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Flash info du 14 Joumada al Awwal 1439

Flash info du 14 Joumada al Awwal 1439.

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Sur Ajib.fr, voici les titres.

L’Algérie accueille son premier train à grande vitesse.
Grande première pour l’Algérie qui a reçu dimanche dernier au port d’Alger son premier train Coradia polyvalent. C’est la Société nationale des transports ferroviaires (SNTF) qui s’est chargée de cette première livraison d’une commande de 17 trains en provenance d’Alstom.
Durant tout le mois de février, la SNTF procédera aux essais d’usage sans passagers avant de lancer définitivement la ligne à grande vitesse au mois de mars.
Le Coradia n’est pas un TGV, c’est un train grandes lignes polyvalent bi-mode (diesel et électrique 25 kv) qui peut circuler jusqu’à 160 km/h. Il est composé de six voitures, pour une longueur totale de 110 mètres, pouvant accueillir jusqu’à 254 passagers.
Le directeur général de la SNTF a déclaré à la chaîne 3 de la Radio Algérienne que cette nouvelle acquisition devrait permettre de transporter 60 millions de voyageurs et 17 millions de fret par an dès 2020, une fois la totalité des trains livrée.
Un gain de temps considérable pour les Algériens qui seront reliés aux grandes villes dont Alger et Oran.

Sur Katibin.fr, rien de neuf.

Sur journal du musulman.fr, rien de neuf.

Sur islam et info.fr, voici les titres.

Migrants: “Il y a une violence organisée au plus haut sommet de l’État”, selon Yann Moix.
Le chroniqueur de France 2, Yann Moix, revient sur la situation des migrants à Calais. Selon lui, “la police utilise des armes d’une très grande violence envers des gens qui ne peuvent pas leur nuire”.
Dans un documentaire Arté, Moix revient sur la situation à Calais et notamment les violences policières faites aux migrants, adolescents et femmes. Lors de ces interventions policières, la police utiliserait des armes d’attaques contre des personnes sans défense. Des accusations extrêmement graves qui interviennent quelques semaines après celles du Secours Catholique.
La situation à Calais continue de se dégrader sans que le président de la République réagisse. C’est en tout cas l’opinion de Yann Moix qui s’est déplacé à plusieurs reprises dans ces camps de migrants.
reportage a voir sur islam et info.fr.
H&M retire des chaussettes sur le thème de Lego après des plaintes de clients musulmans.
Le géant suédois de l’habillement H & M a été obligé d’enlever une série de chaussettes pour enfants de ses magasins après avoir reçu des plaintes selon lesquelles une partie d’un dessin mettant en scène un homme Lego avec un marteau-piqueur ressemblait à une écriture arabe indiquant “Allah”.
Une paire de chaussettes a fait sensation après que plusieurs clients se sont plaints de l’impression d’une figure de Lego ressemblant au mot arabe pour “Allah”, si on les regarde à l’envers, selon les médias suédois.
Le motif représente en fait une figurine de Lego avec un marteau-piqueur, apparemment responsable de l’entretien des routes. Le détaillant insiste sur le fait que c’était “entièrement une coïncidence” et non un message caché, selon une déclaration citée par Dagens Nyheter. H & M a néanmoins choisi de «retirer les produits», compte tenu de la réaction du public.
L’incident intervient quelques semaines après H & M est apparu sous le feu des critiques pour son annonce avec un enfant noir dans un sweat – shirt avec les mots: «Le singe le plus cool de la jungle ». L’annonce a suscité une réaction internationale et des accusations de «racisme ». Certains critiques ont même dit qu’ils boycotteraiten la marque. Les magasins H & M à travers l’Afrique du Sud ont été fermés après avoir été ciblés par des manifestants.
reportage a voir sur islam et info.fr.
Syrie : les avions de Bachar tuent 33 civils dans un bombardement.
Les frappes aériennes du régime ont tué 33 civils au cours des dernières 24 heures dans la province d’Idlib, au nord-ouest de la Syrie, où les forces gouvernementales combattent les rebelles, a déclaré lundi un observateur.
Rien que lundi, les frappes ont fait 16 morts parmi les civils, dont 11 dans un marché de légumes dans la ville de Saraqeb, a annoncé l’Observatoire syrien des droits de l’homme basé en Grande-Bretagne.
Les 17 autres ont été tués dimanche dans des raids dans diverses régions de la province, dont une grande partie est contrôlée par Hayat Tahrir al-Sham (HTS), qui est dominée par l’ancienne filiale syrienne d’Al-Qaïda.
“Les avions de guerre du régime ont intensifié leurs frappes au cours des dernières 24 heures après un calme relatif dû au mauvais temps”, a déclaré Rami Abdul Rahman, chef de l’Observatoire.
Les troupes syriennes avançaient sur Idlib dans le cadre d’une offensive féroce lancée fin décembre avec le soutien de la Russie.
Au marché de Saraqeb, un correspondant de l’AFP a vu des flaques de sang sur le sol. De petits camions chargés de sacs de pommes de terre étaient abandonnés après que leurs fenêtres aient été soufflées de leurs cadres.
reportage a voir sur islam et info.fr.
Le Canada commémore l’attentat qui a couté la vie à six fidèles dans une Mosquée. VIDEO.
L’attentat perpétré au Centre culturel islamique de Québec (CCIQ) le 29 janvier 2017 est resté gravé à jamais dans les mémoires.
Un an après ce drame qui a couté la vie à une demi-douzaine de canadiens de confessions musulmanes, plusieurs jours de commémorations ont été organisés pour rendre hommage à ces victimes.
Il ne s’agit pas d’une journée de commémoration mais de quatre jours durant lesquelles Le Premier ministre Justin Trudeau n’a pas manqué de se joindre aux émouvants hommages en appelant les Canadiens à combattre l’islamophobie.
Une victime parmi ces centaines de victimes physiques ou/et psychologiques, aujourd’hui paralysé, a inspiré un documentaire intitulé Ta dernière marche dans la mosquée dont nous pouvons visionner la bande annonce ci-dessous. Un documentaire poignant sur les dramatiques conséquences générées par l’islamophobie qui a été diffusé lors de cette commémoration.
reportage a voir sur islam et info.fr.
France : Angers : Deux têtes de sanglier accrochées sur une Mosquée.
Deux têtes de sanglier ont été volontairement laissé sur les grilles du chantier de la Mosquée d’Angers. Le maire, Christophe Béchu, qui a quitté son ancien parti Les Républicains en décembre 2017 demeure le seul parmi les personnalités politiques a condamné cet acte islamophobe.
La communauté musulmane d’ Angers est sous le choc car de plus en plus d’actes à l’encontre des musulmans sont à déplorer.
Hélas, il ne s’agit pas seulement d’une attaque contre un édifice religieux musulman mais d’une attaque à l’encontre de l’ensemble des musulmans du pays.
Imad, 8 ans, courageux “petit bonhomme” rencontre Mehdi Benatia.
Greffé d’un rein à 8 ans, le jeune enfant algérien, Imad, a ému le monde entier par son message diffusé sur la chaîne française TF1.
Un petit bonhomme d’à peine 8 ans qui nous a donné une leçon de vie d’une sagesse inouïe. Ses propos pleins d’espoir ont poussé l’international marocain de la Juve, Mehdi Benatia, à l’inviter pour assister à la rencontre de la Juventus contre Genoa disputée lundi.
Voici son passage dans l’émission sept à huit qui a marqué le joueur de football.
reportage a voir sur islam et info.fr.
Maroc : Magnifiques paysages enneigés à Ouarzazate.
La neige vient de tomber dans une région où ce phénomène météorologique n’est pas vraiment une norme. En effet, depuis plus de 30 ans, les habitants de cette région du désert n’ont pas vu la neige.
Des aléas qui ont ravi les habitants de la ville et les touristes, qui ont partagé massivement sur les réseaux sociaux des images que nous vous laissons découvrir.

Sur saphirnews.com, voici les titres, .

Non, Al-Azhar n’a pas retiré la Tunisie d’une liste de pays musulmans.
Al-Azhar aurait-elle retirée la Tunisie de sa liste de pays musulmans ? Depuis plusieurs jours, la rumeur enfle parmi les Tunisiens, au point d’obliger l’institution religieuse à faire le point en cette fin de mois de janvier.
L’égalité dans l’héritage entre les hommes et les femmes, l’abolition de l’institution de la dot ou encore la possibilité d’octroi du nom de famille de la mère sont actuellement examinés par la Commission des libertés individuelles et de l’égalité, récemment instaurée par le président tunisien Beji Caïd Essebsi. Rien n’est encore tranché mais ces mesures, si elles sont adoptées, placeront la Tunisie dans une position avant-gardiste vis-à-vis des autres pays musulmans sur les questions d’affaires familiales et d’égalité hommes-femmes.
En septembre 2017, la Tunisie avait déjà levé l’interdiction du mariage des femmes avec un non-musulman. Cette mesure avait été critiquée avant son adoption par le bureau de l’adjoint du grand imam d’Al-Azhar, estimant qu’elle est « contraire à la jurisprudence islamique (charia) », tout comme l’égalité dans l’héritage.
La rumeur de la liste a été déclenchée, rapporte le HuffPost Maghreb, après les critiques émises par Mohamed Chahat El Jondi, un religieux membre d’Al-Azhar à l’encontre de la Tunisie, qui « poursuit son abaissement de la dignité de la femme en s’attaquant aux constantes de l’islam ».
L’institution religieuse égyptienne voit effectivement mal les réformes sociétales que souhaite mettre en oeuvre le pays du jasmin. Elle s’est néanmoins exprimée dimanche 28 janvier pour démentir formellement la rumeur d’un quelconque retrait de la Tunisie d’une liste de pays musulmans, liste qui n’existe d’ailleurs même pas.

Sur oumma.com, voici les titres.

La Tunisie rayée de la liste des pays musulmans ? Al-Azhar dément la fausse rumeur.
La nouvelle, proprement ahurissante, a fait l’effet d’un coup de tonnerre dans le ciel tunisien et d’une violente décharge électrique sur les réseaux sociaux, d’autant plus qu’elle était prétendument marquée du sceau de la prestigieuse institution Al-Azhar, la plus haute instance de l’islam sunnite basée au Caire.
La Tunisie aurait été rayée de la liste des pays musulmans ? Telle est la teneur de l’intox qui a mis le feu aux poudres sur la cybersphère, embrasant les esprits au point de raviver le débat sur la dot de la femme et l’égalité dans l’accès à l’héritage en Islam.
Face à l’ampleur de la polémique, Al-Azhar, qui n’a pas caché sa stupeur devant la propagation de cette rumeur fallacieuse, a démenti dimanche sa véracité, tentant d’apaiser les tensions à leur paroxysme. « Aucun commentaire, ni déclaration concernant la Tunisie n’a été publié de notre part. Une telle liste n’existe même pas », pouvait-on lire sous une plume officielle qui s’est voulue rassurante, tout en demandant de faire toute la lumière sur ce regrettable incident.
Alors, d’où est partie la fameuse rumeur qui est allée bon train jusqu’à enflammer la Toile ? Des propos tenus par le dignitaire religieux Mohamed Chahat El Jondi, membre d’Al-Azhar, dans un entretien accordé au journal égyptien Al Baweba. Celui-ci a eu en effet la dent dure contre la Tunisie, fustigeant la politique conduite qui, à ses yeux, « porte atteinte à la dignité de la femme en s’attaquant aux constantes de l’islam ».
La violente charge de Mohammed Chahat El Jondi contre le pays du jasmin a été déclenchée, semble-t-il, par les propositions, encore à l’étude, émises par la Commission tunisienne des libertés individuelles et de l’égalité concernant “l’abolition de l’institution de la dot et l’égalité en matière d’héritage”.
Une Indienne musulmane menacée de mort pour avoir dirigé la prière pour la première fois.
Bravant les campagnes calomnieuses qui ont récemment redoublé de haine à son encontre, Jamida Beevi, 34 ans, aurait pu renoncer à diriger la prière à Vandoor, un village en plein cœur de l’Etat du Kerala, mais c’était mal connaître l’opiniâtreté de cette Indienne de confession musulmane, convaincue du bien-fondé de sa démarche, aussi novatrice soit-elle.
En dépit de l’anathème jeté sur elle par les hautes instances musulmanes et les autorités locales, et des menaces de mort qui ont déferlé sur la cybersphère, la secrétaire générale de la Khuran Sunnath Society – une organisation islamique controversée qui prétend travailler à la réforme de l’islam et à l’évolution des mentalités au sein de la communauté musulmane, en se conformant strictement au Coran et en proscrivant les hadiths – est entrée dans l’histoire de l’Inde, envers et contre tous, en sa qualité de première femme imam.
Qualifiée au mieux d’iconoclaste, au pire d’hérétique, sa décision de conduire la prière au cours de la Salât al-Djumu’a du vendredi 26 janvier, devant une trentaine de fidèles, hommes et femmes réunis, lui a valu une salve de critiques véhémentes de la part d’internautes ulcérés, la désignant à la vindicte populaire sous l’appellation très péjorative de « kafir ».
« Un grand nombre de messages ont circulé sur les médias sociaux alléguant que je suis une kafir, une mécréante », s’est désolée cette fervente croyante et mère de deux enfants, qui a fini par divorcer en 2016 au terme de treize années d’un mariage devenu invivable. Face à l’hostilité des membres de sa famille qui lui répétaient inlassablement « qu’Allah n’aime pas le divorce », la ferme détermination de Jamida Beevi fut déjà la plus forte.
« La semaine dernière, quelqu’un m’a envoyé une image avec ma tête fixée à un cadavre. Je vois cela comme un avertissement morbide à prendre très au sérieux », a alerté avec un sang-froid peu commun celle qui fut la petite dernière d’une fratrie de 13 enfants, grandissant dans un foyer uni, choyée par sa mère, tandis que son père faisait carrière dans l’armée indienne.
Avide de connaissances, sa soif d’apprendre la langue arabe et de s’imprégner de la quintessence du Coran était intarissable, au point de la faire passer pour une « élève rebelle » aux yeux de professeurs qui ont mal interprété son insatiable curiosité concernant son sujet de prédilection : l’islam. « Parfois, les enseignants m’ont refusé l’entrée en classe en guise de punition. Mais cela n’a pas freiné ma quête de sens et de vérité », clame-t-elle avec force, alors même que cette image de « rebelle » lui colle de plus belle à la peau et, pire que l’incompréhension générale, déchaîne les viles passions.
« En accord avec les membres de l’association islamique que je représente, nous voulions, en m’autorisant à diriger la prière pour la première fois, envoyer un message fort : à savoir que l’islam n’a jamais interdit aux femmes de remplir le rôle de guide spirituel. Nous ne voulons que perpétuer cette pratique », a expliqué Jamida Beevi, en espérant ouvrir la voie à d’autres femmes musulmanes.
« Je n’ai pas peur de la mort, je suis prête à mourir pour la cause », a-t-elle renchéri avec la volonté inébranlable qui la caractérise et l’a toujours emporté sur ses craintes de faire une entorse à la tradition, aussi grave et périlleuse soit-elle.
iran : La fable de la « menace nucléaire iranienne ».
Transis d’admiration devant le verbiage polyglotte de Macron à Davos, les médias français ont soigneusement occulté un fait majeur : Donald Trump va demander au Congrès 716 milliards de dollars pour le Pentagone au titre de l’année budgétaire 2019. Cette hausse de 7% par rapport au budget 2018 ne servira pas à remplacer les boutons de culotte. Selon un document confidentiel publié par le Huffington Post, le Pentagone envisage la possibilité d’une riposte atomique dans le cas de “très grosses attaques conventionnelles”. Document d’orientation stratégique, le projet de Nuclear Posture Review pour 2018 prévoit donc une modernisation de l’arsenal atomique dont le coût est évalué par une agence fédérale, le Congressional Budget Office, à 1200 milliards de dollars sur 30 ans.
Ce projet de réarmement massif, pourtant, ne semble pas émouvoir les populations ni passionner les observateurs. Il faut dire qu’on a tout fait pour que l’arbre cache la forêt. Depuis quinze ans, les dirigeants occidentaux ne cessent d’agiter l’épouvantail de la “menace nucléaire iranienne”. Cette fable géopolitique, les médias dominants la distillent à longueur de colonnes, comme s’il était évident qu’un pays sans la bombe est plus dangereux qu’un pays qui l’a déjà utilisée, et qui entend développer le monstrueux arsenal dont il dispose. Pour faire avaler de telles sornettes, la propagande martèle alors une idée simple : “le programme nucléaire iranien menace le traité de non-prolifération nucléaire”. Il est curieux, toutefois, qu’on n’ait jamais songé à répondre : “Si vous tenez tant à ce traité, pourquoi ne pas commencer à l’appliquer ?”
Les puissances occidentales, en effet, n’ont jamais fait le moindre effort pour convaincre Israël, l’Inde et le Pakistan de signer le TNP. Refusant d’adhérer au traité, ces trois pays ont constitué un arsenal hors-la-loi. Echappant à tout contrôle, il est tout de même plus préoccupant qu’une bombe iranienne qui n’existe pas. Ce n’est pas tout. Le traité prévoit aussi un désarmement nucléaire que les cinq Etats “légalement” dotés d’armes atomiques (USA, France, Royaume-Uni, Chine, Russie) ont superbement ignoré. A l’origine de cet échec, les Etats-Unis ont dénoncé le traité Start II avec Moscou et installé un bouclier anti-missiles en Europe. Pire encore, ils n’ont cessé de développer un arsenal dont “l’usage préventif” est affirmé par la Nuclear Posture Review de 2002. Autorisant l’utilisation d’armes nucléaires en première frappe, cette révision doctrinale a ouvert une fantastique boîte de Pandore.
A croire la propagande habituelle, le monde civilisé doit se tenir prêt à riposter à la salve dévastatrice des mollahs iraniens, ces “fous de dieu” enturbannés résolus à précipiter l’apocalypse. Mais la réalité est à des années-lumière de ce délire idéologique. En fait, l’establishment américain n’en finit pas de digérer le traumatisme de la révolution iranienne, lourd d’humiliation symbolique (les otages de Téhéran) et de fiasco géopolitique (la chute du Chah). Pièce par pièce, Washington a donc bâti une démonologie où la République islamique est présentée comme une dictature maléfique, dont le comportement erratique ferait peser sur la planète un péril mortel. Affabulation à grande échelle, manifestement, dont la seule fonction est d’inhiber le développement d’une grande nation rétive à l’ordre impérial.
Les faits sont parlants. Accusé de vouloir la fabriquer, l’Iran ne détient pas l’arme nucléaire. Les USA sont la première puissance nucléaire et la seule à en avoir fait usage. Seul Etat du Proche-Orient possédant la bombe (plus de 400 têtes nucléaires), Israël jouit de son côté d’un privilège dont il n’entend pas se défaire : il a le droit de détenir l’arme suprême à condition de ne pas s’en vanter. Avec la complicité occidentale, la duplicité israélienne fait coup double. Elle exerce un effet dissuasif puisque la bombe existe, sans encourir les foudres internationales puisqu’il est entendu qu’elle n’existe pas. Cet incroyable régime de faveur transforme la question nucléaire en conte à dormir debout : une bombe purement virtuelle devrait nous donner des sueurs froides (Iran), alors qu’un arsenal colossal mais officiellement inexistant ne devrait susciter aucune inquiétude (Israël).
Soustrait à tout contrôle international, le programme nucléaire sioniste bénéficie depuis l’origine d’une impunité totale. Les Occidentaux fustigent le risque de prolifération, mais l’histoire de la bombe israélienne montre qu’ils en sont directement responsables. Ben Gourion a lancé le programme nucléaire sioniste dès le début des années 50, et la France lui a immédiatement apporté son concours. Un accord secret avec le socialiste Guy Mollet, en 1956, a permis à l’Etat hébreu de maîtriser la technologie nucléaire, et la centrale de Dimona a été construite avec l’aide de techniciens français. Unis dans la lutte contre le nationalisme arabe, la France et Israël ont scellé un pacte dont la calamiteuse expédition de Suez fut le principal fait d’armes.
Prenant le relais de l’alliance française à la fin des années 60, les Etats-Unis ne sont pas moins coopératifs. Aux termes de l’accord entre Lyndon Johnson et Golda Meir, aucune pression ne doit s’exercer sur Israël pour lui faire signer le traité de non-prolifération. En échange, Israël cultive l’ambiguïté sur la réalité de son arsenal nucléaire. Complaisante dérogation à la loi internationale, en somme, contre respect scrupuleux de la loi du silence. En attendant, les Occidentaux s’acharnent sur l’Iran, lui prêtant un projet militaire imaginaire, alors même que Tel Aviv multiplie les menaces contre Téhéran. La République islamique, pourtant, n’a jamais agressé ses voisins. On ne peut en dire autant d’Israël, qui a bombardé l’Egypte, la Syrie, le Liban, la Jordanie, l’Irak et la Tunisie, sans parler des territoires palestiniens quotidiennement pris pour cibles.
Jetant un écran de fumée sur cette réalité, la propagande occidentale traite le régime iranien de “théocratie fanatique”. Ce n’est pas un mollah, pourtant, qui a déclaré que “notre Etat est le seul en communication avec Dieu”. C’est Effi Eitam, ex-ministre israélien et chef du parti national-religieux. Imbibé d’un orientalisme de pacotille, le discours dominant décrit la République islamique comme un repaire d’illuminés férus d’eschatologie qui rêveraient d’immoler Israël avec la bombe atomique ! Quel dommage que les pourfendeurs de l’Iran ne nous aient pas gratifiés de considérations aussi inspirées sur la bombe israélienne : elle a pour caractéristique de faire planer, elle, une menace non virtuelle. Entre la prétention sioniste à “communiquer directement avec Dieu” et l’obstination mystique de Tel Aviv à posséder l’arme suprême, on aurait pu déceler, ici aussi, une singulière “eschatologie”.
Autre paradoxe qui ne manque pas de saveur : l’Occident accuse l’Iran de vouloir fabriquer la bombe, mais c’est la République islamique qui a interrompu le programme nucléaire en 1979. Encouragé par les USA, le Chah avait signé de juteux contrats avec la France et l’Allemagne pour la construction de centrales nucléaires. L’opposition ayant dénoncé cette politique, jugée onéreuse pour un pays riche en hydrocarbures, le programme est aussitôt suspendu par le gouvernement de la République islamique. Il fallut la sanglante guerre Iran-Irak (1980-1988) pour changer la donne. Seul face à l’agresseur irakien, le gouvernement iranien a mesuré sa faiblesse devant une coalition faisant bloc avec Saddam Hussein. La participation des puissances occidentales, les livraisons d’armes chimiques à l’Irak, la destruction en plein vol d’un Airbus iranien lui ont fait prendre conscience du danger.
C’est dans ce contexte que les dirigeants iraniens ont vu dans le nucléaire civil un atout technologique, un attribut de la souveraineté et une source de fierté nationale. La possession de l’arme nucléaire, elle, est jugée impie par les autorités religieuses, et aucun programme nucléaire militaire n’a été officiellement engagé en Iran. Ses accusateurs ont constamment prétendu le contraire, mais sans fournir la moindre preuve. Le discours obsessionnel contre Téhéran, en réalité, confond délibérément deux choses : la capacité technologique de produire des armes nucléaires, et la décision politique de produire de telles armes. Au motif que cette capacité a été atteinte, on accuse Téhéran de vouloir se doter de la bombe. Mais ce raisonnement est d’une criante perversité, puisqu’au lieu de demander des comptes à ceux qui ont la bombe, on s’acharne contre un Etat qui n’en veut pas.
Montée de toutes pièces, la “menace nucléaire iranienne” est une supercherie qui vise à neutraliser un grand pays non-aligné. Souverain, désendetté, farouchement attaché à son indépendance, l’Iran a un potentiel qui effraie les tenants de l’ordre impérial. Les dirigeants iraniens ont signé l’accord de 2015 parce qu’ils privilégient le développement de leur pays. Ils veulent la levée des sanctions pour satisfaire une population de 80 millions d’habitants. L’accord sur le nucléaire soumet ce grand pays à un régime de contrôle international sans précédent, mais Téhéran l’a accepté. En accusant l’Iran de “soutenir le terrorisme”, Trump veut interrompre ce processus de normalisation. Poussé par les marchands d’armes, il poursuit la diabolisation de l’Iran d’une façon grotesque. L’impérialisme ne désarme jamais, et les mensonges continueront. Mais l’Iran sait que le temps joue en sa faveur, et il saura résister aux provocations d’une superpuissance en déclin.
Maroc: Le calvaire des “femmes-mulets”.
Un reportage sur le calvaire des “femmes-mulets” marocaines qui travaillent dans des conditions effroyables, transportant sur leur dos des marchandises. En août 2017, deux d’entre elles sont mortes piétinées à la frontière avec Ceuta.
reportage a voir sur oumma.com.

Sur Mizane.info, voici les titres.

Slimane Rezki : René Guénon, penseur de la Tradition.
Slimane Rezki est auteur, traducteur et conférencier. Animateur de la chaîne Youtube Sawt24,il vient de publier, aux éditions Albouraq, le deuxième tome d’une trilogie consacrée à l’oeuvre de René Guenon. Un entretien réalisé par nos partenaires des Cahiers de l’islam.
Le deuxième tome de votre trilogie sur René Guenon vient de sortir, quel est l’objectif principal de ces ouvrages sur Guenon ?
L’objectif central est de permettre à un grand lectorat de découvrir un homme et une œuvre exceptionnels. La connaissance de sa vie est conjointe à celle de son œuvre car structurée de la même façon. Guénon redonne vie à la Tradition dans sa dimension la plus élevée et nous rappelle des réalités oubliées. J’ai voulu souligner combien sa vision consistant en un retour aux principes fondamentaux et immuables demeure la seule solution pour une humanité en perdition.
Pour cerner la pensée religieuse de René Guenon, pouvez-vous nous fournir quelques-uns de ces axes majeurs ?
Son œuvre est structurée autour de trois axe majeurs : la dénonciation des idoles modernes, affirmation du Principe suprême de nature métaphysique et enfin, description des moyens initiatiques de réalisation de ce principe métaphysique. Les thèmes principaux sont la métaphysique, la critique du néo-spiritualisme et des dérives modernes, la tradition primordiale, l’initiation, le symbolisme comme langage de la Tradition, Les relations de l’autorité spirituelle et du pouvoir temporel.
Les débats actuels à l’intérieur de l’islam (sur l’état des sciences islamiques, la place du normatif, etc.) peuvent-ils bénéficier de cette pensée religieuse ?
Avant tout, l’œuvre de René Guénon n’est pas une pensée qui lui serait personnelle, elle est essentiellement l’exposition des fondements de la Tradition. Ensuite, elle ne peut être considérée comme religieuse mais plutôt comme traditionnelle, les deux termes n’étant pas synonymes. La Tradition englobe la religion qui n’en représente que la dimension extérieure comprenant le culte et la jurisprudence. Il est sûr que le débat à l’intérieur de l’islam aurait grand intérêt à se pencher sur cette œuvre sans pareil et ainsi à revenir aux vraies priorités.
Enfin, pouvez-vous nous expliquer les raisons de votre intérêt pour René Guenon et son œuvre ? Y a-t-il une actualité de son œuvre dans le monde islamique ?
Très rapidement, il m’est apparu que cette œuvre était tout à fait unique. La portée, les perspectives, la rigueur de l’exposition et la profondeur des vues exposées, je ne les ai retrouvées nulle part ailleurs, chez aucun autre auteur. De plus, la situation personnelle de René Guénon lui permit de s’exprimer librement et indépendamment des éventuelles pressions des milieux politiques ou religieux. Ce qui lui permit de rappeler certains fondements traditionnels sans ambages ni crainte. Il fut sa vie durant au service de la Vérité et permit à très nombreux lecteurs de retrouver le sens de la primordialité et de la réalisation spirituelle.
reportage a voir sur Mizane.info.

Sur des domes et des minarets.fr, rien de neuf.

Sur tribune lecteurs.com, le journal d’algérie, voici les titres.

Le Cnapeste en grève à partir d’aujourd’hui : Le spectre de l’année blanche.
Le Conseil national autonome des professeurs d’enseignement secondaire et technique (Cnapest) a décidé de maintenir son appel à la grève illimitée prévu à partir d’aujourd’hui. Apparemment, la réunion qui a regroupé ce dimanche les représentants de ce syndicat et les responsables du ministère de l’Education n’a pas dissuadé les initiateurs de cette action. En effet, après la rencontre entre des représentants du ministère de l’éducation nationale avec des responsables du CNAPESTE, le coordonnateur national du syndicat, Salim Oualha, a précisé que la rencontre « n’a pas atteint le stade de la négociation », estimant qu’il s’agissait d’ »une simple séance de travail protocolaire conforme aux lois en vigueur en matière de prévention des conflits au travail ». S’exprimant au terme de la réunion qui a duré cinq heures, le coordonnateur national du syndicat a déclaré qu’aucun accord n’a été trouvé. Par ailleurs, les représentants du CNAPESTE ont demandé à « rencontrer la ministre de l’Education nationale pour que des solutions efficaces soient trouvées à leurs problèmes » après avoir constaté que les représentants du ministère « n’ont pas de solutions aux revendications soulevées dans le préavis de grève ouverte que le syndicat compte organiser pour aujourd’hui » conformément à la décision prise lors de la dernière réunion de son conseil national, a fait savoir le syndicaliste. M. Oualha a affirmé que le syndicat était disposé à rencontrer la ministre « à tout moment afin que des solutions soient trouvées aux revendications soulevées, notamment la mise en oeuvre des procès verbaux signés par la tutelle et le bureau national aux niveaux national et local ». Il a regretté que l’administration ait procédé à des ponctions sur les salaires des enseignants grévistes dans la wilaya de Bejaïa en dépit d’un accord pour le rattrapage des cours non dispensés durant la grève et au licenciement d’enseignants. Les représentants du CNAPESTE ont demandé à « rencontrer la ministre de l’Education nationale pour que des solutions efficaces soient trouvées à leurs problèmes » après avoir constaté que les représentants du ministère « n’ont pas de solutions aux revendications soulevées dans le préavis de grève ouverte que le syndicat compte organiser le 30 janvier » conformément à la décision prise lors de la dernière réunion de son conseil national, a fait savoir le syndicaliste. Les revendications portent sur le plein respect de la teneur des conventions signées entre le ministère de l’Education nationale et le CNAPESTE, notamment en ce qui concerne la régularisation de la situation des personnels occupant des postes en voie de disparition, la médecine du travail, l’actualisation de la prime de zone pour les travailleurs du sud, le logement et les promotions. Pour rappel, la semaine dernière, le Conseil national du CNAPEST, lors duquel étaient présents les représentants de 38 wilayas, avait décidé à la majorité d’entrer en » grève nationale illimitée » pour dénoncer ce qu’ils ont qualifié de » pourrissement des conditions de travail « , et « d’érosion du pouvoir d’achat des enseignants dont les dernières augmentations étaient déjà rattrapées par la flambée des prix. »
Tizi Ouzou : Appel à une grève générale des commerçants.
L’UGCAA (aile Samir Djebbar) se démarque de l »appel à la grève générale des commerçants, lancé pour le 31 janvier prochain, par un groupe d’associations et d’organisations professionnelles de la wilaya de Tizi Ouzou, à savoir le collectif d’aide à la micro-entreprise (CAME) ; la fédération des jeunes entrepreneurs (FNJE) et l’UGCAA, aile Aba Hamid. Dans une conférence de presse organisée le 18 janvier dernier, ces organisations ont appelé les commerçants à observer une grève générale après demain, 31 janvier suivi d’un sit-in devant le siège de la CASNOS, le 31 janvier 2018, pour dénoncer ce que le collectif d’associations professionnelles appelle » les agissements répressifs, les redressements abusifs, les escentes punitives et le chantage orchestrés par les services de la CASNOS de Tizi Ouzou. » Cette action est venue en soutien à un ensemble de revendications qui ont trait, essentiellement, à l’arrêt des poursuites judiciaires à l’encontre des anciens cotisants ; le maintien du minimum à payer en matière de cotisation tel qu’édicté par l’article 14 du décret exécutif 15/289. La démarche de ce collectif et son appel à la grève lancé aux commerçants de Tizi Ouzou sont dénoncés parle nouveau bureau de l’UGCAA qui revendique la légitimité de la représentation des commerçants. Dans un communiqué qui nous est parvenu, le bureau de la wilaya de Tizi Ouzou de l’UGCAA, aile représentée par Samir Djebbar, qui elle se réclame de la nouvelle direction nationale de l’organisation des commerçants et artisans algériens présidée par Djamal Taklicht appelle les commerçant à ignorer l’appel au débrayage qui leur est lancé. » Le bureau de wilaya de l’UGCAA dément catégoriquement l’appel qui a été fait en son nom. « , liton sur le communiqué signé par le coordinateur pour la wilaya de Tizi Ouzou de l’UGCAA, en l’occurrence, Samir Djebbar qui » condamne énergiquement les agissements et les actions illégitimes de l’ancien bureau qui a été suspendu et gelé par la direction nationale de l’union des commerçants et artisans algériens. » Et d’annoncer le lancement d’ » une procédure légale pour arrêter les agissements irresponsables de ce bureau » informent encore les auteurs de l’appel à la démarcation. Une attitude qui se place dans le prolongement de la guerre qui secoue le sommet de l’UGCAA. Deux factions, l’une représentée par Salah Souilah, et la deuxième par Djamal Taklicht, qui se disputent la légitimité du pouvoir au sein de l’organisation des commerçants et artisans algériens.
Violence dans les stades à l’ouest du pays : 90 blessés et 130 arrestations en 2017.
Le service régional de l’ordre public relevant de l’inspection régionale ouest de police a enregistré 21 interventions dans des actes de violence lors de matchs de football en 2017 ayant fait plus de 90 blessés et ayant été marqués par l’arrestation de 130 personnes, a-t-on appris dans un bilan de l’inspection précitée, présenté dimanche à Oran. Le commissaire de police Guerdoudi Djilalli représentant du service a déploré, lors d’une conférence de presse consacrée au bilan de l’inspection régionale ouest de police, la violence dans les stades dans l’ouest du pays en 2017 faisant 90 blessés et 31 véhicules endommagés, en plus de l’arrestation de 138 supporters dont 102 présentés devant la justice, soulignant une hausse par rapport à 2016 (16 interventions, 54 blessés et 70 arrêtées). Cette situation regrettable est due à la mauvaise gestion des structures de déroulement des rencontres, à l’absence de concertation avec les services de police sur les aspects de sécurité dans les stades et au mauvais état de certains terrains (clôtures et accès détériorés), a-t-on souligné, signalant que sept clubs de l’ouest du pays seulement évoluent en ligues 1 et 2 professionnelles de football. La mauvaise programmation des rencontres importantes sans consultation des services de l’ordre, l’absence de stadiers, l’inefficacité des comités de supporters, les comportements non sportifs compliquant parfois la mission des policiers y figurent aussi parmi les facteurs engendrant la violence. Le même responsable a insisté sur la nécessité de revoir la gestion des structures et des rencontres, la formation de stadiers pour soutenir les policiers, la promotion de l’encadrement préventif des supporters, le réaménagement des infrastructures sportives et leur dotation en moyens modernes pour lutter contre la violence dans le stade sous toutes ses formes. D’autre part, le commissaire de police Guerdoudi Djillali a signalé 3.462 accidents de la circulation enregistrés en 2017 à l’Ouest du pays faisant 184 victimes et 4.082 blessés, soit une hausse de 16 cas de décès, de 299 blessés et de 20 accidents par rapport à 2016. Les causes principales sont dues notamment au facteur humain surtout des jeunes âgés entre 18 et 25 ans et des détenteurs de nouveaux permis nouveaux de conduire (95 pc), a-t-on souligné. La chef du service régional des ressources humaines, la commissaire de police Achour Meriem a axé son intervention sur le renforcement des services de police en ressources humaines, signalant la sortie de promotions de 910 lieutenants de police en 2017, renforcement des services de police de l’oranie et la promotion de 2.339 agents de police en différents grades. Sept structures de police et 11 structures sociales ont été inaugurées en 2017, at- on rappelé, annonçant l’ouverture de 18 structures de police et de neuf autres sociales cette année.
DOSSIER DES RETRAITÉS DE L’ANP : LES CLARIFICATIONS DU MDN.
Dans son communiqué, le ministère de la Défense nationale a tenu à apporter quelques éclaircissements au sujet des agissements enregistrés, récemment, de la part d’individus qui selon lui s’autoproclamant des différentes catégories de retraités de l’Armée Nationale Populaire. IIl est écrit : » Ces derniers ont emprunté des voies illégales pour exprimer leurs revendications, et ce, avec l’intention de semer le doute et d’induire en erreur l’opinion publique en se présentant comme étant des victimes aux droits sociaux et matériels bafoués, et ayant eu recours à la rue pour imposer leur logique « . La même source a rapporté que le Haut Commandement de l’Armée Nationale Populaire a donné, depuis 2013, des instructions, à ses services spécialisés à travers les différentes Régions Militaires, où il a été procédé à l’engagement des mesures et des procédures nécessaires en vue de l’étude de l’ensemble des dossiers émanant des différentes catégories de retraités de l’Armée Nationale Populaire, et ce à la lumière des dispositions contenues dans le code des pensions militaires modifié n°13-03 du 20 février 2013. Ceci a permis la régularisation de la majorité des dossiers déposés. » L’infiltration d’individus n’ayant aucun lien avec ce dossier et voulant introduire leurs revendications parmi celles des catégories concernées alors qu’elles s’inscrivent dans la catégorie des radiés des rangs de l’Armée Nationale Populaire pour des raisons disciplinaires et judiciaires qui ont fait l’objet de jugements prononcés à leur encontre à titre définitif » a ajouté le communiqué. Par ailleurs, le MDN a mis également en cause l’apparition de plumes s’autoproclamant défenseurs des préoccupations des éléments de l’Armée Nationale Populaire avec l’intention de manipuler ce dossier à des fins personnelles. Du reste , le Ministère de la Défense Nationale a tenu à rappeler que ses services et bureaux spécialisés demeurent mobilisés pour la réception des différents dossiers émanant des retraités de l’Armée Nationale Populaire dans leurs différentes catégories, et ce, conformément aux règlements et lois en vigueur, en vue d’une meilleure prise en charge sociale et médicale. Enfin, il a appelé à éviter les différentes voies d’expression anarchique et d’adopter le canal officiel représenté par l’Association des Retraités de l’Armée Nationale Populaire en tant que structure unique habilitée à porter leurs revendications auprès des services compétents du Ministère de la Défense Nationale.
La SNTF réceptionne son premier train rapide : Le » Coradia » sifflera le 2 mars prochain.
La Société Nationale des Transports Ferroviaires d’Algérie (SNTF) a reçu, dimanche matin au port d’Alger le premier prototype des 17 trains Coradia commandés chez Alstom. Ce train destiné aux grandes lignes, polyvalent bi-mode (diesel et électrique 25 kv), mesure 110 mètres de longueur et est composé de six voitures dotées d’une capacité totale de 254 passagers, dont 60 en première classe. Le voyage inaugural relient Alger -Oran est prévu le 2 mars 2018. Par ailleurs, la compagnie ferroviaire nationale procédera à des essais à blanc pendant le mois de février. Quant à l’exploitation commerciale, elle est prévue en mars. En alliant flexibilité, fiabilité, confort et respect de l’environnement, l’aménagement du train s’inscrit dans les derniers développements engagés par SNTF et permettent d’offrir un confort de voyage optimum. Les livraisons des trains suivants se feront jusqu’en juillet 2018. Ces trains conçus et fabriqués sur le site d’Alstom à Reichshoffen en France desserviront les grandes villes Algériennes. » Nous sommes fiers aujourd’hui de célébrer, avec notre client et nos partenaires, l’arrivée sur le sol Algérien du premier train Coradia d’Afrique. C’est une étape à la fois importante et émouvante car nous contribuons ainsi à la concrétisation d’un projet d’envergure pour promouvoir le développement des infrastructures ferroviaires en Algérie ». indique Henri Bussery, Directeur Général d’Alstom en Algérie. Il est à rappeler que, Alstom a livré le premier des 17 Coradia Polyvalent qui avaient été commandés par la (SNTF) le 29 juillet 2015. En effet, L’architecture modulable de Coradia Algérie a permis de l’adapter aux conditions climatiques du pays (sable, températures élevées). Il est équipé d’un système de climatisation très performant. Grâce à un plancher bas intégral, l’accès et la circulation à bord sont facilités. Par ailleurs, le Coradia Polyvalent est doté d’équipements éprouvés et d’une motorisation performante, issus d’une technologie maîtrisée. L’auto raille offrent confort, sécurité, rapidité. Les passagers bénéficieront d’un service de qualité sera assuré par des hôtesses formé à cet effet. Au sujet de la tarification le PDG de la Sntf a fait savoir que, le prix qui va être instauré notamment pour la première classe sera de 2000 Da, avec un coffret offert gratuitement, et pour la deuxième classe à 1700 Da, avec un coffret pour manger. La semaine passée, le DG de la SNTF Yacine Bendjaballah avait annoncé sur les ondes de la Radio nationale l’imminente arrivée de 17 trains Coradia qui relieront les grandes villes, notamment Alger et Oran dans un premier temps. Le gain de temps sera considérable, à en croire le même responsable.
Le projet s’inscrit dans le cadre d’un jumelage entre l’Algérie et l’UE : Formation de 1.330 pompiers stagiaires.
Le Directeur général de la protection générale ( DGPC) , le colonel Lahbiri Mustapha a mis l’accent sur la formation de 1330 stagiaires au cours de la première phase du projet de jumelage au profit de la DGPC qui entre dans le cadre du programme d’appui à la mise en oeuvre de l’accord d’association entre l’Algérie et l’Union Européenne (P3A). L’interlocuteur a fait savoir que ce projet a vu la participation de 42 experts européens et 84 algériens dans le but d’appliquer 29 activités dont 72 sont prévues prochainement et 21 projets en cours de réalisation. En effet , lors d’un séminaire d’évaluation du ce projet organisé hier au niveau de l’unité nationale d’instruction et d’intervention de la protection civile à Dar El Beida , le premier responsable de la protection civile a fait savoir que les résultats obtenus suite à ce projet de jumelage visent à échanger les expériences en matière de protection contre les dangers , ainsi pour développer une bonne maitrise des situation de crise . » Nous avons renforcés les unités de la protection civile et aussi veillé à promouvoir leurs connaissances à travers des programmes de formations adaptés, en plus d’un renforcement des capacités logistiques , tout en prenant en compte le facteur de l’environnement dans la lutte contre les catastrophes » at-il ajouté , en soulignant la formation de 6 milles stagiaires uniquement en France. M Lahbiri a tenu à préciser que ce haut niveau et fructueux partenariat a permis à la protection civile d’être à la hauteur de son excellente réputation, car elle est un exemple de professionnalisme aux niveaux national et international. Par ailleurs, il a réitéré son appel au renforcement de la coopération entre différents parties et en particulier avec ses partenaires européens dans la protection civile. Le même responsable a mis l’accent sur le programme de formation continue avec l’Union Européenne qui selon lui entre dans le cadre de l’appui et la mise en oeuvre de cet accord algéro-européen ainsi que la modernisation de la protection civile appliqué par le programme P3A, subventionné par l’Union européenne et géré par l’unité de gestion du programme de la protection civile. De son côté l’embrasseur européen et chef de la délégation de l’Union Européenne en Algérie Jhon O’ Rourk a mis en relief l’importance de ce projet de jumelage dans le renforcement de la coopération entre les pays en matière de protection civile et surtout dans l’accomplissement de ses mission qui sont la protection des citoyens et leurs biens. Pour sa part, un représentant de l’ambassadeur d’Espagne s’est attardé sur les objectifs de ce projet de jumelage qui visent à améliorer la protection contre les dangers, à promouvoir la culture de l’expérience dans la maitrise des situations de crise, renforcer les capacités opérationnelles dans unités de la protection civile, et celles des logistiques. Au cours de ce jumelage, il est question de continuer de suivre les sessions de formation de haut niveau par les stagiaires. Pour le mois d’avril prochain l’unité nationale d’instruction et d’intervention de Dar El Beida abritera une session de pratique.

Sur le muslim post.com, voici les titres .

Arabie Saoudite : la purge a permis de récolter 107 milliards de dollars.
107 milliards de dollars. C’est la somme récupérée par l’Arabie Saoudite suite aux accords financiers conclus avec la majorité des 381 personnes arrêtées dans le cadre de la lutte anticorruption initiée par le prince héritier. Ce week-end, alors que le plus célèbre des prisonniers, le prince Waleed Bin Talal, a été libéré, des sources proches du palais ont affirmé que 56 personnes sont toujours détenues depuis novembre à l’hôtel Ritz-Carlton de Riyad. Les autres ont pu rentrer chez elles.
Pour signifier la fin de la purge, le procureur général d’Arabie saoudite, Saoud Al Mojeb, a organisé une conférence de presse. Le cas des quelques dizaines de prisonniers toujours en détention devrait être réglé avant le 14 février, date à laquelle la direction du Ritz-Carlton assure qu’elle pourra à nouveau louer des chambres aux visiteurs.
Des amendes de 1 à 6 milliards de dollars.
Depuis début novembre, les autorités saoudiennes ont relâché une à une les personnes détenues. Dans le plus grand secret — on n’a jamais du les raisons officielles de la plupart des arrestations ni les conditions qui ont permis aux prisonniers de quitter l’hôtel —, Riyad a négocié avec ses détenus. Le prince Miteb Ben Abdallah, ancien chef de la garde nationale, a été le premier libéré d’une longue série. Ce dernier aurait payé 1 milliard de dollars pour recouvrer sa liberté.
Les arrangements financiers avec les autres détenus ont permis au Trésor saoudien d’encaisser des sommes parfois faramineuses, initialement mal acquises selon les autorités. Le milliardaire Waleed Bin Talal aurait reçu une proposition s’élevant à 6 milliards de dollars. Au New York Times, le prince héritier Mohammed Ben Salman assurait vouloir atteindre 100 milliard de dollars de rentrées d’argent. L’objectif a, selon les autorités, été largement dépassé.
France : Immigration : qui est Sonia Krimi, la députée qui dit non à Gérard Collomb ?.
On pensait La République en Marche à l’abri des dissensions internes. Et pourtant, depuis plusieurs semaines, une voix commence à s’élever au milieu du concert de louanges envers le gouvernement. Sonia Krimi est une jeune députée LREM — 35 ans, qui a décidé de dire ce qu’elle pense.
Le 19 décembre dernier, dans l’Hémicycle, l’élue de la Manche a décidé de critiquer le ministre de l’Intérieur Gérard Collomb et sa proposition de circulaire prévoyant le tri des exilés. « Ce dispositif détourne l’hébergement d’urgence et les lieux d’accueil gérés par les associations de leur finalité. »
En désaccord avec le durcissement de la politique migratoire, Sonia Krimi ne se cache pas pour s’opposer à son ministre de l’Intérieur. De là à fronder, comme l’avaient plusieurs socialistes sous François Hollande ? « Je ne pense pas que je suis une frondeuse, coupe-t-elle. C’est normal qu’il y ait des sensibilités qui s’expriment au sein d’En Marche !, et c’est même sain politiquement d’avoir cela. »
Gérard Collomb « vexé » par les critiques à son égard.
Et pour cause, la formation d’Emmanuel Macron semble vouloir mettre le holà. Née à Tunis et naturalisée française il y a cinq ans, Sonia Krimi semble difficilement réconciliable avec la politique de Gérard Collomb mais, comme une quarantaine d’autres députés de la majorité, elle prône une politique migratoire plus humaniste sans vraiment le crier haut et fort. Au soir de son intervention à l’Assemblée, Sonia Krimi, certainement recadrée par ses alliés de LREM, faisait machine arrière et déclarait : « On ne va pas commencer à critiquer une réforme qui n’est pas sortie. »
De son côté, ces derniers jours, Gérard Collomb a assuré qu’il n’édulcorerait pas son projet de loi asile et immigration. « Pas question de changer d’orientation », a indiqué le ministre de l’Intérieur qui assure que la France « ne peut accueillir tous les migrants économiques. » Pour Gérard Collomb, il existe toujours pour les parlementaires « des possibilités d’amendement. » Sonia Krimi osera-t-elle « vexer » son ministre de l’Intérieur, qui a déjà mal vécu les premières critiques à son égard ?
EHPAD : des soignants à bout et des retraités en danger.
Ce mardi, les salariés des maisons de retraite ont fait grève à l’appel de sept syndicats. Ils veulent dénoncer la dégradation de leurs conditions de travail. En cause, la Loi vieillissement qui prévoit des suppressions massives de postes. Dans un communiqué des syndicats, on peut lire qu’« il est inadmissible de ne pas prendre en compte la souffrance au quotidien que subissent les professionnels, et par là même les personnes âgées et les familles. »
Une pétition, signée par plus de 400 000 personnes, demande « des moyens pour nos EHPAD (Etablissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes, ndlr). » Des soignants de toutes professions veulent alerter, « au nom de l’engagement humain de (leur) métier », écrivent-ils, le ministère de la Santé et le gouvernement « sur l’insuffisance des effectifs et des moyens dans les établissements accueillant des personnes âgées (EHPAD) et dans les services d’aide à domicile. »
Un système qui ne tient que grâce aux personnels.
Cela fait plusieurs mois que les personnels des EHPAD tirent le signal d’alarme sur leur situation. Plus concrètement, les grèves doivent permettre d’alerter l’opinion public quand aux problèmes de sous-effectif et au manque de moyens humains et financiers. Les soignants déplorent également « parfois » des actes de maltraitance aux personnes âgées. De son côté, le ministère de la Santé estime que le souci serait dû à « un problème de management. »
Faux, estiment les syndicats qui parlent de la fin d’un système. « Cela fait des années que cette mobilisation sociale couve. Le système ne tient plus que sur les bonnes volontés des salariés, on arrive au bout », estime Claude Jarry, de la Fédération nationale des associations de directeurs d’établissements et services pour personnes âgées, qui appelle les familles à protester elles aussi. Les salariés déplorent des conditions de plus en plus difficiles : des toilettes à la chaîne, des repas au lance-pierre ou encore des besoins faits dans les couches par manque de temps pour accompagner les personnes âgées aux toilettes…
Quelles sont alors les revendications des syndicats ? Dans les EHPAD, actuellement, on dénombre six soignants pour dix résidents, les organisations syndicales voudraient un soignant pour un résident. Elles réclament également la présence d’un médecin coordinateur. La ministre de la Santé a promis de débloquer une enveloppe de 50 millions d’euros. Insuffisant selon les syndicats qui demandent une véritable prise en compte des besoins des EHPAD : de meilleures rémunérations et perspectives de carrières, l’abrogation des dispositions législatives relatives à la réforme de la tarification des EHPAD ou encore le maintien de tous les effectifs des EHPAD.
France : Un ado voulait « contrer l’islamisation » de la France avec un marteau.
Il signait ses méfaits en se faisant passer pour un « commando de défense du peuple et de la patrie française » ou « OAS », en référence à l’Organisation armée secrète qui prônait la présence française en Algérie. Finalement, l’auteur de plusieurs attaques au marteau à Dijon et Chalon-sur-Saône, début novembre, serait l’œuvre d’un adolescent de 17 ans. Il s’est dénoncé ce lundi à la police et a raconté avoir agi seul.
Il y a plusieurs semaines, des personnes avait subi de légères blessures après avoir été attaquées au marteau par le jeune homme. Ce dernier avait alors écrit à la presse locale pour revendiquer ses actes et affirmer vouloir « contrer l’islamisation » de la France. L’homme visait essentiellement des victimes portant le voile ou d’origine maghrébine. Des agissements islamophobes mais également politiques : le garçon demandait la libération de membres de l’ultra droite arrêtés mi-octobre.
Aujourd’hui placé en garde à vue, l’adolescent avait agressé deux femmes et deux étudiants, incendié des poubelles et braqué une pharmacie. Dans un courrier annonçant qu’il se rendrait, le jeune homme avait assuré n’avoir en réalité « aucune conviction nationaliste » et être « juste fasciné depuis toujours par le monde policier, judiciaire, et par les faits divers. » Il ne nie toutefois pas sa responsabilité dans les agressions islamophobes qu’il a commises depuis trois mois.
Attentat à Québec : plusieurs jours de commémorations au Canada.
La ville de Québec a organisé quatre jours de commémorations, en souvenir de la tragédie du 29 janvier 2017. Ce soir-là, juste après la dernière prière, une fusillade au Centre culturel islamique faisait six morts et dix-neuf blessés.
Un an après, l’émotion est toujours aussi vive pour les Canadiens et plusieurs événements et rassemblements ont eu lieu à Québec mais aussi dans les grandes villes du Canada comme Ottawa, Toronto ou Vancouver.
Vendredi 26 janvier, au Centre culturel islamique de Québec, plus d’une centaine de personnes se sont réunies sur les lieux du drame. La prière spéciale en direct de la mosquée, a été diffusée sur le web.
Le samedi 26 janvier, la mosquée a aussi organisé une journée portes ouvertes auquel ont participé les familles des victimes, des fidèles, mais aussi de simples citoyens touchés. Les murs de la mosquée étaient d’ailleurs drapés de messages de soutien envoyés par des gens de partout dans le monde, comme le rapportent les médias canadiens.
La ville de Québec a organisé quatre jours de commémorations, en souvenir de la tragédie du 29 janvier 2017. Ce soir-là, juste après la dernière prière, une fusillade au Centre culturel islamique faisait six morts et dix-neuf blessés.
Un an après, l’émotion est toujours aussi vive pour les Canadiens et plusieurs événements et rassemblements ont eu lieu à Québec mais aussi dans les grandes villes du Canada comme Ottawa, Toronto ou Vancouver.
Vendredi 26 janvier, au Centre culturel islamique de Québec, plus d’une centaine de personnes se sont réunies sur les lieux du drame. La prière spéciale en direct de la mosquée, a été diffusée sur le web.
Le samedi 26 janvier, la mosquée a aussi organisé une journée portes ouvertes auquel ont participé les familles des victimes, des fidèles, mais aussi de simples citoyens touchés. Les murs de la mosquée étaient d’ailleurs drapés de messages de soutien envoyés par des gens de partout dans le monde, comme le rapportent les médias canadiens.
Quant à l’université de Laval, où était inscrit le terroriste, elle avait organisé un colloque sur la lutte contre le racisme à l’automne dernier. Pour les commémorations, l’université à choisi de diffuser un documentaire sur la fusillade. Intitulé « Ta dernière marche dans la mosquée », ce film rapporte les témoignages de membres de la famille des proches ayant péri dans l’attentat ainsi que ceux des survivants. Il sera projeté dans plusieurs villes du Canada dans les prochaines semaines.
« On peut dire que le vivre-ensemble on le vit maintenant ».
Une centaine de citoyens ont également répondu à l’appel de la communauté de Québec pour participer à une rencontre publique, où les six veuves de l’attentat se sont exprimées pour la première fois, ainsi que le président du Centre culturel islamique :
« Le souvenirs de nos frères décédés reviennent toujours, mais la présence de nos concitoyens, c’est très réconfortant. On peut dire que le vivre-ensemble on le vit maintenant (…) J’ai parlé à plusieurs de mes concitoyens québécois qui sont venus me voir et c’est très touchant ».
Radio Canada confirme cet élan de solidarité suite à la fusillade, marqué par des lettres de soutien, une veillée à la chandelle, une marche contre la haine et l’organisation d’autres événements par des collectifs citoyens durant les mois suivants.
Aymen Derbali, le héros de la mosquée de Québec, qui a risqué sa vie ce jour-là en s’interposant auprès du tueur, a pris la parole à cette occasion. Ayant reçu sept balles, ses jambes sont désormais paralysées et il reçoit toujours de nombreux traitements.
« C’est vrai que c’est un Québécois qui a semé la terreur à la mosquée, mais c’est aussi vrai que ce sont des médecins québécois, le staff médical québécois qui a fait tous ces efforts pour nous sauver. Moi, principalement, je tiens à les remercier ».
Le Conseil national des musulmans demande une journée nationale contre l’islamophobie au Canada.
Lundi, les commémorations se sont poursuivies à Québec. Les citoyens ont été invités à apporter des fleurs et des chandelles pour une cérémonie près de la mosquée. De nombreux représentants de la classe politique canadienne ont également répondu présents lors de cette cérémonie. Parmi eux, le premier ministre du Québec Philippe Couillard, ainsi que le premier ministre du Canada Justin Trudeau.
Après une première déclaration devant les membres du Parlement, ce dernier a adressé un message aux victimes, et a encouragé à la poursuite du vivre-ensemble. Il a également rappelé son soutien à la communauté musulmane et exhorté les Canadiens à combattre l’islamophobie.
« L’islamophobie, ça nous dérange. C’est une réflexion qu’il va falloir avoir en tant que société », a t-il déclaré, soulignant « qu’il ne faut pas faire semblant que l’islamophobie n’existe pas ».
Un appel à l’instauration d’une journée nationale contre l’islamophobie a d’ailleurs été lancé début janvier par le Conseil national des musulmans. Il souhaite qu’elle soit instaurée le 29 janvier, date anniversaire de l’attentat à la mosquée. Une proposition qui divise déjà la classe politique, et à laquelle Justin Trudeau dit réfléchir, afin de trouver la meilleure manière de commémorer le souvenir des victimes dans les années à venir.

Sur agence media palestine.fr, rien de neuf.

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

Glick prend d’assaut la mosquée d’Al-Aqsa avec 57 colons
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La police d’occupation israélienne a assuré, mardi, la protection de 57 colons qui ont pris d’assaut les cours de la mosquée Al-Aqsa dans la ville occupée de Jérusalem.
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Le Hamas pleure le chef Imad al-Alemi
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Qarqa’a: 1000 arrestations à Jérusalem depuis la déclaration de Trump
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Appel pour un vendredi de colère dans le monde entier
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Des activistes expulsent une délégation américaine de Bethléem
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Des colons israéliens attaquent des Palestiniens dans la vieille ville d’Hébron
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56 détenus dans une campagne de raids israéliens en Cisjordanie et à Jérusalem
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La Santé: La crise énergétique nous met face à des
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Gaza: Des employés de l’UNRWA protestent contre le gel de l’aide américaine
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Liban: Deux agents israéliens derrière la tentative d’assassinat de Mohammed Hamdan
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L’occupation veut intensifier ses mesures oppressives contre les Jérusalémites
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Une délégation du Hamas rencontre Berri à Beyrouth
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Le Comité anti-blocus appelle le Gouvernement à adopter de vraies solutions à Gaza
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Le tribunal de l’occupation reporte par contumace le procès d’Ahed al-Tamimi
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L’occupation décide d’imposer son contrôle sur les villes de Jérusalem Est
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Trois palestiniens avisés de démolition de leurs maisons à l’est de Naplouse
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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Flash info du 14 Rabi al Thani 1439.

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Sur Ajib.fr, voici les titres.

Pourquoi Allah a créé toutes choses en couple ?
« Et de toute chose nous avons créé un couple, peut-être vous rappellerez-vous ? Fuyez donc vers Allah … » (Sourate 51-Verset 49-50).
« Louange à Celui qui a créé tous les couples, de ce que la terre fait pousser, d’eux-mêmes, et de ce qu’ils ne savent pas ! » (Coran, 36 : 36).
Le concept de « paire » ou de « couple » désigne pour beaucoup le mâle et la femelle. Le physicien britannique Paul Dirac a reçu le prix Nobel de physique en 1933 pour avoir révélé que la matière était créée par paire. Une découverte appelée « parité », elle démontre que tout est créé par paire, la matière et son opposé, l’antimatière.
Cette sorte de dualité est présente dans tout ce que Allah soubhanou wa ta’ala a créé. Elle existe aussi chez les plantes, ainsi les botanistes ont découvert qu’il existait le mâle et la femelle. Une découverte qui date d’une centaine d’années, mais révélée dans le noble Coran depuis plus de 1.400 ans.
« Il a créé les cieux sans piliers que vous puissiez voir ; et Il a enfoncé des montagnes fermes dans la terre pour l’empêcher de basculer avec vous ; et Il y a propagé des animaux de toute espèce. Et du ciel, Nous avons fait descendre une eau, avec laquelle Nous avons fait pousser des plantes productives par couples de toute espèce . » (Coran, 31 : 10).
« C’est Lui qui vous a assigné la terre comme berceau et vous y a tracé des chemins ; et qui du ciel a fait descendre de l’eau avec laquelle Nous faisons germer des couples de plantes de toutes sortes . » (Coran, 20 : 53).
Une particularité propre aux fruits qui sont aussi de type mâle ou femelle : « Et c’est Lui qui a étendu la terre et y a placé montagnes et fleuves. Et de chaque espèce de fruits Il y a établi deux éléments de couple [le mâle et la femelle]. Il fait que la nuit couvre le jour. Voilà bien là des signes pour des gens qui réfléchissent ». (Coran, 13 : 3).
« Celui qui a créé les couples dans leur totalité et a fait pour vous, des vaisseaux et des bestiaux, des montures », (Sourate Az-Zoukhrouf- Verset 12).
Toutes les créatures ont été créées par paires, comme le ciel et la terre, la nuit et le jour, le soleil et la lune, la terre et la mer, la clarté et l’obscurité, la foi et la mécréance, la mort et la vie, le malheur et le bonheur, le paradis et l’enfer.
Et Allah soubhanou wa ta’ala a dit : « Peut-être vous rappellerez-vous ». Pour nous rappeler qu’Il est unique sans aucun associé.
La terre, le ciel, les montagnes, la nature, les animaux, l’être humain… autant de signes pour méditer sur la puissance du Créateur. Le Coran nous ordonne dans de nombreux passages de méditer et de réfléchir sur la création.
Allah dit dans le Coran : « En vérité, dans la création des cieux et de la terre, et dans l’alternance de la nuit et du jour, il y a certes des signes pour les doués d’intelligence,qui, debout, assis, couchés sur leurs côtés, invoquent Allah et méditent sur la création des cieux et de la terre (disant) : “Notre Seigneur ! Tu n’as pas créé cela en vain. Gloire à Toi ! Garde-nous du châtiment du Feu” ». (Sourate Al-Imran, Verset 190-191).

Sur Katibin.fr, rien de neuf.

Sur journal du musulman.fr, rien de neuf.

Sur islam et info.fr, rien de neuf.

Sur saphirnews.com, rien de neuf.

Sur oumma.com, voici les titres.

Palestine : Non au congrès de psychanalyse et psychothérapie en Israël !
Des experts en santé mentale, parmi lesquels figure Samah Jabr, la psychiatre/ psychothérapeute palestinienne dont le travail, l’engagement et les nombreux articles sont désormais connus des Oummanautes, ont demandé instamment à l’Association internationale pour la psychanalyse relationnelle et la psychothérapie [IARPP] de reconsidérer sa décision de tenir sa réunion internationale de 2019 en Israël, en raison de l’agression systématique de cet État à l’encontre des Palestiniens.
Nous publions leur lettre ouverte parue sur le site Chronique de Palestine, le 27 décembre dernier.
Aux membres du conseil d’administration de l’Association internationale de psychanalyse relationnelle et de psychothérapie:
Nous vous écrivons pour exprimer notre opposition à la récente décision du Conseil d’administration de l’IARPP de tenir sa réunion internationale de 2019 en Israël, décision rendue publique par son président sortant, le Dr Chana Ullman. Nous demandons respectueusement au Conseil de reconsidérer cette décision.
Notre opposition est profondément motivée par la grave crise que représente l’occupation israélienne et ses attaques croissantes contre le peuple palestinien – des attaques reflétant une politique globale de nettoyage ethnique et de saisie des terres, de restriction de la liberté de mouvement et de contrôle des ressources naturelles.
L’occupation a lancé dès le début une attaque massive contre les droits de l’homme et la dignité humaine. Toutes ces atrocités ont été bien documentées par des organisations telles qu’Amnesty International, les Nations Unies et ses divers groupes de travail, ainsi que par d’innombrables universitaires, historiens et chercheurs. Néanmoins, pour de nombreuses personnes aux États-Unis et en Israël même, la culpabilité de l’État d’Israël a été masquée par une campagne massive de désinformation et de black-out.
L’annonce par le président Donald Trump, en décembre 2017, de la décision de relocaliser l’ambassade américaine à Jérusalem constitue une priorité particulièrement urgente pour notre appel. Israël n’a pas hésité à profiter de cette occasion pour redoubler d’efforts pour forcer le déplacement de milliers de Palestiniens hors de Jérusalem et pour s’emparer de leurs maisons, de leurs terres et de leurs entreprises.
Ce processus a été caractérisé dans l’immense majorité des cas par l’absence de procédure régulière et le recours à l’intimidation, aux assassinats ciblés et à la torture des Palestiniens – y compris la torture d’enfants, souvent accompagnée d’agression sexuelle.
Nous nous préoccupons du problème urgent de l’occupation d’abord en tant qu’êtres humains, ensuite en tant qu’agents de santé mentale voués aux valeurs humanitaires et profondément conscients de l’importance de ces valeurs pour le bien-être des enfants, des familles et des communautés. En tant que travailleurs de la santé mentale connaissant bien l’impact de la violence sur la santé individuelle et le bien-être collectif, nous estimons que nous avons une responsabilité supplémentaire de faire entendre notre voix.
Nous considérons que l’État d’Israël est responsable des blessures à grande échelle subies par le peuple palestinien, par son assaut incessant sur les esprits et les corps de ses habitants et par sa volonté implacable d’anéantir l’histoire, la culture, l’économie, le patrimoine, l’architecture et la vie communautaire.
Selon nous, la tenue de conférences internationales liées à tout domaine professionnel en Israël représente une acceptation tacite du comportement de l’État d’Israël et perpétue une « normalisation » fictive des relations entre Israël et la Palestine occupée. Organiser de telles conférences ne peut que contribuer à faire avancer les intérêts de l’État d’Israël en laissant entendre que cet État fait bon accueil à un libre échange d’idées – sans parler de remplir ses hôtels, ses restaurants et ses auditoriums d’un public reconnaissant. S’opposer au choix d’Israël comme lieu des conférences internationales est une manière de mettre au premier plan la conduite de l’État d’Israël en tant que sujet de discussion et de débat, afin que l’étendue de la dépossession et de la souffrance du peuple palestinien puisse être reconnue.
Il est particulièrement ironique et douloureux de voir Israël sélectionné comme lieu d’une conférence internationale, lorsque le thème central de l’organisation est la compréhension en profondeur des relations humaines.
La majorité des membres de l’IARPP vit aux États-Unis et le deuxième plus grand groupe national vit en Israël. Certains membres de l’IARPP israélien ont suggéré que la conférence de 2019 pourrait améliorer le problème posé par le choix d’Israël comme lieu de rencontre en invitant des orateurs palestiniens et en sollicitant des présentations par des organisations israéliennes progressistes de professionnels de la santé mentale concernés par un conflit politique.
Pourtant, inviter des orateurs et des participants palestiniens à la conférence peut se révéler simplement impossible à cause des check-points, des restrictions de mouvement, des listes noires de militants et d’autres expériences quotidiennes familières aux Palestiniens – abus de pouvoir qu’aucune conférence en Israël ne peut changer et qui inévitablement reproduira la dynamique de pouvoir de la situation politique dans le microcosme de la conférence.
Néanmoins, nous sommes d’accord sur le fait que prendre ces mesures en théorie peut orienter l’IARPP dans la bonne direction; nous sommes convaincus que le groupe israélien poursuit ces activités dans le cadre de son fonctionnement régulier tout au long de l’année et non seulement lorsque des étrangers sont présents. Mais indépendamment de ces considérations, ces efforts bien intentionnés pour faire mention de la perspective palestinienne dans la conférence internationale ne parlent pas de la question centrale : la nécessité de démontrer au monde qu’Israël doit rendre des comptes pour son comportement.
La cible de notre protestation est le comportement de l’État d’Israël. Notre objection ici n’est pas à un individu ou à l’IARPP en tant qu’organisation. Nous reconnaissons pleinement qu’il y a des membres de l’IARPP qui soutiennent activement la Palestine et beaucoup d’autres qui peuvent être très disposés à écouter des voix exprimant leur dissidence de la politique israélienne. Notre objection s’applique à la décision du Conseil de l’IARPP de tenir la conférence de 2019 en Israël. Nous considérons que cette décision est répréhensible parce qu’elle protège Israël contre l’exposition publique de ses atrocités – une exposition qui a bien trop tardé.
Nous espérons entendre que nos collègues du Conseil de l’IARPP vont rouvrir le débat sur cette décision.
Sincèrement vôtre,
Samah Jabr MD.
Psychiatre, Jérusalem-Est.
Elizabeth Berger MD, MPhil.
Pédopsychiatre, New York.
Rebecca Fadil, LCSW.
Travailleur social, Washington, DC.
Christine Schmidt, LCSW.
Psychanalyste et membre de l’IARPP, New York.
islam : La soumission à Dieu est un acte de volonté libre.
La dimension de l’amour.
Seul Adam, « grumeau de sang coagulé » comme dit le Coran (40, 67), peut faire à Dieu l’offrande d’un amour en toute liberté. D’ailleurs, Dieu n’exige rien des simples d’esprit, car celui qui n’a pas la possibilité de choisir ne peut être considéré comme responsable. L’islam ne se réduit pas à la lettre, à une morale pratique, ni même à des préceptes rituels, mais ouvre avec des paraboles sur le mystère.
L’islam – au sens de soumission à Dieu – de l’humain, contrairement à celui des autres créatures, est un acte de volonté libre. Il n’est pas conformité passive, mais adhésion confiante, en réponse à l’Amour divin. Car Son Amour précède l’amour humain, et l’incite. « Sa Clémence précède Sa Rigueur », comme, selon la tradition, il est écrit sur le Trône divin, car « Dieu est plus proche de l’homme que sa veine jugulaire.» (Coran 50, 16). Le terme arabe est souvent rendu par « veine » en référence à l’anatomie humaine. Mais la veine transporte du sang chargé d’impuretés. Certains traducteurs, pour exprimer cette présence lumineuse de Dieu en l’Homme, lui préfèrent donc le mot « artère »..Le thème de la liberté se noue à celui de l’Amour divin. Par cela, il se rattache au mystère des fins dernières de l’être.
Chaque dimension de l’être humain est régie par un ordre. Selon une parole qui est quelquefois attribuée au prophète Muhammad, prototype du modèle de l’accomplissement dans les trois dimensions humaines : « Ma Loi (shari’a) ce sont mes paroles ; ma Voie (tariqa) ce sont mes états spirituels ; ma Vérité (haqiqa), ce sont mes caractères nobles ». Il exprime ainsi les trois modalités de l’être en donnant pour chacune la règle qui lui correspond.
Le monde formel auquel appartient le corps est régi par sa Loi sacrée dont dépend son équilibre. Dans ce domaine, celui de la matérialité qui est liée à l’espace et au temps, l’ordre procède de l’enchaînement des causes secondes. L’âme dont le destin est de s’élever pour s’attacher à l’esprit peut suivre une voie de transformation ou tariqa. Mais le monde comporte un envers, une autre face. Dans cet au-delà des formes, le monde de l’esprit est le domaine de la haqiqa, la Connaissance. Ainsi, la vérité est cachée ou révélée selon ce que nous sommes capable de recevoir, de percevoir, en nous-mêmes, car le monde corporel est le reflet changeant d’une immuable réalité.
L’être humain fait un pont entre les deux mondes. Il occupe, de par sa position originelle, la place la plus élevée dans l’ordre de la création. Cette place se retrouve comme en miroir dans le monde manifesté, puisqu’il est le calife de Dieu sur la terre. Il est plus facile de se représenter les choses si l’on pense à l’état de veille et à celui du rêve. Les règles qui nous rendent compréhensible le monde disparaissent dans le rêve, pourtant il vient de nous. Dans notre sommeil, nous semblons fabriquer un monde incohérent ou merveilleux dans lequel est possible ce qui ne l’est pas à l’état de veille.
Quand nous nous réveillons, nous pensons que ce n’était pas réel, qu’il s’agissait d’une fantaisie de notre âme, une activité incontrôlée de notre cerveau. Mais quand nous dormons, où est la réalité ? Parfois, dans le rêve, il nous arrive de prendre conscience que nous dormons, et même de pouvoir sortir du rêve. Certains songes laissent une impression troublante de réalité. Ils restent en nous pour toujours, inscrits dans nos muscles et dans nos sens. Certains, renversant les habitudes mentales, disent que la vie est rêvée et que nous nous réveillerons lorsque nous mourrons. Nous sommes donc conscients qu’il existe un ordre des choses et que cet ordre est différent et nous échappe souvent dans le rêve. Ceci illustre l’existence d’autres états de conscience régis par d’autres lois.
L’esprit de la loi.
La nuit et le jour, l’eau et le feu, le début et la fin, l’esprit et la lettre, l’intérieur et l’extérieur, le féminin et le masculin, la santé et la maladie, dans le monde créé tout est duel et aspire au retour à l’unité primordiale. Le corps définit une forme. Il établit une frontière entre l’intérieur et l’extérieur, il nous individualise, nous distingue les uns des autres, fait éclater en multitude l’unité de l’être. L’harmonie, la cohérence du monde reposent sur un ordre cosmique, une Loi divine qui, en islam, se nomme shari’a, c’est-à-dire « route ».
Elle est le chemin du corps, ce qui ordonne la nature et oriente le comportement, reflet extérieur d’une attitude intérieure. En tant que Loi révélée, la shari’a fixe des règles qui participent à l’ordre du monde et qui constituent une protection, une direction pour retrouver l’unité perdue. Etre une femme ou un homme est une contingence qui n’a de sens que dans ce déterminisme qu’implique l’état individuel, car cela constitue pour le voyage de l’âme un point de départ. En fait, toutes les âmes sont féminines et soupirent vers le seul principe qui est Dieu et ne voit que les cœurs, non les sexes.
Quand un homme ou une femme s’est anéanti en Dieu, il n’a plus d’existence propre. Comme les corps après la mort retournent à la poussière, les notions d’ « homme » et de « femme », liées à la fonction cosmique, disparaissent. Etre une femme ou un homme participe donc d’une prise de conscience de la forme qu’a prise l’âme, de ce qu’implique cet état, de ce qu’il permet et de ce qu’il empêche dans le monde de l’extériorité. Dans le monde de l’intériorité, celui de lahaqiqa, cette distinction n’a plus cours. Mais nous ne sommes pas de purs esprits. Ne pas tenir compte de son déterminisme sexuel coupe l’individu de sa nature formelle et le rend incapable de se connaître lui-même.
Notre état corporel et l’ordre qui le régit sont un tremplin qui ne doit ni être dénié ni se transformer en boulet. « Occupez-vous de vous purifier, plutôt que de discuter sur la manière rituelle de monter une chamelle ! » disait une grande sainte de l’islam. La Loi divine est un moyen de parvenir à Dieu, une porte, pas un but et encore moins une obsession. L’imam Ghazali met en garde contre cette dangereuse confusion : « Ceux qui sont si érudits en certaines formes rares de divorce, ne peuvent rien vous dire à propos des choses les plus simples de la vie spirituelle, comme le sens de la sincérité en Dieu ou de la confiance en Lui ».
Le monde formel et la loi qui le régit sont un moyen, une épreuve aussi parfois car il faut supporter patiemment les limitations que cela impose. Il n’est pas question, bien entendu, d’axer la vie sur la science du licite et de l’illicite, mais de comprendre en toute humilité la miséricorde qui fonde l’esprit de la loi. Elle est le code de la route de notre existence physique. Le mot shari’a est l’équivalent du terme sanskrit dharma. Ces termes désignent, tout autant dans l’hindouisme que dans le bouddhisme ou l’islam, la Loi révélée, l’ordonnance prescrite à tous dans le monde formel, celui du corps et des actes.
C’est le chemin que suit chaque être humain dans sa quête de l’origine. L’univers est organisé selon un ordre mathématique, cette harmonie repose sur la loi et de ce fait, on peut dire que les atomes comme les corps célestes, tous sont soumis et obéissent à cette loi. Elle est l’ordre du monde, universelle elle s’adapte à toutes les cultures et à toutes les époques. Le plus sage est celui qui parvient à se conformer à l’ordre universel. Cette conformité est un acte de foi, preuve de la confiance en la raison cosmique. Elle n’est pas résignation, mais amour. Il ne faut pas la confondre, comme c’est souvent le cas, avec le fiqh, le droit musulman dont les règles sont le fruit d’une tentative d’interprétation humaine de la Loi divine, interprétation qui est plurielle, selon que l’on se rapporte à une école ou à une autre.
L’esprit de la shari’a est donc loin de cette ankylose qui fige depuis plusieurs siècles la pensée religieuse des musulmans, ou de ce qu’en disent les media. Dans la perspective d’un enseignement initiatique, elle est considérée à la fois comme le début et comme la fin de la voie initiatique. Au terme de la voie, le corps a réintégré sa forme originelle.
Le disciple doit être, comme disent les soufis, « intérieurement avec Dieu et extérieurement avec les hommes », réalisant ainsi en lui-même l’identité essentielle entre Créateur et créatures. La shari’a est la voie extérieure, celle duzâhir, mais elle trouve sa justification dans l’intérieur, le bâtin, comme le mouvement de notre corps trouve son origine dans le fond de notre âme. L’individu humain est dans l’obligation de partir du socle formel pour s’élever, d’abord dans les prolongements de cet état même, et puis bien au-delà.
Ainsi va l’ordre du monde, avec un extérieur et un intérieur, pour que nous connaissions Dieu sous ces deux aspects dont nous sommes nous mêmes dotés.

Sur Mizane.info, rien de neuf.

Sur des domes et des minarets.fr, voici les titres, rien de neuf.

France : Mulhouse : les remarquables projets de l’Association des Palestiniens de France.
L’Association des Palestiniens de France – Mulhouse fondée en 2005, est une organisation de solidarité internationale à vocation sociale et humanitaire agissant dans les domaines de l’assistance humanitaire. Sur le terrain depuis environ 10 ans, l’ONG est active dans les camps de réfugiés palestiniens, principalement pour trois catégories de personnes : les orphelins, les personnes handicapées et les familles dans le besoin. En parallèle, l’Association des Palestiniens de France œuvre à la réalisation des droits médicaux et sécuritaire des réfugiés palestiniens.
Les bureaux de l’association sont situés à Mulhouse. D’ailleurs, il est possible de venir déposer sur place vêtements chauds ou contribuer financièrement à la réalisation des différents projets de l’association. La particularité de cette dernière est qu’elle est fondée et gérée par des palestiniens qui connaissent bien le terrain et les besoins des populations locales sur place.
PARAÎNER UN ORPHELIN, UNE FAMILLE, UN ENFNANT NÉCESSITEUX.
Une action concrète consiste à aider des enfants à construire une vie d’adulte. Ce projet amorcé récemment en août 2016, par la réalisation de centre d’accueil pour orphelin reçoit déjà 150 enfants quotidiennement.
Le centre pour orphelins palestiniens Basma Yatim (« Sourire des orphelins ») est une structure qui fournit une cantine, une école, une salle informatique, une aire de jeux, une salle de cours où est enseignée l’arabe, la civilisation islamique, les sciences, les mathématiques, l’anglais, les notions de français ainsi que des cours de sunna et hadith.
DE L’EAU et de L’ÉLECTRICITÉ POUR GAZA.
Ce projet permettra d’améliorer les conditions de vie des familles pauvres dans la zone de la bande de Gaza, en particulier les familles nombreuses de plus de 5 personnes, ainsi que les familles vivants dans les abris de L’UNRWA. Un véhicule de UFA est chargé de la distribution de l’eau.
Quelques actions :
– Creuser un puits d’eau.
– Création usine de dessalement dans la bande de Gaza pour produire de l’eau douce.
– Distribution de l’eau potable aux familles dans la bande de Gaza par le biais d’une citerne d’eau.
RAMADAN, RENTRÉE SCOLAIRE, KIT D’HIVER.
L’APF a mis en place la campagne des colis alimentaires qui sont une aide annuelle pour plusieurs familles palestiniennes. Il existe deux formats de colis alimentaires : le premier à 25€, destiné aux familles de taille moyenne et le second à 45€ destiné aux familles nombreuses. Ils sont distribués uniquement aux familles qui en ont le plus besoin. Ils contiennent des denrées de premières nécessités telles que farine, huile, lait, riz, dattes, pâtes etc …
Pendant le mois de Ramadan, l’APF propose de nombreuses actions. Tout d’abord, la distribution d’Iftar se déroule chaque jour pendant ce mois, dans les camps de réfugiés palestiniens et également à Gaza. Des colis alimentaires sont également donnés aux populations palestiniennes. Ces colis sont composés de nombreuses denrées vitales pour ces familles. Des aliments tels que la farine, le lait, l’huile, le riz, le thon ou encore le sucre composent ce colis alimentaire.
Face à la dureté de l’hiver, l’APF s’active pour apporter aux familles nécessiteuses réconfort et soutien. Ainsi, un kit d’hiver sera distribué aux familles les plus démunies, celles qui ont entre autre des enfants. Ce kit comprendra un chauffage et une grosse couverture. Le but de cette action est complémentaire aux autres actions menées au quotidien par l’association.
L’APF – Mulhouse s’est engagée toute l’année à collecter des vêtements et chaussures dont vous ne voulez plus. Il vous suffit de nous les apporter, une fois triés ils seront renvoyés aux palestiniens dans le besoin. L’APF collecte également du matériel médical : lunettes, attelles, fauteuils roulants.
ADRESSE : 17 avenue Aristide Briand, 68200 Mulhouse.
POUR FAIRE UN DON : https://afssp.org/donner .
POUR SUIVRE L’ASSOCIATION :
Site : https://afssp.org .
Facebook : https://www.facebook.com/associationpalestiniensdefrance .
URSS : Khutbas soviétiques.
Les khutbas soporifiques et/ou à la gloire de l’idéologie dominante, un héritage soviétique ? Nous ne sommes pas loin de le penser à la lecture des archives de la défunte URSS sur la question. En toile de fond, une idée directrice : les principes du communisme sont “compatibles” et même “inclus” dans le Qur’ân. Dans la pratique, on s’adapte à tous les diktats marxistes pour conserver sa place, quitte à aliéner davantage encore les croyants et à renier les bases mêmes de la religion – à l’image de l’obligation des prières quotidiennes, sacrifiée sur l’autel de la productivité.
Le clergé musulman officiel semble alors si désireux de s’adapter à la société soviétique qu’un inspecteur aux affaires religieuses rapporte qu’aucun imâm qu’il a pu interroger n’a rechigné à affirmer que les enseignements du Qur’ân ne contredisaient en aucune façon le communisme marxiste-léniniste – une idéologie notoirement athée, rappelons-le. Les imâms officiels rivalisent d’ingéniosité pour satisfaire le pouvoir en tentant de prouver que Marx et Engels n’étaient que “des instruments d’Allâh pour atteindre la société socialiste” ou encore, comme le dira l’imâm de Léningrad, que “Lénine n’avait fait que mettre en œuvre la volonté divine et les préceptes coraniques.” Un prêcheur azéri va plus loin en déclarant, toute honte bue, que “le pauvre qui a vécu sous la Russie tsariste est entré dans l’Union soviétique comme dans un paradis accordé par Allâh.”
Et puisqu’on ne peut plus parler de grand chose, on parle, finalement, toujours de la même chose, comme le rapporte un historien britannique : ‘La plupart des imâms tendent à restreindre leurs sermons à la morale personnelle et domestique : le respect des parents, l’importance des liens du mariage, l’obligation pour les hommes de respecter leurs épouses, la responsabilité pour les parents d’éduquer leurs enfants. Souvent, les sermons comprennent des appels à soutenir les activités internationales parrainées par l’URSS. Certains imâms, les plus “politiquement éduqués et loyaux”, dédient leurs sermons au soutien à la politique soviétique, tant nationale qu’internationale, et appellent les croyants à prier pour son succès. Le mollah d’Izhevsk conclut ainsi son sermon, dans les années 70s, par un vibrant : “Longue vie au communisme, le futur radieux de l’humanité!”
Souvent, les khutbas ne sont d’ailleurs que des copier-coller directs des directives fournies par Moscou; dans une région du Kazakhstan, le seul imâm, avancé en âge & sourd, ne fait que repéter chaque vendredi le même texte, où il appelle à prier pour la paix, ne pas voler et travailler honnêtement, 52 fois par an. Au fil des décennies d’aliénation, le niveau en sciences islamiques des imâms officiels a en effet dramatiquement chuté, au point que dans les années 70’s, peu d’entre eux sont capables de présenter correctement le dogme musulman & se contentent de traiter de sujets mondains ou de louanges au régime.
Cette situation pathétique n’est cependant pas du goût de tous : ainsi, à côté du clergé officiel se développe un réseau d’imâms non reconnus, que l’on appelle aussi “mollahs itinérants”, qui tiennent fréquemment des écoles coraniques clandestines. Leur liberté de parole attire naturellement la jalousie des imâms salariés du régime qui ne manquent pas une occasion de les dénoncer et de réclamer sans cesse une répression accrue contre eux, en particulier lorsque les campagnes anti-religieuses de Moscou battent leur plein. Beaucoup deviennent d’ailleurs des informateurs; au Tadjikistan, ce clergé collaborateur va même jusqu’à déclarer qu’il est “contraire à la sharî’a” d’établir des espaces de prière hors des mosquées reconnues par l’État et qu’y prier en groupe fait partie des “grands péchés”.
Toute ressemblance avec des faits actuels serait évidemment fortuite…
VIDÉO. Dejan Ljubicic, joueur de foot autrichien, a profané une mosquée.
Dans la nuit de jeudi à vendredi, une mosquée de la ville de Kiseljak située au centre de la Bosnie-Herzégovine a été victime de jets de bouteilles de bière. Sa façade principale a été légèrement endommagée. Les images de vidéosurveillance montrent deux individus qui descendent d’une voiture avant de commettre l’acte malveillant. La voiture repart aussitôt à vive allure.
L’analyse de ces images ont conduit à l’interpellation des deux hommes. L’un d’eux, Dejan Ljubicic, est un joueur professionnel du club viennois Rapid Vienne. Le milieu de terrain de 20 ans a avoué avoir commis cet acte islamophobe alors qu’il était en vacances dans le pays d’où sont originaires ses parents, des croates de Bosnie de confession catholique, précise la presse.
“Je ne sais pas ce qui m’est arrivé et je ne peux que m’excuser et m’assurer que je suis vraiment désolé pour cette erreur”, a-t-il déclaré dans un communiqué de presse de son club. Il promet en outre de réparer les dégâts causés par son acte et de faire un don à la mosquée.
reportage a voir sur des domes et des minarets.fr.
Des esclaves musulmans en France médiévale.
Il est dans certains cercles intellectuels régulièrement fait état de toute l’importance du commerce d’esclaves dans le monde musulman d’avant. Par opposition, les européens n’auraient véritablement pris part à cette entreprise que sur la tard. Ce n’est pas tout à fait faux. Mais non plus tout à fait vrai. Les archives et travaux historiques (Charles Verlinden, François Clément) montrent, à côté du servage courant durant des siècles, que l’esclave pouvait dans les sociétés chrétiennes du Moyen Age être une figure courante. Parmi eux : de nombreux musulmans.
Au lendemain des croisades, entre les 12ème et 13ème siècles chrétiens, l’expansion des castillans et aragonais en Espagne musulmane avance, faisant peu à peu tomber toutes les terres sarrasines. Si on y récupère des bibliothèques et savoirs divers, on y gagne aussi des Hommes. Après chaque ville reprise (Valence, Tortose..) ceux n’ayant pu fuir ou mourir au combat sont alors faits captifs et mis sur le « marché ». La Catalogne et le sud de la France étant historiquement liés, les musulmans pris sont alors surtout revendus à Narbonne, Montpellier et Marseille. La plupart sont des femmes. Vendues à d’aisés chrétiens ou hommes d’Eglises, elles finissent généralement comme servantes, sans que la conversion au christianisme ne leur soit d’ailleurs imposée. Les quelques hommes devenus esclaves sont eux faits ouvriers agricoles. La Reconquista ralentissant, entre le 13ème et le 15ème siècle chrétien, la grande majorité des esclaves sont cette fois ramenés de Mer Méditerranée, alors dominée par les musulmans d’Afrique du Nord. Si ceux-ci font de nombreux esclaves, certains devenant ensuite d’influentes personnalités au Maghreb après leur conversion à l’islam ; les corsaires chrétiens ne sont pas en reste : ils prennent et revendent en Provence la plupart des hommes faits prisonniers sur leurs bateaux. Certains se convertissent, d’autres restent non, le choix leur est encore souvent laissé. Les siècles suivants, les italiens devenus maîtres en la matière font acheminer les esclaves musulmans depuis les ports de la mer Noire. Des femmes pour la plupart, ces esclaves sont cette fois le plus souvent des tartares, caucasiennes ou turcs.
Les données numériques de cette traite ne sont pas disponibles, mais les archives et registres fiscaux (la leude de Narbonne entre autre) des villes du sud de la France laissent indiquer que la chose était courante. De faible coût, parfois pas plus cher qu’une mule, le sarrasin était un bien que même un simple artisan ou paysans pouvait des fois se payer. Rarement affranchis, la condition de ces esclaves musulmans variait selon le maître en question. Les musulmanes devenues des domestiques avaient souvent à partager la couche avec leur maître, occasionnant tantôt des naissances. Faits chrétiens, les enfants naissant de ces unions n’étaient pas affranchis pour autant. Pas plus que la mère d’ailleurs. Les fuites sont courantes, les musulman(e)s tentant souvent, à défaut de pouvoir retourner en terre d’islam, de gagner Toulouse ou Pamiers, qui avait inscrit dans leur droit le fait de ne pas rendre les esclaves ayant gagnés leur sol. Les plus chanceux étaient rachetés par des alfaqueques (al fakkak), rédempteurs musulmans sillonnant le sud franc à cette époque. Pour les autres, dispersés ça et là, ils se fondent dans la masse, coupés de tout contact avec d’autres musulmans, ne laissant ainsi que peu de traces.
Il existe aussi d’étonnants récits. Il y a celui de Jordi, tartare rebaptisé s’enfuyant de chez son maître en 855 de l’hégire (1451) en Catalogne et rattrapé avant de s’évader à nouveau tentant une traversée des Pyrénées par l’Andorre. A nouveau arrêté, son maître s’apprêtant à le récupérer, il s’enfuit une nouvelle fois, allant vers Toulouse, pour être encore arrêté avant d’y arriver. Mais l’homme s’enfuit à nouveau, réussissant cette fois à atteindre Toulouse et à s’y établir. Plus étonnant encore : le récit d’Antoine, esclave noir rebaptisé aussi de Barcelone. S’évadant et atteignant Pamiers, il entre là au service d’un lieutenant local. Mais son maître retrouvant sa trace, il est à sa demande enfermé. Le lieutenant portant plainte, l’affaire arrive devant la justice. Celui-ci gagne, le droit local garantissant la sécurité des réfugiés, il fait libérer Antoine. Des années durant, les esclavagistes tenteront de le refaire enfermer, mais la ville de Pamiers va alors se porter garante de sa liberté, le faisant même « bourgeois ».
Des siècles durant, musulmans et musulmanes auront ainsi pris pied dans l’Europe médiévale et chrétienne, bien souvent au détriment de leur liberté, mais parfois la regagnant et faisant souche en Provence et ailleurs. Les interactions ayant été nombreuses, tout laisse à penser qu’un peu de sang de mahométans et sarrasins doit bien circuler dans les veines de quelques-uns…

Sur tribune lecteurs.com, voici les titres.

L’euro et le dollar s’effondrent face au dinar : Les signes de la déprime.
L’Euro et le Dollar américain ont enregistré une forte baisse de leur valeur sur le marché noir des devises en Algérie, après avoir atteint des sommets historiques en cette période de fêtes de fin d’année. En effet, depuis ce vendredi l’Euro a enregistré un léger recul de sa valeur face au Dinar algérien, au lendemain d’un record historique qu’il a enregistré à 136,77 Dinars hier jeudi sur le marché de change interbancaire. Selon des cambistes, la monnaie unique européenne est passée en trois jours de 207 dinars l’unité à 198 dinars. La chute de la demande sur l’Euro au marché parallèle serait selon les experts due aux dernières mesures annoncées par la banque d’Algérie sur les importations. De leurs cotés les cambistes affirment que la raison de cette horrible chute est énigme » Il n’y a pas d’acheteurs, le marché est calme. Nous ne comprenons pas les raisons de cette baisse « . De son côté, le dollar a également baissé à 165 dinars l’unité. Cette forte baisse des principales devises sur le marché noir algérien intervient alors que sur le marché interbancaire, l’euro a enregistré ce jeudi un nouveau record historique à 137,24 dinars et le dollar, même s’il reste stable (-0,24% à 114,91 dinars), il demeure pas loin de son niveau historique annuel.
I.H
Scandale des sardines pêchées et rejetées à la mer à Mostaganem : Ou la face cachée de l’iceberg.
A Mostaganem, si depuis quelques jours la vidéo montrant des pêcheurs jetant des quintaux de sardine en pleine mer, ne cesse d’occuper les espaces des journaux, et alimente la chronique locale, il n’en demeure pas moins, que selon les observateurs et les professionnels du secteur de la pêche, cette pratique n’est pas nouvelle, par le fait qu’à caque saison estivale ou en période de forte production, des quantité de sardine sont jetés à la mer pour maintenir la hausse des prix. Aujourd’hui, il a fallu que certains pêcheurs soient pris en vidéo, pour que cette pratique soit médiatisée, et que la nouvelle s’est répandue telle une trainée de poudre, de sorte que le wali vient d’ordonner une enquête, pour déterminer les tenants et aboutissants de cette affaire, et éventuellement des sanctions qui s’imposent et situer les responsabilités des uns et des autres. Alors que le directeur de la pêche n’est pas resté insensible à cet »buzz », tout en déclarant que cette vidéo a éé enregistré, durant la dernière saison estivale, il est à se demander où se trouvaient les responsables concernés au moment de cet acte ? Il convient d’indiquer, que dans le cas où cette affaire n’a pas été révélée par Les médias, elle continuera à passer sous silence dans la mesure où les complicités ne sont pas à écarter. dans ce contexte il est utile de signaler, qu’au niveau du secteur de la pêche et du port en général, beaucoup de choses se défont et se défont, et qu’il est difficile de glaner la moindre information fiable, à même de diligenter une enquête appropriée. En tout état de cause, il y a lieu de remarquer, que selon les observateurs, les gens avertis et les professionnels de la pêche, lors de chaque saison estivale et en période de surpêche, des quantités de sardines ont de toujours été jetées en mer, pour limiter l’offre et éviter la baisse drastique des prix. Les mis en cause avancent que dès 9 heures du matin ce poisson devient impropre à la consommation, alors qu’au niveau de la poissonnerie ou a proximité du marché, il est exposé à la vente même à une heure avancée de l’après midi et en toute impunité. Dans le cas d’une enquête sérieusement diligentée, le voile sera levé sans aucun doute sur certaines zones d’ombre, par le fait que cette affaire de la sardine jetée en mer, n « est que la face cachée de l’iceberg.
SALAH- EDDINE.
Le petit Ramzi retrouvé mort dans un étang près de chez lui : Crime abject ou mort accidentelle ?
La gendarmerie nationale a fait savoir que le corps sans vie du petit Ramzi Bouidjri a été repêché dans un étang près du domicile familial, à la ferme Morsli Abdelkader dans la commune de Douaouda Marine (Tipasa Ouest). Le corps sans vie de Ramzi (8 ans) a été repêché dans un étang, pas loin du domicile familial, après deux semaines d’intenses recherches et enquêtes pour lesquelles les services de la Gendarmerie nationale ont mobilisé tous les moyens humains et techniques pour le trouver sain et sauf, a précisé la même source. En réponse à la question de savoir si la piste criminelle est à écarter, la même source s’est contentée d’affirmer que l’enquête judiciaire se poursuit et que « c’est le médecin légiste qui dira si l’enfant a été ou non victime de violence ou s’il s’agit d’un accident isolé, c’est lui qui déterminera les circonstances de son décès ». En effet, la disparition mystérieuse de Ramzi, le 13 décembre dernier après sa sortie d’école, avait suscité une large mobilisation des forces de sécurité et un élan de sympathie et de solidarité de l’opinion publique nationale et locale. Dès le déclanchement du dispositif national d’alerte, les forces de la Gendarmerie nationale avaient mené d’intenses recherches et investigations avec le concours des équipes de plongeurs et des brigades canines. La wilaya de Tipasa a connu rappelonsle mois de juin dernier une autre affaire de disparition mystérieuse, dont a été victime le petit Houssem, retrouvé mort dans une mare d’eau, non loin du domicile familial.
S.A.
Tarifs des transports : Les hausses en janvier.
Les prix des transports seront revus à la hausse en 2018, dans le sillage de l’augmentation des prix à la pompe. Mais le montant sera « symbolique », a annoncé le ministre des Transports, Abdelghani Zaâlane. Depuis quelques jours, avec l’annonce de la hausse des prix à la pompe dans la loi de finances 2018, les transporteurs publics sont montés au créneau pour revendiquer une augmentation des tarifs. La loi de finances 2018 prévoit effectivement une hausse des prix à la pompe. La question de la révision à la hausse des tarifs des transports publics avec ces augmentations des prix des carburants, avait été discutée au niveau de l’UGCAA puis soumise au ministère. Le ministre des Transports a indiqué, lors d’un point de presse, que cette augmentation a été décidée de concert et en coordination avec des représentants des transporteurs (taxis, transport urbain, inter-wilayas). »Elle n’est pas exorbitante et est presque symbolique », a-t-il précisé, avant de souligner que les décisions portant sur la tarification du transport public « respectent le pouvoir d’achat des citoyens, l’intérêt et les revendications des transporteurs comme les coûts de la maintenance et du carburant. » Sur les rencontres tenues au mois de décembre avec les représentants des transporteurs, syndicats et associations, il a expliqué qu’elles se sont déroulées « dans un climat et un esprit responsable aboutissant à une solution consensuelle, qui n’aura pas de conséquences ou des préjudices sur lIl a également fait part des revendications des transporteurs, qui ont exprimé »leur compréhension de la situation et de la conjoncture et ont assumé la responsabilité en toute confiance, en contrepartie d’un accompagnement et de mesures incitatives accordées par l’Etat à cette catégorie » socioprofessionnelle. Parmi ces mesures, il a cité la cessation de création de nouvelles lignes et l’octroi d’autorisations pour préserver la performance du transport. D’autre part, les représentants des transporteurs ont, durant ces rencontres avec les responsables du ministère et du syndicat, exposé leurs revendications socioprofessionnelles, qui ont été, selon le ministre, examinées et approuvées pour préserver une tarification à »un seuil raisonnable et éviter aux transporteurs le recours à chaque fois à une augmentation des tarifs ». L’Association de protection et d’orientation du consommateur et son environnement (Apoce) avait la semaine dernière appelé à une hausse des tarifs des transports, mais qui doivent »être étudiés ». Son président, Mustapha Zebdi, explique : »quand on voit leurs charges comme les pièces détachées ou les assurances, il est de leur droit qu’ils demandent une hausse des tarifs. » »Maintenant, ajoute-t-il dans une intervention à la radio nationale, ces hausses doivent être étudiées pour correspondre aux hausse prévues dans la LF 2018 pour les carburants notamment », estimant que les hausses dans le secteur des transports doivent être »raisonnables ». Il a cependant déploré que l’Apoce n’ait pas été associée aux discussions entre le ministère et les représentants des transporteurs. Reste la qualité de service dans les transports publics à améliorer, selon M. Zebdi. La dernière hausse des tarifs des transports publics (bus, taxis, grandes lignes), consécutive à la hausse des prix des carburants décidée par la LF 2016, a été de 10% et est intervenue après des assises organisées par le ministère. D’autre part, sur l’ouverture de nouvelles lignes de transport maritime et aérien de voyageurs, le ministre des Transports a indiqué que la priorité pour le gouvernement est accordée actuellement aux compagnies nationales. »L’ouverture de nouvelles lignes au profit des compagnies étrangères se fera dans le cas d’une demande croissante sur le transport maritime ou aérien, et en cas de saturation des compagnies algériennes et selon certaines conditions », a-t-il expliqué. Il a ajouté que »l’intérêt du pays est primordial, avant de penser à un partenaire étranger pour prendre des parts sur le marché national » des transports.
AEH
Hommes politiques, de culture et de la vie associative saluent la décision du président de la République : Historique !
Par Ferhat Zafane :
Ironie du sort ou simple coïncidence. L’institution de Yennayer comme journée chômée et payée par le président de la République dès le 12 janvier prochain intervient à la veille d’un double évènement d’une grande importance, à savoir la clôture de la célébration du centenaire de la naissance du père spirituel du combat pour la langue et culture amazighes, en l’occurrence l’écrivain et l’anthropologue Mouloud Mammeri et l’émission d’un timbre postal à son effigie. A cette occasion, la secrétaire générale du PT, Louiza Hanoune a qualifié la décision du président de la République Abdelaziz Bouteflika d’ordonner la mise en oeuvre de la loi organique qui a trait à la généralisation de l’enseignement de la langue amazighe, sa promotion et la consécration de Yennayer comme une Journée nationale, chômée et payée, comme décision historique. Dans ce sens, Louisa Hanoune a déclaré qu’ »il y a eu une évolution politique substantielle et décisive. Le président de la République vient d’annoncer une décision historique en déclarant Yennayer journée nationale, chômée et payée. Et aussi la décision de la généralisation de l’enseignement de tamazight d’une manière effective et de sa promotion en le dotant d’une académie qui se chargera de la question », a indiqué la secrétaire générale du PT. Louisa a considéré que le président de la République « a pris la bonne décision, et il a entièrement raison en ces moments de turbulences et de menaces que vit le monde aujourd’hui. Le président de la République a fait le lien entre la question de tamazight et ce qui se passe dans le monde et les velléités déstabilisatrices du pays en recourant à cette variante identitaire », et d’ajouter que « le président a su retirer le tapis sous les pieds des aventuriers qui visent l’unité nationale. La décision prise par le président de la République est une victoire pour la démocratie et la souveraineté nationale. C’est aussi une preuve que les luttes et la mobilisation sont un moyen qui permet d’améliorer et de faire évoluer la situation vers le progrès comme celle de tamazight qui a connu des générations de militants qui ont lutté pendant plusieurs décennies, et nous sommes fiers, d’être parmi ces militants qui ont fait preuve de combat et de luttes pendant des années pour en arriver à ce résultat », a souligné Louisa Hanoune. Hanoune réitère son soutien indéfectible au président de la République en soulignant que « la question identitaire, pour ainsi dire, tamazight n’a jamais été prise en charge de façon aussi courageuse et sérieuse que durant cette période du président de la République Abdelaziz Bouteflika », a asséné Louisa Hanoune. De son coté, El Hachemi Assad secrétaire général du Haut Commissariat à l’amazighité (HCA) s’est dit très satisfait de la décision du président de la République. Tout en exprimant sa joie Si El Hachemi Assad a indiqué « que le président de la République nous a habitués à de telles décisions au profit de tamazight ». « L’histoire retiendra que c’est sous son règne que tamazight a accédé au rang de langue nationale et officielle et maintenant c’est Yennayer qui devient de façon officielle le Nouvel An de tous les Algériens », dira-t-il, en ajoutant que le HCA a reçu d’ores et déjà des instructions pour fêter cette date avec faste dans les wilayas de Ghardaïa, Ouargla, Annaba et Oran, respectivement les 6, 9, 11 et 19 janvier. Pour le secrétaire général du HCA, l’institution de Yennayer ne doit pas faire toutefois oublier deux autres décisions prises par le président de la République lors du dernier Conseil des ministres, à savoir l’urgence de généraliser l’enseignement de tamazight et l’accélération du processus de la mise en place d’une loi organique pour la création d’une académie pour tamazight.
F.Z
Ahed Temimi, la nouvelle égérie de la résistance palestinienne privée de son compte Twitter : Ange VS démon(s).
Par Ferhat Zafane :
Le réseau social « twitter » a supprimé le compte de la palestinienne, Aahd Temimi, emprisonnée par les Israéliens après avoir été accusée de violence contre les soldats israéliens. Des sources informatives ont affirmé que cela est dû à la politique de twitter qui supprime tous les comptes qui contiennent des publications violentes. D’autre part, des alliés à Ahd Etmimi ont créé un compte similaire au sien sur twitter comme acte de solidarité. Depuis une semaine, le visage d’Ahed Tamimi, adolescente blonde aux cheveux bouclés, fait le tour des réseaux sociaux. Dans une vidéo on y voit cette Palestinienne avec sa cousine Nor Naji, crier sur des soldats israéliens armés de mitraillettes qui surveillent la zone de Nabi Saleh, leur village au nord de Ramallah. Les deux filles se mettent à leur donner des coups de pied et des gifles, avant que ceux-ci ne s’en aillent en les toisant. Quelques jours plus tôt, un membre de la famille Tamimi avait été blessé à la tête par une balle en caoutchouc, tirée par des soldats de Tsahal lors d’une manifestation. Cette vidéo, filmée le 15 décembre par l’un des portables des jeunes filles, a été visionnée plus de 3 millions de fois sur Facebook et a largement été partagée sur YouTube. Elle est également apparue sur les écrans de la télévision israélienne. Dans un contexte déjà très tendu avec plusieurs manifestations en Palestine contre la décision de Donald Trump de reconnaitre Jérusalem comme capitale d’Israël, cette vidéo a fait réagir des deux côtés. Les défenseurs de la cause palestinienne saluent un acte de bravoure, les Israéliens y voient un acte d’humiliation de l’armée. Pour cela, Ahed Tamimi risque désormais jusqu’à sept ans de prison. Dans la nuit du 18 au 19 décembre, des soldats israéliens se sont rendus dans la maison de sa famille pour l’emmener, menottée. Une arrestation qui a également été filmée, par l’armée israélienne cette fois-ci. Puis Ahed Tamimi a comparu, le 20 décembre, devant un tribunal militaire israélien, poursuivie pour avoir agressé un soldat. Sa cousine Nor Naji Tamimi, qui a également affronté les soldats, a été arrêtée et sa mère, Nariman Tamimi, l’a été aussi, alors qu’elle tentait de rendre visite à sa fille. Depuis son arrestation, sur les réseaux sociaux, de nombreuses photos de la jeune femme circulent avec les hashtags #FreeAhedTamimi et une pétition en ligne a été lancée, exigeant sa libération. Le réseau de solidarité aux prisonniers palestiniens Samidoun entre autres, dénonce l’arrestation d’Ahed Tamimi, qui figure parmi les 450 Palestiniens déjà arrêtés par les forces israéliennes depuis la fameuse la déclaration du président américain Donald Trump. En pleine crise sur le statut de Jérusalem, la jeune fille » au visage d’ange » comme on la décrit souvent, est donc devenue en quelques jours une icône de la résistance palestinienne. Mais Ahed Tamimi, qui vit en Cisjordanie occupée, est une activiste rompu à l’exercice. Depuis ses 9 ans, elle participe à plusieurs actions contre les colons et les soldats israéliens, largement soutenue par sa famille, qui filme régulièrement ses actes militants. Son père a déjà lui aussi été emprisonné de nombreuses fois pour sa résistance non-violente. En 2015, elle figurait également sur une photo avec plusieurs femmes palestiniennes. Sur celle-ci, on la voyait tentant de libérer son petit-frère d’un soldat israélien, plaqué contre un rocher. Dans une autre vidéo devenue virale, on la voie en 2012, âgée d’à peine 11 ans, brandir son poing vers un soldat israélien. « Je suis plus forte que n’importe lequel de tes soldats », lui criait-elle alors au visage. Des images qui symbolisent l’innocence d’une enfant en terre occupée, mais qui font aussi d’elle une petite héroïne palestinienne qui n’a peur de personne.
F.Z
Tizi Ouzou : Marche des promoteurs Ansej, Cnac et Anjem.
Le collectif des prometteurs de microentreprises en difficulté a organisé jeudi une marche de protestation à Tizi-Ouzou pour exiger l’amnistie générale de toutes les dettes et le départ du ministre de l’emploi. Des centaines de manifestants ont répondu favorable à l’appel du collectif d’appui à la micro-entreprise (CAME) à la marche qui s’est ébranlée vers 11 H du portail de l’université Mouloud Mammeri avec une heure de retard que prévue, en direction du siège de la wilaya, en passant par les rues principales de la ville des genêts. » Nous refusons d’être victime de l’échec de la politique de l’emploi » crientils. En plus de l’amnistie générale, ils revendiquent, un régime de charges fiscales et parafiscales adapté aux micro-entreprises. Le collectif demande aussi de faciliter l’accès au foncier industriel et aux marchés publics pour les micro-entreprises, notamment en matière de sous-traitance. Et après l’arrivée des manifestants au siège administratif de la wilaya et la lecture de la plate forme de revendications, où une copie a été remise au premier responsable de la wilaya. Les protestataires se sont dispersés dans le calme. Il est à noter que c’est la deuxième action du genre organisée par le collectif durant le 2ème semestre de l’année en cours pour exiger la prise en charge de leurs doléances.
R.D

Sur Actualite islamique de Belgique, rien de neuf.

Sur agence media palestine.fr, rien de neuf.

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

​Statut de Jérusalem: Baye Mamoune entame une « caravane de la paix », lundi
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Après la marche, le guide religieux Cheikh Ibrahima Niass dit Baye Mamoune entame une « caravane de la paix ». Il s’agit d’une tournée nationale auprès des khalifes généraux des différentes confréries religieuses musulmanes et du cardinal Théodore Adrien Sarr pour protester contre la décision du président américain Donald Trump de reconnaître Jérusalem la capitale d’Israël.
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L’occupation arrête Le général à la retraite Youssef al-Charqawi à Jérusalem
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Prolongation de la détention du militant Omira
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Les services de l’Autorité Palestinienne arrêtent un prisonnier libéré
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Les forces d’occupation harcèlent les étudiants d’al-Aroub et arrêtent un jeune au sud de Bethléem
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Erdoğan: La décision de Trump représente un développement positif ravivant Jérusalem comme capitale de la Palestine
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Les forces de Ramallah appellent à une escalade populaire continue contre l’occupation
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Al-Arouri appelle à répliquer à la décision de Trump par l’intensification de la résistance
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Naplouse: Affrontements entre les écoliers et l’occupation à Bourin
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Hébron :Un barrage resserré et arrestation d’un jeune palestinien
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Le Likoud israélien vote aujourd’hui pour imposer la souveraineté sioniste sur la Cisjordanie occupée
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Des milliers d’Israéliens protestent contre la corruption de Netanyahou
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Raids et arrestations lors d’affrontements violents en Cisjordanie
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Raid aérien israélien bombarde une tour de la résistance à l’est de Rafah
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17 Palestiniens empêchés de voyager la semaine dernière
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31 blessés dans des affrontements avec l’occupation à Jérusalem
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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