Programmes de diffusion sur MouslimRadio

Actuellement, en direct sur Loading ...


Flash info du 25 Shawwal 1438.

Flash info du 25 Shawwal 1438.
Pour écouter MouslimRadio partout ou vous voulez, télécharger l’application Tunein, disponible pour tout les types de téléphone, tablette et même les pc. Android, iPhone, Windows phone, etc… Tapez MouslimRadio dans la barre de recherche Tunein et hop, vous nous écouter, inch Allah… Les liens sont aussi visible sur notre site, www.mouslimradio.info.
******************************************************************


Voici pourquoi la mort de Malik El Shabbaz (Malcolm X) était programmée !
La mort de Malcom X reste un grand mystère à un moment de sa vie où la lutte pour la défense des droits des noirs américains est à son paroxysme.
Ce militant au parcours atypique a été toute sa vie une cible privilégiée.
Le leader du partie «Nation of Islam» a combattu sans relâche le racisme et la ségrégation à l’encontre des Noirs.
Lors d’un passage par la case carcérale dans sa jeunesse, Malcom X se rapproche des “Black muslims” et se reconvertit à l’Islam en choisissant comme nouveau nom musulman Malik El Shabbaz.
Son mouvement prend de l’ampleur passant de 500 membres en 1952 à 30.000 en 1963 comme sa foi, puisque en 1964 il prend la décision d’effectuer son pèlerinage à La Mecque.
Malgré son courage et sa témérité, il est sauvagement abattu par vingt et une balles le 21 février 1965, à l’âge de 39 ans, devant un auditoire de 400 personnes comprenant sa femme et ses enfants.
Qui a orchestré la mort du défenseur des droits civiques?
Trois membres de «Nation of Islam» seront reconnus coupables en 1966 : Norman Butler, Thomas Johnson et Talmadge Hayer. L’organisation elle-même niera toute participation à l’assassinat. « Betty Shabazz (l’épouse de Malcolm X), qui est morte en 1997, a publiquement accusé Farrakhan d’un rôle dans le meurtre.
Reportage vidéo à voir sur www.mouslimradio.info.
w w w . m o u s l i m r a d i o . i n f o .

AJIB.FR
***

Nelson Mandela Day : 67 minutes contre la pauvreté.
L’Unesco a institué depuis 2010 le 18 juillet comme « Journée internationale Nelson Mandela » (Nelson Mandela Day). Cette journée est instaurée pour faire honneur aux combats de l’ancien président de l’Afrique du Sud, disparu en décembre 2013.
Au nom de ses 67 années de militantisme, chaque citoyen est invité à consacrer 67 minutes de son temps à une action symbolique dans la lignée de son œuvre. Pour cette septième édition, la fondation Nelson Mandela publie un guide dédié à la lutte contre la pauvreté.
Pour l’occasion, le président sud-africain Jacob Zuma a appelé ses compatriotes à « s’impliquer activement dans diverses initiatives qui peuvent changer leurs vies et sortir leurs communautés de la pauvreté ». Il a encourage la création de potagers et de coopératives agricoles, susceptibles de faciliter l’accès à la nourriture.
Une marche historique dans la ville du Cap va être conduite par Graça Machel, la veuve de Nelson Mandela. Cette manifestation doit célébrer les dix ans de l’ONG The Elders, inaugurée par le père de « la nation arc-en-ciel », qui rassemble d’anciens Prix Nobel de la paix et d’autres hommes d’Etats. L’ONG lancera ainsi son projet « Walk Together ».
Parallèlement, dans les rues du Cap, 67 musiciens iront jouer pendant 67 minutes dans différents quartiers. Les fonds récoltés lors de cette opération permettront de soutenir des programmes de développement de la musique dans les communautés les pauvres qui ont un accès limité à l’enseignement musical.
Le Mandela Day souffre cependant de quelques critiques sur le plan national. Certains fustigent l’aspect trop superficiel et symbolique des actions, jugées trop courtes pour avoir un véritable impact. La lutte contre la pauvreté et les injustices est quotidienne ; chacun est invité à y prendre part tout au long de l’année.
saphirnews.com
***

Royaume-Uni : une mosquée de Manchester cible d’un incendie criminel.
Près de deux mois après le terrible attentat qui a lourdement endeuillé la ville de Manchester, une des mosquées locales a été, dimanche soir, vers 23h45, en proie à des flammes criminelles qui ont ravagé la salle de prière et trois salles de classe, à la consternation générale et de la communauté nigériane en particulier.
Fortement ébranlés par cet acte caractérisé de malveillance, qualifié de « crime de haine » par la police du Grand Manchester, les dignitaires religieux et les quelque 300 fidèles du Centre islamique NASFAT (Nasrul-Lahi-l-Fathi Society of Nigeria), parfaitement intégré dans le paysage urbain depuis son ouverture en 2009, expriment aujourd’hui leur profonde incompréhension.
« Nous sommes des gens de paix », clame Deen Mayodole, le vice-président visiblement choqué du lieu de culte, tandis que Shamusideen Oladimeji, son porte-parole, a fait part de sa tristesse : « Nous ne savons pas pourquoi cela s’est passé. Nous essayons d’être de bons voisins et nous essayons d’être impliqués dans notre communauté locale ».
Chargé de superviser l’enquête qui a été immédiatement diligentée, l’inspecteur Walker a clairement évoqué un « crime de haine ayant endommagé un lieu de culte fréquenté par la communauté nigériane locale », avant de le condamner vigoureusement. « Personne ne devrait faire l’objet de haine et d’intolérance », a-t-il déclaré avec une fermeté empreinte de gravité.
Qui se cache derrière la main incendiaire qui, mue par des représailles vengeresses, a franchi un nouveau palier dans l’islamophobie violente, dépassant de loin dans l’effroi les différentes provocations et intimidations qui ont pris pour cible le Centre islamique Nasfat durant ces dernières années ? Shamusideen Oladimeji garde un souvenir amer des têtes de cochon déposées à plusieurs reprises devant le lieu de culte et reste meurtri par les insultes racistes proférées par de sombres individus, dont certains ont poussé l’abjection jusqu’à uriner en plein jour, au vu et au de tous, aux abords de la mosquée.
Depuis dimanche, le sentiment d’indignation grandit et s’amplifie à Manchester, à l’instar de John Flanagan, un conseiller local, qui a laissé exploser sa colère : « C’est une attaque terrible commise contre un lieu de culte. C’est intolérable ! Ce n’est pas seulement une agression contre la religion musulmane, mais contre nous tous ».
oumma.com
***

Les mathématiques en deuil : Maryam Mirzakhani est morte.
«Une triste nouvelle pour la plus élégante des sciences : les mathématiques. Maryam Mirzakhani est morte. Elle avait 40 ans et la vie devant elle. Le destin en a décidé autrement. Une lumière s’est éteinte aujourd’hui. Cela me brise le cœur…, partie bien trop tôt», a écrit Firouz Michael Naderi, scientifique américano-iranien et ancien de la Nasa, sur Twitter et Instagram au petit matin samedi. «Un génie ? Oui, mais aussi une fille, une mère et une épouse.»
«En 1994, écrit Najafi, conseiller du président Rohani, alors que j’étais responsable du ministère de l’Éducation, à notre grande surprise, Maryam a battu nos attentes, en remportant une médaille d’or à l’Olympiade internationale de mathématiques en tant que première étudiante iranienne à le faire. Mirzakhani est un bijou pour toutes les femmes iraniennes et pour toutes les femmes du monde entier. Elle est un modèle pour être humble et humain ainsi que ses capacités intellectuelles et académiques.» «Mais ce qui m’a impressionné encore plus que son génie, ce sont ses vertus qui l’ont fait un être humain complet. Au cours des années, elle a voyagé plusieurs fois en Iran pour partager ses résultats de recherche avec des mathématiciens iraniens, elle aime son pays, perdre cher Maryam à un si jeune âge apportera un immense chagrin au monde des mathématiques et à la communauté scientifique iranienne, car elle peut encore contribuer de manière inestimable à la reconnaissance et à la compréhension des sciences mathématiques.»
Qui est Maryam Mirzakhani ?
Elle fut élève du lycée Farzanegan de Téhéran, un lycée pour jeunes filles surdouées dépendant du Sampad, l’Organisation pour le développement des talents exceptionnels. Elle est lauréate des Olympiades internationales de mathématiques en 1994 à Hong Kong et de celles de 1995 à Toronto, où elle établit un score parfait. Mirzakhani obtient un BSC en mathématiques en 1999 de l’université de technologie de Sharif à Téhéran, et un doctorat de mathématiques de Harvard en 2004, sous la direction du lauréat de la médaille Fields, Curtis McMullen. En septembre 2008, elle est nommée, à l’âge de 31 ans, professeur de mathématiques à Stanford après avoir été maître de conférences à l’université de Princeton. Voici l’introduction et la conclusion d’un document de l’Union mathématique internationale consacré à la mathématicienne à l’occasion de la remise de la médaille Fields :
«Maryam Mirzakhani a apporté des contributions frappantes et très originales à la géométrie et à l’étude des systèmes dynamiques. Son travail sur les surfaces de Riemann et sur les espaces de modules met en relation plusieurs disciplines mathématiques — la géométrie hyperbolique, l’analyse complexe, la topologie et la dynamique — et les influence à son tour. À cause de sa complexité et de son inhomogénéité, l’espace des modules a souvent semblé ne pas être propice à une étude directe. Mais pas aux yeux de Mirzakhani. Elle est dotée d’une forte intuition géométrique qui lui permet d’appréhender directement la géométrie de l’espace de modules. Familière avec une remarquable diversité de techniques mathématiques et de cultures mathématiques, elle incarne un équilibre rare entre des performances techniques superbes, une audacieuse ambition, une vision qui porte loin et une curiosité profonde. Mirzakhani est destinée à rester à la pointe de cette exploration qui continue.»
«Enfant, Maryam Mirzakhani rêvait d’être écrivain mais la fièvre des chiffres et des équations la prend au collège, pour ne plus la quitter. Ses récompenses furent nombreuses. Notamment le prix Blumenthal 2009 pour l’avancement de la recherche en mathématiques pures et le prix Satter 2013 de l’American Mathematical Society. Maryam Mirzakhani était devenue, en 2014, la première femme lauréate de la plus prestigieuse récompense en mathématiques.»
Les olympiades de mathématiques: creuset de l’élite.
Les premières Olympiades internationales de mathématiques se sont déroulées en 1959 en Roumanie. Depuis, elles ont eu lieu tous les ans, sauf en 1980, en raison de dissensions internes. Actuellement, plus de 100 pays des cinq continents y participent, les élèves doivent avoir moins de 20 ans et ne pas avoir commencé leurs études supérieures, mais aucune limite n’est imposée quant au nombre de participations. L’épreuve consiste à résoudre sur deux jours, en deux séances de 4 heures et demie, deux séries de trois problèmes issus de la géométrie plane, de l’arithmétique, des inégalités ou de la combinatoire. Leur résolution fait appel plus au raisonnement qu’à des connaissances sophistiquées : les solutions sont souvent courtes et élégantes.
En Iran : un système éducatif élitiste et républicain.
On ne s’arrêtera pas de le dire, il n’y a que le savoir qui doit passer ! Maryam Mirzakhani fut élève au lycée Farzanegan de Téhéran, qui dépend de l’Organisation pour le développement des talents brillants, dont le but est de repérer les élèves surdoués ou en tout cas les meilleurs, à travers des concours nationaux, au collège et au lycée. Les lauréats font alors leurs études dans des établissements spécifiques avec un programme beaucoup plus poussé que dans la filière classique. «(…) Contrairement aux idées reçues, en Iran, les femmes sont bien plus présentes que les hommes à l’université. (…) Par ailleurs, en Iran, l’enseignement secondaire a été libéralisé à outrance, les établissements publics ont aujourd’hui un niveau très médiocre comparé à ceux du secteur privé qui coûtent très cher. Et la concurrence est rude entre les écoles privées qui vantent leur nombre d’admis aux concours d’entrée aux universités, un concours ultrasélectif. Pour étudier à l’université Sharif de Téhéran, il faut ainsi finir parmi les cent premiers sur environ un million de participants. Le système éducatif iranien est donc devenu au fil du temps ultraélitiste, basé sur une compétition incessante, organisée depuis le collège et jusqu’à l’université. Selon le quotidien Shargh, 76% des Iraniens médaillés dans les olympiades internationales en mathématiques, entre 1993 et 2013, se trouvent actuellement dans les plus grandes universités américaines (…) Après avoir passé les premières années universitaires à Sharif, elle choisit de partir pour obtenir un doctorat à Harvard, avant de traverser les Etats-Unis pour enseigner à Stanford, en Californie.».
Il a fallu donc attendre 78 ans avant que la médaille Fields ne soit décernée à une femme. L’annonce a été faite lors du Congrès international des mathématiques qui s’est tenu à Séoul, en Corée du Sud. Le président iranien, Hassan Rohani, a posté un tweet félicitant Maryam Mirzakhani, lauréate de la médaille Fields de mathématiques. «Félicitations à celle qui devient la première femme à remporter la médaille Fields et rend les Iraniens très fiers», écrit le dirigeant de la République islamique sur son fil Twitter.
La mort prématurée de Maryam Mirzakani est une grande perte pour la science, pour la condition de la femme en terme d’icône . Puisse son parcours susciter des vocations chez nos jeunes en Algérie et enfin faire émerger dans le pays des vocations mathématiques qui ont disparu dans le pays La science est la seule défense immunitaire du pays dans un monde qui ne fait pas de place aux faibles et aux incompétents.
oumma.com
###################################
####### Aujourd’hui en Palestine #######
####################################

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
Colonisation: 900 nouveaux logements approuvés à Jérusalem
.
Le tribunal israélien libère un soldat reconnu coupable d’homicide involontaire
.
L’occupation prend d’assaut la maison de l’auteur de l’attaque d’Hébron
.
Prise d’assaut de Beit Ummar et plusieurs cas d’asphyxie
.
Le personnel du Waqf refuse d’entrer à al-Aqsa à travers les portiques électroniques
.
Hébron: Un palestinien tué après une attaque à la voiture bélier
.
La mère de Shaul adresse un message à son fils après 3 ans de captivité à Gaza
.
Turquie: La fermeture d’Al aqsa est un crime contre l’humanité
.
Mesures sionistes: la ville de Jérusalem occupée sous haute tension
.
Corruption: L’Allemagne suspend la signature de l’accord de vente des 3 sous-marins avec l’occupation
.
Scandale des sous-marins: un suspect pourrait devenir un témoin de l’accusation
.
Mesures strictes sionistes aux entrées d’al-Aqsa
.
L’occupation agresse des Jérusalémites devant la porte des Lions
.
L’occupation arrête quatre palestiniens dont un journaliste de Naplouse
.
L’EuroMed appelle à une position internationale unifiée face aux violations de l’occupation à Jérusalem
.
Mises en garde contre les atteintes israéliennes à al Aqsa et les mesures répressives à Jérusalem
.
Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
.

Le Centre Palestinien D'Information
///////////////////////////////////////////////////
LES TAGS
///////////////////////////////////////////////////
#flashinfo #journal #quotidien #information #presse #attentat #daesh #étatislamique #isis #tv #radio #article #islam #news #musulman #coran #sourate #croyance #islamophobie #ccif #islamophobe #cri #ldj #ldjm #gaza #palestine #ouighours #immigration #fn #israel #valls #hollande #terroriste #racisme #nazisme #Rohingyas #tartar #réfugier #migrant #hindoue #hindou #cpi #CentrePalestinienD’Information #sif #secoursislamique #mouslimradio #tunein