Flash info pour le Samedi 22 Rabi el Thani 1443, sur MouslimRadio.
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Assalam aleykoum,
Nous sommes le Samedi 22 Rabi At’sèni 1443.
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Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
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Béthléem enterre le jeune Amjad Abou Soltan.
Les citoyens de Bethlehem ont participé, ce vendredi soir, aux funérailles du jeune martyr Amjad Abou Soltan (17 ans), tué par les balles des forces israéliennes en octobre dernier.
135 blessés lors des affrontements à Naplouse.
Le nombre de Palestiniens blessés dans les villages de Bita et Beit Djen, à Naplouse, s’est élevé à 135 suite aux affrontements qui ont opposé, ce vendredi, les citoyens aux forces d’occupation.
Coronavirus : 3 morts et 210 nouvelles contaminations en Palestine.
Le ministère de la santé à Ramallah a déclaré ce vendredi que 3 palestiniens sont morts et 210 autres sont nouvellement contaminés par le coronavirus alors que 287 malades se sont rétablis au cours de ces dernières 24 heures en Palestine.
L’occupation rejette l’appel contre le jugement de détention administrative du député Tafash.
Le tribunal d’occupation militaire d’Ofer a rejeté jeudi un appel contre la détention administrative du député Khaled Ibrahim Tafash de Bethléem.
L’occupation arrête 8 civils en Cisjordanie.
Aujourd’hui, vendredi, les forces d’occupation ont arrêté huit citoyens et fait une descente dans plusieurs maisons à Bethléem, Tulkarem et Jérusalem occupée, et ont entravé la circulation des citoyens à Jénine.
Les forces de sécurité de l’AP perturbent l’accueil d’un détenu libéré.
Les forces de sécurité ont pris d’assaut – jeudi soir – une réception pour un prisonnier libéré dans le village de Zawata, à l’ouest de Naplouse, dans le nord de la Cisjordanie occupée, pour retirer les banderoles vertes.
Des milliers de personnes accomplissent la prière de l’aube dans la mosquée Ibrahimi à Hébron.
Des milliers de citoyens de la ville d’Hébron ont accompli la prière de l’aube aujourd’hui, vendredi, « l’aube du Grand Rabat » dans la mosquée Ibrahimi ; en rejet des projets de judaïsation qui la menacent.
Al-Jihad : Les services sécuritaires de l’AP enlèvent nombre de nos sympathisants à Jénine.
Le mouvement d’al-Jihad islamique a assuré ce jeudi que les services sécuritaires palestiniens ont kidnappé un groupe d’ex-détenus et d’activistes du mouvement dans la ville de Jénine et son camp au nord de la Cisjordanie occupée.
Des affrontements contre les forces d’occupation et les colons à Al-Lubban al-Gharbi.
Des affrontements ont opposé les jeunes palestiniens à des dizaines de colons israéliens, protégés par les forces d’occupation, à l’entrée du village d’Al-Luban al-Gharbi.
Tirs à feu sur la colonie de Kiryat Arba à Hébron.
Des sources hébreu ont rapporté que des tirs de feu ont visé la colonie de Kiryat Arba dans la ville d’Hébron, au sud de la Cisjordanie.
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Aujourd’hui en Algérie, sur algerie-eco.com, le journal d’information indépendant, voici les titres..
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Covid-19 en Algérie : 193 nouveaux cas, 131 guérisons et 5 décès.
Le ministère de la Santé a annoncé, ce vendredi 26 novembre 2021, dans un communiqué publié sur sa page Facebook, 193 nouveaux cas confirmés de Coronavirus, 131 guérisons et 05 décès ont été enregistrés durant les dernières 24 heures en Algérie. Selon la même source, 23 patients se trouvent actuellement en soins intensifs.
SNTF : reprise des trains de nuit sur ces lignes.
La Société Nationale des Transports ferroviaires (SNTF) a annoncé, hier jeudi, dans un communiqué publié sur sa page Facebook, la reprise des trains de nuit avec couchettes sur les lignes (Alger- Tébessa) et (Alger – Annaba), en plus de la reprise des trains sur la ligne (Batna – Alger), à partir du dimanche 28 novembre 2021.
Les trains reprendront selon le programme suivant : Alger – Tébessa : départ à 18:40, arrivée à 06:05. Les trains sur cette ligne circuleront les dimanches, mardis et jeudis, avec sièges et couchettes.
Sur la ligne (Tbessa – Alger), le départ est programmé à 17h30 et l’arrivée à 05h00. Les trains circuleront les samedis, lundis et mercredis, avec sièges et couchettes.
Les trains assurant la liaison (Annaba – Alger) partirons à 19h20 poyr arriver à 05h45). Les trains circuleront tous les jours de la semaine, avec sièges et couchettes.
Sur la ligne (Alger – Annaba), le départ est prévu à 20h45, et l’arrivée à 07h05. Le circulera tous les jours de la semaine, avev sièges et couchettes.
Sur la ligne (Alger – Batna), e départ est prévu à 13h45 et l’arrivée à 20h40. Les trains circuleront tous les jours de la semaine avec des places assises uniquement.
Sur la ligne (Batna – Alger), le départ à prévu à 22h50), et l’arrivée à 05h30). Les trains circuleront tous les jours de la semaine avec des places assises uniquement.
Pour rappel, au cours de la semaine écoulée, à partir du dimanche 21 novembre 2021, les trains ont repris sur les deux lignes (Alger – Touggourt) et (Bechar – Oran).
Ce programme a été mis en œuvre en coordination avec les ministères de l’intérieur et de la santé, ainsi que les services de la gendarmerie nationale pour assurer la sécurité des voyageurs.
Le nombre de passagers à l’intérieur du train a été fixé à 50 %, ainsi que l’élaboration d’un protocole sanitaire qui impose le respect de la distanciation physique, et le port du masque de protection à l’intérieur de la gare et dans le train.
Les secrets de la réussite du groupe Lafarge en Algérie.
« Entreprendre donc servir », c’est un intéressant ouvrage sur la réimplantation de la firme internationale Lafarge en Algérie que viennent de publier Luc Callebat ex Directeur Général de Lafarge Algérie et Jean-Maurice Vergnaud, aux éditions Manitoba sous le titre « Entreprendre, donc servir ».
C’est vraiment un cas d’école que décrivent avec force détails, ces deux top managers qui ont su relever le challenge fort compliqué du retour de la firme internationale Lafarge en Algérie, en appliquant un style de management original, mêlant impératifs de bonne gestion et sincères intentions humanistes. Le groupe cimentier Lafarge qui avait quitté le pays dans les années 70, suite à la nationalisation de ses actifs, est en effet revenu en Algérie en 2010 à la faveur d’un très controversé rachat des cimenteries en activité et en projets, appartenant au groupe industriel égyptien Orascom.
Cette transaction effectuée sans l’aval des hautes autorités algériennes, avait effectivement suscité le courroux de l’ex président Bouteflika qui avait réagi en fermant le jeu de l’investissement étranger désormais assujetti à la règle du 49/51, contraignant les investisseurs étrangers â s’associer à un ou plusieurs partenaires algériens, détenant la majorité du capital de l’entreprise.
Lafarge a donc repris les affaires du groupe Orascom comme un intrus, dans une ambiance â tous points défavorables. Il fallait commencer par redorer son blason, terni par les discours au vitriol des dirigeants algérien à commencer par l’ex président Bouteflika, qui considérait cette cession pirate comme un coup bas, voire même une impardonnable trahison de son ami Sawiris patron d’Orascom. Il fallu donc au repreneur Lafarge, des trésors de patience et d’actions multiformes prouvant sa bonne foi et sa capacité entrepreneuriale, pour faire oublier ce « péché originel » et restaurer la confiance qui permettra à Luc Callebat expressément dépêché par les plus hauts dirigeants du Groupe, de relever avec éclat le défi industriel.
Il faudra beaucoup de courage et, sans doute, beaucoup de savoir faire et de capacité d’adaptation à une société algérienne, réputée fermée aux étrangers. Il fallait aussi se mouvoir dans un environnement juridique confus et instable qui faisait la part belle à la qualité des relations personnelles â entretenir avec les dirigeants algériens et les administrations publiques qui détiennent le pouvoir de vous faire réussir ou échouer.. C’est un challenge auquel s’attèlera avec succès le directeur général de Lafarge Algérie, Luc Callebat, aidé en cela par une poignée de cadres recrutés sur place ou venus de France, avec bien entendu, le précieux concours de la diplomatie française.
Il parviendra au terme d’intenses efforts, à transformer et intégrer cette société à l’intérieur d’une firme mondiale à très fort potentiels industriel et managérial.
Au bout de son mandat de 5 années, Luc Callebat fera de cette société mal servie par son passé et la maladresse de l’OPA dont elle fut issue, un acteur économique performant et digne de confiance, de surcroît parfaitement intégré à son environnement. Ses résultats économiques, son modèle d’organisation, ses préoccupations écologiques ponctuées par ses nombreuses « succès stories » susciteront la fierté de ses employés, qui considèrent leur appartenance à Lafarge Algérie, comme une promotion à la fois professionnelle et sociale.
Les témoignages empreints d’émotion de Luc Callebat et Jean-Maurice Vergnaud, nous font part de l’ambiance particulière dans laquelle a baigné Lafarge Algérie tout au long de ces cinq années d’implantation et de montée en cadence. Ils y décrivent les relations parfois tumultueuses avec les dirigeants politiques et administratifs, l’environnement social hostile au tout début de l’aventure, le vécu parfois dramatique des cadres et employés trouvant parfois réconfort au sein de l’entreprise, dont rapportées avec force détails par les auteurs.
Les actions citoyennes engagées en faveur des travailleurs et des populations locales, le dialogue social permanent grâce auquel furent désamorcées bon nombre de grèves, les nombreux investissements périphériques au métier de base entrepris sur fonds propres, l’innovation permanente, le perfectionnement continu des cadres, la mise en relation avec les universités du pays et autres initiatives à l’actif des dirigeants principaux, conforteront au gré du temps, la bonne réputation de Lafarge en Algérie.
Tous ces témoignages tirés de ce véritable cas d’école que constitue Lafarge Algérie, font de ce livre bien écrit et didactique, un vivier d’inspiration, que nous conseillons vivement aux chefs d’entreprises, aux managers intermédiaires, aux entrepreneurs en devenir, mais aussi et surtout, aux étudiants des instituts et facultés de de management.
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