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Flash info du 19 Joumada al Awwal 1439.

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Sur Ajib.fr, voici les titres.

Hondelatte « tord le cou à la bêtise », et défend l’histoire de Diam’s en live sur la radio Europe 1.
« De la folie à la sagesse».
Tel est le titre de l’émission de Christophe Hondelatte du 31 janvier 2018 où il couvre l’histoire de notre sœur Mélanie, alias Diam’s dans un passé dont elle a fait le deuil et le repentir.
Et l’émission vaut le détour. Car le journaliste a fait preuve de courage. Et a couvert, dans un style journalistique unique qui le caractérise, la fabuleuse histoire de Mélanie qui l’a conduit des ombres à la lumière. Et la lumière n’est pas la lumière des projecteurs du show business dont des millions de jeunes rêvent. Mais la lumière de la foi. Celle qui nous illumine et nous fait sortir de l’esclavage de nos passions, d’une vie de paillettes, d’apparences, de faux-semblant,…
Le goût de la foi sincère dépasse de loin le goût de la vie de star. Mélanie nous explique qu’elle a « essayé » d’aimer toutes ces choses qui viennent avec le succès : la gloire, l’argent, le succès mondain, les honneurs…mais que c’est dans la foi et la modestie d’une vie de famille presque anonyme dans la banlieue parisienne qu’elle a trouvé son bonheur. Nous ne couvrirons pas le reste, elle a écrit deux livres magnifiques pour le raconter : « Est-ce que c’est ça la vie ? (…) Moi je sais que c’est pas ça. »
Ajib.fr souhaite toutefois rendre hommage à Christophe Hondelatte pour avoir couvert la vie d’une personne, avec beaucoup d’humanisme et le courage journalistique de raconter tout simplement ce qu’il s’est passé dans la vie de Mélanie il y a 8 ans de cela. Hondelatte en a pris plein la tête pour l’avoir fait. Il cite les invocations de Mélanie au moment de son passage de l’ombre à la lumière. Il cite sa rencontre avec Allah. Il cite la « décision mal comprise » de Mélanie d’avoir quitté sa carrière pour trouver la paix. Dans le détail. Et pour avoir fait cela, il s’attire les foudres de ses pairs, des identitaires, des fous de la laïcité.
« Je suis venu, j’ai vu, j’ai vaincu, puis j’ai fait marche arrière ». Tels sont les mots de Mélanie dans son dernier album. Nous inspirons que Christophe Hondelatte ne fera pas marche arrière. Car il a vaincu les préjugés. Les journalistes peuvent encore en 2018 couvrir la vie de certains de leurs compatriotes en toute simplicité et sans jugement de valeur. Et n’en déplaise aux identitaires, les français l’ont écouté, en masse, et comprennent peu à peu que quand les journalistes leur parlent de musulmans sans leur créer la peur, ils sont tout de suite la cible des attaques. Bravo Christophe. Et merci pour votre empathie et votre humanisme.

Sur Katibin.fr, rien de neuf.

Sur journal du musulman.fr, rien de neuf.

Sur islam et info.fr, voici les titres.

Syrie : le régime de Bachar à nouveau accusé d’utiliser des armes chimiques.
Les Etats-Unis ont accusé le gouvernement syrien d’utiliser des armes chimiques contre son peuple.
Heather Nauert, porte-parole du département d’Etat américain, a déclaré jeudi que les rapports sur le gaz chloré utilisé contre des civils dans la Ghouta orientale étaient “très préoccupants”.
“La Russie fait le mauvais choix en n’exerçant pas son influence unique, il est inadmissible de permettre au régime syrien d’utiliser des armes chimiques contre son propre peuple”, a-t-elle déclaré sur Twitter.
La Russie est le plus proche allié de la Syrie et a déjà bloqué les tentatives d’enquête sur l’utilisation présumée d’armes chimiques.
Les commentaires de Nauert font suite à une attaque au chlore gazeux dans le territoire rebelle de la Ghouta orientale, à la périphérie de Damas, jeudi.
Samedi, le ministère syrien des Affaires étrangères a démenti ces allégations, selon l’agence de presse Reuters.
Le groupe de sauvetage bénévole des Casques blancs a posté des photos de l’attaque sur Twitter, sous le hashtag «Douma Suffocation».
Attentat de la mosquée de Finsbury Park : le terroriste islamophobe condamné à la prison à vie.
Un tribunal britannique a condamné à la prison à vie l’homme qui avait perpétré un attentat meurtrier contre les fidèles d’une mosquée à Londres l’année dernière.
En juin, Darren Osborne a tué un fidèle musulman et en a blessé plusieurs autres devant la mosquée de Finsbury Park, au nord de Londres, alors que les fidèles quittaient les prières du soir (tarawih) pendant le Ramadan.
Vendredi, un juge a condamné Osborne à une peine de prison d’au moins 43 ans après avoir été reconnu coupable de meurtre et de tentative de meurtre la veille.
Au cours du procès, les jurés ont entendu comment Osborne avait l’intention d’attaquer une marche célébrant le «Jour de Jérusalem» plus tôt le 18 juin, mais n’a pas pu le faire.
L’homme de 48 ans originaire de la ville galloise de Cardiff a ensuite fait le tour de la capitale anglaise jusqu’à ce qu’il choisisse ses cibles à Finsbury Park peu avant minuit.
Un groupe de fidèles s’était rassemblé autour de Makram Ali, un grand-père de 51 ans, qui s’était effondré lorsque Osborne a foncé sur le groupe avec son véhicule, tuant Ali.
Des témoins ont déclaré au tribunal qu’Osborne a crié: «J’ai fait mon travail» avant d’être pris et retenu par des passants alors qu’il tentait de s’échapper.
Au tribunal, il avait tenté de se défendre contre les accusations de meurtre et de tentative de meurtre en affirmant qu’un complice nommé Dave avait pris sa place sur le siège du conducteur pendant l’attaque.
Cependant, il n’a pas été en mesure de fournir une explication quant aux raisons pour lesquelles les images de vidéosurveillance ne montraient qu’une seule personne dans la voiture.
Sue Hemming du Service des poursuites de la Couronne britannique a déclaré qu’Osborne était motivé par sa “haine des musulmans”.
“Il a plus tard inventé une histoire peu convaincante pour contrer le poids écrasant de la preuve, mais le jury l’a reconnu coupable”, a-t-elle dit.
“Nous avons été clairs quant aux motivations terroristes, et il doit maintenant faire face aux conséquences de ses actions.”
Le ministre de la Défense du Qatar : “l’Arabie saoudite avait l’intention d’envahir le Qatar”.
L’Arabie Saoudite et les Emirats Arabes Unis avaient l’intention d’envahir le Qatar au début de la crise diplomatique qui a éclaté en juin 2017, selon le ministre de la Défense du Qatar.
Dans une interview au Washington Post vendredi, Khalid bin Mohammad Al Attiyah a déclaré que ses voisins du Golfe avaient “tout essayé” pour déstabiliser le pays, mais que leurs intentions d’invasion étaient claires pour le Qatar .
“Ils ont l’intention d’intervenir militairement”, a déclaré Attiyah.
Lorsqu’on lui a demandé de confirmer s’il pensait qu’une telle menace existait encore aujourd’hui, il a répondu:
” Nous avons contrarié cette volonté, mais au début de la crise, ils avaient cette intention”.
“Ils ont essayé de provoquer les tribus, ils ont utilisé des mosquées contre nous, puis ils ont essayé de trouver des marionnettes pour remplacer nos dirigeants”.

Sur saphirnews.com, voici les titres, .

The Voice : Mennel émerveille le jury avec une reprise de Hallelujah en arabe. vidéo.
Qui sortira vainqueur de The Voice ? Les pronostics sont lancés depuis la diffusion le 27 janvier des auditions à l’aveugle marquant le début de la saison 7 du télécrochet. Les téléspectateurs ont découvert de nouveaux visages et de nouvelles voix samedi 3 février. Une candidate a ainsi marqué par son charme le jury, composé de Florent Pagny, Zazie, Mika et Pascal Obispo. A l’unanimité.
Grâce à sa magnifique reprise du célèbre titre « Hallelujah » de Leonard Cohen en anglais et en arabe, Mennel a su se faire retourner les quatre coachs. Voyez plutôt la prestation de cette jeune étudiante de 22 ans, en master pour devenir professeure d’anglais, et qui nous vient de Besançon.
Qui se cache derrière cette belle voix ? La musique est sa passion et c’est grâce à sa chaîne Youtube que Mennel Ibtissem a été repérée par les équipes de The Voice. Née d’un père syrien et turc et d’une mère marocaine et algérienne, Mennel est de confession musulmane, ce qui explique pour partie son port d’un turban qui la distingue d’entre d’autres candidats.
« On peut dire que c’est une façon de porter un voile d’une façon plus moderne. Mais ça fait surtout partie de mon look. Vous ne me verrez jamais sans », a-t-elle signalé au Figaro, « à l’instar de Maître Gims qui ne retire jamais ses lunettes noires ».
Mennel a décidé de poursuivre l’aventure avec le chanteur Mika. Et si elle a hésité au dernier moment avec Zazie, elle est restée sur son premier choix, celui d’un coach dont elle aime l’univers musical et le côté multilingue que Mika cultive de par ses multiples origines, l’une d’elles étant libanaise. Une belle aventure s’annonce pour elle.
reportage a voir sur saphirnews.com.

Sur oumma.com, rien de neuf.

Sur Mizane.info, rien de neuf.

Sur des domes et des minarets.fr, rien de neuf.

Sur tribune lecteurs.com, le journal d’algérie, voici les titres.

Quinze terroristes abattus et 23 éléments de soutien arrêtés en janvier : La fin d’AQMI et de Daesh en Algérie.
Pas moins de 15 terroristes ont été abattus et 23 éléments de soutien aux groupes terroristes ont été arrêtés, alors que 5 autres terroristes se sont rendus aux autorités militaires au cours du mois de janvier, selon un bilan actualisé des opérations de l’Armée nationale populaire (ANP). Les opérations de l’ANP se sont soldées également par le sauvetage de noyade de 205 personnes en pleine mer et la détection et la destruction de 70 casemates pour terroristes et armes. Les unités de l’ANP ont découvert aussi 33 caches de munitions, a précisé la même source, ajoutant que 9 obus, 21 kalachnikovs, deux mitrailleuses lourdes, 47 grenades, 4.008 cartouches, 19 fusils, 10 roquettes anti-personnel et 4 panneaux photovoltaïques ont été récupérés. Les éléments de l’ANP ont saisi 17 appareils de transmission, 12 paires de jumelles, 2,7 kg de dynamite, une quantité de produits chimiques destinée à la fabrication d’explosifs, 80.664 unités de boissons, 12.505 paquets de cigarettes et 1.800 litres d’huile de table.Par un détachement de l’Armée Nationale Populaire près de la Commune de Ouled Ahlal, wilaya de Médéa/1°RM, permettant d’éliminer deux (02) dangereux terroristes et de récupérer leur armes, il a été procédé à leur identification. Il s’agit, en l’occurrence, du criminel « T. Abderahmane » alias » Abou El Banet « , qui avait rallié les groupes terroristes en 1993. Il s’agit également de « M. Mustapha » alias » Lokman Abou Rabah « , qui avait rallié les groupes terroristes en 1994. Ces terroristes étaient responsables de plusieurs actes criminels à Médéa, Ain Defla, Tissemsilt et Chlef. Ces résultats de qualité concrétisés sur le terrain par les unités de l’Armée Nationale Populaire lors des opérations menées notamment durant le mois de janvier passé et qui se sont soldées par l’élimination de plusieurs terroristes à Khenchla, Jijel, Médéa et Boumerdes, confirment la volonté et la détermination de l’Armée Nationale Populaire à venir à bout du fléau du terrorisme et consolider la sécurité et la quiétude parmi les citoyens. Par ailleurs, les éléments de l’ANP ont arrêté 225 contrebandiers, 862 immigrants clandestins et saisi 100,4 tonnes de denrées alimentaires, 1.145 quintaux de tabac et 56.128 unités de tabac, 97 véhicules, 177.245 litres de carburants, 71 marteaux piqueurs, 100 groupes électrogènes et 26 détecteurs de métaux. En outre, les éléments de l’ANP ont arrêté 52 trafiquants de drogue et saisi 15,9 quintaux de kif traité et 15.651 unités de psychotropes.
Affaire du kidnapping du nourrisson : Lait-Mahfoud Kaoua à Constantine, Réclusion à perpétuité à l’encontre des trois accusés.
L’affaire du kidnapping du nourisson Lait- Mahfoud Kaoua du service néonatal de la maternité centre hospitalo-universitaire, CHU – Benbadis et qui remonte à 2014 a connu un rebondissement. En effet, le tribunal criminel près la cour de Constantine a prononcé jeudi la réclusion à perpétuité à l’encontre des accusés, S.N., M.K. et M.B. dans cette même affaire. Par ailleurs, la même instance a prononcé l’acquittement des deux sages femmes A.L. et N.S., exerçant au service de la maternité du même établissement de santé. Selon l’arrêt de renvoi, S.N., l’époux de Z.B., chez qui le bébé enlevé a été retrouvé à Tamalous, dans la wilaya de Skikda, est poursuivi pour association de malfaiteurs, kidnapping d’un mineur, faux et usage de faux, octroi d’avantages, port d’arme blanche prohibée. Les accusés M.K. et M.B. étaient poursuivis pour, entre autres association de malfaiteurs, enlèvement d’un mineur et faux et usage de faux. Lors de son réquisitoire, le procureur général a souligné la gravité de l’acte commis par les accusés et a requis 20 ans de prison ferme à l’encontre des trois accusés, 15 ans pour N. S. et 3 ans à l’encontre de A. L. L’affaire de Laïth-Mahfoud Kaoua, dont l’enlèvement a suscité une vague de compassion à travers le territoire national remonte au 27 mai 2014, quand le bébé d’à peine un mois a été porté disparu du service de la maternité du CHU Constantine, juste après son admission pour un problème d’ictère néonatal. L’enquête déclenchée, par les services de la police, dés l’alerte donnée a permis de remonter la piste des kidnappeurs et localiser le bébé dans un domicile à Tamalous. Aussitôt, une perquisition fut ordonnée, et les enquêteurs ont pu récupérer l’enfant, du domicile d’une femme Z.B., dont le mari est le principal accusé dans cette affaire. La femme en question, âgée au moment des faits de 47 ans était décédée l’année dernière en prison. Les accusés disposent d’un délai de dix jours pour introduire un recours.
Donald Trump attaque frontalement le ministère de la justice et le FBI : L’empire contre-attaque.
Le président des Etats-Unis a autorisé la publication d’une note de quatre pages qui dénoncerait un biais » anti- Trump » dans l’enquête conduite par le FBI. Un rapport à charge, un président à l’attaque. Donald Trump a autorisé ce vendredi la publication d’un rapport controversé rédigé par le président républicain de la commission du renseignement de la Chambre des représentants, Devin Nunes (Californie), mettant en cause l’intégrité de la police fédérale dans l’enquête consacrée aux piratages informatiques pendant la campagne présidentielle. Ces piratages ont été prêtés à la Russie par le renseignement américain. Confirmant les informations déjà publiées, le rapport, en fait une note de trois pages et demie, se concentre pour l’essentiel sur un point de l’enquête » russe » : l’utilisation d’un dossier controversé rédigé par un ancien agent secret britannique, Michael Steele, pour obtenir en octobre 2016, soit quelques semaines seulement avant l’élection présidentielle, une autorisation de surveillance qui a ensuite été renouvelée à trois reprises. Ces autorisations visent notamment les personnes soupçonnées de travailler pour des puissances étrangères. La cible en question était un lobbyiste prorusse identifié de longue date et contacté par le FBI dès 2013, Carter Page, qui avait brièvement participé à l’équipe de campagne de Donald Trump. L’entourage du président n’a cessé de relativiser son rôle au cours des derniers mois. Il n’a pas été poursuivi jusqu’à présent par le procureur spécial chargé des investigations, Robert Mueller. Le président de la Commission du renseignement affirme que la police fédérale, le FBI, a masqué à l’autorité administrative l’origine partisane du dossier, commandité initialement par une faction républicaine, puis par un groupe lié au Parti démocrate. La note cite également le numéro deux de la police fédérale, le FBI, selon lequel ce dossier a été essentiel pour l’obtention de cette autorisation. Le document controversé a été rendu public en janvier 2017. Sans attendre la publication du document, en milieu de journée, Donald Trump est passé à l’offensive sur son compte Twitter, vendredi matin. » Les plus hauts responsables et enquêteurs du FBI et du ministère de la justice ont politisé le processus sacré d’investigation en faveur des démocrates et contre les républicains « , a-t-il assuré. Une attaque virulente sans précédent, même selon les critères du président. » Ce qui se passe dans notre pays est une honte « , a-t-il insisté plus tard dans la journée. » Beaucoup de gens devraient avoir honte, et même plus que cela « , a-t-il grondé. Ces critiques visent paradoxalement des responsables classés comme républicains et qui ont tous été nommés sous son autorité. Est concerné au premier chef Rod Rosenstein, le numéro deux du ministère de la justice, chargé de ce dossier depuis que son supérieur, Jeff Sessions, proche de Donald Trump, s’est récusé pour cette enquête pour avoir passé sous silence des contacts pendant la campagne avec des responsables russes. Christopher Wray, qui a remplacé à la tête du FBI James Comey, limogé en mai par M. Trump pour son opiniâtreté dans l’enquête » russe « , est également en ligne de mire.
Tariq Ramadan mis en examen pour viols et incarcéré : La fin d’un » mythe « .
L’islamologue a été mis en examen hier pour viols sur deux femmes. Le débat sur sa détention provisoire, requise par le parquet, a été différé à sa demande et aura lieu dans les quatre jours. C’est la chute d’une icône aussi controversée qu’influente. Tariq Ramadan, 55 ans, a été mis en examen, vendredi soir, pour viol en 2012 et viol sur personne vulnérable en 2009 puis incarcéré. Une onde de choc dans la communauté musulmane. Dans le sillage du scandale Weinstein aux Etats-Unis, deux femmes de confession musulmane avaient porté plainte contre l’islamologue. Le théologien a été incarcéré dans l’attente d’un débat différé en début de semaine sur son placement en détention devant le juge des libertés et de la détention (JLD). » Cette mise en examen est le résultat d’une enquête minutieuse de trois mois effectuée dans le secret et le silence par les policiers du 2e district de la PJ parisienne « , se félicite Me Eric Morain, l’avocat de l’une des deux victimes présumées qui préfère conserver l’anonymat. Le parquet avait demandé le placement en détention afin notamment d’empêcher une pression sur les témoins, selon une source judiciaire. Plusieurs femmes ayant témoigné anonymement pendant l’enquête préliminaire pourraient déposer plainte à leur tour. » Cette mise en examen n’est pas un aboutissement, mais une étape vers la reconnaissance des faits et du droit des victimes. Il y a eu une chape de plomb pendant des années qui est en train de sauter « , souligne Me Jonas Haddad, l’avocat de l’autre plaignante, Henda Ayari, une ex-salafiste devenue militante laïque et féministe. L’instruction promet d’être complexe, longue et peut-être même tentaculaire. Trois juges d’instruction ont été désignés. Une démarche peu fréquente. Ces derniers mois, les policiers ont entendu plusieurs femmes de confession musulmane qui ont décrit un même modus operandi : une demande de conseils religieux transformée en relation sexuelle compulsive, parfois consentie, souvent violente et humiliante. Certaines d’entre elles qui pourraient porter plainte disent avoir entretenu avec le prédicateur une relation de dépendance, voire de soumission. Elles décrivent une emprise quasi sectaire. Par ailleurs, de nombreux échanges à caractère érotique et sexuel entre Tariq Ramadan et certains de ces témoins ont été versés au dossier. Durant ses deux jours de garde à vue et devant les juges, Tariq Ramadan a reconnu des relations de séduction mais démenti tout acte sexuel. Jeudi après-midi, il avait été confronté à une de ses deux victimes présumées, une femme de 40 ans, handicapée et convertie, qui l’accuse de viol dans une chambre d’hôtel de Lyon, en 2009. Selon nos informations, l’islamologue a reconnu avoir rencontré la quadragénaire après des mois de correspondance sur les réseaux sociaux. Mais cette rencontre, qui n’aurait pas duré plus d’une demi-heure selon lui, serait restée au stade de la conversation. Pourtant, cette femme a identifié un détail intime chez son agresseur présumé, comme le site de notre journal l’a révélé hier. Une petite cicatrice à l’aine que le prédicateur a reconnu posséder, sans pouvoir trouver d’explication à cet élément rapporté par sa contradictrice.
Tout en appelant les pouvoirs publics à satisfaire les revendications des médecins et des enseignants : Louisa Hanoune dénonce le bradage de la SNTA.
Attendue sur plusieurs dossiers chauds de l’actualité nationale, la secrétaire générale du Parti des travailleurs, Louisa Hanoune, n’a pas pris de gants à l’occasion de la conference de presse qu’elle a animée vendredi à l’occasion de l’ouverture des travaux de la session ordinaire du comité central de son parti. C’est ainsi qu’elle a appelé, les pouvoir publics à prendre en charge les revendications des protestataires dans plusieurs secteurs, notamment la Santé et l’Education, estimant que « le recours à la justice pour interdire les grèves ne fera qu’exacerber la situation ». Pour la première responsable du PT, « Les pouvoirs publics doivent emprunter la voie du dialogue » dans le règlement des conflits tout en rappelant que l’Algérie « est signataire de conventions liées à l’action syndicale et aux droits politiques et civiques », elle a prévenu que « toute violation de ces traités est susceptible de donner un motif d’ingérence étrangère dans les affaires du pays ». A propos de la privatisation, la conférencière n’a pas été tendre à propos de ce qu’elle considère comme une privatisation déguisée de la SNTA. Ace propos, elle a indiqué que cela » ressemble à une privatisation déguisée « . « 49% des actions sont revenues à la SNTA, alors que le partenaire émirati a obtenu 41%. Mais cinq individus, quatre émiratis et une algérienne, détiennent 2% chacun. Et cette personnalité algérienne soutient toujours les émiratis », a déclaré Hanoune. Pour celle-ci, « le partenaire émirati a commencé par s’accaparer des unités commerciales à taux très fort de valeur ajouté », avant de faire de même, ces derniers jours, « avec la production ». Plus que cela, la secrétaire générale du PT a dénoncé le licenciement d’une partie du personnel. « Il y a eu licenciement de 1 100 travailleurs sans indemnités. Des travailleurs qui ont été recrutés à nouveau avec des contrats à durée déterminée (CDD). Les 18 travailleurs qui ont refusé de signer leurs contrats d’emploi précaires ont subi des menaces de toute nature. Ils ont même tenté de les corrompre », a-t-elle dénoncé. Plus globalement, la femme politique dit ne pas comprendre pourquoi vendre une société qui dégage des bénéfices. « Est-il acceptable de céder une entreprise publique qui fait 3 900 milliards de centimes de bénéfices nets d’impôts ? », s’est-elle interrogée. Abordant la question de la migration clandestine, la première responsable du PT a estimé que ce phénomène « est une des répercussions de la mauvaise conjoncture que traverse le pays ». Mme Hanoune a précisé que cette session permettra d’ »examiner la situation dans le pays, notamment sur les plans économique et social, en vue de préparer les bases populaires du parti à faire face à la conjoncture actuelle et à proposer les solutions qu’elles jugent idoines ». Au volet économique, elle a demandé à l’Agence nationale de développement de l’investissement (ANDI) de « présenter un bilan global de ses activités, faisant ressortir le nombre et la valeur des crédits à l’investissement et l’apport des projets créés dans ce cadre à la création d’emploi ». « L’ANDI a distribué plus de 500 milliards de dinars de crédits en 2017. Qui contrôle les projets d’investissement, le respect du code du travail, le nombre d’emplois créés dans ce cadre et le paiement des impôts », s’est-elle interrogée.
Palestine : Le ministre palestinien de l’Information parle de l’avenir du conflit avec l’entité sioniste : La judaïsation d’Al Qods est un mirage.
Tout en fustigeant la dernière décision du président Trump concernant la reconnaissance par les États-Unis de Jérusalem comme capitale de l’entité sioniste et insistant sur le fait que l’Autorité palestinienne ne renoncera pas aux frontières de 1967,le ministre palestinien de l’Information, Mohamed Assaf, a affirmé, avant-hier à Alger, que les États-Unis n’auront, à l’avenir, aucun rôle dans le processus de paix, en dehors d’un mécanisme international multilatéral sous l’égide de l’ONU. Par ailleurs, Assaf a mis en relief les tentatives de l’entité sioniste tendant à la judaïsation d’Al Qods qui n’est autre » qu’un processus systématique entamé par les forces d’occupation israéliennes depuis 1967″ a affirmé vendredi soir, à Sétif, le poète palestinien Raid Nadji, à l’ouverture du séminaire international, « Al Qods, la mosquée Al Aqsa et l’avenir du conflit ». Au cours de sa communication intitulée « la stratégie israélienne dans la judaïsation de la ville Sainte » le conférencier a assuré que « l’ennemi sioniste a promulgué des lois faisant de la ville d’Al Qods partie intégrante d’Israël » ajoutant « qu’à travers une décision militaire, les forces d’occupation considèrent la ville Sainte (Est et Ouest), comme capitale d’Israël, dès son occupation, contrairement aux résolutions des Nations Unis ». En présence de l’ambassadeur de la Palestine en Algérie, Louai Aïssa, d’un représentant de l’ambassade de la République arabe sahraouie démocratique, du président de l’association des oulémas musulmans algériens, Abderazak Guessoum et des autorités locales, le conférencier a souligné que le parlement sioniste a modifié « la loi sur l’autorité et la juridiction » mettant la ville Sainte sous le contrôle israélien et à urgé l’amendement de « la loi de la municipalité » pour faire d’El Qods « une municipalité de l’entité sioniste ».
LES FRONTIÈRES DE 1967 DEMEURENT UNE LIGNE ROUGE.
« L’autorité palestinienne ne renoncera jamais aux frontières de 1967, et les Etats Unis n’auront, à l’avenir, aucun rôle dans le processus de paix en dehors d’un mécanisme international multilatéral sous l’égide de l’ONU » a souligné M. Assaf. Lors d’une conférence de presse animée au siège de l’ambassade de Palestine à Alger, le ministre palestinien de l’Information a déclaré que les Etats Unies adoptent, au quotidien, une nouvelle position, soulignant que ces positions ont pour véritable objectif d’exercer une pression sur l’autorité palestinienne et tenter de provoquer le peuple palestinien pour l’amener à renoncer à sa cause. « Nous refusons toute pression. Si Washington cherche des concessions à travers cette démarche, elle échouera comme ce fut le cas par le passé, car nous ne renoncerons pas à l’instauration d’un Etat palestinien indépendant sur les frontières de 1967, avec pour capitale Al-Qods Est », a-t-il martelé. L’administration américaine est responsable de l’échec des pourparlers de paix, vu son parti pris pour Israël », a déclaré le ministre palestinien, ajoutant qu’ »elle n’aura, à l’avenir, aucun rôle dans le processus de paix en dehors d’un mécanisme international multilatéral sous l’égide de l’ONU ». Le ministre palestinien a également évoqué la stratégie de son pays pour la prochaine étape visant notamment à « renforcer la résilience palestinienne, activer la résistance et à réaliser la réconciliation nationale sur tous les plans ». Il a indiqué, à ce propos, que les visites effectuées par le Président palestinien, Mahmoud Abbas, en Chine et à Bruxelles et celles qui le conduiront en Russie et dans d’autres pays outre la demande de la qualité de membre à part entière au sein de l’ONU et de membre au sein d’organisations internationales ainsi que la demande de reconnaissance internationale de l’Etat de Palestine, sont autant de démarches qui s’inscrivent dans le cadre de la mobilisation du soutien international au rejet de la décision américaine concernant Al- Qods et pour l’établissement d’un Etat palestinien indépendant selon les frontières de 1967.M. Assaf a salué, en outre, la position internationale « honorable » rejetant la décision américaine concernant Al-Qods. Le ministre palestinien avait tenu ces déclarations lors d’une conférence de presse à l’issue de sa visite en Algérie à l’invitation du ministre de la Communication, Djamel Kaouane, dans le cadre du renforcement de la coopération entre les deux pays dans le domaine de l’information.
Benghebrit menace les grévistes de radiation : Le Cnapeste sous pression.
Dans sa démarche de grève illimitée lancée le 30 janvier dernier, le Conseil national autonome du personnel enseignant du secteur ternaire de l’éducation (Cnapeste) se trouve embarrassé, suite à la récente décision de la ministre de l’Education nationale, Nouria Benghebrit, qui se montre intransigeante. » Il n’y aura pas de discussions avec le CNAPESTE avant l’arrêt de la grève et ceux qui l’a poursuivront risquent la radiation « , a déclaré Benghebrit. C’est ce qu’elle a affirmé la ministre dans un entretien accordé au site « Tous sur l’Algérie ». A la question est-ce qu’il y aura d’autres sanctions contre les grévistes, la ministre répond « Ce sera la radiation ». » Ils ont quinze jours pour se décider » a telle – souligné. » Les enseignants seront informés individuellement. Chacun doit prendre ses responsabilités, ils ont le droit au recours car on applique la réglementation car nous sommes tenus de respecter et d’appliquer la réglementation en vigueur », a-t-elle ajouté. Benghebrit affirme que les revendications contenues dans le PV numéro 15, évoqué par le syndicat, ont été satisfaites. Mais pour celle relative aux ponctions sur salaire, ce ne sera pas possible parce que « les ponctions salariales ont été appliquées comme cela se fait pour toutes les catégories de travailleurs à travers tout le territoire national ». La ministre affirme par ailleurs qu’il n’y aura pas d’année blanche à Bejaia, Tizi Ouzou et Blida, puisque des mesures ont été prises. Par exemple, « 400 vacataires, notamment des retraités, ont été recrutés à Blida depuis décembre ». La tutelle ne semble pas donc prête à faire machine arrière. Il faut rappeler, en dernier lieu, que le Conseil national autonome du personnel enseignant du secteur ternaire de l’éducation (CNAPESTE) est en grève nationale illimité depuis le 30 janvier. Par ailleurs, la ministre de l’éducation a déclaré » qu’il n’y aura pas une année blanche à Blida, à Tizi Ouzou et à Béjaïa « . Le spectre d e l’année blanche est écarté selon la ministre. » Nous sommes en train de prendre des mesures pour assurer les enseignements aux élèves » a telle ajouté. Il a noté que, la fédération des parents d’élèves et association nationale des parents d’élèves avait dépose plainte à l’échelon local contre le bureau du Cnapeste. Répondant à une question sur les mesures prises par le département pour faire face à cette grève, la première responsable de son secteur, a souligné que » nous avons recomposé le calendrier de travail de l’élève. La deuxième consiste à identifier les enseignants qui ne sont pas contre le fait de faire des heures supplémentaires. La troisième mesure est de recruter des vacataires « . D’autre part, les syndicalistes accusent le gouvernement de remettre en cause le droit de grève. Selon les explications de Benghebrit, le problème n’est pas dans la grève mais dans son caractère illimité. » La grève est évidemment un droit constitutionnel .Ce qui particulier cette année est que la grève du Cnapeste n’a pas de contenu « . Il y a lieu de rappeler que le tribunal a déclaré la grève d’illégale. Les principales revendications de ce syndicat autonome portent sur le plein respect de la teneur des conventions signées avec le ministère de l’Education nationale, notamment en ce qui concerne la régularisation de la situation des personnels occupant des postes en voie de disparition, la médecine du travail, l’actualisation de la prime de zone pour le travail dans le sud, le logement et les promotions. Jeudi, les partenaires sociaux signataires de la Charte d’éthique du secteur de l’Education nationale ont indiqué dans un communiqué que cette grève était « injustifiée » et qu’elle donne une « image négative » du mouvement syndical devant l’opinion publique. Les parents d’élèves considèrent la grève comme une « fuite en avant, un complexe et un dérapage syndical », exprimant leur « désarrois » et leur « frustration » de voir l’avenir de leurs progénitures compromis, a déploré l’Anpe.

Sur le muslim post.com, rien de neuf.

Sur agence media palestine.fr, voici les titres.

Pourquoi la suppression de l’aide financière américaine à l’AP n’est pas une mauvaise chose.
Par Alaa Tartir, 8 janvier 2018.
Si les États-Unis suspendent leur aide financière à l’Autorité palestinienne, les Palestiniens seront peut-être contraints d’avoir le courage politique de se battre pour ce qui est juste.
De nombreux observateurs et analystes préviennent que la suppression de l’aide américaine à l’Autorité palestinienne (AP) est dangereuse et pourrait compromettre la stabilité. Certains affirment même que la menace du président Donald Trump sur l’aide financière aux Palestiniens est plus dangereuse que sa décision de transférer l’ambassade des États-Unis en Israël à Jérusalem.
« Pensez-vous que les jours de l’AP sont désormais comptés ? » est l’une des questions les plus récurrentes des journalistes ces derniers jours, après que Donald Trump a déclaré : « Nous payons les Palestiniens des centaines de millions de dollars par an sans obtenir de reconnaissance ou de respect. Ils ne veulent même plus négocier. »
Et Donald Trump d’ajouter : « Puisque les Palestiniens ne sont plus disposés à parler de paix, pourquoi devrions-nous leur verser des paiements massifs à l’avenir ? ».
Des actions contre les Palestiniens.
Cependant, la menace de Trump de retirer son aide à l’AP ne devrait surprendre personne.
L’aide américaine a toujours été utilisée comme un outil politique, et les conditions qui lui sont attachées ont été préjudiciables et néfastes pour les Palestiniens.
Mais si la menace de suspension de l’aide versée à l’AP se concrétisait, serait-ce vraiment si grave ? Je pense que non. Cela serait probablement bénéfique – peut-être pas à court terme, mais à long terme, sans aucun doute.
L’aide américaine à l’AP vise essentiellement à consolider le rôle de cette dernière en tant que sous-traitant de l’occupation israélienne et a rendu l’occupation israélienne moins coûteuse et plus durable, ce qui a profité à l’économie israélienne, ancré la fragmentation palestinienne et nié le potentiel démocratique palestinien. Pour toutes ces raisons, la suppression de l’aide des États-Unis à l’AP n’est pas si grave.
Le principal objectif des États-Unis vis-à-vis de la Palestine consiste à promouvoir « la prévention et l’endiguement du terrorisme contre Israël ». En d’autres termes, l’aide est fournie aux Palestiniens pour sécuriser Israël ; mais s’agit-il d’un soutien aux Palestiniens ou à Israël ?
Le paradigme « Israël d’abord ».
Selon le paradigme sécuritaire « Israël d’abord », l’administration américaine a versé des millions de dollars d’aide à l’AP afin de « professionnaliser » ses forces de sécurité pour la stabilité et la sécurité d’Israël, de son occupation et des colons de Cisjordanie occupée.
Cette logique biaisée signifiait que l’AP devenait un sous-traitant de l’occupation israélienne, grâce à l’aide et selon les conditions des États-Unis.
Cela a non seulement soutenu l’occupation israélienne, mais a aussi profité à Israël, à son économie et à ses entreprises. L’aide américaine aux Palestiniens sert souvent à payer directement les créanciers de l’AP, parmi lesquels figurent de nombreuses entreprises israéliennes qui pratiquent des tarifs prohibitifs et profitent de l’économie captive de l’AP.
En outre, la majeure partie de l’aide versée par les États-Unis à la Palestine (jusqu’à 72 %), en particulier l’aide allouée à la sécurisation, finit dans l’économie israélienne. Par conséquent, une grande partie de « l’aide » des États-Unis aux Palestiniens se traduit en réalité par un soutien supplémentaire à Israël et à son appareil sécuritaire.
L’aide des États-Unis a également ancré la fragmentation palestinienne au cours de la dernière décennie et a alimenté le fossé entre la Cisjordanie et la bande de Gaza. De plus, l’aide nie non seulement le potentiel démocratique palestinien mais parraine l’émergence d’un style de gouvernance autoritaire en Cisjordanie.
Les procédures de sécurisation soutenues par les États-Unis, qui répondent à leurs objectifs en matière de sécurité, visent à criminaliser la résistance contre l’occupation israélienne et à étouffer les besoins et les aspirations du peuple palestinien.
L’aide des États-Unis.
Les opérations et les interventions de l’Agence des États-Unis pour le développement international (USAID) et le bureau du coordonnateur de la sécurité des États-Unis (USSC) ont contribué à causer tous ces préjudices. Ce faisant, ces deux institutions violent non seulement les principes internationaux clés de la fourniture d’aide, mais elles agissent effectivement comme un bras complémentaire de l’occupation coloniale israélienne.
Certes, ces dommages et conséquences néfastes de l’aide des États-Unis ne seront pas automatiquement inversés si la menace de Donald Trump de supprimer l’aide devient réalité.
C’est beaucoup plus complexe que cela, car cela implique de démanteler des structures complexes, des dynamiques et des institutions qui ont émergé et se sont consolidées au cours du dernier quart de siècle.
Ce qui est crucial à ce stade, c’est que les Palestiniens ne paniquent pas et ne maudissent pas leur sort de « perdre » 300 à 400 millions de dollars par an ; ils devraient plutôt agir – et de nombreux choix s’offrent à eux. Pour commencer, ils devraient tenir l’USAID et l’USSC pour responsables, et abroger les dérogations d’enregistrement que le défunt dirigeant palestinien Yasser Arafat avait accordées à l’USAID pour fonctionner sans aucune surveillance palestinienne.
Inversion du processus de contrôle.
Il est temps d’inverser le « processus de contrôle » ; plutôt que d’être soumis au contrôle de l’USAID, il est temps que les Palestiniens effectuent les vérifications nécessaires concernant l’USAID et les autres organismes américains de l’industrie de l’aide en Palestine.
Pour ce faire, il faut que les dirigeants palestiniens fassent preuve de volonté et de courage politiques. Mais la direction actuelle de l’AP reste bloquée sur l’échec de ses approches et formules.
L’incapacité des dirigeants de l’AP à réaliser de petites actions telles que la révocation des dérogations d’enregistrement de l’USAID reflète une crise de légitimité plus profonde et illustre les manœuvres tactiques des dirigeants actuels de l’AP pour gagner du temps, rester au pouvoir ou réorganiser les cartes des pourparlers de « paix ». Il faut d’urgence résister à ces idées et les remplacer par de nouvelles orientations stratégiques qui soient dictées par le peuple palestinien.
Le principal défi qui reste à relever est toutefois de savoir comment canaliser les revendications et les aspirations du peuple palestinien vers des institutions politiques et représentatives légitimes.
Du point de vue du peuple palestinien ordinaire, il y aura des conséquences négatives à court terme dans l’éventualité où la menace de Donal Trump de couper l’aide se concrétise. Cependant, il est également crucial de reconnaitre que l’aide à l’AP ne se traduit pas automatiquement par une aide au peuple palestinien.
Il est trompeur d’affirmer que l’aide et ses avantages se répercutent sur le peuple palestinien ordinaire. L’industrie de l’aide est conçue pour bénéficier à peu et nuire à beaucoup.
Sam Bahour, le président de Americans for a Vibrant Palestinian Economy, a récemment déclaré : « Je ne vais pas perdre le sommeil si le Congrès cesse totalement de financer l’Autorité palestinienne. Cela ne facilitera pas la vie quotidienne sous l’occupation, mais peut-être que cela réveillera suffisamment de dirigeants américains qui verront l’absurdité d’être menés comme un troupeau de moutons par leur éleveur israélien. »
Cela ne m’empêchera pas de dormir moi non plus. Alors qu’une coupure de l’aide américaine aura quelques conséquences négatives sur la vie des Palestiniens, les perspectives à long terme pourraient s’avérer plus positives car cette action pousserait l’AP à abandonner le cadre du modèle d’aide des accords d’Oslo. Il est temps d’enterrer le modèle d’aide d’Oslo, qui a échoué.
Mais un processus d’abandon progressif requiert des actions sérieuses, des mesures concrètes et claires et un plan d’action/de sauvetage national pour une transition vers une formule post-solution à deux États et un cadre post-accords d’Oslo.
Enfin, alors que l’aide humanitaire est importante, ce qui importe plus pour les Palestiniens ordinaires n’est pas d’avoir un bon pour obtenir du blé ou des sardines, mais plutôt les racines politiques pour lutter contre le déni de leurs droits.
Tant qu’on n’abordera pas la question de ces racines politiques, peu importe l’étendue de l’aide, les Palestiniens ordinaires ne ressentiront pas le bénéfice positif de l’aide, qu’elle vienne des États-Unis, d’Europe ou des pays arabes.
La menace de Donald Trump de suspendre l’aide financière offre aux Palestiniens ordinaires une nouvelle opportunité de placer les principes d’auto-détermination et de dignité au cœur du cadre et de l’industrie de l’aide.
Alaa Tartir est directeur de programme à Al-Shabaka: The Palestinian Policy Network et chargé de recherche invité au Centre on Conflict, Development and Peacebuilding (CCDP) de l’Institut des hautes études internationales et du développement (IHEID), situé à Genève (Suisse).Vous pouvez le suivre sur Twitter : @alaatartir.Vous pouvez consulter sa publication sur le site www.alaatartir.com.
Les opinions exprimées dans cet article n’engagent que leur auteur et ne reflètent pas nécessairement la politique éditoriale de Middle East Eye.
Photo : un enfant palestinien appuyé sur des sacs d’aide alimentaire fournis par l’Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine (UNRWA) à Rafah, dans le sud de la bande de Gaza, le 22 août 2017 (AFP).
Traduction de l’anglais (original) par VECTranslation.
Source : MiddleEastEye.

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

L’OLP se penche sur la suspension de la reconnaissance d’Israël
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Le Comité exécutif de l’Organisation de libération de la Palestine (OLP) a ouvert samedi la voie à une suspension de la reconnaissance d' »Israël », mais s’est abstenu d’ordonner une application immédiate de cette initiative.
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L’épouse du prisonnier politique Louai Freij demande la libération immédiate de son mari
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Des groupes successifs de colons prennent d’assaut les cours saintes d’al-Aqsa
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Israël craint que l’effondrement économique de Gaza n’entraîne à la violence
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Des Palestiniens arrêtés et des maisons saccagées à l’aube par l’armée israélienne
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Un jeune tué à Jénine et l’occupation échoue à arrêter Ahmed Jarrar
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L’occupation démolit deux salles d’une école palestinienne à Jérusalem-Est
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L’OLP appelle le gouvernement à adopter un plan de désengagement avec Israël
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Hamas : la continuité des protestations fait signe d’un soulèvement populaire
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Une ministre néerlandaise critiquée pour son don de 13 millions d’euros à l’UNRWA
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Les affaires étrangères : l’inscription de Haniyeh sur la liste des terroristes vise la réconciliation
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Suisse: Des centaines de personnes à Berne en soutien au peuple palestinien
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L’occupation bombarde un site de la résistance au sud de Gaza
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Abbas travaille jour et nuit pour être efficace
.
Haniyeh : nous tenons à la résistance et « la transaction du siècle » ne passera pas
.
Des colons attaquent des agriculteurs palestiniens au nord d’Hébron
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
.


Le Centre Palestinien D'Information
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Flash info du 18 Joumada al Awwal 1439.

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Sur islam et info.fr, rien de neuf.

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Sur oumma.com, voici les titres.

Vers un post-réformisme musulman.
Minoritaires mais spectaculaires, les groupes néo-fondamentalistes djihadistes, à l’œuvre au moyen Moyen-Orient et au Sahel, interrogent par leur existence, à plus d’un titre, l’état du monde musulman, particulièrement après l’événement planétaire que fut le soulèvement des peuples Arabes.
L’espoir suscité par cet évènement et l’arrivée des islamistes légalistes aux pouvoirs après les élections qui suivirent, ont laissé place à une sourde déstabilisation de toute la région. L’idéologie et l’action islamiste, au vu de ces faits et de l’avancée spectaculaire des groupes néo-fondamentalistes, semble montrer au grand jour ses limites paradigmatiques telles qu’annoncées par le livre « l’échec de l’islam politique » d’Olivier Roy . Le néo-fondamentalisme n’est en effet que le symptôme de la dégradation de l’islamisme et du salafisme traditionalistes et, au-delà, de la salafiyya réformiste dont ils sont issus.
Née au cours du XIXème siècle, la salafiyya réformiste dont est issu l’islamisme et le salafisme, avait en effet trois objectifs :
Libérer le monde musulman de la domination occidentale.
Permettre l’unité de la Oumma Islamique.
Et enfin moderniser la société musulmane pour rattraper et tutoyer l’occident dans le leadership mondial.
Pour ce faire, la salafiyya a pensé le monde et l’état de retard et de domination des musulmans à travers le prisme des cadres de l’islamité tel qu’élaborés par les pieux prédécesseurs (salaf salih) du 3ème- 4ème siècle de l’Hégire. Cela, afin de revenir à une compréhension et une pratique épurée de l’islam. Le retour à ces derniers devait ainsi permettre l’enclenchement de la renaissance (nahda) civilisationnelle de la nation musulmane, et l’utilisation des avancées scientifiques de l’Occident de façon adaptée aux valeurs musulmanes. En effet, afin de trouver les moyens de se libérer du joug colonial, les leaders du réformisme musulman ont ainsi dû mobiliser la sève islamique de la société. Faisant du passé glorieux, du mode de pensée et de vie des salafs salih, confondu avec les principes de l’Islam, l’idéal mobilisateur de la résistance intellectuelle, culturelle et politique des nations musulmanes.
De ces trois objectifs, aux dimensions socio-politiques, que prendra en charge l’islamisme, et théologico-culturel, que prendra en charge le salafisme, seul le premier a été atteint. Les indépendances ont en effet concrétisé les années d’effort et de résistance (djihad) contre la colonisation. L’unité du monde musulman et la modernisation des sociétés musulmanes n’ont par contre aucunement étaient atteints.
C’est de ces échecs que semble provenir le néo-fondamentalisme salafiste et djihadiste actuel, qui est plus l’expression d’un vide idéologique que celui d’une proposition d’alternative répondant à la crise profonde du monde musulman. Crise que l’anthropologue Clifford Geertz expliquait comme provenant d’une « rupture entre l’esprit religieux (Islam) et la religiosité (islamité) » . Crise que la mobilisation idéologique de la salafiyya n’a pas su solutionner en sa racine. Et ce, en raison de la nature même du mouvement et de ses ressorts.
C’est en effet la situation et l’urgence politique qui ont commandé l’action et la pensée réformiste musulmane. Ce qui n’a pas permis une réflexion profonde sur le plan philosophique et théologique, et donc sur le contenu même de la foi et de la vision du monde, susceptible d’opérer un changement de cap radical. Ainsi la salafiyya réformiste en se contentant d’idéaliser l’islam des anciens (musulmanisme) et de l’idéologiser (islamisme), n’a pas su dépasser la réaction suscitée par l’hégémonie et la colonisation occidentales.
Avant tout réactive et défensive, la pensée réformiste salafi, qui est devenue pour une large part, celle de la pensée musulmane contemporaine tout court, n’a pas pu inventer un nouveau modèle religieux adapté aux nouvelles données cognitives apportées/imposées par le modernisme occidental. C’est cette absence d’alternative sur les plans paradigmatique, philosophique et méthodologique, qui marquera l’évolution de la salafiyya. La création n’ayant ainsi pas pris le pas sur la conservation et la négation, dans cette pensée mère qu’est le réformisme salafi, le néo-fondamentalisme salafiste actuel, qui est avant tout une volonté de ré-islamisation (pensée comme désoccidentalisation) de la société par le contrôle des mœurs par l’État, en est la conséquence somme toute logique. Et ce phénomène semble devoir perdurer tant qu’une alternative profonde n’aura pas produite une « vision et une religiosité coranique, cosmique et moderne » qui permette le dépassement du “musulmanisme” (qui est le cadre religieux née après le Prophète, devenu un carcan) et du réformisme musulman. Et ce, sans pour autant tomber dans un modernisme occidental en crise, dont le post-modernisme et les crises successives nous montrent les limites.
En d’autres termes, il s’agit de produire une modernité « cosmique » (qui est la une conscience de la reliance de toutes choses dans sa relation avec la transcendance) et coranique (qui donne voie à cette conscience) qui soit d’une part, continuité, rupture et dépassement de l’islam religion (musulmanisme), par l’Islam révélation (adhésion à la paix de Dieu); et d’autre part une proposition de réforme et de révolution du modernisme occidental fossilisé et de dépassement du post-modernisme dissolu.
Ces deux actions de réforme, dans le champ musulman d’une part et dans celui mondial d’autre part, ne font en réalité qu’un et concerne l’être humain, en tant que tel, en ce qu’il a de plus fondamental et cosmique. Dans un tel contexte, aucune alternative concernant une religion, une région, un domaine particulier, au vu de l’interdépendance et interconnexion du monde, ne peut à nos jours en être véritablement une, sans le concours et la prise en compte de toutes les dimensions qui fondent l’humanité et le devenir de tous les hommes. L’alternative sera globale et universelle ou ne le sera pas. Nous ne nous en sortirons pas sans les autres et les autres ne s’en sortiront pas sans nous.
Un tel projet, pour devenir réalité, devra recevoir le concours de certaines conditions résumées à travers les points suivants, que nous espérons développer en d’autres écrits :
Un rapport et une connaissance directe de la révélation et de la création. Ce qui exigera la mise à disposition d’une méthodologie/philosophie, accessible à tous, de lecture de l’univers coranique, de l’univers cosmique et leur interaction. Les sciences du tafsir, de ce fait, doivent être mise à l’écart en raison du fait qu’elles sont un obstacle à la méditation directe du Coran, en raison de la sacralisation qu’elle fait des règles et commentaires des anciens. Par ailleurs, les sciences humaines et de la nature doivent, de leur côté, être « dés-idéologisées » afin qu’elles ne soient pas un obstacle à l’expression créative et interactive de la conscience humaine, dans ses résonances avec le cosmos et sa relation avec la transcendance. En d’autres termes, il faut libérer le Coran et délivrer la pensée humaine des prêtres et des experts qui les figent par leurs commentaires pour livrer les êtres au pouvoir de l’avoir.
Une synthèse critique de l’héritage spirituel et philosophique des nations du monde qui servira à percevoir le cœur unique de toutes ces traditions, les raisons de leurs spécificités et les déviances qui y furent introduites par le temps et les conflits de pouvoir. Cela, afin d’aider à une réforme interne de chacune, par rapport à ses fondements, et de permettre leur évolution à toutes par rapport au cadre universel cosmique révélé par le Coran. En fait, il s’agit de cesser et de dépasser l’opposition stupide et dangereuse entre la réalité humaine et son potentiel infini et l’idéal divin et sa puissance absolue. La divinité n’est pas l’humanité ; mais la seconde ne peut se développer sans la première qui ne s’oppose point à elle et, bien au contraire, lui propose de s’élever vers elle (sans possibilité de se confondre avec elle) en être libre et responsable. Pour ce faire, une conception nouvelle de Dieu et de l’humain doit émerger de la relation révélation-création.
Une politique éducative et sociale d’élévation, d’autonomie, de solidarité et d’interaction saine des personnes et peuples. Une politique ni étatique, ni de marché, mais populaire qui permette l’indépendance vis à vis des pouvoirs religieux, idéologique, politique et financière, ainsi qu’une lecture libre et donc créative, sans idole, ni intermédiaire, de la révélation-création, qui favorise l’éclosion des potentiels que le poids de ces pouvoirs étouffe.
Tels sont les enjeux que soulèvent la question du post-réformisme musulman. Loin de ne concerner que le monde musulman, il est une prise de conscience des limites cognitives, religieuses et politiques des cadres de pensée et d’action qui gouvernent les rapport (négatif ou positif) de l’humanité avec elle-même, la nature et le divin.
L’état du monde appelle la venue d’une pensée cosmique capable de contenir, de préserver et de féconder l’unité et la diversité. Une pensée qui sache féconder l’unité du monde par la diversité des hommes, dans la quête de l’idéal vrai : qui est à la fois au-delà, pour donner à notre infini l’évolution de ses expressions et à portée de cœur, pour se nourrir et grandir à son contact, dans une relation directe, belle et aimante. Et ainsi continuer l’écriture, sous son inspiration divine, par l’humanité, de la création cosmique sur les pages infinies de la vie et son renouveau. Les prémisses d’une telle pensée post-réformiste et universelle sont-elles observables dans le monde musulman en crise ? C’est la question à laquelle nous tenterons de répondre dans un prochain article.
Tariq Ramadan est mis en examen pour viol et emprisonné.
«Tariq Ramadan vient d’être mis en examen et incarcéré pour viol. Placé en garde à vue depuis mercredi, il a été confronté à l’une de ses accusatrices.
reportage a voir sur oumma.com.

Sur Mizane.info, rien de neuf.

Sur des domes et des minarets.fr, rien de neuf.

Sur tribune lecteurs.com, le journal d’algérie, voici les titres.

Les médecins-résidents reçus demain au ministère de tutelle : Veillée d’arme à la « Santé ».
Les représentants des médecins résidents, en grève depuis plusieurs semaines, seront reçus demain au ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière dans le cadre des travaux du comité intersectoriel chargé du dossier, avec à l’ordre du jour, la question relative au service civil, selon le ministère de la Santé. “L’ ordre du jour de la réunion portera sur le service civil”, a indiqué à l’APS le conseiller du ministre de la Santé, Slim Belkessam. Rappelant que cette réunion, qui était prévue mercredi, a été reportée à dimanche en raison d’”un nouveau calendrier proposé par les représentants des médecins résidents”. Les travaux du comité sont coordonnés par le Doyen de la faculté de médecine d’Alger, le Pr Salaheddine Bendid, et l’inspecteur général du ministère de la Santé, Omar Berradjouane. Outre les représentants du ministère de la Santé et des médecins résidents, ce comité est composé également de représentants des ministères de l’Intérieur, des Finances, de l’Enseignement supérieur, du Travail et de la Fonction publique. Pour rappel, les revendications des médecins résidents portent essentiellement sur l’abrogation du caractère obligatoire du service civil et son remplacement par un autre système de couverture sanitaire pour l’intérêt du patient et l’épanouissement socioprofessionnel du médecin spécialiste, le droit à la dispense du service militaire, le droit à une formation de qualité pour le médecin résident, la révision du statut général du résident, le droit aux oeuvres sociales, ainsi que le droit à l’agrément d’installation à titre privée de spécialistes en biologie clinique. Par ailleurs, M. Belkessam a indiqué que le syndicat national des sages-femmes algériennes relevant de la Fédération nationale des travailleurs de la Santé (FNTS-UGTA) “a été reçu mercredi dernier par la Commission centrale chargée du dialogue avec les partenaires sociaux, dans le cadre d’une séance de travail”, précisant que cette réunion a permis de “passer en revue les préoccupations exprimées par le syndicat sur la situation socio-professionnelle des sages-femmes et les mesures à prendre pour améliorer les conditions de travail et la normalisation des tâches dévolues à cette corporation”. Il a relevé qu’un débat “a été engagé autour du projet du guide de prise en charge de la femme enceinte, lequel a été finalisé par un groupe d’experts siégeant au ministère de la Santé et qui a été soumis au syndicat pour enrichissement”. S’agissant du syndicat algérien des paramédicaux (SAP), le responsable du ministère a qualifié de “positive” la réunion tenue mercredi avec la commission centrale de dialogue avec les partenaires sociaux, dans la mesure où elle a permis de “mettre en évidence et de régler toutes les situations de conflit social, à l’origine du mot d’ordre de grève”, a-t-il souligné. D’autre part, lors de cette réunion, il a été décidé de la mise en place d’un groupe de travail pour suivre le dossier du personnel paramédical. Il est attendu que le SAP rende sa réponse définitive sur la grève à l’issue de la réunion de son Conseil national, a-t-il conclu.
LPP : Un quota pour la diasp.
Lors d’ une visite de travail dans la wilaya de Tlemcen, le ministre de l’Habitat, de l’Urbanisme et de la Ville, Abdelwahid Temmar a annoncé l’ouverture de la souscription à distance des membres de la communauté algérienne établie à l’étranger pour la formule de logement promotionnel public (LPP) par le biais du site de l’Agence d’amélioration et de développement du logement (AADL). En effet, le ministre a souligné que cette action initiée en collaboration avec le ministère des Affaires étrangères, servira en premier pour connaitre le nombre exact de la demande qui sera exprimée et situer géographiquement cette demande, pour élaborer un programme en conséquence. En outre, il a déclaré que « Toute cette opération se déroulera à distance pour faciliter la tâche à notre communauté à l’étranger », d’autre part, le ministre a annoncé qu’un quota restant de l’ancien programme LPP composé de 2.000 unités sera versé dans cette action pour débuter ». Affirmant « que le site de l’AADL comprend tous les mécanismes et procédures à suivre pour bénéficier de cette formule d’habitat », a-t-il indiqué S’agissant du programme 2018, le ministre a fait savoir que un total de 120.000 logements a été décidé par le gouvernement pour répondre aux besoins exprimés par les citoyens ayant souscrit pour la formule location-vente et qui ont versé les ordres de versement, en plus du retour de la formule de logement promotionnel aidé (LPA) qui bénéficiera de 70.000 unités et du renforcement de l’habitat rural. Pour les anciens programmes, à l’instar du logement public locatif (LPL), « le ministère veillera sur la célérité des réalisations, le respect des délais et le suivi à travers des rapports périodiques transmis par les directions du logement des wilayas. Les wilayas du sud et des hauts plateaux bénéficieront, pour leur part, d’un programme de lotissements, qui concernera, également, une partie de la wilaya de Tlemcen », a-t-il ajouté.
Lutte contre le terrorisme et le grand banditisme : L’ANP sur tous les fronts.
L’armée nationale populaire a doublé d’efforts dans sa lutte contre le terrorisme. Elle a réalisé des exploits à travers à ses opérations de qualité et ce grâce à son haut niveau de professionnalisme, sa persévérance et sa détermination. L’opération de khenchela qui a connu un grand succès a abouti à mettre hors d’état de nuire 8 dangereux terroristes. En effet, l’après midi du 31 janvier 2018, suite à une opération de fouille et de ratissage au niveau de la commune d’Ouled Ahlel, daïra d’Ouled Antar à Médéa/1ère RM, un détachement de l’Armée Nationale Populaire a abattu, deux dangereux terroristes. L’opération, qui est toujours en cours, a permis de saisir deux pistolets mitrailleurs de type Kalachnikov, une quantité de munitions et une paire de jumelles. A Batna, le communiqué du ministère de la Défense nationale a fait état de la destruction jeudi de 23 casemates et 4 bombes de confection artisanale. Ces opérations continues menées par les unités de l’Armée nationale populaire visent à resserrer l’étau sur ces criminels, et leur couper tout moyen de survie là où ils se retranchent. Par ailleurs, le huitième terroriste abattu par un détachement de l’Armée populaire nationale (ANP) lors de l’opération qui s’est soldée par l’élimination de 8 terroristes, le 26 janvier dernier à Khenchela, a été identifié. Il s’agit du dénommé H. Mbarek dit Meslem Soufi qui avait rallié les groupes terroristes en 2013″. Dans le même contexte, un détachement de l’ANP « a arrêté, à Tlemcen et Aïn Témouchent (2ème RM), trois éléments de soutien aux groupes terroristes, tandis qu’un autre détachement a découvert et détruit, à Jijel (5ème RM), un abri contenant une bombe de confection artisanale, une quantité de munition et d’autres objets. Dans le cadre de la lutte contre la contrebande et la criminalité organisée, des détachements de l’ANP « ont intercepté, à Tamanrasset, In Guezzam et In Salah (6ème RM), 51 contrebandiers, un camion, 3 véhicules tout-terrain,18 groupes électrogènes, 17 marteaux piqueurs et 7 détecteurs de métaux, alors que d’autres détachements ont appréhendé 3 narcotrafiquants et saisi 25 kilogrammes de kif traité à El Oued (4ème RM) et 2.016 unités d’articles pyrotechniques à Ouargla, relève le communiqué, ajoutant que des éléments de la Gendarmerie nationale « ont arrêté 2 personnes en possession de 249 comprimés psychotropes à Oran (2ème RM) ».Par ailleurs, des Garde-côtes « ont déjoué à Annaba (5ème RM) des tentatives d’immigration clandestine de 22 personnes à bord d’embarcations de construction artisanale, tandis que 6 immigrants clandestins de différentes nationalités ont été arrêtés à Adrar et Ghardaïa ». Il y lieu de signaler que le début de l’année 2018 a été marquée par plusieurs succès réalisés l’ANP lors de sa lutte contre le terrorisme et l’opération de nettoyage continue. En effet, 15 terroristes ont été abattus, 5 se sont rendus, et 23 autres ont été arrêtés pour soutien au groupes terroristes. Pour ce qui est de la lutte contre la criminalité organisée, il a été question de la saisie de 1 marteau piqueur, 100 groupes électrogène, 26 appareils de détecteur de métaux, 177245 litres d’essence, 97 engins, 1145 unités de tabac, 100, 4 tonnes de produits alimentaires. L’ANP a pu récupérer 21 kalachnikov, 2 fusils mitrailleurs, 47 balles, 9 lances roquettes, 19 fusils, 15, 90 quintaux de kif traité, 15654 comprimés de psychotropes, 17 appareils de communication, 12 jumelles, 2,7 Kg de dynamites, 00,7 quintaux de produits chimiques destinés à la construction d’explosif, 1800 litres d’huile de table. L’ANP a procédé à l’arrestation de 862 migrants clandestins et 25 individus pour trafic de drogue.
Sénat : Séance de questions orales.
“Les efforts considérables déployés par les pouvoirs publics pour la réhabilitation, la maintenance et la réalisation de routes sur l’ensemble du territoire national, du Nord au Sud, sont une preuve évidente de son attachement à son engagement de réaliser un réseau routier national moderne doté des meilleurs équipements techniques qui répond à la dynamique croissante que connait le trafic routier national”, a précisé M. Ouyahia. lors d’une séance plénière au Conseil de la Nation, consacrée aux questions orales, Soulignant l’intérêt particulier qu’accorde les pouvoirs publics à la mise en oeuvre du plan d’orientation des routes et autoroutes 2005-2025 qui s’inscrit, en application du programme du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, dans le cadre du plan de développement socio-économique à travers les différentes régions du pays, notamment les régions du grand Sud, le Premier ministre a indiqué que toute opération de maintenance, de réfection et de modernisation des routes constitue un des axes stratégiques du programme d’action du secteur des travaux publics et des transport. “En dépit de la conjoncture financière induite par la chute des prix du pétrole au niveau mondial, qui a empêché pour l’heure l’inscription de l’opération de réhabilitation de la route nationale N 49 dans son tronçon Ghardaïa-Hassi Messaoud et son report jusqu’à l’amélioration de la situation, toutes les mesures relatives à la maintenance, à l’équipement et à l’amélioration du trafic routier au niveau de cette route ont été prises”, a ajouté M. Ouyahia. De son coté, la ministre de la Poste, des Télécommunications, des Technologies et du Numérique, Houda Imane Feraoun a indiqué,quant à elle, que 57% des contractuels d’Algérie Poste ont été recrutés, précisant que l’opération se poursuivra pour inclure tous les contractuels d’ici la fin de l’année en cours. En réponse à la question d’un membre du conseil de la Nation lors d’une séance plénière présidée par M. Abdelkader Bensalah, Mme Feraoun a indiqué qu’Algérie poste a recruté 57% des contractuels, soit 3268 employés dans le cadre du dispositif d`aide à l`insertion professionnelle (DAIP) et 2600 dans le cadre du contrat de travail aidé (CTA). Le recrutement des contractuels restants d’Algérie poste se poursuivra “progressivement durant les prochains mois” pour englober l’ensemble des concernés d’ici la fin de l’année” cours pour couvrir le déficit en ressources humaines, notamment en ce qui concerne les employés du tri, de la distribution des colis et du courrier ainsi que les facteurs. Enfin le ministre du Tourisme et de l’Artisanat, Hacène Mermouri, a annoncé jeudi à Alger, l’installation d’un groupe de travail au niveau du secteur pour actualiser les réglementations et les lois juridiques et les adapter aux exigences actuelles du secteur. Le ministre qui répondait aux questions de deux membres du Conseil de la nation sur le développement touristique dans la wilaya de Boumerdes, le ministre a précisé qu’”un groupe de travail a été installé en vue de revoir les réglementations et les lois juridiques régissant le secteur pour les adapter aux exigences actuelles du tourisme et parvenir à la décentralisation de la gestion en accordant plus de prérogatives aux walis et responsables locaux pour une bonne prise en charge des projets d’investissement”.
Les marchés publics accordés aux nationaux : Ouyahia écarte les entreprises étrangères.
La dernière instruction du Premier ministre Ouyahia porte sur la préférence nationale obligatoire des marchés publics. Le recours aux entreprises étrangères sera exceptionnel. Le Premier ministre a indiqué récemment dans une note aux Walis et aux responsables des entreprises publiques que « tout recours aux entreprises étrangères doit être justifié » et que « les entreprises nationales doivent être favorisées pour les réalisations de projets » dans le cadre de l’octroi des marchés publics. Une instruction qui s’inscrit pleinement à ce que stipule l’article 83 du code des marchés publics récemment amendé. La clause de préférence nationale y est clairement définie avec un minimum de participation de 25% sur tout projet de réalisation qu’il soit des infrastructures de base ou d’équipements publics (écoles, hôpitaux, routes…). La note d’Ahmed Ouyahia tombe à point nommé dans une conjoncture économique assez difficile pour l’Algérie. De plus, l’Etat ne peut plus se permettre le luxe d’engager les entreprises étrangères dans tous les chantiers actuels. Si auparavant, les entreprises locales se plaignaient d’un certain favoritisme envers les entreprises étrangères, aujourd’hui, les données sont inversées. Aucune entité étrangère ne peut se prévaloir d’un marché acquis d’avance, ni une chasse gardée sur un secteur donné ne saura être toléré. L’Etat tentera de rationaliser ces dépenses en fonction des besoins. Il faut retenir que les dépenses d’équipements inscrites pour l’année 2018 sont de 4043 milliards de dinars et que les autorisations de programmes sont de l’ordre de 2270 milliards de dinars contre 1397 milliards de DA pour l’année dernière. Ces budgets qui doivent selon le Premier ministre alloués uniquement pour les projets à venir peuvent faire l’économie en devises. Dans le milieu patronal, cette initiative a été fortement saluée. L’on espère ainsi renouer avec la dynamique entrepreunariale qui peut assurer dorénavant aux entreprises algériennes la part du lion dans les marchés publics. Une autre bonne nouvelle pour le secteur est celle de la signature toute récente de la convention partenariat publicprivé qui permet de lever toute restriction sur les projets entre entreprises privées et publiques. Pour ce qui est de la fourniture des équipements, les entreprises locales auront le feu vert pour développer leurs propres produits pour les besoins nationaux. A noter que beaucoup de secteurs dont la sidérurgie, la mécanique et l’industrie pharmaceutique seront plus protégés à l’avenir avec pour but de baisser la facture des importations.
Subventions sociales : Le gouvernement lance la réforme.
Le gouvernement planche actuellement sur la réforme du système des subventions de l’Etat aux produits de consommation de base, y compris les produits énergétiques. Le ministre du Commerce Mohamed Benmeradi a confirmé que le gouvernement a déjà installé un comité chargé de ce dossier, et dont les travaux sont supervisés directement par le Premier ministre. Le principe, selon le ministre du Commerce, est que le gouvernement veut passer à un système de subventions ciblé, qui va directement aux couches concernées.Il a expliqué devant la Commission parlementaire chargée des affaires économiques, du développement, de l’industrie, du commerce et de la planification de l’APN, que ce groupe de travail, installé au niveau du Premier ministère, ne devrait pas achever ses travaux avant fin de 2018. Le gouvernement prend ainsi tout son temps pour examiner un dossier, qui a toujours été un « serpent de mer », puisque ce n’est pas la première fois qu’un gouvernement veut s’attaquer à un tel dossier politiquement sensible. Le ministre du Commerce a juste ajouté que ce dossier s’inscrit dans la politique économique du gouvernement, présentée dans son programme de travail par M. Ouyahia devant l’APN. Pour autant, M. Benmeradi avait souligné dimanche lors de son passage à la radio nationale qu’une évaluation du système de subvention était en cours au niveau du gouvernement. « Nous sommes en train de travailler pour voir concrètement comment basculer d’un système de subventions généralisé vers un système ciblé qui nous permettra de mettre fin à cette incohérence qui contribue aux dérèglements observés dans le commerce extérieur ». Le système des subventions « n’est pas très juste », a-t-il ajouté, précisant que « cela profite beaucoup plus à ceux qui en ont le moins besoin », citant les « entreprises, qui en profitent et pas les ménages, alors que l’objectif est de protéger le pouvoir d’achat des ménages et non des entreprises ». Il a également expliqué que l’interdiction d’importation de 851 produits « n’est pas destinée à sanctionner le consommateur », mais que « le gouvernement travaille sur le dispositif des subventions ». Les déclarations de M. Benmeradi confirment ainsi que le gouvernement Ouyahia est passé à la vitesse supérieure pour mettre en place un système de subventions ciblé, autant pour ne pas pénaliser les bas salaires, que pour protéger les fondamentaux économiques. Et l’ardoise des subventions est lourde : sur des recettes pétrolières de seulement 37 milliards de dollars en 2016, le gouvernement avait maintenu pour 2017 les transferts sociaux dont le montant équivaut à la moitié de ces recettes pétrolières, soit 18 milliards de dollars. La loi de finances 2018 consacre près de 1.760 milliards de dinars aux transferts sociaux, une enveloppe en hausse de 8% par rapport à celle de 2017. Ce budget est consacré au soutien aux familles, à l’habitat, à la santé, ainsi qu’aux subventions des prix des produits de première nécessité (céréales, lait, sucre et huiles alimentaires). Globalement, chaque année, les subventions aux couches sociales défavorisées sont estimées à 30% du PIB. Suffisant pour que le Premier ministre veuille s’attaquer, en ces temps de crise financière, à un système de subventions décrié par une partie de la classe politique. La réforme du système de subventions a été en réalité le premier chantier que voulait ouvrir Ahmed Ouyahia, dès son retour au gouvernement. Et, sitôt revenu au mois d’août dernier, il avait attaqué de front le dossier, estimant que c’est l’un des chantiers les plus urgents dans cette phase stressante de crise financière induite par une baisse des recettes pétrolières. Déjà au mois de mai dernier, dans le sillage de la nomination de l’ex-gouvernement Tebboune, il avait clairement affiché sa farouche opposition à la politique de subventions, qui ne profite pas qu’aux démunis, préconisant ouvertement son abandon. « Notre système de subvention est trop généreux. Il profite à tout le monde. Il ne profite pas aux nécessiteux », avait-il expliqué, avant d’ajouter que « l’aide de l’État doit aller à ceux qui la méritent, alors qu’aujourd’hui tout le monde peut acheter un sachet de lait à 25 dinars », avait-il fait remarquer en septembre 2016. Pour lui, les subventions de l’Etat sur les produits de consommation de base (sucre, huile, farine, semoule) alimentent la contrebande aux frontières et les trafics en tout genre. Une perte sèche de plus de deux milliards de dollars par an pour l’Algérie, estimait-il. M. Ouyahia, s’il ne ferme pas la porte du soutien de l’Etat « aux démunis », veut en revanche mettre de l’ordre dans un système fort coûteux pour les caisses de l’Etat. Il s’explique : « les acquis sociaux de l’Algérie pendant plus d’une décennie sont autant de preuves de tout ce que l’Algérie est capable de poursuivre en dépit de la crise financière ». Selon la Banque mondiale, les subventions à l’énergie en Algérie absorbent 30% du budget de l’Etat et 11% de son PIB. Elles s’élèvent à environ 1.500 à 2.400 milliards de dinars (soit environ 10 à 20 milliards de dollars).
Un plan d’alerte est lancé : La grippe saisonnière fait des victimes.
Cette année, le virus de la grippe n’a pas épargné des vies humaines. Des personnes ayant succombé à ce virus et d’autres contaminés, risque de mettre l’embarras au système de santé publique. Le directeur de la prévention et de la promotion au niveau du ministère de la santé a déclaré à un média que « les cas de complications seront suivis de plus prés dans les structures de santé les ayant pris en charge ». Il a estimé que « le ministère a déjà lancé un plan d’alerte partout dans les établissements de santé » là où d’autres personnes se présenteraient avec des cas de contamination et de sérieux problèmes de santé. Selon une autre source du ministère de la santé, toutes les directions de la prévention au sein des CHU et autres établissements de soins ont reçu une note leur indiquant de dénombrer les cas les plus insidieux de la grippe saisonnière et d’établir une carte de santé spéciale pour les personnes présentant une résistance aux premiers soins de la grippe. Il faut retenir que jusque-là, le vaccin contre la grippe saisonnière continue d’enregistrer des vaccinations de milliers de malades parmi les personnes âgées ou celles présentant des maladies chroniques ainsi que des femmes enceintes. Un premier bilan des services de prévention du ministère de la santé indique que « 82% des doses de vaccins ont distribués déjà avec 1,2 million de personnes vaccinés ». Ce qui est déjà un record par rapport à l’année précédente. A noter que le ministère avait annoncé il y a quelques jours que 40.000 doses supplémentaires seront distribués aux autres établissements de santé, une couverture estimée largement suffisante pour enrayer le virus de la grippe. Cependant, il est attendu selon les prévisions des autorités de santé « un pic du virus entre janvier et février » de cette année. Les raisons sont dues à une propagation plus expansive de ce virus qui se développe durant la saison d’hiver. Un autre dispositif vient d’être installé au niveau des services de pneumo-phtisiologies de tous les CHU car le département de prévention du ministère parle de « prise en charge immédiate des personnes présentant des complications respiratoires résultant d’une grippe sévère ». Si des personnes ordinaires ont toujours recours à un traitement classique, il y a ceux qui par négligence omettent de se vacciner d’autant qu’ils présentent des signes de vulnérabilité ou leur système immunitaire reste moins combatif.

Sur le muslim post.com, rien de neuf.

Sur agence media palestine.fr, voici les titres, rien de neuf.

De jeunes juifs ont manifesté en soutien de la militante palestinienne Ahed Tamimi.
Par Brittney McNamara, 1 février 2018.
Le 31 janvier, Ahed Tamimi, une jeune militante palestinienne, a eu 17 ans. Elle les a eus dans la cellule d’une prison israélienne, où elle encourt de multiples accusations, y compris celle d’avoir attaqué des soldats, après qu’une vidéo d’elle giflant un soldat israélien est devenue virale en décembre 2017. Son emprisonnement fait partie d’un conflit en cours entre Israël et la Palestine qui remonte à près d’un siècle, dans lequel les Palestiniens reprochent aux Israéliens d’occuper les terres sur lesquelles ils pensent avoir un droit historique, tandis que les Israéliens affirment avoir un droit juridique et religieux sur les terres occupées. Ahed serait l’une des plus de 300 jeunes palestiniens détenus par les forces israéliennes.
Le jour de l’anniversaire d’Ahed, des jeunes se sont mobilisés en grand nombre pour la soutenir. Protestant contre ces arrestations, des lycéens juifs de tous les États-Unis sont descendus dans les rues le 31 janvier, manifestant leur solidarité avec Ahed et leurs homologues palestiniens. Selon IfNotNow — l’organisation grâce à laquelle les manifestations ont eu lieu— c’est la première fois que de jeunes juifs américains se sont rassemblés en faveur des Palestiniens de leur âge. Ariela, une des jeunes menant l’action mercredi, a déclaré à Teen Vogue que la manifestation montre que les teenagers juifs américains veulent la paix pour tout le monde —y compris les Palestiniens.
« Il y a un changement qui s’opère dans notre communauté, et notre génération est à l’avant-garde, prête à faire entendre sa voix sur l’injustice de l’occupation israélienne », a déclaré Ariela à Teen Vogue. « Les jeunes juifs américains appliquent les valeurs juives que nous avons apprises à l’école hébraïque et aux dîners de Shabbat : nous devons respecter, protéger et honorer non seulement les Juifs, mais aussi les Palestiniens. Nous voulons envoyer un message à Ahed pour lui dire que nous sommes avec elle, que nous sommes inspirés par elle et que nous luttons pour sa liberté ».
Les Israéliens occupent des parties de la Cisjordanie et de la Bande de Gaza, des zones sur lesquelles les Palestiniens disent avoir un droit historique. Alors qu’Israël ne reconnaît pas la Palestine comme une nation (pas plus que ses alliés, y compris les États-Unis), et affirme que ses colonies sont légales, les Palestiniens ne sont pas d’accord, d’où le conflit, souvent violent, en cours. IfNotNow est un groupe de jeunes Juifs américains rassemblés contre l’occupation israélienne de la Palestine.
Des manifestations en soutien de Ahed ont eu lieu à Washington D.C., à New York, à Boston, et dans la région de la baie de San Francisco le 31 janvier, a déclaré IfNotNow dans un communiqué de presse. À côté de ces manifestations, l’organisation a aussi rassemblé près de 1000 messages d’anniversaire à envoyer à Ahed en détention.
En plus d’adresser ainsi son soutien à Ahed et à d’autres jeunes Palestiniens, Ariela dit qu’elle espère que d’autres jeunes juifs comprendront mieux comment les jeunes palestiniens sont traités.
« Je veux que les gens sachent que les jeunes juifs dans la rue [pour ces manifestations] sont la voix morale de notre communauté, que nous nous lèverons pour défendre ce qui est juste et qu’en faisant cela nous transformerons notre communauté », dit-elle. « Nous aimons notre communauté — et nous serons la génération qui mettra fin au soutien de la communauté juive américaine à l’occupation ».
Traduction: Catherine G. pour l’Agence Média Palestine.
Source: Teenvogue.com.
Israël utilise le tourisme afin de légitimer ses colonies de peuplement, affirme un rapport de l’Union européenne.
Oliver Holmes, à Jérusalem – le 1er février 2018 – The Guardian
Israël développe des sites archéologiques et touristiques pour légitimer les colonies de peuplement illégales dans les quartiers palestiniens de Jérusalem, préviennent des diplomates de l’UE présents dans la ville.
Un rapport qui a été divulgué et obtenu par The Guardian cite des projets dans certaines parties de Jérusalem-Est – occupée par Israël depuis 1967 – qui sont utilisés « comme un outil politique afin de modifier le récit historique et de soutenir, légitimer et étendre les colonies de peuplement ».
Le rapport identifie des sites de fouilles gérés par des colons au cœur de districts à majorité arabe, cite également un projet de téléphérique avec des arrêts sur des terres confisquées, et désigne des zones urbaines construites en tant que parcs nationaux.
« Jérusalem-Est est le seul endroit où des parcs nationaux israéliens sont déclarés sur des quartiers habités » dit le rapport.
Le document, un rapport que rédigent chaque année les chefs de mission de l’UE à Jérusalem, présente un sombre tableau, affirmant que la situation générale dans la ville et les perspectives de paix se sont détériorées.
La marginalisation des Palestiniens, lesquels représentent environ 37 % des habitants de la ville, s’est poursuivie sans relâche avec plus de 130 démolitions d’immeubles et le déplacement de 228 personnes.
Le nombre record de propositions de colonies israéliennes et l’isolement physique des Palestiniens soumis à un système d’autorisations israélien strict font que « la ville a largement cessé d’être le centre économique, urbain et commercial palestinien qu’elle était autrefois ».
Le développement des sites archéologiques et du tourisme, par les institutions gouvernementales comme par des organisations coloniales privées, a élaboré ce que le rapport dit être « un récit basé sur une continuité historique de la présence juive dans la région, aux dépens des autres religions et cultures ». Le principal de ces sites étant, prévient le rapport, celui de la Cité de David, un parc archéologique financé par le gouvernement dans le quartier palestinien de Silwan, qui propose des visites guidées dans les ruines de la Jérusalem antique. Le site est exploité par une organisation de colons « qui fait la promotion d’un récit exclusivement juif, tout en détachant le lieu de son environnement palestinien ».
Environ 450 colons vivent sous haute protection à Silwan, indique le rapport, à côté de près de 10 000 Palestiniens. Les expulsions continuelles de familles palestiniennes et la présence accrue de la sécurité israélienne ont créé une tension particulière, prévient encore le rapport.
Plus récemment, un projet de téléphérique, approuvé par le cabinet israélien en mai, prévoit de relier Jérusalem-Ouest à la Vieille Ville, une partie de Jérusalem reconnue internationalement comme occupée.
Prévu pour être opérationnel en 2020 et ayant pour objectif de transporter plus de 3000 personnes à l’heure, ce projet « hautement controversé », prévient le rapport, contribuerait à consolider les « colonies de peuplement touristiques ». Il vise aussi, dans une deuxième phase non encore approuvée, à s’étendre à Jérusalem-Est.
« Des critiques ont décrit le projet comme transformant le site du patrimoine mondial de Jérusalem en un parc à thème commercial, tandis que les habitants palestiniens restent absents du récit présenté aux visiteurs », déclare le rapport.
En outre, préviennent les diplomates, le téléphérique pourrait conduire à une détérioration de la situation sécuritaire, car il serait situé à environ 130 mètres du complexe du Mont du Temple/Haram al-Sharif, vénéré comme un lieu saint par les musulmans et par les juifs.
Cet été, des hommes armés ont tué deux policiers israéliens à l’entrée du site, et l’installation de détecteurs de métaux par les autorités a entraîné de nouveaux affrontements.
Traduction : JPP pour l’Agence Média Palestine.
Source : The Guardian.

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

Suisse: Des centaines de personnes à Berne en soutien au peuple palestinien
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Environ 350 personnes ont manifesté pacifiquement samedi à Berne en soutien au peuple palestinien, contre la reconnaissance de Jérusalem comme capitale d’Israël. Ce rassemblement sur la Place fédérale était organisé par une quinzaine d’organisations.
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Abbas travaille jour et nuit pour être efficace
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Des colons attaquent des agriculteurs palestiniens au nord d’Hébron
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La Turquie critique la décision des Etats-Unis contre Haniyeh
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Les détenus politiques à Qalqilya annoncent une grève de la faim
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Ekrima Sabri appelle les pays arabes et islamiques à couvrir le budjet de l’UNRWA
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Une offensive militaire israélienne à Jénine à la recherche du résistant Ahmed Jarrar
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Khalil al-Hayya: l’occupation et les États-Unis tentent de liquider les principaux problèmes palestiniens
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Israël ferme des institutions palestiniennes à Jérusalem
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L’aggravation de la crise du carburant menace le système de santé à Gaza
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Pause de solidarité devant la maison de plus jeune prisonnier palestinien
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Une délégation du Hamas rencontre Jumblatt à Liban
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Des colons prennent d’assaut Massoudiya
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Nouvelles arrestations politiques en Cisjordanie occupée
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Des centaines de manifestants à Gaza protestent contre l’inclusion de Haniyeh dans la liste noire américaine
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L’occupation arrête 5 jeunes hommes qui ont traversé la frontière de Gaza vers les territoires de 48
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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