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Flash info pour le Lundi 1er Rabi At-thani 1442, sur MouslimRadio.

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Le Centre Palestinien D'Information
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Assalam aleykoum,

Nous sommes le Lundi 1er Rabi At’sèni 1442.

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information..
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Tension dans la prison de Shata suite à l’envahissement des forces pénitentiaires.
Le bureau d’information des détenus palestiniens a indiqué que la situation dans la prison de Shata est très tendue suite à l’envahissement des forces de répression connues sous le nom de Matsada aux cellules des détenus et la confiscation de leurs affaires.

Le gouvernement israélien ratifie l’accord de normalisation avec le Bahreïn.
Le gouvernement israélien a ratifié ce dimanche l’accord de normalisation avec le royaume de Bahreïn stipulant le maintien des relations diplomatiques entre les deux pays.

Des cas d’asphyxie au gaz à l’ouest de Ramallah.
Un certain nombre de travailleurs ont été asphyxiés dimanche alors qu’ils inhalaient des gaz lacrymogènes tirés par les forces d’occupation israéliennes près du village d’Al-Médéa, à l’ouest de Ramallah.

Des dizaines de colons prennent d’assaut Al-Aqsa.
Des dizaines de colons ont pris d’assaut les cours de la mosquée Al-Aqsa dimanche matin et effectué des visites provocatrices sous la protection des soldats israéliens.

Une décision de fermer la ville de « Tal » en raison du nombre élevé de cas du « Coronavirus ».
Le gouverneur de Naplouse, le général ibrahim Ramadan, a décidé dimanche de fermer la ville de Tel en raison du nombre élevé de personnes infectées par le coronavirus.

Ministère de la Santé: 7 décès et 976 nouveaux cas de Coronavirus.
Aujourd’hui, dimanche, le ministre de la Santé, Mai Al-Kaila, a annoncé que 7 décès et 976 nouveaux cas de «coronavirus» ont été enregistrés (dont 112 à Jérusalem dans les trois jours), et 585 cas de rétablissement, au cours des dernières 24 heures.

Hamas: la coopération émiratie avec les représentants de la colonisation en Cisjordanie renforce le plan d’annexion.
Le mouvement de résistance islamique « Hamas » a déclaré que recevoir le chef du Conseil sioniste des colonies sionistes en Cisjordanie, conclure des accords économiques avec les EAU constituait un réel soutien aux activités de colonisation en Cisjordanie occupée.

Des colons attaquent des agriculteurs à l’est de Yatta.
Aujourd’hui, dimanche, un groupe de colons extrémistes a attaqué des agriculteurs de la région d’Al-Tha`la, à l’est de Yatta, au sud du gouvernorat d’Hébron, et les a empêchés d’accéder à leurs terres.

Des offres israéliennes pour construire 1257 unités coloniales au sud de Jérusalem.
L’Autorité israélienne de la planification et des terres a lancé des offres pour la construction de 1257 nouvelles unités coloniales, dans la colonie de «Givat Hamatos», au sud de Jérusalem occupée.

Mechaal: le martyr Al-Ja’bari était un symbole de conscience incluant le djihad, la politique et le foi.
L’ancien chef du bureau politique du Hamas, Khaled Meshaal, a affirmé que l’ancien commandant en chef adjoint des Brigades Al-Qassam, le martyr Ahmed Al-Ja’bari, était un véritable chef, un visionnaire, qui dirigeait, bougeait, faisait bouger ses frères et les hébergeait.

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Aujourd’hui en Algérie, sur algerie-eco.com, le journal d’information indépendant, voici les titres.
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Coronavirus : 860 nouveaux cas recensés en Algérie.

Le bilan quotidien des contaminations au Coronavirus en Algérie reste toujours élevé. Ce dimanche le ministère de la santé a enregistré la contamination de 860 nouveaux cas et le décès de 15 personnes en seulement 24 heures.

Avec le nouveau bilan le nombre total des cas confirmés dans le pays passe ainsi à 67 679 et celui des décès a atteint 2154 morts depuis le début de la pandémie dans le pays a indiqué ce dimanche à Alger le porte-parole du comité scientifique chargé du suivi de l’évolution de la pandémie du coronavirus en Algérie, le Dr Djamel Fourar.

S’exprimant lors du point de presse quotidien consacré à l’évolution de la pandémie, Dr Fourar a précisé que le nombre de personnes guéries a atteint 44633 patients, dont 434 au cours des dernières 24 heures.

Pr Rachid Belhadj: Le CHU Mustapha a enregistré hier 11 décès liés au Coronavirus.

Le CHU de Mustapha, enregistre une hausse des hospitalisations pour cause de Coronavirus, mais aussi une hausse dans le nombre des décès. Rien qu’hier, le 14 novembre, 11 décès ont été recensés au sein de ce CHU.

« Nous assistons depuis plus d’une semaine à une forte demande au niveau des hospitalisations notamment en réanimation, suite à la hausse de la virulence du virus donnant plus de contaminations et de cas grave » a déclaré à la radio le professeur Rachid Belhadj, directeur des activités médicales et paramédicales au CHU Mustapha Bacha. « Nous avons enregistré aussi une hausse de la demande pour l’oxygène », le fait que « la majorité des cas hospitalisés nécessite de l’oxygène » a-t-il indiqué.

Ce qui est encore inquiétant selon le Pr Belhadj, est la hausse du nombre de décès, « ce qui nous impose à adopter d’autres stratégies » a-t-il souligné. « Rien que pour la journée d’hier le 14 novembre, nous avons enregistré 11 cas de décès au CHU de Mustapha Bacha » a-t-il affirmé.

S’agissant des cas de contamination, le professeur a indiqué que les personnes âgées sont les plus touchées, mais aussi le personnel médical qui est fortement exposé au risque de virus. « Nous avons entre 20 à 30 cas du personnel médical contaminées par jour » a-t-il encore affirmé, mais ça « reste des contaminations extrahospitalier ». Ce qui pénalise davantage l’effectif médical qui est déjà sous la pression.

Face à cette situation, le Professeur Belhadj a appelé la population à faire plus attention pour ne pas augmenter les contaminations, face à cette pandémie qui risque d’être « constante dans le temps et menaçante vis-à-vis des personnes » qui nous entourent. Le professeur a suggéré à ce que l’Etat reste à l’écoute du personnel médical et à l’assister, jusqu’à ce qu’on arrive à faire face à cette pandémie qui est unique et inquiétante.

Fawzi Derrar : « Le scanner n’est pas efficace pour diagnostiquer le Coronavirus en hiver ».

L’utilisation des scanners peut ne pas être efficace en hiver pour diagnostiquer le coronavirus, a affirmé ce matin le Dr de Fawzi Derrar, directeur de l’institut Pasteur d’Alger.

Selon ses explications lors de son passage sur la radio ce dimanche, le Dr Derrar a indiqué que le diagnostic par scanner donne les mêmes résultats que celui d’autres maladies.

L’invité de la radio a souligné aussi qu’il existe un nouveau modèle de tests de la PCR plus efficace pour la détection de la COVID-19, et l’Algérie recevra 10 000 unités dans les prochains jours.

Par ailleurs, le directeur de l’institut pasteur a souligné que l’Algérie traverse une deuxième vague et le nombre de cas risque de connaitre une hausse notamment avec la période hivernale, pour se stabiliser en décembre.

S’agissant du vaccin contre la grippe saisonnière, Derrar a réaffirmé qu’il n’est pas efficace contre le Coronavirus et ne protège pas contre les contaminations ou les infections à la Covid-19.

L’INAPI organise le prix Brand Award et celui de la meilleure invention.

L’Institut national algérien de la Propriété industrielle (INAPI) organise la première édition du prix de la meilleure marque et un concours national de la meilleure invention, à l’occasion de la 26e journée nationale de l’innovation, a annoncé ce dimanche 15 novembre 2020 le ministère de l’Industrie dans un communiqué publié sur sa page Facebook.

Ces deux concours sont une opportunité pour les institutions nationales de promouvoir leur marque et d’exposer leurs produits, et une opportunité pour les innovateurs et porteurs de projets d’exposer et de faire connaître leurs inventions, précise le même communiqué.

A noter que compte tenu de la situation sanitaire actuelle, les deux compétitions seront organisées, exceptionnellement, à distance, explique le ministère qui précise que pour participer aux deux concours, il faudra remplir les formulaires sur le site internet de l’Institut national algérien de la propriété industrielle.

La date limite de soumission des formulaires de participation est le 26 novembre 2020.

Covid-19: Encore trois pharmaciens décédés.

Le syndicat national des pharmaciens d’officine (Snapo) annonce le décès de trois pharmaciens, durant ces trois derniers jours. « il y a juste deux jours nous perdions un pharmacien d’officine a Ain Touta, wilaya de Batna, Rochdi Chaghi. Aujourd’hui, (hier ndlr) nous perdons un autre pharmacien d’officine, exerçant à Médéa, Baradai Abdelkader et également un autre pharmacien d’officine de Blida, Taane Ahmed. Ils sont tous les trois morts des suites d’une atteinte à la covid-19 », indique le Snapo.

Il faut dire que tous les professionnels de la santé confondus, sont les plus exposés à être contaminés par le Coronavirus Covid-19 en Algérie.

La distanciation d’un mètre, entre le comptoir et les clients, est l’unique mesure de protection dont dispose les pharmaciens; selon le Snapo.

Dans ce sens, le Snapo a lancé à maintes reprises un appel à tous les bureaux de wilayas du syndicat de se lancer dans la solution locale pour la dotation en masques. Ainsi, le syndicat encourage ses confrères, en rappelant qu’ils sont en première ligne et très exposés; et que l’union est leur seule option afin de surmonter cette crise sans perdre leurs collègues.

Le DG du CHU Mustapha Bacha nie la fermeture de l’hôpital.

Le directeur général de l’hôpital universitaire Mustapha Bacha, Benana Abdeslam, a nié la fermeture de l’hôpital en raison de la surcharge, rapporte la Radio nationale.

M. Benana a souligné que les activités se déroulaient « d’une manière normale et 24 heures sur 24 », selon le même média.

Dans le même contexte, il a déclaré que l’hôpital a accueilli aujourd’hui 130 patients soupçonnés d’être infectés par le Coronavirus, dont 17 ont été hospitalisés, tandis que 65 autres ont bénéficié d’un traitement externe car leur état était jugé «bénin».

L’hôpital a également accueilli 48 personnes dans le but d’effectuer un suivi médical périodique, selon le même responsable, qui a ajouté que 300 lits étaient consacrés aux patients atteints de la Covid-19 et 90 pour les soins intensifs, précise la même source.

Quant aux autres services de l’hôpital, tels que la maternité ou la pédiatrie, les activités de ces services se déroulent également normalement.

Covid-19 : 21 décès enregistrés au CHU de Béjaïa en moins de 48h.

Le CHU de la wilaya de Béjaïa a enregistré 21 décès dus à la contamination a la covid-19, en moins de 48h, a fait savoir Hafid Boudrahem, surveillant médical de l’hôpital Khelil Amrane.

Intervenant samedi matin sur les ondes de la radio Soummam Béjaïa, le même responsable a précisé que 14 décès ont été enregistrés au niveau de l’hôpital Khelil Amrane et 7 au niveau de l’hôpital Frantz Fanon. La moyenne d’âge des personnes décédées varie entre 65 et 85 ans, a-t-il ajouté.

Hafid Boudrahem, cité par le journal Liberté, a indiqué que 41 personnes contaminées par le coronavirus, dont 30 malades admis aux urgences et nécessitant une oxygénation, ont été hospitalisés entre jeudi soir et samedi matin.

Pour rappel, le 7 novembre dernier, la directrice du CHU de Béjaïa, Ghania Gherbi, a tiré la sonnette d’alarme quant à la saturation de l’établissement hospitalier face au nombre important de cas de Covid-19 qui affluent vers l’hôpital.

Intervenant sur les ondes de la radio Soummam, la directrice du CHU a indiqué : « L’établissement Frantz Fanon est archicomble. Nous avons alors mis en place 26 lits au service orthopédie et 26 autres au service neurochirurgie. En moins de 14 heures, ils étaient complets et nous n’avions plus où mettre les malades », a-t-elle déclaré.

« Nous avons mis en place 26 autres lits au service de chirurgie générale. Nous avons évacué les malades non-covid à la clinique Targa Ouzemmour. L’hôpital Khellil Amrane est également plein de cas de Covid-19 », a précisé la directrice qui a ajouté que son établissement ne disposait plus de sources d’oxygène suffisantes pour faire face aux besoins des patients et que le personnel des établissements hospitaliers était débordé et ne pouvait plus faire face à cette situation.

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Flash info du 12 Shawwal 1438.

Flash info du 12 Shawwal 1438.
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France : Mort d’Adama Traoré : l’asphyxie confirmée par une nouvelle expertise.
Près d’un an plus tard, la famille d’Adama Traoré continue son combat pour faire reconnaître la responsabilité des policiers dans la mort de ce jeune de Beaumont-sur-Oise, lors de son interpellation, en juillet 2016, au nord de Paris. Une nouvelle expertise, que les proches de la victime avait demandée, vient de confirmer la cause du décès : un « état asphyxique aigu », ce que l’avocat de la famille Traoré a toujours défendu. La cause de l’asphyxie – fragilité cardiaque ou violence des gendarmes? – reste encore à déterminer.
Ce rapport confirme l’autopsie, puis la contre-expertise de spécialistes de l’Institut médico-légal de Paris, qui avaient déjà toutes deux conclu à la mort par « syndrome asphyxique ». Le document écarte aussi l’existence de « lésions d’allure infectieuse », ce que mentionnait l’autopsie. Un point particulièrement sensible, car mis en avant par les autorités l’été dernier, et qui nourrissait la thèse d’un décès dû à la condition physique d’Adama Traoré. Le nouveau rapport contredit donc les explications de l’ancien procureur de Pontoise, Yves Jannier, qui affirmait le 21 juillet qu’Adama Traoré « avait une infection très grave ». Les proches de la victime pourraient désormais saisir le conseil de la magistrature « afin qu’Yves Jannier soit sanctionné pour ses déclarations contraires à la vérité », fait valoir Yassine Bouzrou, l’avocat de la famille, auprès du Monde.
« Une des causes possibles de la mort, c’est le placage ventral des gendarmes ».
Est-ce alors la violence des gendarmes qui ont provoqué la mort d’Adama Traoré? La contre-expertise n’avait pas révélé de traces de violences, d’où la demande de la famille Traoré d’un nouveau rapport, accepté par les juges d’instruction en charge du dossier. Lors de son arrestation, le jeune homme de 24 ans avait été maintenu au sol sous « le poids des corps » de trois gendarmes, selon une source proche de l’enquête citant les déclarations de l’un des militaires, qui assurait n’avoir porté aucun coup.
Selon une source proche du dossier, la question de savoir si Adama Traoré est mort par asphyxie à cause d’une fragilité cardiaque ou d’une compression thoracique des gendarmes « n’est pas tranchée » à ce stade des investigations. « La cardiopathie n’existe pas dans ce rapport », assure Me Bouzrou. « Une des causes possibles de la mort, c’est le placage ventral des gendarmes qui contribue à une compression thoracique. »
Une autre interrogation perdure, sur les secours prodigués à Adama Traoré : les policiers avaient affirmé l’avoir placé en position latérale de sécurité lors qu’il avait fait part de ses difficultés à respirer. Une version mise à mal par le témoignage d’un sapeur-pompier arrivé sur les lieux, et qui avait trouvé le jeune homme « face contre terre, sur le ventre, mains dans le dos menottées. » Le décès d’Adama Traoré avait été constaté environ une heure et demie après son interpellation.
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France : Terrorisme : Macron lève l’état d’urgence, pas les inquiétudes.
Emmanuel Macron a annoncé lundi la levée prochaine de l’état d’urgence, mais plusieurs mesures d’exception pourraient entrer dès cet été dans le droit commun, provoquant l’inquiétude de plusieurs associations.
Emmanuel Macron a annoncé lundi au Congrès la levée prochaine de l’état d’urgence. « Je rétablirai les libertés des Français en levant l’état d’urgence à l’automne. Parce que ces libertés sont les garanties d’une démocratie forte », a déclaré le Président à Versailles. Depuis deux ans et les attentats de Paris, ce régime d’exception a systématiquement été reconduit. Il le sera à nouveau cette semaine pour la dernière fois, et ce jusqu’au 1er novembre. « Nous devons [aux victimes du terrorisme] la fidélité à nous-même, à nos valeurs, à nos principes. Renoncer, c’est concéder au nihilisme des assassins sa plus belle victoire », a argué Emmanuel Macron.
Plusieurs mesures reprises dans le projet de loi.
L’annonce a suscité certains remous dans l’opposition car cette levée de l’état d’urgence, présentée comme un rétablissement des libertés, se fera avec l’adoption par le Parlement d’une loi antiterroriste qui cristallise déjà les critiques. Or, plusieurs des mesures les plus contestées de l’état d’urgence sont reprises dans ce texte que le gouvernement va soumettre au vote cet été :
les perquisitions administratives de jour et de nuit, renommées « visites » et désormais soumises à l’autorisation d’un juge des libertés et de la détention.
les assignations à résidence élargies à un périmètre plus large avec comme alternative le port d’un bracelet électronique.
la fermeture de certains lieux de culte.
l’instauration de « périmètres de protection » pour sécuriser des événements.
Des oppositions farouches.
De nombreuses critiques font déjà surface. « Choisir, ce n’est pas écrire que l’Etat d’urgence n’a pas vocation à durer et, en même temps, vouloir graver des mesures d’exception dans le marbre du droit commun », a raillé Olivier Faure (président du groupe Nouvelle Gauche à l’Assemblée) lundi au Congrès. Jean-Luc Mélenchon a dénoncé depuis la place de la République « un coup de force contre les usages de la démocratie ». Des critiques reprises depuis plusieurs jours déjà par des associatifs et surtout le Défenseur des droits Jacques Toubon. Ce projet est « une pilule empoisonnée […] une sorte de dissolvant de la cohésion nationale », avait-il dénoncé dans Le Monde fin juin. « Permettre que la loi ordinaire fasse courir le risque de cette dérive, c’est aller sur le terrain des barbares », avait-il estimé.
En novembre dans son livre Révolution, Emmanuel Macron écrivait : « Nous ne pouvons pas vivre en permanence dans un régime d’exception […] Il faut donc revenir au droit commun, tel qu’il a été renforcé par le législateur, et agir avec les bons instruments. » La semaine dernière, il assuré à une délégation d’associations et de personnalités du réseau « Etat d’urgence/antiterrorisme », dont Amnesty international France et Human Rights Watch, qu’il s’agirait de « la première et de la dernière loi » antiterroriste. Pas suffisant pour les opposants au texte qui ont manifesté samedi. De quoi parasiter l’étude du projet de loi ces prochaines
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France : Quels vaccins vont devenir obligatoires en 2018 ?
« L’an prochain, les vaccins pour la petite enfance, qui sont unanimement recommandés par les autorités de santé, deviendront obligatoires » a déclaré ce mardi Edouard Philippe, dans son discours de politique générale devant l’Assemblée. Le Premier ministre a argué que « des maladies que l’on croyait éradiquées se développent à nouveau sur notre territoire, des enfants meurent de la rougeole aujourd’hui en France. Dans la patrie de Pasteur, ce n’est pas admissible ».
Edouard Philippe suit ainsi sa ministre de la Santé, Agnès Buzyn, qui avait indiqué le 16 juin réfléchir à rendre obligatoires 11 vaccins, « pour une durée limitée » de quelques années. L’objectif affiché est de lutter contre le faible taux de couverture vaccinale. La rougeole a par exemple causé la mort en France de 10 enfants depuis 2008, alors que le vaccin contre cette maladie existe. Il va aussi dans le sens de l’appel de 200 médecins pour une vaccination obligatoire, dans une période de défiance grandissante de la population contre les vaccins.
Seuls trois vaccins obligatoires aujourd’hui.
Mais quels seront les vaccins rendus obligatoires en 2018? Pour l’heure, seuls trois vaccins infantiles sont obligatoires en France: contre la diphtérie (depuis 1938), le tétanos (depuis 1940) et la poliomyélite ou « polio » (depuis 1964). On parle communément du « DTP », qui est obligatoire dès la naissance avec des rappels de l’adulte recommandés à âges fixes: 25, 45, 65 ans, puis tous les 10 ans (voir ci-dessous).
À ces trois vaccins obligatoires, il faut ajouter celui contre la fièvre jaune pour toutes les personnes résidant en Guyane et celles voyageant en Afrique et en Amérique du Sud.
D’autres simplement « recommandés » à ce jour.
Le vaccin trivalent « ROR » pour la rougeole, les oreillons, la rubéole est recommandé à l’âge de 12 mois, avec une deuxième dose entre 16 et 18 mois.
Le fameux BCG contre la tuberculose: ce vaccin n’est plus obligatoire depuis 2007. Il reste fortement recommandé, dès la naissance, pour les personnes proches de populations « à risque » comme en Guyane, à Mayotte mais aussi en Île-de-France, en raison de la concentration de populations venant de pays où la tuberculose est encore très présente, notamment les zones tropicales.
La coqueluche: première injection recommandée dès l’âge de 2 mois, ainsi qu’à l’entourage du nourrisson, si leur dernier rappel de la coqueluche date de plus de 10 ans.
Les infections invasives à haemophilus influenzae de type B: injections à 2, 4 et 11 mois.
L’hépatite B aux même âges que mentionné ci-dessus.
Les infections à pneumocoque: deux injections recommandées à 2, 4 et 11 mois.
Les infections à méningocoque C: une injection à 12 mois, avec un rattrapage possible jusqu’à 24 ans inclus.
Le papillomavirus, qui augmente le risque de cancer du col de l’utérus. Ce vaccin est recommandé chez les jeunes filles de 11 à 14 ans, avec un rattrapage jusqu’à 19 ans inclus.
La grippe saisonnière. Un vaccin par an, recommandé pour les personnes à risques y compris les enfants à partir de 6 mois, les femmes enceintes et les personnes âgées de 65 ans et plus.
À ceux-ci, on peut ajouter la varicelle (vaccin entre 12 et 18 ans), la leptospirose pour les personnes travaillant dans les égouts ou dans des stations d’épuration, ou encore la rage pour les personnes travaillant auprès des animaux.
Le DTP, un cas à régler d’urgence.
Mais cette distinction entre vaccins obligatoires et recommandés est devenue largement théorique en France ces dernières années: en effet, pour recevoir les vaccins obligatoires, les enfants doivent aussi recevoir des vaccins censés n’être que recommandés.
Ainsi, depuis 2008, le DTP seul n’est plus commercialisé et les laboratoires l’associent à d’autres vaccins recommandés sous forme de vaccins polyvalents, vendus plus chers. Le Conseil d’État a fustigé cette incohérence en février, donnant six mois au ministère de la Santé pour la lever, soit jusqu’au 8 août. C’est peut-être cette injonction qui a incité la ministre à prévoir rapidement une loi.
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France : Henry de Lesquen expulsé de Radio Courtoisie.
A l’issue de l’assemblée générale des auditeurs de Radio Courtoisie, samedi 1er juillet, Henry de Lesquen n’a pas été reconduit à son poste de président. L’ancien conseiller municipal de la ville de Versailles dirigeait jusque là la radio de musique classique, orientée politiquement à l’extrême droite, depuis dix ans.
Un ancien cadre de la radio a rapporté les coulisses de cette éviction au journal Marianne : « Lesquen était très isolé. Les membres du conseil d’administration ont été en bonne partie nommés par lui, mais ils étaient las de ses déclarations et de son mode de relation aux autres. Quand Lesquen a compris qu’il allait être mis en minorité, il a tenté de nommer de nouveaux membres juste avant la réunion du conseil d’administration, mais celui-ci a bloqué la manœuvre et il s’est retrouvé en minorité. »
Président du Club de l’Horloge, un cercle de réflexion proche du Front national, il a décidé fin 2015 de se porter candidat à l’élection présidentielle, sans pour autant obtenir le nombre de signatures nécessaire pour participer à la course vers l’Elysée. Il est connu pour alimenter régulièrement les réseaux sociaux avec des saillies racistes.
Ainsi, le Versaillais prône la « réémigration » pour les Africains et les « congoïdes » en particulier. En janvier 2017, Henry de Lesquen a été condamné à 16 000 euros d’amende pour des tweets racistes. Il avait, en avril 2016, déclaré qu’il était « émerveillé de la longévité des rescapés de la Shoah morts à plus de 90 ans. Ont-ils vécu les horreurs qu’ils ont racontées ? », ajoutant ensuite l’exemple de « la plantureuse Simone Veil rescapée de la Shoah à 88 ans. À ma connaissance, elle va bien ». Cette icône politique française est morte le 30 juin.
Lors de sa dernière émission lundi 3 juillet, Henry de Lesquen a dénoncé à l’antenne un « putsch manigancé par un trio d’individus envieux et incompétents » et a fustigé « l’équipe de bras cassés qui me succède ». Sur Twitter, il annonce la sortie prochaine d’un livre. Dominique Paoli, secrétaire générale de Radio Courtoisie, a été promue au poste de présidente. La petite-nièce de Charles Maurras promet aux auditeurs, dans un communiqué, un « ton ferme et pondéré », « sans se laisser emporter par ses passions ou des querelles personnelles ».
saphirnews.com
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France : Samuel Mayol réélu à la tête de l’IUT de Saint-Denis.
Candidat à sa propre succession, Samuel Mayol a été réélu au poste de directeur de l’IUT de Saint-Denis, dépendant de l’université Paris 13 fin juin avec 25 voix pour sur 27, apprend-t-on cette semaine. « Merci pour vos messages suite à ma réélection à la direction de I’@iutsaintdenis. Fier de poursuivre, animé par mes valeurs et engagements », avait-il tweeté.
Samuel Mayol était entré en conflit avec une association d’étudiants musulmans à l’IUT en 2014. Le directeur avait ordonné la fermeture de leurs locaux considérant que l’organisation ne respectait les principes de la laïcité au sein de l’établissement. A la même époque, après une alerte à la bombe, il déclarait que les autorités avaient trouvé des tapis de prières dans les locaux de l’association.
Le directeur de l’IUT avait été accusé de manipulation islamophobe et s’était mis à dos l’ancien président de l’Université Paris 13 Jean-Loup Salzmann, qui l’accusait d’avoir lui-même déposé ces tapis dans les locaux de l’association. L’ancien président affirmait s’appuyer sur une vidéo prouvant les faits et avait alors suspendu le directeur de l’IUT de ses fonctions.
La suspension de Samuel Mayol a duré huit mois jusqu’en juillet 2016, date à laquelle il se voyait relaxé par la commission disciplinaire de l’université de Bordeaux qui a été chargée de l’affaire. En novembre 2016, la justice avait ensuite estimé qu’il avait été suspendu « à tort » par la présidence.
« J’ai le sentiment que nous avons gagné la bataille de la laïcité à l’IUT de Saint-Denis », a déclaré dans une interview au Point Samuel Mayol, qui ne manque pas de rappeler le soutien public de Manuel Valls. Aujourd’hui, à ses yeux, « L’ambiance est paisible. L’association qui avait privatisé une salle pour en faire une salle de prière a été renvoyée ».
saphirnews.com
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France : Voile ou châle, la députée Ramlati Ali répond aux attaques des identitaires.
Il en faut peu pour enflammer les réseaux sociaux. Cette semaine, c’est la députée LREM de Mayotte Ramlati Ali qui a été la cible sur la toile de l’extrême droite et des identitaires. Sur sa photo officielle, la députée a posé avec un châle couvrant une partie de ses cheveux.
Des internautes, dont Lydia Guirous, ex-porte-parole LR, et Aurélien Dutremble, responsable de la communication du FN dans l’Ain, ont dénoncé une atteinte à la laïcité par la députée. Pourtant, rien n’interdit à des parlementaires et à des élus de porter des signes religieux, voile compris.
Face à la polémique naissante, Ramlati Ali a répondu à cette polémique auprès d’Outre-mer 1ere: « Je suis Mahoraise et je me respecte en tant que Mahoraise. Ce n’est pas un voile, c’est mon châle de Mahoraise ». Voile ou châle, la sémantique ne change rien car Ramlati Ali a bien le droit de porter ce qu’elle souhaite, à l’instar des autres députés comme Meyer Habib et Claude Goasguen, qui sont apparus coiffés d’une kippa en janvier 2016 à l’Assemblée nationale.
« Dans l’hémicycle je me fonds dans la masse. Tout le monde n’a pas les mêmes opinions. Il ne s’agit pas d’aller faire un sujet autour de ma personne, mais de porter les sujets de Mayotte, des Outre-mer et de la nation », indique-t-elle pour couper court aux attaques.
Lorsque le journaliste lui a demandé si elle était agacée des fausses accusations à son encontre, elle répond sans détour : « Je trouve de la part de l’extrême droite que c’est de l’hypocrisie parce que Marine Le Pen est venue à Mayotte, elle a été trop bien reçue à mon sens par des femmes qui avaient des châles. Je crois qu’elle-même à un moment elle a été habillée en mahoraise et je ne l’ai pas entendu critiquer, ni quoi que ce soit ».
Reportage vidéo à voir sur www.mouslimradio.info.
w w w . m o u s l i m r a d i o . i n f o .

saphirnews.com
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France : Bac 2017 : le Défenseur des droits saisi par deux lycéennes musulmanes.
Deux lycéennes ont saisi le Défenseur des droits car elles estiment avoir subi des contrôles anti-fraude « humiliants » lors des épreuves anticipées du baccalauréat, à Paris en juin dernier. C’est Jacques Toubon lui-même, Défenseur des droits, qui a annoncé la nouvelle mercredi 5 juillet.
Randa, une élève de Premier ES, avait affirmé le 19 juin dernier, qu’elle avait fait l’objet, avec d’autres camarades, d’une « fouille corporelle » et cela, avant de passer les épreuves de français et de sciences et vie de la terre au sein du lycée Victor Hugo de Paris. La jeune fille est scolarisée dans un établissement privé hors contrat qui l’autorise à garder son voile. Elle affirme que, le jour de l’examen, les encadrants ont demandé à plusieurs jeunes filles de « retirer les voiles, détacher les cheveux et les secouer, retirer les gilets, soulever les robes pour vérifier les jambes et les fesses et vérification de la taille alors que je portais un pantalon ».
« Il n’y a pas eu de fouille physique », a répondu en retour à l’AFP une porte-parole du rectorat de Paris. Elle ajoute qu’ « il y a eu un contrôle comme on le fait systématiquement », précisant qu’ « on leur a demandé de retirer leur foulard pour vérifier qu’il n’y avait pas un portable caché ».
Une circulaire du 18 mai 2004 relative à la laïcité dans les établissements scolaires publics permet aux élèves non scolarisés dans le domaine public de conserver des signes religieux pendant les examens. Cependant, les candidats « doivent se soumettre aux règles d’organisation de l’examen qui visent notamment à garantir le respect de l’ordre et de la sécurité, à permettre la vérification de l’identité des candidats ou à prévenir les risques de fraudes ».
saphirnews.com
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France : Arrêté contre les femmes voilées : le maire de Lorette condamné à verser 2 100 euros.
La période estivale n’inspire décidément pas de bons sentiments à certains maires de droite de nos villes et nos villages, mais plutôt des lois d’exception, farouchement anti-voile, sorties soudainement de leur chapeau dès que le soleil darde ses rayons, que les parasols fleurissent dans le paysage et que les plages artificielles municipales ouvrent grand leurs portes.
On ignore si Gérard Tardy, le premier magistrat de Lorette, une bourgade de 4 000 âmes nichée en plein cœur de la Loire, souhaitait marcher sur les traces de Richard Trinquier, le maire UMP de Wissous (Essonne), en livrant à son tour, sur le plan d’eau de sa commune, une chasse aux sorcières contre ses administrées voilées, toujours est-il qu’il vient de subir le même cuisant désaveu de la part de la justice…
Celui-ci, aveuglé par sa croisade anti-voile, n’a manifestement pas tiré les enseignements du camouflet infligé à son collègue par le tribunal administratif de Versailles en juillet 2014, qui n’a pas vu d’un bon œil l’interdiction faite aux femmes revêtues d’un hijab de profiter des joies de la baignade sur le sable fin de « Wissous Plage ».
L’arrêté liberticide et discriminatoire, pris alors par Richard Trinquier, avait été suspendu, révélant au grand public un maire, arc-bouté sur ses positions indéfendables, qui invoquait la loi du 15 mars 2004 contre le port du voile à l’école pour l’étendre à sa plage éphémère, de manière abusive et illégale.
Trois ans plus tard, Gérard Tardy, tenant, lui aussi, d’une laïcité dogmatique et répressive, a fait des femmes voilées les nouvelles pestiférées de sa commune, en leur interdisant non seulement l’accès au plan d’eau local, mais aussi d’y faire trempette.
Bien mal en a pris l’édile de Lorette qui, loin de se voir décerner une médaille pour cet ostracisme inacceptable, a été condamné lundi à verser 2 100 euros à trois associations, en dédommagement de leurs frais d’avocat, lesquelles s’étaient aussitôt tournées vers le tribunal de Lyon pour faire reconnaître le caractère discriminatoire de cette interdiction.
Bien que la justice ait tranché en sa défaveur, Gérard Tardy, qui a retiré son arrêté la mort dans l’âme, promet de ne pas en rester là et, pire encore, de raviver le brasier incandescent de la polémique lors du prochain conseil municipal, le 12 juillet prochain, soit à la veille du 14 juillet. Une bien curieuse manière de renforcer la cohésion sociale et de célébrer la devise républicaine au beau milieu des flonflons de la fête !
Mais le contraire eût été surprenant de la part de ce maire qui ne reconnaît pas tous ses administrés et a une fâcheuse tendance à stigmatiser ceux qui sont de confession musulmane, comme il s’y est employé dernièrement en leur demandant de faire moins de bruit pendant le Ramadan, à grand renfort de messages humiliants exposés aux yeux de tous, sur les panneaux publicitaires de la ville.
oumma.com
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Les Français issus de l’immigration post-coloniale très défavorisés sur le front de l’emploi, selon une étude de l’Insee.
Dans une France minée par la plaie d’un chômage endémique qui gangrène son économie depuis plus de 30 ans, les descendants d’immigrés maghrébins demeurent, année après année, les parents pauvres de la crise et des politiques successives de l’emploi, comme le met en lumière la dernière étude de l’Insee “Emploi, chômage, revenu du travail” rendue publique mardi.
Relégués au rang peu enviable de citoyens de seconde zone, ils se heurtent continuellement à une « situation défavorable » dès leur entrée sur le marché du travail, enregistrant des taux de chômage supérieurs à leurs concitoyens sans ascendance migratoire (un écart de 20 points au cours des dix années qui suivent la fin des études), sans qu’aucune éclaircie ne soit perceptible dans leur horizon irrémédiablement bouché.
Briser les plafonds de verre qui les empêchent d’accéder à l’emploi, voire de gravir les échelons et monter dans l’échelle sociale relève de la gageure, si l’on en juge par les conclusions de l’Insee, selon lesquelles si le fossé se creuse inexorablement entre les Français issus de l’immigration post-coloniale et les autres, c’est en raison « principalement des difficultés » qui jalonnent leur parcours professionnel. Les différences liées aux diplômes, à l’ancienneté, à la situation familiale et au lieu de résidence entre ces deux groupes distincts « expliquent moins de la moitié » cette disparité criante face à l’emploi.
Dans ce sombre tableau, il n’y aucune embellie à entrevoir sur le plan de la rémunération, puisque, là encore, les hommes diplômés, aux racines méditerranéennes et portant des noms à consonance arabo-musulmane, sont confrontés à un indestructible « plafond de verre au sommet de l’échelle salariale ».
Ainsi, les 10 % des descendants d’immigrés maghrébins les mieux rémunérés perçoivent 18 % de moins que les 10 % des hommes sans ascendance migratoire les mieux payés, toujours selon l’étude édifiante de l’Insee qui s’est échelonnée sur trois ans, entre 2013 et 2016, auprès de personnes âgées de 18 à 59 ans, ayant terminé leurs études et vivant en France.
De leur côté, les femmes descendantes d’immigrés semblent être mieux loties que les hommes sur le front de l’emploi. En effet, si elles comptent parmi elles un plus grand nombre de femmes au foyer que les femmes sans ascendance migratoire, lorsqu’elles sont actives, elles décrochent plus facilement un travail que la gent masculine. En revanche, pour les plus qualifiées d’entre elles, l’invisible « plafond de verre » anéantit leurs espoirs d’obtenir des salaires plus gratifiants, mais à un niveau de rémunération plus élevé que chez les hommes.
En résumé, que l’on soit un homme ou une femme issus de l’immigration post-coloniale, la probabilité pour ces salariés de se voir accorder un salaire mensuel supérieur à 3.000 euros est plus faible que pour ceux sans ascendance migratoire.
L’enquête de l’Insee fait également ressortir que les descendants d’immigrés maghrébins sont globalement moins diplômés (un écart de 10 points les séparant des personnes sans ascendance migratoire), et qu’ils sont plus jeunes, comme l’attestent les 31% d’entre eux qui ont achevé leur cycle d’études depuis moins de dix ans, contre 21% des personnes sans ascendance migratoire. En outre, 13% les ont terminées depuis 30 ans ou plus, contre 31% de leurs concitoyens sans ascendance migratoire.
oumma.com
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France: appel contre la venue du criminel Benjamin Netanyahou.
Nous nous élevons contre la venue en France de Benjamin Netanyahou, premier ministre du gouvernement colonial israélien. L’invitation qui lui est faite par Emmanuel Macron de venir commémorer la rafle du Vel d’Hiv est indigne.
Il est indécent pour les victimes de la Rafle du Vel d’Hiv, 13.000 Juifs dont une moitié d’enfants arrêtés à Paris et en banlieue entre le 16 et le 17 juillet 1942 par 7.000 policiers français pour être livrées aux nazis et déportées dans des camps dont moins d’une centaine reviendront, d’être représentées par un raciste à la tête d’un Etat terroriste qui persécute tout un peuple depuis des décennies.
Confier cette commémoration à celui qui s’est spécialisé dans l’enfermement du peuple palestinien, le massacre de populations civiles, la torture des enfants, et qui maintient hermétiquement fermé le ghetto de Gaza, est scandaleux.
D’autant que cette rafle de 1942 concerna essentiellement les Juifs étrangers, réfugiés en France, et on sait comment le gouvernement israélien traite les étrangers et les réfugiés, qu’il s’agisse des demandeurs d’asile africains, qualifiés de « cancer » par la ministre de la « culture » , ou des réfugiés palestiniens parqués dans des camps, privés de liberté de circulation, ou encore expulsés et bannis illégalement de leur propre pays.
Netanyahou, qui a remis à l’honneur le concept de races, qui pratique l’apartheid sur des bases ethniques et religieuses, n’a rien à faire dans un pays qui se présente comme un défenseur des droits humains et du droit international.
On ne peut pas dire “Plus jamais cela”, et dérouler le tapis rouge aux responsables d’un terrible nettoyage ethnique.
C’est pourquoi nous appelons à une manifestation de protestation la plus large possible
le samedi 15 juillet, veille de sa réception par le président de la République,
Rendez-vous à 15 H Place de la République à Paris le 15 juillet.
Premiers signataires : EuroPalestine, Droits Devant, Enfants de Palestine, Christine Delphy, Jacques-Marie Bourget, Mgr Gaillot, Collectif pour la Libération de Georges Ibrahim Abdallah, Nanterre Palestine, PIR, Marie-Jeanne Manuellan, Odile Tobner, Fethi Chouder, Les Désobéissants, Comité Palestine Israël Chateaubriant, Samidoun, Collectif 69 de Soutien au Peuple Palestinien, Alain Brossat, Paul Aries, Attac Paris Centre, Martine Sevegrand, Collectif Ni Guerre Ni Etat de Guerre…
oumma.com
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####### Aujourd’hui en Palestine #######
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Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
6 000 nouveaux logements à Jérusalem d’ici fin juillet
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Une sources dans la municipalité de l’occupation sioniste à Jérusalem occupée a révélé mercredi que la ville va connaitre une énorme vague de la colonisation ce mois-ci qui atteindra l’approbation de la construction de 6 000 unités de logement.
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Les forces israéliennes saisissent des panneaux solaires à Khirbet Hima
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L’occupation prend d’assaut le village d’Issawiya à Jérusalem et bloque la circulation
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Rassemblement à Naplouse par solidarité avec les prisonniers Palestiniens
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Arrestations et interrogatoires en Cisjordanie par les forces de l’Autorité Palestinienne
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Le Hamas salue la décision de l’UNESCO rejetant la souveraineté israélienne sur Jérusalem
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L’UNESCO rejette la souveraineté d’Israël sur Jérusalem
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Libération anticipée du criminel de guerre Ehud Olmert
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Caire: La délégation du Hamas discute du calendrier de l’application des accords
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Appels à se solidariser avec les détenus dont les allocations ont été suspendues
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Les navires israéliens ciblent les pêcheurs de Gaza
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Les maisons des meurtriers d’Abou Khudeir ne seront pas démolies
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Jérusalem occupée: L’occupation démolit les maisons des martyrs palestiniens
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Le gouvernement d’Al-Hamdallah impose la retraite anticipée à 6 145 employés de Gaza
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200 juifs d’Amérique du Nord émigrent à Tel-Aviv
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Les forces israéliennes menacent de démolir 3 maisons palestiniennes à Ramallah
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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