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Flash info du 29 Joumada al Awwal 1439.

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Sur Ajib.fr, voici les titres.

Grande-Bretagne : « Visit My Mosque » est de retour, une initiative destinée à rapprocher les communautés.
La communauté musulmane meurtrie dans sa chair par un acharnement médiatique sans précédent au lendemain des attentats, ressent aujourd’hui le besoin de donner une image loin des clichés véhiculés par la presse.
A l’image des musulmans de Birmingham et des Midlands en Grande-Bretagne qui préfèrent s’ouvrir aux autres plutôt que de se morfondre en ruminant leur peine.
C’est ainsi qu’à chaque événement, les mosquées de ces deux villes invitent les personnes de tout horizon à venir partager un moment de convivialité lors de journées portes ouvertes.
200 autres lieux de culte musulman à travers le Royaume-Uni participent à l’initiative organisée par le Conseil musulman de Grande-Bretagne (MCB), un organisme indépendant qui représente plus 500 organisations différentes, y compris des mosquées, des écoles et des organisations caritatives.
« Visit My Mosque » va donner la possibilité à chacun de découvrir les musulmans, leur foi et leurs traditions autour d’un thé chaud et de bons petits gâteaux. Une initiative qui tend à rétablir les liens qui ont toujours uni les différentes communautés du pays.
Un élan de fraternité sous forme de portes ouvertes dès le 17 février 2018 ou chacun qu’il soit musulman, chrétien, juif ou athée, pourra visiter une mosquée et avoir un aperçu des activités quotidiennes d’un centre de culte musulman.
L’année dernière, 150 mosquées ont pris part à l’initiative, les organisateurs espèrent faire encore mieux cette année. Chaque mosquée organise ses propres activités, certaines ont prévu de diffuser des vidéos et d’autres ont organisé des expositions sur l’Islam.
« Beaucoup de mosquées organisent des événements où les gens d’autres religions (ou pas de foi) sont les bienvenus et de nombreuses mosquées organisent déjà des journées portes ouvertes régulièrement. »
« Ils réussissent parce que les mosquées à travers le pays se sont rassemblées pour un but commun, et c’est ce que le MCB est à propos », a déclaré le responsable du centre islamique.
Les objectifs de « Visit My Mosque » sont bien sûr d’améliorer l’entente et la cohésion entre les différentes communautés :
Encourager toutes les mosquées en Grande-Bretagne à tenir une journée portes ouvertes au moins une fois par an.
Travailler pour une appréciation plus éclairée de l’Islam et des musulmans dans la société en général.
Travailler pour réduire les idées fausses sur l’Islam et les musulmans en Grande-Bretagne.
Célébrer la vaste gamme de projets de bienfaisance, de sensibilisation et d’action sociale réalisés par les mosquées en Grande-Bretagne.
Le devoir du musulman est de respecter les enseignements transmis par notre Prophète ‘alayhi wa salam. Dans leur pays d’immigration, ils doivent s’attacher à leur mosquée, l’ouvrir aux autres et prendre soin de son rôle spirituel et cultuel.
Un cerveau croyant, une foi intelligente, un sourire chaleureux et une belle patience, tels sont les obligations qui incombent aux musulmans du monde entier.

Sur Katibin.fr, rien de neuf.

Sur journal du musulman.fr, rien de neuf.

Sur islam et info.fr, rien de neuf.

Sur saphirnews.com, voici les titres, rien de neuf.

Attentats du 13-Novembre : Jawad Bendaoud, « le logeur de Daesh », relaxé.
Le tribunal correctionnel de Paris a prononcé, mercredi 14 février, la relaxe de Jawad Bendaoud, jugé pour « recel de malfaiteurs » après avoir mis à disposition à deux auteurs des attentats du 13-Novembre un squat à Saint-Denis.
Agé de 31 ans Jawad Bendaoud, surnommé « le logeur de Daesh », avait clamé son innocence durant son procès qui a duré trois semaines. « Il faut souligner que vous avez été constant dans vos déclarations. Vous avez eu instantanément des doutes sur les personnes que vous alliez héberger », a indiqué la présidente du tribunal correctionnel de Paris.
Jawad Bendaoud devrait être libéré dans les prochaines semaines, après avoir purgé une peine liée à une autre affaire. L’homme, qui est apparu méconnaissable au tribunal, a fait la Une des médias lors de l’assaut de Saint-Denis le 18 novembre 2015 après avoir déclaré, face aux caméras de BFM, qu’il avait « rendu service » à des hommes sans savoir que « c’étaient des terroristes ».
Mohamed Soumah, jugé comme Jawad Bendaoud pour « recel de malfaiteurs terroristes », a en revanche écopé de cinq ans de prison avec maintien en détention pour avoir mis en relation Hasna Aït Boulahcen, la cousine d’Abdelhamid Abaaoud, l’un des cerveaux présumés des attentats du 13-Novembre, avec Jawad. « Vous ne pouviez ignorer que les terroristes étaient des fugitifs liés aux attentats du 13-Novembre », a signifié la magistrate.
Youssef Aït Boulahcen, le cousin d’Abdelhamid Abaaoud et frère d’Hasna Aït Boulahcen, a été, quant à lui, été condamné à quatre ans de prison, dont un avec sursis pour « non-dénonciation de crime terroriste ».
Racisme : après la double peine pour Mario Balotelli, le CRAN porte plainte
Un malheur ne vient jamais seul et le footballeur Mario Balotelli l’a appris à ses dépens sur le terrain à Dijon. Après avoir encaissé des propos racistes de la part du public, l’arbitre a décidé… de donner un carton jaune au joueur de Nice.
La sanction est tombée après que Mario Balotelli se soit « agacé d’insultes racistes du public », a indiqué son club. Les propos racistes ont coulé à flot contre l’international italien pendant le match au point où le speaker a dû intervenir pour inciter les spectateurs à arrêter les propos racistes contre le joueur.
Interpellé par les préjudices psychologiques subis par Mario Balotelli, le Conseil représentatif des associations noires de France (CRAN) a dénoncé un racisme de l’arbitre et a entamé des procédures judiciaires contre Nicolas Rainville. Pour Louis-Georges Tin, président du CRAN, « c’est le monde à l’envers. Une fois de plus, ce sont les victimes qui sont sanctionnées ». Sur le site du CRAN, Ghyslain Vedeux, administrateur de l’association, a fait savoir que « le temps de l’impunité est terminé et le droit doit être respecté ».
Ce n’est pas la première fois que Mario Balotelli subit des propos racistes lors de matches. Et il n’en est pas l’unique victime.
Après ce récent incident, Jean-Pierre Rivère, président de l’OGC Nice, a exprimé son indignation par rapport aux insultes subies par Mario Balotelli, rappelant que « le racisme n’a pas sa place dans un stade de football, ni où que ce soit ». À quelques mois de la Coupe du monde en Russie, le CRAN lance « une campagne contre le racisme dans le sport » et exige l’intervention de la ministre des Sports Laura Flessel, « avec toute la sévérité nécessaire ».
Saint-Valentin : fêter l’amour n’est pas un péché, pour le mufti de Tunisie .
Fêter la Saint-Valentin, fête de l’amour célébrée le 14 février, est-elle contraire aux préceptes de l’islam ? Non, pour le mufti de la République tunisienne Othman Battikh qui a affirmé au journal Akher Khabar,
Fêter l’amour n’est pas un péché tant que « ça ne transgresse pas des bonnes mœurs », a-t-il affirmé, et ceci sans que cela ne signifie pour les musulmans célébrant la Saint-Valentin qu’ils embrassent le christianisme.
« Tout ce qui rapproche les gens les uns des autres et les réunit est quelque chose de bon et requis » en islam, a ajouté le dignitaire religieux, déplorant l’intolérance qu’une occasion de prôner l’amour suscite. « L’amour est une des valeurs de l’islam. L’islam, c’est l’amour d’Allah et aimer Allah, c’est aimer les autres », a-t-il indiqué.
Ce n’est pas la première fois qu’Othman Battikh fait une telle déclaration sur la Saint-Valentin. Le mufti déclarait déjà en 2013 qu’« il n’y a pas de mal si certains le fêtent sans pour autant dévier de la bonne morale ».
Megan Markle en visite privée dans une mosquée en soutien aux survivants de la tour Grenfell .
Megan Markle, la fiancée du prince Harry, a effectué une visite privée dans une mosquée de Londres afin d’y rencontrer les survivants de l’incendie de la tour Grenfell, qui avait fait 80 morts en juin 2017.
Marchant sur les traces de la défunte princesse Diana, Meghan Markle participe à des œuvres de charité dans la discrétion. Elle a ainsi effectué des rencontres secrètes auprès de survivants et de familles des victimes pour leur manifester son soutien et leur apporter du réconfort, st’en fait l’écho la presse britannique mardi 13 février.
L’action de la princesse a naturellement été bien accueillie. Au cours de l’une de ces visites, Meghan Markle serait passée à la mosquée Al Manaar, située à côté des ruines de la tour Grenfell, dans la partie ouest de Londres, accompagnée uniquement de quelques gardes royales et d’une assistante.
Les princes William et Harry ont également visité la mosquée au mois de septembre 2017 en guise de soutien aux victimes de l’incendie.
Le directeur exécutif de la mosquée Al Manaar, Abdulrahman Sayed, a rapporté que, depuis la visite des princes, au moins trois visites de la famille royale ont été organisées. La reine Elizabeth II a également effectué une visite – publique cette fois – de la mosquée, qui a été l’un des premiers centres à recevoir de la nourriture, de l’eau, des refuges et des accompagnements psychologiques pour les victimes et leurs familles après l’incendie.

Sur oumma.com, voici les titres.

France : Var : la justice tranche en faveur de la décision d’inaugurer une plaque de rue en mémoire de Yasser Arafat.
A la Seyne-sur-Mer, dans le département du Var, la quiétude des lieux a été moins troublée par l’inauguration d’une plaque de rue portant le nom de Yasser Arafat que par la polémique bassement politicienne attisée par un conseiller municipal d’opposition…
Irrité par le bel hommage rendu au défunt leader palestinien par Marc Vuillemot, le premier magistrat de la cité, Jean-Pierre Colin, un élu UDI-Les Républicains, n’a manifestement pas supporté que sa commune soit la première, à l’échelle nationale, à honorer ainsi la mémoire de la grande figure de la résistance palestinienne.
Ni une ni deux, ce dernier a saisi le tribunal administratif de Toulon afin de faire annuler une délibération municipale qui lui restait en travers de la gorge.
Jouant les Cassandre, il prédisait l’irruption de « troubles à l’ordre public » dans sa bonne ville, consécutifs au dévoilement de la plaque « Yasser Arafat, prix Nobel de la paix 1994 », sans réaliser que celui qui semait vraiment le trouble en en faisant tout un foin, c’était lui !
Les lendemains qui déchantent prophétisés par Jean-Pierre Colin ont laissé de marbre le tribunal de Toulon, qui vient de rejeter sa demande et de donner raison à la municipalité. Le moins que l’on puisse dire est que le juge n’a pas été sensible à sa rhétorique anxiogène, selon laquelle « cette dénomination porterait atteinte à l’image de la ville ou du quartier ».
En plus d’être passé pour le trublion local, il est l’arroseur arrosé de l’histoire, puisqu’il a été condamné à verser 2 000 euros à la commune, en dédommagement des frais de procédure. Reste à savoir s’il aurait attrapé le même coup de sang devant une plaque de rue baptisée du nom d’un leader israélien…
La femme de Tariq Ramadan soutient son mari.
Le comité de soutien de Tariq Ramadan a publié une vidéo de son épouse Iman Ramadan qui évoque la situation de son mari. Elle affirme que jusqu’à présent, elle n’ a pas pu obtenir un permis de visite qui lui permettrait de voir son époux en prison. Elle estime également que Tariq Ramadan “a été désigné coupable dès le début”, et qu’il “est victime d’un lynchage médiatique.” Elle se dit également très inquiète de l’état de santé de son mari qui souffre “d’une sévère maladie chronique depuis des années”.
reportage a voir sur oumma.com.
Quel est l’avenir judiciaire de Tariq Ramadan?
L’incarcération de l’islamologue suisse est-elle justifiée juridiquement ? Un procès est-il inévitable? Combien de temps va encore durer l’instruction? Autant de questions d’une actualité brûlante auxquelles a répondu un expert en la matière : l’avocat Hosni Maati.
reportage a voir sur oumma.com.
Isla Mondial licencie son directeur général Karim Acherchour.
Arrivé en 2013 à la direction de Isla Mondial et à l’origine du partenariat avec AVS ( l’organisme de certification halal), Karim Acherchour a été limogé par Isla Mondial. Contacté par Oumma, un membre de la direction générale d’Isla Mondial a confirmé cette information, indiquant qu’une procédure de licenciement était actuellement en cours.
Isla Mondial, une société spécialisée dans la charcuterie halal et filiale française du groupe Cévital, dirigée par la famille Rebrab, l’un des groupes algériens les plus importants par son chiffre d’affaires (environ 5 milliards de dollars), a nommé un tout nouveau directeur général qui n’est autre que Xavier Delcourt, le directeur de son site de production depuis 2012.
Dans notre entretien avec la direction générale d’Isla Mondial, il nous a été précisé qu’une rencontre a eu lieu récemment avec les dirigeants d’AVS, afin de confirmer la poursuite du partenariat entre les deux structures. Rappelons que Karim Acherchour a joué un rôle majeur dans l’établissement de ce partenariat entre AVS et Isla Mondial.
Contacté par la rédaction d’ Oumma, Karim Acherchour dément catégoriquement ce licenciement et affirme que son départ est lié à la fin de sa mission accomplie au sein d’Isla Mondial, au terme de 5 années de bons et loyaux services.
Selon des sources proches des différents acteurs, ce licenciement, soudain et inattendu, pourrait s’expliquer par un éventuel conflit d’intérêt, impliquant l’un des fournisseurs de la société Isla Mondial, découvert par la famille Rebrab.
Une institutrice marocaine égaye l’hiver de ses petits élèves.
Alors que la rigueur hivernale sévit à Sidi Bennour et ses alentours, engourdissant la nature mais aussi les habitants, transis de froid, la belle attention d’une enseignante à l’égard de ses petits élèves leur a procuré une douce sensation de réconfort, de celle qui réchauffe l’âme et les corps à la fois.
Encensée sur les réseaux sociaux marocains pour avoir su égayer un pâle matin de février, Imane Karam a mis du soleil dans les cœurs en disposant sur chaque table une paire de bottes et de chaussettes.
Cette surprise, aussi agréable qu’utile, qui a fait oublier en un instant la rudesse de l’hiver aux plus vulnérables d’entre nous, recèle un autre bienfait, comme l’ont rappelé certains internautes : elle renoue avec la jolie tradition d’antan, quand il était de coutume, dans les écoles marocaines, qu’un instituteur accueille ses écoliers avec un cadeau déposé sur leur petit bureau.
Palestine : La police israélienne demande l’inculpation de Netanyahou pour corruption, fraude et abus de confiance.
Dans le collimateur de la police israélienne qui a recommandé mardi à la justice de l’inculper pour un beau palmarès crapuleux, fait de corruption, fraude et abus de confiance, Benyamin Netanyahou, le Premier ministre israélien et grand fossoyeur de la paix au Proche-Orient, clame son innocence, balayant d’un revers de main l’idée même de démissionner, avec l’arrogance qui le caractérise.
Dans un communiqué, la police a indiqué ce mardi “qu’il existait suffisamment de preuves contre le Premier ministre pour l’inculper pour avoir accepté des pots-de-vin, pour fraude et abus de confiance” dans deux affaires qui ont demandé deux ans d’enquête.
Lors d’une intervention télévisée, Benjamin Nétanyahou s’est enferré dans ses dénégations. “Notre gouvernement terminera son mandat et je suis sûr qu’aux prochaines élections (en novembre 2019) j’obtiendrai de nouveau votre confiance”, a-t-il martelé, les traits du visage crispés, en s’adressant aux Israéliens. “Ces recommandations n’ont aucune valeur juridique dans un pays démocratique”, a-t-il ajouté.
Dans le premier des deux scandales qui l’éclaboussent, le boucher de Gaza est soupçonné d’avoir reçu des des pots-de-vin sous forme de cadeaux – par exemple des cigares de luxe dont il raffole – de la part de riches personnalités comme James Packer, milliardaire australien, ou Arnon Milchan, producteur israélien à Hollywood.
La valeur totale de ces présents a été chiffrée par les médias à des dizaines de milliers de dollars.
La police considère également qu’il y a eu corruption dans le cadre d’un accord secret qu’il a tenté de conclure avec le propriétaire du Yediot Aharonot, Arnon Moses, pour une couverture favorable de la part de ce journal, le plus grand quotidien israélien payant. La police a recommandé l’inculpation de M. Moses pour corruption.
La décision de mettre officiellement en examen Benyamin Netanyahou, 68 ans, dépend maintenant du procureur général Avishaï Mandelblit, dont l’arbitrage ne sera rendu que d’ici à plusieurs semaines. A quand son inculpation pour crimes de guerre et contre l’humanité dans une Palestine illégalement occupée et opprimée dans le sang ?

Sur Mizane.info, rien de neuf.

Sur des domes et des minarets.fr, rien de neuf.

Sur tribune lecteurs.com, le journal d’algérie, voici les titres.

Djamel Kaouane, ministre de la Communication : « L’Etat ne se désengagera pas du soutien à la presse ».
Le ministre de la Communication, Djamel Kaouane, a affirmé hier à Alger que l’Etat ne se désengagera pas du soutien à la presse, soulignant que des aides seront dégagées à travers le Fonds d’aide à la presse qui est « en cours de constitution ». « L’Etat ne se désengagera pas de son soutien multiforme à la presse, impactée par la crise économique qui touche l’Algérie, à l’instar des autres pays dans le monde », a affirmé M. Kaouane qui s’exprimait sur les ondes de la Chaîne 3 la Radio nationale, relevant, toutefois, que la presse nationale « doit trouver les ressources nécessaires pour passer ce cap et se redéployer ». « Il s’agit d’un soutien indirect à travers la publicité institutionnelle et l’impression des journaux », a expliqué le ministre, faisant observer que « de bout en bout de la chaine, le papier et les intrants sont soutenus ». Il a ajouté que « d’une manière directe, il y aura des aides à travers le Fonds d’aide à la presse, qui est en cours de constitution », précisant que « sans ces formes de soutien direct ou indirect et sans le soutien de l’Etat, aucun média ne pourrait survivre à un marché très difficile ». Interrogé sur les dettes des titres de la presse nationale envers les sociétés d’impression publiques, le ministre a indiqué que ces dettes sont « très importantes », relevant au passage que le marché de la publicité « est en crise ». Selon M. Kaouane, les chiffres d’affaires de certains annonceurs ont chuté de plus de 60%, ce qui a eu des effets sur les médias, a-t-il relevé, estimant, à ce propos, que « le modèle économique de la presse algérienne doit être revu ». Dans le même sillage, il a fait remarquer que la loi sur la publicité « ne concerne pas uniquement le volume d’annonces destinés aux journaux, mais elle relève aussi d’une question de régulation, d’éthique et de contenu ».
Dégringolade du dinar, 2000 milliards du DA dans la nature, les réserves de change en baisse… : Le noir bilan des finances publiques.
La masse monétaire circulant dans l’économie jusqu’au 31 décembre 2017 était de 4780 milliards de dinars, a déclaré le gouverneur de la Banque de l’Algérie, Mohamed Loukal, hier en réponse aux questions des députés à propos de la présentation du rapport annuel 2016 relatif à l’évolution économique et monétaire en Algérie. Selon le gouverneur de la Banque d’Algérie sur les 4780 milliards de dinars » entre 1500 et 2000 milliards de dinars sont en dehors du circuit bancaire, thésaurisés chez les privés et/ou opérateurs économiques. D’où l’importance d’introduire cet argent dans le circuit bancaire « . Mohamed Loukal a aussi précisé que » la masse monétaire hors du circuit bancaire a connu une baisse de 105 milliards de dinars en un mois (décembre 2017) « . Il a expliqué cette baisse par l’instruction prise par la Banque d’Algérie, en octobre 2017, concernant la domiciliation bancaire des importations destinées à la vente en l’état. En outre, il a souligné » que le taux de change a connu une stabilité relative au deuxième semestre 2016 et au premier semestre de 2017 par rapport aux deux monnaies, le dollar et l’euro, 0.53% et 0.23% respectivement. A ce sujet le gouverneur de la Banque d’Algérie a assuré que » le dinar n’a pas été dévalué « . Les réserves de changes de l’Algérie ont connu une régression de 16,8 milliards de dollars au cours de l’année 2017, passant de 114,1 Mds de dollars en décembre 2016, à 97,3 Mds de dollars fin 2017, a indiqué hier le gouverneur de la banque d’Algérie Mohamed Loukal.Le gouverneur a dans ce sens, averti sur les capacités de la Banque d’Algérie de faire face aux chocs extérieurs, si la baisse continue sur ce rythme. Ainsi, compte tenu des perspectives de stabilité des prix des hydrocarbures à moyens terme à des niveaux proches de ceux actuels, et le déficit des comptes extérieurs, qui reste élevé, notamment celui des biens et services, » des efforts supplémentaires sont nécessaires pour diminuer la demande interne et améliorer l’offre locale de biens, et pour réduire l’érosion des réserves officielles » a exhorté l’intervenant.
Compatibilité de l’islam avec les valeurs de la société française : 56% des Français ont une opinion positive.
Au moment où la majorité des Français pense que l’islam est compatible avec les valeurs de la République, le devenir de l’islam en France occupe une fois de plus la scène du débat politique, notamment depuis l’annonce de la volonté du président Emmanuel Macron de réorganiser le culte. Dans un sondage effectué, les 2 et 3 février derniers, sur ce sujet, l’Institut français d’opinion publique (Ifop) a posé une nouvelle fois aux Français la question de la compatibilité de l’islam avec les valeurs de la société française. Pour 56 % des Français, la réponse était oui, contre 43% qui pensent l’inverse. En septembre 2016, 56% des sondés répondaient, au contraire, que l’islam était incompatible avec les valeurs de la société française (contre 44%). En effet, selon le JDD, le président français prépare une réorganisation » complète » du culte musulman en France, prévoyant la création de nouvelles instances représentatives des musulmans, l’élaboration d’un cadre pour le financement des lieux de culte et la collecte des dons et un programme de formation des imams. Mais en toile de fond à cette « restructuration » c’est sa volonté de « réduire l’influence des pays arabes », qui, selon le premier magistrat de l’Hexagone, à en croire le JDD, » empêche l’islam français d’entrer dans la modernité « . Depuis le rapport établi par le Sénat sur le financement du culte musulman, dans lequel il a donné des chiffres par pays, aucune solution n’a été trouvée par l’Etat français, piégé par sa laïcité, une barrière qui lui interdit de s’immiscer dans les affaires religieuses. Même la Fondation de l’islam de France, mise en place par François Hollande, semble se mouvoir sur un terrain défavorable, notamment par le choix d’un chrétien à sa tête en la personne de Jean-Pierre Chevènement. Ce que beaucoup de musulmans en France, soucieux de vivre leur religiosité comme leurs concitoyens chrétiens ou juifs, craignent qu’à travers cette » structuration » l’on se dirige vers une » déstructuration » de l’islam en France. D’abord, ils récusent l’appellation de » « l’islam de France « , de par l’universalité de cette religion monothéiste au même titre que le christianisme ou le judaïsme et du fit qu’il n’existe pas de christianisme ou de judaïsme de France.
La DGSN célèbre la journée nationale du chahid : La mémoire collective nationale mise en avant.
Le directeur Général de la sûreté nationale accorde un intérêt particulier à la préservation de la mémoire collective nationale, à travers l’organisation de plusieurs journées et rencontre historiques dans ce sens. En effet, hier à l’école de police Ali Tounsi , la DGSN a organisé une réunion historique intitulée : » le message du chahid ; un message de sécurité et de stabilité » , animée par Tayeb El Houari , secrétaire général de l’organisation nationale des fils de chouhada en présence des cadres parlementaires, des cadres du sénat, de la sûreté nationale et la société civile. La célébration de la Journée nationale du chahid qui coïncide au 18 février de chaque année est l’occasion de rappeler aux générations futures que l’Algérie d’aujourd’hui est le fruit des sacrifices de ceux qui ont résisté à l’invasion française. Dans son allocution, lue au nom du DGSN, le contrôleur de police,Aboubekeur Bouhamed a mis l’accent sur l’importance de cette journée nationale et historique pour entretenir la mémoire de tous ceux qui ont sacrifié leur vie pour une Algérie indépendante. Il a insisté égalementsr la fierté de l’Algérie d’avoir un passé glorieux qui constitue l’avenir d’une génération future. » Chacun de nous devra assumer ses responsabilités, en s’engageant à préserver la paix et la sécurité dans notre pays « . Le même responsable a fait savoir que la mémoire collective et nationale est primordiale pour assurer l’avenir de nouvelles générations. De son côté, le secrétaire général de l’Organisation nationale des enfants de chouhada (ONEC), Tayeb El Houari, a mis en avant la symbolique de la commémoration de cette journée en guise de reconnaissance aux sacrifices des martyrs. Il a souligné l’importance de préserver le legs des martyrs de la guerre de libération nationale et d’en tirer les enseignements pour assurer la sécurité et la stabilité du pays. » Le message du chahid a permis que notre Algérie reste sécurisée et très forte » a-t-il ajouté. Le conférencier a salué les efforts de la DGSN dans la préservation de la mémoire collective nationale de l’histoire de l’Algérie. » La création du forum de la mémoire de la sûreté nationale atteste l’intérêt accordé par la DGSN pour préserver la mémoire nationale des algériens. La DGSN entant qu’institution très forte et efficace est la seule à ancrer le principe du message du chahid . La DGSN est un exemple de persévérance de professionnalisme » a-t-il souligné.

Sur le muslim post.com, voici les titres.

Un « nouveau concordat » pour l’Islam, la fausse bonne idée ?
C’est l’idée qui ressort tous les ans. A l’été 2016, Gérald Darmanin, alors maire Les Républicains de Tourcoing, Jean-François Copé ou encore Benoist Apparu évoquait la possibilité de mettre en place un concordat vis-à-vis de l’Islam, comme ce qui se fait actuellement avec plusieurs religions en Alsace-Moselle. Au moment de l’attentat à Saint-Etienne-du-Rouvray, le ministre de l’Intérieur de l’époque, Bernard Cazeneuve, avait alors déclaré : « Tout en gardant mes principes républicains, je m’interroge sur l’usage vis-à-vis de l’Islam d’un concordat tel que celui en vigueur en Alsace-Moselle ». En envisageant ce concordat, Bernard Cazeneuve entendait, disait-il, « arrêter de se faire instrumentaliser par la droite sur la question de l’Islam. »
Qu’impliquerait un concordat ?
Historiquement, le Concordat a été promulgué par Napoléon pour, entre autres, encadrer le judaïsme en 1807. S’il s’agit officiellement « de créer les conditions d’une concorde, c’est-à-dire d’une paix durable » entre religion et République, l’idée était surtout de contrôler le judaïsme français en le centralisant et en le hiérarchisant grâce à la mise en place du Consistoire. Or, les musulmans, eux, n’ont pas d’organisation centralisée et hiérarchisée. Certes, le Conseil français du culte musulman (CFCM), mis en place par Nicolas Sarkozy, devait jouer ce rôle. Mais on en est encore loin.
La loi de 1905 ne permet aujourd’hui pas officiellement à l’Etat français de gérer le financement des lieux de culte. Les dirigeants favorables au concordat estiment que ce dernier permettrait d’éloigner le culte musulman des influences extérieures. Jean-François Copé expliquait par exemple qu’il fallait « créer un institut de formation des imams, consacrer la reconnaissance de la communauté musulmane française dans les cimetières, poser le principe d’un programme de construction de lieux de culte musulmans (…) dont le financement serait assuré par un fonds, géré par la Caisse des dépôts et alimenté par les dons des musulmans de France. »
Les sénateurs contre un concordat.
Le concordat, s’il allait dans ce sens, serait « donnant-donnant », proposait Jean-François Copé il y a deux ans. En contrepartie, les instances dirigeantes de l’Islam devraient, insistait-il, s’engager à « défendre les règles républicaines. » Pour Copé, cela implique le fait d’accepter d’interdire le voile ou de réaliser des prêches en français. Un rapport des sénateurs estimait pour sa part qu’il ne fallait pas revenir sur la loi de 1905. C’est également l’avis de Rachid Benzine suite aux propositions faites par l’institut Montaigne à l’équipe de campagne du candidat Macron en fin d’année dernière. L’institut proposait alors, dans un mail envoyé à l’équipe d’Emmanuel Macron, l’extension du « concordat à l’Islam en Alsace-Moselle afin d’assurer la formation des cadres religieux musulmans en France. » L’islamologue Benzine estimait alors qu’un débat sur le concordat amènerait à la disparition de cette « anomalie » alsacienne qui n’est, aujourd’hui, qu’un « héritage de l’histoire. »
Emmanuel Macron a repris cette idée à son compte en évoquant la possibilité de mettre en pace « un nouveau Concordat. » Ces derniers jours, plusieurs personnalités politiques se sont positionnées pour un concordat généralisé en France. Jean-Christophe Lagarde, patron de l’UDI, estime que cela peut « permettre à l’Islam de s’organiser. » Seulement, nous ne sommes plus en 1801, date à laquelle le concordat a été créé en Alsace-Lorraine. Enfin, mettre en place cette mesure simplement pour les besoins d’un culte, en l’occurrence l’Islam, stigmatiserait encor plus une population qui n’en a pas besoin. Imaginez par exemple des imams salariés par la République… On serait loin de l’esprit de la loi de 1905. Mais en parlant de « nouveau concordat », Emmanuel Macron a certainement une autre idée en tête : il compte certainement sur l’un de ses proches, Hakim El Karoui, pour lui souffler quelques nouvelles idées qui permettraient à l’Etat de gérer, sans avoir à demander à la communauté musulmane, l’Islam en France.
Emmanuel Macron doit-il engager une réforme de l’Islam?
Dans le Journal du dimanche, Emmanuel Macron a indiqué vouloir « poser les jalons de toute l’organisation de l’Islam de France. » S’il veut engager ce chantier lors du « premier semestre 2018 », le président est resté flou sur ce qu’il fera concrètement. Il a annoncé qu’il continuera « à consulter beaucoup. » « Ma méthode pour progresser sur ce sujet, c’est d’avancer touche par touche, indique le chef de l’Etat. Je ne dévoilerai une proposition que quand le travail sera abouti. »
« Nous sommes assez grands pour prendre notre destin en mains »
Une annonce qui a donné lieu à de nombreuses réactions. Ahmet Ogras, président du CFCM, a indiqué sur le plateau de CNEWS que « la réforme de l’Islam de France n’est pas seulement une ambition du président » et que « c’est avant tout l’ambition des musulmans de France et du CFCM. » Selon lui, « le chef de l’Etat a simplement un rôle de facilitateur dans un pays laïque. » Une façon de dire à Emmanuel Macron de ne pas se mêler d’une réorganisation de l’Islam en France ? « Nous sommes confiants et assez grands pour prendre notre destin en mains. Laissons le temps aux musulmans de débattre en interne », exhorte le patron du Conseil français du culte musulman, qui estime cependant que « l’engagement d’Emmanuel Macron devrait faciliter ce grand saut, même si les grands débats devront se faire en interne, entre les musulmans de France. »
« Tirer des leçons de cet échec qui a fini par désespérer les musulmans de France ».
De leur côté, Kamel Kabtane et Azzedine Gaci, respectivement recteurs des mosquées de Lyon et de Villeurbanne, publient un communiqué dans lequel ils écrivent que l’initiative lancée par le président de la République les « réjouit. » Les deux hommes critiquent le CFCM : « Tout le monde se pose des questions sur le rôle de cette instance qui ne peut se prévaloir d’aucune grande réalisation », estiment-ils. Eux veulent « dresser le bilan d’une décennie mouvementée et de tirer des leçons de cet échec qui a fini par désespérer les musulmans de France et les éloigner progressivement de cette structure. » Kamel Kabtane et Azzedine Gaci estiment que « les responsables du CFCM et des CRCM ont laissé s’installer au sein de la communauté musulmane, et en particulier les jeunes, le sentiment selon lequel, ils ne seraient que des gestionnaires intéressés du culte musulman et les ambassadeurs d’intérêts étrangers. »
« Sortir de l’immobilisme ».
Pour les recteurs des mosquées de la région lyonnaise, « la structure de représentation des musulmans de France, doit émerger d’eux-mêmes, d’en bas, au niveau départemental. » « Quoi de mieux que le département où les différentes associations cultuelles et culturelles qui se connaissent pourraient travailler ensemble, réfléchir ensemble et avancer ensemble autour de projets communs dans une structure représentative des musulmans du département et échapper ainsi à toute emprise des pays d’origine ? », demandent-ils. Ils en appellent également à la création d’un Conseil théologique des imams qui « leur donnera l’occasion de s’exprimer publiquement et de manière indépendante pour apporter la voix qui manque tant, aux instances représentatives actuelles. » Pour Kamel Kabtane et Azzedine Gaci, il faut « sortir de l’immobilisme » et « faire émerger une représentation fondée non pas sur l’origine nationale mais sur la compétence des individus qui la composent et la qualité des projets qu’ils entendent porter. »
Tariq Ramadan : son état de santé alarme son épouse.
Dans une intervention filmée, l’épouse de Tariq Ramadan revient pour la première fois sur l’incarcération de son mari. L’occasion de parler de l’affaire judiciaire sur le fond, mais également sur la forme.
Tariq Ramadan « ne bénéficie pas d’un traitement juste et digne »
Jeudi, la justice décidera, en appel, si Tariq Ramadan reste incarcéré en attendant son procès. Iman Ramadan, épouse du Suisse, indique qu’elle « croit fondamentalement en son innocence. » Elle en appelle au droit : son mari, rappelle-t-elle, est présumé innocent. Iman Ramadan dénonce surtout du traitement médiatique de l’affaire : Tariq Ramadan, dit-elle, « ne bénéficie pas d’un traitement juste et digne. » Le professeur a été, ajoute-t-elle, « désigné coupable » sans avoir eu droit à un procès.
« Quand on souffre d’une maladie et qu’on ne peut pas bénéficier du traitement adéquat, cela atteint le mental »
« Le portrait qu’on fait de mon mari ne correspond absolument à rien de ce qu’on connaît de lui, de ce que je connais de lui, de ce que sa famille connaît de lui », assure Iman Ramadan qui ajoute que son mari est « un homme fondamentalement droit. » Elle réclame sa remise en liberté, afin qu’il puisse assurer sa défense « sereinement. »
Mais Iman Ramadan profite surtout de cette vidéo pour alterter sur une « maladie chronique sévère » dont souffre Tariq Ramadan. Elle affirme qu’il ne peut avoir accès, en prison, à son traitement. « Quand on souffre d’une maladie et qu’on ne peut pas bénéficier du traitement adéquat, cela atteint le mental », affirme l’épouse de Tariq Ramadan qui se dit « alarmée » par l’état de son époux.

Sur agence media palestine.fr, rien de neuf.

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

Une délégation du Hamas rencontre le ministre égyptien du renseignement
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Un membre du bureau politique du Hamas, Khalil al-Hayya, a déclaré que la délégation du Mouvement au Caire avait rencontré le ministre égyptien du renseignement, Abbas Kamel, pour discuter de diverses questions.
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Les forces de l’Autorité Palestinienne arrêtent 3 palestiniens pour affiliation politique
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Un jeune homme de Jérusalem agressé et blessé par des colons
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Une énorme grue de construction installée sur la place d’Al-Buraq
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« La Marche du retour » fera échouer la déclaration de Trump et la « patrie alternative »
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La Turquie rejette des accusations de l’occupation sur les liens de l’un de ses ressortissants avec une cellule du Hamas
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Badran: Les jeunes palestiniens résistent face aux crimes israéliens
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Netanyahou inculpé officiellement pour corruption
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Liebermann loue la coordination de sécurité avec l’Autorité Palestinienne
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Les colons sionistes attaquent la ville d’Asira al-Qiblia
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Les forces israéliennes arrêtent 18 palestiniens en Cisjordanie et à Jérusalem
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L’occupation ferme les entrées de 3 villages à Salfit
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Les renseignements de l’Autorité Palestinienne prend d’assaut la maison de la fille d’Aziz Dweik
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Jarrar quitte les cellules de détention israéliennes pour l’hôpital
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Naplouse : plusieurs blessés lors des affrontements à Salem
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Hamas: Le gouvernement doit lever les sanctions de Gaza ou se retirer
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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Flash info du 28 Joumada al Awwal 1439.

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Sur Ajib.fr, voici les titres.

Muslim Girl refuse le prix Revlon pour soutenir la Palestine contre l’oppresseur.
La révolte contre l’oppression ne passe pas obligatoirement par les armes, elle revêt différentes formes. Le boycott en fait partie et cela nous amène indubitablement à parler du boycott initié par le mouvement BDS (Boycott Désinvestissement Sanctions) qui est une réponse citoyenne et non violente à la politique criminelle israélienne.
Qu’il soit économique, politique ou culturel, le boycott est une arme redoutable contre laquelle l’état hébreu est impuissant malgré sa puissance militaire.
Il peut être utilisé par tous à n’importe quel moment dans n’importe quelle circonstance, La célèbre blogueuse, Muslim Girl suivie par plus de 135.000 fans sur Facebook et 21.000 sur Twitter l’a expérimenté lorsqu’elle a refusé le prix Changemaker Award proposé par Revlon.
La jeune femme n’a pas hésité à refuser ce prix tant convoité pour la simple et bonne raison que la marque a choisi pour représenter sa gamme de cosmétique, Gal Gadot, l’actrice israélienne qui a joué dans « Wonder Woman » et dans la saga « Fast and Furious ».
Une provocation que la célèbre blogueuse n’a pas voulu cautionner en acceptant le prix Revlon.
Figure de proue de l’armée israélienne avant de rejoindre Hollywood, Gal Gadot a suscité la polémique au moment de la sortie du film « Wonder Women ». Ses publications à la gloire de Tsahal durant la guerre contre Gaza en 2014 sont sorties et ont aussitôt été dénoncées par plusieurs pays arabes dont le Liban qui a appelé à boycotter le film.
« J’envoie mon amour et mes prières à mes citoyens israéliens. Particulièrement à tous les garçons et les filles qui risquent leurs vies pour protéger mon pays contre les actes terrifiants du Hamas, qui se cachent comme des lâches derrière des femmes et des enfants… » avait-elle alors écrit sur le réseau social Facebook.
Rappelons que 1.113 Palestiniens dont 230 enfants sont morts durant les raids menés par l’armée israélienne.
Selon la blogueuse, l’égérie de Revlon approuve « l’oppression des femmes et des filles » en soutenant l’armée israélienne. Muslim Girl qui devait recevoir ce prix pour son action en faveur des femmes s’est justifiée auprès de ses fans :
« Si ce prix signifie beaucoup pour moi et si j’aurais adoré être là pour célébrer cela avec vous, je ne peux accepter ce prix de Revlon qui a Gal Gadot comme ambassadrice », car a-t-elle écrit, le soutien affirmé de Gal Gadot « aux actions menées par l’armée israélienne en Palestine vont à l’encontre de la morale et des valeurs de MuslimGirl.com . »
La jeune femme a conclu en dénonçant le sort réservé à la jeune Ahed Tamimi : « Je ne peux, en toute conscience, accepter ce prix de la part marque et célébrer le statut d’ambassadrice de Gal après l’emprisonnement par l’armée israélienne d’une jeune fille de 16 ans le mois dernier du nom d’Ahed Tamimi, une militante qui est actuellement encore derrière les barreaux ».

Sur Katibin.fr, rien de neuf.

Sur journal du musulman.fr, rien de neuf.

Sur islam et info.fr, voici les titres.

Pascal Praud empêche Beligh Nabli de parler du soldat israélien Amir de Voice. VIDEO. #AffaireMennel.
Pascal Praud s’est illustré ces derniers mois par sa complaisance avec les islamophobes et leurs fantasmes.
En pleine affaire Mennel ou plutôt la énième propagande de masse islamophobe contre l’Islam et les musulmans, Pascal Praud nous a fait la grâce de laisser Ivan Rioufol insulter tranquillement l’Islam et les musulmans sans réagir.
Mais quand le chercheur de l’IRIS Beligh Nabli a essayé de répondre sur le même plan idéologique à l’islamophobe Rioufol en rappelant que l’implication politique du soldat franco-israélien Amir plébiscité sur The Voice et à Eurovision valait largement celle de la jeune Mennel, ce fut immédiatement l’interdiction de s’exprimer.
En effet, alors que Beligh Nabli mettait précisément le doigt sur ce deux poids deux mesures permanent et ce régime d’exception réservé aux musulmans en France quelque soit le domaine, le présentateur et ses invités se sont acharnés à le faire taire …
C’est vrai que nos politiques et nos médias sont habitués à ne donner la parole qu’aux “beurs” ou aux “blacks” de service toujours prêts à endosser le rôle d’éternel de présumé coupable.
Face à un membre de la minorité tout simplement logique et cartésien dans son raisonnement la réponse du gotha journalistique français a été simple : la censure.
reportage a voir sur islam et info.fr.
Ivan Rioufol insulte l’Islam et les musulmans ! VIDÉO.
Une fois de plus le journaliste Ivan Rioufol s’est livré à une charge contre l’Islam et les musulmans.
Alors que le débat portait une énième fois sur la dernière polémique islamophobe en vogue du moment, l’affaire Mennel, le chroniqueur en a profité pour jeter l’opprobre sur toute une religion, l’Islam, et tous ses fidèles, les musulmans.
“L’Islam n’est pas seulement une religion! C’est un corpus politique ! C’est une idéologie totalitaire !“, a asséné Ivan Rioufol.
“L’Islam est une religion et un code politique ! Et ce code politique est totalitaire ! Oui en effet je le répète !”, a t il insisté.
“Un voile aujourd’hui, c’est un signe politique, c’est un signe de séparatisme !”.
En assimilant l’Islam au totalitarisme et implicitement par ricochet les musulmans à des troupes nazis, c’est bien une insulte directe qui est envoyée à tous les musulmans.
En effet, dans la vulgate politique occidentale contemporaine assimiler une personne ou une pensée au nazisme c’est non seulement la décrire comme le pire des maux apparus sur terre mais exiger implicitement ce que l’occident a fait à l’Allemagne nazi : une guerre totale.
Ces propos pourrait être relativisés si Ivan Rioufol n’était pas l’auteur d’un livre “La guerre civile qui vient” dans lequel il désigne à demi mot la minorité musulmane comme ennemi de l’intérieur. On ne parlera pas non plus de ses références aux thèses d’extrême droite de “grand remplacement” …
Cette attaque islamophobe est d’autant plus grave qu’elle se produit avec la complicité des grands médias qui favorisent la haine en invitant systématiquement des islamophobes revendiqués.
Évidemment aucun politique ne s’est ému de cette sortie qui il est vrai n’est que la énième déclaration islamophobe guerrière de la … semaine en France.
Se décrire en danger vital en fantasmant l’hostilité d’une minorité c’est sournoisement demander son éradication … et les islamophobes le savent.
reportage a voir sur islam et info.fr.

Sur saphirnews.com, voici les titres.

Pour avoir profané une statue de la Vierge Marie, ils sont condamnés à apprendre le Coran.
Une belle leçon de vie et de religion, cela résume parfaitement la sentence que la magistrate libanaise, Jocelyne Matta, a prononcé contre deux jeunes musulmans coupables d’avoir profané une statue de la Vierge Marie.
Âgés de 17 et 18 ans, deux élèves de confession musulmane ont pénétré dans l’église de leur école, dans le village chrétien d’Akkar, au Liban. Armés de leur caméra, ils ont arraché une statue de Marie pour « l’embrasser sur les lèvres, adoptant à son encontre des comportements obscènes », selon un des avocats présents au jugement cité par L’Orient Le Jour. Les deux jeunes garçons ont partagé la vidéo sur leurs comptes Whatsapp, ce qui leur a valu une arrestation et une comparution au parquet.
Une première judiciaire au Liban.
La juge d’instruction a surpris l’assistance par le verdict qu’elle a émis lors de l’audience du 8 février. Au cours du tribunal, elle a sorti un Coran qu’elle garde pour le serment des témoins et ouvre le Livre saint à la sourate Al-Imran relatant l’importance de Marie dans la croyance musulmane qui la reconnait comme l’une des créatures les plus pures que Dieu a créées.
Après avoir lu quelques versets, elle a sommé les deux jeunes musulmans à approfondir ces passages, à les lire, à les apprendre et à les lui répéter. La « peine » a ainsi été purgée au Palais de Justice de Tripoli, dans le bureau de la juge où les deux élèves ont exprimé leurs regrets après avoir répété les versets en question.
Jocelyne Matta est elle-même chrétienne. Appuyée par l’article 111 du code de procédure pénale qui lui octroie le droit de remplacer l’incarcération par d’autres mesures jugées pertinentes et adéquates, la juge ne souhaitait pas que les prévenus associent son jugement à des dimensions religieuses. Avec sa méthode didactique, elle a montré aux jeunes musulmans que leur acte profanait tout autant l’islam que le christianisme.
La décision, bien accueillie par les personnalités religieuses et politiques, a été qualifiée par le Premier ministre Saad Hariri de « summum de la justice et un moyen de transmettre les concepts que musulmans et chrétiens ont en commun ». L’évêque de Tripoli a également félicité la juge pour avoir privilégié « la conscientisation des jeunes, dont le comportement démontre souvent l’ignorance ».

Sur oumma.com, voici les titres.

L’histoire émouvante de Mohammed, musulman aveugle, et son ami le chrétien Samir, un nain incapable de marcher.
Vieille de 119 ans, cette photo jaunie a immortalisé une scène poignante : celle de la fraternité humaine à Damas.Dans la Syrie de 1899, deux hommes inséparables et lourdement handicapés, l’un musulman, l’autre chrétien, comptaient l’un sur l’autre pour se frayer un chemin dans les rues animées de la capitale syrienne.
Juché sur les épaules de Mohammed, son ami musulman aveugle, le chrétien Samir, un nain incapable de marcher, le guidait à travers la ville, en le prévenant des obstacles qui se dressaient sur sa route. Ces deux compagnons d’infortune, orphelins et sans famille, logeaient dans la même chambre. Pour vivre, Samir racontait des contes des Mille et une nuits dans un café de Damas. Une fois son travail fini, Mohammed, un vendeur ambulant, l’écoutait chaque soir avec plaisir.
Le décès de Samir fut un drame pour Mohammed. Inconsolable, il s’isola dans sa chambre, et pendant plusieurs jours, il pleura la perte de son ami de toujours. Mort de chagrin, le musulman Mohammed alla rejoindre son frère chrétien auprès de Dieu.
reportage a voir sur oumma.com.
La structure de représentation des musulmans de France doit émerger d’eux-mêmes au niveau départemental.
Le président de la République a décidé d’aider les musulmans de France à mieux restructurer l’organisation du culte musulman. Cette initiative que nous attendions depuis fort longtemps nous réjouit.
Lors de la mise en place du CFCM en 2003, les musulmans avaient placé tous leurs espoirs et toutes leurs ambitions sur cette instance qui devait les représenter, les défendre et ouvrir la voie à des nouvelles initiatives notamment en ce qui concerne la formation des imams. Malheureusement, après 15 années d’existence, tout le monde se pose des questions sur le rôle de cette instance qui ne peut se prévaloir d’aucune grande réalisation.
Le temps est venu de dresser le bilan d’une décennie mouvementée et de tirer des leçons de cet échec qui a fini par désespérer les musulmans de France et les éloigner progressivement de cette structure. En effet, depuis 2003, les responsables du CFCM et des CRCMs ont laissé s’installer au sein de la communauté musulmane, et en particulier les jeunes, le sentiment selon lequel, ils ne seraient que des gestionnaires intéressés du culte musulman et les ambassadeurs d’intérêts étrangers.
Aujourd’hui, nous pensons que la structure de représentation des musulmans de France, doit émerger d’eux-mêmes, d’en bas, au niveau départemental. Quoi de mieux que le département où les différentes associations cultuelles et culturelles qui se connaissent pourraient travailler ensemble, réfléchir ensemble et avancer ensemble autour de projets communs dans une structure représentative des musulmans du département et échapper ainsi à toute emprise des pays d’origine.
Parallèlement à cette représentation au niveau départemental, la création d’un Conseil théologique des imams leur donnera l’occasion de s’exprimer publiquement et de manière indépendante pour apporter la voix qui manque tant, aux instances représentatives actuelles.
Ces structures départementales pourraient alors désigner par cooptation leurs membres dans les institutions régionales et nationales, et favoriser ainsi une alternance pour sortir de l’immobilisme. Cela permettra surtout de faire émerger une représentation fondée non pas sur l’origine nationale mais sur la compétence des individus qui la composent et la qualité des projets qu’ils entendent porter.
C’est pourquoi, nous soutiendrons toute initiative émergeant de la base pour assurer une représentation équitable et viable au niveau national.
Un député tunisien déchire le drapeau israélien.
Le député du Front Populaire Ammar Amroussia a déchiré mardi en pleine plénière une photocopie du drapeau d’Israël sous les applaudissements de certains députés présents.
“Ce qui s’est passé vendredi est un scandale de grande ampleur” a-t-il commencé avant de s’en prendre au président de l’Assemblée Mohamed Ennaceur: “Nous avons pris l’initiative de présenter une proposition de loi, mais il semble que la coalition au pouvoir et le président de l’Assemblée -et je prend ma responsabilité- n’en veulent pas”.
“Si le prix à payer pour rester au pouvoir est de normaliser vos relations avec l’entité sioniste; restez-y, vous serez des traîtres!” s’est emporté Ammar Amroussia.
Exprimant son étonnement quant à l’absence de communication de l’Assemblée sur l’organisation d’une réunion de la commission des droits et libertés consacrée à la proposition de loi sur “la criminalisation des relations avec l’entité sioniste”, Ammar Amroussia prend une feuille de papier sur laquelle est imprimé (en noir et blanc) le drapeau israélien qu’il déchire en petits morceaux: “Voilà ce que je fais du drapeau de l’entité sioniste, ici devant vous, dans cette Assemblée de la honte!” a-t-il poursuivi avant d’être réprimandé par le président de la séance, Abdelfattah Mourou.
reportage a voir sur oumma.com.

Sur Mizane.info, rien de neuf.

Sur des domes et des minarets.fr, rien de neuf.

Sur tribune lecteurs.com, le journal d’algérie, voici les titres.

Grève du CNAPESTE : Les enseignants résistent à la pression.
Le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale, Mourad Zemali qui s’est réuni, hier, avec le Conseil national autonome du personnel enseignant du secteur ternaire de l’éducation (CNAPESTE) au siège du ministère a appelé les enseignants grévistes à mettre fin à leur mouvement de grève et à faire prévaloir le dialogue pour l’intérêt des élèves et du pays. Le ministre a estimé, en marge de l’audience accordée aux représentants du CNAPESTE que la situation engendrée par la grève continue, qui dure depuis plusieurs semaines, mène à » la discorde (fitna) qui n’est dans l’intérêt d’aucune partie « . » La situation d’aujourd’hui qui va audelà des lignes rouges est devenue incontrôlable par ces parties « , a-t-il soutenu, appelant, dans ce sens, au » respect des décisions de la justice « . Après avoir affirmé que la Constitution garantit à l’enfant le droit à l’éducation, Zemali a rappelé que la loi algérienne a mis en place plusieurs mécanismes de dialogue et de concertation, soulignant que son département ministériel est chargé de veiller à l’application de la loi et d’accompagner ces syndicats, les travailleurs et les partenaires sociaux, afin de leur permettre de s’enquérir et de se conformer aux textes de lois. Pour sa part, le coordinateur du CNAPEST, Salim Oulha a affirmé que le syndicat ne reculera pas tant qu’il n’y aura pas de réponses à leurs demandes formulées. En marge de la réunion avec le ministre du travail, le représentant du CNAPEST a déclaré que les mesures d’isolement sont illégales et ne feront qu’accroître la situation. Il a souligné qu’il a demandé au ministre du Travail d’être un médiateur entre le syndicat et le ministère de l’Éducation, ajoutant que les solutions de dissuasion ne feraient qu’accroître la situation. A noter, Mourad Zemali, s’est réuni avec le CNAPESTE en grève depuis le 30 janvier dernier, en vue de trouver une solution consensuelle aux revendications soulevées.
Hamel à propos des défis sécuritaires communs entre l’Algérie et les Etats-Unis : Nécessité d’une action unifiée et globale.
Le Directeur général de la Sûreté nationale, le général-major Abdelghani Hamel, a fait savoir à Alger que les défis sécuritaires communs entre l’Algérie et les Etats-Unis d’Amérique exigent une action unifiée et globale pour faire face à toutes les formes de criminalité, sur les plans régional et international. Lors de l’audience accordée au siège de la DGSN à la Coordinatrice adjointe principale au Département américain, Mme Alina Romanowski qui était accompagnée du Conseiller politique de l’Afrique du nord, M. Yaniv Parzilay, M. Hamel a souligné que les « défis sécuritaires communs exigent une action unifiée et globale pour lutter contre le crime sous toutes ses formes sur les plans régional et international, à travers le développement des domaines de coopération et l’échange d’expériences », a précisé le communiqué de la DGSN. De son côté, Mme Alina Romanowski a salué le professionnalisme de la police algérienne et son rôle prépondérant sur les plans régional et international, soulignant l’importance de renforcer la coopération entre les polices des deux pays en adéquation avec les développements en matière de lutte contre la criminalité », a ajouté le communiqué. Lors de cette rencontre, les deux responsables ont mis l’accent sur « les relations privilégiées » existant entre les deux pays et les moyens de les consolider. Par ailleurs, la cinquième session du Dialogue stratégique entre l’Algérie et les Etats-Unis sur les questions de sécurité et de lutte contre le terrorisme se tiendra au mois de juin prochain à Alger, a indiqué dimanche à Alger le ministère des Affaires étrangères (MAE) dans un communiqué. Cette décision a été prise à l’occasion des entretiens qui ont eu lieu au siège du MAE entre le ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel et le Coordonnateuradjoint de la lutte contre le terrorisme au Département d’Etat américain, Mme Alina Romanowski, qui effectue une visite de travail en Algérie, a précisé la même source. Les entretiens entre les deux responsables ont également permis « un large échange de vues sur l’état de la coopération bilatérale en matière de lutte contre le terrorisme ainsi que sur la situation sécuritaire dans la région, notamment la question du retour des combattants terroristes étrangers et les menaces qu’ils font peser sur la sécurité régionale et internationale ».
Fracassante démission d’Ali Laskri du présidium du FFS : Violent séisme au FFS.
Surprenante démission de Ali Laskri des rangs du plus vieux parti de l’opposition. C’est dire que la saignée se poursuit au sein du FFS. Ce parti, crée dans la douleur, vient de connaitre une nouvelle défection au sein de l’instance présidentielle, créé à l’occasion du cinquième congrès tenue en 2013. Après l’exclusion de Rachid Hallet et le retrait, en douce, de Saïda Ichalamen, Ali Laskri annonce sa démission de l’instance et appelle à l’organisation d’un congrès extraordinaire. » Je vous informe de mon retrait, en démissionnant en ma qualité de membre de l’instance présidentielle et coordinateur, à compter de ce jour et de remettre mon mandat aux militants qui m’ont élu lors du 5e congrès « , écrit-il dans un message adressé aux militants du FFS. Plusieurs fois premier secrétaire du parti, député et membre influent dans le parti jusqu’à récemment, Ali Laskri ne précise pas les raisons l’ayant amené à prendre cette décision Selon le texte, il a promis de les rendre publiques devant les membres du conseil national qui tiendra sa session ordinaire le 16 et 17 février prochains. Dans son message, il appelle à l’organisation d’un congrès extraordinaire conformément aux statuts du parti. » Mon retrait de cette instance implique automatiquement l’organisation d’un congrès extraordinaire sur le plan statutaire. Un tel congrès sera dans l’intérêt salvateur du parti, à travers l’élection d’une nouvelle instance présidentielle, ce qui va amener une nouvelle dynamique d’espoir de tout un peuple « , indique- t-il. Composée initialement de cinq membres, l’instance n’en comptera désormais que deux : Aziz Baloul et Mohand Amokrane Chérifi. Le FFS en crise ? Tout porte à le croire au vu des derniers rebondissements, que vient de connaitre le plus vieux parti de l’opposition démocratique en Algérie. En effet, un membre et pas des moindres de l’instance présidentielle, qui est par ailleurs député, en l’occurrence M. Ali Laskri a décidé de démissionner en « ma qualité de membre de l’instance présidentielle et coordinateur » et ce à compter du vendredi 10 février 2018. Dans sa lettre de démission, M. Ali Laskri dira que « conformément à l’article 48 des statuts qui annonce que si le nombre des membres de l’IP est réduit à moins de (03), un congrès extraordinaire est convoqué pour élire une nouvelle instance présidentielle ».
Les médecins résidents réussissent leur pari de manifester en plein coeur de la capitale : Tension maximale !
Dans une unième démonstration de force, les médecins résidents ont brisé l’interdiction de manifester dans la capitale hier. Suite à l’appel du collectif autonome des médecins résidents algériens (CAMRA), les résidents ont répondu à l’appel. Ils étaient environ deux mille résidents qui étaient présents dans les rues d’Alger en scandant des slogans comme » respect, dignité, solidarité « , ou encore » on n’a pas les moyens, dites le aux citoyens « . Au début de la manifestation, la foule compacte essaye d’atteindre l’APN, mais c’est sans compter sur la passivité des forces de l’ordre qui ont carrément bouclé tous les accès. La marche est encerclée par une armée de policiers. Le dispositif sécuritaire est imposant et les médecins sont carrément pris dans un étau. À la rue Asselah Hocine, située en bas de la Grande Poste, d’autres médecins résidents improvisent un rassemblement, bien encadré par les policiers antiémeute. Par ailleurs, les policiers ont tenté d’empêcher les médecins de se rassembler, mais des manifestants ont réussi à échapper aux contrôles pour tenir leur rassemblement qui semble tolérer. D’autre part, des parlementaires, présents au rassemblement ont apporté leur soutien aux médecins résidents, en prônant le dialogue entre les différentes parties afin d’aboutir à une solution à cette grève déclarée « illégale » par la justice. Ce rassemblement intervient en parallèle au dialogue prôné par le ministère de la Santé, de la Population et de la réforme hospitalière avec les représentants des médecins résidents. Les médecins résidents ont exprimé leur ras-le-bol face au refus des hautes autorités d’accéder à leurs principales revendications. Pour les manifestants, tout ce qu’avait proposé le ministère était des droits garantis par la loi. De son côté, docteur Mohamed Taileb a indique que « l’ensemble des résidents, après concertation de toutes les facultés d’Algérie, a voté pour une action d’envergure ». Si ce Collectif a opté pour cette manifestation, c’est parce qu’il n’y a, selon la même source, aucune avancée dans les discussions que les représentants des médecins résidents mènent depuis plusieurs jours avec les membres de la commission intersectorielle installé afin de prendre en charge leurs revendications. Le CAMRA rappelle, à cet effet, qu’ « après plus de trois mois de grève, l’agression de la corporation médicale par les forces de l’ordre le 3 janvier 2018, le boycott de la première session du DEMS 2018, après plusieurs réunions stériles avec la commission intersectorielle, la tutelle continue d’ignorer le mouvement avec l’interruption des négociations et les menaces de suspendre ces dernières jusqu’au gel de la grève ». Le Comité dénonce, d’autre part, « les mesures injustes et illégales des ponctions sur salaire par certains établissements ». Il faut noter, en dernier lieu, que les deux parties butent essentiellement sur la revendication relative au service civil. Jusqu’à maintenant, la tutelle n’arrive pas à proposer une alternative à la formule actuelle qui puisse satisfaire les médecins résidents. Il faut que le ministre d el a santé réagisse le plus tôt possible afin d’éviter un nouveau dérapage.
RND de Ain-Temouchent : Le nouveau responsable rencontre les cadres du parti.
Monsieur Saidi Said, nouveau président du bureau de wilaya du Parti politique du Rassemblement National Démocratique (RND) d’Ain- Temouchent a présidé, dans la matinée d’avant-hier, une rencontre avec les membres bureau de wilaya et les secrétaires des bureaux communaux du Parti implantés à travers la wilaya, et ce au siège de cette association à caractère politique, situé à la cité » Sidi Said » à Ain-Temouchent. Le nouveau secrétaire qui remplace monsieur Askar Ali député RND, a occupé auparavant les fonctions électives de Sénateur RND , a rappelé , les orientations et les décisions issues du dernier conseil national du Parti RND, liées entre-autres au renforcement des rangs de la base militante du Parti , notamment par des jeunes et la gente féminine , tout en demandant aux nouveaux élus des assemblées locales issues des scrutin du 23 novembre 2017, de se rapprocher de plus en plus des citoyens pour prendre en charge leurs préoccupations dans tous les domaines, et ce en conformité des lois de la République . De même, un plan d’action lié à la redynamisation des activités des bureaux communaux du Parti RND à travers le territoire de la wilaya sera élaboré. Au cours de cette rencontre qui rentre dans le cadre d’une prise de contact, il a été également mis l’accent sur la participation du Parti RND dans les commémorations de la journée nationale du chahid coïncidant avec celle du 18 février 2018 , et celle du double anniversaire de la création de l’UGTA et de la nationalisation des hydrocarbures devant être célébrés le 24 février 2018 . Soulignons également dans ce cadre , que Monsieur Saidi Said , secrétaire du bureau de wilaya RND rentrant, et Askar Ali , sortant, sont membres du conseil national du Parti Politique du Rassemblement National Démocratique (RND).
Alphabétisation : Grâce à un tandem de choc.
La présidente de l’Association Algérienne d’Alphabétisation Iqraa, Mme Aicha Barki a fait savoir que le taux général de l’analphabétisme en Algérie a connu une baisse sensible ces dernières années pour atteindre 10 % en 2017, alors qu’il était de l’ordre de 42 % avant 2006, lors d’une journée d’information organisée hier au forum d’El Moudjahid. Cette rencontre est dédiée à la présentation d’un nouveau projet en cours qui porte le nom : » Alphabétisation, Formation, Intégration des femmes « . La conférencière a tenu à préciser que ce projet est en suspend pour manque de moyens matériels. Elle a également saisi cette occasion pour demander une aide financière afin d’achever son projet. Par ailleurs, Mme Barki a réitéré sa volonté de travailler plus pour réaliser et équiper d’autres centres d’alphabétisation au niveau national grâce à une convention signée en 2006 entre l’association Iqraa et Ooredoo. » Ce centre d’alphabétisation qui est dédié aux femmes, qui veulent se former dans différents domaines a été inauguré dans le cadre de la convention qui lie l’association Iqraa à Ooredoo depuis 2006, et il est un notre après 15 centres au niveau national grâce aux efforts que continue de fournir notre association pour lutter davantage contre le phénomène de l’analphabétisme dans notre pays « , a souligné Mme Barki. Il y lieu de signaler que le centre en question est situé en plein centre ville de la commune de Cheraga à Alger. , le centre en question est composé de quatre salles réservées à l’apprentissage pour femmes adultes et aux femmes au foyer. Enfin la conférencière a insisté sur le déficit financier rencontré pour l’achèvement de son projet en précisant que » toute aide sera la bien venue « .

Sur le muslim post.com, voici les titres.

Le procès d’Ahed Tamimi sera aussi celui de la colonisation.
La jeune adolescente qui avait été filmée en train de défier un soldat israélien à Nabi Saleh, son visage natal en Cisjordanie, devra encore patienter derrière les barreaux. A 17 ans, Ahed Tamimi risque sept ans de prison. Les autorités israéliennes veulent en faire un symbole en la condamnant. La jeune fille est devenue, côté palestinien, un symbole de la résistance à l’Etat hébreu.
Alors que la justice israélienne avait décidé qu’Ahed Tamimi resterait en prison en attendant son procès. Celui-ci s’est ouvert ce mardi matin. Les journalistes et les nombreux diplomates présents dans une salle comble ont rapidement été priés de quitter l’audience, qui s’est tenue à huis clos. Seuls les membres de la famille de la jeune fille — la plupart avaient été arrêtés à la suite de l’incarcération d’Ahed — ont alors été autorisés à suivre les débats.
Le juge israélien s’est appuyé sur l’âge de la prévenue : selon lui, un débat public n’est pas dans l’intérêt d’Ahed Tamimi. Les avocats de l’adolescente souhaitaient pourtant une audience publique. Ils accusent le juge d’avoir voulu éviter que les caméras du monde entier soient tournées vers la salle d’audience.
Dans ce dossier, c’est plus qu’une jeune fille qui passe devant les juges : l’avocate d’Ahed Tamimi veut que ce procès soit celui de l’occupation des territoires palestiniens par l’Etat hébreu. Pour ce faire, elle compte mettre en avant le droit international et les différentes résolutions de l’ONU qui incriminent Israël. Ce qui délégitimerait le tribunal militaire censé juger Ahed Tamimi. Mais la jeune fille restera finalement un mois supplémentaire en prison, les débats ont été renvoyés à mars prochain.
Muzbnb, Oummaloc… Les Airbnb pour musulmans se développent.
A l’image de Airbnb, les plateformes Muzbnb et Oummaloc ont été lancées : en janvier dernier pour la première et il y a quelques mois pour la deuxième.
Les deux plateformes proposent des services équivalents, mais y ont rajouté une touche « muslim ». En effet, il est possible d’être hébergé selon les règles de l’Islam, à savoir dans des appartements ou maisons sans alcool, sans porc, ni drogues. Des habitations sont même dotées de tapis de prière, ou sont situées à proximité de mosquées.
Des éléments importants pour les voyageurs musulmans, qui souhaitent des logements correspondant le plus possible à leurs attentes et à leur mode de vie.
Hadi Shakur, entrepreneur américain, conscient de cette demande latente a donc présenté le 11 janvier dernier sa future plateforme (mise en service en avril prochain) appelée Muzbnb.
« Il est parfois compliqué de voyager quand on est musulman. Soyons honnêtes, dans le climat actuel, les musulmans sont confrontés à une série de stéréotypes et même de harcèlement. (…) Outre la menace de l’islamophobie, nous avons, en tant que musulmans, des éléments à prendre en compte lorsque nous voyageons, comme savoir où prier et où trouver de la nourriture halal », explique son concepteur.
Des filtres de recherche spécifiques pour les locations ont donc été prévues, incluant la proximité avec des lieux de culte musulman, mais aussi la présence ou non d’ouvrages religieux ou encore le niveau de sécurité pour des femmes voyageant seules.
« Notre but est simple : nous voulons encourager le voyage, l’aventure et la création d’une communauté internationale où les musulmans se sentent à l’aise et acceptés pendant leur séjour », indique Hadi Shakur au site The Memo.
Pour Oummaloc, dont le site n’est pas non plus encore fonctionnel, l’idée est la même :
« La communauté musulmane partage des valeurs, des principes mais aussi un mode de vie. En réservant un hébergement à travers la plateforme, les voyageurs seront plus sereins à l’idée d’avoir un hôte qui les comprend et qui connait leurs attentes (prières, pudeur, nourriture hallal, pas d’alcool, etc…). De plus, la plateforme propose certains critères de sélection répondant aux attentes des musulmans, tels que la proposition de logements exclusivement réservés aux hommes ou aux femmes », explique Oummaloc dans un communiqué.
Pour se rémunérer, les deux sites prévoit une commission entre 13 % et 15 % sur chaque réservation. Un bon filon sachant la communauté potentielle de 1 milliard de personnes à laquelle s’adresse les plateformes. Le tourisme islamique est également en plein essor dans le monde.
Les requêtes d’Afro-Américains 16 % moins acceptées que celles d’Américains blancs selon Harvard.
Mais doit-on y voir un risque ou une dérive ‘communautariste’ ? Hardi Shakur anticipe les critiques et précise déjà que sa plateforme n’est pas réservée uniquement aux musulmans mais à « tous ceux qui supportent les valeurs de l’Islam ».
De plus cette idée d’un « Airbnb communautaire » n’est pas nouvelle. Le site Noirbnb, dédié aux Afro-Américains, a été crée cet été, en réaction aux discriminations subies par les internautes utilisant Airbnb. Une étude d’Harvard montre d’ailleurs les comportements racistes des loueurs sur la plateforme.
« Dans une expérience sur Airbnb, nous avons constaté que les requêtes d’internautes avec des noms afro-américains sont 16 % moins susceptibles d’être acceptées par rapport à des requêtes identiques de voyageurs portant des noms apparaissant comme « blancs » », est-il écrit dès le début du rapport. Les auteurs estiment même que « les choix de conception actuels d’Airbnb facilitent les discriminations ».
Début 2016, la plateforme avait d’ailleurs dû répondre aux sollicitations des internautes qui avaient lancé le hashtag #AirBnbWhileBlack. Ils avaient mentionné les remarques racistes et agressions verbales de la part des loueurs. La société avait alors promis de s’attaquer à ce problème de discriminations, publiant un rapport d’une trentaine de pages et proposant notamment la création d’une charte collective entre les voyageurs et les hôtes afin qu’ils collaborent « indépendamment de leur race, religion, nationalité, handicap, sexe, genre, orientation sexuelle ou âge. ».
Il existe également d’autres formules « Airbnb » lancées pour d’autres communautés comme « mister b&b », un site dédié à la communauté LGBT (lesbiennes, gays, bi et trans) lancé en 2013, mais aussi Jewgether, pour les juifs.
« Black Panthers » : accusé de racisme, Google plaide une erreur technique.
Ce week-end, des internautes cherchant une salle de cinéma projetant le nouveau blockbuster Black Panthers réalisé par Ryan Coogler ont été surpris.
Alors que le film doit sortir mercredi prochain en France, le titre n’était pas le même sur le site Allociné et à la place apparaissait « La Planète des signes : suprématie ».
Un titre plutôt mal intentionné, vu le casting majoritairement afro-américain du film.
Le site senscritique.com est également concerné puisque un champ de la fiche du film a été remplacé par Les Dix Petits Nègres.
La même nuit de samedi à dimanche, la fiche Wikipédia du film a également été modifié de façon malveillante avec le titre les Dix Petits Nègres, avant qu’il ne soit corrigé par un internaute une vingtaine de minutes plus tard.
Ces détournements racistes ont interpellé les internautes, qui ont demandé des explications à Allociné. « Ce problème est totalement indépendant de notre volonté », a affirmé le site sur Twitter. « C’est la reprise du contenu d’AlloCiné par Google qui pose problème. Nos équipes travaillent actuellement sur le sujet pour en couper l’accès. »
Chez Google France, on invoque « une erreur technique » et un problème d’association entre titres et affiches des films.
Mais ces modifications font penser à une attaque ciblée de la part d’internautes contre ce film qui met en avant un super héros noir. Une pratique qui s’appelle le Google Bombing et qui consiste à publier de façon massive des commentaires sur les réseaux sociaux et les sites en associant l’expression que l’on veut que Google adopte et fasse remonter dans les premiers résultats.
Aux Etats-Unis, le film a d’ailleurs été victime d’un groupe d’internautes liés à la mouvance nationaliste et suprémaciste. Le groupe avait annoncé sur Facebook son intention de faire baisser la note du film en l’inondant de commentaires négatifs sur Rotten Tomatoes, un site américain de cinéma réputé. Ce à quoi le site a répondu qu’il ne tolérerait pas un tel agissement. Facebook avait alors désactivé le compte du groupe.
De l’islamisme à l’Islam : le dérapage sémantique de Nadine Morano.
« Oui, nous avons un problème avec cette religion. » La phrase est signée Nadine Morano et, évidemment, la conseillère politique de Laurent Wauquiez parle d’Islam. Rien de très surprenant, Nadine Morano étant une habituée de ce genre de sortie. Mais tout de même… Nous avons franchi un cap : là où même Manuel Valls estimait qu’« il n’y a pas de problème avec l’Islam et les musulmans en France », Nadine Morano met les pieds dans le plat. Avec un glissement sémantique plus dangereux qu’il n’y paraît : le mot « Islam » a remplacé « islamisme » sans que cela ne semble choquer outre-mesure.
Certes, l’ancienne ministre continue en indiquant que ce problème est « un problème d’organisation, de financement des mosquées, de prêches. » Mais Nadine Morano a bel et bien parlé de « problème avec l’Islam. » La conseillère de Wauquiez mélange d’ailleurs, certainement volontairement, les problématiques liées à l’organisation du culte et l’Islam en tant que religion, avec une crainte à peine masquée du Grand Remplacement. « Il y avait une centaine de mosquées dans les années 70, il y en a 1 500 aujourd’hui », déplore la Lorraine.
Peur de l’« islamisation conquérante ».
C’est donc, comme elle le dit elle-même, cette « islamisation conquérante » qui fait peur à Nadine Morano. La peur, selon elle, qu’« un mode de vie moyenâgeux » débarque en France. La conseillère politique de Laurent Wauquiez montre en tout cas la ligne qui sera adoptée par Les Républicains dans les années à venir, entre Valeurs Actuelles et Minute.
Désormais, à une heure de grande écoute sur une grande radio nationale, une femme politique peut, en toute liberté, insulter 8 % de la population française en disant qu’elle a un problème avec cette frange de nos concitoyens.

Sur agence media palestine.fr, voici les titres.

MADA fait état de 117 violations israéliennes de la liberté des médias palestiniens depuis décembre.
RAMALLAH (Ma’an) – Le Centre Palestinien pour le Développement et la Liberté des Médias (MADA) a émis samedi un rapport qui dit qu’entre décembre 2017 et fin janvier 2018, l’association a enregistré 117 violations de la liberté des médias palestiniens du fait des forces israéliennes.
MADA a dit qu’on avait enregistré en janvier une baisse des violations contre la liberté des médias par rapport à décembre 2017 où on avait enregistré 89 violations par les forces israéliennes contre des journalistes (dont 84 attaques) alors qu’ils couvraient les manifestations contre la reconnaissance de Jérusalem comme capitale d’Israël par le président américain Donald Trump.
En janvier, MADA a fait état d’un total de 31 violations de la liberté des médias en Palestine, principalement par Israël, puisque 28 violations ont été commises par les forces israéliennes tandis que trois l’ont été par les forces palestiniennes.
Bien qu’enregistrant une baisse entre décembre 2017 et janvier 2018, MADA a dit que le nombre de violations en janvier était important si on le compare à janvier 2017.
En janvier 2018, parmi les 28 violations commises par les forces israéliennes, « l’une des principales violations rapportées fut l’agression à Jérusalem contre un photojournaliste de Reuter avec un coup de matraque sur la tête qui lui a causé une profonde blessure et une commotion cérébrale », a dit MADA.
« Les forces israéliennes ont par ailleurs poursuivi leur politique d’empêchement de la couverture d’incidents en retenant les journalistes et en les agressant », a ajouté l’association.
Pendant ce temps, les fonctionnaires palestiniens ont commis trois violations – une en Cisjordanie occupée et deux dans la Bande de Gaza.
Les journalistes palestiniens décrivent souvent leur travail comme une forme de « résistance », car ils pensent que ce qu’ils racontent montre au monde les effets dévastateurs de la politique israélienne sur les Palestiniens et procure aux Palestiniens un débouché pour se faire entendre dans un climat médiatique souvent éclipsé par les récits pro-israéliens.
Traduction : J. Ch. pour l’Agence Média Palestine.
Source : Ma’an News Agency.

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

Des palestiniens bloqués depuis plusieurs jours à l’aéroport du Caire appellent à l’aide
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Les citoyens palestiniens, bloqués depuis plus de quatre jours à l’aéroport du Caire, ont appelé l’Autorité palestinienne et les factions nationales à intervenir pour mettre fin à leur détention dans les salles d’attente des passagers et travailler pour leur retour à la bande de Gaza.
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La détention de Ahed al-Tamimi et de sa mère prolongée d’un mois
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L’occupation installe un point de contrôle et bloque la circulation près de Salfit
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Les prisonniers administratifs boycottent les tribunaux israéliens
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Les USA nient avoir discuté avec l’occupation d’un projet de loi d’annexion en Cisjordanie
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Procès d’Ahed al-Tamimi aujourd’hui
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Un écolier palestinien renversé par un soldat israélien
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Le détenu palestinien Razeq al-Rajoub placé en isolement
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Les autorités de Cisjordanie arrêtent trois citoyens et deux détenus continuent leur grève de la faim
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L’Autorité Palestinienne met en garde contre l’annexion des colonies de Cisjordanie
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Les médecins de l’hôpital Shifa à Gaza en grève
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Abbas demande-t-il la médiation russe pour la paix à la place des Etats-Unis?
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Une délégation du Hamas rencontre les services des renseignements égyptiens
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Ouverture du procès d’Ahed Tamimi et de sa mère
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13 palestiniens arrêtés et des actes de vandalisme de colons en Cisjordanie
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Israël: 60% des enfants détenus dans les prisons israéliennes subissent des tortures
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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