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Flash info pour le 12 Safar 1438.

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Série les clés de l’éducation : éduquer par la punition et la récompense.
Dans le cadre de notre série « Les clés de l’éducation », nous avons notamment évoqué la relation mère-enfant, la place du père dans l’éducation mais également l’éducation morale de nos enfants et son importance en Islam. Aujourd’hui, nous nous intéressons à un tout autre sujet qu’est l’éducation par la récompense et la punition. Faut-il punir l’enfant, pourquoi, quand et comment ? Ce sont autant de questions auxquelles nous tenterons de répondre inchaAllah.
La punition, pas une sanction mais une réaffirmation.
La punition, un mot qui nous est bien familier. Il est cependant accompagné d’une connotation négative : traumatisme d’enfance ou simple appréhension de la sanction ? La punition ne doit pas être le synonyme de sanction, contrairement à ce que pensent beaucoup de parents. En effet, ce que l’on appelle punition doit être utile à l’éducation et complémentaire du discours parental. C’est en ce sens que la punition doit représenter une réaffirmation, réaffirmation de la règle mais également du statut de parent.
Les règles transmises en éducation sont bien présente et sont transmises, de manière consciente ou non. Cela dit, toute règle transgressée suggère une punition, d’où notre expression de réaffirmation de la règle. Punir l’enfant c’est lui rappeler qu’il n’a pas respecté telle règle, c’est le rappeler à l’ordre avant d’appliquer l’ordre concerné. Le psychologue Patrick Traube explique que « l’éducation repose sur un système de règles qui doivent permettre à l’enfant de comprendre la différence entre ce qui est autorisé et ce qui est interdit et, par extension, entre le bien et le mal. Or, une règle n’en est une que si elle est assortie d’une sanction en cas de transgression ».
Bien évidemment, la punition doit être justement équilibrée et calibrée. Il ne s’agit pas de traumatiser l’enfant, de lui faire subir de la peine mais simplement de lui faire assimiler une règle sans laquelle la vie en société devient difficile. En effet, par le biais de la punition, l’enfant intègre inconsciemment le principe du respect des règles tant dans la vie familiale que dans la vie en société. La punition que nous vous conseillons d’appliquer avec vos enfants, chers frères et sœurs, est celle qui permettra à l’enfant de se responsabiliser. Finalement, éduquer revient à responsabiliser car grandir dans un cadre réglé c’est entrer dans le monde des grands avec toutes les responsabilités que cela sous tend.
Cela dit, la punition doit être un ultime recours, une sorte de solution cachée au fond du placard que l’on ne sort qu’en cas d’extrême nécessité. En effet, en principe, l’adulte doit parvenir à se faire respecter sans user de la punition. Le simple rappel à l’ordre devrait suffire pour se faire obéir. Si cela n’est pas le cas et si l’adulte doit constamment user de la punition pour se faire obéir, c’est que le principe d’autorité n’est pas établie. Le pédopsychiatre Jean-Louis Le Run explique ainsi que la punition « ne doit venir qu’en ultime recours, quand le rappel de la règle et les explications n’ont pas suffi ». Notons d’ailleurs que trop user de la punition, la déchargera alors de toute signification. La punition, une réaffirmation de la règle plutôt qu’une sanction. Lorsque le parent la conçoit ainsi, il agira en conséquence et permettra à l’enfant d’assimiler cette vision de la punition qui sera donc vécue de manière positive, comme un respect de la règle et par conséquent, une entrée dans le monde des grands.
La récompense, un complément pour l’éducation.
Au delà de punir l’enfant lorsque celui-ci persiste dans sa désobéissance comme nous l’avons expliqué, la récompense quand il se comporte bien représente un complément de cette pratique. En effet, lorsque le parent récompense son enfant, ce dernier se sent valorisé et estimé, ce qui l’encouragera à poursuivre sur cette voie et à réitérer les actes qui lui ont valu cette récompense.
La récompense peut être seulement une parole. En effet, le fait de féliciter oralement l’enfant est en soi une récompense. L’enfant, par le biais des compliments, développera l’estime de soi et pourra ainsi agir de manière positive. Allah a révélé concernant « la bonne parole » : {N’as-tu pas vu comment Allah propose en exemple une bonne parole semblable à un bel arbre dont les racines sont fermes et les branches s’élancent dans le ciel. Il donne à tout instant ses fruits, par la grâce de son Seigneur. Allah propose ces exemples aux gens afin qu’ils se souviennent} (Sourate 14 : Versets 24-25). L’éminent savant Ibn Qayyim al Jawziyya (qu’Allah lui fasse miséricorde) explique que de nombreux exégètes expliquent qu’Allah a comparé la bonne parole à un bel arbre car le bel arbre engendre de bons fruits et la bonne parole entraîne de belles actions. Le fait de destiner de belles paroles à nos enfants les encouragera donc à accomplir de bonnes œuvres inchaAllah.
La récompense de l’enfant peut également se manifester par un geste de tendresse, un sourire ou une récompense matérielle. Le fait d’être félicité de la sorte poussera l’enfant à poursuivre dans ce comportement car il associe la bonne action à la satisfaction et à la récompense de ses parents. Nous avons dans le Messager d’Allah (‘alayhi salat wa salam) le parfait exemple de la bonté et de la miséricorde envers les enfants. Un simple geste de tendresse envers nos enfants représente une miséricorde et une récompense à leurs yeux. Abu Hurayra (qu’Allah l’agrée) a dit : Al-‘Aqra` ibn Hâbis, ayant vu l’Envoyé d’Allah (‘alayhi salat wa salam) embrasser Al-Hasan, dit : « J’ai dix enfants et jamais je n’ai embrassé un seul d’entre eux ». Le Prophète (‘alayhi salat wa salam) dit : « On ne fera pas miséricorde à celui qui ne fait pas miséricorde » (Muslim). Le fait d’embrasser nos enfants, de leur sourire, de les chérir et de leur offrir ce qu’ils aiment en fonction de nos moyens font partie de la miséricorde que l’on ressent pour eux. Et quel meilleur exemple que celui de notre Prophète bien aimé (‘alayhi salat wa salam) ?
Qu’Allah nous permette d’éduquer nos enfants de la meilleure des manières. Qu’Il nous pardonne, ainsi qu’à nos proches et nous guide vers Sa Lumière.
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France : Croix gammée et inscription « White Power » taguées sur la mosquée de Comines.
Les fidèles de la mosquée de Comines située dans le département du Nord sont choqués après la découverte, dimanche 6 Novembre, d’une croix gammée et d’une croix celtique accompagnée de l’inscription « White Power » taguées sur le lieu de culte.
Les représentants de la mosquée Er-Rhama ont déclaré que du jambon a aussi été retrouvé sur la porte.
L’association qui gère le lieu de culte musulman a porté plainte lundi matin.
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Du nouveau au sujet des « sachets empoisonnés » contenant un CD du Coran.
Un sachet empoisonné contenant un DVD ou un CD du Coran est distribué à grande échelle dans les boites aux lettres de familles musulmanes en Europe. C’est l’information qui circule sur les réseaux sociaux et sur WhatsApp depuis plusieurs jours.
« Pour les musulmans d’Europe :
Si vous recevez un cd dans un sachet de la poste dans votre boîte aux lettres avec un papier indiquant que c’est le Coran ne l’ouvrez pas et ne le touchez pas. Il y a un poison dans le sachet l’opération a déjà fait des victimes en Allemagne. Faites attention et appelez la police. »
Une enquête en cours.
En Belgique, l’affaire est prise très au sérieux selon la presse belge. D’après le site de la Radio Télévision Belge RTBF, plusieurs plaintes ont été déposées cette semaine à Molenbeek-Saint-Jean. Sept plaignants affirment avoir reçu par voie postale un CD du Coran correspondant à la description faite dans le message diffusé sur facebook et sur WhatsApp. Les faits ont été signalé à la police qui a procédé à une analyse des sachets. Selon le parquet de Bruxelles, qui a ouvert une enquête ce mercredi, l’analyse des plis et de leur contenu s’est avérée négative. Les plis ne contenaient donc aucune substance nocive.
« Nous avons fait appel à la Protection civile qui a analysé les plis. L’analyse des plis et de leur contenu s’est avérée négative. Ils contenaient des CD et des documents reproduisant des versets du Coran« , a confirmé une porte-parole de la police locale à la RTBF.
Enveloppe empoisonnée ou canular monté de toutes pièces par une personne malveillante ? C’est ce que l’enquête en cours tentera de déterminer.
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Avec Fratello, des sans-abris par milliers reçus par le pape François.
Quelque 4 000 sans-abris et démunis, avec leurs accompagnants, venus de toute l’Europe, sont accueillis du vendredi 11 au dimanche 13 novembre au Vatican par le pape François.
2016 ayant été décrété jubilé de la miséricorde, le souverain pontife a répondu à l’appel de l’association française Fratello lui demandant d’inviter les personnes en situation d’exclusion qu’elle est amenée à aider en organisant des évènements avec et pour eux, en partenariat avec les associations qui les accompagnent. Elle organise également des colocations entre sans-abris et actifs, à ce jour 300 en France selon Fratello.
Cette initiative est une première au Vatican. Le pape François, qui a projeté de rencontrer une centaine de pèlerins parmi les exclus et leurs accompagnants, a demandé pardon auprès d’eux pour tous les chrétiens qui « tournent le regard de l’autre côté en rencontrant un pauvre ».
Face au pape, deux personnes qui ont vécu l’expérience de la rue ont apporté leur témoignage, précédé par Etienne Villemain, le président de Fratello, qui a fait part de son souhait de voir s’organiser des Journées mondiales des pauvres, à l’image des Journées mondiales de la jeunesse (JMJ).
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Une Américaine musulmane s’explique sur son vote en faveur de Donald Trump.
Elle fait partie de cette minorité silencieuse qui a préféré taire son inclination pour Donald Trump, la jugeant sans doute trop inavouable, voire inconcevable, au regard de la surenchère islamophobe de celui qui n’était encore que le rival acrimonieux d’Hillary Clinton, Asra Q. Nomani, une ancienne journaliste du Wall Street Journal et actuelle co-fondatrice du Mouvement réformateur musulman, brise aujourd’hui le tabou qui pesait sur son vote pour le moins paradoxal, presque contre-nature, pour se justifier publiquement.
Après s’être auto-muselée tout au long de l’année, à mesure que son cœur balançait en faveur du tribun le plus outrancier, tapageur et injurieux que l’Amérique ait jamais connu, cette citoyenne américaine de 51 ans, qui se définit comme une « femme musulmane, de couleur et immigrée, fière de sa Virginie natale », sort de l’ombre dans laquelle elle s’était tapie, comme les autres « partisans secrets de Trump », en insistant sur le fait qu’elle n’est ni « raciste, ni chauvine, ni suprématiste blanche » et n’appartient pas à la catégorie des « rednecks », ces Américains de la campagne, qualifiés ironiquement de « péquenauds », censés constituer le vivier électoral du nouvel homme fort de Washington.
Entre la peste et le choléra, cette désenchantée de l’ère Obama, qui abhorre la haine, la division et l’ignorance, a cependant plébiscité celui qui n’a cessé de les exacerber à longueur de méga-meetings enflammés, considérant qu’il incarnait le moindre mal face au bilan calamiteux du premier président noir des Etats-Unis et à la corruption de grande ampleur, quasi vertigineuse, d’Hillary Clinton.
« J’ai toujours soutenu la position du parti Démocrate sur l’avortement, le mariage homosexuel et le changement climatique », souligne-t-elle, avant de vider son sac : « Mais je suis une mère célibataire qui ne peut toujours pas se payer une assurance santé, malgré la loi Obamacare. Je n’arrive pas à joindre les deux bouts, et je suis loin d’être la seule dans ma ville natale de Morgantown, en Virginie, là où l’Amérique rurale s’est appauvrie et vit plus mal qu’avant, après 8 années d’administration Obama », explique Asra Q. Nomani, sur un ton indigné.
« Les révélations de dons de plusieurs millions de dollars à la Fondation Clinton, émanant du Qatar et d’Arabie Saoudite, ont eu raison de mon hésitation et des doutes qui me tiraillaient. Cela m’a scandalisée. Oui, je veux un salaire honorable. Non, je n’aime pas la gouaille populiste de Trump, et oui, je rejette de toutes mes forces l’idée d’un mur entre les États-Unis et le Mexique, ainsi que le refoulement des musulmans à l’entrée des Etats-Unis ! Mais je fais confiance à mon pays pour ne pas sombrer dans le nationalisme, le protectionnisme, la xénophobie et l’islamophobie prônés par Trump », clame-t-elle, peut-être pour mieux se convaincre que le pire aurait été d’offrir le pouvoir sur un plateau d’argent à Hillary Clinton.
Terrible dilemme que de devoir choisir entre deux maux, le moindre, et c’est bien que ce qu’il y a de plus navrant et alarmant dans les sinistres mascarades électorales de nos démocraties occidentales.
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La relation de l’homme avec Dieu.
Il faut tout d’abord examiner la place de l’homme dans la création et le sens que l’on donne à la notion de salut pour pouvoir enfin comprendre et saisir l’importance de la portée de nos actes durant notre vie ici-bas.
Dans cette relation de l’homme avec Dieu, l’Islam ne met l’accent ni sur une incarnation ou manifestation de l’Absolu, ni sur la nature déchue, imparfaite et pécheresse de l’homme. Il envisage plutôt l’homme tel qu’il est dans sa nature primordiale adamique (filtra) et Dieu tel qu’Il est dans son absolue Réalité.
Il est vrai que dans sa condition ordinaire l’homme se présente comme un être faible, égoïste et injuste ; il est habituellement esclave de ses désirs, de sa convoitise et de ses passions animales, ignorant le plus souvent sa réalité d’être qui fait de lui le réceptacle de la conscience universelle.
L’Islam, sans aucunement méconnaître la faiblesse et les limites de la nature humaine, ne considère pas l’homme comme une volonté pervertie, mais essentiellement comme l’être qui a reçu le dépôt (amana), de cette présence divine.
En cela, il est le représentant (khalifa), de Dieu sur terre. Si l’essence de l’Être divin est impénétrable et absolue, Il est, par contre, par Ses attributs (sifat, 1), proche de toute Sa création. Par eux, l’homme se rapproche de Lui. En cela il est à l’image de son Créateur, comme un miroir reflétant de manière consciente cette présence divine.
Cette nature originelle est avant tout une intelligence qui peut discerner le réel de l’illusoire, et qui d’une manière naturelle conduit à l’unité (tawhid). C’est ensuite une volonté qui peut choisir librement entre le vrai et le faux. Enfin c’est le pouvoir de la parole par lequel s’exprime la relation entre l’homme et le divin mais aussi entre lui et ses semblables.
L’intelligence, la volonté, et la parole sont en leur essence les qualités divines que Dieu a confiées à l’homme et à l’aide desquelles il chemine vers Lui. Ainsi : « Les actions ne valent que par leurs intentions » a dit le Prophète Mohammed. En effet, c’est bien l’intention qui fonde la valeur des actes conduisant l’homme vers le salut ou l’éloignant de celui-ci.
Elle se nourrit, se conçoit et s’appuie sur la conscience. Car en vérité la raison ne se suffit pas, elle nécessite d’être fécondée par la conscience, qui a besoin elle même d’une direction pour naître et croître. Là interviennent les enseignements spirituels et religieux qui ont accompagné l’humanité depuis toujours. Par l’entremise de l’intervention divine, à travers les prophètes, les sages et les envoyés, s’est transmis un enseignement d’éveil qui nourrit et fait croître notre conscience individuelle jusqu’à ce qu’elle se réalise dans la conscience universelle.
C’est lorsque il est arrivé à cette ultime étape que l’homme s’unifie et atteint l’équilibre parfait de sa personnalité, d’où l’importance d’une éducation d’éveil ; plus notre état de conscience grandit, plus l’être que nous sommes s’affine.
L’action de l’homme vertueux d’œuvrer pour le bien dans la société au sein de l’humanité devient alors une nécessité pour sa quête et un impératif dans sa relation avec le Divin, et non seulement un devoir moral ou religieux. Elle est le salut de l’âme ici bas sans attendre de récompense future dans l’Au-delà. C’est le chemin de l’Amour désintéressé qui conduit vers la paix, la fraternité et l’élévation vers le Divin, Source de Miséricorde, qui octroie à l’homme par Sa grâce salvatrice le salut éternel.
Si par contre cette notion de salut s’attache à l’attribution d’une récompense future et à la crainte du châtiment éternel, elle conditionne notre comportement à suivre aveuglément un credo, un dogme, une morale comme seule voie exclusive de salut. Elle devient alors un réfèrent lourd de conséquence face à la liberté d’autrui et au respect dû à celui, différent, qui ne pense pas ou qui n’a pas la même foi que nous.
Cette conception du salut ne fait pas de nous des êtres fraternels, ouverts vers l’universel, mais au contraire des êtres pensant que seuls ceux qui sont de la même croyance que nous sont dans le vrai et méritent le salut. On se prive par cette attitude de reconnaître l’immense miséricorde divine capable d’accueillir en son sein toutes les créatures.
Cette diversité et ces divisions permettent à l’homme de s’interroger, de chercher. Dans le domaine de la foi, la Vérité n’est jamais figée. Elle se dévoile à nous à travers une expérience profonde vécue au cœur de l’être et dans la conviction intime de nos rapports avec Dieu. Chaque tradition a sa méthode. Cette diversité est voulue pour que la vérité soit reçue par tous selon sa culture et son entendement.
Le prophète Mohammed disait : « Parlez aux hommes selon leur degré de compréhension’’ , et le Coran « Si Dieu l’avait voulu, Il aurait fait de vous une seule communauté » (sourate 5, verset 48). Toujours et partout, des hommes ont prétendu être dans le vrai et ils ont fait souffrir ceux qui n’étaient pas d’accord avec eux. Malgré les génocides, ils n’ont pu arrêter le destin de l’humanité.
La révélation apportée par chaque prophète incite et éveille l’homme à retrouver l’universalité inscrite en lui. Il n’y a, ni antagonisme entre les prophètes ni opposition entre les messages révélés , mais une parfaite continuité dans l’harmonie. Abandonnons nos prétentions de nous croire les seuls dans le vrai. Si le message, lui, reste universel, l’homme, par son égocentrisme, le transforme, le rétrécit, l’assèche en se l’appropriant pour l’instrumentaliser à des fins personnelles.
Le salut et les moyens du salut deviennent un domaine réservé aux uns, excluant les autres. Ils sont accaparés par des « élus » qui le dispensent ou le restreignent arbitrairement, d’après leur interprétation des textes sacrés. Même si cette façon d’agir s’appuie, parfois, sur des intentions louables.
Le salut ne s’obtient pas par une recette magique, dogmatique ou sectaire octroyée par des être « savants » ou « éclairés ». Il est une grâce suprême accordée par le Miséricordieux à toute créature qui revient vers Lui.
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Le directeur de l’association musulmane phare d’Outre-Atlantique l’affirme : « Les musulmans américains ne se laisseront pas intimider ».
A la tête de l’influent Conseil sur les relations américano-islamiques (CAIR), connu pour être présent tous les fronts en serrant les rangs face au fléau de l’islamophobie, Nihad Awad, le directeur général de l’association musulmane phare d’Outre-Atlantique, ironisait récemment sur la campagne aux relents pestilentiels menée tambour battant par Donald Trump, préférant céder à l’humour grinçant qu’à la consternation au terme d’une course à la Maison Blanche qui aura fait sauter toutes les digues…
« Habituellement, je suis avare de compliments envers les candidats, mais là, je tiens à remercier Trump pour avoir provoqué un véritable électrochoc au sein de la communauté musulmane. Les musulmans, comme rarement auparavant, ont pris conscience de l’importance que revêt leur vote le 8 novembre prochain, dans le climat inflammable ambiant », déclarait-il sur un ton caustique, à la veille d’un scrutin décisif.
Fortement ébranlé, tout comme l’a été la démocratie américaine, par les harangues électrisantes et les outrances du magnat de l’immobilier, dont les impôts impayés depuis plus de vingt ans, entre autres graves manquements à son devoir civique, n’auront nullement entravé sa marche vers la gloire, Nihad Awad, encore sous le choc de son triomphe fracassant, a tenu à répondre aux questions du Time.
« En tant que citoyens, nous acceptons les résultats du processus démocratique qui nous relie les uns aux autres, depuis tant d’années, au sein d’une même nation. Peu importe qui a gagné, les musulmans américains ne se laisseront pas intimider ! La communauté musulmane américaine continuera à se mobiliser contre le sectarisme, la xénophobie, l’islamophobie, à agir pour faire respecter la justice et protéger les libertés de tous les Américains. Nous exigerons du nouveau président qu’il fasse de la défense des droits de tous les Américains, sans exclusive, une priorité, en se conformant à la Constitution», a-t-il indiqué en préambule.
Et de poursuivre : « L’ignorance qui entoure l’islam représente l’un des plus grands défis pour les musulmans américains. Je pense qu’il incombe à chacun d’entre nous de nous comprendre et de nous respecter, les uns les autres. Si nos concitoyens non musulmans lisaient des sources scripturaires authentiques, s’ils rencontraient des musulmans américains et échangeaient avec eux, ils découvriraient alors que nous partageons une profonde croyance commune en Dieu et en ses messagers, et que nous sommes viscéralement attachés aux mêmes valeurs et principes inaliénables que sont les droits de l’homme, la dignité humaine, le caractère sacré de la vie, l’entraide et la solidarité envers les être les plus démunis et vulnérables. Cela est inscrit dans notre religion musulmane, comme dans le christianisme et les autres religions. Au lieu de nous focaliser sur ce qui nous divise, nous devrions redoubler d’énergie pour bâtir des ponts entre nous tous et nous rassembler ».
L’accession au pouvoir de Donald Trump, le néophyte en politique catapulté par les urnes aux plus hautes destinées, inaugure une nouvelle ère, annonciatrice d’une « trumpisation » de la société américaine plus inquiétante qu’exaltante, mais il en faudrait plus pour déstabiliser Nihad Awad et le faire renoncer à se projeter dans l’avenir.
A peine remis de ses émotions, et bien que ne sachant pas à quelle sauce ses coreligionnaires seront mangés, il déroule déjà sa feuille de route pour les quatre ans à venir, en affichant une détermination à toute épreuve.
« Nous allons continuer à renforcer notre infrastructure afin de servir au mieux les intérêts de la communauté. Nous allons mettre l’accent sur la participation politique et civique au sein de notre propre communauté musulmane. Nous devons ériger beaucoup plus de ponts entre nous tous et tendre la main aux personnes qui méconnaissent l’islam et n’ont aucun lien avec les musulmans américains. Nous avons besoin de créer les conditions d’un dialogue fraternel, enrichissant et pérenne avec l’ensemble de nos concitoyens, indépendamment de nos origines ethniques ou religieuses », prône-t-il, en se faisant plus que jamais le chantre de la coexistence pacifique et harmonieuse dans une Amérique qui ne ressort pas indemne de cette présidentielle de tous les dangers, et ce, quel qu’ait été le vainqueur.
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####### Aujourd’hui en Palestine #######
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Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
Israël prévoit 7100 nouveaux logements à Jérusalem.
La municipalité israélienne de Jérusalem occupée a déclaré son intention d’autoriser la construction de milliers de nouveaux logements.
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L’occupation arrête six citoyens de Cisjordanie et de Jérusalem.
Les forces israéliennes ont arrêté, aujourd’hui à l’aube, six palestiniens, dont un dirigeant au sein du Hamas à la suite de raids effectués dans les villes de La Cisjordanie.
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Les forces d’occupation ferment l’entrée de Azzoun et se déploient aux alentours de Qalqilya.
Les forces d’occupation israéliennes ont fermé l’entrée du village de Azzoun au moment où elles se sont déployés aux alentours du village de Habla.
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L’occupation annule le voyage des Gazaouis à Jérusalem.
Les autorités d’occupation israéliennes ont annulé le voyage des fidèles de Gaza à la ville occupée de Jérusalem pour accomplir la prière de vendredi.
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Blessés et arrestations dans des affrontements avec l’occupation près d’Ofer.
Un certain nombre de citoyens palestiniens ont été asphyxiés avec les grandes lacrymogènes lancés par les soldats d’occupation israéliens.
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Le ministre Bennett veut légaliser les colonies sauvages.
Le ministre Naftali Bennett, chef du parti « La Maison Juive », a annoncé qu’il va présenter le dimanche prochain le projet de loi de de la régulation des terres.
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L’occupation arrête un jeune homme lors d’affrontements à Doura.
Les forces armées d’occupation israéliennes ont arrêté le jeudi à midi , un jeune homme palestinien lors d’affrontements qui ont éclaté dans la ville de Doura.
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Netanyahu: La Russie est prête à travailler sur la libération de nos prisonniers de Gaza.
Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a annoncé que la Russie a exprimé sa volonté de travailler sur la libération des soldats israéliens disparus et capturés.
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Confrontations au point de contrôle de Beit Furik.
Des affrontements ont éclaté, aujourd’hui, entre des dizaines de jeunes et les forces israéliennes stationnées à l’entrée ouest de la ville de Beit Furik.
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21 colons ont pris d’assaut Al-Aqsa.
Les colons juifs ont pris d’assaut les cours de la Mosquée Al-Aqsa aujourd’hui sous la protection des éléments de sécurité de l’occupation.
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8 personnes auraient été arrêtées pour planification d’attentats.
La censure militaire sioniste a permis de publier des informations sur l’arrestation de la sécurité générale du «Shin Bet» sioniste de huit Palestiniens de Jérusalem-Est.
Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D’Information, sur http://french.palinfo.com

Flash info du 11 Safar 1438.

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Présidentielle américaine : Noirs, homosexuels, musulmans… Ils s’inquiètent après la victoire de Trump.
Ils ont massivement investi les réseaux sociaux. Pour exprimer leur dégoût, leur colère et leur déception de voir Donald Trump accéder à la plus haute fonction du pays : la présidence des Etats-Unis. Depuis les premiers résultats, tombés dans la nuit du mardi 8 au mercredi 9 novembre, les gays, les musulmans, les latinos mais aussi les femmes et les Noirs se réfugient sur Twitter pour exprimer leur incompréhension.
« J’ai peur. » Ce sentiment domine dans leurs messages face à la future présidence du milliardaire. Car ce dernier s’est fait connaître, entre autres, en multipliant les propos outranciers à l’égard des minorités. Franceinfo a interrogé certaines de ces personnes qui s’inquiètent pour leur avenir.
Kadijah, 19 ans : « J’ai prévu de partir en Angleterre ».
A 19 ans, Kadijah est très remontée après la victoire de Donald Trump. Cette New-Yorkaise, supportrice de Bernie Sanders, ne digère pas l’arrivée à la Maison Blanche du magnat de l’immobilier. Se décrivant dans un message sur Twitter comme une « fière lesbienne noire souffrant de problèmes de dépression », elle lâche un : « Va te faire voir Donald Trump ».
« J’ai maintenant un président qui hait les Noirs, les homosexuels et se moque des gens qui souffrent de maladies mentales, déplore cette lycéenne, avant de se montrer plus alarmiste. J’ai peur pour ma vie. Je pense que des émeutes vont éclater ou que des gens vont chercher à tuer Trump. »
Kadijah ne croit plus en son avenir américain. « J’ai prévu d’aller en Angleterre voir ma famille », annonce-t-elle. La jeune femme est persuadée que le nouveau président « va mettre l’Amérique à terre ». « Il veut entrer en guerre avec nos alliés. Notre nation est à l’aube d’un bouleversement », conclut-elle.
Alex, 17 ans : « Je suis gay et j’ai peur ».
S’il n’a pas pu voter en raison de son âge, Alex, 17 ans, a suivi attentivement la campagne américaine et les résultats heure par heure. Ce lycéen du Wisconsin a publié sur Twitter un message poignant. « Je suis gay, écrit-il. Je voulais trouver l’amour mais même ça, ça va être compliqué pour moi maintenant puisque les homophobes vont se sentir encouragés par la victoire de Trump. J’ai peur. »
Le jeune homme assure à franceinfo que sa vie va désormais être « plus dangereuse ». Donald Trump affiche, en effet, des positions ambiguës concernant la communauté LGBT, rappelle Têtu, bien qu’il ait tenté, dans la dernière ligne droite avant l’élection, de faire passer un message d’apaisement.
« Les personnes remplies de haine vont sentir qu’elles ont le droit d’exprimer ce qu’elles pensent et de passer à l’action », craint-il. Selon lui, le risque est maintenant élevé de voir une augmentation des crimes homophobes couplée à une baisse des plaintes. Contrairement à Kadijah, Alex assure qu’il ne changera rien à ses rêves d’adulte. « Je sais que le meilleur moyen de faire face à toute cette haine est de continuer à faire ce qui me rend heureux, malgré eux », veut-il croire.
Melisa, 27 ans : « En tant que musulmane, je suis terrifiée ».
Depuis l’officialisation de la victoire de Donald Trump, Melisa ne peut pas s’empêcher de penser à son passé. Cette musulmane de Pennsylvanie, âgée de 27 ans, est arrivée de Bosnie en 1997 après que sa famille a obtenu le statut de réfugié. Son histoire fait écho à celle des immigrés que le nouveau président américain veut renvoyer chez eux. « En tant que femme, mais aussi immigrée, musulmane et américaine, j’ai vraiment peur », a-t-elle tweeté.
« Sa victoire va simplement valider les préjugés de certains Américains et renforcer les discours anti-musulmans et anti-immigrés », analyse-t-elle. Melisa reconnaît avoir de « la chance » parce qu’elle n’est pas « une musulmane visible ». « Mais toutes celles qui portent le voile vont se sentir visées », glisse-t-elle. Cette assistante juridique n’a qu’un espoir : que les habits de président changent le Donald Trump candidat. « Il doit réaliser que les mots ont un sens. Qu’il ne peut pas juste déverser sa haine sans conséquence, prévient-elle. Il ne peut pas dire n’importe quoi et s’il n’arrive pas à se maîtriser et à être plus diplomate, alors on risque tous d’avoir de graves problèmes ».
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islam : Sourate Al Mulk (67) – سورة الملك et ses mérites.
La sourate Al Mulk est une sourate Mecquoise qui comporte 30 versets. Le Prophète salallahou ‘aleyhi wa salam ainsi qu’Abdallâh Ibn Mass’oûd (radhiallâhu ‘anhu) ont vanté ses mérites notamment l’intercession de la sourate en faveur du croyant ou encore le fait que sa lecture assidue engendre la protection d’Allah contre le supplice de la tombe.
Il a été rapporté par Abû Hurayrah (radhiallâhu ‘anhu) que le Prophète (sallallahu ‘alayhi wa salam) a dit :
« Une certaine Sourate du Qor’ân, qui contient trente versets, a intercédé en faveur d’un homme jusqu’à ce qu’il en fût pardonné [pour ses péchés]. C’est la Sourate -Tabârak al-ladhî bi-yadihi al-Mulk – [c’est-à-dire la Sourate al-Mulk – La Royauté]. » Rapporté par at-Tirmidhî, Abû Dâwoud et Ibn Mâdjah – At-Tirmidhî a dit que c’est un hadîth « hasan » [bon]. Il a été classifié comme « Sahîh » par SHeikh al-Islâm Ibn Taymiyyah dans son Majmû ’ al-Fatâwa et par SHeikh al-Albânî dans « Sahîh Ibn Mâdjah ».
Il a été rapporté que Abdallâh Ibn Mass’oûd (radhiallâhu ‘anhu) a dit :
« Quiconque récite la Sourate « al-Mulk » [La Royauté] chaque nuit, Allâh le préservera du supplice de la tombe. Du temps du Messager d’Allâh (sallallahu ‘alayhi wa salam) nous l’appelions « al-Mâni’ah » [La protectrice]. Elle est, en fait, une Sourate du Qor’ân dont la récitation chaque nuit est source d’une bonne et grande rétribution. » Rapporté par an-Nassâ’î et al-Hâkim qui a dit que sa chaîne de transmission est authentique [Sahîh] – Et SHeikh al-Albânî (rahimahullâh) l’a classé comme : « hasan » [bon] dans « Sahîh at-Targhîb wal-Tarhîb ».
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Les clés de l’éducation: 7 idées de conteuse pour faire aimer les mots à nos enfants.
Quelle tâche fastidieuse pour, nous, parents que d’essayer de faire aimer la lecture à notre progéniture. Combien d’entre nous trouvent qu’il est inutile de lutter puisque, semble t-il, l’amour de la lecture est inné. Et s’il en était autrement ?
En tant qu’auteure et conteuse, je vous propose de voir les choses sous un autre angle. Apprendre à se familiariser avec les mots avant d’aimer lire serait le secret à découvrir avec ces 7 idées de conteuse. Rien de bien compliqué, ce ne sont que des petites astuces très simples à réaliser pour lesquelles vous aurez besoin de :
Votre voix.
Les mots se trouvent partout. En parlant, et en lisant vous mêmes des histoires à vos enfants, vous vous faites porte parole de cet amour des mots qui passera d’abord par votre voix. L’univers des mots n’est pas froid. Il sera la chaleur des cœurs de vos enfants surtout si vous prenez soin de choisir des histoires porteuses de sens, comme celles de nos prophètes. Nos vrais héros et ceux de vos enfants sont tirées du Saint Coran ou de la Sunna, ne l’oubliez pas !
Usez donc de votre instrument vocal pour transmettre la passion qui se ressentira à votre voix ! Mettez toutes les intonations qu’il faut au bon moment et donnez un impact à chacun des mots prononcés.
Et n’oubliez pas : en prononçant des mots, comme les conteurs, vous faites passer des émotions.
Vos mains.
Jeux de main, jeux…très malins !
Mimez autant que vous pouvez. Tout petit déjà, votre enfant perçoit dans votre voix et vos gestes tout un tas de concepts importants à son développement psychomoteur et à l’amour des mots que vous voulez lui inculquer. N’hésitez pas à varier les comptines, et petites histoires en rime qui aiguiseront son oreille tout en sollicitant sa mémoire auditive et visuelle.
Les sons et les gestes se marient pour un futur plaisir de lire en construction. C’est vous qui êtes sur les planches et votre enfant tout content !
Votre histoire.
Votre quotidien est son histoire. Utilisez à volonté les événements de votre vie de tous les jours pour apporter des solutions contées au moment de se coucher.
C’est un instant privilégié qu’il est bon de mettre à profit pour découdre tous les petits tracas de votre enfant en les dédramatisant. Au lieu de sortir un livre, prenez parfois une de ses peurs du moment que vous mettrez en scène avec des animaux comme personnages principaux, ou encore mieux : mettez en relation ce qui lui arrive avec un hadith ou un comportement de nos nobles Compagnons !
Beaucoup d’entre eux, qu’Allah les agrée tous, étaient petits en accompagnant notre Bien-Aimé.
Vous ferez ainsi d’une pierre deux coups : apprendre notre Sunna pour la transmettre à votre enfant, en appuyant sur les mots, et en mimant à l’occasion. Vous renforcerez son caractère et son sentiment d’appartenance à la Oumma…et pourrez fermer le rideau sur ce qui s’est passé !
De les encourager.
Lorsque votre enfant commence à grandir les histoires et les mimes ne suffisent plus.
Dès qu’il commence à apprendre l’alphabet vous pouvez l’inciter à rechercher des lettres puis des mots qu’il connaît dans la maison sur les différents emballages, les vieux magazines ou tout autre support.
Avec un peu d’imagination vous pouvez fabriquer, avec lui, un élément à accrocher sur le mur de sa chambre. En forme de train ou de chenille, ou autre, vous lui demanderez d’épingler chaque mot nouveau à l’intérieur des wagons ou du corps de chenille. Vous pouvez aussi l’utiliser pour faire de chaque wagon ou des parties du corps de l’insecte choisi un compartiment par adjectif dont il remplit à chaque fois de synonymes. Les variantes sont multiples. Le but de la manœuvre est de l’encourager.
L’essentiel étant que chaque jour, un peu plus, le support se remplisse et que sa fierté grandisse !
Les faire rire.
Apprendre à lire et à écrire n’est pas tous les jours drôles. Les enfants ont besoin de décompresser, et de parfois sortir du cadre scolaire pour intégrer un élément de leur apprentissage. Jouez avec eux à des jeux de mots. Scrabble, méli melo, mots fléchés adaptés, baccalauréat, les jeux de société ne manquent pas mais vous pouvez aussi en inventez un autre.
Prenez plusieurs chapeaux ou paniers et placez-y des bouts de papier sur lesquels vous inscrirez des noms communs, des verbes, des adjectifs, des compléments. Vous obtiendrez rapidement des phrases saugrenues du genre : Le poisson chatouille un sifflet…ou pire encore.
Fous rires, dans la salle, garantis !
De les faire participer.
Soyez à l’écoute de leur curiosité.
Lorsqu’un mot leur semble nouveau au point de solliciter une explication, c’est qu’il retient leur attention. Proposez leur de jouer à la chasse au papillon. C’est un exercice en animation d’atelier d’écriture qu’il est facile de reproduire à la maison. Demandez-leur de l’écrire sur un papier et retenez-le prisonnier dans un filet. Si vous avez l’âme d’un artiste, confectionnez-le avec un bout de votre filet de citrons, du papier et du carton, dans lequel votre enfant pourra venir mettre son mot nouveau.
A vous de trouver une autre idée, si le cœur vous en dit, pour le faire participer à cette apprentissage des mots que vous pouvez mettre en scène.
Le support ne sert qu’à visualiser joliment sa mémoire. Ce n’est pas obligatoire !
De montrer l’exemple et une ouverture d’esprit.
Autant que faire se peut, il faudra montrer un peu d’enthousiasme de votre part quant au monde des mots. L’important est de transmettre de l’amour et de l’intérêt pour le milieu que ce soit à l’oral ou à l’écrit.
Enfin offrir la liberté d’écrire à votre enfant sans le juger sur la forme est vital pour l’image qu’il se fait de ses capacités. Acceptez donc de le voir s’exprimer avec des fautes, il aura tout le temps de se corriger. Cela peut d’ailleurs être fait en deux temps : proposez lui une boîte à mots doux, ou de coups de gueule qui sera à sa portée. Une vieille boîte à mouchoirs customisée par exemple. Et réservez les temps de révisions pour un autre moment comme celui des devoirs.
De manière générale, le maître ou la maîtresse est la personne vers qui se rapprocher pour apporter de l’aide à son enfant lors de difficultés. Ces quelques conseils de conteuse ne sont que des petits fils conducteur entre les mots et le cœur de vos enfants, qui, je l’espère, vous donneront des ailes et des idées encore plus grandes !
Puissions-nous aider nos enfants à être conscients et amoureux du premier mot prononcé à notre prophète Mohamed ( que la Paix et le Salut soient sur lui) :«Iqra» !
Sonia Djebaili.
Auteure et conteuse du site mes-id-mots.com
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Ecosse : il se convertit à l’Islam après avoir entendu l’adhan.
En été dernier, nous vous parlions de cet américain qui a embrassé l’Islam après avoir lu la Bible. La Bible l’avait en quelque sorte poussé à lire le Saint Coran sobhanAllah. Aujourd’hui, nous vous rapportons la conversion à l’Islam d’un écossais, qui n’a jamais rencontré de musulman et qui ne se doutait pas un instant de la tournure qu’allait prendre sa vie.
Cet écossais s’est confié au quotidien The Independant afin d’expliquer les causes de sa conversion à l’Islam : « Pour moi, tout a commencé quand j’ai entendu l’appel à la prière d’une mosquée locale tandis que j’étais sur une plage en vacances en Turquie. Il a éveillé quelque chose en moi et m’a inspiré à commencer une quête spirituelle ». Il a ainsi été attiré par l’Islam par le biais de l’adhan entendu lors de son séjour en Turquie.
De retour dans son pays, cet écossais s’est lancé dans une recherche au sujet de l’Islam, se demandant en quoi consistait cette religion. Il confie donc « de retour à Inverness, je suis allé à la librairie locale, j’ai acheté un Coran et j’ai commencé à lire. Lors de la lecture, j’ai toujours demandé à Dieu de me guider sur le chemin vers lequel Il m’a destiné ».
A la lecture du Saint Coran, cet écossais a vu toute son existence être remise en question. Il a été bouleversé par la véracité et la sagesse de ces paroles comme il l’explique : « Le Coran m’a vraiment secoué. Il est vraiment un livre effrayant à lire, car il vous dit tant de choses sur vous-même ». La lecture du Saint Coran l’a poussé à modifier son comportement, à se détacher de certains péchés et à se rapprocher autant que possible des vertus du musulman.
Il savait pertinemment que la finalité de ces changements serait une conversion à l’Islam al hamdouliLlah. « Je savais ce que le résultat de ce processus final serait que je serai un musulman. Donc, j’ai continué à lire. Je l’ai lu trois fois ». Après avoir réformé son comportement étape par étape et s’être documenté sur l’Islam, la suite logique de ce cheminement fut en effet une conversion à l’Islam. Bien que n’ayant jamais rencontré de musulman, cet écossais a fini par embrasser l’Islam. Une histoire qui prouve une fois encore que quels que soient le lieu, les fréquentations et les orientations de chacun, quand Allah a décidé de guider un cœur, rien ni personne ne peut s’opposer à Sa volonté.
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France : François Hollande félicite Donald Trump qu’il considère vulgaire.
François Hollande a fait comme de nombreux chefs d’Etat à travers le monde, respectant la tradition : il a félicité Donald Trump pour son élection. Non sans devoir serrer les dents pour le faire !
Coopérer avec le candidat républicain sans concession.
C’est ainsi dans la journée du mercredi 9 novembre que François Hollande a adressé ses félicitations au nouveau président des Etats-Unis. Le visage assez fermé lors de son discours, il a indiqué vouloir travailler avec l’administration Trump « sans concession ». Pas le choix tout simplement puisque le milliardaire américain est maintenant à la tête d’une des puissances mondiales importantes sur l’échiquier politique et économique. Pourtant il y a quelques mois encore, le locataire de l’Elysée qualifiait celui qui est aujourd’hui devenu son homologue d’homme vulgaire. Ajoutant aussi qu’il serait le pire président s’il venait à être élu. On y est justement ! D’ailleurs aux journalistes Gérard Davet et Fabrice Lhomme, François Hollande avait déclaré : « Lui, tout ce qu’il aime, c’est la vulgarité. C’est un être, je trouve, dans tous les sens du terme, vulgaire. Comme pouvaient l’être des leaders populistes en Europe, qui sont fondés sur la vulgarité. »
François Hollande n’a pas manqué de préciser que les positions de Donald Trump lors de sa campagne doivent être confrontées aux valeurs et aux intérêts partagés avec les Etats-Unis. Parlait-il notamment de son côté misogyne, de son islamophobie, de son racisme contre les Afro-Américains, les Latinos-Américains… ? Il y a le choix puisque Donald Trump a dit beaucoup d’énormités avant d’être élu !
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France : Paris : un centre humanitaire pour migrants est ouvert.
Afin de parer au flux toujours plus important d’arrivées de migrants à Paris, la ville s’est équipée d’un centre humanitaire. L’ouverture officielle s’est tenue jeudi 10 novembre près de la porte de la Chapelle, au nord de la capitale.
Le centre dont la création avait été annoncée en mai dernier accueillera chaque jour entre 50 et 80 personnes, soit le nombre de migrants arrivant quotidiennement à Paris selon les estimations. Il doit servir d’étape de transition avant une réorientation selon les situations, Centre pour demandeurs d’asile (Cada) pour certains, centre d’accueil ou d’orientation (CAO) pour d’autres.
Les femmes et familles seront amenées en navette dans des lieux spécifiques en attendant l’ouverture prochaine d’un centre destiné à ces « publics vulnérables ». Ce nouveau centre devrait voir le jour début 2017 à Ivry-sur-Seine, au sud de Paris. Les mineurs isolés seront, quant à eux, transférés vers d’autres structures parisiennes.
Le centre humanitaire de Paris comporte huit villages de 50 places dans une halle 10 000 m2. Des cabanons en bois recouverts de bâches, d’espaces de bureaux, d’un réfectoire et de sanitaires contiendront des chambres pour quatre personnes. « Il y une douche, une toilette et un lavabo pour 8 personnes, nous sommes au-delà des normes du HCR », le Haut-commissariat aux réfugiés, a souligné Bruno Morel, directeur général d’Emmaüs solidarités, en charge du centre. Il ajoute que « des lavabos plus bas ont été installés pour (que les musulmans puissent) faire des ablutions ».
Le Samu social et l’ONG Médecins du monde participeront au soutien médical et psychologique des réfugiés. Environ 120 salariés et 500 bénévoles seront déployés sur le site pour distribuer des kits d’hygiène et proposer des activités. Le projet est estimé à un coût global de 16,4 millions d’euros. Il doit permettre de mettre fin à la logique d’établissement de camps clandestins qui a notamment pris racine à Paris.
« C’est une alternative digne à la rue », affirme Anne Hidalgo, maire de la ville. Elle a rappelé néanmoins que la structure est démontable et pourra être transposée ailleurs. En effet, dans 18 mois, l’emplacement doit accueillir des bâtiments universitaires.
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Lancement de la campagne pour la suspension de l’Accord d’association entre l’Union européenne et Israël.
Les colonies israéliennes s’étendent en Cisjordanie :
Suspension de l’accord d’association UE/Israël !
Les implantations de nouvelles colonies ne cessent de se multiplier dans les territoires palestiniens de Cisjordanie occupée. En juin 2016, le gouvernement de M. Netanyahou a permis la construction de 560 nouveaux logements pour les colons de Ma’ale Adoumim et 840 autres à Jérusalem-Est. Il a poursuivi le Plan E1 visant à former une continuité territoriale entre Jérusalem-Est et cette colonie de Ma’ale Adumim pour couper en deux la Cisjordanie. Le projet d’Israël de construire 98 habitations dans la colonie de Shilo en Cisjordanie, ainsi que l’accélération durant l’année 2016 des destructions de maisons palestiniennes, ont été dénoncés au Conseil de sécurité des Nations-Unies, le 19 octobre 2016. Environ six cent mille colons israéliens vivent aujourd’hui dans ces territoires. Les implantations incessantes de colonies, au nom de l’argument théologique intégriste selon lequel ces terres auraient « été données par Dieu à Israël », constituent une violation flagrante de la quatrième Convention de Genève selon laquelle une puissance occupante ne peut transférer dans un territoire occupé une partie de sa population.
Le lobby des colonies au parlement israélien, la Knesset, réclame « une loi d’annexion de la Judée et de la Samarie », c’est-à-dire de la Cisjordanie occupée en 1967. Le ministre israélien de l’Éducation, Naftali Bennett, demande celle de la « zone C », soit 60% de ce territoire. Même si le gouvernement Netanyahou feint de refuser une telle violation flagrante du droit international, il ne cesse de la préparer méthodiquement. La poursuite de la colonisation, qui compromet l’existence d’un Etat palestinien indispensable au retour de la paix dans la région, éloigne la reconnaissance par ses voisins de l’Etat d’Israël dans ses frontières de 1967, et, par conséquent, met aussi en danger sa survie.
Les représentants de l’organisation israélienne de défense des droits de l’Homme B’Tselem et du mouvement La Paix maintenant qui ont témoigné devant le Conseil de Sécurité des Nations-Unies, le 14 octobre 2016, des conséquences de l’occupation et de l’extension ininterrompue des colonies, sont accusés en Israël de trahison et sont l’objet d’une campagne de haine sans précédent. Des responsables politiques demandent qu’ils soient déchus de leur nationalité. Déjà, le 12 juillet 2016, la Knesset a adopté une loi renforçant les contrôles auxquels sont soumis B’Tselem et vingt-six autres mouvements en Israël dénonçant la colonisation. Les interventions de l’ONG Breaking the Silence dans les écoles et les casernes ont été interdites. Le ministre israélien de la Défense, Avigdor Lieberman, semblant juger favorable le moment où le président des Etats-Unis arrive à la fin de son mandat, menace d’une nouvelle guerre contre les institutions de la bande de Gaza qui « sera la dernière confrontation car nous les détruirons totalement ».
La seule manière d’obliger Israël à se conformer au droit international, d’imposer le respect des droits des Palestiniens, et de soutenir efficacement les courageux dissidents israéliens, est d’exercer des pressions internationales.
« Trop, c’est trop ! », conjointement avec le Collectif national pour une paix juste et durable entre Palestiniens et Israéliens et avec le soutien de la Plateforme des ONG pour la Palestine, lance une campagne pour la suspension de l’Accord d’association entre l’Union européenne et Israël.
Cet accord s’est traduit récemment par des programmes de recherche dans le domaine militaire au profit d’Israël. Or il stipule que « toutes [ses] dispositions […] se fondent sur le respect des droits de l’homme et des principes démocratiques » (article 2), et que sa suspension est possible « si une partie considère que l’autre ne satisfait pas à une obligation découlant du présent accord » (article 79). En s’en tenant strictement au droit international, l’Union européenne doit donc, par sa suspension, se conformer aux règles qu’elle a elle-même fixées et qu’elle a appliquées en d’autres circonstances.
Contre l’extension de la colonisation qui compromet chaque jour davantage l’établissement d’une paix juste entre un Etat d’Israël renonçant aux conquêtes de 1967 et un Etat palestinien, l’Europe doit avoir le courage de réagir.
« Trop, c’est trop ! » est un collectif d’individus constitué à la fin de l’année 2001 à l’initiative de Madeleine Rebérioux et Pierre Vidal-Naquet pour protester contre l’enfermement de Yasser Arafat à Ramallah et les coups portés par l’armée israélienne à l’Autorité palestinienne. Il s’est exprimé de nouveau quand de nouvelles menaces ont compromis encore davantage la paix dans la région qui passe par l’existence d’un Etat palestinien.
Vous pouvez soutenir en envoyant un chèque à l’ordre de :
LDH Trop, c’est trop,
Ligue des droits de l’Homme,
138, rue Marcadet,
75018 Paris
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France : Dominique de Villepin: « Le président ne comprend pas ce qu’il se passe aux Etats-Unis ».
L’ancien Premier ministre, Dominique de Villepin, a réagi au discours de François Hollande après l’élection de Donald Trump. Pour lui, le chef de l’Etat est dans l’erreur face aux événements américains.
Reportage vidéo a voir sur www.mouslimradio.info.
w w w . m o u s l i m r a d i o . i n f o .

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####### Aujourd’hui en Palestine #######
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Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
Netanyahou participe aux creusements et met al-Aqsa sur le volcan
Au rythme de l’escalade des creusements, des fouilles, pratiqués dans la ville d’al-Quds occupée (Jérusalem), au rythme du nombre de ces colons envahissant la sainte mosquée d’al-Aqsa.
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Abbas : « Je sais qui a tué le président Yasser Arafat ».
Le président de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, a annoncé pour la première fois, à sa connaissance des assassins du Président Yasser Arafat.
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La Knesset refuse de reconnaître les Palestiniens de 48 comme une minorité nationale.
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: « Les stratégies de l’avenir » discutées dans une conférence nationale à Gaza.
Voilà le mois de novembre qui arrive et arrive avec lui la commémoration annuelle de la Déclaration de Balfour, la 99ème cette année.
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20 Palestiniens arrêtés lors d’une série de rafles en Cisjordanie.
Les forces armées d’occupation israéliennes ont poursuivi les vastes campagnes de raids et d’arrestations dans les diverses zones de la Cisjordanie occupé.
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Yatta: l’occupation scelle une chambre dans la maison du captif Zein.
Les forces d’occupation israéliennes ont scellé, tôt jeudi matin, une chambre dans la maison du prisonnier, Younis Zein, à Yatta, au sud de la province de Hébron.
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L’occupation rend les effets personnels d’un Palestinien 24 ans après sa mort.
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Medvedev se rend dans les territoires occupés et rencontre Netanyahu et Abbas.
Le Premier ministre russe, Dmitri Medvedev, est arrivé la nuit dernière à l’entité sioniste dans une visite de 3 jours.
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Un jeune blessé et arrêté au nord de Ramallah.
Les forces armées de l’occupation israélienne ont arrêté aujourd’hui matin, un jeune après l’avoir blessé par une balle réelle lors des affrontements.
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Affrontements avec les forces de la sécurité de l’Autorité Palestinienne à l’est de Naplouse.
De violents affrontements ont éclaté le mercredi soir, entre les citoyens palestiniens et les forces de la sécurité de l’Autorité Palestinienne au camp d’Askar.
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