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Flash info du 14 Joumada At-Thani 1438.

Flash info du 14 Joumada At-Thani 1438.
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Le torchon brûle entre la Turquie et les Pays-Bas, l’extrême droite s’en réjouit.
Le torchon brûle entre les Pays-Bas et la Turquie après que le Ministre des affaires étrangères turques n’ait pas pu atterrir à Rotterdam. En visite spéciale à l’occasion d’un meeting pro-Erdogan, l’officiel turc a dû rentrer à Ankara.
La réaction turque n’est s’est pas faite attendre et Erdogan a évoqué dans un discours des relents de fascisme en Europe. Après l’Allemagne, ce sont les Pays-Bas qui font barrage à la Turquie de Recep Erdogan qui s’est rapprochée de la Russie après un putsch avorté l’été dernier contre l’actuel président.
Des manifestations ont eu lieu dans la capitale hollandaise. Les forces de l’ordre ont violemment réprimé les manifestants qui s’était réunis spontanément.
L’extrême hollandaise, qui fait campagne contre l’islam et les minorités musulmanes, s’est réjouit d’une nouvelle victoire.
Reportage vidéo à voir sur www.mouslimradio.info.
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islametinfo.fr
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La communauté musulmane au Québec.
Une émission au Québec a été diffusée pour que les citoyens connaissent mieux la communauté musulmane. L’islamophobie étant due en partie à de la pure ignorance qui amène à la peur puis la haine, il est intéressant de voir qu’il est possible d’informer les citoyens à la télévision sur l’Islam et les musulmans sans pousser à la violence.
Si évidemment, nous ne sommes pas obligés d’être d’accord sur toutes les analyses de l’invité du jour, il est important de diffuser ce genre de reportage qui se veut un message de coexistence. Le rôle des médias est essentiel aujourd’hui pour déconstruire les fantasmes autour de l’islam et des musulmans d’Occident.
Reportage vidéo à voir sur www.mouslimradio.info.
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islametinfo.fr
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Une ministre turque stoppée par les chiens de la police aux Pays-Bas.
Après l’Allemagne qui a interdit des meetings turcs, ce sont désormais les Pays-Bas islamophobes qui provoquent une nouvelle fois la Turquie.
Non content d’avoir détourner l’avion du ministre des affaires étrangères turques c’est au tour de la ministre turque d’être arrêter par la police néerlandaise alors qu’elle se rendait dans un bâtiment officiel turc.
Une provocation islamophobe néerlandaise et une gageure qui contrevient à toutes les règles élémentaires de la diplomatie internationale.
Des sympathisants turcs ont tenu à exprimer leur indignation face à des mesures discriminatoires d’état jamais pratiquées en Europe même avec les plus fascistes ou racistes des partis européens en déplacement en Hollande. Le néerlando-israélien Wilders qui lui-même ne cessent à appeler à une guerre contre l’Islam et les musulmans peut s’exprimer sans gêne dans la rue comme dans les médias.
L’état néerlandais n’a donc pas hésité a lâché ses chiens policiers sur les manifestants turcs qui comprenaient femmes et enfants …
Une escalade islamophobe qui démontre à quel point l’Europe derrière ses parangons de vertus est la première à bafouer la liberté d’expression quand l’interlocuteur est musulman. Il faut également rappeler que les meetings prévus et interdits par l’état néerlandais concernaient des résidents turcs de nationalité turque.
Les politiques français islamophobes ont aussitôt fait connaître leur soutien au gouvernement fascisant néerlandais. Une collaboration qui demeurera pour longtemps un savoir faire bien français …
Reportage vidéo à voir sur www.mouslimradio.info.
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islametinfo.fr
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Syrie : Après 5 ans de conflit, les bus de la ville sont à nouveau opérationnels à Alep.
Le système de transports publics d’Alep retrouve peu à peu une activité normale : utilisés comme des boucliers et des barricades lors des combats, les bus martyrs de la ville ont été remis en service après cinq ans d’inactivité.
Reportage vidéo à voir sur www.mouslimradio.info.
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oumma.com
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France : Voter le 23 avril, pour quoi faire ?
Voter le 23 avril, pour quoi faire ? Si les élections servaient vraiment à quelque chose, disait Coluche, il y a longtemps qu’on les aurait interdites. Avant d’aborder les enjeux du futur scrutin, il faut sans doute en passer par cette cure de réalisme. Car, on le sait d’expérience, il n’y a pas grand-chose à espérer des élections, elles ont rarement changé le cours des événements, et elles se résument souvent à un rituel où le peuple s’imagine qu’il a le choix. Cette illusion de la démocratie formelle est entretenue par ceux qui en tirent bénéfice, le simulacre électoral ayant pour principal effet de nous faire prendre des vessies pour des lanternes.
A la limite, le processus électoral pourrait passer pour un acte de souveraineté si les dés du jeu politique n’étaient pas pipés. Il exprimerait la volonté du peuple si cette volonté pouvait se formuler, librement, au terme d’une délibération collective digne de ce nom. On peut toujours rêver qu’il en soit ainsi, mais ce n’est pas le cas. Les médias de masse sont les larbins du capital, le débat démocratique s’apparente aux jeux du cirque et la confrontation des idées est dénaturée par les intrigues politiciennes. Dans ces conditions, la question se pose : faut-il céder, une fois de plus, le 23 avril, au fétichisme du bulletin de vote ?
On dira aussi, à juste titre, que c’est le mouvement populaire, et non le scrutin électoral, qui a arraché les principales avancées collectives qui ont fait de la France un pays doté d’un indice de développement humain élevé. C’est vrai. Sans les grèves massives et les occupations d’usines de 1936 et 1968, la condition des couches populaires serait pire. Sans la démonstration de force de la classe ouvrière organisée, dans ce grand moment fondateur que fut la Libération, nous n’aurions ni sécurité sociale, ni services publics, ni droits des travailleurs.
Or sa puissante volonté de changement, dans ces circonstances historiques, le peuple l’a également manifestée dans les urnes. Avec un PCF à 28%, en 1945, le rapport de forces était favorable. Le patronat collabo rasait les murs, la droite était aux abois, Maurice Thorez était vice-président du conseil et l’ouvrier Ambroise Croizat, ministre communiste, créa la “Sécu”. Présidé par de Gaulle, ce fut le meilleur gouvernement que la France aie connu. Il accomplit les réformes de structure dont le pays avait besoin, ces mêmes réformes qui subissent les assauts des forces réactionnaires depuis un quart de siècle.
En accompagnant le mouvement des masses, il arrive donc que le vote lui donne une traduction politique. On peut toujours vanter les charmes du spontanéisme (il a sa noblesse), on peut dénoncer la mascarade électorale, mais s’abstenir au moment crucial revient à laisser l’adversaire dicter ses conditions. Voter ou ne pas voter, au fond, c’est surtout une affaire de circonstances, de conjoncture politique. La question n’est donc pas : faut-il s’abstenir aux élections ? Elle est plutôt : en s’abstenant le 23 avril, obtiendra-t-on un résultat plus intéressant qu’en allant voter ?
Comme disait Yvon Gattaz, père et prédécesseur de l’actuel président du MEDEF dans les années 70, on ne fait pas la même politique économique et sociale avec un PC à 10% et un PC à 25%. Si nous en doutons parfois, les détenteurs de capitaux, eux, le savent bien. Une élection n’est jamais qu’un moment d’un processus plus vaste, et même si l’essentiel se joue ailleurs, elle contribue à cristalliser un rapport de forces. En appliquant cette maxime patronale à la situation actuelle, on voit bien qu’un vote significatif en faveur de la « France insoumise » ferait peser la balance du bon côté. Car le programme de Jean-Luc Mélenchon, certes, n’a rien de révolutionnaire, sans mouvement social il est voué à l’échec, mais il ouvre des perspectives intéressantes.
A y regarder de près, c’est le seul programme qui entend consolider les défenses immunitaires de ceux qui vivent modestement de leur travail, qu’ils soient ouvriers, employés, artisans, paysans, fonctionnaires, chômeurs ou retraités. Ce n’est pas un programme communiste, loin de là, mais un projet keynésien de gauche, à contenu fortement redistributif, qui associe relance par la demande, investissement public et rétablissement des droits sociaux. Son financement au moyen d’une réforme fiscale audacieuse, à rebours des pratiques libérales, en fait un programme socialement progressiste.
Là où le bât blesse, c’est que ce projet n’est réalisable qu’en dehors de la zone euro, voire de l’UE, et que le candidat ne le dit pas clairement. Selon lui, le plan A consistera à renégocier le contenu des traités européens et on appliquera le plan B (sortie de l’UE) si cette négociation échoue. Or il faudrait parvenir à s’extraire du monde réel pour parier sur le succès d’une telle négociation. Elle supposerait en effet que 26 Etats, subitement, se mettent à satisfaire les demandes françaises. Cette fausse alternative est donc une erreur, car elle brouille le message du candidat et entretient le doute sur ses intentions.
Cette ambiguité est d’autant plus regrettable que Jean-Luc Mélenchon se réclame à juste titre d’un « indépendantisme français » et préconise la rupture de la France avec l’OTAN. Contrairement à MM. Fillon, Macron et Hamon, il prend au sérieux l’héritage gaullien, il milite pour une diplomatie souveraine et stigmatise le suivisme d’un François Hollande qui a mis la France à la remorque des intérêts américains. En refusant de prôner explicitement le Frexit, la « France insoumise », par conséquent, manque de cohérence politique.
Sur ce plan, c’est François Asselineau qui a raison. On ne peut restaurer la souveraineté nationale – condition expresse de la souveraineté populaire – qu’en rompant les amarres avec l’OTAN et avec l’UE. Il faut sortir de l’OTAN, cette machine de guerre dont la raison d’être est de servir les ambitions impérialistes de Washington. Mais il faut aussi rompre avec l’UE, car la fonction de cette instance supranationale est de soustraire la politique économique à la délibération démocratique. Ni plan A, ni plan B. La seule réponse, c’est le Frexit. Et le seul moyen d’y parvenir, c’est le référendum.
Marine Le Pen, dira-t-on, veut aussi restaurer la souveraineté nationale. Mais son programme renoue avec l’ADN droitier du FN dès qu’il s’agit d’expliquer ce qu’on entend faire, une fois au pouvoir, de cette souveraineté rétablie. Son programme n’inclut ni redistribution des revenus, ni nationalisation des banques, ni contrôle des mouvements de capitaux, ni rien qui fâche de près ou de loin les possédants. Le rétablissement du franc ne manque pas de panache, mais ce changement restera purement cosmétique s’il ne s’accompagne de réformes de structure. Mme Le Pen n’en a prévu aucune. Pas plus qu’il ne conteste les hiérarchies sociales, le FN n’entend faire plier les puissances d’argent.
Comme l’expérience l’a montré, le FN prétend défendre les travailleurs, mais il les abandonne en chemin lorsque l’oligarchie s’attaque à leurs droits. Lors des grèves contre la Loi-Travail, Mme Le Pen réclamait l’intervention de la police contre les grévistes. Si elle est élue, le discours à tonalité sociale de Florian Philippot ne résistera pas deux mois. Il est stupide de qualifier ce projet de fasciste. En fait, c’est un projet banalement réactionnaire. On ne peut mener une politique progressiste qu’en sortant de l’UE, c’est vrai. Mais ce n’est pas parce qu’on veut sortir de l’UE qu’on va mener une politique progressiste !
Son discours monomaniaque contre l’immigration, bien sûr, offre au FN une rente de situation électorale. Comme s’il suffisait de mettre fin aux flux migratoires pour créer des emplois, le FN répète cette formule magique comme un mantra. Caresser dans le sens du poil l’islamophobie ou la xénophobie ambiante, toutefois, ne fait pas une politique. On se demande si ses électeurs croient vraiment aux fabuleuses économies que permettrait de réaliser la suppression de la prétendue facture migratoire, tant la ficelle est grosse. Pour séduire l’électorat populaire, en tout cas, le parti a besoin d’entretenir cette mythologie vieille comme le monde.
Du coup, non seulement il oppose les Français entre eux, mais il les berne en leur faisant croire qu’il y a un trésor de guerre, quelque part, dont il suffirait de se saisir. La stratégie du bouc-émissaire, chez Le Pen, est à double emploi. Elle fournit un dérivatif aux hantises et aux frustrations des victimes de la mondialisation. Mais, en même temps, elle masque les incohérences d’un projet qui entend redistribuer aux ouvriers sans toucher aux intérêts des possédants. La mono-causalité immigrée réconcilie tout le monde ! Véritable martingale, elle permettra d’augmenter les salaires tout en baissant les charges, et de financer de nouvelles dépenses régaliennes sans augmenter les impôts sur les riches.
Cette quadrature du cercle lepéniste, au fond, est la figure inversée du cercle carré des eurobéats (Macron, Fillon, Hamon) qui veulent perpétuer à tout prix la tutelle des marchés sur les Etats. Mme Le Pen veut la souveraineté sans la redistribution tout en prétendant le contraire, ce qui est à la fois incohérent et réactionnaire. M. Fillon, lui, ne veut ni la souveraineté ni la redistribution, ce qui est à la fois cohérent et réactionnaire. M. Hamon veut la redistribution mais pas la souveraineté, ce qui est absurde. M. Macron veut tout et son contraire, et d’ailleurs il se moque des programmes. M. Mélenchon veut la redistribution, mais il devra imposer la souveraineté (plan B) pour y parvenir. Car une chose est sûre : les marchés ne lui offriront pas l’opportunité de temporiser.

oumma.com
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Les soldats italiens ne veulent pas aller à la frontière russe.
Dans une interview accordée à Sputnik, Tommaso Longobardi, un des auteurs de la pétition contre l’envoi de soldats italiens à la frontière russe, a expliqué les raisons qui ont incité plus de 20.000 Italiens à s’exprimer sur ce sujet.
Plus de 20 000 Italiens ont signé une pétition afin de protester contre l’envoi de 150 soldats italiens en Lettonie, à la frontière avec la Russie, dans le cadre d’une mission de l’Otan. « Puisque l’envoi de soldats italiens peut être qualifié de provocation contre la Russie, cette action doit être interdite dans un pays qui rejette la guerre dans sa Constitution », indique la pétition.
Tommaso Longobardi, un célèbre blogueur italien et un des auteurs de cette pétition, explique que cette dernière a été lancée pour offrir l’occasion d’exprimer leurs points de vue à des milliers d’Italiens qui considèrent cette décision comme injuste et dangereuse.
« La Constitution [italienne, ndlr] dispose clairement que « l’Italie rejette la guerre comme moyen d’attaque contre la liberté des autres peuples et comme moyen de résoudre les conflits internationaux ». Néanmoins, notre gouvernement se cache derrière l’excuse du “renforcement de la défense des pays d’Europe centrale et orientale membres de l’Alliance”, en utilisant le mot magique de “protection” pour masquer une provocation évidente contre la Russie… »
Cependant, cette pétition n’a pas d’effet juridique, mais elle a une grande importance symbolique, selon Tommaso Longobardi : les gens qui ont signé la pétition appartiennent à différents partis politiques. En la signant, ils expriment leur indignation à l’égard de cette initiative du gouvernement.
Même si les médias italiens n’ont pas réagi à la pétition, il y a plusieurs journaux étrangers qui ont contacté M. Longobardi :
« Je dois les remercier pour m’avoir donné l’occasion de partager l’opinion de milliers d’Italiens avec d’autres pays. C’est pourquoi, je crois que la pétition […] a prouvé que de nombreux Italiens n’étaient pas d’accord avec la décision du gouvernement. »
Tommaso Longobardi explique qu’il ne partage pas l’opinion du leader du Mouvement 5 étoiles Beppe Grillo selon laquelle le gouvernement italien veut « entraîner l’Italie dans une guerre ».
« Il [le gouvernement italien, ndlr] n’a aucune autorité en dehors de l’Italie et c’est pourquoi il est obligé de suivre aveuglement la politique de l’Otan ».
La pétition sera envoyée au président Sergio Mattarella. Pourtant, Tommaso Longobardi ne croit pas que le chef de l’État italien prêtera attention à l’opinion des Italiens.
« Il suffit de rappeler comment, après sa défaite lors du référendum, le Premier ministre Matteo Renzi a promis de quitter l’arène politique, mais, en dépit d’un énorme mécontentement de la population, il continue d’être impliqué dans la politique, comme si de rien n’était. »

Africa24.info
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Bénin : Patrice Talon propose un mandat présidentiel unique et non renouvelable.
On en sait plus sur la réforme constitutionnelle que souhaite introduire le Président Patrice Talon au Bénin. Élu sur la promesse qu’il ne ferait qu’un seul mandat à la tête du Bénin, Patrice Talon s’apprête à proposer une Constitution qui généraliserait ce principe. Un mandat de 5 ans non renouvelable pour le Président de la République, une révolution en Afrique.
Dans une Afrique où les chefs d’État en fonction tentent souvent de s’accrocher au pouvoir, le Président Béninois, Patrice Talon fait figure d’exception. Respecté pour avoir annoncé qu’il ne demeurera au pouvoir que le temps d’un mandat, adulé pour avoir permis à tous les Africains d’entrer au Bénin sans visa, Patrice Talon et son gouvernement surprennent à nouveau.
La nouvelle constitution sur la table du parlement en mars
Le ministre béninois de la Justice, Joseph Djogbénou, vient d’annoncer que la nouvelle Constitution sera soumise au vote de l’Assemblée nationale ce mois-ci. Elle proposera un mandat unique de 5 ans pour le Président de la République. Si cette réforme était adoptée, le Bénin deviendrait le premier pays d’Afrique à disposer d’un mandat présidentiel non renouvelable.
Pendant la campagne qui a précédé son élection, Patrice Talon avait expliqué qu’il croyait qu’une alternance régulière à la tête de l’État favorisait le développement. A contrario l’enracinement au pouvoir faisait le lit du népotisme et du culte de la personnalité disait-il. Dans l’entourage du Président Talon, on affirme que l’adoption de la nouvelle Constitution renforcera durablement la démocratie béninoise et l’érigera en modèle.
Outre l’introduction du mandat unique, le projet de Constitution proposera des réformes institutionnelles notamment celle du système judiciaire et renforcera le rôle des partis politiques. Le ministre Djogbénou a indiqué que le gouvernement va privilégier la voie parlementaire pour adopter la nouvelle Constitution. Selon certaines sources, la voie référendaire aurait été écartée pour gagner du temps et faire l’économie d’un scrutin national.

Africa24.info
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####### Aujourd’hui en Palestine #######
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Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
L’occupation prolonge l’arrestation du représentant de l’Agence turque « Tika » à Gaza
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L’occupation annonce avoir arrêté des cellules militaires du Hamas en Cisjordanie
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Avis et ordres militaires pour confisquer des terres isolées par le mur au nord de Tulkarem
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Les colons s’emparent de 150 oliviers au sud de Naplouse
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Sit-in à Gaza en solidarité avec la députée captive Samira Halaiqa
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350 femmes et filles palestiniennes arrêtées depuis l’Intifada de Jérusalem
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Vallée du Jourdain: Protestations contre les politiques de l’Autorité Palestinienne
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Barka demande de poursuivre les groupes armés aux alentours du camp de Borj al-Barajna
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Un journaliste et une jeune fille parmi six Palestiniens arrêtés en Cisjordanie
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Procès du martyr Bassel al-Araj au tribunal de l’Autorité Palestinienne
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Les avocats suspendent leur travail dans les tribunaux en Cisjordanie
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Efforts intensifs pour résoudre la cause du prisonnier Abou al-Lail
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De nouveau, l’occupation envahit Awarta et arrête un jeune homme de Hawara
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L’état de santé du prisonnier blessé Jihad Hamad est très critique
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Qalqilia: Crise de trafic en raison d’un point de contrôle israélien
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Expansion en cours de la colonie de Gilo à l’ouest de Bethléem
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Le Centre Palestinien D'Information