pèlerins par an est ambitieuse. Les montants en jeu dépasseraient les 20 milliards de dollars.
Le Masjid al Haram pourra à terme accueillir plus d’un million deux cent mille pèlerins simultanément dans des conditions de pèlerinage optimal. Ces projets sont également accompagnés de projets annexes comme le Métro de la Mecque en cours d’appel d’offre avec 189km de lignes de métro ou le projet immobilier de Jabal Omar qui vise la construction en sept phases de pas moins de 39 tours de résidences, hôtels et surfaces commerciales attenantes au Haram.
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France : Quand une Française remet Donald Trump à sa place.
L’agression d’un militaire au Carrousel du Louvre, vendredi 3 février, a directement fait réagir Donald Trump qui s’est fendu d’un tweet relayant des informations erronées.
« La France n’est pas à nouveau à cran ».
Le nouveau président des Etats-Unis a partagé un tweet confus le jour de l’attaque : « Un nouveau terroriste islamiste radical vient d’attaquer le musée du Louvre à Paris. Les touristes ont été enfermés. La France à cran, à nouveau. SOYEZ INTELLIGENTS LES ÉTATS-UNIS ». Nombreux ont été les internautes à s’être indignés face à cette récupération politique aberrante. Parmi eux, une Française, dont la publication facebook qu’elle adresse à Donald Trump en réponse à son tweet a été partagé plus de 250 000 fois.
« Cher Monsieur Trump, merci de votre inquiétude.
Un homme a en effet attaqué un soldat avec deux machettes, ce matin à Paris.
Ce n’était pas au musée du Louvre, mais au Carrousel du Louvre, qui est un centre commercial (ce qui est moins symbolique que ce que vous laissez entendre).
Il n’a attaqué aucun touriste (ou Français, à l’exception du soldat, merci encore de votre inquiétude).
On a gardé la foule à l’intérieur après, sur les ordres de l’armée, pour des raisons de sécurité, mais pas à cause d’une possible prise d’otage. (votre tweet est – volontairement ? – ambigu). La France n’est pas à nouveau à cran, pas du tout.
J’ai appris l’attaque dix heures après qu’elle se soit produite (même si les médias en ont parlé avant), et j’ai passé une heure et demie dans un autre centre commercial à Paris pendant le déjeuner, sans qu’il n’y ait aucune forme de renforcement militaire (pas plus que ce que nous avons déjà depuis Charlie Hebdo ou les attaques de novembre 2015).
Oh, au fait… le suspect vient d’Égypte, vous savez, le pays dont vous n’avez pas banni l’accès aux États-Unis (à cause de vos affaires personnelles là-bas ?).
Vous encouragez la peur avec votre déformation de la vérité.
Cordialement, Egie Wild.
PS: SOYEZ INTELLIGENT LES ÉTATS-UNIS: Ne croyez rien de ce qu’il dit, avant d’avoir d’abord vérifier les faits. »
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Le Pape François appelle à prier pour nos soeurs et frères Rohingyas.
Ce mercredi 8 février, considéré comme « Journée de prière et de réflexion contre la traite des personnes », a vu le Pape François appeler à prier pour les Rohingyas.
Tués, juste parce qu’ils sont de tradition et de foi musulmane.
Depuis le Vatican, dans son discours, le Pape a encouragé les initiatives prises par les personnes luttant contre la maltraitance des enfants notamment. Un message fort a aussi été adressé aux gouvernements afin de rendre leur dignité aux peuples asservis. Des efforts doivent être faits sur le sujet a dit le Pape. Revenant sur le sort des Rohingyas, il a demandé à ce que des prières soient faites pour eux. Ces derniers sont «exploités, chassés de Birmanie, passant d’un côté à l’autre parce que parce que personne ne veut d’eux ». Le Pape a ajouté : « depuis des années ils souffrent, sont torturés, tués, juste parce qu’ils sont de tradition et de foi musulmane ».
Un message important alors qu’une flottille est actuellement en route pour apporter une aide humanitaire aux Rohingyas.
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France : #MuslimBan : pourquoi pas la même chose en France pour Marion Maréchal Le Pen.
Marion Maréchal Le Pen n’a pas écarté l’idée de voir un décret anti-immigration ou un Muslim Ban en France. Le Front National serait donc prêt à s’inspirer de Donald Trump.
Le Muslim Ban : une bonne chose pour la députée du Vaucluse.
Se sentant poussé par l’élection de Donald Trump aux Etats-Unis, le FN croit en ses chances pour la prochaine élection présidentielle. Questionné sur le sujet du décret anti-immigration américain, Marion Maréchal Le Pen a déclaré dans l’émission « Grand Rendez-Vous » que le principe de précaution justifiait une telle décision. Le Muslim Ban est donc une bonne chose pour la députée du Vaucluse puisque permettant de lutter contre le terrorisme.
Cependant rien ne dit si le Front National se limitera aux sept pays visés par le Muslim Ban. Il pourrait bien voir plus large !
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Une famille musulmane canadienne refusée de se rendre aux États-Unis.
Fabwa Alaoui vit au Canada depuis 22 ans. Elle a tenté de se rendre le week-end dernier à Burlington, aux États-Unis, pour une virée shopping avec ses deux enfants et sa cousine. Arrivée au poste frontalier de Philipsburg, elle a dû subir un interrogatoire durant plus de 4 heures par des douaniers américains.
« Est-ce parce que nous sommes musulmans ? »
Fabwa Alaoui livre son témoignage au média canadien TVA Nouvelles : « On nous a demandé quel était notre pays d’origine. Je leur ai dit que j’étais originaire du Maroc. Ensuite, ils ont réclamé nos cellulaires. Ils ont exigé nos mots de passe et ont fouillé le contenu de nos téléphones pendant une heure ». Pour Fabwa, cela ne fait aucun doute, sa famille est victime de discrimination : « Est-ce parce que nous sommes musulmans ou parce que je suis voilée? Les douaniers m’ont même demandé si je connaissais les victimes des attentats à la mosquée de Québec. Dans mon cellulaire, ils ont découvert un message qui indiquait que j’avais fait un don pour les familles des victimes. »
Fadwa et sa famille ont dû revenir sur leurs pas, leur téléphone portable contenant « des vidéos et choses contre nous » d’après les douaniers américains. Une accusation non recevable pour cette famille, dont le média TVA Nouvelles a récolté le témoignage.
Reportage vidéo a voir sur www.mouslimradio.info.
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Qatar : 500 millions de dollars par semaine pour organiser la Coupe du Monde 2022.
Pays organisateur de la Coupe du Monde de football en 2022, le Qatar dépense 500 millions de dollars par semaine afin de se doter des infrastructures nécessaires.
Une Coupe du Monde à 200 milliards de dollars.
Ali Shareef Al-Emadi, ministre des Finances qatari, s’est adressé à des journalistes étrangers sur le sujet. Ainsi le coût total pour les travaux atteint les 200 milliards de dollars. Une somme astronomique qui n’est pas seulement consacrée à la mise à disposition des stades. En effet, il est aussi nécessaire de rénover ou construire autoroutes, voies ferrés, aéroports, ports, hôtels, hôpitaux… C’est donc tout le Qatar qui se prépare à recevoir cette Coupe du Monde de football.
Cependant notons que les organisations des droits de l’homme ont souvent pointé du doigt les conditions difficiles dans lesquelles travaillaient les ouvriers sur les chantiers.
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France : La Radio Franceinfo détruit un cliché sur les immigrés.
Dans l’émission « l’instant détox » diffusée par Franceinfo, le journaliste Julien Pain a interrogé ce mardi des passants dans les rues de Paris avec pour nouveau thème : Les immigrés vont-ils couler l’économie française ?
Lorsque Julien Pain demande à deux passantes si elles se sentent en danger face à l’arrivée d’immigrés en France, qui seraient amenés à prendre leur travail, leur réponse est instinctive : « Bien sûr ». Elles se justifient également : « Et puis, on offre des formations, on apporte des aides de toute sorte. » Pourtant, le journaliste indique qu’aujourd’hui 320 000 emplois en France ne sont pas pourvus en raison des difficultés à recruter, qu’il s’agisse des métiers du bâtiment ou encore ceux de la restauration. Il rappelle également que l’Allemagne, qui a accueilli 213 000 réfugiés les huit premiers mois de 2016, a connu une croissance record de 1,9% la même année.
Reportage vidéo a voir sur www.mouslimradio.info.
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France : Aulnay-sous-Bois : Théo invité par l’Inter Milan à assister à un match.
Théo a reçu mardi 7 février la visite de François Hollande à l’hôpital de Aulnay-sous-Bois, où il est hospitalisé depuis jeudi dernier après avoir été agressé par 4 policiers.
Cette rencontre entre les deux hommes, durant laquelle Théo portait un maillot de l’Inter Milan, est devenue rapidement virale et a attiré l’attention du club italien. Touché par la violente interpellation dont a été victime Théo, le club a invité le jeune homme de 22 ans à assister à un match de l’Inter Milan à San Siro. Le journal sportif italien Calciomo a annoncé la nouvelle ce matin.
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France : Montfermeil : La police frappe et humilie des riverains : Témoignage.
Professeur d’Histoire et auteur d’un essai sur la cité des Bosquets, J-R Kechaoua délivre sur les réseaux sociaux un témoignage édifiant de violences policières.
Alors que des émeutes se sont déclenchées suite au viol de Théo par 4 policiers, paradoxalement les récits de violences policières se multiplient partout en banlieue comme une ultime provocation.
C’est dans la célèbre cité des Bosquets que ces violences gratuites et humiliations ont eu lieu.
Le récit est dramatique et nous laisse comprendre aisément pourquoi les révoltes naissent un peu partout …
Témoignage :
À quoi joue la police ?
Hier, les policiers anti émeutes sont intervenus avec une violence inouïe dans le quartier des Bosquets à Montfermeil.
À la recherche de quelques jeunes ayant lancé des feus, la police descend dans un sous sol où des jeunes adultes jouent tranquillement aux cartes. Plus âgés ils n’ont rien à voir avec les petits émeutiers. Une vingtaine de policiers leurs foncent littéralement dessus en criant.
Les jeunes courent mais se font attraper à l’extérieur. Balayettes, coups de pieds dans la tête, coups de matraque, on les traîne par terre puis palpation des parties intimes sur des jeunes allongés et rangés face contre un sol jonché de saleté. « Connard », « Fils de pute » « t’as compris maintenant ?  » Ils sont obligés de répondre » j’ai compris  » au risque d’être de nouveau frappés. Téléphones arrachés pour supprimer les photos puis jetés face contre le sol pour les abîmer. Quand les policiers ont réalisé qu’ils n’avaient pas à faire aux petits émeutiers ils sont partis sans demander leur reste laissant cette petite dizaine de jeunes adultes totalement choqués par cette humiliation. Si on voulait que la banlieue prenne feu, on ne s’y prendrait pas autrement.

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France : Policiers accusés du viol de Théo laissés en liberté : l’analyse de Karim Achoui.
Dans la désormais, dramatiquement célèbre, affaire des policiers présumés violeurs, à Aulnays-sous-bois, le juge des libertés et de la détention de Bobigny, a décidé de placer les suspects sous contrôle judiciaire.
Aujourd’hui, donc, les 4 policiers accusés de faits gravissimes sont libres. Que penser d’une justice qui laisse des présumés violeurs dehors?!…si ce n’est qu’elle est, antithetiquement, profondément injuste. Cette décision est aberrante -d‘autant plus que le viol est avéré- et s’oppose à la jurisprudence.
La double lecture des charges se contente de participer à la consommation du divorce entre le peuple et la Justice, pourtant en son nom rendue, creusant toujours davantage de fossés. L’inintelligibilité, juridique et factuelle, de ce genre de décisions ne fera qu’accroître le sentiment d’impunité des fonctionnaires de police et d’inégalité devant la loi, et ne peuvent être ignorées par une justice qui se rendrait partiale et à dimensions variables.
De plus, le procureur de la République devrait justifier son choix et commenter les raisons qui ont conduit la Justice à libérer instamment des policiers contre lesquels pèsent des charges lourdes.
En effet l’article 11 du Code de procédure pénale autorise le Procureur à dévoiler les éléments objectifs d’une instruction afin d’informer les citoyens.
François Hollande tout comme son premier ministre, Bernard Cazeneuve, se sont insurgés face à cette abominable affaire.
Aujourd’hui, le parquet et le parquet général doivent donc, par la voie de l’appel, envoyer un signal fort à la justice, pour que la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Paris réexamine la question de la détention des policiers.
En effet, l’article 185 du code de procédure pénale, offre la possibilité au procureur de la République d’interjeter appel d’une ordonnance du juge d’instruction ou du juge des libertés et de la détention, dans les 5 jours suivant la notification de la décision. Le procureur général dispose,lui, d’un délai de 10 jours pour faire de même.
L’appel du parquet me semble fondamental afin de redonner à la justice son sens premier, permettant à la chambre d’instruction de réformer le placement sous contrôle judiciaire des présumés violeurs, et de potentiellement les incarcérer. Il s’agit d’une nécessité d’ordre juridique et d’ordre public!
Et là, alors seulement, la justice aura accompli son oeuvre.
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Russie : la loi sur la dépénalisation des violences domestiques promulguée.
Surnommée « la loi sur les gifles », elle a été adoptée à l’unanimité par les députés fin janvier et votée début février par les sénateurs. Alors qu’elle est très critiquée, le président russe Vladimir Poutine l’a promulguée ce mardi 7 janvier.
La nouvelle législation allège les peines encourues pour les violences commises au sein du cercle familial (enfants, conjoints) tant qu’elles n’ont pas donné lieu à de séquelles graves. Le coupable encourait auparavant une peine de deux ans, aujourd’hui il aura une simple amende de 30 000 roubles (470 euros), sauf en cas de violences graves ou de récidive.
Cette loi controversée a été très critiquée par les militants des droits humains russes qui estimaient, entre autres, qu’elle affaiblit la lutte contre les violences domestiques. « Corriger une anomalie », c’est ainsi que se sont justifiés les députés conservateurs à l’origine du texte de loi. Leur volonté serait de rééquilibrer la loi russe : les auteurs de violences domestiques étaient poursuivis au pénal, tandis que les violences commises en dehors du cercle familial relevaient, elles, du droit civil.
Anita Soboleva, présidente de la Commission pour les droits sociaux au Conseil pour les droits de l’homme, s’oppose à cette loi et s’inquiète que les citoyens ne retiennent pas que cette loi est indulgente avec les agresseurs. « Il est important que cet article ne soit pas modifié. Sinon, ce sera un signal très clair pour tous ceux qui aiment donner la liberté à leurs mains à la maison. Le signal qu’ils peuvent frapper qui ils veulent et s’en sortir avec une amende de 30 000 roubles, qu’ils prendront dans le budget de la famille qui manque déjà de moyens », a-t-elle déclaré à RFI.
Selon l’Agence nationale des statistiques, 49 579 affaires de violences domestiques ont été recensées en Russie en 2015, dont 35 899 impliquant des violences contre une femme. Quelque 7 500 femmes sont mortes sous les coups de leur compagnon en 2015, affirme l’association ANNA, qui vient en aide aux femmes victimes de violences
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Pakistan : le film Raees interdit, accusé de stigmatiser les musulmans.
Le gouvernement pakistanais a pris la décision d’interdire la projection dans les salles de « Raees », une superproduction de Bollywood. Mubahsar Hassan, président du Bureau de la censure, a déploré auprès de l’AFP un film qui « présente les musulmans comme des terroristes et des gens violents ».
Un autre responsable déclare que « ce film envoie le message que tous les musulmans sont (…) des criminels, tandis que les hindous sont des gens respectables qui les empêchent de mal agir ». Raees raconte l’histoire d’un gangster qui, dans les années 1980, a fait fortune dans la contrebande d’alcool. Il est sorti dans les salles indiennes le 25 janvier dernier.
Les films indiens sont très appréciés au Pakistan et l’acteur Shah Rukh Khan, vedette du film, jouit d’une immense popularité. L’interdiction a donc suscité de nombreuses réactions de dépit.
Le cinéaste et journaliste pakistanais Hasan Zadi a tweeté que « l’interdiction de #Raees est un exemple du type d’absurdités perpétrées par les croisés de la morale et les bureaucrates serviles du Pakistan ». L’écrivain Haji S. Pasha s’est, lui, ému du cas de Mahira Khan, une actrice pakistanaise qui y interprète son premier grand rôle : « Bannir Raees, c’est bannir Mahira qui fait ses débuts d’actrice. Pourquoi autant de haine envers Mahira ? »
En revanche, l’avocate et universitaire Yasmeen Ali soutient la censure, dénonçant un long métrage qui montre « des musulmans d’une branche spécifique de l’islam en train de commettre des crimes et d’agir en terroristes
Les relations diplomatiques entre l’Inde et le Pakistan sont toujours tendues. En octobre dernier, les cinémas pakistanais ont choisi de ne plus projeter de films bollywoodiens. Ce n’est qu’en janvier que l’opération de boycott a pris fin. L’Indian Motion Pictures Produces Association, organisme de représentation des studios indiens, avait en retour interdit aux acteurs et aux techniciens pakistanais de travailler à Bollywood.
Reportage vidéo a voir sur www.mouslimradio.info.
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Un homme tentant de s’immoler à La Mecque arrêté.
Plus de peur que de mal. Un homme d’une quarantaine d’années aurait tenté de s’immoler face à la Kaaba lundi 6 février au soir. Selon le site saoudien Sabq cité par ArabNews, un citoyen saoudien aurait vu l’homme se verser du liquide sur lui-même à l’aide d’une fiole. Voyant que le liquide contenait de l’essence, le témoin de la scène aurait saisit le flacon et crié en demandant de l’aide.
Les autorités saoudiennes ont réussi à l’en empêcher. La scène, en partie filmée, a été relayée sur les réseaux sociaux. On y voit, près de la Kaaba, des personnes hurler, provoquant l’arrivée de policiers qui embarquent un homme avec eux sous les cris des pèlerins.
L’homme d’une quarantaine d’années « a été détenu avant qu’il continue avec son acte d’auto-immolation dramatique et son comportement indique qu’il est mentalement malade. Toutes les mesures nécessaires seront prises », a déclaré Raed Sameh Al-Sulami, porte-parole des forces spéciales saoudiennes.
Les autorités, qui ont décrit l’homme comme un malade mental, a démenti la rumeur selon laquelle il aurait volontairement tenté de mettre le feu au tissu recouvrant la Kaaba.
Reportage vidéo a voir sur www.mouslimradio.info.
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Le pyromane d’un Centre islamique de Floride condamné à 30 ans de prison.
A l’énoncé du verdict sans appel qui l’envoie croupir à vie derrière des barreaux, John Schreiber, 32 ans, le pyromane du Centre islamique de Fort Pierce, en Floride, mû par une islamophobie pathologique ayant culminé dans la folie criminelle le 11 septembre 2016, n’a pas bronché, accusant le coup sans la moindre effusion de colère.
Ce redoutable incendiaire, animé par une soif de vengeance qui fut aiguisée par le carnage commis quatre mois plus tôt, en juin 2016, par Omar Mateen dans une discothèque d’Orlando, n’avait pas choisi sa cible au hasard, ni la date fatidique pour commettre l’irréparable.
En effet, la mosquée dont il avait décidé de faire un brasier incandescent était celle que fréquentait, épisodiquement, le « terroriste » américain de 29 ans, d’origine afghane, au profil trouble et à la vie instable, entré dans les annales de l’histoire des Etats-Unis pour avoir perpétré la plus grande tuerie de masse du pays (49 morts). Quant au jour J, il correspondait non seulement à la commémoration du 15ème anniversaire des attentats du World Trade Center, mais coïncidait aussi, exceptionnellement, avec la célébration de l’Aïd al-Adha. De quoi frapper un grand coup sur le sol de la bannière étoilée, en signe de représailles inflammables et ravageuses !
Les pompiers au chevet du Centre islamique de Fort Pierce.
Si, fort heureusement, les flammes destructrices qui dévorèrent le Centre islamique de Fort Pierce n’ont fait aucune victime, elles ont en revanche terriblement assombri la grande fête de l’islam en Floride et partout ailleurs, dans les autres Etats limitrophes ou plus éloignés, plongeant l’ensemble de la communauté musulmane américaine dans la consternation.
Condamné à 30 ans de prison, John Schreiber, défavorablement connu des services de police et qui avait déjà eu par le passé maille à partir avec la justice, a eu beau se défendre d’éprouver un fort ressentiment envers les musulmans, il a échoué à gagner la clémence du juge devant lequel il comparaissait lundi dernier.
Face à ses dénégations peu crédibles, celui-ci lui a opposé la virulence de sa prose haineuse déversée sur Facebook qui ne laissait subsister aucun doute sur la fureur raciste qui bouillonnait en lui. « C’est horrible de s’attaquer à un lieu de culte ! », lui a-t-il reproché avec une véhémence empreinte de gravité, en espérant que cette peine exemplaire s’avérera suffisamment dissuasive pour freiner les ardeurs incendiaires d’autres criminels islamophobes en puissance.
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Home Island, l’île où 85% des maisons sont tournées vers La Mecque.
A l’autre bout du monde, dans le lointain village de Bantam, le plus important de Home Island, une île australienne ensoleillée qui compte 500 âmes, nul besoin de boussole pour trouver, non pas le nord, mais la direction de la Qibla !
En effet, sur cet îlot azuré qui fait partie de l’archipel coralien des îles Coco, les visiteurs savent au premier coup d’œil dans quel sens se tourner pour prier vers La Mecque. Il leur suffit de poser leur regard sur les maisons locales, pleines de charme et pittoresques, dont 85% d’entre elles présentent la particularité d’être orientées vers la Terre sainte, pour conserver tous leurs repères, en totale confiance.
C’est en 1906 que les habitants de ce hameau, entouré d’une eau turquoise, découvrirent l’islam, avec le débarquement du capitaine William Killing de la Compagnie de l’Inde Orientale, et à travers les ouvriers des pays de l’Asie de l’Est et des esclaves montés à bord de son bateau qui furent les premiers musulmans à fouler le sol de leur petit territoire insulaire. Mais il faudra attendre la venue de deux commerçants écossais, un peu plus tard, pour que naisse un véritable engouement pour l’islam, précise le journal britannique The Guardian.
Un siècle s’est écoulé sans que ne s’émousse ce vif intérêt pour les enseignements coraniques, bien au contraire. La foi des quelque 500 villageois, majoritairement d’origine malaisienne et tous musulmans, qui peuplent aujourd’hui Home Island a traversé les époques en en ressortant vivifiée, à l’image de la jeune génération qui se passionne pour l’étude de l’islam et les activités cultuelles et culturelles afférentes.
Dans ce petit coin de paradis musulman qu’est Home Island, bordé par une forêt de cocotiers et orné de longues plages de sable blanc, dès que résonnent les modulations de l’Adhan, une longue procession de femmes et d’hommes se forme, revêtus respectivement de leurs plus beaux voiles et kamis, et chemine, profondément recueillie, vers la seule et unique mosquée de l’île qui resplendit dans le paysage, inondée de soleil.
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####### Aujourd’hui en Palestine #######
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Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
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La sécurité de l’AP arrête un étudiant et convoque deux autres pour enquête
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Un homme âgé meurt renversé par un colon au sud de Bethléem
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Les médias appellent à une campagne internationale pour la libération du journaliste al-Qiq
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Incursion sioniste à Beit Hanoun et des tirs sur les agriculteurs à Rafah
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L’armée israélienne envahit Naplouse et boucle les villes
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La police israélienne encercle le village d’Umm al-Hiran au Néguev
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181 nouveaux logements approuvés à Jérusalem
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Hébron: Fermeture d’une maison en vue de s’en emparer
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Démolition d’une installation palestinienne au nord de Jérusalem
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Le journaliste Mohammed al-Qiq placé en isolement
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12 Palestiniens kidnappés dans des raids et des arrestations en Cisjordanie occupée
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5 jeunes Jérusalémites arrêtés
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Al-Qassam: Nous avons reçu des offres israéliennes pour un nouvel accord d’échange de prisonniers
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18 ouvriers blessés dans un accident à l’ouest d’Hébron
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Les forces d’occupation détruisent des installations palestiniennes à Toubas
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Naplouse: Les forces d’occupation arrêtent deux jeunes de Sabsatia
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D’Information, sur http://french.palinfo.com

Flash info du 30 Mouharram 1438.

Flash info du 30 Mouharram 1438.
Ecouter le coran, des hadith, des conférences, des annonces divers, des anashids (sans musique), et bien d’autres choses, en direct sur #muslimradio.info :
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Témoignage de Mélanie Jane, reconvertie à l’Islam.
Nous nous intéressons aujourd’hui au témoignage de Mélanie Jane, une britannique reconvertie à l’Islam. Cette dernière dit avoir toujours été croyante mais sans religion définie puisqu’aucune des religions sur lesquelles elle s’était penchée, ne répondait aux questions qu’elle se posait.
Mélanie Jane affirme avoir trouvé l’Islam après s’être installée à Dubaï mais elle précise que l’éducation que ses parents lui ont transmise a également participé à ce cheminement. Cette sœur nous confie : « Mes parents sont très ouverts et très gentils. Ce sont des gens bienveillants et ils m’ont toujours appris à ne pas faire de discrimination contre quiconque, sur la religion, la culture, la couleur, ou quoi que ce soit ». Elle considère donc que l’éducation dont elle a fait l’objet constitue une des bases de son cheminement vers l’Islam puisque sans cette tolérance, elle n’aurait pu s’intéresser à la religion musulmane.
Évoquant la réaction de certaines de ses connaissances lorsqu’elles la voient avec le hijab, la jeune femme explique que beaucoup imaginent que cette tenue lui a été imposée par un homme. Mélanie Jane partage donc son sentiment au sujet du hijab : « Je pense que quand vous portez le hijab, vous avez une raison unique de le porter. Il n’est pas fait pour tout le monde, il est pour vous et pour l’amour d’Allah, qui est la raison pour laquelle nous le portons et non pas parce que quelqu’un d’autre nous l’a demandé« . Cette sœur fait donc part de son amour pour le hijab, voile qu’elle porte dans le but de satisfaire son Créateur.
Le déclic pour cette jeune femme a été son changement de pays : passer de la Grande Bretagne à Dubaï, découvrir une autre culture, un nouveau pays, une toute autre religion… C’est donc en rencontrant des musulmans à Dubaï qu’elle s’est renseignée au sujet de l’Islam. « Quand je suis arrivée d’Angleterre, je suis venue avec des stéréotypes sur les musulmans, alors que je me suis totalement trompée sur ce que je pensais ». Mélanie Jane avoue donc avoir découvert la véritable image de l’Islam une fois qu’elle a quitté la Grande Bretagne et que cette religion a gagné son cœur par la suite.
Cette sœur a embrassé l’Islam car comme elle l’explique, dans cette religion, « chaque question que vous vous posez a une réponse. […] Dans l’Islam, tout est si parfait et tout est si bien mis ensemble que cela m’a convaincue« . Notre sœur Mélanie Jane a tout dit : l’Islam est une religion parfaite. Allah, par Sa Grâce et Son infinie Miséricorde ouvre les yeux et le cœur de qui Il veut.
Qu’Allah raffermisse le cœur et la foi de chacun d’entre nous. Qu’Il guide nos proches vers la Droiture, Lui qui est capable de tout.
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Fraternité générale : une semaine pour promouvoir la fraternité en France .
Du 2 au 10 novembre 2016, le mouvement Fraternité générale organise une semaine d’actions culturelles, pédagogiques et citoyennes dans toute la France. L’initiative lancée par Abdennour Bidar fédère plus de 240 manifestations avec le soutien d’éminentes personnalités.
La fraternité, un concept oublié ? Le philosophe Abdennour Bidar, auteur en 2015 du Plaidoyer pour la Fraternité publié un mois après le rassemblement du 11 janvier, milite pour faire revivre cette notion.
Un an après la tragédie du 13 novembre, il impulse le mouvement Fraternité générale en grande pompe au travers d’une semaine d’actions culturelles, pédagogiques et citoyennes à l’échelle nationale. Sur son site il déclare que « la fraternité est un principe fort, à la fois symbolique et concret. Elle est aujourd’hui mise à mal, à la fois par la gravité accrue des fractures sociales et par le choc dramatique des ignorances entre cultures et communautés, des intolérances et des replis sur soi. Or, la fraternité, morale et sociale, est une urgence. »
Abdennour Bidar a rassemblé autour de lui un certain nombre de personnalités du monde associatif, des affaires, du sport, universitaire, médiatique et artistique. On retrouve par exemple l’écrivaine et ancienne boxeuse Aya Cissoko, le coordinateur d’ACLEFEU Mohamed Mechmache, le sociologue Edgar Morin, l’astrophysicien Hubert Reeves, la fondatrice de l’agence publicitaire BETC Mercedes Erra, l’actrice Juliette Binoche, les présentateurs Stéphane Bern et Claire Chazal ou encore le docteur Ghada Hatem-Gantzer, fondatrice de la maison des femmes de Saint-Denis.
Dans le but de promouvoir la semaine de la Fraternité générale qui se déroulera du 2 au 10 novembre, une série de 30 clips de 45 secondes a été produite par Cinétévé, l’ARP, le Forum des images et l’agence Bronx. Les vidéos sont diffusées depuis le 15 octobre sur les chaînes de télévision, les salles de cinéma et les stades. Plusieurs cinéastes et personnalités y dévoilent leur vision de la fraternité.
« À la diversité de leurs propos et de leurs sensibilités fera écho la diversité des formes que prennent leurs créations audiovisuelles : fiction, documentaire, animation et même captation », détaille le site de la Fraternité générale. La campagne se veut participative puisque des associations de jeunes à travers à la France peuvent également proposer leur vision en envoyant leurs court-métrages.
Les artistes et photographes en herbe ont également été convié à participer au concours « Une image pour la fraternité ». Les participants devaient envoyer une photo, un dessin ou une création graphique représentant la fraternité. Le concours a été organisé par la RATP qui présentera les images des lauréats dans une exposition à la station de métro Hôtel de Ville, à Paris, du 2 au 14 novembre.
Mais là où le Mouvement pour la fraternité prend tout son sens, c’est avec « les rencontres fraternelles ». L’idée est que chaque volontaire organise à l’échelon local, des rencontres et des débats afin de « parler de nos différences et de ce qui nous unit, dans un café, un lieu de culture ou une entreprise ».
Les volontaires peuvent ensuite remplir un formulaire sur le site de la Fraternité générale qui recense toutes les actions, aujourd’hui principalement concentrées en Ile-de-France. Les élèves de l’Ecole de l’Art Oratoire, par exemple, mettent en place à Paris le 4 novembre trois ateliers-débats pour aider les gens à progresser dans la prise de parole en public.
Le week-end du 4 au 6 novembre, point d’orgue de la manifestation sera notamment dévolu à la musique avec les « Terrasses Musicales ». Une série de concerts gratuits seront mis en place à la façon d’une Fête de la Musique dans les lieux culturels, bars, gares, lieux municipaux, places publiques ou établissements scolaires. La SACEM autorise exceptionnellement une autorisation gratuite de diffusion de musique pour ces trois jours.
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Le cancer et son lot de préjugés, le combat de Charlène Caty.
Ne vous fiez pas aux apparences ! C’est le leitmotiv de Charlène Caty, fondatrice d’une jeune association dunkerquoise d’accompagnement des malades du cancer. Dans le climat d’islamophobie ambiante, elle a produit une vidéo afin de briser des préjugés sur le cancer. Pari réussi pour cette jeune femme qui raconte le sacré bout de chemin qu’elle a parcouru contre la maladie.
Charlène Caty revient de loin. Elle qui pensait arriver au terme de sa jeune vie est aujourd’hui en phase de rémission d’un carcinome épidermoïde de stade 4, autrement dit d’un cancer de la langue. La jeune femme, originaire de Saint-Pol-sur-Mer, près de Dunkerque, savoure cette victoire qu’elle est en train de remporter contre la maladie, diagnostiquée en octobre 2015. Seule « stigmate » visible du cancer, le foulard qu’elle porte sur la tête et qui a été la source d’inspiration d’une vidéo que Saphirnews a repéré en septembre.
Intitulée « Stop les préjugés et les stéréotypes », elle met en scène un groupe de jeunes étudiantes en bibliothèque qui s’aperçoivent de la présence d’une de leurs connaissances, voile sur la tête, en compagnie d’une amie de confession musulmane. Elles n’ont pas vu Charlène depuis un moment mais plutôt que d’aller la voir pour prendre de ses nouvelles, elles ont déjà fait leurs conclusions : si elle porte le foulard, c’est qu’elle s’est « radicalisée » à cause notamment de son compagnon qui se trouve être « un Noir, un Comorien ». « En même temps, quand tu vois avec qui elle traîne, ça m’étonne pas trop… », lance l’une des filles.
« Ne vous inquiétez pas, je ne suis pas radicalisée. J’ai juste un cancer », fait part Charlène dans un message final percutant. Un uppercut contre les préjugés qui a été sous-titré en anglais pour diffuser le message à très grande échelle.
Charlène, qui s’est mise en scène dans cette vidéo, raconte à Saphirnews la genèse de cette vidéo, une action au compteur de sa toute jeune association J’ai juste un cancer, fondée en été 2016 pour aider et accompagner les malades et leur entourage dans l’épreuve qu’ils vivent. « Les premiers symptômes sont apparus fin juin – juillet 2015 », dit-elle. Au départ, ce n’était qu’un aphte, pensait-on, sauf que « j’avais de plus en plus de mal à manger et à parler, je perdais du poids et ma langue avait doublé de volume ». Commence pour elle un parcours du combattant qui l’a conduite plusieurs fois aux urgences et dans divers hôpitaux, sans résultat probant pendant de longues semaines.
« On me renvoyait chez moi avec des antalgiques. (…) Un jour, j’étais en larmes, mon compagnon a décidé de partir au culot à Paris » pour obtenir une explication à la maladie naissante. Le couple accomplit avec difficultés un nouveau tour des établissements hospitaliers mais le diagnostic finit par être posé en octobre 2015 dans un hôpital de la région parisienne. A un stade très avancé du cancer de la langue, il fallait réagir vite. Ce sont les débuts d’une chimiothérapie – entamée à Lille – qui durera six mois, non sans conséquences sur son apparence : des dents enlevées – un moindre mal pour éviter l’amputation d’une partie de sa langue qui l’aurait alors défigurée – et surtout une perte conséquente de poids et de cheveux.
Le jour où elle réalise le poids des préjugés sur les musulmanes
« Un jour, pendant mon traitement, je suis partie au restaurant avec mes parents. Nous avons croisé des personnes que l’on connait, et j’ai senti un regard différent », explique Charlène. « Le traitement a causé une perte de cheveux, j’ai donc dû m’habituer au foulard. Mon compagnon est musulman et d’origine comorienne, j’ai alors compris que les gens ont dû se dire que j’étais devenue musulmane. Au vu du changement brusque, je ne serais pas étonnée si on me fichait S », poursuit-elle avec humour. Dans la vidéo comme dans la vie, Charlène n’est effectivement pas musulmane.
« J’ai réalisé et ressenti ce que les femmes portant le voile par choix peuvent ressentir face au jugement des autres. Par conséquent, j’ai décidé de réaliser cette vidéo avec mes amis : une musulmane, une catholique, une protestante et une athée afin de sensibiliser sur les jugements et raccourcis trop faciles, mais surtout pour montrer que, quelles que soient notre origine, notre religion, nous sommes capables de réaliser ensemble des projets sur les réalités de la vie », explique Charlène, qui veut sensibiliser les personnes aux « à-côtés du cancer », tout autant difficiles à gérer que la maladie elle-même. D’ailleurs, « l’acceptation du cancer a été très dure », indique-t-elle. Le rôle de son compagnon ainsi que de sa famille fut essentiel face à l’épreuve qu’elle est maintenant en passe de remporter.
A 24 ans, elle reprend doucement la vie qu’elle avait laissée avant l’apparition des premiers symptômes de la maladie. Charlène a repris son travail dans le prêt-à-porter, mais entend désormais consacrer son temps à son association locale et accorder son aide à celles et à ceux qui en ont besoin.
Reportage vidéo a voir sur www.mouslimradio.info.
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La langue arabe, sujet de discorde ?
À la rentrée 2016, la langue arabe est introduite en langue vivante 1 dès le CP (au lieu du CE1), à l’instar, d’ailleurs, de toutes les langues étrangères enseignées à l’école élémentaire. Une initiative prise par la ministre de l’Éducation nationale Najat Vallaud-Belkacem et qui a fait délier de nombreuses langues. État des lieux sur l’apprentissage de l’arabe en France.
On sait le politique français contestataire mais lorsqu’il s’agit des questions liées à l’arabe, et sous-entendu l’islam, les discours de tout bord s’affolent.
Ainsi, lorsque le ministère de l’Éducation a annoncé sa volonté de réformer l’apprentissage de l’arabe, en abandonnant progressivement les ELCO (enseignements de langue et de culture d’origine) et en introduisant l’arabe dès le cours préparatoire, la députée LR Annie Genevard n’a pas hésité à mettre le feu aux poudres : « Vous réduisez par votre réforme du collège la place du français, celle des langues anciennes qui sont nos racines ou des langues européennes comme l’allemand, qui prospéraient dans les classes bilingues. (…) Ne croyez-vous pas que l’introduction des langues communautaires dans les programmes scolaires encouragera le communautarisme qui mine la cohésion nationale ? »
Des propos appuyés par d’autres politiques, comme les tweets enflammés du FN, dont Robert Ménard, le maire de Béziers, qui s’indigne d’un « processus de défrancisation évident ».
Sixième langue officielle à l’UNESCO.
Ghassan Alaouf, conseiller pédagogique de cours d’arabe à l’Institut international de langues et de cultures (IILC), déplore ces amalgames précipités : « Ces polémiques n’ont absolument pas lieu d’être. Taxer l’arabe de langue communautaire, c’est ignorer son histoire, sa civilisation, son statut de sixième langue mondiale, selon l’UNESCO. C’est une langue internationale [parlée par plus de 270 millions de personnes. »]urlblankhttp://www.saphirnews.com/L-arabe-est-la-troisieme-langue-mondiale_a13389.html Cet enseignant, depuis 20 ans, connait la réalité actuelle : « Il n’est pas question de discuter le fait que le français soit évidemment la première langue pour les enfants de la République. Mais il s’agit de leur apporter en plus une richesse en les exposant à l’arabe, qu’elle soit ou non leur langue maternelle. »
Rappelons que c’est en 1905 qu’est créée l’agrégation d’arabe de cette langue une discipline à part entière. Le certificat d’aptitude au professorat de l’enseignement du second degré (CAPES) est, lui, créé en 1975.
Vers la disparition des ELCO.
À l’origine, les ELCO résultaient d’accords mis en place dès les années 1970 entre la France et 8 États (Algérie, Maroc, Tunisie, Turquie, Espagne, Portugal, Italie, ex-Yougoslavie) visant à aider l’assimilation des enfants d’immigrés en leur proposant des cours supplémentaires, d’une heure et demie à trois heures, de leurs langues d’origine. Ces accords visaient alors directement les enfants de la première génération d’immigrés et étaient dispensés par des professeurs originaires des pays en question et payés par ces derniers. Aujourd’hui, les cours d’ELCO concernent 59 000 enfants du primaire et du secondaire, dont 0,1 % d’arabisants du CP au CM2.
La réforme de la ministre vise à faire disparaitre progressivement (en 3 ans) les ELCO au profit d’un contrôle de l’enseignement et d’une normalisation de l’apprentissage dès la primaire. Des cours seront réintégrés au temps scolaire et ouverts à tous, comme c’est déjà le cas avec l’anglais dès la primaire. L’idée est de rendre l’arabe « langue étrangère », et non plus « langue d’origine », luttant au passage contre une possible « dérive de catéchisme islamique » pointée à l’époque par le (très décrié) Haut Conseil à l’intégration (qui n’existe plus depuis 2012).
« L’arabe des mosquées » en crise.
Il est vrai qu’en l’état « l’arabe des mosquées » possède ses failles, se désole Ghassan Alaouf : « Aujourd’hui, les parents qui veulent inscrire leurs enfants à un cours d’arabe ont le choix entre les associations arabo-musulmanes des mosquées, des instituts de langues et de cultures ou encore des écoles privées d’arabe. Pour leur pluralité, leur moindre coût et leur praticité, la majorité se tourne vers les mosquées mais celles-ci souffrent de défaillances importantes. »
Sans tabou, cet enseignant excédé dénonce pêle-mêle : la vétusté de certains locaux (« souvent en sous-sol, dans des espaces confinés, séparés par des rideaux ») ; un programme scolaire quasi inexistant, s’appuyant sur des manuels édités à l’étranger qui ne prennent pas en compte l’esprit européen ; et le manque de qualification des enseignants : « Le seul fait de parler arabe ne suffit pas pour s’autoproclamer prof ! », avertit-il.
Ce que Mohamed Bahou, responsable de l’enseignement de l’arabe à l’Association musulmane de Gonesse, modère : « Face au boom de la demande, environ + 70 % ces dix dernières années, nous avons dû adapter l’enseignement aux exigences des parents. Même si la transition est lente, de plus en plus de mosquées font l’effort d’apporter une place plus importante à la culture, luttant ainsi contre une instruction purement religieuse. » Obsolète devient la méthode qui consistait uniquement à apprendre par cœur des versets du Coran qui, au final, « participe plutôt à être écœuré rapidement », souligne Ghassan Alaouf.
Le boom du e-learning.
En moyenne, 18 000 personnes par mois ont tapé sur Google « Apprendre l’arabe » en France sur l’année écoulée. Créé en 2004, l’Institut musulman d’enseignement à distance (IMED), créé par Zakaria Seddiki, est pionnier en la matière. À l’ère du numérique, les universités jouent également le jeu depuis peu, comme l’atteste le MOOC « Kit de contact en langue arabe » de l’Institut national de langues et civilisations orientales (INALCO), premier établissement d’enseignement supérieur à enseigner l’arabe depuis 1795. Démarrant en novembre prochain, ce MOOC propose d’apprendre gratuitement les bases de la conversation courante en arabe grâce à des cours vidéo et des exercices en ligne dans un programme intensif de 6 semaines.
L’engouement pour la langue arabe n’est ainsi pas seulement lié à l’apprentissage de la lecture coranique. Outre l’aspect culturel et le souhait de maitriser la conversation courante, c’est bel et bien les débouchés professionnels qui peuvent intéresser les apprenants.
Les besoins de l’économie.
Sur ce point, Ilham Moustachir, vice-présidente de la communauté d’agglomération Roissy Pays de France, et chargée de l’emploi, de la formation et de l’insertion professionnelle, est très claire : « L’arabe littéraire n’est pas une lubie communautaire, c’est un réel besoin pour l’économie ! Dans ma région, sur les 40 % de jeunes chômeurs, une grande majorité est d’origine maghrébine. Or si on intégrait dans leur cursus l’arabe, ils pourraient trouver facilement du travail dans des secteurs aussi variés que l’aéroportuaire, le commerce, les échanges d’import-export… Sans compter l’épanouissement personnel pour les binationaux de maitriser leurs langues d’origine, et non plus baragouiner un dialecte. »
Et d’insister : « Les acteurs de formation ne peuvent plus continuer à faire la sourde oreille face à ce contexte économique et social, il en va du mieux vivre ensemble ! »
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Palestine : Des soldats israéliens jettent des pierres aux enfants palestiniens qui se rendent à l’école.
Cela se passe près d’ Hébron, jeudi 27 octobre et on peut clairement voir des soldats israéliens en train de jeter des pierres aux enfants palestiniens qui se rendent à l’école.
Ces soldats sont censés protéger les enfants palestiniens du village d’al-Tuwani, qui sont régulièrement attaqués par les colons de la colonie voisine de Havat Maon.
Au lieu de cela, ils les agressent à coups de pierre et ont blessé à la tête, de cette manière, une fillette de 6 ans, l’année dernière.
Et pendant ce temps les 5 garçons de Hares purgent depuis plus de 3 ans une peine de 15 ans de prison pour avoir été accusés de jeter des pierres, ce qu’ils nient au demeurant.
Cette vidéo a été publiée par une organisation de volontaires internationaux « Opération Colombe » basés dans ce village d’al-Tuwani où les habitants résistent courageusement à toutes sortes d’agressions de l’occupant, destinées à leur faire abandonner leur village.
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Les coupeurs de tête à l’ONU.
Elire l’Arabie saoudite au conseil des droits de l’homme, c’est comme nommer un pédophile directeur d’école. Mais ça y est, c’est fait. Cette monarchie est esclavagiste et corrompue. Pudibonde et obscène, elle se prosterne devant le dieu-dollar et vomit tout ce qui n’est pas wahhabite. Elle diffuse à l’échelle planétaire une idéologie débile et sectaire. Elle invoque le Créateur à chaque virement bancaire, mais elle décapite comme d’autres font un barbecue. Seulement voilà, elle a beaucoup d’amis. Et ils trouvent qu’elle a un excellent pedigree pour se voir confier la promotion des droits de l’homme. Remarquez, on a échappé au pire. On a failli lui confier les droits de la femme.
Voilà donc l’Arabie saoudite chargée, avec notre bénédiction, de soutenir les droits de l’homme comme la corde soutient le pendu. Car les Occidentaux ont voté comme un seul homme pour la candidature de Riyad. Avec une bienveillance de marchands de canons soucieux de la réputation du client, ils ont arrosé d’eau bénite cette fosse à purin. Vus de Paris, les dix milliards de contrats d’armements valent bien cette petite mascarade dont personne ne parlera plus dans 48 heures. On leur a vendu des armes, distribué des médailles, bradé l’honneur national. Tant qu’on y est, on peut aussi leur permettre de parader au sein de ce conseil qui de toutes façons ne sert à rien. Puisqu’ils y tiennent !
On pourrait craindre, bien sûr, que l’ONU y perde de sa crédibilité. L’organisation internationale s’en remettra-t-elle ? En réalité, aucun risque. L’ONU est une avaleuse de couleuvres professionnelle. Elle n’est pas à un paradoxe près. Elle tente de donner une apparence de réalité à cette fiction qu’est la communauté internationale, mais personne n’est dupe. Le conseil des droits de l’homme a des attributions ronflantes, mais ce machin onusien est devenu la bonne-à-tout faire des ploutocrates. L’arène internationale est un champ de forces où les alliances se font et se défont. Richissime, la monarchie wahhabite a des moyens de persuasion que n’a pas le Burkina Faso.
Que cette élection au CDH (28 octobre) ait eu lieu trois semaines après le massacre perpétré à Sanaa par l’aviation saoudienne (8 octobre) ne manque pas de sel. Quel symbole ! L’admission en grande pompe au conseil des droits de l’homme, c’est la prime à l’assassin. On a heureusement échappé au Prix Nobel de Laurent Fabius, l’apologiste alcoolique des psychopathes d’Al-Nosra. On a frôlé celui des Casques blancs « auto-reverse », brancardiers le jour et tortionnaires la nuit. Mais c’était plus fort que tout. On n’a pas pu éviter l’élection des coupeurs de tête saoudiens au conseil des droits de l’homme de l’ONU.
On aurait dû surtout demander ce qu’il en pense au peuple yéménite. Il subit tous les jours des bombardements qui ont fait 10 000 morts et provoqué une crise humanitaire sans précédent. Mais on s’est bien gardé de lui demander son avis, à ce peuple arabe martyr, avant de coller ce nouveau fion de hamster au revers du veston wahhabite. Car les droits de l’homme, en fait, c’est bon pour justifier les bombardements, pas pour les interdire. Sauf s’ils sont russes. Et même lorsqu’il n’y a pas de bombardement ! Explication.
Comme par hasard, deux jours avant le scrutin onusien, une école a été attaquée à Idlib (Syrie). Selon l’ONU, il y a eu 28 morts dont 22 enfants. L’ONU n’a accusé personne, faute de preuves. Mais les officines de propagande et les médias occidentaux ont accusé la Russie. Niant toute implication, le ministère russe de la Défense a fourni les preuves qu’il n’y avait pas eu de bombardement aérien. Aucune importance ! L’essentiel, c’est le vacarme organisé contre Moscou avant l’élection des membres du conseil des droits de l’homme. Résultat : la Russie a obtenu moins de voix que la Croatie. Contrairement à l’Arabie saoudite, elle ne fait plus partie du CDH. Mission accomplie.
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Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
Visage de Jérusalem: Un projet judaique à un coût de 2,5 milliards de dollars.
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Des efforts israéliens pour bloquer l’accession de l’Autorité Palestinienne à l’Interpol.
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Le barrage de Zatara, le point de la mort, la cible des révolutionnaires.
Il sépare le nord de la Cisjordanie de son centre et de son sud, le barrage de Zatara. Il est au milieu de trois départements : Naplouse, Ramallah et Silfit.
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Campagne sioniste pour imposer la souveraineté sur «Ma’aleh Adumim» et l’annexer à l’entité.
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Les canonnières sionistes ciblent les pêcheurs et leurs barques dans la mer de Gaza.
Les canonnières sionistes ont ciblé le samedi soir 29, les pêcheurs palestiniens et leurs navires dans la mer de Gaza.
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Mort du père du prisonnier Bassem Khandakji.
Le père du prisonnier Bassem Khandakji (Saleh Adib Khandakji 68 ans) dans la ville de Naplouse au nord de la Cisjordanie occupée.
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Les colons profanent les esplanades d’al-Aqsa sous la protection de la police.
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L’occupation mène une campagne d’arrestations en Cisjordanie.
Les forces armées d’occupation israéliennes ont mené le dimanche 30 une campagne d’arrestations dans un certain nombre de parties de la Cisjordanie occupée.
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Ramallah: Les soldats israéliens attaquent un mineur palestinien.
Un enfant palestinien a souffert le samedi soir, des fractures et des contusions après avoir été battu sévèrement par les forces armées d’occupation israéliennes.
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Qalqilia: Un civil palestinien arrêté à Azzoun.
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Hébron: l’occupation annonce une zone militaire fermée.
Les forces armées d’occupation israéliennes ont annoncé, plus tard hier soir samedi 29, le village de Seir au nord-est de la ville d’Hébron une zone militaire fermée.
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Des tirs de feu sur une voiture d’un colon près de Atsioun.
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7 détenus palestiniens poursuivent leur grève de la faim.
L’Instance des affaires des détenus palestiniens a indiqué que sept détenus dans les prisons d’occupation israéliennes poursuivent encore leur grève ouverte de la faim.
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Le Centre Palestinien D’Information, sur http://french.palinfo.com