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Flash info du 27 Joumada Al Awwal 1437.

Flash info du 27 Joumada Al Awwal 1437.
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L’histoire émouvante d’Omar ibn al-Khattab et d’une pauvre femme.
Omar ibn al-Khattab (qu’Allah l’agrée) fut un proche compagnon du prophète (paix et bénédiction d’Allah soient sur lui) et le second calife de l’islam à la mort d’Abu Bakr (qu’Allah l’agrée). Appelé « commandeur des croyants », ses mérites sont multiples : il était doté d’une humilité et d’un comportement hors-norme.
Bouleversante histoire.
Parmi ses nombreux bienfaits en tant que Calife, figure cette merveilleuse histoire narrée par Aslam, l’esclave affranchi de ‘Omar :
« Une nuit je me rendis avec ‘Umar à Harat Wâqim. Lorsque nous arrivâmes à Sirâr (un puits se situant à trois lieues de la ville de Médine), nous aperçûmes un feu au loin. ‘Umar dit : »Aslam! Il s’agit sûrement de voyageurs qui ont été surpris par la nuit. Allons voir ce qu’il en est. » Nous nous dirigeâmes vers eux, et arrivés à leur hauteur, nous vîmes qu’il s’agissait d’une femme et de ses enfants. Elle faisait bouillir de l’eau dans une marmite posée sur le feu, tandis que ses enfants ne cessaient de pleurer. ‘Umar dit :
– Que la paix soit sur vous, vous qui avez allumé la nuit par le feu.
-Et sur toi la paix.
-Puis-je m’approcher ?
-C’est comme bon te semble.
Il s’approcha et demanda : -Que vous arrive-t-il ?
-Nous avons été surpris par la nuit et le froid.
-Qu’ont tes enfants à pleurer ainsi ?
-Ils sont tiraillés par la faim.
-Qu’es-tu en train de cuire ?
-Ce n’est que de l’eau qui bout. Je leur fais croire que je prépare le souper en espérant qu’ils s’endorment. Je me plains à Allah de l’état dans lequel ‘Umar nous laisse.
‘Umar se mit alors à pleurer. Au pas de course, il se rendit dans les réserves où le blé était stocké, en retira un sac, et prépara une outre pleine de gras. Il dit ensuite: « Aslam! Aide-moi à porter ces deux sacs sur mon dos. » Je lui répondis: « Laisse-moi les porter à ta place. » Il me dit alors: « Est-ce toi qui portera mes péchés le jour de la résurrection? » Il charge les deux sacs sur son dos et nous nous rendîmes de nouveau auprès de la femme. Arrivé devant elle, ‘Umar posa les sacs au sol. Il prit une certaine quantité de blé qu’il versa dans la marmite, puis ajouta des morceaux de gras. Il se mit ensuite à souffler sur les braises de la marmite, et l’on pouvait voir la fumée émaner de sa barbe un long moment. Par la suite, il retira la marmite du feu et demanda à la femme: « Donne-moi un bol. » Elle lui en remit un, qu’il remplit de la soupe de blé qu’il venait de préparer et le posa devant les enfants à qui il intima l’ordre de manger. Ils mangèrent donc jusqu’à satiété, et -dans le même temps – la femme ne cessa de formuler des invocations en faveur de ‘Umar sans savoir qui il était. ‘Umar resta à leurs côtés jusqu’à ce que les enfants s’endorment. Il leur laissa une certaine somme d’argent et quitta les lieux. Il se retourna ensuite vers moi et me dit : « Aslam! C’est la faim qui les empêchait de dormir et les faisait pleurer. ».
Rapporté par Ahmad.
Selon Abou Houreira qu’Allah l’agrée, le Messager d’Allah (Que la Paix et la Bénédiction soient sur lui) a dit :
« Parmi ceux qui vous ont précédés des fils d’Israël, il y eut des hommes qui n’étaient pas des prophètes, mais auxquels Allah a adressé la parole. S’il devait y en avoir dans ma communauté, ce serait Omar ! ».
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[ Rapporté par Al-Boukhari ].
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La fille d’un réfugié syrien aveugle : « Prenez mes yeux et donnez-les à mon père ».
Derrière les milliers de réfugiés se cachent des milliers d’histoires et parmi elles, celle de Ma’moun Khaled Nasser. Ce réfugié syrien s’est vu dans l’obligation de fuir la guerre et se retrouve aujourd’hui à vivre en Turquie, dans la circonscription de Reyhanlı à Hatay, en compagnie de sa mère, de sa femme et ses enfants.
Aveugle, sourd et handicapé.
Âgé de seulement 27 ans, Ma’moun a aujourd’hui perdu l’usage de son ouïe et de sa vue après avoir été assourdi et aveuglé par le son des barils explosifs. Originaire de la ville d’Idlib, il a du quitter sa ville et fuir la barbarie du régime syrien qui lui a également fait perdre l’usage de sa main droite et de ses jambes il y a plus d’un an.
C’est avec un cœur déchiré que sa mère, Wafa ‘Awaad a témoigné de sa souffrance :
« Il y a un an mon fils était comme tout le monde, il marchait sur ses pieds, il parlait, il entendait, il voyait mais maintenant il est couché sur un lit, je m’occupe de lui comme il ne peut plus travailler. Nous trouvons une difficulté à subvenir aux besoins de mes 5 petits-enfants, mais nous recevons des aides de la part des voisins qui aiment faire du bien. Nous ne voulions pas rester en Syrie par crainte pour les survivants de notre famille. En nous réfugions dans la circonscription de Reyhanlı, nous voulions vivre paisiblement loin du danger et de la mort. ».
« Prenez mes yeux et donnez-les à mon père ».
Sa fille, âgée de 5 ans, n’a pas manqué de supplier les médecins turcs de guérir son père en insistant et en répétant :
« J’aime beaucoup mon père, je suis très triste quand je le vois couché sur le lit, il ne peut pas me voir, c’est pour cela que je suis très triste, entendez-mon appel : Prenez mes yeux et donnez les à mon père pour qu’il puisse me voir et me prendre dans ses bras. ».
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Il crie: « Je suis Juif et je soutiens le droit des Palestiniens » en plein rassemblement anti BDS !
Certains ne manquent pas de faire parler d’eux pour leur soutien envers les Palestiniens mais surtout, pour la façon dont ils l’expriment. Après les militants qui ont projeté sur les murs du palais londonien les tortures des enfants palestiniens, un homme a décidé de participer à un rassemblement anti BDS mais pas pour les raisons que l’on pourrait croire…
Alors que la réunion était déjà entamée, un homme de confession juive se lève et crie en faisant le tour de la salle : « Je suis juif et je soutiens le droit des Palestiniens ! » Une intervention qui est loin d’avoir été du goût des présents.
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L’Algérie veut anticiper une crise liée à Daech état islamique.
Depuis de nombreuses semaines, les autorités algériennes observent l’évolution de Daech et de l’opposition occidentale afin de mesurer les répercussions pour leur propre pays et les pays voisins. Afin de ne pas subir la situation, un certain nombre de mesures a déjà été mises en place.
L’occident déstabilisateur.
Parmi les observations des autorités algériennes, celle concernant le départ de jeunes à destination de Tripoli, en Libye, du fait que Air Algérie était une des dernières compagnies à assurer la liaison. Parmi ces jeunes suspectés de vouloir garnir les rangs de Daech, plus de 500 Marocains voisins ont été interceptés par la police et renvoyés dans leur pays d’origine. L’Algérie veut renforcer ses frontières et cela passe par une présence humaine plus importante, avec le renforcement des effectifs militaires mais cela passe également par des infrastructures améliorées et la mise en place d’un mur de sable le long de la frontière avec la Libye. Enfin, une des plus grandes craintes de l’Algérie est l’offensive occidentale au maghreb. Les dirigeants craignent que des bombardements ou une offensive terrestre déstabilisent la région comme cela est déjà le cas en Libye. Depuis l’offensive contre Kadhafi, le pays est plongé dans un chaos dont personne ne se soucie mais qui profite à Daech et l’Algérie ne veut pas voir cette situation se reproduire.
L’Algérie choisit de ne pas attendre que la situation explose pour réagir ce qui peut permettre au pays et à la population de ne pas trop subir une potentielle crise. Le risque est bien réél lorsqu’on observe l’évolution de la situation libyenne et l’absence totale de réaction de l’occident pourtant principal responsable du chaos actuel.
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Canada : Cours d’auto-défense pour les musulmanes.
Dans un dojo de Montréal sont organisés des cours de self défense pour répondre à une demande de plus en plus pressante.
C’est ainsi que plusieurs femmes s’y retrouvent afin d’apprendre à se défendre en cas d’agression mais aussi échanger sur la meilleure façon de répondre au harcèlement.
« On m’a conseillé de porter un deuxième foulard sur moi, en cas d’urgence« .
Et ne pensez pas qu’elles plaisantent car de plus en plus de femmes musulmanes se font agressées en raison du port du voile.
En effet, l’islamophobie s’est très répandue ces dernières années.
Dans ces cours, la prof leur apprend donc à se protéger face à ces attaques.
Les attaques islamophobes envers tous les musulmans et en particulier envers la femme musulmane sont devenues monnaie courante, et plus fréquemment depuis les attaques de Paris.
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Bientôt une femme musulmane à la Chambre des Représentants ?
Ilhan Omar, 33 ans orpheline de mère est d’origine somalienne. Fuyant la guerre civile, elle a atterri accompagné de son père aux Etats-Unis.
Depuis, elle ne fait que rêver et son rêve ultime est d’être élue Représentant de l’Etat dans le Minnesota et faire ainsi ses premiers pas dans la prestigieuse enceinte du Capitole.
Partie de rien, Ilhan Omar, jeune femme voilée a un brillant parcours universitaire, elle est titulaire d’un diplôme de sciences politiques et d’études internationales. Elle a connu la discrimination, la mise à l’écart,…
« Quand nous avons débarqué aux Etats-Unis, je ne parlais pas anglais. Ce fut la première fois que je réalisais que j’étais noire et musulmane, et que ma couleur de peau et mon foulard me distinguaient du reste de la population, et rendaient mon identification de réfugiée somalienne évidente aux yeux de tous, ma noirceur étant même une source de tensions palpables. »
Un parcours de vie en tout point exemplaire et méritoire qui a, hélas, a basculé en 2014.
En effet, elle a été victime d’une agression par huit hommes qui l’ont passé à tabac et laissé pour morte.
Elle reprend peu à peu confiance en elle et est décidée à ne pas se taire, à ne pas disparaître de la scène publique et à atteindre son objectif suprême : Celui d’être a la chambre des représentants.
D’ailleurs, elle affirme avoir plus envie encore d’y arriver quand elle voit des islamophobes comme Donald Trump s’emparer du débat politique et véhiculer sa haine anti-musulmane.
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Figées dans leur douleur : le deuil des familles palestiniennes.
Alors que le monde fêtait la Saint-Sylvestre en 2015, avec toutes ses promesses pour la nouvelle année, des dizaines de familles palestiniennes recevaient les corps froids de leurs Shaheeds (martyrs) : des enfants tués par les Israéliens dans le récent bouleversement politique.
Permettez-moi de dire d’emblée que cet article est une tentative pour explorer le vécu de la douleur chez les victimes de notre réalité politique, et non un essai sur la signification du martyre, ou une analyse sur ce que l’on désigne sous le nom de « Shaheed », un statut à la fois laïque et religieux que les Palestiniens donnent à leurs enfants tués par l’occupation.
Je fais simplement observer que la communauté palestinienne, à l’instar de nombreux groupes qui glorifient leurs soldats morts en leur nom, glorifie, elle aussi, celles et ceux qui ont donné leur vie en résistant à l’occupation et qu’elle utilise le terme « Shaheed » pour attirer l’attention sur les circonstances de leur mort.
Un grand silence entoure la douleur des familles des combattants palestiniens. Les Palestiniens ressentent les autorités israéliennes comme tirant une satisfaction sadique de leur souffrance. En réaction, les Palestiniens présentent souvent un extérieur rude, masquant ainsi leurs émotions et effaçant tout signe de vulnérabilité face à ceux qui ont tué leurs êtres chers. Certains Palestiniens vont même plus loin, essayant d’éviter d’infliger davantage de souffrance aux membres de leurs familles, et enfouissent leur propre douleur au fond d’eux-mêmes.
Une jeune femme est venue me consulter pour des palpitations et une insuffisance respiratoire, des symptômes pour lesquels aucune cause organique n’avait été trouvée. Quand je lui ai demandé quand ses symptômes avaient commencé, elle m’a répondu : « Depuis que le cœur de mon frère a cessé de battre ». Son frère avait été tué lors d’une manifestation deux ans auparavant ; elle avait gardé cette disparition enfouie dans sa poitrine, de peur que toute sa maison ne s’effondre si quelqu’un le reconnaissait à haute voix.
Le silence palestinien est aussi motivé par le souhait d’éviter que ne soient incriminés ceux qui ont été tués, et par la nécessité d’empêcher qu’il y ait plus de pressions encore sur les personnes qui apportent leur aide et leur compassion à la communauté. Manifester de la solidarité auprès des familles endeuillées signifie prendre des risques et en supporter les conséquences. Même les députés arabes de la Knesset israélienne, des législateurs venus rendre visite aux familles dans la douleur qui lançaient des appels pour que les corps de leurs enfants leur soient remis afin de les enterrer décemment, même ces députés-là ont été menacés en haut lieu et sanctionnés !
Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, furieux, a tempêté : « Ceux qui réconfortent les familles des terroristes ne méritent pas d’être membres de la Knesset ». La participation de ces membres arabes de la Knesset a donc été suspendue, alors qu’aucune mesure n’a été prise contre le ministre de la Justice israélien quand celui-ci a réconforté les familles des colons accusés d’avoir brûlé vive une famille palestinienne.
L’intimidation élimine les expressions de soutien de la communauté à des familles qui souffrent déjà des entraves au processus naturel de deuil. Traités comme des suspects par l’occupation, les membres des familles sont souvent mis en détention, punis collectivement par la démolition de leur maison, par des refus de permis de travail et une ingérence dans l’accomplissement des rites traditionnels de deuil à travers l’insistance que le corps du défunt ne sera rendu que lorsque la famille capitulera devant l’exigence d’enterrer son mort à l’écart de la communauté.
Après quatre mois d’épuisantes négociations entre les autorités israéliennes et la famille d’Ahmad Abu Sha’aban, le corps de ce fils, Ahmad, a été rendu à la famille aux strictes conditions que les funérailles ne durent pas plus d’une heure et demie, qu’il n’y ait pas plus de quatorze personnes présentes et qu’elles aient lieu au milieu de la nuit.
Nous aussi, les Palestiniens, nous sommes parfois coupables de laisser ces familles enfermées dans leur douleur. Une enquête conduite par le Centre Al-Quds pour les études israéliennes et palestiniennes a démontré que 66 % des Palestiniens exprimaient un sentiment de gêne après la visite du personnel de nos médias chez les familles endeuillées, spécialement dans les premières heures suivant le décès.
En outre, 60 % des personnes ont fait part de leur insatisfaction devant la conduite des factions politiques, en particulier quand elles allèguent que leur fils appartenait à un parti politique, qu’elles distribuent des posters où l’on voit le shaheed en train de coller une affiche de l’icône du parti politique, et qu’elles hissent le drapeau du parti politique aux funérailles. Les factions politiques, en agissant, ainsi s’approprient les sacrifices des morts et l’angoisse de leurs familles. Les médias rivalisent pour écrire sur la dernière crise d’une façon qui souvent s’immisce dans les moments les plus intimes de la famille, transformant un père ou une mère dans la douleur en un porte-parole institutionnel.
Une pression sociale, bien intentionnée, exercée sur une famille endeuillée afin de lui exprimer sa fierté est encore un autre facteur qui peut contribuer à inhiber l’expérience d’une douleur et retarder le processus de deuil. Nous observons souvent que les familles trouvent du réconfort dans l’importance de la foule qui vient se présenter à elles en ces moments difficiles, évoquant leurs souvenirs, notamment la dernière fois où ils ont vu le shaheed, énumérant ses différentes qualités humaines et vertus, ses amis prenant le rôle imaginaire du fils pour le père, ou du père pour ses enfants ; le défunt devenant soudain leur ami le plus cher et le plus proche. Bientôt, ces relations du défunt affluent vers une nouvelle crise qui revendique leur attention, laissant la famille seule face au vide.
Les cercles de deuil présentant un « syndrome de survivant » de culpabilité, de honte, d’anxiété et de chagrin, semblent impliquer une personne après l’autre. Nous voyons quelques cas de jeunes amis ou relations du shaheedqui passeront à l’acte contre des soldats israéliens ; ce sera alors un acte motivé par le chagrin, entre autres. De cette manière, le shaheed est idéalisé et imité. Ses funérailles entraînent d’autres funérailles.
Le shaheed absent reste très présent dans la psyché de ceux qui le pleurent. Un homme introverti, d’âge moyen, m’a dit : « Je prends garde à ne pas offenser l’image de mon père. Je suis maintenant plus âgé qu’il ne l’était quand il a été tué. Je viens juste de me marier et mon épouse est enceinte – et en fait, mon père a été assassiné juste après m’avoir engendré. Mais je vis encore, chaque jour et chaque minute de ma vie, avec son image qui me regarde, qui corrige mon comportement et me dit ce qu’il faut faire ».
Confisquer les corps des Palestiniens tués et ajouter des restrictions douloureuses au chagrin de leurs familles n’ont rien à voir avec la sécurité israélienne, il s’agit uniquement de répondre à l’objectif pernicieux de leur imposer des souffrances d’une rare inhumanité : punir la communauté palestinienne en la privant de participer au processus normal de deuil. Les conséquences en sont que les cercles de douleur s’élargissent. Pour les familles elles-mêmes, leur deuil entravé et rendu compliqué crée des distorsions cognitives et une injection de culpabilité, il leur impose la définition israélienne du défunt comme criminel ou terroriste. Mais pour chaque famille en Palestine, la mort de ces jeunes combattants et la brutalisation des survivants sont des armes puissantes qui sapent la sécurité psychologique de tous.
Quel que soit le jugement que nous portons sur leurs actions spécifiques, ces jeunes combattants ont été pris entre la violence de l’occupant et l’impuissance de la direction palestinienne. Ces jeunes combattants ont agi avec désintéressement, ne recherchant à en tirer ni profit, ni gloire personnelle. Ils ont exprimé la colère et la frustration que ressentent tous les Palestiniens. Leur impulsion a été d’offrir leur aide, de la seule unique façon qu’ils estimaient possible. Leurs expériences, leurs émotions, et leurs intentions doivent être identifiées, comprises et validées avant que le débat sur leurs actions puisse acquérir une légitimité.
Après tout, c’est le sacrifice de quelques-uns qui nourrit l’espoir de la libération. Leurs familles et l’ensemble de la communauté palestinienne doivent reconnaître l’énorme perte que représente la disparition tragique de leurs enfants, de nos enfants, mais aussi rétablir les souvenirs positifs qu’elles ont d’eux, et ne plus taire le récit de leur mort. À travers cela, nous devons affirmer notre amour profond pour ceux qui sont morts au nom de la Palestine. À tout le moins, un processus pour une mémoire nationale palestinienne peut réduire l’isolement des familles endeuillées et transformer leur perte personnelle en une expérience de signification collective.
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L’Algérie refuse de considérer le Hezbollah comme «organisation terroriste».
Le ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, a commenté hier la décision du Conseil de coopération du Golfe – ainsi que celle du Conseil des ministres arabes de l’Intérieur – désignant le Hezbollah libanais «organisation terroriste» rapporte El Watan.
«L’Algérie considère le Hezbollah comme un mouvement politique et militaire du Liban qui est régi par les lois de ce pays. C’est un acteur important dans ce pays frère», a indiqué M. Lamamra en marge de sa rencontre à Alger avec son homologue angolais, George Rebelo Pinto Chikoti. Le chef de la diplomatie algérienne a rappelé l’attachement de l’Algérie au principe de non-ingérence dans les affaires internes des autres Etats ; il a également précisé que Alger s’est abstenu lors du vote de la décision contre le Hezbollah prise par le Conseil des ministres arabes de l’Intérieur à Tunis, mercredi dernier.
En Tunisie, selon l’APS, la société civile et des partis politiques ont rejeté cette décision, appelant «toutes les forces dans leur pays et dans le Monde arabe à rejeter cette décision et à assumer leurs responsabilités». Les Tunisiens ont également rappelé «les sacrifices consentis par le Hezbollah dans la lutte contre le terrorisme sioniste». Pour sa part, le Hezbollah a qualifié, hier, la décision du CCG comme «hostile» et «irresponsable». 
Reportage a voir sur www.muslimradio.info.
w w w . m u s l i m r a d i o . i n f o .

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####### Aujourd’hui en Palestine #######
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Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information C P I , Centre Palestinien D’Information.
L’aggravation des conditions des prisonnières dans la prison de « Hasharon ».
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Les prisonniers d’Etzion en grève de la faim pour le 4ème jour consécutif.
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Les prisonniers du Hamas commencent une série d’étapes de protestation contre les bourreaux sionistes.
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Arrestation de la jérusalémite Halwani près de la mosquée Al-Aqsa .
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Le gouvernement israélien cherche à interdire l’appel à la prière « Adhan ».
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La prison du Néguev: 4 prisonniers mènent une grève de la faim.
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Hébron: L’occupation israelienne arrête 4 palestiniens, y compris un joueur de foot.
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Une grève générale des enseignants paralysant la Cisjordanie .
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Deux prisonniers poursuivent leur grève de la faim pour protester contre la détention administrative israelienne .
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Les colons envahissent al-Aqsa sous la protection resserrée de l’occupation israelienne .
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Arrestation de deux jeunes sous le prétexte de saisir l’arme d’un soldat à Jérusalem .
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L’occupation israelienne empêche 28 palestiniens de voyager .
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Réouverture des entrées des villages au sud de Naplouse après un siège de3 jours .
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Affrontements à Yabod suite à plusieurs attaques réalisées contre une famille palestinienne.
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Les colons creusent une route coloniale à l’est de Bethléem.
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Le Hamas endeuillé par la mort de Hassan Tourabi.
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Trois détenus et trois blessés lors des confrontations avec les forces d’occupation israelienne .
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Les dévastations sionistes déchirent le silence de la nuit de Iraq Bourine.
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L’occupation israelienne érige un barrage à Jénin et déploie ses troupes à Jérusalem.
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L’occupation israelienne installe un nouveau point de contrôle à l’entrée de Beit Furik.
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Le Centre Palestinien D’Information, sur http://french.palinfo.com

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