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Flash info du 23 Mouharram 1437.

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France : Privée de transports à cause du hijab, le directeur s’excuse.
Être privé d’un titre de transport quand on porte le hijab. Cette nouvelle aussi absurde que révoltante a été annoncée à une sœur souhaitant disposer d’un titre de transport.
Rapidement, l’intéressée à fait appel au CCIF afin de dénoncer cette stigmatisation. Afin de bénéficier d’un titre de transport, cette femme devait apporter des photos sans hijab, faute de quoi elle ne pourrait avoir de carte de transport. Sous les conseils des membres du CCIF, la sœur a écrit à la société de transports qui lui avait imposé de fournir des photos d’elle tête nue, si elle voulait que lui soit délivré un titre de transport.
Seulement voilà, aucune loi stipule que le possesseur d’un titre de transport doit présenter une photo de lui tête nue, contrairement aux pièces d’identité officielles. Un mois après avoir adressé un courrier au directeur du réseau de transport, cette sœur a reçu une réponse pour le moins positive. C’est en ces termes que le directeur s’est adressé à la plaignante : « Je souhaiterais vous informer que le réseau de transport, en date du 23/10/15, s’est excusé et reconnaît son erreur concernant leur position initiale sur l’exigence d’une photo non voilée sur les cartes de transport.
Par ailleurs, le directeur m’a offert un mois d’abonnement gratuit au regard du préjudice subi. J’en profite pour vous remercier de m’avoir transmis cette envie de défendre nos droits sans relâche !«
Au delà de reconnaître son erreur, la société de transports présente ses excuses à cette sœur et lui offre en contrepartie une gratuité du réseau durant un mois. Les remerciements du directeur à la fin du mot sont également touchants. En effet, certains semblent oublier que porter un voile relève tout bonnement des droits et libertés de la femme.

Privée de transports à cause du hijab, le directeur s’excuse


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France : Déchus de leur nationalité française, cinq musulmans saisissent le Conseil d’Etat !
Bernard Cazeneuve multiplie les mesures exceptionnelles de déchéance de la nationalité française contre des personnes qu’il qualifie de « terroristes ». Le 22 septembre dernier c’était un certain Ahmed Sahnouni qui a été expulsé vers le Maroc pour les mêmes accusations. Il réitère cette mesure inédite, pour le moins surprenante contre cinq français de confession musulmane. Fouad Charouali, Rachid Aït El Hadj, Bachir Ghoumid, Redouane Aberbri et Attila Turk ont déposé un recours devant le Conseil d’État, ont indiqué à l’AFP leurs avocats Elisabeth de Boissieu, Jean-Pierre Spitzer et William Bourdon.
Une mesure « disproportionnée » et « démagogique ».
Le 06 octobre dernier, Bernard Cazeneuve annonçait lors des questions au gouvernement à l’Assemblée Nationale avoir entamé une procédure de déchéance de la nationalité française envers cinq hommes, quatre d’origine marocaine, un d’origine turque.
Le 14 et 15 octobre, le couperet tombe. Bernard Cazeneuve adopte un décret : « J’ai présenté au Premier ministre une décision de déchéance de cinq nationalités concernant des terroristes, et je poursuivrai avec la plus grande détermination cette politique. »
Une décision qui ruine la vie de cinq personnes d’un seul coup, une injustice flagrante qui rappelle les pages les plus sombres de l’histoire française.
Cette mesure est possible contre les binationaux lorsqu’il est porté atteinte aux « intérêts fondamentaux de la nation ou pour un crime ou un délit constituant un acte de terrorisme. » (art. 25.1). En l’occurrence, cela concerne l’attentat de Casablanca du 16 mai 2003, qui a fait 45 morts dont trois français. Les autorités françaises bafouent le droit et les lois en vigueur pour leur imputer une responsabilité dans cette attaque et construire de toute pièce un scénario les incriminant dans une affaire dont ils nient avoir participé, ni de près, ni de loin.
Les cinq hommes, âgées de 38 à 41 ans, avaient déjà été condamnés en 2007 à des peines de six à huit ans d’emprisonnement pour leur « participation à une association de malfaiteurs en vue de la préparation d’un acte terroriste » sur la base de l’enquête marocaine. On leur reproche un lien plus ou moins partiel avec le groupe islamique combattant marocain (GICM), liés aux responsables des attentats de Casablanca (Maroc). Ils auraient été dénoncés à tort par un ancien imam de Mantes-la-Jolie.
« Cet imam, expulsé depuis au Maroc, les a dénoncés sous la torture et ce qu’il a dit est faux », plaident maîtres Spitzer et Bourdon. Les déchus déplorent une véritable « chasse aux sorcières ».
Ils avaient été libérés en 2009 et 2011.
Ces pères de famille, bien insérés dans la société, dénoncent aujourd’hui une double peine, une mort sociale et « une destruction de famille » en cas d’expulsion.
« Présumé français ».
Ils ont décidé de créer un comité « présumé français » pour faire connaitre leur histoire et dénoncer un abus de pouvoir de l’Etat français, 12 ans après les faits. Une double peine sept ans après que la justice française ait reconnue qu’ils n’avaient jamais participé à une entreprise terroriste et que l’enquête française n’ait rien découvert contre eux à ce sujet. « Cette affaire a plus de dix ans, c’est dément de mettre ça en avant pour justifier cette déchéance, on nous fait passer pour des terroristes » a notamment déclaré Redouane Abderbi.
Ils se présentent comme cinq bons pères de famille « rangés et réinsérés ». Ils travaillent tous depuis leur sortie de détention : l’un est électricien, un autre vendeur, un troisième, technicien de maintenance, et les deux derniers vendent des voyages dans la même agence. Tous leurs enfants sont nés Français. Ils se retrouvent aujourd’hui en situation irrégulière sur le sol français, sans titre de séjour pour travailler et menacés d’expulsion vers le Maroc et la Turquie.
Lors de la conférence de presse tenue jeudi dernier, leurs avocats ont dénoncé « l’incroyable disproportion » entre « l’extrême gravité » des décisions de déchéance et « la réalité des faits reprochés ». Indignés du « procédé ayant consisté à informer la presse des décisions intervenues avant même que les intéressés n’en reçoivent signification, marquant là ainsi le caractère à tout le moins démagogique et pour le moins politique des décisions critiquées . »
La déchéance fait partie de l’arsenal -loin d’être légal- déployé par le gouvernement pour prétendument lutter contre le terrorisme. D’autres déchéances pourraient suivre, selon une source policière, notamment les personnes qui font l’objet d’une fiche « S » de renseignement. Ils seraient 5000 personnes à être ainsi répertorier en France.
Un recours devant le Conseil d’Etat.
Fouad Charouali, Rachid Aït El Hadj, Bachir Ghoumid, Redouane Aberbri et Attila Turk ont saisi le Conseil d’État. Un recours en excès de pouvoir contre la décision du 7 octobre 2015 ainsi qu’un recours d’urgence pour suspendre les effets de la déchéance » ont été déposés lundi au greffe du Conseil d’État », ont indiqué leurs avocats Mes Elisabeth de Boissieu, Jean-Pierre Spitzer et William Bourdon. Ce dernier affirme « il n’y a aucun élément qui puisse justifier que depuis leur liberté, ces jeunes gens auraient pu avoir des proximités coupables » et appelle Bernard Cazeneuve à « ne pas céder à la dictature de l’émotion. Il en appelle solennellement aux autorités françaises pour ne pas exécuter ce qui a été décidé dans la précipitation » .
Ils sont déterminés à se battre et comptent également sur le soutien ou l’expertise de tous ceux qui reconnaîtront l’injustice dont ils sont victimes.

Déchus de leur nationalité française, cinq musulmans saisissent le Conseil d’Etat !


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Le Maroc, une des destinations les plus sûres au monde.
Parmi les pays où il fait bon voyager, le Maroc arrive dans les têtes de liste. A l’occasion du World Travel Market qui se tient en ce moment-même à Londres, Foreign Office a publié la carte 2015 présentant les destinations les plus sûres au monde. Le royaume fait ainsi figure de sureté en matière de tourisme.
Une sûreté qui fait exception.
Le Maroc se classe au même rang que les pays européens, l’Amérique du Nord, l’Asie ou encore l’Australie. Une place qui détonne compte tenu des nombreux conflits qui touchent actuellement le monde arabe ou même l’Afrique. D’après Foreign Office, les pays du Moyen-Orient et l’Afrique du Nord sont pour la grande majorité déconseillés. Quant à certaines zones ou régions, elles restent fortement contre-indiquées. En conséquence, il est recommandé à tous les touristes britanniques de faire preuve d’une extrême vigilance et de prudence.
Le Royaume-Uni, l’un des plus grands pourvoyeurs de touristes dans le monde avec près de 60 millions de voyageurs par an, est aussi le pays le plus féru du folklore marocain.
L’engouement des britanniques.
Depuis 2013, les anglo-saxons ont choisi le Maroc comme première destination africaine, très loin devant la Tunisie, l’Egypte et l’Afrique du Sud. L’an passé, ce sont plus de 626 000 touristes britanniques qui ont été émerveillés par le Royaume. Alors que la hausse du tourisme est en constante augmentation, soit environ 14% par rapport à 2013, les acteurs du tourisme ne comptent pas s’en contenter. Dans les deux ou trois prochaines années, c’est un million de touristes anglais qui seraient attendus sur le sol marocain. Un essor qui s’explique tant par l’emplacement géographique que la richesse culturelle et la stabilité politique du pays.
Pour renforcer la campagne promotionnelle lancée par l’Office national du tourisme, le Maroc se démarque par son renforcement des liaisons aériennes mais aussi par des atouts compétitifs qui séduisent ascensionellement les britanniques.

Le Maroc, une des destinations les plus sûres au monde


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Palestine : Hébron : L’armée israélienne ferme une radio palestinienne.
Énième provocation de la part de l’armée israélienne qui a fermé la radio palestinienne al-Hourriya à Hébron.
C’est ainsi que le matériel de cette station fort connue a été volé par l’armée. Israel refuse que cette radio émette et accepte des discours prônant la résistance.
Lors de cette intervention choc, les soldats israéliens arrivés par dizaine ont tout détruit.
Un journaliste de l’AFP a fait état de dégâts considérables : équipement arraché des murs, meubles renversés, panneaux pendant des cloisons.
Le responsable de la radio déclare :
« Nous avons d’abord cru à des arrestations dans le quartier mais nous avons été surpris de voir que leur objectif, c’étaient nos locaux ». »Ils ont tout détruit à l’intérieur, ils ont confisqué le matériel de diffusion, les micros, les tables de mixage et même de l’argent qui se trouvait dans nos locaux ».
Ce qui dérange certainement Israël c’est que cette radio fait l’écho de versions contredisant celle des forces israéliennes sur la mort des Palestiniens massacrés injustement.
A nouveau une injustice qui reflète la mentalité barbare et terroriste des forces d’occupation à l’encontre des palestiniens.

Hébron : L’armée israélienne ferme une radio palestinienne


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France : Mantes La Ville : Opération islamophobe, anti-mosquée menée par le FN.
Une opération islamophobe anti-mosquée a été menée par le FN mardi après-midi à Mantes la Ville.
Un ensemble d’élus du FN dont Cyril Nauth, Maire de la ville se sont rendus devant la future salle de prière de la commune afin de bloquer ce projet.
Ils critiquent notamment l’ancien préfet des Yvelines qui a su mettre un terme à l’acharnement de Cyril Nauth en permettant l’ouverture de cette salle de prière.
Beaucoup de bruit de la part du FN alors qu’en réalité, il ne s’agit pas même d’une mosquée supplémentaire dans la ville. En effet, il s’agit du transfert de l’actuelle salle de prière du boulevard Salengro vers l’ancienne trésorerie du quartier des Merisiers.

Mantes La Ville : Opération islamophobe, anti-mosquée menée par le FN


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Australie : Descente de police dans une boutique de hijabs.
Descente de police dans une boutique de prêt à porter pour femmes musulmanes.
C’est ainsi que pas moins d’une demi-douzaine d’officiers ont pénétré dans une boutique de hijabs pendant une séance photo.
Selon la police, les modèles portaient des « drapeaux islamiques » confondant ainsi les hijabs avec des drapeaux…
Le propriétaire de la boutique,Tarik Houchar est très choqué de cette intervention.
Basé dans la banlieue près de Sydney, Hijab Maison a été fondée en 2011 et conçoit des vêtements qui plaisent à un large public. Cette boutique n’a jamais été confrontée à ce type d’évènements.
La police a déclaré intervenir à cause des évènements qui se déroulent à l’étranger.

Australie : Descente de police dans une boutique de hijabs


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France : Abdelaziz Chaambi, du CRI, convoqué au commissariat dénonce des « tentatives d’intimidation ».
Abdelaziz Chaambi, président du CRI (coordination contre le Racisme et l’islamophobie), était convoqué au commissariat ce jour suite à une plainte du Conseil Général. Sur Facebook, il revient sur l’audition passée avec un officier de police.
Hamdulillah, je viens de sortir du commissariat où j’ai eu chaud car il y avait le risque que je sois incarcéré ou qu’on me donne une date d’audience devant le tribunal correctionnel de Bourgoin Jallieu suite à la plainte du Conseil Général contre moi pour « menaces » !
Le procureur qui suit cette plainte semble être celui qui avait fait enlever et placer les 5 enfants Msakni dont le nourrisson de 3 mois arraché au sein de sa mère. Certains semblent être mauvais joueurs et voudraient me faire payer le combat que j’ai mené avec des citoyens choqués et d’autres militants et militantes du CRI pour aider cette famille cataloguée comme « salafiste potentiellement djihadiste » avec une « culture radicale » aux dires du procureur.
Il s’agit d’une plainte à dimension politique et de représailles car ce qu’on me reproche ce sont des propos que j’aurai tenus devant la Mairie de Bourgoin le 4 Février 2015 (nous sommes en Novembre!!!) dans lesquels j’aurais dénoncé « la République islamophobe », « l’Etat qui fabrique des Kouachi », « le départ d’enfants juifs partis tuer des palestiniens jamais inquiétés ou placés alors qu’on place les enfants de musulmans ou qu’on les empêche de partir », que « si on était pas Charlie on était considéré comme terroriste », que « la justice de Bourgoin est islamophobe » etc…
Puis j’aurai menacé, lorsque je lui demande qui (?), il m’a répondu : le Conseil Général ! J’aurais dit au Conseil Général le 5 Février : « ouvrez la porte aux bougnoules, honte à la France ! » (alors que c’est une autre personne qui avait crié ça à mes cotés et que j’avais rectifié en disant « Honte aux fonctionnaires islamophobes qui ont arraché un nourrisson au sein de sa mère »), que si on n’obtenait pas le retour des enfants ça allait empirer, que l’Etat serait complice du massacre des palestiniens en laissant des juifs partir massacrer nos frères en Palestine, que les fonctionnaires étaient incompétents et islamophobes et que celle qui a placé les enfants doit rendre des comptes etc.. et lorsque je demande au policier en quoi le Conseil Général est concerné par mes propos devant la Mairie et de quel droit il se permettait de juger des propos ou des prises de position politique que j’aurais tenus , il sourit et à la fin de l’audition il me dit c’est médiatique !
Je lui ai dit que j’allais déposer plainte à mon tour et que j’allais dénoncer cette mascarade. Il m’a fait attendre une dizaine de minutes pour échanger avec le Procureur puis revient en me disant que le procureur allait étudier le dossier.
Je vais voir notre avocat Gilles Devers pour voir quelle suite donner à cette tentative d’intimidation et cet acharnement à décourager les militants et militantes de défendre les victimes d’islamophobie fussent-ils « Salafistes », « Fréristes », « Piétistes » et mêmes Cyclistes !
Pour info la France a expulsé sans jugement le Cheick Hammami du Tabligh alors que c’est un grand éducateur qui a formé 3 générations, qu’il est à moitié paralysé, qu’il a 5 enfants et 17 petits enfants en France, sans parler de près de deux cents Imams ou militants sans jugement.
Nous devons nous mobiliser car au delà de mon affaire avec cette plainte et la « Fiche S » ce sont tous les musulmans et musulmanes sincères et dévoués pour défendre les victimes de l’islamophobie d’Etat et qui luttent contre les injustices qui sont visés. On comprend mieux pourquoi la plupart des responsables musulmans ont crié qu’ils étaient des ‘Charlie’ et qu’ils n’ont pas levé le petit doigt pour cette famille Msakni qui a ému des gens de par le monde de toutes confessions ou athées.

Abdelaziz Chaambi (CRI) convoqué au commissariat dénonce des « tentatives d’intimidation »


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Football : l’Arabie Saoudite refuse de jouer en Palestine.
La Fédération saoudienne de football a refusé de jouer le match retour du jeudi 5 novembre contre la Palestine en Cisjordanie, en vue de la qualification pour la Coupe du monde 2018 en Russie. Evoquant un « cas de force majeure », le royaume saoudien ne veut en réalité pas jouer dans les Territoires occupés palestiniens.
Le 23 septembre, le pays avait demandé à la FIFA que le match retour, reporté dans un premier temps du 13 au 21 octobre, se déroule sur « terrain neutre ». Le bureau du comité d’organisation de la Coupe du monde, présidé par le Français Michel Platini, avait alors annoncé, le 28 septembre, que la Palestine devrait accueillir l’Arabie Saoudite sur « terrain neutre ». Les frais occasionnés par le déplacement du match « seront intégralement assumés par la Fédération de football d’Arabie saoudite », précisait-on.
Le choix de jouer en terrain neutre avait été jugée « impossible à accepter » côté palestinien. « Priver la Palestine du droit de jouer à domicile est un précédent dangereux et impossible à accepter, à aucune condition », avait déclaré en septembre Jibril Rajoub, le président de la Fédération palestinienne de football, annonçant qu’il saisirait toutes les organisations internationales compétentes pour faire annuler la décision.
La Palestine a obtenu gain de cause puisque la FIFA a fait marche arrière en demandant aux Saoudiens de jouer le match comme prévu, à Ramallah, en date du jeudi 5 novembre. « La Fédération palestinienne de football a donné toutes les garanties de sécurité nécessaires pour le match reprogrammé », avait expliqué la FIFA, qui avait même nommé un chargé de la sécurité pour s’assurer que le match soit disputé « dans de très bonnes conditions ».
Rien n’y fait. L’Arabie Saoudite a réitéré, mardi 3 novembre, son refus de jouer le match, évoquant des raisons de sécurité malgré les garanties qui lui ont été offertes. Mais des responsables palestiniens ont rapporté que les Saoudiens, qui n’ont officiellement aucune relation diplomatique avec Israël, refusent de se plier aux contrôles israéliens pour entrer en Cisjordanie.
En déclarant forfait, l’équipe saoudienne, qui avait gagné le match aller, offre ainsi des points à l’équipe palestinienne. Celle-ci, qui tenait à ce que le match se déroule sur sa propre terre, ne décolère toutefois pas.
http://www.saphirnews.com/Football-l-Arabie-Saoudite-refuse-de-jouer-en-Palestine_a21352.html

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