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Flash info du 19 Cha’ban 1438.

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France : Ce qu’il faut retenir de la matinée où Macron a été investi président.
Une semaine après avoir remporté le second tour de l’élection présidentielle, Emmanuel Macron est devenu officiellement ce dimanche 14 mai 2017 le huitième président de la 5ème République. Il est arrivé à 10h à l’Elysée pour la passation de pouvoir. Après un entretien d’une heure avec François Hollande, hors des micros et des caméras, Emmanuel Macron a raccompagné ce dernier dans la cour d’honneur, jusqu’à sa voiture. Il a ensuite donné son premier discours et ravivé la flamme du soldat inconnu sur les Champs-Elysées.
Reportage vidéo à voir sur www.mouslimradio.info.
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Ce qu’il faut retenir de la matinée où Macron a… par BFMTV
oumma.com
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“Les représentations de l’Autre : identités et altérité”, un livre à mettre entre toutes les mains.
A l’occasion de la parution de l’ouvrage collectif « Les représentations de l’Autre : identités et altérité », riche de sens et d’enseignements, qu’il a publié en collaboration avec 11 chercheurs émérites, français, marocains et sénégalais – chacun d’entre eux ayant apporté son éclairage pertinent et nécessaire sur la question brûlante d’actualité -, Seydi Diamil Niane, doctorant en islamologie à l’Université de Strasbourg et contributeur régulier d’Oumma, dont les analyses et les diatribes sont elles-mêmes très éclairantes, a accepté de répondre à nos questions.
L’ouvrage collectif que vous avez dirigé « Les représentations de l’Autre : identités et altérité » est-il né d’une inquiétude commune et face à quel péril ?
Effectivement, l’ouvrage est né d’une inquiétude que j’ai en voyant les populismes et les idées réactionnaires gagner du terrain de plus en plus en France, mais aussi dans d’autres pays. Pour ce qui est de la France, depuis des années, la question identitaire occupe tout l’espace médiatique. Pour ce faire, les apologistes d’une identité française fantasmée ne cessent de produire et de reproduire des représentations caricaturales des « Autres » dont ils ne veulent pas, en l’occurrence, les étrangers et les musulmans.
C’est pour cela que j’ai fait appel à onze collègues universitaires pour réfléchir ensemble sur la manière dont on représente « l’Autre » à travers nos différentes spécialités. Ils ne partagent pas tous forcément la même inquiétude, sachant que quatre des contributeurs ne vivent pas en Europe et sont face à d’autres problématiques. Mais j’aimerais souligner que huit des onze autres contributeurs sont des jeunes chercheurs qui n’ont pas encore soutenu leurs thèses de doctorat. J’ai voulu montrer que la jeunesse a aussi son mot à dire sur le rapport entre identité et altérité.
Ces regards croisés sur l’Autre, sur l’Altérité et leur perception ont-ils une résonance particulière aujourd’hui et pensez-vous qu’ils feront écho auprès d’un large public ?
Tout à fait. Ils ont une résonance particulière dans la mesure où ils mettent en évidence la complexité de la question de l’identité et de l’altérité. Rappelez-vous tout ce débat sur la colonisation en France. Pour vanter l’identité française, certains vont jusqu’à nier à l’Autre, l’ex-colonisé, toute son histoire. Pour ce faire, certains font fi des millions de morts que la colonisation a causés pour parler d’un soi-disant « partage de culture » et des prétendus « bienfaits de la colonisation. » Du coup, comme on le voit souvent aujourd’hui, penser l’identité, surtout en France, nous oblige à avoir recours à une représentation de l’Autre, souvent décalée de toute réalité historique et scientifique.
Ainsi, je pense que les regards croisés que cet ouvrage propose, pourrait contribuer à l’apaisement du débat qui nous hante depuis des années.
Vous mettez en exergue la célèbre citation de Jean-Paul Sarthe « Si le juif n’existait pas, l’antisémite l’inventerait ». Est-ce à dire que notre identité est conditionnée par l’Autre, le regard qu’il porte sur nous et les préjugés qu’il nourrit ?
Tout à fait. L’exemple de Sarah Zouak que je cite dans l’introduction en est la preuve vivante. Elle dit par exemple : « J’avais 12 ans quand les attentats du 11-septembre ont eu lieu. À l’âge où l’on est en pleine construction, j’apprenais, malgré moi, à demander pardon pour des actes horribles que d’autres commettaient au nom de ma religion.
Avec un peu de recul, j’ai réalisé que ce sont en fait les autres qui m’ont toujours définie. Ce sont ces autres qui, insidieusement, ont nié mon individualité et l’expression de mes multiples identités. Et si je l’ai accepté aussi longtemps, c’est parce que j’avais bien compris que c’était ce que la société attendait de moi. »
Mais comme je le montre juste après, Sarah a pu dépasser la manière dont les autres la définissaient pour retrouver sa propre individualité. Mais tout le monde est-il capable de faire comme elle ?
A la lumière du chapitre intitulé « Juifs et Chrétiens dans le Coran et la tradition musulmane », pouvez-vous nous dire quelle est la perception coranique des autres Gens du Livre ?
Il s’agit d’un article de Musa-Philippe Belfort. Il met en évidence les points de divergence et de convergence entre les chrétiens, les juifs et les musulmans. Il rappelle aussi que les musulmans croient aux livres révélés, y compris la Bible hébraïque et le Nouveau Testament, et analyse le statut de ce que les textes classiques appelaient les Gens du Livre (Ahl al-kitāb) qui pouvaient vivre dans l’empire musulman (qui relève plus de l’histoire que de la religion), moyennant une taxe appelée jizya. Cela leur donnait le droit à la protection du pouvoir en place, à la liberté de religion, et ils ne se battaient pas à côté des musulmans.
« Vivre l’altérité, quand on est citoyen français et musulman », le dernier chapitre de votre ouvrage, est-ce une gageure ou un défi libérateur ?
« Vivre l’altérité, quand on est citoyen français et musulman », est la contribution de Jamel El Hamri de l’Académie française de la pensée islamique. En vérité, je pense que ce sont les deux en même temps. Il se questionne sur la manière dont celui qui est musulman et en même temps Français pourrait « vivre sereinement ces deux identités sans se sentir soi-même altérité. » Cela nécessite de réhabiliter l’esprit du pluralisme dans le contexte islamique et de s’ouvrir aux autres qui ne sont pas de la même religion.
Pour que vos lecteurs puissent avoir une idée de ce à quoi nous appelle Jamel El Hamri, je pense que ce passage de sa contribution pourra les aider : « Aucun musulman ne remettra en cause les Textes scripturaires de l’islam. Il est donc plus facile, pour un adepte de l’islam, de jeter l’anathème sur l’altérité religieuse que de remettre en question sa propre intériorité. On va même jusqu’à utiliser deux types de chantage pour contrer deux idées fondatrices de l’islam : unité et diversité des hommes. Le premier est le chantage à la division dès lors qu’une voix différente s’élève. Le second est le chantage à l’uniformisation saupoudrée de culpabilisation religieuse au nom d’une unité de façade. Les institutions de l’islam de France (CFCM et mosquées) ne dérogent pas à la règle. Traversées par de multiples sensibilités (soufis, salafis, islam populaire, chiite, islam politique, islam culturel etc…), elles n’ont pas encore créé les conditions éthiques pour assumer leur diversité. Dès lors, toutes ces sensibilités ont le sentiment d’être le juste milieu de la communauté musulmane renvoyant les autres à la marge, s’arrogeant le droit même, parfois, d’excommunier d’autres sensibilités. L’éthique du pluralisme est pour l’islam de France une nécessité impérieuse.
Elle l’est également pour la société française. Lorsqu’on parle d’altérité en France, beaucoup parmi nos élites politiques et médiatiques pointent souvent du doigt l’islam, une religion et une culture qui seraient, à les entendre, insolubles au sein de la République. De même, dès lors que l’on s’exprime sur l’islam, on a tendance à l’essentialiser au point de lui retirer toute forme d’altérité qui caractérise cette religion. L’islam de France serait vu comme un bloc monolithique composé d’adhérents pensant et agissant comme un seul homme. Malheureusement, de nombreux français de confession musulmane, intériorisant ce préjugé, ont tendance à s’auto-essentialiser pour se faire entendre dans le débat public. Ils peuvent user du langage victimaire, et tout en se plaignant à juste titre d’être stigmatisés, n’hésitent pas eux-mêmes à marginaliser certaines sensibilités minoritaires de l’islam de France. »
La contribution de Jamel donne des pistes intéressantes pour que ces deux clivages puissent être dépassés.
Pensez-vous que votre ouvrage parviendra à changer les regards sur l’Altérité et à démentir la fameuse et perverse théorie du choc des civilisations ?
Je pense que ce qui nous menace n’est pas le choc des civilisations dans la mesure où il n’y en a qu’une seule : la civilisation humaine. En revanche, le choc des ignorances est palpable de nos jours. Nous ne nous connaissons pas, mais en même temps nous ne cessons de représenter l’Autre et de le figer. Je pense que le moment est venu pour qu’on passe de ce choc des ignorances à la coexistence active, qui ne sera possible que si nous apprenons déjà à nous connaître. Et j’espère que cet ouvrage collectif pourra au moins donner quelques pistes de réflexion.
Propos recueillis par la rédaction d’Oumma.
Paru chez l’Harmattan, le livre « Les représentations de l’Autre : identités et altérité » est assurément à mettre entre toutes les mains.
oumma.com
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En Egypte, l’inflation atteint des niveaux records : 31,5% sur un an.
En Egypte, l’inflation atteint des niveaux records : 31,5% sur un an, du jamais vu en plus de trois décennies. Les prix explosent depuis que la Banque centrale egyptienne a laissé flotter sa devise, la livre, en novembre dernier. C’était une exigence du Fonds monétaire international (FMI) pour l’attribution d’un “prêt de 11 milliards d’euros sur trois ans
Reportage vidéo à voir sur www.mouslimradio.info.
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oumma.com
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France : Des mosquées de la République.
Une mosquée de la République ? C’est un bâtiment qui ressemble à s’y méprendre à une mosquée, mais qui n’en est finalement plus vraiment une. Certes, des âmes y viennent encore y prier Allah, le Coran y est encore récité, mais le tout en un cadre curieusement bien syncrétique. Ce syncrétisme qu’est cet Islam de France dont seuls ceux qui craignent autre qu’Allah semblent être épris. Un Islam christique, soumis à l’État, et à ses décisions et réformes conciliaires. Un Islam partiel, répondant aux critères des laïcs, dépolitisé et réduit à sa seule dimension spirituelle et individuelle.
Ces mosquées de la République ont évidemment leurs imams et cadres. Souvent des étrangers ayant fuit le « bled », conquis par la France libérale et ses avancés sociales. Le postérieur entre deux chaises, ils sont typiquement les proies les plus à même de céder aux pressions d’une administration française des plus enquiquinantes. Adeptes du perpétuel compromis, ces « représentants » offrent sur un plateau d’argent le blanc-seing nécessaire à la croisade laïque qui se trame en nos murs. Ils écoutent, acquiescent et font. En dépit pourtant d’une loi encore de leur côté.
Bientôt des prêches rédigés ou commandés par l’État ? C’est déjà presque le cas. À Béziers, Robert Ménard avait ainsi réussi à faire signer à des mosquées locales une charte rédigée par ses soins. Ouvrages et propos de savants « wahabites » interdits, non promotion de « textes et livres appelant au jihad et réclamant la peine de mort pour les apostats, les athées ou les homosexuels ». Liberticide et en totale contradiction avec la loi, mais pas pour tous. « J’ai trouvé que le contenu de cette charte était conforme aux prescriptions sacrées de l’islam (…) pour moi, ce document est une preuve de la confiance que l’on peut nous accorder » avait ainsi tenu à préciser le responsable d’une des mosquées signataires…
Récemment, c’est la mosquée de Stains qui s’est vu remettre sur le « bon chemin ». Fermée sous l’état d’urgence, elle a été ré-ouverte, car remplissant désormais les conditions nécessaires. L’imam « salafiste » renvoyé, les membres de la mosquée se sont engagés à y faire le ménage. Parmi les prérogatives : « la création d’une équipe de vigilance » avec « pour mission d’alerter sur d’éventuels comportements contraires aux valeurs de la République ». La mosquée s’engage aussi à ouvertement condamner les messages à caractère radical, et à travailler à des « contre-discours ». L’association en question avait elle-même « proposée les garanties dévoilées aujourd’hui dès le mois de janvier ».
L’objectif de cette guerre idéologique que mène le pouvoir en nos mosquées est clair : c’est le contrôle total du culte musulman et à terme, logique, l’apostasie lente et finaude de ses sujets. Et ceci avec la bénédiction de ces preneurs d’otages de minbars que sont certains de ces représentants. De ces gens, de leurs mosquées de la République, nous n’en voulons pas. Discuter, échanger, condamner ce qu’il y a à condamner ; ceci peut se faire sans se coucher à plat ventre et sourire face au mépris. Mais pour cela faudrait-il avoir encore un brin de fierté et de confiance en Allah..
L’islam est universel, il est en France et ailleurs, mais nul de France ou d’ailleurs. Marianne, ôte tes mains de là, les mosquées ne sont pas à la République, elles sont à Allah!
desdomesetdesminarets.fr
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####### Aujourd’hui en Palestine #######
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Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
Des colons profanent la mosquée al-Aqsa
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Des dizaines de colons extrémistes ont pris le dimanche d’assaut la mosquée al-Aqsa, et l’ont profanée à travers de la porte des Maghrébins, sous la protection des forces spéciales et la police israéliennes.
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Zahar: Nous ne renoncerons pas à un pouce de notre terre et le Hamas n’abandonnera plus son arme
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Le prisonnier Ahmed Saadat est transféré de la prison d’Ashkelon à celle d’Ohlikdar
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Mort du fondateur du mouvement islamique à l’intérieur, Cheikh Abdullah Darwish
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Naplouse termine les préparations de la 69ème commémoration de la Nakba
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Des protestations de masse des commerçants au passage de Jalama en raison des procédures de transit
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Fermeture des entrées de Ramallah pour protester contre la faible solidarité avec les prisonniers
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Un jeune arrêté et d’autres blessés dans des affrontements au camp de Jénine
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Un policier israélien renverse un enfant palestinien à Jérusalem occupée
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Le Comité de la grève: Pas de négociations officielles avec les prisonniers
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Les familles des prisonniers de Jénine avertissent de la détérioration de la situation de leurs fils
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L’occupation arrête une jeune palestinienne près de la mosquée d’Ibrahimi à Hébron
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Mort d’un jordanien après avoir poignardé un soldat sioniste à Jérusalem
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Une île artificielle à Gaza, proposition israélienne pour Trump
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Un projet de loi sioniste veut empêcher les procès au nom des Palestiniens
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La sécurité de l’Autorité Palestinienne remet à l’occupation deux colons infiltrés à Naplouse
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information

Flash info du 18 Cha’ban 1438.

Flash info du 18 Cha’ban 1438.
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La lecture du Coran et ses mérites.
Nous avons à notre disposition la Parole Sacrée de Notre Seigneur. Malheureusement, un bon nombre d’entre nous n’en profite pas assez. Nous devrions pourtant lire le Coran et l’apprendre tant que nous le pouvons. En ce mois béni de Ramadan, nous allons expliquer la manière dont nous devons lire la Parole d’Allah avant d’énumérer les mérites de cette lecture incha Allah.
Comment lire le Coran ?
Le Coran étant la Parole de Notre Seigneur, nous devons adopter un comportement décent envers lui. Ainsi, il convient de le lire dans un état de purification. De même, nous devons nous tenir de manière correcte en le lisant et ne pas adopter une posture irrespectueuse.
De plus, nous ne devons pas nous empresser de finir notre lecture mais au contraire, nous devons prendre notre temps afin de saisir le sens de la Parole Divine. À ce sujet, le Messager d’Allah (‘alayhi salat wa salam) a dit : « Celui qui lit le Coran en moins de trois jours, ne peut en saisir le sens.» Ainsi, les compagnons du Prophète (‘alayhoum salam) achevaient la lecture du Coran en une semaine, comme il (‘alayhi salat wa salam) l’avait conseillé à ‘Abdallah ibn ‘Umar. Ne nous hâtons donc pas de terminer sa lecture.
Par ailleurs, lorsque nous lisons le Coran nous devons embellir notre voix. Cela nous a été conseillé par le Messager d’Allah (‘alayhi salat wa salam) qui dit : « Embellissez la lecture du Coran par vos voix. Celui qui ne module pas le Coran, ne lit pas comme nous. Rien n’est plus agréable à Dieu que d’écouter un prophète psalmodier l’Ecriture sainte. »
Enfin, nous devons lire le Coran en méditant sur son sens et en prenant conscience de la Grandeur d’Allah. Nous devons respecter le Coran, méditer sur son sens et nous interroger sur notre foi. La lecture du Coran devrait ainsi augmenter la crainte que nous éprouvons envers Notre Créateur. En ce sens, Abu Noun a dit : « Les promesses et les menaces du Coran ont empêché les yeux de ceux qui le lisent de se fermer. Ils ont si bien compris la parole de Dieu Majestueux qu’ils baissent la tête d’humiliation et de soumission. »
Quels sont les mérites de la lecture du Coran ?
Les mérites de la lecture du Coran sont nombreux macha Allah. Parmi ces mérites, Allah a permis au Coran d’intercéder en notre faveur au jour du Jugement Dernier. En effet, notre Noble Prophète (‘alayhi salat wa salam) a dit dans un hadith rapporté par Muslim : « Lisez le Coran ! Le jour de la résurrection, il viendra intercéder en faveur de celui qui le récite. » Macha Allah ! De plus, Al-Nawas ibn Sama’n (qu’Allah l’agrée) a dit : « J’ai entendu le Messager de Dieu (‘alayhi salat wa salam) dire : » Au jour de la résurrection, on présentera le Coran et on fera venir ceux qui ont mis en exécution ses prescriptions, où les deux sourates « la vache » et « la famille de Imran », formeront un argument en faveur de ceux qui les ont récitées (et ceux qui les ont appliquées). » » (Rapporté par Muslim).
Nous espérerons tous ce jour-là que quelqu’un intercède en notre faveur et voilà que le Coran intercédera en faveur de ceux qui l’ont lu et appliqué SobhanAllah ! De même, le Messager d’Allah (‘alayhi salat wa salam) a dit : « Le jeûne et le Coran intercéderont pour le serviteur le jour du jugement ; le jeûne dira : Seigneur! Je l’ai empêché de manger et d’assouvir ses envies, donc permets-moi d’intercéder en sa faveur ; et le Coran dira : je l’ai empêché de dormir la nuit, donc permets-moi d’intercéder en sa faveur ; ils intercéderont alors en sa faveur. » Ce hadith est rapporté par Ahmed et At-Tabarani. Il souligne le fait que le Coran intercédera en notre faveur au jour de la résurrection macha Allah ! Lisons la Parole d’Allah pour que Celle-ci nous soit bénéfique le jour où nous serons tous rassemblés devant Notre Créateur.
De plus, celui qui lit le Coran fait partie des amis d’Allah et de Ses élus . Qu’espérer de mieux ? Nassaï (qu’Allah l’agrée) rapporte que le Messager d’Allah (‘alayhi salat wa salam) a dit : « Les adeptes du Coran sont les élus de Dieu et Ses amis privilégiés. » Quel merveilleux mérite ! Nous pouvons devenir les amis privilégiés de Notre Seigneur par la lecture du Coran ! Par ailleurs, lorsque nous étudions le Coran et lorsque nous l’enseignons, nous faisons partie des meilleurs des hommes. Cela a été rapporté par Al Boukhari. L’Envoyé d’Allah (‘alayhi salat wa salam) a dit : « Le meilleur d’entre vous est celui qui a étudié le Coran ainsi que celui qui l’enseigne. »
De même, la lecture du Coran nous élèvera dans l’au delà incha Allah. À ce sujet, Omar ibn Al-Khattab (qu’Allah l’agrée) a dit dans un hadith rapporté par Muslim : « Le Messager de Dieu (‘alayhi salat wa salam) a dit : « Grâce à ce Livre, Dieu élèvera des gens et abaissera d’autres. » ». De même, ‘Abdullah ben Amr ben Al- ‘As (qu’Allah l’agrée) a dit dans un hadith rapporté par Abu Daoud et Al Tirmidhy : « Le Prophète Mohamed (‘alayhi salat wa salam) a dit : » On dira, le Jour de la Résurrection, à celui qui récitait le Coran :
« Récite et monte comme tu récitais en psalmodiant dans le bas monde, car ta place sera là où tu réciteras le dernier verset que tu connaisses ». » » La lecture du Coran nous permettra d’accéder au Paradis incha Allah et mieux encore, sa récitation nous fera accéder aux plus hauts degrés (selon la quantité de versets que l’on connaît). Macha Allah il n’y a pas de Demeure plus parfaite que les Jardins du délice. Nous pouvons y pénétrer par la lecture du Coran ! Qu’espérer de plus que ce mérite macha Allah ?!
Enfin, la lecture du Coran nous apporte une récompense, même si nous le lisons avec difficultés. À ce sujet, ‘Aisha (qu’Allah soit satisfait d’elle) a dit dans un hadith rapporté par Al Boukhari et Muslim : » Le Messager de Dieu (‘alayhi salat wa salam) a dit : » Celui qui récite le Coran avec habilité sera avec les anges scribes purs et nobles. Et celui qui récite le Coran avec difficultés, aura deux récompenses. » » Allah est Miséricordieux ! Il nous récompensera pour avoir lu Sa Parole au lieu de nous adonner aux tentations de la vie d’ici bas. De plus, Ibn Massoud (qu’Allah l’agrée) a dit dans un hadith rapporté par Al Tirmidhy : « Le Messager de Dieu (‘alayhi salat wa salam) a dit : « Celui qui récite une lettre du Livre de Dieu aura une bonne action qui sera décuplée. Je ne dis pas que « Alif, Lam, Mim », est une lettre mais « Alif », est une lettre, « Lam » est une lettre et « Mim » est une lettre. » » Quelle meilleure récompense que Celle de Notre Créateur, Seigneur des cieux et de la terre ? Lisons le Coran tant que nous pouvons encore le faire ! Profitons de ce mois sacré pour lire La Parole Divine incha Allah !
Qu’Allah nous facilite la lecture et l’apprentissage du Saint Coran. Puisse-t-Il nous accorder Sa récompense en ce mois béni de Ramadan.
AJIB.FR
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Les personnages historiques de l’Islam : Khadija bint Khuwaylid.
Nous allons découvrir le portrait de Khadija (radiya Allahu ‘anha), une femme hors du commun, dont le prophète Mohammed (salallahu ‘alayhi wa sallam) dira « ..la meilleure des femmes de ma communauté a été ma première épouse… ». Une grande femme d’abord de par sa naissance et son métier, mais également une femme qui ne quittera jamais son mari, et qui le soutiendra envers et contre tout.
Khadija, grande commerçante Mecquoise.
Khadija bint Khuwaylid appartenait à la grande tribu Mecquoise des Banu Assad, une branche des Quoraychs. Son oncle, Waraqa ibn Nawfal, était chrétien. C’était un vieil homme apprécié de tous, ayant une grande connaissance des religions et des prophètes passés.
Lorsque les hadiths commencent à parler de Khadija, elle avait 40 ans et était déjà veuve deux fois. On la qualifiait comme étant une très belle femme. Elle aurait eu trois enfants de ses deux premiers mariages, dont un garçon qui fera parti des premiers musulmans, et qui mourra lors de la bataille du chameau sous le califat de ‘Ali. Très riche commerçante, elle avait pour habitude de conclure des affaires avec les hommes de son milieu. On dit que de puissants notables souhaitaient se marier avec elle. Mais elle préférait continuer de travailler, jusqu’au jour où Mohammed (salallahu ‘alayhi wa sallam) apparût dans sa vie. Il était alors très jeune. Un homme de 25 ans, n’ayant pas encore reçu la révélation divine. Il prenait grand soin d’aider son oncle Abu talib, afin de subvenir aux besoins de sa famille. La vie était alors très dure. Abu Talib conseilla à Mohammed (salallahu ‘alayhi wa sallam) de traiter ses affaires convenablement avec cette riche commerçante.
Cette dernière a alors décidé de faire appel à celui qui deviendra notre Prophète, afin de conduire ses caravanes marchandes vers la Syrie. Après quelques temps, Khadija avoua à son amie et confidente Nufaysa bint Muniyah, son Amour pour Mohammed (SAWS). Elle avait remarqué une certaine sagesse encrée en lui, et lui accorda sa totale confiance. Khadija décida alors de le demander en mariage. Il hésita dans un premier temps, du fait de ses moyens modestes, mais Nafaysa réussit à le convaincre. Les oncles de part et d’autre se réunirent alors, et la date du mariage entre Khadija et Mohammed (SAWS) fût fixée. Certains hadiths rapportent qu’il y eut de nombreux invités lors de la célébration de leur mariage. Puis le couple s’en alla vivre chez Abu Talib. Le couple vécu heureux et donna naissance à six enfants : deux garçons, Qassim et Abdullah, et quatre filles, Zaynab Ruqiya oum Kalthoum et Fatima. Les garçons moururent en bas âge…
Khadija, la première convertie à l’Islam.
Nous sommes encore à une époque où l’idolâtrie règne. La Kaaba accueille toutes les tribus possibles et imaginables pour le pèlerinage annuel. Des rituels polythéistes prospèrent depuis des centaines d’années.
Quinze années se sont écoulées après l’union de Khadija et Mohammed (SAWS). La vie du couple va alors se transformer. Le calme et la paix qu’ont connu Khadija et Mohammed (SAWS) vont faire place aux souffrances qu’ils allaient devoir affronter à Mecqua… Khadija s’était habituée à voir son mari se rendre régulièrement à la grotte de Hira. Il aimait s’éloigner des gens pour s’isoler. Il s’abandonnait à la reflexion sur le monde. Puis, la première révélation de Dieu à Mohammed se manifesta. D’abord dans la grotte, puis chez lui. Mohammed (SAWS) connaitra alors des périodes difficiles. Il se demanda s’il n’avait pas à faire aux démons qui venaient perturber son sommeil. Il alla même jusqu’à douter de ses facultés intellectuelles. Ce sera le début d’une longue patience et d’un soutien inébranlable de la part de Khadija à notre Prophète. C’est elle qui sera présente lorsque Jibril (l’ange Gabriel) apparaitra à son mari. Mohammed lui faisait part de sa peur et n’hésitait pas à poser sa tête sur les genoux de son épouse afin de se calmer. Khadija entreprendra des démarches chez son oncle, Waraqa ibn Nawfal, afin d’essayer de comprendre la signification de ces manifestations surnaturelles.
Beaucoup de hadiths soulignent le bon sens de cette femme. Très vite elle comprendra qu’il ne s’agissait pas d’œuvres sataniques. Elle tente dans un premier temps l’expérience de retirer son foulard lorsque son époux lui signala la présence de Jibril. Seul Mohammed pouvait le voir, et Jibril disparût immédiatement. Khadija en conclût que seul une personne pudique ne pouvait la regarder sans son hijab. Elle su alors apaiser les angoisses du Prophète et l’encouragera jusqu’au bout. Elle apportera réconfort à son mari, mais aussi une aide matérielle précieuse à la communauté, lorsqu’elle suivra le nouveau chemin dont Mohammed est le guide. Elle le poussera à mener sa tâche de Messager correctement.
Al Boukhari rapporte que Khadija dit un jour à son mari : « N’aies pas peur, Dieu ne te mettra jamais à mal, Dieu ne te fera que du bien car tu aides tes proches, tu soutiens ta famille, tu gagnes honnêtement ta vie, tu maintiens les autres dans la droiture, tu donnes asile aux orphelins, tu dis la vérité, tu ne t’appropries pas frauduleusement les dépôts, tu secours ceux qui n’ont rien, tu fais du bien aux pauvres et tu traites tout le monde avec courtoisie ».
Aussitôt que la révélation débuta, Khadija devint la première femme (mais également le premier Homme) à embrasser l’islam. Elle prononcera la shahada et fera ses prières aux côtés du Prophète (SAWS). Elle affrontera la méchanceté et la haine des gens du livre et des polythéistes. Elle suivra son mari jusqu’au bout, même en exil dans le désert. Elle mourra d’ailleurs au 10ème jour du mois du Ramadan de l’année 620, c’est-à-dire trois ans avant l’hégire. Mohammed (SAWS) l’enterrera lui même et ne se remettra jamais de son absence.
Le Prophète après la mort de Khadija.
Khadija restera à jamais dans la mémoire du Prophète (SAWS), puisque même après sa mort, Aïcha (radiya Allahu anha), la seconde femme du Prophète, nous apprend qu’il continuait à partager ses biens avec les amis de Khadija, par exemple lorsqu’il sacrifiait un mouton. Aicha en était très jalouse. Elle ressentait que Khadija avait une place bien particulière dans le cœur du messager d’Allah, puisqu’un jour il lui dira selon des hadiths :
« Par Allah (Khadija) a cru en moi lorsque les gens se montraient impies. Elle a tenu pour vrai ce que je disais au moment où les gens me traitaient de menteur. Elle m’a secouru avec ses biens quand les gens m’en privaient. Elle a été la femme qui m’a donné un garçon ».
Et parce que le prophète pensait tant à Khadija après sa mort, Jibril viendra le rassurer pour lui annoncer que Khadija avait une maison de Nacre au Paradis, troublée d’aucun bruit. Une autre version rapporte qu’il s’agit d’une maison d’où seraient exclues la fatigue et les cris. Qu’Allah soit satisfait de notre mère Khadija.
A travers ce second exemple de femmes exceptionnelles dans l’Islam, après Maryam puis Khadija, nous ne pouvons que méditer et prendre exemple. Les souffrances causées par la méchanceté des individus ne peuvent que perfectionner notre adoration en notre Créateur. Le seul qui garantit un avenir certain dans l’au-delà.
AJIB.FR
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Palestine : Les prisonniers en grève de la faim ont perdu entre 15 et 25 kg, et sont en danger.
Au 25ème jour de leur grève de la faim, l’état de santé des prisonniers palestiniens est très alarmant. Certains vomissent du sang et il leur est toujours refusé d’être soignés par des médecins indépendants, alors qu’ils n’ont aucune confiance dans ceux qui officient dans les dispensaires, à l’intérieur des prisons.
L’administration pénitentiaire exerce un odieux chantage sur ceux qui nécessitent des soins, en plaçant, comme dans la prison de Kziot, de la nourriture dans leurs cellules et en leur diminuant les rations d’eau pour qu’ils cessent leur grève de la faim.
Ils privent également les prisonniers d’eau froide et leur servent de l’eau chaude, malgré la chaleur.
Le confinement solitaire se poursuit et les petites fenêtres des cellules ont été recouvertes de manière à ne pas laisser passer la lumière du jour, un supplice sadique supplémentaire entraînant une perte sensorielle.
Sans compter toutes les autres brimades : amendes quand les grévistes de la faim ne se lèvent pas au moment de l’appel dans leur cellule, confiscation des effets personnels, privation de sel, et poursuite des transferts épuisants..
Le CICR a rendu sa première visite à Marwan Barghouti jeudi, mais n’a rien voulu dire de son état de santé, se contentant de transmettre à sa femme Fadwa que son mari l’embrassait. Merci la Croix Rouge Internationale !
oumma.com
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Belgique : Jamal Saleh Momenah n’est plus le directeur du Centre Islamique et Culturel de Belgique.
Jamal Saleh Momenah n’est plus le directeur du Centre Islamique et Culturel de Belgique. Il a été remplacé par Tamer Abou el Saod.
Jamal Saleh Momenah a mis un terme à ses activités à la tête du Centre Islamique et Culturel de Belgique, le 28 mars 2017, a appris le journal dans le Moniteur. Selon le Centre Islamique et Culturel de Belgique, le départ de Jamal Saleh Momenah n’est toutefois pas lié à son témoignage devant les parlementaires. Son contrat arrivait à son terme.
La Ligue islamique mondiale (dirigée depuis l’Arabie saoudite ) a cherché et trouvé quelqu’un d’autre », y indique-t-on.
actualiteislamiquedebelgique.com
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####### Aujourd’hui en Palestine #######
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Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
Mort d’un jordanien après avoir poignardé un soldat sioniste à Jérusalem
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Un citoyen jordanien a été tué par les forces d’occupation israéliennes, samedi après-midi, après qu’il a poignardé un policier israélien à la région de la porte de Silsila, à la vieille ville de Jérusalem.
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Une île artificielle à Gaza, proposition israélienne pour Trump
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Un projet de loi sioniste veut empêcher les procès au nom des Palestiniens
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La sécurité de l’Autorité Palestinienne remet à l’occupation deux colons infiltrés à Naplouse
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Grève générale à Salfit pour la mort du jeune Sabaa Obeid
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Le Hamas rend hommage aux familles des martyrs à Gaza
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Bahar: 3 victoires remportées par la résistance en une semaine
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Sit-in à Istanbul par solidarité avec les prisonniers palestiniens en grève
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Le mouvement Amal rencontre une délégation du Hamas au Liban
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Sheikh Sabri salue les recommandations du Forum International sur les awqafs d’Al-Quds
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Qaraqea: Israël veut discuter des demandes des prisonniers grévistes
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Le prédicateur d’al-Aqsa appelle à l’expansion de la solidarité avec les prisonniers grévistes
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Cisjordanie : Un mort et des dizaines de blessés dans les marches pour les prisonniers
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26ème jour de grève de la Dignité
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L’occupation accuse un Palestinien d’avoir tué une israélienne à Jérusalem
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L’occupation cible des pêcheurs dans le nord de Gaza
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information