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Flash info du 14 Dhou al hijjah 1436.

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Bousculade à Mina : la présence du fils du roi serait-elle à l’origine du drame ?
Si tel était le cas, cela pourrait être à l’origine de l’énorme bousculade qui a causé la mort de centaines de personnes et d’autant de blessés. La cause du drame le plus tragique depuis 25 ans serait du « au non respect des consignes » selon le ministère de la santé. L’enquête est en cours, mais cette tragédie soulève bien des questions. En effet, les premières données montrent que la fermeture d’un passage aurait conduit les pèlerins à se rediriger vers une autre route. Des sources évoquent notamment la présence du fils du Roi d’Arabie Saoudite sur les lieux, qui aurait joué un rôle central dans cette tragédie.
Le convoi de Mohamed Ibn Salman a-t-il joué un rôle dans ce drame ?
Alors que le chef du Comité du hajj, Khaled Al Faisal a blâmé « certains pèlerins de nationalité africaine », le ministre de la Santé saoudien, Khalid Al Faleh a, quant à lui, attribué cela au manque de discipline : « Si les pèlerins avaient suivi les instructions, on aurait pu éviter ce genre d’accident », a déclaré Khaled al-Faleh. Un accident dont le bilan s’est alourdit samedi : 769 morts et 934 blessés.
Une toute autre version est avancée par Fars News Agency et le quotidien libanais Ad diyar. D’après le journal arabophone, le convoi du Prince Mohammed Ibn Salman, actuel ministre de la Défense saoudienne, serait à l’origine de la bousculade.
Explication : le Prince Mohammed Ibn Salman serait arrivé jeudi 24 septembre sur le site de Mina pour assister à la première Jamarat escorté par 200 militaires et 150 policiers.
« Comme le convoi s’est dirigé à contre sens, pour arriver le plus vite possible, c’est à ce moment que le déferlement s’est développée le plus pour prendre de l’ampleur, jusqu’à provoquer cette bousculade meurtrière », affirme un site palestinien.
La présence du Vice-Prince héritier et de son convoi aurait nécessité un changement de trajectoire pour les pèlerins, provoquant la panique parmi ces derniers et la suite tragique que l’on connait.
Toujours selon le quotidien libanais, le ministre de la Défense saoudienne aurait été évacué après l’incident et les autorités saoudiennes chercheraient, pour des raisons évidentes, à étouffer l’affaire. Ces informations ont été qualifiées d’ « incorrectes » par les autorités saoudiennes.
Témoignage d’un pèlerin.
Des pèlerins ont expliqué la bousculade par la fermeture d’une route à Mina et la mauvaise gestion par les forces de sécurité du flux des fidèles.
Dans une vidéo publiée par Shehab News Agency, un pèlerin témoigne du drame humain.
« Vers huit heures du matin, nous avons effectué le rituel de la ‘lapidation de satan’, qui s’est bien déroulée ».
« Au moment du retour, nous sommes revenus par l’autoroute. C’est là qu’ils ont fermé le passage qui menait vers nos tentes », témoigne le pèlerin. « Nous avons donc rebroussé chemin pendant environ trois kilomètres », poursuit celui qui explique le drame par « un problème d’organisation de la circulation ».
« Après cela, ils nous ont dit que le passage était ouvert de nouveau. » C’est à ce moment-là que les pèlerins entament le chemin de retour vers le passage initialement fermé. « C’est là que les gens ont commencé à se bousculer », confie-t-il. « Nous avons vu des morts, des gens en train de se faire piétiner », explique-t-il, visiblement touché. Et de conclure : « C’est désolant qu’une chose pareille ait eu lieu », avant de fondre en larmes.
L’Iran, qui a payé le plus lourd tribut (136 victimes) et grande rivale de l’Arabie Saoudite, entend bien suivre l’enquête sur les causes de cet « incident tragique ». La plupart des chefs d’Etat ont exprimé leur affliction, leur solidarité au royaume saoudien reconnaissant les efforts accomplis pour permettre un bon déroulement du hajj.
Pour le grand mufti d’Arabie Saoudite, cheikh Abdelai Al Cheikh, la bousculade était hors du contrôle humain : « Vous n’êtes pas responsable de ce qui s’est produit (…) Vous n’avez pas à être blâmé. Le sort et le destin sont inévitables », a-t-il dit à l’adresse du prince héritier et ministre de l’Intérieur, Mohamed Ben Nayef, qui préside également la commission du hajj.
L’identification des victimes se poursuit et les familles des portés-disparus doivent s’armer de patience , ce qui prendra encore deux ou trois jours selon un diplomate marocain, le Maroc qui compte 87 personnes à avoir péri dans la bousculade.
Le pèlerinage s’achève, des leçons seront à tirer de ce drame, et le décret divin ne saurait être remis en question. « Certes nous sommes à Dieu, et c’est à Lui que nous retournons ».

Bousculade à Mina : la présence du fils du roi serait-elle à l’origine du drame ?


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Le Pape prie pour les musulmans après la bousculade meurtrière pendant le Hajj
Le Hajj 2015 a été endeuillé par une bousculade à Mina qui a fait plus de 700 morts parmi les pèlerins. Le Pape François a souhaité apporté son soutien aux musulmans lors d’une veillée de prières.
En visite à New-York, le Pape a exprimé son sentiment de proximité (avec les musulmans) face à cette tragédie » dans la cathédrale St-Patrick.
« En ce moment de prière, je m’unis avec vous tous pour prier Dieu, notre père tout-puissant », a-t-il dit.
Les propos du Pape François sur cette tragédie tranchent avec les commentaires des sites d’extrême droite qui se revendiquent de tradition chrétienne. Un bon pied de nez aux islamophobes.
La bousculade tragique à Mina (près de la Mecque) a ému le monde musulman. Plus de 717 pèlerins ont trouvé la mort dans des circonstances encore assez troubles. Cet accident a relancé les querelles entre saoudiens et iraniens. Ces derniers ont ouvertement accusé la monarchie des Saoud d’être responsable.
Le Moyen Orient est actuellement en pleine ébullition. Les conflits confessionnels qui opposent sunnites et chiites empoisonnent tous les évènements politiques et diplomatiques dans la région.

Le Pape prie pour les musulmans après la bousculade meurtrière pendant le Hajj


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Face à l’imam Rachid Abou Houdeyfa, intégristes chrétiens appelant à la croisade et « NotInMyName » musulmans.
La polémique autour des propos de l’imam Rachid Abou Houdeyfa sur la musique continue d’alimenter les débats sur la toile et ailleurs… Aux origines de ces attaques, un seul homme exilé au Japon : Boris Le Lay.
Ce militant breton est un intégriste chrétien partisan du choc des civilisations. Depuis quelques mois, il publie sur Youtube des analyses vidéos promotionnant notamment le « choc des civilisations » et des théories complotistes farfelues.
Dans sa dernière vidéo publiée le 26 septembre, Boris Le Lay appelle les chrétiens à la croisade contre les musulmans qu’il nomme « envoyés de Satan » ayant « déclaré la guerre au Christ « . Remettant au gout du jour un discours moyenâgeux, l’homme appelle ses sympathisants à se préparer « à une croisade pour repousser l’Islam, secte diabolique, de l’Europe chrétienne ».
Bernard Cazeneuve s’était rendu aux Etats-Unis en février dernier afin d’appeler les géants de l’Internet à combattre la propagande jihadiste. Devant les responsables de Google, Facebook, Apple et Twitter, le Ministre de l’Intérieur français avait exhorté ces firmes américaines à « une responsabilité partagée » pour combattre les tentatives d’ »endoctrinement sectaire ». Six mois après, le discours intégriste chrétien et l’appel au meurtre contre les musulmans français ne sont toujours pas inquiétés sur Internet comme le prouve la multiplication de comptes Youtube et Facebook appelant ouvertement à la croisade contre une partie de la population française.
Le plus grave dans cette affaire reste la reprise de cette vidéo par de nombreux médias mainstream tels que l’Express. Le journaliste Jérémie Pham-Lê, qui a récupéré et diffusé le montage vidéo contre l’imam de Brest, a simplement qualifié Boris Le Lay de « militant nationaliste breton » ! Une faute grave pour un auteur productif sur un site extrêmement visité comme celui de l’Express. A titre d’exemple, l’article inquisiteur contre Rachid Abou Houdeyfa se basant sur une vidéo tronquée a été partagé plus de 7 600 fois sur Facebook !
A noter aussi le retour des Not In My Name, des « musulmans complexés », « progressistes » et « réformistes » font depuis quelques semaines du « Abou Houfeyfa bashing » dans les médias et notamment à travers les radios s’adressant à la diaspora maghrébine. De Beur FM à Radio France Maghreb 2, les attaques contre l’imam brestois et d’autres prédicateurs au milieu de la tourmente notamment pendant le Salon Musulman du Val-d’Oise ne faiblissent pas. Cette fois ouvertement dans le même camps que Nadine Morano, les Femen ou encore Boris Le Lay, certains chroniqueurs de ces radios n’hésitent pas à s’en prendre ouvertement à l’imam sans même avoir pris le temps de regarder les différentes vidéos dans leur entièreté, préférant se baser sur des montages de propagandistes islamophobes.
A radio France Maghreb 2, on n’hésite pas à reprendre la rhétorique de Nadine Morano et des sites d’extrême droite en expliquant que l’imam fait du lavage de cerveau à des enfants, ce qui est très dangereux.
Au milieu de sophismes d’un niveau affligeant et d’analyses secondaires qui prouvent que la vidéo en question n’a même pas été vue dans son entièreté, l’un des chroniqueurs appelle tout d’abord à faire pression sur la direction de la mosquée pour empêcher l’imam de s’exprimer librement puis ensuite d’envisager d’autres méthodes sous entendant des actions judiciaires contre le religieux.
Les radios adressées à la diaspora maghrébine ont depuis quelques années compris le tournant religieux de la communauté musulmane. Une réislamisation qui a poussé ces dernières à réadapter leur discours et les sujets d’information. Pour autant, certains chroniqueurs (pas tous… Dieu merci) restent en partie déphasés avec la Communauté comme le prouvent les multiples attaques contre des religieux qui feraient selon eux du tort aux musulmans. Un « NotInMyName » de plus qui entraîne un « Abou Houdeyfa ou un Abou Anas » au même moment où ces derniers font face aux puissants réseaux islamophobes d’extrême droite.
Depuis, l’imam de Brest a répondu à ses détracteurs afin de rappeler qu’il était en droit de tenir un discours religieux au sein de sa mosquée n’en déplaise aux islamophobes.
Derrière la critique de l’avis religieux autour de la musique, se cache (à peine…) une volonté claire de s’en prendre à l’islam et ses fidèles. Boris Le Lay et les Femen n’ont jamais dissimulé leur islamophobie. Ce qui est plus inquiétant, c’est de retrouver dans le même camp de la critique hystérique, des militants maghrébins ou musulmans qui profitent de la situation pour continuer leur entreprise de déstabilisation contre l’imam brestois qui visiblement dérange de plus en plus les « NotInMyName » et les « réformateurs Kawakibi« .
Pour toute personne sensée, la question religieuse autour de la musique doit rester secondaire face aux attaques des sympathisants du choc des civilisations. Les désaccords et la diversité des avis doivent être débattus en interne et au calme… Loin, très loin des partisans d’une croisade moderne contre l’Islam et ses fidèles. Gageons que cet article poussera tous les détracteurs de l’imam Rachid Abou Houdeyfa à plus de retenu étant donné la période difficile qu’il traverse. Une situation qui doit nous pousser à l’union autour de la lutte contre l’islamophobie et non autour d’un avis juridique ou d’une personne…

Face à l’imam Rachid Abou Houdeyfa, intégristes chrétiens appelant à la croisade et « NotInMyName » musulmans


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La France, « pays de race blanche » : le racisme de Nadine Morano s’expose.
Nadine Morano aurait pu prendre sa carte au Front National mais c’est au nom des « Républicains » qu’elle continue de tracer sa route, fidèle à elle-même : celle d’une femme politique en croisade contre l’islam et la présence musulmane en France et qui banalise toujours plus le racisme et la xénophobie dans la classe politique.
La France est « un pays judéo-chrétien, de race blanche » qui « accueille aussi des personnes étrangères » – sous-entendu, en vrac, noires, musulmanes ou « jaunes » – dans « sa grandeur », a-t-elle déclaré dans l’émission On n’est pas couché diffusée samedi 26 septembre. « La race blanche », quésako ? « C’est vous et moi ! », répond sans détour l’eurodéputée à Laurent Ruquier.
A ceux qui ne sont pas de « race blanche », « j’ai envie qu’ils aiment la France, qu’ils se sentent appartenir à une communauté nationale », dit-elle. Nadine Morano, une mauvaise VRP pour la France.
Yann Moix, qui a épinglé ses contradictions et son délire d’une « France éternelle », a bien tenté de faire entendre raison à la candidate aux primaires des Républicains. Sans succès. « Dès lors que vous voulez faire d’une religion (l’islam) une religion minoritaire, on n’est plus dans un Etat laïc. (…) La laïcité, c’est de ne pas se poser cette question », a fait part le chroniqueur.
Bien que les positions de Nadine Morano soit connue, la séquence télévisuelle, qui aura sans aucun doute sa place au prochain Y’a Bon Awards, est effarante.
http://www.saphirnews.com/La-France-pays-de-race-blanche-le-racisme-de-Nadine-Morano-s-expose-video_a21340.html

Flash info du 13 Dhou al hijjah 1436.

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Un musulman à la Maison Blanche : Hillary Clinton répond.
Un musulman peut-il être président des Etats-Unis d’Amérique ? Hillay Clinton, la favorite des primaires démocrates, a répondu d’un « oui » qui tranche avec les propos islamophobes de certains candidats républicains.
Hillary Clinton dit « oui ».
Lundi, via son compte Twitter, Hillary Clinton répond « en un mot : oui », à la question qui anime les débats du moment outre Atlantique : un musulman peut-il être Président des Etats-Unis ?
La candidate a également ajouté un extrait de l’article quatre de la Constitution, qui stipule qu’ « aucune profession de foi religieuse » n’est exigée pour l’exercice d’un mandat. La réaction de Mme Clinton intervient après que le sulfureux candidat Ben Carson ait mis en doute la comptabilité de l’Islam avec la Constitution américaine et estimé qu’aucun musulman ne devait devenir président des Etats-Unis.
Ben Carson surf sur la polémique.
« Je ne recommanderais pas de mettre un musulman en charge de cette nation. Je ne serais absolument pas d’accord avec ça », a déclaré le neurochirurgien afro-américain, Ben Carson, l’un des mieux placés dans les sondages des primaires républicaines.
Le porte parole du Conseil des relations américano-islamiques a tout de suite rétorqué en déclarant que Ben Carson « n’est pas qualifié pour être président. Vous ne pouvez pas avoir ce genre d’opinions et, en même temps, prétendre que vous représentez tous les Américains qui sont issus de milieux différents et croient en différentes religions ».
Donald Trump à l’origine de la polémique.
Cette polémique a été lancé par le magnat de l’immobilier en tête des intentions de vote parmi l’électorat républicain, Donald Trump, jeudi dernier. Lorsqu’il avait déclaré, lors de l’un de ses meetings, des propos islamophobes, à son insu plaid-t-il.
Il n’avait pas repris un homme qui expliquait que les États-Unis avaient un problème, « les musulmans ». Et d’ajouter : « Nous avons des camps d’entraînement où ils veulent nous tuer. C’est ma question. Quand allons-nous pouvoir nous en débarrasser ? », sans qu’on sache s’il évoquait ces soi-disant camps ou l’ensemble des musulmans. L’inconnu avait aussi affirmé que Barack Obama était musulman et n’était pas Américain, une supercherie entretenue par des réseaux à droite et à laquelle croient une minorité d’Américains.
« Je n’ai jamais eu de problèmes avec les musulmans », s’est défendu lundi Donald Trump sur NBC. « Je croyais qu’il parlait de l’islam radical ». « Les musulmans sont des gens super, j’ai beaucoup d’amis, ce sont de grands amis. Et au fait, ils sont aussi inquiets face à l’islam radical », a-t-il ajouté.

Un musulman à la Maison Blanche : Hillary Clinton répond


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Chantage contre le roi Mohammed VI : l’étau se resserre sur les journalistes français.
Mercredi 23 septembre, France Info affirmait, sur la base des conclusions de l’enquête, que l’un des enregistrements mettant en cause Eric Laurent et Catherine Graciet dans l’affaire du chantage a été « retravaillé ».
Un jeu de mots pour seule défense.
Monsieur Naciri, un des avocats du roi, qui a procédé aux enregistrements a rapporté aux enquêteurs ne pas avoir conservé l’original de la bande sonore des entretiens du 11 août avec Monsieur Laurent. Et pour cause, il précise qu’il l’a transféré de son smarthphone sur un ordinateur afin d’en améliorer le son. La révélation de ce fait provoque intrinsèquement le doute dans les esprits comme le révèle un expert :
Le problème c’est qu’avec la copie (on) ne peut plus savoir avec certitude ce qui a été fait.
L’analyse du fichier effectuée par la police technique et scientifique, remis par l’avocat du royaume sur une clé USB confirme que la preuve « a subi un traitement », désormais « impossible à préciser ». Néanmoins, selon les autorités compétentes, il reste indéniable « qu’ il n’y a pas de traces évidentes de montage ». Toutefois les avocats des protagonistes mis en cause estiment que « c’est une pièce maîtresse de l’accusation qui est fragilisée »
Des preuves incontestables.
Le jeudi 24 septembre, invité sur le plateau du Grand Journal de Canal +, Monsieur Eric Dupont-Moretti, avocat du roi Mohammed VI, conteste formellement le trucage supposé de l’enregistrement.
Le pénaliste français confesse que si le premier enregistrement, réalisé par l’avocat Hicham Naciri, est incriminé, le second en revanche ne fait l’objet d’aucune contestation dans la même expertise. Il atteste par la même occasion que « les deux enregistrements sont exactement de la même teneur ». A savoir que Eric Laurent et Catherine Graciet ont exigé de l’argent contre la non-publication d’un livre à charge contre le roi Mohammed VI. En attendant le versement de 2 millions d’euros, ils ont perçu chacun une enveloppe de 40 000 euros en main propre avant d’être arrêtés par les autorités françaises. Il fait état également d’un autre fait accablant à l’encontre de Eric Laurent. Celui-ci, lors du premier enregistrement a demandé que l’argent lui soit versé sur un compte offshore à Hong-Kong dont le paiement devait se faire par petites coupures.
Il y a certaines choses que l’on apprend mieux dans le calme et d’autres dans la tempête. A l’ère du numérique où chaque mot et image deviennent éternels, l’ironie du sort a voulu que deux journalistes soient pris la main dans le sac par des méthodes qu’ils devraient pourtant bien connaître.

Chantage contre le roi Mohammed VI : l’étau se resserre sur les journalistes français


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L’imam Rachid Abou Houdeyfa obligé de se justifier sur ses propos concernant la musique.
Ces derniers jours, les médias ont ressorti une ancienne vidéo de Rachid Abou Houdeyfa, imam de la mosquée de Brest, et l’ont accusé d’endoctriner les enfants. En cause, des propos où il met en garde sur les dangers liés à l’écoute de la musique et son caractère haram dans l’islam.
A la limite du respect des valeurs républicaines.
Dans sa vidéo, l’imam explique aux enfants le caractère illicite de la musique en islam en s’appuyant sur le Coran tout en essayant de transmettre un message « simplifié » et « compréhensible ». Bien entendu, la majorité des vidéos sur le sujet que l’on trouve sur internet ne montrent qu’une infime partie de son discours et sont coupées de manière à ce que les propos fassent s’interroger. Mis en cause par certains médias, Rachid Abou Houdeyfa a choisi de répondre à ses détracteurs en précisant qu’il avait peut-être manqué de pédagogie sur certains des aspects évoqués et qu’il n’avait pas mesuré l’ampleur que cela pourrait prendre en étant diffusé sur internet. Il a également précisé que la majorité des enfants étaient accompagnés par leurs parents et qu’il n’a reçu aucune plainte suite à son intervention réalisée il y a plus d’un an. Ce qui est principalement reproché à l’imam est le fait de comparer la musique au diable et de recommander aux enfants de vider leurs téléphones et leur MP3 de leur contenu musical pour le remplacer par le Coran. Un musulman qui connaît sa religion ne pourra qu’approuver de tels propos. Les médias eux y voient une forme de manipulation et estiment que les enfants n’ont pas le recul nécessaire pour recevoir un tel message.
La manipulation à la mode est de prendre des vidéos de prédicateurs musulmans, de les couper sur des moments qui demandent du détail et de les partager via les réseaux sociaux de manière à susciter la polémique. Ne tombons pas dans le piège, soyons unis et fermes dans nos convictions, ne nous excusons pas de croire et incitons la majorité à ne pas voir que la partie émergée de l’iceberg.

Rachid Abou Houdeyfa obligé de se justifier sur ses propos concernant la musique


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Turquie : Non, le président turc, Erdogan, n’a pas « changé radicalement de position » sur la Syrie.
Depuis l’aïd, plusieurs sites d’informations ainsi que des chaines de télévision ont diffusé une fausse information visant la Turquie et sa relation avec la Syrie. Selon ces organes de presse, souvent aux mains de l’opposition, le président turc Recep Erdogan soutiendrait désormais le maintien de Bachar-Al-Assad au pouvoir pour une période de transition en Syrie afin de combattre les deux groupes classés terroristes en guerre contre la Turquie, à savoir l’EI et le PKK.
Certains journalistes sont même allés plus loin en indiquant que le président Erdogan se rendrait prochainement à Damas pour une visite politique avec Al-Assad. Cependant, la vérité est bien différente, puisque les dernières déclarations de Tayyip Erdogan confirment le maintien de la position turque qui accuse notamment le régime de Bachar de vouloir construire un état alaouite.
« Bachar Al-Assad cherche à constituer une petite Syrie de Damas à Lattaquié, en passant par Hama et Homs, soit une zone représentant 15% de la superficie de la Syrie », a déclaré le président turc, Recep Tayyip Erdogan, ce jeudi 24 septembre 2015.
« Al-Assad veut fonder un Etat propre à lui, contrôlé et appuyé par des forces politiques particulières. Cette zone possède une ouverture sur la Méditerranée », a expliqué Erdogan durant le même discours après avoir accompli la prière de l’Aid al-Adha à Istanbul.
Même bien avant le Aid, le discours d’Erdogan n’avait pas connu de changement radical comme certains médias de l’opposition turque le prétendent… Durant son entretien avec le président russe Vladimir Poutine, à Moscou, ce mercredi, Erdogan n’a pas hésité à dénoncer l’implication iranienne et russe dans le conflit syrien et leur soutien au régime tyran :
« L’appui russe et iranien au régime syrien n’est plus un secret et ces deux pays affichent cet appui publiquement ».
Ce vendredi, et suite à une déclaration à l’agence turc « Anadolu », Erdogan a clarifié son discours en réfutant toute ambiguïté sur la vision de la Turquie face au futur du régime syrien.
« Si al-Assad a la moindre once d’amour pour la Syrie et pour son peuple, il doit quitter le pouvoir. Il n’y a pas de changement dans notre position sur la Syrie. Elle est la même que celle défendue quand j’étais Premier ministre. La politique à l’égard de Daesh notamment, et des autres organisations sont visibles par tous. L’action du régime [syrien] est connue de tous. ».
Et concernant les deux groupes armés qui s’affrontent en Syrie, E.I et PKK, Erdogan a réaffirmé la position de son pays vis à vis du « dossier du terrorisme en Syrie » sans forcément s’allier avec le régime en place, justifiant ainsi l’intervention aérienne de la Turquie contre ces deux groupes en Syrie :
« Nous partageons 911 km de frontières. Ni Assad, ni le monde ne doivent oublier cela. Nous sommes sous la menace d’organisations terroristes qui y sont installées. Nous pouvons tolérer cela jusqu’à un certain point, mais notre tolérance à aussi ses limites. ».
Pour certains analystes de la scène politique turque, les rumeurs d’un changement de politique vis-à-vis de la Syrie sont alimentées par des médias de l’opposition. Ces derniers n’ont pas hésité à évoquer « un changement de politique radical » sans apporter aucune preuve. Une vaine tentative de déstabilisation dans un pays où les réfugiés syriens opposés au régime alaouite se comptent par millions.

Turquie : Non Erdogan n’a pas « changé radicalement de position » sur la Syrie


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A Auxerre, pastilles rouges et jaunes à la cantine pour les élèves musulmans.
Une cantine scolaire à Auxerre est au centre de toutes les critiques suite à la mise en place d’un système bien spécial permettant de distinguer les élèves ne mangeant pas de porc et de viande. Une enquête administrative est en cours.
Pastille rouge ou pastille jaune… Un système de pastille pour différencier les élèves qui ne mangent pas de porc et / ou de viande a été mis en place par un responsable de l’école des Pieds Dalloues à Auxerre. Une méthode qui a rapidement provoqué un tollé.
Le maire d’Auxerre, qui assure n’avoir pas été mis au courant, a été interpellé par une conseillère municipale suite à la mise en place de ce système qui sépare et évidemment stigmatise les enfants qui ne mangent pas comme les autres. Ce sont apparemment 18 écoliers qui ont été concernés ce lundi midi par cette nouvelle mesure rapidement abandonnée par l’école.
Pour une élue de l’opposition divers droite, cette signalisation sur les enfants « nous rappelle les heures les plus sombres » de l’histoire. L’étoile jaune obligatoire pour les juifs afin qu’ils soient reconnus dans la rue par le reste de la population.
Cette affaire relance la question de l’instauration du menu végétarien obligatoire au sein de toutes les cantines scolaires. Une idée lancée par Yves Jégo qui doit aboutir à un projet de loi pour mettre fin aux polémiques autour du repas alternatif, supprimé par certaines mairies pour des raisons idéologiques et politiques.

A Auxerre, pastilles rouges et jaunes à la cantine pour les élèves musulmans


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Nadine Morano demande l’expulsion de l’imam Rachid Abou Houdeyfa dans un pays inconnu, qu’elle appelle musulmanie.
L’imam de Brest Rachid Abou Houdeyfa est depuis quelques semaines la cible de nombreux sites Internet d’extrême droite. Les calomnies et attaques sont depuis reprises par des médias classiques et certains politiques.
Depuis le Salon du Musulman du Val-d’Oise, Rachid Abou Houdeyfa est victime de menaces de mort. Plusieurs sites Internet ont récupéré certains passages vidéo de cours donnés à des élèves musulmans pour ensuite les tronquer en les sortant de leur contexte. Une technique extrêmement connue chez la fachosphère qui ne recule devant rien pour appuyer sa propagande islamophobe.
Les pressions quotidiennes à l’encontre de l’imam de Brest, respecté et écouté par une bonne partie de la communauté musulmane (en témoigne le nombre de vues sur Youtube), sont de plus en plus importantes. Un journaliste du Télégramme a littéralement recopié les articles de sites d’extrême droite provoquant par la même occasion une multitude de commentaires haineux et de menaces contre le religieux brestois. Le journal l’Express a de son côté publié la vidéo tronquée du cours dans la mosquée en indiquant sa source à savoir … Boris Le Lay du site Breizh-info ! Cet administrateur connu sur Internet pour son discours radical, son antisémitisme et son islamophobie est seulement qualifié par le journaliste de l’Express Jérémie Pham-Lê de « militant nationaliste breton » ! Un comble pour un média qui fait par la même occasion de la pub à un fervent militant du « choc des civilisations » qui évoque chaque jour sur les réseaux sociaux une « invasion musulmane ».
L’affaire prend une nouvelle tournure depuis que la député européenne Nadine Morano a demandé l’expulsion de l’imam de Brest, pourtant français, à travers un communiqué publié sur les réseaux sociaux.
Si dans un premier temps, cette énième erreur de Nadine Morano peut faire sourire, elle démontre aussi les préjugés de la classe politique à l’encontre de la communauté musulmane. L’indigénat d’hier refait surface depuis que les enfants et petits enfants de migrants maghrébins sont à nouveaux vus comme « les musulmans ». Une masse pourtant extrêmement hétérogène avec comme « représentant officiel » un CFCM créé de toute pièce par le Ministre de l’Intérieur en 2005… Nicolas Sarkozy.
Il faut rappeler à nos plus jeunes que pendant la colonisation française en Algérie, les algériens étaient aussi nommés « les musulmans ». Alors que les français catholiques d’Algérie avaient le statut de citoyens français, les neuf millions d’algériens, sujets français de statut personnel de droit local, étaient appelés « Musulmans » ou « indigènes ». Derrière l’assignation religieuse révèle un éternel statut d’indigénat pour le français de confession musulmane. La preuve étant, la mise sous tutelle depuis des décennies du culte musulman, la multiplication des lois liberticides contre les femmes musulmanes et l’épée de Damoclès au dessus des religieux musulmans constamment harcelés et surveillés par les services de l’Etat.
L’imam a dû s’expliquer sur ses propos autour de la musique en indiquant qu’il « n’endoctrinait pas les enfants » et que de nombreux parents étaient présents lorsqu’il a tenu ces propos. Il a d’ailleurs reconnu un manque de nuance et de pédagogie, un méaculpa qui n’a pas suffi à Nadine Morano qui souhaite voir expulser l’imam de Brest.
Les attaques à l’encontre des prédicateurs et imams confirment le statut de l’Islam et de ses dignitaires religieux au sein de la société française. Une religion qui a pourtant traversé les différentes République depuis au moins 145 ans et qui malgré tout continue d’être diabolisée, d’être placée au second plan comme en témoigne le statut du concordat en Alsace-Moselle qui encore aujourd’hui ne s’applique pas officiellement au culte musulman.
Alors où allons nous expulser nos imams français ? Eux qui n’ont pas le droit de parler de politique, de l’actualité sous peine d’être taxés d’islamistes voire de radicaux. Si désormais ils sont interdits de parler de religion au sein des mosquées, il est grand temps qu’on les (r)envoie en musulmanie… Ce pays imaginaire pour l’instant mais bien réel pour de nombreux politiques qui continuent de bafouer les droits et libertés fondamentales de la Communauté musulmane française.
De son côté l’imam Rachid Abou Houdeyfa qui est menacé de mort a indiqué qu’il était déjà en contact avec un service juridique afin que les menaces à son encontre et envers la mosquée de Brest soient prises au sérieux par les autorités compétentes. Il serait peut être temps à notre cher Ministère de l’Intérieur et du Culte qu’il rappelle l’article 10 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen qui indique que « nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la loi« .
Un rappel que l’ont peut aussi faire à nos « musulmans complexés », « NotInMyName », « progressistes », « réformistes »,… qui n’ont pas hésité à soutenir la propagande islamophobe ces dernières semaines à l’encontre de différents prédicateurs dont Rachid Abou Houdeyfa, se plaçant ainsi dans le même camps que les Femen, Boris Le Lay et Nadine Morano…

Nadine Morano demande l’expulsion de l’imam Rachid Abou Houdeyfa… en musulmanie ?


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Mobilisation internationale pour Ali al-Nimr, l’Arabie Saoudite sous pression.
Le jeune chiite Ali al-Nimr sera-t-il épargné par les autorités saoudiennes ? Son cas interpelle le monde. Le jeune homme de 21 ans est condamné à mort par décapitation au sabre suivie probablement d’une crucifixion post-mortem. Son tort : avoir participé à une manifestation contre le régime en février 2012 alors qu’il n’était âgé que de 17 ans.
Il semble surtout payer le prix fort en étant le neveu d’une figure religieuse et politique chiite influente, le cheikh Nimr al-Nimr, également condamné à mort pour sédition, désobéissance au souverain et port d’arme. Ce dernier est considéré comme l’un des animateurs du mouvement de contestation qui avait agité en 2011 la province orientale de l’Arabie saoudite, à majorité sunnite et où les chiites se disent discriminés.
Depuis près de quatre ans, le jeune Ali al-Nimr se trouve dans le couloir de la mort, ayant épuisé tous ses recours judiciaires. Face à l’imminence d’une exécution – certains médias l’annonçant même pour le jour de l’Aïd sans plus de vérifications -, la Toile s’est enflammée sur le sort du jeune homme. Sur les réseaux sociaux les mots-clés #FreeNimr et #SauvezALI se propagent activement, via les ONG en particulier.
En France, François Hollande s’est contenté d’une déclaration a minima rappelant le 23 septembre que « la France est opposée à la peine de mort. (…) J’ai toujours rappelé que cette position ne variait pas, ne connaissait aucune exception et que, pour nous, tout doit être fait pour faire cesser ces exécutions partout, et notamment en Arabie saoudite ». En marge d’une conférence de presse à l’issue d’un Conseil européen sur les réfugiés à Bruxelles, il a demandé à l’Arabie de « renoncer à l’exécution » du jeune homme.
La veille, mardi, des experts de l’ONU en droits de l’homme ont également demandé aux autorités d’annuler la sentence, émettant de sérieuses réserves sur la légalité de sa condamnation. Le jeune homme aurait fait des aveux sous la torture et n’a pas pu avoir recours à un avocat, ni avant ni pendant son procès. « Toute sentence infligeant la peine de mort à des personnes mineures à l’époque du délit, ainsi que leur exécution, sont incompatibles avec les obligations internationales de l’Arabie saoudite », ont-ils conclu.
Ironie du sort, l’Arabie saoudite a été tout récemment nommée à la tête du comité consultatif du Conseil des droits de l’homme. Une nomination vivement critiquée pour un pays souvent montré du doigt pour ses atteintes aux droits humains.
En pleine offensive contre les houthistes au Yémen, l’Arabie Saoudite est menacée à l’ouest par la minorité chiite de représailles si le jeune homme est exécuté. C’est ce qu’a avancé le père du condamné, Mohammed al-Nimr, qui a appelé le souverain à épargner son fils.
Depuis le début de l’année, Human Rights Watch critique une hausse des condamnations à mort dans le pays. En 2015, 135 exécutions ont été dénombrées contre 88 en 2014, selon l’ONG. Après l’accident de grue du 11 septembre puis la grave bousculade lors du Hajj qui vient de faire plus de 700 morts le 24 septembre, les autorités saoudiennes sont sous le feu des critiques.
http://www.saphirnews.com/Mobilisation-internationale-pour-Ali-al-Nimr-l-Arabie-Saoudite-sous-pression_a21336.html
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Bernard Cazeneuve à la mosquée de Cherbourg pour l’Aïd al adha.
« La République a besoin de vous, et vous protégera. » Cette déclaration à l’attention des musulmans est signée Bernard Cazeneuve. Le ministre de l’Intérieur chargé des Cultes s’est rendu à la mosquée de Cherbourg (Manche), à l’occasion de l’Aïd al-Adha qui a débuté jeudi 24 septembre.
Accueilli chaleureusement avec des dattes et du lait, il a pris le temps d’échanger avec les fidèles avant de prononcer un discours. Le ministre a tenu à réaffirmer les valeurs de la laïcité, trop souvent dévoyées. « La laïcité est une valeur cardinale de la République, et je refuse qu’elle soit détournée à la seule fin de stigmatiser votre religion, et attiser des petites haines qui n’ont pas leur place au sein de la communauté nationale », a-t-il répété.
En présence d’Anouar Kbibech, président du Conseil français du culte musulman (CFCM), il a adressé des messages d’unité, souvent martelés à chacun de ses déplacements à la rencontre de musulmans. « Dans un pays où il est davantage appelé à la division et où la haine se trouve convoquée, eh bien comme ministre de l’Intérieur, (…) je veux vous dire que la République a besoin de vous et qu’elle vous protégera de tous ceux qui veulent instituer en son sein des haines qui n’ont pas lieu d’être », a lancé le ministre à ses anciens administrés. Bernard Cazeneuve a en effet été maire de Cherbourg-Octeville de 2001 à 2012. A ce titre, il avait autorisé la rénovation de l’édifice en 1998.
Cette visite, était surtout l’occasion pour Bernard Cazeneuve d’annoncer la création de deux groupes de travail. Le premier consacré à identifier les besoins en abattoirs pour la fête de l’Aïd. L’association des maires de France rejoindra ainsi ce groupe.
Quant au deuxième groupe, il sera créé pour « clarifier les règles de construction et de gestion des lieux de culte de façon à ce que chacun puisse se les approprier ». Enfin, le ministre a confirmé que de nouvelles formations destinées à des imams et autres cadres musulmans seront ouvertes dans les universités françaises.
A la mosquée de Cherbourg-Octeville, la visite de Bernard Cazeneuve a été particulièrement appréciée. La dernière apparition du ministre dans la ville a eu lieu le 8 mai pour un recueillement en mémoire des victimes de l’attentat de Karachi, au Pakistan. L’imam Mohamed Abdallah, tenant à rappeler que sa mosquée défendait un « islam moderne et modéré, a qualifié la visite ministérielle pendant l’Aïd d’i[« historique ».
http://www.saphirnews.com/Bernard-Cazeneuve-a-la-mosquee-de-Cherbourg-pour-l-Aid_a21335.html
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