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Flash info du 25 Rabi al Awwal 1439.

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Sur Ajib.fr, voici les titres.

Le statut de l’enfant adultérin en Islam.
En Islam, l’enfant conçu hors mariage est considéré comme né de l’adultère ou d’un rapport illégal. Le Coran et les hadiths ont relaté le cas de ces enfants nés dans de telles conditions, ils sont privés de certains privilèges sociaux sans toutefois voir leur dignité ou leurs droits à l’instruction et à l’éducation bafoués.
Relation illicite veut dire tout contact sexuel entre un homme et une femme en dehors du cadre du mariage islamique, à savoir la zinâ, qui signifie en français la fornication ou l’adultère. Allah a interdit dans plusieurs versets d’approcher la zinâ.
Le nouveau-né issu d’une de ce type de relation est attribué à sa mère célibataire et non à son père et si la femme a commis la zinâ étant mariée, alors l’enfant est attribué à son mari. Les savants se basent sur le récit du Prophète (sallAllahou ’alayhi wa salam) : « Le garçon au lit et au salace les pierres ». [rapporté par Al Boukhari (2053) et Muslim (1457)].
L’imam an-Nawawî dit de ce hadith dans son commentaire, que le « fornicateur » n’a aucun droit sur l’enfant, sauf dans le cas d’un mariage authentique ou touché de vice, ou comme un mariage suspect ou avec une servante.
Si l’homme avait une épouse ou une esclave qui a couché avec lui et a accouché d’un enfant lors de la période de probabilité (6 mois), l’enfant appartient à l’homme et a le droit à l’héritage et d’autres dispositions de la naissance, qu’il lui ressemble ou non, et la période de possibilité qu’il soit le sien est de six mois depuis leur union. [Fatâwa Al-Lajnah Ad-Dâ-ima lil-Bouhouth Al-’Ilmiyyah wal-Iftâ, 20/395-396].
Par contre, l’enfant est privé de l’héritage de son père si la femme qui a commis la zinâ est célibataire.
Dans le cas de la fornication, l’enfant ne peut être tenu pour responsable, les savants de Lajnah disent que l’enfant adultérin n’assume aucune responsabilité du fait de l’acte sexuel illicite commis par ses parents.
Allah soubhana wa ta’ala a dit : « Allâh n’impose à aucune âme une charge supérieure à sa capacité. » (Coran, 2/286) et : « Et nul ne portera le fardeau d’autrui ». (Coran, 17/15).
Son sort dans l’au-delà sera équivalent à n’importe quel musulman qui obéit et accomplit les bonnes œuvres et meurt musulman, il entrera au paradis. S’il désobéit à Allah et meurt mécréant, il entrera en enfer. S’il mélange les bonnes et les mauvaises actions et meurt musulman, Allah décidera soit de lui pardonner, soit de le châtier, mais il finira par entrer au paradis comme tous les musulmans par la grâce et la miséricorde d’Allah.
Allah est le plus savant.

Sur Katibin.fr, rien de neuf.

Sur journal du musulman.fr, rien de neuf.

Sur islam et info.fr, voici les titres.

Algérie : La mosquée Ketchaoua d’Alger retrouve sa splendeur. VIDEO.
La mosquée Ketchaoua d’Alger retrouve sa beauté d’autant.
Cette Mosquée algérienne agrandie sous l’ère du califat turc ne fut pas détruite comme les autres mosquées d’Alger lors de la colonisation mais changée en cathédrale.
A l’indépendance algérienne l’édifice redevient une Mosquée.
La Turquie a tenue a financé sa réhabilitation suite à son délabrement avancé.
Une opportunité pour le quartier qui ne bénéficiera pourtant pas des mêmes faveurs de la part de l’état algérien.
reportage vidéo a voir sur islam et info.fr.

Sur saphirnews.com, voici les titres.

Cherche d’urgence pays d’accueil pour 1 300 réfugiés.
L’ONU a lancé, lundi 12 décembre, un appel urgent à la communauté internationale pour accueillir 1 300 réfugiés africains « extrêmement vulnérables » bloqués en Libye.
Le Haut Commissariat aux réfugiés (HCR) a précisé qu’il fallait trouver ces places d’accueil d’ici la fin mars 2018 pour ce groupe de personnes, incluant des enfants non accompagnés, des mères célibataires, des personnes souffrant de maladies graves et celles ayant été grièvement torturées au cours de leur périple ou bien en détention en Libye.
« Beaucoup de réfugiés, de demandeurs d’asile et d’apatrides sont victimes en Libye de graves violations des droits de l’homme, y compris de différentes formes de traitement inhumain, cruel et dégradant », a averti l’agence de l’ONU pour les réfugiés.
« C’est un appel désespéré à la solidarité et à l’humanité », a affirmé Volker Turk, responsable de la Protection au HCR. « Etant donné les besoins humanitaires imminents et la détérioration rapide des conditions dans les centres de détention en Libye, le HCR travaille activement pour organiser plus d’évacuations vers le Niger dans les prochaines semaines et les prochains mois. »
Le Niger a accepté d’héberger sur son sol les réfugiés évacués parmi les plus vulnérables, dans l’attente que leur soit trouvé un pays d’accueil. Quel Etat saura répondre à l’appel de l’ONU ?

Sur oumma.com, voici les titres.

Qui est Halimah Yacob, première présidente de la République de Singapour?
Le 13 septembre, Halimah Yacob est devenue la première présidente de la République de Singapour. A 63 ans, la première présidente voilée du Parlement entre dans l’histoire de son pays, après avoir été choisie en haut lieu. Candidate idéale pour une présidence réservée à une figure de la minorité malaisienne, Halimah Yacob veut être une « présidente pour tous ». « Bien qu’il s’agisse d’une élection réservée, je ne suis pas une présidente réservée. Je suis une présidente pour tous ! » Epaulée par son mari, cette femme d’exception, mère de 5 enfants, sait ce qu’elle ne veut pas : faire de la figuration pendant son mandat. Présidente volontariste d’une présidence honorifique, Halimah Yacob promet de s’investir sans compter. « Qu’il s’agisse ou non d’une élection, je réitère ma promesse de servir tout le monde avec la même passion, équité et un sens aigu des responsabilités. »
reportage a voir sur oumma.com.
Arabie saoudite: les salles de cinéma vont rouvrir au public, après 35 ans d’interdiction.
Les interdits n’en finissent pas d’être brisés dans une Arabie saoudite qui s’est mise résolument à l’heure de la réforme, et à l’inespérée autorisation de conduire accordée à la gent féminine succède aujourd’hui la non moins inattendue autorisation de se presser dans les salles de cinéma, au terme de 35 ans de prohibition.
Le septième art est de nouveau en odeur de sainteté dans le royaume saoudien, comme l’a proclamé lundi le ministre de la Culture, Awad al-Awad, à la consternation du Grand mufti Adelaziz al-Cheïkh.
Hostile à toute forme de divertissement au pays où l’on ne badine pas avec l’ultraconservatisme, la plus ancienne et influente autorité religieuse de la monarchie wahhabite, sentant le vent tourner en faveur de la promotion des activités culturelles, s’était fermement opposée, en janvier dernier, à la possible réouverture des cinémas, affolant le grand public sur la « source de dépravation » que cela représenterait, car favorisant la « mixité ».
« C’est un moment clé dans le développement de l’économie culturelle dans le pays », a déclaré, lundi 11 décembre, le ministre de la Culture via un communiqué. « Les autorités vont délivrer dès à présent les permis d’exploitation », a-t-il indiqué, en faisant fi des mauvais présages annoncés par le Grand mufti…
Année charnière, s’il en est, 2018 verra non seulement les Saoudiennes passer derrière le volant (à partir du mois de juin), mais aussi les salles obscures du royaume être noires de monde.
Maroc : une opération de police contre un camp de migrants tourne mal.
La tentative de la police marocaine de disperser un camp illégal de migrants a déclenché un véritable chaos dans la ville littorale de Casablanca. Jets de projectiles et autres affrontements violents ont blessé plusieurs personnes.
reportage a voir sur oumma.com.
L’Algérie a lancé son premier satellite de télécommunications baptisé Alcomsat-1.
La fusée chinoise Longue Marche 3B a mis en orbite dimanche le premier satellite de télécommunications algérien, Alcomsat-1. Le satellite atteindra son orbite de destination dans six jours.
L’Algérie a lancé son premier satellite de télécommunications baptisé Alcomsat-1, a annoncé dimanche l’agence spatiale algérienne ASAL dans un communiqué.
Le satellite a atteint l’orbite de transfert géostationnaire (GTO) grâce au lanceur chinois Chang-Zheng 3B (CZ-3B, Longue Marche 3B) qui a décollé dimanche, à 17h40 (heure de Paris) depuis le centre de lancement de Xichang situé dans la province de Sichuan, à 2.200 km au sud-ouest de Pékin.Alcomsat-1 s’est séparé du lanceur 26 minutes après le décollage. Il évolue actuellement sur une orbite avec 4.1191 d’apogée et 200 km de périgée inclinée à 26,4°.
«Cinq manœuvres d’Alcomsat-1 seront nécessaires dans les six prochains jours pour atteindre son orbite géostationnaire de 36.000 km d’altitude et sa position orbitale à 24,8° Ouest», a précisé ASAL.Alcomsat-1 fournira des services de transmission audio, d’internet à haut débit, de télémédecine, de visioconférence et améliorera la réception de plusieurs programmes de télédiffusion.
Les ingénieurs de l’agence spatiale algérienne contrôleront le satellite via les centres d’exploitation des systèmes de télécommunications situé à Boughezoul et à Bouchaoui(source Sputnik News)

Sur Mizane.info, rien de neuf.

Sur des domes et des minarets.fr, rien de neuf.

Sur Actualite islamique de Belgique, rien de neuf.

Sur agence media palestine.fr, voici les titres, rien de neuf.

L’erreur de Trump à propos de Jérusalem est un désastre pour le monde arabe… et pour les Etats Unis aussi.
Par Rachid Khalidi, mercredi 6 décembre 2017.
La folle démarche du président qui reconnaît la ville comme la capitale d’Israël aura des conséquences négatives impossibles à prévoir.
A chaque fois qu’on a l’impression que Donald Trump ne peut aller plus loin, il recommence. Maintenant, il a annoncé que son administration reconnaîtra Jérusalem comme la capitale d’Israël, revenant sur presque 70 ans de politique américaine. Cette démarche aura de multiples ramifications négatives, dont beaucoup sont impossibles à prévoir.
Jérusalem est le point le plus important des questions du dit statut final, maintes fois remis au cours des négociations Israélo-palestiniennes à cause de leur extrême sensibilité. Trump s’est introduit dans cet imbroglio comme un éléphant dans un magasin de porcelaine, en ciblant la question la plus complexe et la plus sensible en lien avec la Palestine.
Jérusalem est sans aucun doute l’aspect le plus important de toute la question palestinienne. Elle a été au coeur de l’identité des musulmans et des chrétiens palestiniens depuis la période fondatrice de chacune de ces religions et l’a même été encore plus au fur et à mesure que le conflit sur la Palestine s’est aggravé.
La rivalité au sujet de la ville sainte est exacerbée par le fait que le même site – Haram al-Sharif pour les Musulmans, Mont du Temple pour les Juifs – est sacré pour les uns et les autres. A cause de sa nature explosive, c’est un sujet sur lequel aucun politique palestinien, et peu de dirigeants arabes, n’oserait badiner.
Pour quelqu’un comme moi, dont la famille vit à Jérusalem depuis des siècles, l’annonce de Trump ne signifie pas seulement que les Etats Unis ont adopté la position israélienne comme quoi Jérusalem appartient exclusivement à Israël. Trump a aussi rétroactivement légitimé la prise et l’occupation militaire de la Jérusalem Est arabe par Israël, à l’occasion de la guerre de 1967, et les lois discriminatoires imposées aux centaines de milliers de Palestiniens qui y vivent. Les dégâts qu’il a faits seront permanents : les Etats Unis ne peuvent pas annuler cette reconnaissance.
Cet acte disqualifie complètement les Etats Unis dans leur très ancien rôle d’intermédiaire, position que Washington s’est exclusivement appropriée. Il en est de même pour le pitoyable « plan de paix » que le gendre de Trump Jared Kushner concoctait en espérant l’imposer aux Palestiniens.
Il est temps de reconnaître officiellement Jérusalem comme capitale d’Israël’, dit Trump.
Cette action de Trump témoigne de son dédain pour l’opinion de tout le monde arabe. Quoi que puissent dire les dictateurs et monarques absolus arabes aux Américains dont ils dépendent, les peuples arabes sont unanimes dans leur soutien à la position des Palestiniens sur Jérusalem. Leurs réactions inévitables à cette démarche se heurteront aux intérêts vitaux américains dans toute la région. En tant que secrétaire à la Défense, James Mattis a déclaré en 2013 : « J’ai payé un prix quotidien pour la sécurité militaire en tant que commandant du [Commandement Central] parce que les Américains sont perçus comme partiaux dans leur soutien à Israël.
Ce dernier fiasco diplomatique est encore un exemple du profond mépris que l’administration témoigne au reste du monde. Pas un seul pays ne reconnaît Jérusalem comme capitale d’Israël. Il existe un consensus mondial pour dire que, jusqu’à l’obtention d’un règlement, il est illégitime de préjuger ou de prédéterminer le résultat des négociations. Les Etats Unis ont officiellement rassuré les Palestiniens à ce sujet en les invitant à la conférence sur la paix de Madrid en 1991.
Bien sûr, il existe d’innombrables antécédents de la partialité des Américains en faveur d’Israël. Personne n’aurait dû s’attendre à de l’équité à ce sujet de leur part ou de celle de leur patron.
Il est maintenant difficile de voir comment un accord palestino-israélien durable est possible. Comme on pouvait s’y attendre de la part de Trump, il s’agit d’une blessure entièrement volontaire qui se répercutera longtemps dans les annales de la diplomatie. Elle va encore affaiblir le prestige déjà réduit des Etats Unis, compliquant ses relations avec ses alliés, avec les Musulmans et les Arabes – et avec les gens de bon sens à travers le monde.
Trump, qui a été mis en garde contre cette démarche par les dirigeants arabes, moyen-orientaux et européens, a maintenant rendu la résolution du conflit sur la Palestine bien plus difficile, tout en réjouissant ses amis et leurs dangereux frères extrémistes en Israël. Bien loin d’inaugurer « l’accord du siècle » comme il s’en vantait, avec cette démarche insensée, Trump va peut-être provoquer la débâcle du siècle. C’est un triste jour pour le droit international, pour la Palestine et pour quiconque se soucie de la paix au Moyen Orient.
Rachid Khalidi est professeur d’études arabes à la chaire Edward Saïd de l’université Columbia.
Traduction : J. Ch. pour l’Agence Média Palestine.
Source : The Guardian.
Des dirigeants chrétiens de Jérusalem implorent Trump: Ne changez pas le statut de notre antique cité.
Par la rédaction de Newsweek – 6 décembre 2017.
Le Président Donald Trump est sur le point de devenir le premier président des États Unis à reconnaître Jérusalem comme la capitale officielle d’Israël, mettant fin à des décennies de politique extérieure américaine et prenant le risque d’entraîner une escalade de la violence dont les dirigeant arabes ont averti qu’elle pourrait avoir des implications d’une grande portée dans toute la région.
La cité antique est révérée non seulement par les Juifs et les Musulmans, mais aussi par les Chrétiens. Les plus hauts dirigeants chrétiens des églises et patriarcats de toute la cité historique ont lancé un appel collectif à Trump, sous forme d’une lettre, lui demandant de continuer à respecter la situation actuelle de Jérusalem – c’est à dire que son statut doit être décidé par des négociations entre toutes les parties – sous peine que la main tendue à la paix se retire autant de la part des Juifs que des Arabes. Voici la lettre in extenso.
Cher Mr. Le Président,
Nous sommes pleinement conscients de l’attention particulière que vous portez au statut de Jérusalem ces jours-ci et nous l’apprécions. Nous suivons la situation avec attention et nous voyons qu’il est de notre devoir d’adresser cette lettre à Votre Excellence.
Le 17 juillet 2000, nous avons adressé une lettre similaire aux dirigeants qui se sont réunis à Camp David pour décider du statut de Jérusalem. Ils ont aimablement pris notre lettre en considération. Aujourd’hui, Monsieur le Président, nous sommes confiants sur la considération avec laquelle vous pourrez prendre en compte notre point de vue sur le statut très important de Jérusalem.
Notre terre est appelée à être une terre de paix. Jérusalem, la cité de Dieu, est une cité de paix pour nous et pour le monde. Mais malheureusement, notre terre sainte avec Jérusalem ville sainte, est aujourd’hui une terre de conflit.
Ceux qui chérissent Jérusalem ne souhaitent qu’en faire une terre et une ville de paix, de vie et de dignité pour tous ses habitants. Les prières qu’y font tous les croyants – des trois religions et des deux peuples qui appartiennent à cette ville – s’élèvent vers Dieu et, comme dit le psaume : « Reviens vers nous, Dieu tout puissant ! Regarde du haut des cieux et vois ! » (80.14). Inspire nos dirigeants et emplis leur esprit et leur cœur de justice et de paix.
Monsieur le Président, nous avons suivi les rapports faisant état de la possibilité d’un changement dans la façon dont les États Unis comprennent et traitent le statut de Jérusalem et nous en sommes préoccupés. Nous sommes certains que de telles mesures produiront une haine grandissante du conflit, de la violence et de la souffrance à Jérusalem et en terre Sainte, qui nous mèneront bien loin de l’objectif d’unité et plus profondément vers une division destructive. Nous sollicitons de vous, Monsieur le Président, une aide pour que tous nous marchions vers plus d’amour et une paix définitive, qui ne peut être obtenue sans que Jérusalem soit à tous.
Par ce conseil solennel nous appelons les États Unis à continuer à reconnaître le statut actuel de Jérusalem. Tout changement soudain causerait un mal irréparable. Nous avons bon espoir qu’avec un soutien énergique de nos amis, Israéliens et Palestiniens pourront œuvrer à une négociation vers une paix juste et durable, profitable à tous ceux qui aspirent à ce que la Ville Sainte de Jérusalem accomplisse son destin.
La Ville Sainte peut être partagée et pleinement satisfaisante une fois que le processus politique aidera à libérer les cœurs de tous ceux qui y vivent, des conditions du conflit et du pouvoir destructeur dont ils font l’expérience.
Noël est tout proche. C’est une fête de paix. Les Anges ont chanté dans nos cieux : Gloire à Dieu le très grand, et paix sur la terre et pour les gens de bonne volonté. Pour ce Noël qui vient, nous demandons que Jérusalem ne soit pas privée de paix, nous vous demandons, Monsieur le Président, de nous aider à écouter le chant des anges. En tant que dirigeants chrétiens de Jérusalem nous vous invitons à une marche d’espérance avec nous pour construire une paix juste, inclusive pour tous les peuples de cette Ville unique et Sainte.
Avec nos meilleurs souvenirs et nos meilleurs vœux pour un Joyeux Noël.
Traduction : SF pour l’Agence Media Palestine.
Source : Newsweek.
Pillés à Beyrouth il y a 35 ans, maintenant projetés à Tel Aviv.
Par Rami Younis, le 4 décembre 2017
« Pillés et cachés » puise dans les archives de films capturés par l’armée israélienne en 1982, et braque les projecteurs sur d’autres biens volés par Israël : l’histoire du cinéma palestinien.
Des images rares issues des archives des films et photographies palestiniens qui documentent des décennies de l’histoire palestinienne d’avant 1948 et d’après la Nakba voient finalement le jour dans un nouveau film de Rona Sela qui est conservatrice, chercheure en histoire et culture visuelle, et chargée de cours à l’université de Tel Aviv. Presque toutes ces images d’archives ont été confisquées dans les attaques de l’armée israélienne contre le bureau de l’Organisation de Libération de la Palestine à Beyrouth en 1982 : des documents et des photos ont alors été pris.
Ce matériau a maintenant été rendu public par le censeur de l’armée d’Israël et il est désormais accessible au public dans les archives de l’armée israélienne.
Sela a passé des centaines d’heures aux archives militaires pour réaliser le film qui met au jour une quantité significative de matériau documentaire et culturel : des photos et des films sur la vie des Palestiniens avant et après 1948 et dans la diaspora, de même que des enregistrements sonores d’artistes et de réalisateurs palestiniens qui ont été censurés et cachés au public. Cette collection est inestimable et le film de Sela la rend accessible pour révéler un nouveau chapitre dans l’histoire du déni et de la suppression de l’histoire de la Palestine.
Sela a intelligemment choisi de baser son film sur des images qui sont elles-mêmes rares. Elle construit la trame du film comme une correspondance entre elle et un certain nombre de Palestiniens et même entre elle et un soldat israélien qui était dans l’armée à Beyrouth. Ce film relativement court est émouvant : on a du mal à ne pas se demander comment ces images auraient influencé le développement du cinéma palestinien si elles n’avaient pas été volées et rendues inaccessibles aux réalisateurs palestiniens. Les films de réalisateurs palestiniens font continuellement sensation et gagnent des prix dans des compétitions internationales contre vents et marées et malgré l’état de guerre culturelle menée par Israël contre les artistes palestiniens. Il n’est pas exagéré de dire que le cinéma palestinien aurait pu avoir un potentiel plus important si des pans de son histoire n’avaient pas été cachés aux yeux du monde.
Semblable à la destruction du tissu urbain palestinien en 1948, le vol de la culture visuelle palestinienne est une autre tentative d’Israël pour contrôler le récit historique et effacer l’histoire palestinienne. Le développement urbain de la Palestine a été stoppé et toutes les villes les plus importantes, Jaffa, Haïfa, Lod et Ramle, ont été vidées de la presque totalité de leurs habitants pour rendre possibles les mensonges sionistes sur « une terre sans peuple pour un peuple sans terre » et pour affaiblir le plus possible la résistance palestinienne.
Le film de Sela réussit à montrer que le cinéma palestinien n’a jamais cessé d’innover et que les réalisateurs palestiniens n’ont jamais eu peur de documenter et de raconter leurs propres histoires, aussi bien que des histoires de résistance à l’occupation dans un langage cinématographique qui était en phase avec la période et parlait au monde.
Encore plus que la signification culturelle du film, la façon dont il documente la Palestine comme société arabe développée est à même d’intéresser fortement le grand public. En ce sens, le film de Sela est une réalisation courageuses et militante. Sela a passé les 20 dernières années à enquêter sur et à documenter la culture visuelle palestinienne dans ses livres. Elle partage maintenant ses découvertes importantes, car un film documentaire touchera le cœur de chaque Palestinien et devrait faire ressentir de la honte à chaque Israélien.
« Dans le passé, j‘ai recherché de la propagande sioniste datant d’avant l’établissement de l’État d’Israël » a dit Sela, en expliquant ce qui l’a motivée à faire le film. Un des principaux motifs qui revenait constamment était l’image du Juif qui arrive dans une zone désolée, comme si la terre avait attendu que le Juif arrive et la fasse fleurir ».
« Cela m’a conduite à rechercher des documents de l’histoire palestinienne » a poursuivi Sela. « J’ai cherché dans des matériaux ici et à l’étranger afin de montrer à un public israélien que la Palestine existait avant 1948 ».
Ce qui est frappant dans le travail de Sela pendant ces années, et en particulier dans ce film, est l’insistance qu’elle met principalement sur les éléments visuels. En tant que chercheure en culture visuelle, Sela démontre qu’elle « comprend l’importance d’images visuelles dans la construction de la conscience et de l’identité nationale, et l’importance de la culture et de l’histoire dans chaque société.
Le film de Sela apporte une preuve décisive qu’Israël a toujours eu recours à tous les moyens possibles pour effacer la documentation visuelle de l’histoire palestinienne. Il montre le vol israélien des archives en 1982 et révèle, pour que le monde entier le voie, un autre chapitre caché de l’histoire palestinienne.
« Pillés et cachés » a été projeté dans le cadre du festival de cinéma 48 mm de Zochot : De la Nakba au retour.
Première publication de cet article en hébreu sur Local Call.
Traduction : SF pour l’Agence Média Palestine .
Source : +972.

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

Algeérie: Solidarité avec le peuple palestinien: un rassemblement samedi à la Coupole
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La salle de la Coupole du complexe sportif Mohamed Boudiaf à Alger sera mise, samedi prochain, à la disposition des associations, partis politiques, et citoyens désirant y tenir un rassemblement de solidarité avec la cause palestinienne, suite à la décision des Etats Unis de considérer El Qods comme capitale de l’occupant israélien, indique mardi un communiqué des services du Premier ministre.
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Gaza : Deux morts lors d’un raid aérien de l’occupation
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4 blessés dont un état grave à l’est de Gaza
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Le congrès des Palestiniens en Europe salue la postion de l’UE sur la déclaration de Trump
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49 colons prennent d’assaut les cours de la mosquée Al-Aqsa
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1795 Palestiniens blessés depuis la
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L’UE informe Netanyahu de son rejet de la décision américaine
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Des affrontements renouvelés à Bethléem et à Hébron
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Un enfant palestinien arrêté par l’armée israélienne près de la mosquée Ibrahimi
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De nombreux raids et arrestations en Cisjordanie occupée
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Le Croissant-Rouge dément les allégations de l’armée israélienne sur les affrontements en Cisjordanie
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Les Brigades d’al-Qassam appellent à continuer à enflammer l’Intifada
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Gaza : Arrestation d’un jeune palestinien pour avoir franchi la frontière
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Zoabi: Netanyahou est un criminel de guerre
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Jérusalem: Poutine et Erdogan mettent en garde contre un regain de tension
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Khan Younes attaquée par l’artillerie israélienne
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
.


Le Centre Palestinien D'Information
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Flash info du 24 Rabi al Awwal 1439.

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Le bavardage inutile et ses méfaits.
La langue n’est pas seulement un outil de communication. elle peut être aussi une source de nombreux péchés.
Cet organe doit être utilisé avec parcimonie car elle représente la fenêtre de l’esprit humain.
Ainsi, la maîtrise de la langue fait partie des règles de bienséance islamique.
Par là, il s’agit de parler peu, retenir la langue et éviter les bavardages inutiles pour que vous préserviez votre religion et votre vie.
D’après Abu houreira (radhiAllahou’anhou), le Messager d’Allah (sallAllahou ‘alayhi wa salam), a dit: «Que celui qui croit en ALLAH ta’ala et au jour dernier dise du bien ou qu’il se taise.» [Sahih boukhari (6475), mouslim (74)].
Ouqala wa Noouzhatoul Foudhala (page 45): «Il incombe à la personne douée de raison de garder le silence jusqu’à ce qu’elle soit obligée de parler; qu’ils sont nombreux , ceux qui regrettent après avoir parlé, et peu nombreux, ceux qui regrettent d’avoir gardé le silence..La personne dont le malheur est le plus durable et dont l’épreuve est la plus grande est celle dont la langue est bavarde.»
Il poursuit p 47, «ce qui incombe à tout individu doué raison, c’est d’être juste envers ses oreilles par rapport à sa bouche, et de savoir que si on lui a donné deux oreilles et une seule bouche, c’est justement pour qu’il écoute plus qu’il ne parle;parce que si il parle , peut être qu’il éprouvera des regrets mais si ne parle pas, il n’aura rien à regretter.Et il est plus en mesure de se prémunir contre ce qu’il n’a pas dit que contre ce qu’il a dit. Dès qu’il profère un mot, ce dernier devient son maître, mais s’il ne le prononce pas, c’est lui qui en est maître.»
Puis, on lit plus loin page 49, «La langue de la personne sensée se trouve derrière son cœur. Lorsqu’elle veut parler, elle revient vers son cœur, si c’est à son avantage, elle parle; sinon elle se tait.»
D’après Abu houreira, le Messager d’Allah (sallAllahou ‘alayhi wa salam) a dit : «En vérité, l’individu prononce parfois un mot sans savoir ce qu’il implique, et se précipite avec cela dans le feu de l’enfer à une distance supérieure à celle comprise entre le Levant et le Couchant.»
Le Prophète (sallAllahou ‘alayhi wa salam) a dit : «Certes l’homme peut prononcer un mot pour faire rire ses compagnons, qui malheureusement peut le précipiter durant 70 années dans la profondeur de la géhenne.» [rapporté par Tirmidhi].
Le bavardage inutile est un défaut de l’âme de celui qui recherche la primauté et veut que les gens voient sa science et son éloquence.
Allah soubhanou wa ta’ala dit:
«Il ne prononce pas une parole sans avoir auprès de lui un observateur prêt à l’inscrire.» (Coran, 50/18).

Sur Katibin.fr, rien de neuf.

Sur journal du musulman.fr, rien de neuf.

Sur islam et info.fr, voici les titres, rien de neuf.

New-York : Explosion d’une bombe dans le métro de Manhattan. VIDEO.
Une explosion a eu lieu à New-York dans le métro.
Des médias locaux parlent d’une bombe.
La ville est en alerte et plusieurs stations de métro ont été évacuées.
reportage a voir sur islam et info.fr.
France : Jean Michel Blanquer contre les mamans accompagnatrices portant le hijab ! VIDEO.
La France n’a désormais qu’une obsession l’Islam et sa minorité musulmane.
Pas un jour ne passe dans ce pays sans que les médias et les politiques ne déclenchent une nouvelle campagne islamophobe.
Le niveau de l’instruction publique en France s’écroule littéralement. Les récents classements Pisa évaluant le niveau des lycées des pays de l’OCDE et celui dit de Shanghai concernant le niveau des universités témoignent de cette chute vertigineuse du système français d’instruction mais il souligne autre chose. Le fait que la France est devenue championne … des inégalités ethno-sociales.
Le nouveau ministre Blanquer a trouvé la solution au problème : la formation de brigades laïcité traquant l’expression musulmane et la relance d’une polémique sur le voile des mères accompagnatrices ainsi que sur les jeunes filles … ne le portant plus. Nous n’évoquerons pas ici ses autres solutions pour l’université visant la reproduction des élites et l’exclusion des enfants de l’immigration, ni ses effets d’annonce réactionnaires sur l’interdiction du portable ou l’uniforme à l’école …
Faut-il rappeler que les enfants de ces décisionnaires moralisateurs sont systématiquement placés dans des établissement privés ou confessionnels et des grandes écoles payantes ?
L’incurie des ministères face à des professeurs dévoués en manque de moyens humains et financiers est ainsi évacuée au profit d’une nouvelle croisade exclusive et opportune contre la visibilité musulmane.
En effet, la loi de 1905 sur la laïcité n’a jamais concerné les administrés ou les élèves mais, dans une France islamophobe, ces nouvelles lois et ces circulaires ont été créées de toute pièce, non pas pour faire respecter 1905, mais bien pour combattre systématiquement l’expression et la visibilité musulmane au sein de la société française.
Sinon peut-on imaginer que depuis 100 ans précédant la loi de 2004 des jeunes femmes ont pu porter le hijab dans les écoles et lycées de France sans que le principe de laïcité ne soit ni compris ni appliqué ?
Évidemment non.
Toutes les récentes mesures liberticides d’apartheid et d’exclusion islamophobe ne prennent la loi de 1905 en la dévoyant que pour prétexte afin de cacher une finalité islamophobe inavouée. L’élite française redevenue réactionnaire et ethnocentriste ne supporte pas le fait qu’une minorité puisse posséder une culture, une religion, une visibilité et des habitus différents.
C’est bien cette différence qui est combattue à travers cette politique d’exclusion. L’hypocrisie française faisant le reste …
Car il n’y a pas que dans les écoles publiques et laïques où le muslim est traqué. Dans le même temps les créations d’écoles communautaires musulmanes sont systématiquement bloquées par les services de l’état. Dans le même temps la chasse à la visibilité musulmane est menée dans toutes les entreprises françaises. Dans le même temps la caste médiatico-politique accable en permanence la minorité musulmane accusée de tous les maux.
C’est pourquoi cette dictature de la majorité est devenue la règle et elle poursuit un agenda d’inquisition implacable.
Comme en témoigne l’obsession islamophobe des journalistes de RTL, les élites françaises ont décidé de mettre au pas la communauté musulmane en France à la manière du colon avec “son” indigène. Même la loi de 1905 est désormais jugée trop permissive pour les musulmans à qui on aimerait clairement appliquer un régime d’exception comme pendant la période de l’Algérie coloniale …
Alors que faire face à ce déchaînement permanent islamophobe systémique d’état ?
Il est clair que dans un système dans lequel politique, médias et justice sont acquis à l’islamophobie, les batailles judiciaires contre l’islamophobie ont fini de démontrer leur innocuité. Les récentes décisions de justice témoignent en effet d’un revirement de jurisprudence qui s’aligne désormais sur la sensibilité d’un pays réel devenu majoritairement islamophobe.
Il est donc urgent pour la communauté musulmane en France de repenser sa résistance face à un totalitarisme du “mêmisme occidentaliste” au delà des frontières posées par l’ennemi islamophobe. Les modes anciens ont atteint leurs limites et ils ne servent désormais qu’à accompagner les mesures islamophobes en leur conférant de facto une légitimité.
A l’instar des minorités exclues et opprimées, la minorité musulmane doit changer ses paradigmes et s’inspirer des luttes de ses prédécesseurs afin de répondre à ce péril. Les modèles de résistance des communautés afro-américaines, des minorités opprimées et des luttes anti-coloniales doivent ainsi être redécouverts, étudiés et adaptés à cette époque nouvelle.
C’est dans ce cadre que doit être évoqué l’organisation communautaire, la re-culturation, et la résistance asymétrique face au totalitarisme d’état. La désobéissance civile est l’une de ces formes de résistance qui doit être remise au centre des discussions. Cette réflexion et cet inventaire des formules désuètes du passé sont une obligation avant toute construction positive.
La reformation du corps communautaire et la résistance face à un état tyrannique ne sont en effet pas une option, c’est un devoir moral de survie.
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Maroc : Énorme manifestation pour la Palestine ! VIDÉOS.
Partout dans le monde les musulmans ont fait connaître leur colère suite à la reconnaissance américaine de Jérusalem comme capitale officielle de l’état israélien.
Au Maroc la manifestation a été tout simplement énorme !
Des centaines de milliers de personnes sont sorties dans les rues de Rabat pour faire connaître leur soutien indéfectible à la Palestine, aux palestiniens et à la Mosquée d’Al Aqsa, 3ème lieu saint de l’Islam.
La rue musulmane a bien compris l’arnaque permanente des discours de “paix” occidentaux qui entretenaient en fait une colonisation permanente et progressive de la Palestine et un démantèlement de toute résistance.
La communauté musulmane dans son ensemble de Rabat à Jakarta fait savoir son soutien à l’Intifada palestinienne !
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France : Macron déclare : “Je condamne toutes les formes d’attaques contre Israël !” VIDEO.
Alors que les israéliens bafouent depuis des décennies le droit international et colonisent impunément la Palestine, Netanyahou le premier ministre israélien a été accueilli en grandes pompes par la France.
Le premier ministre israélien entame une visite en Europe et celui-ci a souhaité commencer par la France. Malgré sa répression sanguinaire en ce moment même des manifestations palestiniennes contre la reconnaissance scélérate américaine de Jérusalem comme capitale israélienne, celui-ci a trouvé un accueil des plus favorable par le président français Macron.
Cette reconnaissance, rappelons-le, annexe de facto la ville sainte et le 3ème lieu saint de l’Islam, la Mosquée d’Al Aqsa, à la colonie israélienne et déroge à tous leurs traités internationaux.
Aucun pays occidental, ni même musulman, n’a cependant réagi concrètement contre cette spoliation avec par exemple une mesure symbolique telle que les convocations des ambassadeurs américain et israélien afin de marquer la désapprobation de cette gageure.
Pire, Netanyahou est accueilli avec les honneurs en Europe et la déclaration du président Macron a de quoi choquer :
“Je condamne toutes les formes d’attaques de ces derniers jours contre Israël !”
Une façon comme une autre de dire que quelques soient les crimes, les massacres et la colonisation barbare des israéliens, toute forme de critique et de résistance resteront interdites et condamnés par la France.
Plus méprisant encore le président français à appeler Netanyahou à faire “un geste courageux envers les palestiniens”. Comme si après avoir spolier leurs terres, profaner leurs lieux saints, les israéliens pourraient se dédouaner par “un geste”, commerciale ou symbolique peut-être, de leurs crimes perpétuels contre la Palestine … ou comment donner un mouchoir à une femme après l’avoir violemment giflée.
L’humiliation des palestiniens continue donc cette fois en Europe avec le soutien des dirigeants occidentaux dont les palestiniens n’attendent plus rien. Tout le monde sait désormais que leur médiation n’aura jamais servi qu’à accompagner la colonisation israélienne et tuer toute forme de résistance.
L’Intifada peut donc se poursuivre sans que personne ne puisse oser dire de façon crédible qu’elle gâchera des chances de “paix”.
reportage a voir sur islam et info.fr.

Sur saphirnews.com, voici les titres.

Jérusalem à Israël : Macron et Erdogan veulent collaborer pour faire renoncer Trump.
La décision de Donald Trump visant à reconnaître Jérusalem comme capitale d’Israël a froissé bien des peuples et des chancelleries. La France et la Turquie font partie des pays qui ont désapprouvé cette reconnaissance. Les présidents Emmanuel Macron et Recep Tayyip Erdogan entendent travailler ensemble pour (espérer) faire changer d’avis Donald Trump, bien que les deux pays aient une approche et une proximité avec Israël très différentes.
Le président turc Recep Tayyip Erdogan, qui fait figure de leader de la contestation parmi les dirigeants musulmans, n’hésite pas à qualifier Israël « d’Etat terroriste ». « Nous n’abandonnerons pas Jérusalem à la merci d’un Etat qui tue des enfants », a-t-il martelé, dimanche 10 décembre, lors d’un congrès de son parti à Sivas, en Anatolie.
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou n’est pas non plus tendre avec la Turquie. Lors de son passage dimanche 10 décembre à Paris où il a été reçu à l’Elysée, il a déclaré ne pas avoir de « leçons de moralité à recevoir d’un dirigeant qui bombarde des villages kurdes en Turquie, qui emprisonne des journalistes, aide l’Iran à contourner les sanctions internationales et aide des terroristes, notamment à Gaza ».
Côté français, c’est une autre histoire. Benjamin Netanyahou a bien tenté de convaincre Emmanuel Macron du bien-fondé de la décision américaine, sans succès. Le président français a appelé Israël à « des gestes courageux envers les Palestiniens » comme le gel de la colonisation mais a souligné dans le même temps sa volonté d’« approfondir » les liens avec Israël « en matière économique, technologique et culturelle ». Aucune rupture des relations diplomatiques n’est à l’agenda.
Cependant, le chef de l’Etat et son homologue turc sont tous deux tombés d’accord, lors d’un entretien téléphonique, du danger que représente la décision américaine pour la stabilité et l’avenir du Proche-Orient et de la nécessité de pousser les Etats-Unis à faire marche arrière.
Lors de l’entretien téléphonique avec Recep Tayyip Erdogan, l’Elysée, qui souhaite voir la Turquie « contribuer à l’apaisement » entre Israéliens et Palestiniens, a rappelé que « la France a réaffirmé son attachement au droit international et au respect des résolutions du Conseil de sécurité de l’ONU. Jérusalem a vocation à devenir la capitale de deux États, Israël et la Palestine, selon des modalités qu’il appartiendra aux Palestiniens et aux Israéliens de définir par la négociation ».
L’Arabie Saoudite lève l’interdiction sur les salles de cinéma.
Après 35 ans d’interdiction, l’Arabie Saoudite autorise l’ouverture de salles de cinéma dès 2018, a annoncé le ministère saoudien de la Culture lundi 11 décembre.
Les premières licences seront immédiatement accorder de sorte à voir des salles ouvrir dès mars 2018. Plus de 300 cinémas seront ouverts à travers le pays d’ici 2030. « C’est un moment clé pour le développement de l’économie culturelle dans le pays », a-t-il déclaré dans un communiqué.
En janvier dernier, le mufti d’Arabie saoudite Abdel Aziz al-Cheikh s’était insurgé contre la possible ouverture de salles de cinéma, des lieux de divertissement qui sont sources, pour lui, de « dépravation » dans la mesure où elles favorisent la mixité.
Pour ne pas froisser les milieux ultra-conservateurs, les salles devraient être dotées de sections non-mixtes et « un comité de censure » s’assurera à ce que le contenu des films « respecte les valeurs et ne contrevienne pas aux lois en vigueur » en Arabie Saoudite, selon le ministère.
Malgré l’interdiction, le cinéma saoudien a éclos ces dernières années. Le film Wadjda, de Haifaa Al-Mansour, a été en 2013 le premier film saoudien à participer aux Oscars dans la catégorie du meilleur film étranger. La fin de la prohibition permettra indubitablement de booster cette industrie.
France : Sorties scolaires : Jean-Michel Blanquer « normalement » opposé au voile des mères.
Jean-Michel Blanquer estime que les mères musulmanes ne devraient « normalement » pas avoir le droit d’accompagner des élèves lors de sorties scolaires.
« Mon approche personnelle, c’est que toute personne qui accompagne les élèves est en situation d’être un collaborateur bénévole du service public, c’est le terme juridique. Autrement dit, il doit se conformer à un certain nombre de devoirs », a déclaré le ministre de l’Education nationale dimanche 10 décembre sur RTL, avant que de préciser que le voile devrait être « normalement » interdit.
La position de Jean-Michel Blanquer n’est pas en accord avec une décision du Conseil d’Etat datée de 2013, jugeant que les parents d’élèves sont des usagers du service public et non des agents, ce qui les exclut de l’obligation à la neutralité religieuse.
Najat Vallaud-Belkacem s’était alignée sur cette position. « Maintenant, je respecte le droit bien entendu, et il y a un état de la jurisprudence qui doit être consacré », a indiqué néanmoins le ministre.
Jean-Michel Blanquer, qui estime important l’enseignement du fait religieux à l’école, a confirmé la mise en place prochaine des « unités de laïcité » dans tous les rectorats visant à aider les professeurs « à défendre la laïcité dans les « situations » où elle est contestée » car, selon le ministre, « la République doit regarder les choses en face, il est évident qu’il y a des atteintes à la laïcité à l’école depuis quelques années », citant notamment le non respect de la loi de 2004 interdisant le port de signes religieux à l’école.

Sur oumma.com, voici les titres.

Des centaines d’Américains musulmans ont prié à Washington en signe de protestation contre Trump.
Ils furent des centaines à se recueillir vendredi devant la Maison Blanche, lors d’une grande prière collective assombrie par la désastreuse reconnaissance de Jérusalem comme capitale d’Israël, des Américains musulmans, unis par une même communion de pensée, ont voulu marquer symboliquement leur désapprobation à l’égard du pyromane qui joue avec le feu depuis sa tour d’ivoire dorée.
Des écharpes en keffieh traditionnel autour de leur cou, sur lesquelles étaient superposées des écharpes aux couleurs de l’étendard palestinien, ils ont convergé massivement vers le saint des saints du pouvoir à Washington, sous des bannières dénonçant l’occupation israélienne de Jérusalem-Est et de la Cisjordanie.
Répondant à l’appel vibrant lancé par plusieurs associations musulmanes, ils se sont levés comme un seul homme en ce vendredi 8 décembre glacial, munis de leur tapis de prière, afin d’accomplir leur devoir religieux aux marches du palais, en signe de leur plus vive protestation.
« Trump ne possède pas un morceau de terre de Jérusalem, ni de la Palestine. Il possède sa Trump tower à New York. Il n’a qu’à la donner aux Israéliens ! », s’est exclamé Nihad Awad, directeur exécutif de l’influent Conseil sur les relations américano-islamiques (CAIR), qui ne décolère pas depuis l’annonce du transfert de l’ambassade américaine à Jérusalem, tant il redoute ses effets calamiteux en cascade.
La décision de Trump va contribuer à « renforcer l’extrémisme religieux chrétien aux États-Unis», déplore-t-il grandement, tout en conjurant le président américain, en désespoir de cause, de « mettre les intérêts américains en premier, pas ceux d’une puissance étrangère et de ses lobbies, aux États-Unis ».
Au même moment, un manifestant, Zaid al-Harasheh, s’est insurgé au micro de l’AFP contre une décision gouvernementale catastrophique, semeuse de « chaos et de malheur » sur une terre palestinienne accablée de souffrances, et par un violent ricochet, dans l’ensemble du monde arabo-musulman.
La Ligue arabe exhorte Washington à annuler sa décision sur Jérusalem.
Les ministres des Affaires étrangères de la Ligue arabe ont exhorté Washington à revenir instamment sur sa décision de reconnaître Jérusalem comme capitale d’Israël, dans une résolution entérinée hier matin, dimanche 10 décembre, à l’issue d’une réunion au Caire. Dans le texte, dont l’AFP s’est procuré une copie, les ministres arabes affirment que les Etats-Unis se sont « retirés comme parrains et intermédiaires du processus de paix » au Proche-Orient.
Vent debout contre l’allégeance irresponsable du 45ème président des Etats-Unis envers le diktat pro-sioniste, ils s’étaient rassemblés en réunion extraordinaire, samedi soir, au siège de la Ligue arabe, au coeur de la cité phare d’Egypte, en vue de répondre à la décision américaine qui a soulevé une houle d’indignation dans le monde arabe.
Les ministres de la Ligue arabe ont également appelé la communauté internationale à reconnaître un Etat palestinien « avec Jérusalem-Est comme capitale », la partie orientale de la ville annexée depuis 1967 par Israël.
L’initiative du président Donald Trump est « dénoncée et condamnée », a martelé le secrétaire général de la Ligue arabe, Ahmed Aboul Gheit, au cours d’une cellule de crise qui fut ponctuée de longs discours, aux envolées lyriques empreintes d’une vive émotion.
Lors d’une précédente réunion mardi, avant que la décision américaine ne tombe comme un couperet, l’institution panarabe avait déjà mis en garde Washington, en dénonçant l’’« assaut clair » contre la nation arabe que représenterait l’impensable reconnaissance de Jérusalem comme capitale d’Israël.
L’effet Trump : Des délégations de firmes japonaises et chinoises high-tech annulent leur visite en Israël.
Et ce n’est que le début, prédit le journal israélien Haaretz, qui fait état de l’annulation par les dirigeants de firmes telles que Toyota et Singulato de leur visite en Israel, suite à l’annonce de Trump.
“Il ne s’agit pas que de roquettes en provenance de Gaza, écrit le quotidien israélien, mais de notre économie qui va être durement impactée par l’annonce de Trump et le tollé qu’elle soulève dans le monde”
” Que ce soit pour des questions de principe ou par souci de sécurité, les programmes d’investissement étrangers en Israël vont être remis en cause”, explique le journal qui estime que la décision de Shen Haiyin, le PDG et fondateur de la firme chinoise (qui développe une voiture électrique miniature) n’est qu’un avant-goût de ce qui attend les firmes israéliennes.
Rappelant que 10 à 20 % des investissements étrangers high tech en Israël sont chinois, et qu’en plus l’ONU s’apprête à publier une liste noire des entreprises qui font des affaires sur le dos des Palestiniens colonisés, Haaretz ne remercie pas vraiment Netanyahou pour ses exigences de plus en plus exorbitantes.
France : Paris: les images de la manifestation contre la venue Netanyahou.
Quelques jours après la reconnaissance de Jérusalem comme capitale d’Israël par Donald Trump et à la veille de la venue de Benjamin Netanyahou à Paris, un rassemblement de militants pro-palestiniens s’est tenu place de la République.
reportage a voir sur oumma.com.

Sur Mizane.info, voici les titres.

Atomes et galaxies : au Festival Soufi, l’envol de la science vers le sacré.
Une conférence organisée par La Maison Soufie, dans le cadre du Festival soufi de Paris, a réuni vendredi 8 décembre à l’Institut des cultures d’Islam, Inès Safi et Bruno Guiderdoni, deux scientifiques qui ont abordé les questions épineuses de la physique quantique et de l’état du savoir cosmique dans un aller-retour équilibré entre les limites du savoir humain et le caractère insondable de la Transcendance divine. Focus.
Pendant longtemps, la démarche scientifique et la vocation religieuse ont été posées comme imperméables et irréconciliables par le positivisme du 19e siècle, la science étudiant le « comment » des choses et la religion dévoilant, avant même la philosophie, son « pourquoi ». Mais les découvertes de la physique quantique semblent avoir ébranlé les certitudes de la physique classique essentiellement matérialiste et mécaniste, ce qui a mené, bon gré, mal gré, à une redéfinition respective des champs de la connaissance et à l’éclosion d’une ouverture d’esprit éloigné de tous les dogmatismes. Dans une brillante introduction, Inès Safi, chercheuse en physique théorique au CNRS, diplômée de l’Ecole Polytechnique et auteur de travaux autour des « théories pionnières sur les propriétés de systèmes électroniques de taille nanométrique décrits par la physique quantique », a expliqué, à une salle très attentive et concentrée, les éléments essentiels à retenir de la physique quantique à travers plusieurs expériences exceptionnelles telles celles de la fève quantique, à la fois rouge et verte, tantôt l’une, tantôt l’autre. Une variation de couleur accomplie et mesurée à 30 km de distance sans corrélation identifiée.
Contrairement à une idée reçue, la physique quantique ne s’applique pas seulement à l’échelle nanométrique.
La physique quantique a remis en cause le consensus sur la nature de la matière.
De quoi rendre fou les thuriféraires de la physique classique pour lesquels tout est matière et/ou énergie, tout est déterminisme. « La mesure est quelque chose de cruciale (en physique quantique) alors que dans la physique classique on s’en désintéressait » a précisé Inès Safi en expliquant que la mesure elle-même impacte le résultat tangible de la mesure ! « L’observation est une action », commentera à ce sujet Inès Safi, un peu comme si le sujet déterminait structurellement l’objet. Dans la physique quantique, « l’action est imprévisible et irréversible », chaque mesure étant limitée à son observation et non extrapolable. Autre phénomène, la non-séparabilité ou intricabilité. L’observation simultanée de deux fèves intriquées que l’on éloigne l’une de l’autre (la fève et la couleur sont des métaphores à visée pédagogique pour signifier un objet quantique et ses déterminations en terme de vitesse et de localisation) a démontré leur stricte répartition bicolore (lorsque l’une des deux fèves est verte, l’autre est rouge et vice-versa) répartition systématiquement obtenue de manière « fantomatique », sans causalité identifiée. Un mystère fascinant qui de manière salutaire replonge l’esprit scientifique dans un océan d’humilité, même si la physique quantique s’est faite largement connaître davantage par le biais des nouvelles technologies qui en sont l’application technique (GPS, satellite, laser, etc) que par ses mystères sur le caractère indéterminé de la matière (mi onde, mi corpuscule). Contrairement à une idée reçue, a par ailleurs ajouté Inès Safi, la physique quantique ne s’applique pas seulement à l’échelle nanométrique mais aussi à l’échelle macroscopique, évoquant le cas d’un supraconducteur mis en lévitation grâce à un résultat obtenu par de l’azote liquide.
Les six constantes qui expliquent l’Univers.
La seconde intervention, celle de Bruno Guiderdoni, a plongé le public dans « un voyage offert par l’astrophysique contemporaine » vers un autre monde à la fois plus familier et plus lointain, celui des galaxies. Chercheur en Astrophysique au CNRS, spécialiste de la formation et de l’évolution des galaxies, Bruno Guiderdoni a dirigé l’observatoire de Lyon de 2005 à 2015 et est l’actuel directeur de l’Institut des Hautes Etudes Islamiques depuis 1994. « L’astronomie nous aide à comprendre que notre monde est fini, que notre destin est commun et que nous avons le devoir de préserver cette planète qui est la nôtre » a annoncé en guise d’introduction Bruno Guiderdoni, qui se fait aussi connaître sous son autre nom d’Abd-Al Haqq (serviteur de la Vérité).
Une présentation successive de photos et d’images historiques montrant la vie cosmique des planètes, de la Terre, de la Lune, de la Voie Lactée et des galaxies lointaines a remis en perspective l’humilité réelle de la place de l’Homme dans l’Univers, né il y a 13,7 milliards d’années. Abd-Al Haqq Guiderdoni a évoqué en détail les phases de naissance, de vie et de mort des étoiles, à travers l’union céleste du gaz, de la poussière et de la gravité ! « Les réactions thermonucléaires transforment le gaz élémentaire de l’hélium et de l’oxygène en gaz plus lourd tel que l’azote (…) quand l’étoile a épuisé tout son gaz, elle explose et éjecte du carbone, qui est toute la matière dont nous sommes constitués, mais aussi de l’azote, de l’oxygène et du silicium ».
Si les paramètres à l’origine de notre univers avaient été tirés au hasard, ce dernier aurait été inhabitable.
Vers un dialogue de réconciliation entre science et religion.
Sur le caractère présupposé infini de l’Univers, l’astrophysicien a expliqué qu’« on ne saura jamais si l’infini est en acte car cela est au-delà de nos capacités de mesure ». Si l’Univers a ses propres zones d’obscurité, il comporte aussi ses lumières. Comme cette remarquable constatation mathématique qui a permis de découvrir que six données (valeurs) fondamentales ont rendu possible la création de l’Univers (intensité gravitationnelle, thermodynamique, etc.) « Si les paramètres à l’origine de notre univers avaient été tirés au hasard, ce dernier aurait été inhabitable ». Si les contributions d’Inès Safi et Bruno Guiderdoni ont resitué la nature extrêmement complexe de la matière, du vivant et de l’Univers, loin des simplifications réductionnistes du positivisme, elles ont également souligné à un autre niveau la nécessité de créer un nouveau cadre, un nouveau langage destinés à réhabiliter un cadre et un espace d’échange et de débat complémentaire entre la religion et ses médiations (philosophique, métaphysique) d’une part avec la connaissance scientifique à un moment où celle-ci est en quête d’un modèle associant les lois de la théorie de la relativité générale et restreinte avec celles révolutionnaires de la physique quantique.
Un redoutable challenge qui en est à ses balbutiements et qui nécessitera de la créativité, de l’ouverture d’esprit et de l’ingéniosité. Au final, on peut dire que l’exercice délicat initié par la Maison soufie, celui de vulgariser un contenu scientifique ardu en le reliant à des réflexions métaphysiques et mystiques accessible au public, a été une réussite. L’intensité et la qualité des échanges avec le public en a témoigné.Un succès auquel, outre les contributions magistrales de M. Guiderdoni et Mme Safi, peuvent être largement associés la journaliste de Radio Orient, Nadia Bey, qui a modéré et animé avec dynamisme et enthousiasme la soirée, et la présence incontournable de Abdelhafidh Benchouk, fondateur de la Maison Soufi. Un intermède musical servi par la violoniste japonaise Yuri Kuroda a contribué à égayer la salle, en début et fin de soirée.
Palestine : Jérusalem, une ligne rouge franchie.
La décision américaine de reconnaître Jérusalem, ville au statut international, comme capitale unilatérale d’Israël, a marqué une nouvelle fuite en avant politique et symbolique majeure dans le projet de colonisation sioniste au Moyen-Orient. Une ligne rouge a été franchie qui doit elle-même appeler une réponse politique globale pas seulement des peuples arabes et des pays musulmans mais également de la communauté internationale. Un éditorial de Mizane Info.
L’irresponsabilité du président Donald Trump qui a reconnu unilatéralement Jérusalem comme la capitale de l’Etat d’Israël, reconnaissance qui vient violer les résolutions de l’ONU votées par Washington même sur le statut binational (capitale de deux états) de la ville sainte, est une provocation majeure qui marque d’un trait rouge les épisodes mouvementés de l’histoire politique de la Palestine. Le tollé fut général, les condamnations, y compris en langage diplomatique, unanimes. La France, c’est heureux, a pris ses distances et un rapprochement franco-turc entre Macron et Erdogan, pour faire changer d’avis Donald Trump, a été divulgué par l’agence Reuters. Les pays et les peuples arabes et musulmans, à la différence de certains de leurs gouvernants, condamnent sans réserve. De nombreuses manifestations ont été organisées pour dénoncer cette main-mise américano-israélienne sur la Ville Sainte des trois religions du Livre. Mais malgré l’importance symbolique et religieuse de la ville, la question du statut de Jérusalem demeure une question éminemment politique et juridique. Cette reconnaissance américaine semble avoir eu valeur de test pour mesurer le niveau de contestation et de réaction des différents gouvernements du monde. Une manière sans doute de prendre la température pour évaluer la force de mobilisation politique et institutionnelle internationales contre l’expansionnisme israélien. De ce point de vue, la situation est mitigée car Washington a annoncé vouloir différer le déplacement de son ambassade de Tel Aviv à Jérusalem dans deux ans. Une annonce qui a été interprétée comme un rétropédalage, les services d’état du renseignement et militaires américains étant à priori peu favorable à cette décision de l’exécutif.
Exiger l’application immédiate des résolutions internationales et les faire respecter sur le terrain, demeure la principale solution politique et juridique à cette nouvelle manifestation provocatrice d’expansionnisme israélien. Ce qui demandera du courage et de la persévérance aux alliés européens de Washington, une qualité qui leur a fait malheureusement jusqu’à présent défaut.
Vers un double front du refus oriental et occidental ?
Pour autant, la situation sur le terrain est la même. Jérusalem-est est colonisé par les Israéliens, la continuité territoriale palestinienne est empêchée dans les faits par le biais d’un redécoupage au moyens de chek-points. La pression militaire, policière, économique et psychologique israélienne contre les populations palestiniennes est maintenue à son plus haut niveau. Une politique dont le terrible message semble clair : l’Etat israélien ne peut vivre que par l’oppression, la persécution et le harcèlement permanent de la population palestinienne. Si la situation sur le terrain évolue peu ou pas du tout, la mobilisation internationale reste élevée. Malgré le caractère fébrile et fragile de ses décisions, paralysés par des blocages internes récurrents (véto des membres du Conseil de sécurité), l’ONU ne peut laisser passer ce genre de provocation à la postérité car elle ferait jurisprudence. Les gouvernements occidentaux, majoritairement pro-israéliens, ne semblent pas pour autant prêts à soutenir cette fuite en avant des administrations Trump-Netanyahu. Les gouvernements des pays musulmans pour leur part restent divisés entre une posture collaborationniste (Arabie Saoudite, Egypte) et une posture de résistance militaire (Iran, Liban) ou diplomatique (Turquie). Les coalitions palestiniennes, toutes aussi divisées, font front commun, au moins sur le plan rhétorique contre l’occupant israélien. Des appels à un nouveau soulèvement palestinien (intifada) ont été lancés en ce sens. Dans ce contexte général, quelles sont les solutions d’une sortie de crise durable ?Soutenir les initiatives des Palestiniens est, cela va sans dire, un minimum syndical. Exiger l’application immédiate des résolutions internationales et les faire respecter sur le terrain, demeure la principale solution politique et juridique à cette nouvelle manifestation provocatrice d’expansionnisme israélien. Ce qui demandera du courage et de la persévérance aux alliés européens de Washington, une qualité qui leur a fait malheureusement jusqu’à présent défaut. Un double front politique du refus, occidental (européen) et oriental (Turquie-Iran-Russie), pourrait faire effet de levier sur Trump qui serait dans ce cas de figure rattrapé par le principe de réalité et bien obligé de lâcher du lest dans son soutien à Netanyahu.

Sur des domes et des minarets.fr, rien de neuf.

Sur Actualite islamique de Belgique, rien de neuf.

Sur agence media palestine.fr, rien de neuf.

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

Khan Younes attaquée par l’artillerie israélienne
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Les chars d’occupation israélienne ont tiré trois obus ce lundi soir sur le nord de Khan Younes, au sud de la bande de Gaza, avec des tirs intenses de feu.
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Heniyah et Rouhani :la décision américaine est une agression contre la Palestine et toute la Nation islamique
.
La loi Elor, ou comment l’occupation légalise le meurtre des Palestiniens
.
Poutine pour une reprise directe des négociations israélo-palestiniennes
.
Des militants arrêtés dans les territoires palestiniens occupés en 1948
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Turquie: Kalin appelle Israël à cesser l’occupation du territoire palestinien
.
Des affrontements près de Ramallah et un journaliste blessé à Hébron
.
Ekrima Sabri: La décision de Trump est une déclaration de guerre
.
Le Hamas salue l’opération d’al-Quds et appelle à d’autres
.
L’ambassadrice française à Tel-Aviv: la déclaration de Trump affaiblit la position américaine
.
Une manifestation de masse en Allemagne en rejet de la décision de Trump
.
Jordanie: le Parlement veut réexaminer l’accord de paix avec l’occupation
.
Un syndicat tunisien annonce le boycott des navires américains
.
11 blessés dans des confrontations à Al-Bireh
.
Statut de Jérusalem: la Ligue arabe appelle à reconnaître l’Etat palestinien
.
L’occupation expulse le député Abu Zneid pendant 21 jours de Jérusalem
.

Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
.


Le Centre Palestinien D'Information
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