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Sur Ajib.fr, rien de neuf.

Sur Katibin.fr, rien de neuf.

Sur journal du musulman.fr, rien de neuf.

Sur islam et info.fr, voici les titres.

My Nisf : Le mariage devient enfin accessible ! VIDEO.
A une époque où la vie est facilité par les nouvelles technologies, la rapidité de l’information et de la communication (internet, smartphone…); en parallèle il est devenu de plus en plus difficile pour notre communauté de s’unir tout en respectant les préceptes de l’islam.
Le mariage est pourtant d’une grande importance pour notre stabilité physique et psychologique : Allah (tabaraka wa ta3ala) a dit :
«Et parmi Ses signes Il a créé de vous, pour vous, des épouses pour que vous viviez en tranquillité avec elles et Il a mis entre vous de l’affection et de la bonté. Il y a en cela des preuves pour des gens qui réfléchissent.» Sourate 30 verset 21.
Le mariage est une institution qui permet d’unir deux êtres afin de se compléter, d’avoir un équilibre, une personne sur qui compter en toute circonstance:
Allah (tabaraka wa ta3ala) a dit :
«Et de toute chose Nous avons créé [deux éléments] de couple. Peut-être vous rappellerez-vous ?» Sourate 51 Verset 49.
Le meilleur des hommes qui n’est autre que notre noble prophète (que la prière d’Allah et Son salut soient sur lui) nous incite à nous marier :
D’après Anas (qu’agrée), le Prophète (que la prière d’Allah et Son salut soient sur lui) a dit :
«Lorsque le serviteur se marie, il a certes complété la moitié de sa religion alors qu’il craigne Allah pour l’autre moitié ». (Rapporté par Tabarani).
Malgré tout un constat est cependant accablant : le taux de célibat est en constante croissance dans notre communauté et ceci est un fléau pour notre société :
D’après Aicha (qu’Allah l’agrée), le Prophète (que la prière d’Allah et Son salut soient sur lui).
a dit: «Le mariage est ma sounna et celui qui ne pratique pas ma sounna ne fait pas partie de moi. Mariez-vous je serais certes fier que vous soyez la communauté la plus nombreuse parmi les autres communautés le jour du jugement. Celui qui en a les moyens qu’il se marie et celui qui ne trouve pas de quoi se marier qu’il jeûne car le jeûne sera pour lui une protection». (Rapporté par Ibn Maja).
Notre religion facilite et pousse à nous marier. Donc les conditions de mariage dans la religion ne représentent pas un obstacle, bien au contraire ils sont aisément réalisables.
En théorie oui mais en pratique il y’a une problématique qui revient constamment avec la fameuse question :
“Où vais-je rencontrer mon ou ma future épou(x)se?”
Cette question est la cause du lancement du site Mynisf.
Mynisf est une plateforme de mise en relation, qui permet de faire des rencontres tout en respectant les préceptes de l’islam. Ce site qui a été supervisé par des imams et donne la possibilité aux musulmans de France de trouver leur moitié.
Quel est le principe de ce site ?
Les membres doivent remplir leur profil (plusieurs champs comme : présentation, pratique religieuse, habitudes …) puis peuvent se demander un rendez-vous (en contactant l’admin) avec ou sans imam (en passant directement par le mahram).
Il y a déjà plus de 300 membres, et 30 mouqabala (rencontres) qui ont été organisées en seulement 1 mois !
Des personnes de différentes origines, qui viennent de toute la France se sont inscrites afin de concrétiser la moitié de leur religion.
Nous vous en disons pas plus, un seul clic peut changer votre vie … incha’Allah : www mynisf.fr .
reportage a voir sur islam et info.fr.
Eric Fassin revient sur la laïcité et l’islamophobie.
Faute de ne pouvoir être présent, le sociologue Eric Fassin a transmis ce texte qu’il aurait du prononcer lors de la Quatrième Journée Internationale contre l’Islamophobie qui se tenait le dimanche 10 décembre 2017 à la Bourse du Travail de Saint-Denis.
Un texte à lire et méditer qui tranche avec la timidité et la soumission intellectuelle des “leaders” musulmans de France qui ont renoncé à toute radicalité dans leurs pensées et actions politiques. La honte de soi et les pressions ont en effet cassé toute audace ou initiative chez ceux qui se réclamaient de l’émancipation communautaire.
Eric Fassin dénonce sans ambages une laïcité dévoyée au service d’une islamophobie systémique qui gagne jour après jours victoire sur victoire culturelle.
Les faux dévots de la laïcité: islamophobie et racisme anti-musulmans.
Samedi 9 décembre, en France, c’était la journée de la laïcité. Dimanche 10 décembre, c’est la journée contre l’islamophobie. Quel rapport entre les deux ? En principe, aucun : la laïcité, c’est la séparation des Églises et de l’État : la condition de la liberté religieuse, c’est la neutralité de l’État. Par principe, si celui-ci est laïque, il ne saurait être islamophobe – pas plus qu’islamophile, d’ailleurs.
En principe, donc ; mais en pratique, quand on invoque la laïcité aujourd’hui en France, c’est d’ordinaire pour parler d’islam. Gageons que ce sera le cas, par exemple, lundi 11 décembre, lors de la journée sur la laïcité organisée par l’ESPE de Paris ; et qu’il sera fort peu question de l’Église catholique. Pourtant, nul ne peut croire que l’islam soit religion d’État en France – sauf à prendre pour la réalité les fantasmes de Michel Houellebecq et de l’extrême droite. Mais qu’importe la réalité, pour ceux qui veulent croire que la laïcité se loge dans les supérettes halal et les burkinis de femmes sur les plages ?
Catholaïcité.
En revanche, en France, on ne discute pas du financement public d’écoles catholiques mis en place depuis la loi Debré en 1959. Ou plutôt, on n’en débat plus depuis la reculade du pouvoir socialiste en 1984 face à la mobilisation massive du lobby de l’école libre. C’est seulement quand la République a cédé devant l’Église catholique que la rhétorique républicaine s’est retournée contre l’islam, à partir de la première affaire du voile en 1989. Les deux fronts doivent pourtant être pensés ensemble : si Nicolas Sarkozy communiait avec Benoît XVI dans une même « laïcité positive », c’était pour mieux réserver à l’islam ce que j’ai qualifié de « laïcité négative ».
La rhétorique laïque n’a donc plus rien à voir avec l’universalisme de la laïcité. Par exemple, ceux qui dénoncent les prières de rue oublient les militants anti-mariage pour tous de Civitas agenouillés devant un tableau de la Sainte famille à l’entrée du Sénat en 2013 : ils songent uniquement aux musulmans qui, faute de lieux de culte suffisamment grands, débordent dans la rue à l’heure de la prière. De même, si la loi de 2010 contre la dissimulation du visage dans l’espace public n’est pas censée concerner la religion, mais seulement la sécurité, chacun sait qu’elle vise en fait le voile intégral de femmes musulmanes. La preuve ? nul n’a même imaginé de l’invoquer à propos des Hommen, ces militants catholiques mobilisés contre la loi Taubira ; ils manifestaient pourtant avec un masque sur le visage.
Nouvelle laïcité ?
Depuis 1989, on n’est pas seulement passé du catholicisme à l’islam, soit d’une religion majoritaire, historiquement liée à l’État, à une religion minoritaire, qui bénéficie très peu des financements de l’État : sur les 17% d’élèves scolarisés dans des écoles privées sous contrat, 2 millions sont inscrits dans les 8000 écoles catholiques, contre 2000 pour les trois écoles musulmanes…
Dans le discours sur la laïcité, on a aussi basculé de l’État à la société. C’est un renversement, de la laïcité comme liberté des individus face à l’État à la sécularisation comme injonction de l’État aux individus. Le glissement de sens du mot « public » en est le signe : hier encore, il renvoyait à l’État – en particulier s’agissant de l’école publique. Aujourd’hui, il s’étend à l’espace public, qu’il s’agit de neutraliser, soit une manière de cantonner l’expression religieuse à la sphère privée.
Bref, la « nouvelle laïcité » préconisée par François Baroin en 2003, loin de prolonger une histoire républicaine, est radicalement nouvelle ; les juristes Stéphanie Hennette Vauchez et Vincent Valentin l’ont démontré à propos de l’affaire de la crèche Baby-Loup, elle n’a pas grand-chose à voir avec la loi de 1905. Comme le dit sans ambages l’historien de la laïcité Jean Baubérot, c’est une « laïcité falsifiée ». En fait, la « nouvelle laïcité » n’est pas laïque, bien au contraire. C’est une forme de religion qui prétend imposer sa croyance à toute la société.
C’est pourquoi il me paraît important de ne plus accepter les distinctions médiatiques entre « deux conceptions de la laïcité », l’une exigeante ou stricte, l’autre laxiste ou tolérante. Aujourd’hui, ceux qui n’ont que ce mot à la bouche, mais qui n’ont que l’islam en tête, ne doivent plus être qualifiés de « laïcards » ; en réalité, ce sont de faux dévots de la laïcité. Ne faisons pas le cadeau à ces Tartuffe de les prendre pour des laïcs, et moins encore de leur abandonner la laïcité : c’est en son nom qu’il faut les combattre.
Islamophobie : le mot et la chose.
La bataille politique est d’abord une bataille de mots : ceux qu’on refuse, et ceux qu’on choisit. Car nommer les choses, c’est leur donner un sens ; et ceux qui définissent le lexique politique sont ceux qui définissent le monde dans lequel nous vivons. C’est pourquoi il est important de revendiquer la liberté de nommer – par exemple, d’organiser une journée contre l’islamophobie. Pour ma part, c’est précisément parce que certains voudraient bannir ce terme que je tiens à l’employer.
Pour l’État, il sera sans doute difficile d’interdire le mot islamophobie, même si rien ne paraît plus impossible depuis que le ministre de l’Éducation veut censurer tout un vocabulaire antiraciste, à commencer par la notion de « racisme d’État ». En revanche, les offensives se multiplient contre celles et ceux qui prennent la parole « pour les musulmans ». Or nombreux sont ceux qui se laissent ébranler par l’argument des faux dévots de la laïcité : en démocratie, on a le droit de critiquer toute religion. Mieux : dans une société laïque, le blasphème est un droit ! Et c’est vrai.
Cependant, en France aujourd’hui, dénoncer l’islam, c’est aussi une manière de s’en prendre aux musulmans. Ou plutôt, c’est faire référence à un groupe social défini moins par la religion que par l’origine – voire par l’apparence : un président de la République n’avait-il pas évoqué des « Français d’apparence musulmane » ? Bref, il y a bien une racialisation de la référence religieuse. Car la question raciale ne suppose pas des « races » différentes, mais des traitements différents qui racialisent des groupes sociaux, c’est-à-dire qui les stigmatisent et les assignent à des places subalternes, en fonction de leur origine, de leur apparence, mais aussi de leur religion, réelle ou supposée. Une comparaison nous aide à le comprendre : dans l’antijudaïsme, nous avons appris à entendre l’antisémitisme. De même, l’islamophobie va et vient entre deux registres – religieux et racial.
Racisme anti-musulmans.
Ceux qui refusent le terme « islamophobie » veulent lui substituer l’expression : « racisme anti-musulmans ». Et si on les prenait au mot ? Non pas pour leur céder le choix du vocabulaire, mais pour analyser le double jeu de l’islamophobie et du racisme anti-musulmans, comme on le fait de l’antijudaïsme et de l’antisémitisme. La bataille du vocabulaire est essentielle. Il ne faut donc pas laisser interdire des mots ; il ne faut pas davantage se faire imposer un lexique. Toutefois, il ne faudrait pas non plus renoncer à parler, en même temps que d’islamophobie, de racisme anti-musulmans – même si les faux dévots de la laïcité l’utilisent pour faire obstacle à la lutte contre l’islamophobie en détournant l’attention de la chose vers le mot. Car qui peut nier qu’un racisme vise aujourd’hui en France les musulmans, réels ou supposés, et que la rhétorique laïque en est un instrument privilégié quand elle est définie par l’obsession de l’islam ?
Faute de pouvoir être présent, j’ai envoyé ce texte aux responsables de la Quatrième Journée Internationale contre l’Islamophobie qui se tient dimanche 10 décembre 2017 à la Bourse du Travail de Saint-Denis.

Sur saphirnews.com, rien de neuf.

Sur oumma.com, voici les titres.

Une photo réunissant Barack Obama et Louis Farrakhan, le leader de Nation of Islam, dévoilée Outre-Atlantique.
Sortie du tiroir secret où elle avait été rangée pendant 13 ans par Askia Muhammad, un journaliste américain conscient de sa nature explosive pour le futur premier président noir des Etats-Unis, la photo réunissant les souriants Barack Obama et Louis Farrakhan, le leader de Nation of Islam, vient d’être dévoilée sur la scène publique.
Plus d’une décennie après avoir été prise sous la coupole du Capitole, lors du Caucus noir du Congrès rassemblant les parlementaires Afro-américains, y aurait-il prescription pour cette photo à hauts risques, qui aurait immanquablement entaché l’image policée de celui qui n’était alors que sénateur de l’Illinois et sur le point de déclencher une Obamania à l’effervescence contagieuse ?
Une chose est certaine, Askia Muhammad s’est senti libéré du poids du secret quand, en 2016, le sulfureux Louis Farrakhan, 84 ans, accusé de sexisme, d’antisémitisme et d’homophobie, a révélé qu’Obama était venu lui rendre visite chez lui, à Chicago, juste avant de se lancer dans la course à l’élection suprême.
Lors de son prêche détonant dans l’enceinte de la Mosquée Maryam, le lieu de culte et quartier général de Nation Of Islam, celui-ci a affirmé l’avoir soutenu financièrement pour les sénatoriales, puis avoir voté pour lui pour la présidentielle. En d’autres termes, la carrière au firmament de Barack Obama doit beaucoup au Ministre Louis Farrakhan, selon les dires de ce dernier.
Le journaliste Askia Muhammad aura tout de même attendu deux années supplémentaires, le temps de mettre le point final à son ouvrage contenant cette fameuse prise de vue, avant de l’exhumer du passé où elle reposait en paix depuis 2005, à seule fin de protéger le nouvel homme fort de Washington et ses deux mandats successifs.
« J’avais juré secrètement de ne pas nuire à l’avenir politique d’Obama », a déclaré jeudi Askia Muhammad au Trice Edney News Wire, convaincu que cette prise de vue aurait eu un impact désastreux sur sa présidence.
Une présidence longue de huit ans qui, malgré cela, n’aura pas été préservée pour autant des assauts livrés par ses farouches détracteurs, ni des différentes théories du complot qu’ils ont savamment alimentées, demeurant jusqu’au bout entourée de la suspicion de l’islamité du premier locataire noir de la Maison Blanche.
Et ce n’est pas en réitérant sa « ferme condamnation des positions de Farrakhan », au cours d’un débat présidentiel à Cleveland, en 2008, que Barack Obama a réussi à faire taire les rumeurs persistantes sur ses liens présumés avec l’islam et l’un de ses représentants les plus controversés de l’autre côté de l’Atlantique.
La rencontre entre Muhammad Ali et Malcolm X. vidéo.
La première rencontre entre Malcolm X et Muhammad Ali, lequel à cette époque se nommait Cassius Clay et n’était pas encore converti à l’Islam, eut lieu à Détroit en 1962. Va naître entre les deux hommes une véritable amitié. L’ex-leader de la Nation of Islam a également joué un rôle important dans la conversion à la religion musulmane de Muhammad Ali. Malcolm X avait la plus grande estime pour celui qui allait devenir le meilleur boxeur de tous les temps: “Clay est le meilleur athlète noir que j ai jamais vu et il signifie plus pour son peuple que tout autre athlète avant lui. Plus encore que ne le fut Jackie Robinson, parce que Robinson était le héros de l’homme blanc. La presse blanche voulait que Clay perde parce que c’est un Muslim. Vous aurez remarqué que personne ne prête attention à la religion des athlètes, mais les préjugés contre Clay sont tels qu’ils les ont rendus aveugles sur ses capacités » . Mais cette estime réciproque connaîtra une fin quelques années plus tard. Le 8 mars 1964, Malcolm X annonce son départ de Nation of islam. Muhammed Ali, qui critiquera publiquement cette rupture, rompera également définitivement avec Malcolm X.
reportage a voir sur oumma.com.

Sur Mizane.info, rien de neuf.

Sur des domes et des minarets.fr, rien de neuf.

Sur tribune lecteurs.com, le journal d’algérie, voici les titres.

Huit dangereux terroristes abattus à Khenchela : L’ANP » nettoie » les dernières poches de maquis.
L’Armée Nationale Populaire est déterminée à éradiquer le terrorisme. Ses différentes neutralisations des terroristes dangereux en sont la preuve de sa détermination et son efficacité. Ces résultats positifs successifs réalisés sur le terrain par les unités de l’Armée Nationale Populaire dans le cadre de la lutte antiterroriste, viennent renforcer davantage la ferme détermination à faire régner la sécurité et la sérénité à travers tout le pays, en pourchassant les résidus terroristes jusqu’à leur élimination ou leur reddition. La dernière opération de qualité, et qui a abouti à l’élimination de huit dangereux terroristes dans la commune de Cherchar, à Khenchela, dans la 5ème région militaire par un détachement de l’Armée Nationale Populaire en est la preuve. Hier, le ministère de la Défense nationale (MDN) a communiqué l’identité des deux terroristes abattus au cours de cette même opération. Il s’agit par ailleurs, » S. Abderrahim » alias » Al Mountassir » et » N. Khaled » alias » Charhabil « , ce dernier avait rallié les groupes terroristes en 2005. Cette opération a permis la récupération de cinq pistolets mitrailleurs de type kalachnikov, un fusil à lunette, un fusil semi-automatique de type Simonov, quatorze chargeurs garnis de munition et quatre grenades. Suivront d’autres opération qui entre dans le même contexte à savoir la découverte à Laghouat/4e RM, d’une cache de munitions contenant 320 balles de différents calibres, tandis que des éléments de la Gendarmerie Nationale ont arrêté un élément de soutien aux groupes terroristes à Batna/5e RM. A Tindouf, un détachement de l’Armée nationale populaire (ANP) a découvert vendredi lors d’une patrouille menée près de la bande frontalière à Tindouf, deux pistolets mitrailleurs de type Kalachnikov, deux chargeurs et une quantité de munitions. D’autre part, dans le cadre de la lutte contre la contrebande et la criminalité organisée, des détachements de l’ANP en coordination avec les éléments des Douanes ont arrêté, à Tamanrasset et Bordj Badji Mokhtar /6e RM, Tébessa, El-Tarf, et Souk-Ahras /5e RM, deux camions, 2 véhicules tout-terrain, un détecteur de métaux et une importante quantité de carburant destinée à la contrebande s’élevant à 41910 litres, tandis que 384 unités de différentes boissons ont été saisies à Biskra/4e RM, et 40 kilogrammes de Kif traité ont été interceptés par les éléments des Garde-côtes à Mostaganem/2e RM. Des détachements de l’ANP et des éléments de la Gendarmerie Nationale ont arrêté 18 immigrants clandestins de différentes nationalités à Tlemcen, Tindouf, Béchar, Adrar, Laghouat et Ghardaïa, alors qu’une tentative d’immigration clandestine de 48 personnes à bord d’une embarcation de fabrication artisanale a été déjouée par des Gardecôtes à Ain Témouchent/2e RM. A El Oued et Biskra des éléments de la Gendarmerie Nationale ont saisi 16410 unités de différentes boissons et 2820 unités de produits détergents. Il y lieu de signaler que l’Algérie a le privilège et l’honneur d’avoir une armée efficace qui a toujours exprimé un dévouement exemplaire dans l’accomplissement de leur mission au service de la patrie. En conclusion comme la toujours rappelé, le Général de Corps d’Armée, Ahmed Gaïd Salah : » Notre armée demeurera une armée républicaine, engagée à défendre la souveraineté nationale et l’intégrité territoriale et à préserver l’indépendance du pays. Une armée qui ne se départira pas de ses missions constitutionnelles quelles qu’en soient les conditions et circonstances « .
Ahmed Ouyahia préside la délégation algérienne à Abidjan : La corruption au coeur du sommet de l’U.A.
Le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, est arrivé vendredi après-midi à Addis-Abeba pour représenter le président de la République, Abdelaziz Bouteflika aux travaux de la 30ème session ordinaire de la Conférence des chefs d`Etat et de gouvernement de l`Union africaine (UA), prévue aujourd’hui et demain dans la capitale éthiopienne. Ahmed Ouyahia préside la délégation algérienne aux travaux de la Conférence des chefs d’Etat et de gouvernement africains, placée cette année sous le thème « Remporter la lutte contre la corruption: une voie durable pour la transformation de l’Afrique ». Selon le communiqué du Premier ministère, En marge de ce sommet, le Premier ministre aura un agenda chargé avec notamment, la présentation par l’Algérie d’un rapport sur la prévention et la lutte contre le terrorisme et l’extrémisme violent en Afrique et ce, dans le cadre du mandat confié au président de la République Abdelaziz Bouteflika, désigné par ses pairs en 2017 comme coordonnateur de l’UA dans la prévention et la lutte contre le terrorisme et l’extrémisme violent en Afrique. Les Africains se sont fixé comme objectif de renforcer la coopération sur le continent afin d’encourager l’intégration des pays notamment en travaillant en faveur de la libre circulation des personnes et des biens pour impulser une nouvelle dynamique aux échanges entre Etats. Lors du précédent sommet, les chefs d’Etat ont fait le point sur l’état d’avancement de l’Agenda 2063 de l’UA. L’une des questions qui a particulièrement retenu l’esprit, c’est la mise en place de la Zone de libre-échange continentale (ZLEC), un chantier qui permettra d’instaurer un marché unique de 1,3 milliard de consommateurs et au sein duquel les produits circuleront et s’échangeront librement. Le président du Niger, Mahamadou Issoufou, qui a été chargé par ses homologues de chapeauter ce chantier au nom de l’organisation.
Mermouri à propos du problème de marketing dans le domaine de l’hôtellerie : » Les entreprises doivent mettre en place un plan d’action « .
Le ministre du tourisme et de l’artisanat, Hacène Mermouri a procédé, hier, à l’inauguration de la 12ème édition, du salon international des équipements et services pour l’hôtellerie, la restauration et les collectivités (SIEL). S’exprimant, lors d’un point de presse animé à cette occasion, le ministre a souligné la diversité et la richesse des services et des équipements, mais aussi la présence en force de la production nationale. D’après Marmouri l’organisation de ce salon a pour objectif de créer un climat d’affaire et l’échange entre les professionnels dans le domaine de l’hôtellerie. Notamment explique le ministre : » nous avons constaté une activité et une dynamique dans ce domaine. Chaque année il y a des centaines de nouveaux hôtels et il y a une grande demande sur les équipements de l’hôtellerie « , » c’est pour cette raison que nous appelons les opérateurs à être un facteur fondamental dans le développement touristique, afin de créer une diversité dans l’économie nationale, et d’avoir une touche algérienne dans les hôtels, en particulier en ce qui concerne le décor, pour attirer les étrangers que ce soit des touristes et des hommes d’affaires étrangers. Ainsi, poursuit le ministre, » il est important de s’adapter avec le développement technologique et technique « . Evoquant le problème du marketing, Mermouri a appelé les entreprises et les producteurs à préparer un plan d’action sur ce sujet, précisant qu’il est nécessaire d’utiliser les moyens existants pour commercialiser les produits à l’intérieur et à l’extérieur du pays. A une question sur le taux de la participation du secteur du tourisme dans le produit national du brut, le ministre a indiqué que le secteur a participé avec 2%, ajoutant, par ailleurs, qu’en 2018 de nouvelles données et de nouveaux indicateurs nous encouragent d’élever le taux de participation au PIB. Interrogé sur les classifications des hôtels, le ministre a fait savoir qu’un comité de classification a été installé au niveau national à partir de deux étoiles et plus et d’autres comités au niveau régional de moins de deux étoiles. Nous sommes entrain de préparer une grande opération au niveau national pour classifier et re-classifier certains hôtels qui ont perdu leur qualité de service. Il est à noter que plus de 90 exposants, nationaux et internationaux ont participé à ce t évènement à vocation strictement professionnelle et opérant dans le domaine des équipements spécifiques aux activités et aux services dédiés aux secteurs mis en exergue dans son attitude. Les exposants présents, aux côtés des représentent plusieurs pays dont la France, le Portugal, la Turquie, la Tunisie. L’objectif principal est d’adopter les réponses les plus pertinentes aux différentes problématiques et attentes des professionnels du » Hors de chez moi « , de l’accueil et de l’hospitalité.
Procès du Hirak : Les accusés contestent le qualificatif de « séparatistes ».
C’est sous des slogans « vive le Rif, vive la patrie » et « la mort plutôt que l’humiliation » que l’audience de vendredi s’est ouverte à la Cour d’appel de Casablanca pour les 54 militants du Hirak. En effet, la première partie de l’audience du 26 janvier s’est principalement articulée sur le rapport des accusés avec Nasser Zafzafi et le port du drapeau du Rif. Le juge Ali Torchi a d’abord convoqué trois détenus poursuivis en état de liberté pour « participation à des manifestations non autorisées », « incitation à manifester », ou encore « atteinte à la dignité d’agents des forces de l’ordre ». Les médias marocains ont rapporté que Me Mohamed Aghnaj, a d’abord tenu à réagir à la décision du juge Ali Torchi de ne pas retenir les demandes de convocations de témoins formulées par la défense. « Bien que nous ne comprenions pas pourquoi la cour n’a pas donné suite à nos demandes, je vous prie, monsieur le juge de convoquer un certain nombre de témoins clés dans cinq dossiers sensibles », a interpellé l’avocat. Et pour cause les témoins réclamés par l’avocat attesteraient de l’ »innocence » de cinq détenus du Hirak. Ces derniers sont accusés entre autres d’avoir pris part à des manifestations violentes le 26 mars entre Imzouren et Beni Bouayach, d’avoir perçu de l’argent de l’étranger, ou encore d’avoir insulté les forces de l’ordre sur les réseaux sociaux. Le juge a alors répondu qu’il se prononcera sur la question une fois tous les accusés entendus. Par ailleurs, au cours de cette première partie de l’audience, le premier prévenu, propriétaire d’un café à Imzouren, a été interrogé par le juge sur ses rapports avec Nasser Zafzafi et son implication dans les manifestations du Hirak. « Je ne connais pas très bien Nasser Zafzafi et je n’ai rien à voir avec les manifestations », répond l’accusé, visiblement confus.
Rencontre entre le président sahraoui et Horst Kohler : Des discussions « franches » et « positives ».
La récente rencontre entre le président sahraoui, secrétaire général du Front Polisario, Ibrahim Ghali et l’envoyé personnel du secrétaire général des Nations unies au Sahara occidental, Horst Kohler a été qualifiée de « franche » et « positive » a déclaré en substance vendredi à Berlin M’hamed Kheddad, membre du secrétariat national du Front Polisario et coordonnateur sahraoui avec la Minurso. Celle-ci a notamment porté sur voies et moyens d’aboutir à une solution « pacifique, juste et durable » garantissant au peuple sahraoui le droit à l’autodétermination, Kheddad a aussi précisé que la rencontre de l’envoyé onusien avec la partie sahraouie qui s’est étalée sur deux jours a pris fin vendredi. Le Front a réaffirmé son soutien aux efforts de l’envoyé personnel et secrétaire général des Nation Unies à l’effet de parachever le processus de décolonisation du Sahara Occidental », a-t-il ajouté. Les discussions entre Kohler et le président sahraoui et la délégation qui l’accompagne ont débuté jeudi au bureau de l’envoyé onusien à Berlin (Allemagne), quelques jours avant les discussions prévues entre les deux parties au conflit au Sahara Occidental le Front Polisario et le Maroc- auxquelles a appelé l’ONU pour trouver une solution au conflit du Sahara occidental et garantir au peuple sahraoui son droit à l’autodétermination et à l’indépendance. Kohler avait adressé une invitation au président sahraoui ainsi qu’au ministre marocain des Affaires étrangères pour des consultations bilatérales entre le Front Polisario et le royaume du Maroc durant les mois de janvier et de février, en présence des pays observateurs l’Algérie et la Mauritanie, représentées par leurs chefs de la diplomatie, et ce dans le cadre des concertations en application des résolutions du conseil de sécurité et des efforts de l’ONU pour la décolonisation du Sahara occidental. Inscrit depuis 1966 sur la liste des territoires non autonomes, et donc éligible à l’application de la résolution 1514 de l’Assemblée générale de l’ONU portant déclaration sur l’octroi de l’indépendance aux pays et peuples coloniaux, le Sahara occidental est la dernière colonie en Afrique, occupé depuis 1975 par le Maroc.
Le prix du panier Opep à 68,46 dollars : L’or noir retrouve des couleurs.
Le prix du panier de référence du brut de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) s’est établi hier à 68,46 dollars le baril, contre 67,61 dollars la veille, a indiqué l’Organisation sur son site web. Introduit en 2005, le panier de référence de l’Opep comprend 14 types de pétrole, dont le Sahara Blend (Algérie), l’Iran Heavy (Iran), Es-Sider (Libye), Basra Light (Irak), Bonny Light (Nigeria), Arab Light (Arabie Saoudite), Girassol (Angola) et le Mery (Venezuela). Jeudi, les prix du pétrole repoussaient encore en fin d’échanges européens leur plus haut niveau depuis plus de trois ans, profitant de la dixième baisse hebdomadaire des stocks américains de brut et du bas niveau du dollar. En début de soirée, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en mars valait 70,88 dollars sur l’Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en hausse de 35 cents par rapport à la clôture de mercredi. Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de « light sweet crude » (WTI) pour la même échéance prenait 44 cents à 66,05 dollars. Peu avant, le Brent a touché 71,28 dollars et le WTI 66,66 dollars, à leur plus haut niveau depuis décembre 2014. « Il est évident que la baisse continue des stocks américains de brut et la faiblesse du dollar américain ont permis au pétrole d’effacer ses pertes de la semaine dernière », a commenté un analyste. Les stocks de pétrole brut ont affiché leur dixième semaine consécutive de baisse aux Etats-Unis la semaine dernière, selon des chiffres publiés mercredi par le département américain de l’Energie (DoE). Cette baisse des stocks américains rassure au moins à court terme les investisseurs, qui s’inquiètent de voir la production américaine augmenter. La semaine dernière, les Etats-Unis ont produit 9,88 millions de barils par jour, le plus haut niveau observé depuis que ces données ont commencé à être compilées en 1983. « Nous nous attendons à une hausse de la production mondiale, avec des puits plus efficaces et plus nombreux aux Etats-Unis et une augmentation des exportations d’autres pays non membres de l’Opep », ont estimé des analystes.
3.109 tentatives d´émigration clandestine déjouées en 2017 : » Un holocauste moderne «.
« L’émigration clandestine a atteint ces dernières années une proportion inquiétante, ces Algériens, qui risquaient leur vie dans des embarcations de fortune et de la mort en direction de l’autre rive de la Méditerranée, surtout que cela génère désormais, quasi quotidiennement, des drames en Méditerranée, un holocauste moderne « , écrit d’entrée de jeu la LADDH (ligue algérienne de défense des droits de l’homme), dans un communiqué vitriolé au regard de l’ampleur qu’est en passe de prendre ce phénomène. » A titre de comparaison, précise encore le même document, du 1 janvier 2017 au 31 décembre 2017, la LADDH a recensé plus 3.109 tentatives d’immigration clandestine déjouées par les gardes-côtes algériens sur le littoral de 1200 km de longueur « . La situation sociale, qui est pour beaucoup, n’en finit plus de se dégrader. Preuve en est que » seuls 10 % d’Algériens détiennent 80 % des ressources du pays, une situation très inquiétante et qui confirme que les différences s’agrandissent entre les classes du peuple de façon inédite dans l’histoire de l’Algérie « . Le communiqué finit par enfoncer le clou en livrant le détail des personnes ainsi interceptées durant l’année écoulée : » la LADDH attire l’attention de l’opinion publique nationale et internationale que les chiffres avancés font également état de 189 femmes, 839 mineurs, accompagnés ou bien non accompagnés « , ce qui est franchement énorme. Or, lesdits chiffres, » ne reflètent en aucun cas la réalité du terrain, puisqu’il s’agit uniquement des harragas qui ont été arrêtés, sans tenir compte de ceux qui sont morts noyés en mer lors de leur fatale aventure et qui n’ont jamais été repêchés à ce jour. C’est le cas aussi de ceux qui ont pu atteindre leur objectif en arrivant sur les côtes espagnoles ou italiennes. Aucune information, ni encore un chiffre ne sont, pour le moment, disponibles à propos de ces derniers « . » Cet état de fait conduit la LADDH, notamment le secrétaire national de la Ligue en charge de la communauté et des relations extérieures, Mahmoud Djenane, à prendre en charge ce lourd dossier , en absence de statistiques officielles, la LADDH a tenté de cerner le chiffre de ressortissants Algériens détenus à l’étranger en se basant sur les informations partielles collectées auprès des familles de détenus, dans les rapports des O.N.G , ces informations restent surement incomplètes et exigent plus d’efforts pour cerner de plus près ces chiffres plus de 17.500 algériens sont détenus en Europe « . Le document relève en outre que le » tout répressif » n’a rien réglé du tout. Les prétendants à une vie meilleure n’hésitent pas en effet à prendre le risque d’écoper d’une peine d’emprisonnement de deux mois, doublée d’une amende de 60.000 dinars. C’est dire qu’il y a bel et bien péril en la demeure, face aux horizons bouchés dont souffre la jeunesse algérienne.
Messahel pointe du doigt de nouveau le Maroc concernant le trafic de drogue : » On sait qui fait quoi «.
Le ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel, a affirmé vendredi qu’en matière de trafic de drogue « on sait qui fait quoi », soulignant que l’Algérien n’en est producteur. Dans un entretien à RFI, diffusé à partir d’Addis-Abeba et capté à Paris, le chef de la diplomatie algérienne a indiqué, à une question sur une « coupure » du dialogue entre l’Algérie et le Maroc dans la lutte contre le trafic de drogue, que le dialogue (entre les deux pays) « s’inscrit dans le cadre de la volonté politique des uns et des autres », faisant remarquer que l’Algérie « n’est pas un pays producteur de hachich, de drogue ou autre chose ». « Nous faisons en sorte que chacun essaie, par les moyens qu’il a, de lutter contre ce phénomène pour la stabilité de la région. Donc il va falloir que chacun fasse l’effort de son côté, sans qu’il n’y ait de grandes polémiques. On sait qui fait quoi et on sait qui est derrière quoi. Donc, ça, tout le monde le sait », a-t-il expliqué, faisant référence aux rapports des Nations unies « qui sont très, très clairs sur les trafics dans le monde ».Il a affirmé que c’est un phénomène mondial qui doit être pris en charge dans le cadre des Nations unies, « pour faire face à ce genre de fléau ». Le ministre des Affaires étrangères a rappelé, dans ce contexte, que lors de la conférence à Alger du Forum global de lutte contre le terrorisme, coprésidé par l’Algérie et le Canada, l’accent était mis sur le lien qu’il y a entre le crime organisé et la lutte antiterroriste « Aujourd’hui, le problème se pose qu’au niveau du Sahel il n’y a pas d’autre source que les grands trafics. Donc il y a la drogue, il y a le trafic humain », a-t-il insisté, préconisant une coordination des efforts « dans le cadre des mécanismes au sein de l’Union africaine et de l’organisation sous-régionale à laquelle nous appartenons pour lutter contre ce phénomène ». Sur un autre registre, le ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel, a indiqué vendredi que les Maliens doivent s’approprier le processus de mise en oeuvre de l’Accord d’Alger, soulignant que l’Algérie s’est « beaucoup » investie dans ce processus. « Nous nous sommes beaucoup investis dans le processus qui a amené aux accords d’Alger. Nous pensons, nous continuons à penser – d’ailleurs, tout comme pour ce qui est de la Libye -, que le problème concerne d’abord les Maliens, c’est à dire toutes les parties signataires. Il faut que les Maliens s’approprient le processus de mise en oeuvre des engagements qu’ils ont pris », a expliqué le chef de la diplomatie algérienne dans un entretien accordé à Radio France Internationale (RFI) captée à Paris, relevant que Maliens « en ont la capacité ».

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####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

Barack Obama à New York : « je suis un juif libéral »
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Barack Obama dit être un « juif libéral ». Les propos du président américain ont été prononcés lors d’un événement qui s’est déroulé cette semaine à New York
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Les services de l’Autorité Palestinienne arrêtent 3 prisonniers politiques et un détenu entame une grève de la faim
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Naplouse: l’intensification des Protestations contre les réductions de l’UNRWA
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Oglu: nous continuons à soutenir la cause palestinienne
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Le Likoud propose à la Knesset un projet d’annexion de la Cisjordanie occupée
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19 colons prennent d’assaut la mosquée al-Aqsa
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Israël réprimande l’ambassadeur polonais à cause de l’Holocauste
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Israël prêt pour la paix avec les Palestiniens, prétend Netanyahou
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Un congrès international pour discuter la crise monétaire de l’UNRWA
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Khatib: L’escalade des incursions d’al-Aqsa nécessite une position sérieuse
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3 jeunes arrêtés à l’ouest de Jénine
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Pour Abbas, les accords d’Oslo sont morts
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Les forces d’occupation dévastent une mosquée à Hébron
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Le Hamas organise une manifestation à Khan Younès
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Des combattants de la résistance tirent sur une patrouille de l’occupation au nord de la Cisjordanie
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Londres: un congrès pro-palestinien dénonce la Déclaration de Trump sur Jérusalem
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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Flash info du 12 Rabi al Thani 1439.

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Sur Ajib.fr, voici les titres.

Que doit faire le musulman suite à un mauvais rêve ?
D’après les sources musulmanes, les rêves sont de plusieurs types.
Le Prophète (sallAllahou ‘alayhi wa salam) a dit : « Le rêve est de trois sortes :
– le rêve véridique ;
– le rêve où l’homme converse avec son âme ;
– et le rêve qui cause de l’effroi (« tahzîn »), provenant du diable » (rapporté par at-Tirmidhî, n° 2280).
En effet, d’après Abou Hourayra (Radhiya Allahou ‘Anhou) le Prophète (sallAllahou ‘alayhi wa salam) a dit : « Au fur et à mesure que le temps progresse, le rêve du musulman devient de plus en plus vrai. Ceux d’entre vous dont les rêves sont les plus vrais sont ceux qui évitent le plus le mensonge. Le rêve du musulman est l’une des 45 parties de la prophétie. Il existe trois sortes de rêve : le bon rêve qui est une bonne nouvelle venue d’Allah ; le mauvais rêve à travers lequel Satan apporte la tristesse, et le rêve qui n’est que le reflet des propres pensées de l’intéressé. » (Rapporté par Mouslim).
Seulement, le seul rêve dont le musulman doit se prémunir est le mauvais rêve qui provient de Satan et par lequel ce dernier tente d’attrister et d’effrayer la personne.
Mais quel comportement adopté lorsque l’on fait un mauvais rêve ?
Le croyant peut exécuter six actes afin de se défaire de l’angoisse de ce cauchemar:
– Prendre refuge auprès d’Allah soubhannou wa ta’ala contre son mal.
– Prendre refuge auprès d’Allah soubhannou wa ta’ala contre Sheytân.
– Que la personne postillonne trois fois sur sa gauche et qu’il dise «Je prends refuge auprès d’Allah soubhannou wa ta’ala contre le Sheytân et contre le mal que j’ai vu.»
– Qu’il ne le raconte à personne en vertu de la parole du Prophète « Et qu’il n’en parle à personne. » Sahîh al-Boukhârî (6584) ; Muslim (5862).
– Qu’il se lève, fasse ses ablutions et prie comme il est rapporté dans le Hadîth
– Qu’il change le côté sur lequel il dormait, s’il était sur le côté droit, il se met sur le côté gauche et inversement.
Enfin avant de se coucher, le musulman doit systématiquement réciter le verset du Trône Ayat Al Kursi et les deux derniers versets d’Al Baqara.
Abou Hourayra (qu’Allah l’agrée) a dit : « Le Messager d’Allah (sallAllahou ‘alayhi wa salam) m’a confié la garde de la zakat de Ramadan. Puis quelqu’un est venu puiser dans les denrées et je me suis saisi de lui à trois reprise et l’avait menacé à chaque fois porter son cas devant le Messager d’Allah (sallAllahou ‘alayhi wa salam). A la troisième fois il me dit libère-moi et en échange je vais t’apprendre quelque chose qui tu serviras: «Quand tu vas te coucher, récite le verset du Trône. Allah chargera quelqu’un de te garder et Satan ne se rapprochera pas de toi jusqu’au matin. » Lorsque j’ai fait part de ce qu’il m’a dit au Messager d’Allah (sallAllahou ‘alayhi wa salam) il a dit : « Il a dit la vérité, bien qu’il soit un grand menteur ; c’était un diable. » (Rapporté par Boukhari).
Ubay (qu’Allah l’agrée) rapporte également qu’il avait un gros récipient rempli de dattes qu’il surveillait de temps à autre. Constatant que la quantité de datte avait diminué, il s’est mis un soir à surveiller l’endroit. Tout d’un coup, il vit apparaître une bête ayant la taille d’un jeune adolescent. Ubay poursuit alors son récit en disant : J’ai salué et cette bête a rendu la salutation.
J’ai dit : « Qui es-tu ? Es-tu un Jinn ou un humain ? »
Il m’a dit : « Un Jinn. »
J’ai dit : « Fais voir ta main. Elle me l’a tendue, et j’ai constaté qu’elle était couverte de poils de chien. »
J’ai dit : « Est-ce ainsi que les Jinn sont crées ? »
Il m’a dit : « Les Jinn savent qu’il y a pas parmi eux plus terrible que moi. »
J’ai dit : « Qu’est-ce qui t’a poussé à faire ce que tu as fait ? »
Il répondit : « On m’a rapporté que tu es un homme généreux qui aime faire l’aumône et j’ai voulu avoir une part de ta nourriture. »
J’ai dit : « Qu’est-ce qui nous protège de vous ? »
Il répondit : « Ayat-al-Kursi, le verset du trône qui se trouve dans Sourate Al-Baqara (La vache). Celui qui récite ce verset le soir est protégé de nous jusqu’au matin, et celui qui le récite en se réveillant le matin est protégé de nous jusqu’au soir. »

Sur Katibin.fr, rien de neuf.

Sur journal du musulman.fr, rien de neuf.

Sur islam et info.fr, voici les titres.

Palestine : L’adolescente Ahed Tamimi, le nouveau visage de la résistance palestinienne. VIDEO.
En Palestine, Ahed Tamimi est devenue la nouvelle héroïne de la résistance palestinienne. La police a décidé d’arrêter la jeune fille de 16 ans après qu’une vidéo la montre en train de frapper deux soldats israéliens.
Les colons israéliens ont appelé à son viol en prison afin de “la punir” pour son acte de résistance. Du côté palestinien, la population commence à se mobiliser pour demander sa libération.
reportage a voir sur islam et info.fr.
Palestine : La police israélienne utilise des grenades lacrymogènes contre une manifestation pour Ahed Tamimi.VIDEO.
L’armée israélienne a utilisé les grenades lacrymogènes pour disperser une manifestation en faveur d’Ahed Tamimi, jeune palestinienne de 17 ans, arrêtée par la police pour avoir diffusé une vidéo dans laquelle on la voyait gifler un soldat israélien.
La décision de Donald Trump, de reconnaître Jérusalem comme capitale d’Israël, a provoqué une montée des tensions au Proche Orient.
reportage a voir sur islam et info.fr.
Yémen : l’aviation saoudienne bombarde un marché populaire bondé, 40 civils tués.VIDEO.
Les avions de combat de la coalition menée par l’Arabie saoudite ont frappé un marché populaire bondé dans la province de Taiz, dans le sud-ouest du pays, tuant plus de 40 personnes, ont rapporté les médias locaux.
Les frappes aériennes ont visé le marché dans le district d’AlTaiziya de la province de Taiz, tuant plus de 40 personnes et blessant des dizaines d’autres, ont rapporté les médias locaux.
Les chaînes de télévision ont déclaré que “plus de 50 civils ont été envoyés dans les hôpitaux suite aux frappes aériennes menées par l’Arabie Saoudite sur le marché de Shuhrah”.
La télévision Houthi a diffusé des images du site de bombardement en indiquant que “des dizaines de cadavres brûlés sont encore dispersés sur le marché avec des identités inconnues”.
Des témoins proches de la scène ont déclaré à Xinhua que les frappes aériennes “ont causé un grand nombre de victimes car elles se sont produites pendant l’heure de pointe du marché qui était rempli d’acheteurs venant des villages voisins”.
Lundi, une famille de neuf membres, dont cinq enfants, a été tuée lorsque des avions de la coalition dirigés par l’Arabie saoudite ont frappé cinq fois la maison de la famille à Sanaa, la capitale du Yémen.
Dans le même temps, d’intenses combats entre les forces yéménites soutenues par la coalition dirigée par l’Arabie saoudite et les rebelles chiites houthis se poursuivent dans diverses provinces du pays.
Des frappes aériennes ont été lancées par des avions de chasse de la coalition dirigée par l’Arabie saoudite contre des sites contrôlés par les Houthis dans la province de Hodeïdah, laissant des victimes inconnues.
La coalition dirigée par l’Arabie saoudite est intervenue dans le conflit yéménite depuis mars 2015 pour faire reculer les rebelles houthis et soutenir le président internationalement reconnu Abd-Rabbu Mansour Hadi, qui a été contraint à l’exil par les Houthis.
La guerre a tué plus de 10 000 Yéménites, pour la plupart des enfants, et en a déplacé 3 millions d’autres, créant ainsi l’une des pires crises humanitaires au monde.
reportage a voir sur islam et info.fr.

Sur saphirnews.com, voici les titres, rien de neuf.

France : Quand Christophe Castaner s’égare sur le statut du voile dans l’espace public. vidéo.
Après le ministre de l’Education Jean-Michel Blanquer qui s’est dit « normalement » opposé au voile des mères lors de sorties scolaires, c’est au tour de Christophe Castaner de vouloir justifier une telle interdiction.
Au micro de Frédéric Métézeau sur France Inter vendredi 29 décembre, le délégué général de La République en Marche (LREM), qui fut porte-parole du gouvernement, a déclaré – sans que le journaliste ne le reprenne – que « les signes religieux sont interdits dans l’espace public. On peut considérer par extension, comme Jean-Michel Blanquer, qu’une sortie scolaire reste dans l’espace public ».
Un rappel du droit s’impose pour Christophe Castaner car son affirmation est tout bonnement fausse : les signes religieux sont autorisés dans l’espace public, à l’exception du niqab (ou voile intégral). Par ailleurs, le Conseil d’Etat a rendu un avis sur le statut des parents accompagnateurs de sorties scolaires : ils ne sont pas soumis aux règles de neutralité religieuse qui régissent les fonctionnaires de l’Etat. Les mères portant le voile ont donc bien le droit d’accompagner des enfants, sans n’avoir à souffrir d’une quelconque interdiction.
reportage a voir sur saphirnews.com.
Algérie : le Nouvel An berbère officiellement reconnu comme jour férié.
Une bonne nouvelle pour les militants de la cause amazighe. Le Nouvel An berbère (aussi appelé Yennayer), qui sera célébré le 12 janvier 2018 en Algérie, sera pour la première fois un jour « chômé et payé ». La décision de consacrer ce jour comme une fête nationale a été prise mercredi 27 décembre par la présidence de la République lors du Conseil des ministres.
« En présentant ses meilleurs vœux au peuple algérien à la veille de l’année 2018, le président Abdelaziz Bouteflika a annoncé sa décision de consacrer Yennayer journée chômée et payée dès le 12 janvier prochain, le gouvernement étant chargé de prendre les dispositions appropriées à cet effet », a indiqué le communiqué du Conseil des ministres.
Cette décision, « prise au profit de notre identité nationale dans sa triple composante islamique, arabe et amazighe confortera l’unité et la stabilité nationales, alors que des défis multiples internes et régionaux nous interpellent », souligne-t-on.
Le chef de l’Etat a également chargé le gouvernement de préparer une loi organique devant être le prélude à la création d’une académie de langue amazighe en Algérie. Le chef de l’Etat « a enjoint au gouvernement de ne ménager aucun effort pour la généralisation de l’enseignement et de l’usage de tamazight, conformément à la lettre et à l’esprit de la Constitution », a-t-on fait savoir dans un communiqué parvenu à l’Agence de presse algérienne (APS).
Ces mesures sont une réponse aux revendications de longue date portées par les militants amazighs, qui appelaient à une reconnaissance pleine et entière de l’identité berbère de l’Algérie.
La presse algérienne n’a pas manqué de saluer les décisions, comme L’Expression qui a indiqué qu’Abdelaziz Bouteflika « vient de rectifier une injustice historique » au travers d’annonces qui mettront l’Algérie « en phase avec sa profondeur historique millénaire (…). Le moment est historique, un autre chapitre vient de s’ouvrir ». Yennayer correspondra en 2018 à l’année 2968.

Sur oumma.com, voici les titres.

Palestine : Appel au viol d’Ahed Tamimi, et incarcération des membres de sa famille.
Le chanteur Bono appelle à la démission de Aung San Suu Kyi.

Sur Mizane.info, rien de neuf.

Sur des domes et des minarets.fr, voici les titres, rien de neuf.

France : “Une barbe imposante peut constituer une atteinte à la laïcité”.
La cour administrative d’appel (CAA) de Versailles (Yvelines), dans une décision du 19 décembre, donne raison à la direction du Centre Hospitalier de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) à propos de la résiliation d’une convention de stage. La décision de la direction était motivée principalement par le port d’une barbe imposante considérée comme une manifestation ostentatoire d’une appartenance religieuse et donc incompatible avec les principes de laïcité et de neutralité du service public.
Le cour a considéré que le port d’une longue barbe par un élève médecin, ne respectait pas les «obligations en matière de neutralité religieuse». Et ce, «bien que le port de sa barbe ne s’est accompagné d’aucun acte de prosélytisme ni d’observations des usagers du service», peut-on lire dans cet arrêté.
L’histoire remonte à novembre 2013 quand un étudiant en médecine à l’université égyptienne de Menoufeya, est accueilli au sein du service de chirurgie générale, viscérale et digestive du centre hospitalier de Saint-Denis, en vertu d’une convention de stage. Quatre mois plus tard, en février 2014, l’hôpital dénonce la convention au motif que Mohamed refuse de se tailler la barbe. La justice est alors saisie pour trancher.
Cette décision démontre une fois de plus la nature totalitaire du radicalisme laïciste. Il y a mieux comme pays respectable et tolérant pour faire son stage que le pays où sévit Manuel Valls et la nébuleuse islamophobe du “Printemps Républicain”.
Au Yémen, 144 enfants meurent chaque jour dans l’indifférence.
La guerre au Yémen est entrée dans son 1000e jour il y a une semaine. Le bilan est désastreux : un million de cas de choléra (faisant plus de 2 000 victimes depuis fin avril), six enfants qui meurent par heure, 3 millions de déplacés et 12 000 morts et blessés et 80 % des habitants démunis : cette guerre oubliée a plongé ce pays l’un des plus pauvres au monde, dans une grave crise humanitaire. Une crise provoquée par un blocus conséquent de la coalition entravant l’acheminement de carburants, l’accès aux soins et à la nourriture.
Selon l’ONU et les ONG, c’est “pire crise humanitaire au monde” et des millions de personnes sont directement menacées par la famine. Près de 18 millions de personnes ont besoin d’aide alimentaire. Et parmi eux, plus de 11 millions sont dans un besoin aigu. C’est un million de plus que l’année dernière.
Ajoutant à cela les nombreuses victimes civiles qui tombent sous les raids d’une coalition menée par l’Arabie Saoudite et financée par les Etats-Unis, le Royaume-Uni et la France. Rien que pour la journée de mardi, 64 civils dont plusieurs enfants ont péri sous les bombes saoudiennes. La première attaque contre «un marché populaire très fréquenté» dans la province de Taëz a tué 54 personnes, dont huit enfants. La deuxième a tué 14 personnes d’une même famille dans la province de Hodeida, qui borde la mer Rouge.
Portes ouvertes, le 30 et 31 décembre, à la mosquée de Décines.
En ce dernier weekend de l’année 2017, le tout nouveau Centre Interculturel de Décines (Rhône) ouvre ses portes au public, moins de trois mois après son ouverture aux fidèles.
Au menu de ces deux journées : visites guidées du centre, une exposition sur la vie du prophète (sws), des conférences, des animations pour les grands et les petits et des collations gracieusement offertes.
L’entrée est libre et gratuite.
Adresse :
9, rue sully,
69150, Décines-charpieu.

Sur tribune lecteurs.com, rien de neuf.

Sur Actualite islamique de Belgique, rien de neuf.

Sur agence media palestine.fr, voici les titres,.

Bassem Tamimi: « Ma fille, ce sont des larmes de lutte ».
Le père d’Ahed Tamimi est fier de sa fille. Il dit qu’elle est une combattante de la liberté qui, dans les années qui viennent, conduira la résistance au régime israélien.
Cette nuit aussi, comme toutes les nuits depuis que des dizaines de soldats ont envahi notre maison au milieu de la nuit, mon épouse Nariman, ma fille de 16 ans Ahed, et Nur, la cousine d’Ahed, vont la passer derrière les barreaux. Même si c’est la première arrestation d’Ahed, vos prisons ne lui sont pas inconnues. Ma fille a passé sa vie entière sous l’ombre pesante de la prison israélienne – depuis mes longues incarcérations pendant son enfance, aux arrestations répétées de sa mère, à celles de son frère et de ses amis, en passant par la menace implicite que représente la présence permanente de vos soldats dans nos vies. Son arrestation était donc juste une question de temps. Une tragédie inévitable qui nous guettait.
Il y a plusieurs mois, lors d’un voyage en Afrique du Sud, nous avons projeté en public une vidéo documentant la lutte de notre village, Nabi Saleh, contre la domination d’Israël qui nous est imposée. Quand la lumière est revenue, Ahed s’est levée pour remercier les gens de leur soutien. Après avoir remarqué que certains dans l’assistance avaient les larmes aux yeux, elle leur a dit ceci : « Nous sommes peut-être victimes du régime israélien, mais nous sommes aussi fiers de notre choix de lutter pour notre cause, malgré le coût que l’on sait. Nous savions où ce chemin nous conduirait, mais notre identité, en tant que peuple et en tant que personnes, est ancrée dans la lutte, et elle en tire son inspiration. Au-delà de la souffrance et de l’oppression quotidiennes des prisonniers, des blessés et des tués, nous connaissons aussi le pouvoir immense qui nous vient de notre appartenance à un mouvement de résistance ; le dévouement, l’amour, les petits moments sublimes qui viennent de notre choix de briser les murs invisibles de la passivité.
« Je ne veux pas être perçue comme une victime, et je n’accorderai pas à leurs actions le pouvoir de définir qui je suis, et ce que je serai. J’ai choisi de décider par moi-même comment vous me verrez. Nous ne voulons pas que vous nous souteniez à cause de quelques larmes photogéniques, mais parce que nous avons fait le choix de la lutte et que notre lutte est juste. C’est la seule façon de pouvoir arrêter de pleurer un jour ».
Des mois après ces faits en Afrique du Sud, quand elle a défié ces soldats armés de la tête aux pieds, ce n’était pas une colère soudaine devant les graves blessures que Mohammed Tamimi, 15 ans, avait reçues juste avant, à seulement quelques mètres, qui l’aurait motivée. Ce n’était pas davantage la provocation de ces soldats pénétrant dans notre maison. Non. Ces soldats, ou d’autres, identiques dans leur action et leur rôle, sont des indésirables et des intrus dans notre maison depuis qu’Ahed est née. Non. Elle s’est tenue là, devant eux, parce que c’est notre chemin, parce que la liberté n’est pas donnée comme une aumône, et parce qu’en dépit de son coût élevé, nous sommes prêts à la payer.
Ma fille a juste 16 ans. Dans un autre monde, dans votre monde, sa vie serait complètement différente. Dans notre monde, Ahed est une représentante d’une nouvelle génération de notre peuple, de jeunes combattants pour la liberté. Cette génération doit mener sa lutte sur deux fronts. D’un côté, ils ont le devoir, bien sûr, de poursuivre le défi et le combat contre le colonialisme israélien dans lequel ils sont nés, jusqu’au jour de son effondrement. De l’autre, ils doivent affronter avec hardiesse la stagnation et la dégradation politiques qui se sont répandues parmi nous. Ils doivent devenir l’artère vivante qui fera revivre notre révolution, et qui la sortira de la mort entraînée par une culture croissante d’une passivité inhérente à des décennies d’inactivité politique.
Ahed est l’une de ces nombreuses jeunes femmes qui, dans les années qui viennent, conduiront la résistance à la domination israélienne. Elle n’est pas intéressée par les projecteurs actuellement braqués sur elle à cause de son arrestation, mais par un véritable changement. Elle n’est pas le produit de l’un des vieux partis ou mouvements, et dans ses actions, elle envoie un message : pour survivre, nous devons faire face franchement à notre faiblesse et vaincre nos peurs.
Dans cette situation, notre plus grand devoir, à moi et à ma génération, est de la soutenir et de laisser la place ; de nous maîtriser et ne pas essayer d’altérer et emprisonner cette génération nouvelle dans la vieille culture et les vieilles idéologies dans lesquelles nous avons grandi.
Ahed, aucun parent au monde ne désire voir sa fille passer ses jours en cellule de détention. Cependant, Ahed, aucun ne peut être plus fier que moi je le suis de toi. Toi et ta génération, vous avez assez de courage, finalement, pour gagner. Vos actions et votre courage me remplissent d’une crainte mêlée d’admiration et me faire monter les larmes aux yeux. Mais, conformément à ta demande, ce ne sont pas des larmes de tristesse ni de regret, mais plutôt des larmes de lutte.
Traduction : JPP pour l’Agence Média Palestine.
Source : Haaretz.
Les villages mizrahi détruits par l’establishment israélien.
Depuis sa création, Israël a systématiquement effacé de la carte des centaines de villages palestiniens. Mais les Palestiniens n’ont jamais été les seules victimes de l’expansion israélienne. Voici l’histoire des communautés mizrahi effacées avant et après la création de l’État d’Israël
Il est bien connu que depuis les premiers temps de l’immigration sioniste en Palestine, la bourgeoisie israélienne et ses diverses branches ont détruit des centaines de villages et de villes palestiniens et syriens, qui ont été jugés ennemis de l’État. Sur la nouvelle carte de la « destruction coloniale » publiée par De-Colonizer, un centre de recherche alternatif sur Palestine/Israël, figurent les villages mizrahi – dont la moitié environ étaient yéménites – détruits par les autorités sionistes avant la fondation d’Israël et par l’État d’Israël après 1948.
Le terme « destru(A)ction » renvoie à des communautés chassées contre leur volonté – souvent par la violence physique, et toujours avec l’aide de la violence légale et économique. D’autres villes et quartiers, tels les quartiers Mahlul et Nordia de Tel Aviv ou la cité de transit Neve Amal d’Herzliya ont aussi été détruits, quoique leurs habitants aient finalement reçu des indemnités.
D’un autre côté, il y a eu des villages israéliens démolis contre la volonté des habitants – dans la péninsule du Sinaï par exemple – même si ces démolitions allaient à l’encontre de l’expansion coloniale d’Israël, étant donné qu’elles se produisaient dans le contexte d’un traité de paix avec l’Égypte et, de ce fait ne figurent pas sur la carte. La destruction de ces villages peut être considérée comme une forme de décolonisation.
La destruction de ces villages juifs ne devrait pas nous étonner, en particulier si l’on considère la façon dont la bourgeoisie sioniste a toujours considéré et traité ceux de l’Est, qu’ils fussent juifs, musulmans ou chrétiens – tous Arabes.
Rappel des noms.
Depuis la création d’Israël, une hiérarchie de l’oppression s’est produite. Les Palestiniens endurent la plus forte discrimination, mais les Juifs mizrahim, qui jouissent du privilège d’être juifs, sont discriminés par les Ashkénazes. Dans les premiers temps de l’immigration sioniste en Palestine, l’attitude discriminatoire de l’élite ashkénaze à l’égard des Mizrahim était ouvertement raciste – l’establishment sioniste était ashkénaze-européen et oeuvrait à protéger les intérêts des pères fondateurs de l’État. Ils travaillaient avec diligence, dans ce temps-là et, après la création de l’État ils ont ancré ces mêmes mécanismes pour assurer leur suprématie.
Voici les noms des 12 villages et quartiers juifs mizrahi détruits par l’establishment sioniste de l’État ou d’avant l’État : la colonie yéménite de Ben Shemen, le village yéménite de la mer de Galilée, Tohelet, le camp de Kfar Saba, Yamin Moshé, Mamila, Manshiyye, Summayl, Kfar Shalem, Givat Amal, le quartier de Ha’argazim, Emek Ha’teimanim à Ein Kerem. Deux d’entre eux furent démolis avant la création de l’État, tandis que les dix autres furent détruits après 1948. Certains d’entre eux sont toujours sous la menace d’une démolition. La plupart de ces villages ont été établis à l’emplacement de villages palestiniens dépeuplés durant la guerre de 1948.
La différence entre le traitement des Juifs ashkénazes et celui des Mizrahim qui se sont établis dans des maisons palestiniennes récemment vidées de leurs habitants, est claire. Tandis que le statut de propriété des maisons volées était garanti aux Ashkénazes à Jérusalem Ouest et aux kibboutzim, le même privilège fut refusé aux Mizrahim.
On peut trouver un exemple clair de la politique discriminatoire de l’État dans l’histoire de Tohelet. Des Juifs yéménites qui s’étaient installés dans les maisons du village palestinien d’al-Safiriyya ont été déplacés de force, alors que des membres de Chabad, qui avaient un fort soutien politique, ont pu rester et s’étendre au détriment de Tohelet.
Givat Amal est un autre exemple. Menashe Kalif — déplacé de force de sa maison en 2015 pour que celle-ci soit détruite, a décrit comment l’État a demandé à ses parents de se saisir des maisons des Arabes d’Al-Jammasin al-Gharbi, de manière à les empêcher d’y revenir. La terre fut achetée par des magnats qui essaient maintenant d’évincer les habitants mizrahi sans les indemniser correctement.
Après des années du régime de droite du Likoud, nous ne pouvons plus dire que le Mapaï – le parti historique de la discrimination contre les non-Ashkénazes – est le seul à avoir perpétué le racisme anti-mizrahi. Le régime israélien, y compris l’establishment pré étatique, a créé les conditions socioéconomiques qui ont finalement conduit à la destruction de quartiers comme Givat Amal et Kfar Shalem. La condescendance à l’égard de Mizrahim privés de leurs droits est devenue un dogme juridique et économique essentiel de l’État d’Israël, quel que soit le parti politique au pouvoir.
Entre réfugiés et nouveaux immigrants.
L’infrastructure des villages palestiniens dans lesquels des Mizrahim se sont installés a été négligée. Cela pour forcer les Mizrahim à accepter d’évacuer les villages, afin que de nouveaux quartiers puissent être construits et fournir des profits considérables à l’État et aux magnats de l’immobilier. D’un coup, les habitants qui avaient été amenés pour vivre dans des maisons palestiniennes furent considérés comme des envahisseurs source de nuisance. Le racisme inhérent à ce processus ne fut jamais affiché ouvertement, étant donné qu’il se produisant dans les années conduisant à la création d’Israël – mais l’identité ethnique de ses victime est claire : ce sont tous des Mizrahim.
Un exemple de premier plan de ce racisme est visible dans le blog de nouvelles Carmel des années 1960, qui décrit les tentatives de la municipalité de Tel Aviv pour déloger les habitants de Manshiyye, le quartier de Jaffa le plus au nord, dont les habitants palestiniens ont été chassés en 1948. Ce qui suit est une transcription d’un des blogs, issu du film d’Anat Even “Yizkor L’Mansiyye”:
Voici Manshiyye à Tel Aviv. Plus de 3000 familles ont été évincées de la zone afin de permettre des changements. Bien que certains habitants soient encore là, la construction a déjà commencé. Depuis des années, ces maisons sont devenues des amas de ruines… pourtant des gens y vivent toujours. Il est vrai que certains immigrants à Manshiyye refusent de partir, manière pour eux de faire pression… c’est le visage de Manshiyye, dont un petit nombre d’habitants et leurs enfants refusent de reconnaître le fait que, selon le plan officiel, cet endroit a été effacé et n’existe plus. Manshiyye est un foyer d’agitation, de sentiments de discrimination, et de panthérisme.
Le traitement des Mizrahim est très différent de celui des Palestiniens qui vivaient dans ces mêmes maisons. Les Palestiniens déracinés ne peuvent pas demander de réparations. La loi sur la propriété des absents, ainsi qu’un ensemble de lois votées dans les premières années de l’existence de l’État, ont transformé les Palestiniens en une classe manquant de toute protection sous le nouveau régime. Les Juifs qui ont été déplacés de Lifta – un village palestinien proche de Jérusalem dont les habitants d’origine ont été évacués en1948 – ont bénéficié d’indemnités de la part de l’État. Parallèlement, les réfugiés palestiniens du village, dont certains vivent à Jérusalem, sont face à un mur d’exclusion lorsqu’il est question de leurs droits de propriété.
Dans un article publié par Roni Harel en 2014 dans le journal économique Calalist, Osi Tajer, un des Juifs évincés de Summayl au centre de Tel Aviv, apporte une réponse surprenante quand on lui demande s’il accepterait, en compensation, un appartement dans le nouveau bâtiment qui doit être construit sur le site de sa maison démolie :
« Pas du tout, je veux le donner aux Arabes en cadeau ».
« Et où vivrez-vous ? » demande le reporter.
« Avec eux ».
L’ambition de Tajer de vivre à côté des Palestiniens qui reviendront est un rappel de la période d’avant et pendant les premiers temps du sionisme, au cours de laquelle les Juifs, les Musulmans et les Chrétiens vivaient ensemble dans ce pays. Le sionisme n’a pas eu un regard positif sur cette cohabitation et a réussi à y mettre fin. La destruction de villages mizrahi est un développement de cette tendance.
Eitan Bronstein Aparicio est le co-director and co-fondateur de De-Colonizer, et le fondateur de Zochrot. Ce post a d’abord été publié en hébreu sur Local Call.
Traduction : SF pour l’Agence Media Palestine.
Source: +972.
Les vedettes du documentaire palestinien nominé aux Oscars emprisonnées par Israël.
Un des refrains les plus fastidieux des libéraux dans les rares occasions où ils parlent de la Palestine est « Où est le Gandhi palestinien ? ».
Cet argument ennuyeux est périodiquement déterré par quelque je-sais-tout sans la moindre idée de quoi il parle, mais qui semble croire que c’est une pensée originale.
Je pense que je l’ai rencontré pour la première fois en 2001 dans le livre de Michael Moore « Stupid White Men » (Stupides hommes blancs). Bien que le livre soit amusant à bien des égards, le chapitre dans lequel il sermonne les Palestiniens sur les raisons pour lesquelles ils ne sont pas encore libres est, au mieux, embarrassant.
Il écrit que les Palestiniens devraient arrêter d’utiliser la résistance armée et qu’ils devraient adopter à la place la tactique de Gandhi —s’allonger devant les tanks israéliens et ainsi de suite. Il dit quelque chose du type : « beaucoup d’entre vous mourront mais le monde sera de votre côté ».
Malheureusement ce genre d’argument de poubelle n’est que trop commun, particulièrement aux USA. Même en laissant de côté la pure grossièreté d’un riche Américain blanc sermonnant les Palestiniens sur la bonne façon de résister, c’est aussi de la pure ignorance historique.
L’argument est toujours offert comme si les Palestiniens n’avaient jamais essayé la résistance non-violente, et il est avancé comme une idée censée être neuve.
En réalité, les Palestiniens utilisent constamment la protestation non-armée et non-violente contre Israël. Les formes non-violentes de résistance palestinienne sont vieilles comme le sionisme lui-même. Il ne pourrait en être autrement — même si elle reçoit le soutien du sentiment populaire (comme c’est le cas en Palestine), la résistance armée est par définition l’action d’une avant-garde minoritaire.
Le soulèvement palestinien de 1936 contre l’occupation britannique et le colonialisme sioniste, par exemple, a commencé comme une grève générale. C’est seulement plus tard qu’il s’est développé en insurrection et guérilla armées, en réponse à la brutalité des Britanniques et de leurs alliés dans le mouvement sioniste.
Même après que la majorité de la population palestinienne fut expulsée par les milices sionistes en 1948, les premiers actes de résistance au lendemain de cette Nakba étaient des actes de défi, simples et spontanés — et ils étaient entièrement pacifiques.
C’étaient ceux de nombreux villageois palestiniens chassés par des voyous israéliens armés, ce qui avait fait d’eux des réfugiés. Beaucoup de fermiers revinrent après que les tirs se furent calmés et retraversèrent les lignes de cessez-le-feu pour s’occuper de leurs fermes, de leurs arbres fruitiers et de leurs vergers. Pour revenir.
Ces lieux étaient occupés par des soldats de la nouvelle armée israélienne, qui ont abattu à vue ces prétendus « infiltrateurs ». L’assassinat de civils palestiniens est aussi vieux que le sionisme, lui aussi.
Dans ces actes brutaux étaient semées les graines de l’établissement des premiers groupes de résistance armée palestiniens après 1948, comme le Fatah.
La triste réalité de la couverture de la Palestine par les médias occidentaux est qu’ils y prêtent rarement beaucoup d’attention sauf s’il y a de violentes représailles par des Palestiniens. La violence institutionnelle israélienne de l’occupation, plus grande, récurrente, fréquente, systématique, reçoit bien moins d’attention.
À cause de cela, la résistance palestinienne non armée tend à être à peu près ignorée. Il y a des exceptions à cette règle générale, comme pendant la Première Intifada, quand ce soulèvement populaire palestinien fit une brève percée médiatique — surtout grâce à la pure brutalité de la réponse israélienne au mouvement de protestation.
Mais il y a eu d’autres exceptions au cours des années. Le village de Bil’in en Cisjordanie, par exemple, a pendant des années organisé des manifestations hebdomadaires contre le mur d’apartheid israélien et les colonies, qui tous deux annexent des terres du village.
Un réalisateur de ce village a fait, avec un ami israélien, le film « 5 Broken Cameras (5 caméras brisées) », racontant l’histoire du village. Le documentaire était si convaincant qu’il a été nominé aux Oscars, et plus tard a gagné un Emmy Award.
Mais au cours des derniers mois, Israël a arrêté et emprisonné plusieurs des personnes figurant dans ce film.
L’enseignant Abdallah Abu Rahma, chef du mouvement de protestation, a été enlevé par les forces israéliennes au milieu de la nuit, puis emprisonné sans procès civil pendant près d’un mois. Ce n’est que la dernière arrestation d’Abdallah. Les charges retenues contre lui dans le système judiciaire bidon d’Israël ont inclus celle d’« organiser et participer à une manifestation illégale » et celle de « provocation ».
La justice militaire d’Israël en Cisjordanie est une mascarade de justice, et est raciste de manière inhérente. Les colons juifs qui vivent aussi en Cisjordanie —les rares fois où ils sont inculpés— sont soumis au système juridique civil, séparé et inégalitaire, d’Israël.
Si Abdallah a maintenant été relâché, d’autres personnes du village restent emprisonnées.
Parmi elles se trouve Ashraf Abu Rahma, un Palestinien de gauche qui a été capturé par les troupes israéliennes à la fin d’octobre. Le Mouvement de solidarité internationale lève des fonds pour aider à sa libération. Le groupe explique qu’Ashraf a été capturé « alors qu’il faisait visiter à des militants solidaires français les terres que son village de Bil’in a récupérées de la proche colonie israélienne de Modi’in Elite grâce à leurs originales manifestations populaires ».
Au cours des années, Ashraf a été arrêté de nombreuses fois par les Israéliens pour sa résistance non-violente. Son frère et sa soeur ont été tous deux assassinés par des soldats israéliens au cours de manifestations contre leur occupation du village.
En 2008, le traitement d’Ashraf aux mains des voyous de l’armée israélienne a brièvement capté un peu d’attention des médias. Pendant une manifestation à un village voisin, ils l’ont enchaîné et bâillonné. Alors qu’il était ainsi neutralisé et ne posait aucune menace d’aucune sorte, les lâches soldats israéliens lui ont sadiquement tiré dans le pied avec une balle en acier enrobée de caoutchouc. Mais il s’est remis et a continué à participer à la résistance non armée.
Libérez Ashraf Abu Rahma et tous les prisonniers politiques palestiniens !
Traduction: Catherine G. pour l’Agence Média Palestine.
Source: Middle East Monitor.
« Nous ne participerons pas à l’occupation » : dans une lettre à Netanyahu, des dizaines des jeunes refusent de s’enrôler dans l’armée israélienne.
« L’armée poursuit la politique raciste du gouvernement qui viole les droits humains fondamentaux », écrivent 63 jeunes à Netanyahu et au chef militaire israélien Gadi Eisenkot.
Un groupe de 63 jeunes a publiquement déclaré qu’ils refuseront d’être enrôlés dans l’armée israélienne, a rapporté Yedioth Ahronoth jeudi matin.
« Nous avons décidé de ne pas participer à l’occupation et à l’oppression du peuple palestinien », ont-ils écrit dans une lettre au Premier Ministre Benjamin Netanyahu, au chef du personnel militaire Gadi Eisenkot et aux ministres de la défense et de l’éducation. « La situation ‘temporaire’ traîne depuis 50 ans, et nous ne voulons pas lui donner un coup de main. »
Les jeunes critiquent le gouvernement et l’armée dans leur lettre. « L’armée poursuit la politique raciste du gouvernement, qui viole les droits humains fondamentaux et met en oeuvre une législation pour les Israéliens et une autre pour les Palestiniens sur le même territoire », écrivent-ils.
Les étudiants protestent aussi contre « la provocation intentionnelle et institutionnelle contre les Palestiniens des deux côtés de la Ligne verte », se référant à la ligne de l’armistice de 1949 qui sépare Israël de la Cisjordanie, « et nous — des garçons et des filles en âge de faire leur service militaire, venant de différentes régions du pays et de différents milieux socio-économiques—refusons de croire à ce système de provocation et de participer au bras armé d’oppression et d’occupation du gouvernement. »
La lettre appelle les autres jeunes à remettre en cause leur enrôlement, ajoutant que les signataires ont l’intention de parcourir le pays afin de trouver de nouvelles recrues pour leur initiative.
« Nous refusons d’être enrôlés et de servir dans l’armée de par notre devoir envers les valeurs de la paix, de la justice et de l’égalité, sachant qu’il existe une autre réalité que nous pourrions créer ensemble », ont-ils écrit. « Nous appelons les filles de notre âge à se demander si le service militaire travaillera à atteindre cette réalité. »
Les signataires incluent Matan Helman, 20 ans, du kibboutz Haogen, qui a été mis en prison à cause de son refus d’être enrôlé dans l’armée. Début décembre, le ministère de l’éducation et les forces de défense israéliennes ont annoncé qu’ils travaillaient sur un projet pour augmenter le nombre d’appelés recrutés pour le combat. Actuellement les taux de recrutement s’affaissent et le taux de décrochage dépasse les 7 000 soldats (hommes et femmes) chaque année.
Traduction: Catherine G. pour l’Agence Média Palestine.
Source: Haaretz.
Israël, cause majeure de « l’exode des chrétiens palestiniens ».
Beit Jala, Palestine – L’occupation israélienne de la Palestine est le principal facteur responsable de l’exode des chrétiens palestiniens de la région, révèle une nouvelle étude.
Les recherches menées par l’Université Dar al-Kalima à Beit Jala en Cisjordanie occupée, conclut que seul un petit pourcentage de chrétiens a quitté la Palestine à cause d’inquiétudes liées au conservatisme religieux musulman.
Les chercheurs ont interviewé plus de mille personnes (dont environ la moitié était chrétienne et l’autre musulmane) sur leur vision de la vie ; et si celle-ci se révélait négative, les causes de leur pessimisme.
L’étude rapporte : « La pression de l’occupation israélienne, les restrictions permanentes, les politiques discriminatoires, les arrestations arbitraires, les confiscations de terres, s’ajoutent à un désespoir général parmi les chrétiens palestiniens. »
Ces conditions ont mis les chrétiens palestiniens dans « une situation désespérée dans laquelle ils ne peuvent plus concevoir un futur pour leurs enfants ni pour eux-mêmes » ajoute l’étude.
Bernard Sabella, membre du Conseil Législatif palestinien et co-auteur de l’étude, nous dit : « Ce n’est pas de disparaître que les chrétiens palestiniens redoutent le plus, c’est davantage le fait de perdre leur place dans la société ».
Il souligne que le conflit avec Israël et le manque de solution politique à l’occupation des territoires palestiniens représentent les principales causes de la réduction du nombre de chrétiens palestiniens.
À Jérusalem et à Bethléem, soit les lieux de naissance traditionnels du christianisme, les chrétiens palestiniens disparaissent rapidement avec les conditions politiques et économiques actuelles.
« L’identité palestinienne doit être mise en avant et soulignée », ajoute Sabella.
L’étude montre aussi que 50 pourcents des chrétiens et 54 pourcents des musulmans interviewés sont optimistes quant à l’évolution positive de leur situation et attribuent leur optimisme au fait de croire que Dieu est de leur côté.
« Ce résultat reflète la religiosité de la population palestinienne » explique Varsen Aghabekian, une des auteurs de l’étude.
Seuls deux pourcents des chrétiens attribuent leur pessimisme à « l’extrémisme religieux », tandis que le pourcentage parmi les musulmans est de quatre, soit le double.
« Personne ne peut nous faire partir d’ici ».
Une majorité des chrétiens et des musulmans déclarent que le conflit politique avec Israël fait qu’ils ne se sentent pas en sécurité.
« Je peux dire avec grande certitude que le départ [des chrétiens palestiniens] n’a jamais été causé par des persécutions religieuses » explique Aghabekian
L’émigration chrétienne de la Palestine commença pendant la période ottomane et était principalement due à une recherche d’opportunités économiques au nord du pays et en Amérique Latine.
Mais, selon l’étude, l’émigration récente est liée à l’instabilité de la région et au conflit avec Israël.
Entre 1860 et 1914, les chrétiens palestiniens représentaient environ 11 pourcents de la population palestinienne, qui était alors de 350 000 personnes.
À la veille de la première guerre mondiale, la population palestinienne atteint 616 000 personnes dont 69 000 chrétiens.
Aujourd’hui les chrétiens palestiniens dans toute la Palestine historique – qui comprend Israël, la Cisjordanie et Gaza – représentent seulement 1,7 pourcents de la population palestinienne qui s’élève à 6 millions.
Iskandar El Hinn, un Palestinien chrétien dont la famille a fui la ville de Jaffa pour celle de Ramallah lorsqu’Israël fut créé en 1948, et il continue d’expliquer à Al Jazeera qu’il n’a jamais pensé à quitter la Palestine.
Au contraire, il dit encourager ses enfants et petits-enfants à rester déterminés et à protéger leur terre.
« En tant que Palestinien, je vis là où j’ai ma place, partout où je vais c’est la Palestine et Jérusalem est sa capitale » dit-il.
« Nous vivons ici depuis des milliers d’années, personne ne peut nous faire partir d’ici. »
Traduction : Lauriane G. pour l’Agence Média Palestine.
Source : Al Jazeera.

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

Raids israéliens à l’est de Gaza
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Les chars d’occupation ont bombardé vendredi après-midi, deux positions de contrôle et de résistance à l’est de la ville de Gaza. ​
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Des colons attaquent le quartier Jabir à Hébron
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L’occupation arrête la mère de trois détenus de Balata
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Pour la 123ème fois, Israël démolit le village d’Al-Araqib
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L’armée israélienne met fin à des exercices simulant une agression contre Gaza
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Pot de vin israélien pour voter contre un projet onusien
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Des maisons, une école et une mosquée menacés de démolition à Yatta
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L’occupation empêche les frères d’Ansam Shawahneh de lui rendre visite
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6400 Palestiniens arrêtés en 2017
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Un « vendredi de colère » annoncé par le Hamas à Hébron
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Arrestations et blessés signalés dans des affrontements en Cisjordanie
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L’occupation prend d’assaut Qalqiliya et arrête un citoyen
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L’occupant israélien prolonge la détention de Ahed Temimi et sa mère de cinq jours
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L’occupation confisque des terres agricoles à Tammun pour établir une route coloniale
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L’occupation arrête une femme et son fils à l’ouest de Jénine
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Le ministère palestinien des Affaire étrangère condamne le projet du Likoud portant annexion de la Cisjordanie et Al-Qods à Israël
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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