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Flash info du 4 Joumada At-Thani 1438.

Flash info du 4 Joumada At-Thani 1438.
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France : Calais : poursuivi pour avoir aidé des migrants, il a interdiction de parler à la presse.
Mis en examen en août 2016, un homme de 42 ans a interdiction de parler à la presse. Un contrôle judiciaire à la limite de la légalité.
La décision du tribunal de Boulogne-sur-Mer est exceptionnelle. Ce serait même une première, selon Streetpress, qui a révélé l’affaire. Surnommé «Matthieu» pour préserver son anonymat, un homme de 42 ans a interdiction d’entrer en contact avec «tous journalistes» sur ordre d’un juge d’instruction.
Actif auprès des réfugiés de la «jungle» de Calais, il est mis en examen avec trois autres personnes depuis août 2016. Ils auraient aidé des migrants à traverser la Manche en canot pneumatique depuis une plage du Pas-de-Calais. La mise en examen est assortie d’un contrôle judiciaire, une procédure habituelle lorsqu’une peine de prison est encourue.
Le contrôle judiciaire permet au juge d’imposer des obligations ou des restrictions aux mis en examen. Par exemple, ne pas quitter une zone délimitée ou ne pas entrer en contact avec certaines personnes. Ce que prévoit l’article 138 du code de procédure pénale, sur lequel s’appuie le juge pour sa décision. «Matthieu» a interdiction de contacter les autres mis en examen et de s’approcher de l’ancienne «jungle». Et il est le seul, sur les quatre mis en examen, concerné par l’interdiction de parler aux journalistes, s’étonne La Voix du Nord.
Une mesure illégale?
Interrogé par Streetpress, le Syndicat de la magistrature s’étonne de cette décision, la qualifiant d’«originale». Pour Olivier Coudert, président du syndicat des avocats de France, «c’est une atteinte à la liberté. On ne peut pas interdire de voir des journalistes comme ça».
La décision peut être contestée, ce qu’aurait fait «Matthieu» sans succès, selon Streetpress. Les magistrats étant soumis au secret de l’instruction, qui est toujours en cours, ils ne sont pas en capacité de le confirmer ou de l’infirmer officiellement.
Pascal Marconville, procureur de la République de Boulogne, précise dans La Voix du Nord que «le juge doit motiver toute interdiction par des éléments qui sont en relation avec les nécessités de son dossier, ce qui devait être le cas puisqu’il l’a décidé». En clair, l’interdiction doit concerner des personnes liées à la procédure. Difficile de croire que tous les journalistes le sont.
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France : Contrôle d’identité : trois questions sur l’expérimentation des caméras-piétons pour les policiers et les gendarmes.
Le ministère de l’Intérieur a annoncé, mardi, l’expérimentation pour un an de l’enregistrement vidéo obligatoire des contrôles d’identité dans 23 zones de sécurité prioritaires.
Des caméras-piétons obligatoires pour les policiers et les gendarmes. Le ministère de l’Intérieur a annoncé, mardi 28 février, l’expérimentation pour un an de l’enregistrement vidéo obligatoire des contrôles d’identité dans 23 zones de sécurité prioritaires.
Franceinfo détaille ce dispositif inédit.
Comment ça marche ?
Chaque policier ou gendarme en patrouille sera équipé d’une caméra-piéton, fixée sur sa poitrine. Le ministre de l’Intérieur a promis des appareils « à déclenchement automatique » : ceux dont sont équipées les forces de l’ordre pour le moment sont actionnés manuellement, via une petite molette rouge. « Quand bien même une séquence d’intervention viendrait à être coupée, cela paraîtrait suspect, on n’y a aucun intérêt », expliquait le préfet des Bouches-du-Rhône, Laurent Nunez, à l’AFP à la mi-février.
Une fois l’enregistrement enclenché, la personne contrôlée voit les images grâce à l’écran qui se trouve sous l’objectif. Le son est également enregistré. Ces vidéos sont conservées de manière « très sécurisée », selon Laurent Nunez. « Il y a une traçabilité des documents (heure et lieu de l’enregistrement) qui sont transférés sur un support sécurisé au sein du service dont l’accès est limité à certaines personnes nommément désignées », détaille-t-il. Par ailleurs, la loi a prévu une destruction des images dans un délai de six mois maximum et leur consultation indirecte par les intéressés par l’intermédiaire de la Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil).
Déjà testée à petite échelle, ces caméras contribuent « très largement au bon déroulement des interventions par la traçabilité qu’elles permettent », estime le ministère de l’Intérieur. La Direction générale de la police nationale avait salué « leur effet modérateur, unanimement constaté par les fonctionnaires ». Actuellement, police et gendarmerie sont équipées de 2 600 caméras-piétons. Selon le ministre de l’Intérieur, Bruno Le Roux, ce chiffre sera « au moins doublé ».
Quelles sont les zones concernées ?
L’expérimentation, qui débute le 1er mars, concerne 23 zones de sécurité prioritaires (ZSP). « Parmi les 23 sites retenus, figurent notamment des ZSP à Paris intra-muros, en petite et grande couronnes, ainsi que dans des départements comme la Haute-Garonne ou bien les Alpes-Maritimes », indique le ministère, sans donner de liste exhaustive.
Est-ce en lien avec l’affaire Théo ?
Si cette mesure prend une signification particulière après l’agression violente du jeune Théo par des policiers lors de son interpellation, elle est dans les tuyaux depuis plusieurs années. Après des tests menés en 2012, le gouvernement avait annoncé, en 2015, sa généralisation en cinq ans. La loi Egalité et Citoyenneté, adoptée à la fin décembre 2016, prévoit l’expérimentation annoncée mardi.
Davantage que par l’affaire Théo, l’adoption de ce dispositif semble être guidée par l’abandon du récépissé promis par François Hollande en 2012. Le 17 février, le ministre de la Jeunesse, de la Ville et des Sports, Patrick Kanner, signait une tribune dans Libération pour défendre les caméras-piétons : « Cette technique a fait ses preuves, elle est efficace. Sans doute plus efficace que le récépissé qui ne dit rien de la relation, de son déroulement. »
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Santé : Perturbateurs endocriniens : pourquoi l’Europe n’a pas le courage de les interdire.
Ce mardi 28 février aurait pu figurer comme une date importante dans l’histoire de l’écologie européenne : c’est ce jour qu’une définition satisfaisante des perturbateurs endocriniens aurait pu être donnée.
Et s’il est si crucial de définir sur le plan réglementaire ce qu’est une molécule qui, comme son nom l’indique, perturbe les hormones humaines (« endocrinien » est un synonyme d’ »hormonal »), c’est que cela aurait pu conduire à leur limitation, voire à leur interdiction totale, d’abord dans les pesticides chimiques, ensuite dans notre quotidien (plastique, cosmétiques, détergents…). Et ils y sont nombreux !
Mais une fois de plus, cette définition n’a pas été retenue par les pays, alors que les dangers de ces produits sont scientifiquement documentés. Pourquoi cet immobilisme ? Nous avons posé la question à Stéphane Horel, journaliste indépendante et auteure d’ »Intoxication » (La Découverte), enquête édifiante sur le poids du lobbying dans ce dossier.
Pourquoi ce mardi était-il une échéance importante dans le dossier des perturbateurs ?
– C’est aujourd’hui que la Commission européenne a soumis aux Etats-membres un acte d’exécution, c’est-à-dire un texte qui aménage un règlement – en l’occurrence, le règlement de 2009 sur la mise sur le marché des pesticides. Derrière cette démarche technique, se cachait une importante décision : la définition réglementaire de ce qu’est un perturbateur endocrinien. Rappelons que cette définition aurait dû être donnée en décembre 2013 par la Commission, que la Cour de justice européenne a d’ailleurs condamné ce retard, que c’était aujourd’hui la quatrième version de ce texte.
Pourquoi ce texte n’est toujours pas jugé satisfaisant par un certain nombre de pays ?
– Parce que la Commission a soumis un texte inapplicable : les critères pour définir la nocivité d’un perturbateur exigent un niveau de preuve impossible à atteindre.
On comprend que les lobbys agricoles et industriels européens, notamment l’industrie chimique, ne désirent pas que des directives soient passées pour limiter, voire interdire ces molécules. Les enjeux économiques sont trop lourds ?
– C’est un argument brandi par les lobbys et leurs représentants. Mais l’industrie des pesticides agricoles européenne pèse 7 milliards d’euros. C’est faible à la dimension de l’Europe. Savez-vous combien coûtent aux sociétés les conséquences sanitaires de ces molécules ? 157 milliards. En raison de leur rôle de perturbation hormonale, elles sont en effet reliées à un grand nombre de pathologies : cancers du sein, de la prostate, du sein, diabète, obésité, autisme, hyperactivité, infertilité, baisse du QI… Les études scientifiques sont nombreuses et concordantes. Et naturellement, le coût économique de ces fléaux est moins important que leur coût humain.
Mais interdire les perturbateurs en Europe n’avantagerait-il pas automatiquement nos rivaux, les industries américaines ou asiatiques ?
– Pas du tout. Pour pénétrer sur le marché européen, ces produits, d’où qu’ils viennent, devront évidemment respecter les réglementations européennes, donc être soumis aux mêmes « contraintes » sanitaires.
Dans ce qui ressemble à une démission des élites européennes, quel rôle joue la France ?
– C’est la ministre de l’Ecologie Ségolène Royal qui, en 2014, a tiré cette problématique du fossé d’indifférence dans laquelle l’Union européenne l’avait jetée. Et, même si l’on ne sait pas tout de ce qui se déroule en coulisses, la France compte parmi les pays (avec la Belgique, la Suède et le Danemark) qui exigent que la définition donnée par la Commission européenne soit applicable. L’Allemagne, elle, se montre depuis toujours ambiguë, à cause de la puissance de son industrie chimique, Bayer et BASF en tête.
Le fait que Benoît Hamon ait fait des perturbateurs endocriniens l’un de ses chevaux de bataille dans la présidentielle est-il révélateur d’un changement de mentalité ?
– C’est très surprenant en effet. Voilà longtemps que je pense, en tant que journaliste, qu’il faut que cette question sorte des pages « Conso » pour rejoindre les pages « Politique ». C’est chose faite, me semble-t-il, depuis que Benoît Hamon en a parlé en prime time dans une émission politique. Ne pas donner une définition satisfaisante de la nocivité des perturbateurs n’est pas un choix scientifique ou technique : c’est un choix politique.
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Internet a donné une nouvelle dimension aux suicides d’adolescents.
L’acte choquant de se donner la mort devant un écran d’ordinateur suscite de nombreuses interrogations, tout particulièrement lorsqu’il s’agit d’adolescents.
Au cours des derniers mois, plusieurs drames d’adolescents et de jeunes adultes se suicidant en direct sur Internet ont tristement fait l’actualité, notamment en France et aux États-Unis.
Cette forme inédite de mise en visibilité du suicide nous interpelle avec raison. Une question apparaît alors en filigrane : quel est rôle des dispositifs techniques utilisés au cours de ces mises en scène fatales ? S’agit-il d’un phénomène nouveau en soi ou bien d’une nouvelle mise en visibilité de la souffrance ?
L’ordalie : plus qu’un appel à l’aide
Pour mieux comprendre les suicides en direct, il importe de revenir sur ce que nous connaissons des tentatives de suicide et du suicide en général. Ainsi l’ordalie est un phénomène bien connu des socio-anthropologues de l’adolescence. Cette notion parle aussi aux professionnels qui ont côtoyé des adolescents en grande souffrance. Dans les sociétés dites « traditionnelles », l’ordalie était un système de croyances qui imputait à la décision des dieux la survie d’une personne qui traversait une épreuve. En d’autres termes, celui qui bravait la mort et en revenait vivant n’était pas l’artisan de sa réussite. Une force supérieure avait décidé de cette issue, d’où le sentiment chez les survivants de mériter pleinement leur place dans la vie.
Bien que nous vivions dans des sociétés fortement sécularisées, le discours ordalique est omniprésent chez les jeunes en grande souffrance.
« C’est le hasard qui allait décider »
Dans les entretiens que les chercheurs mènent auprès des adolescents qui se sont mis en danger sous différentes formes, que ce soit, par exemple, à travers la pratique de la vitesse au volant, au risque de l’accident fatal ou de la consommation de drogue poussée jusqu’à risquer le coma, l’ordalie ressurgit sous une forme individualisée. « Ce jour-là, dira une jeune femme en parlant de ce jour funeste où elle tenta de se suicider pour la seconde fois, je me suis dit que c’est le hasard qui allait décider si je méritais ou non de vivre ».
D’autres personnes diront qu’elles s’en sont remises au destin, qu’elles ont tentées la chance ou qu’elles ont cru en leur bonne étoile.
Le discours ordalique fonctionne provisoirement aux yeux de ces personnes : pendant un moment, parce que le hasard ou le destin leur a été favorable, ils racontent s’être sentis à nouveau vivants, légitimés en quelque sorte dans leur désir de vivre encore. Mais ce sentiment est généralement provisoire : à défaut de trouver un ancrage plus solide, la récidive n’est pas rare, tentative pour retrouver un sens à leur existence. Or, cette récidive se caractérise généralement par une radicalisation de la prise de risque pendant laquelle le jeune se laisse de moins en moins de chance de survivre.
L’ordalie à l’ère du numérique
Lorsqu’elle filme en direct son suicide en mai 2016 à Évry, dans l’Essonne, une jeune fille de 19 ans devient tristement célèbre en quelques heures. Or, son cas nous rappelle l’ambivalence qui touche ces personnes en grande souffrance. Au cours des heures précédant son passage à l’acte, la jeune fille multiplie les messages en direct sur Internet. Elle s’adonne même à un échange avec certaines personnes qui comprennent le danger bien réel qui la guette. Ces événements ne sont pas anodins. Ils rappellent que, ce jour-là, des spectateurs n’ont pas seulement assisté à un suicide en direct, mais aussi à de multiples appels à l’aide.
La dimension ordalique que nous observions déjà avant l’avènement des technologies de l’information et de la communication (TIC) trouve désormais dans les espaces numériques une nouvelle expression. Elle se manifeste ici par des appels lancés auprès des internautes comme une dernière chance d’être découvert, et même d’être sauvé par la foule invisible. Les spectateurs sont anonymes et c’est donc au hasard de leur action ou de leur inaction, de leur tentative réussie ou avortée de sauver la personne en danger que l’ordalie se manifeste, illustrant une autre manière de tenter le destin, de franchir une dernière porte de sortie qui se referme de plus en plus sur elle-même.
Mais à la différence des conduites ordaliques d’autrefois, celles qui s’expriment à travers les technologies de l’image laissent des traces, ce que de précédentes manifestations du désespoir n’abandonnaient pas toujours aux vivants. En ce sens, le recours à ces technologies souligne une autre dimension, bien connue cette fois, du suicide : la volonté chez plusieurs personnes en grande souffrance de marquer la mémoire de ceux qui restent, d’abandonner une dernière trace de son existence, d’exhiber le signe ultime de sa souffrance.
La souffrance est complexe
Certes, il est impossible d’analyser succinctement les motivations d’une personne qui décide de mettre fin à ses jours dans de telles circonstances. Or, un comportement qui emprunte une forme inédite et qui trouve dans le monde des écrans de nouvelles expressions porte bien souvent en lui-même les éléments d’une souffrance dont nous connaissions déjà, en partie, les clefs d’interprétations.
À nous citoyens et internautes d’user de prudence lorsque « surgit » dans le monde des écrans des tragédies qui nous déstabilisent parce qu’elles mettent en scène la mort, ce qui peut nous amener à imputer des phénomènes à l’existence de dispositifs techniques qui en sont surtout les supports. Car derrière le visible reste toujours dissimulé l’invisibilité d’une démarche et la complexité d’une souffrance.
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Occuper les enfants pendant les vacances.
Les vacances scolaires approchent pour certains, elles se terminer pour d’autres. Pendant 15 jours nos petits bouts de choux seront à la maison et pour les occuper, parfois c’est le vrai casse tête…
D’un autre côté, les vacances ne doivent pas être pour les enfants synonyme d’insouciance et notre rôle en tant que parents musulmans est bien sur de leur donner une bonne éducation mais aussi de leur transmettre et leur enseigner l’Islam, chose qu’il n’est pas forcément facile à faire lorsqu’ils sont à l’école. Un compromis est possible, voici quelques modestes conseils que vous propose AJIB :
Les dessins animés & les jeux vidéo :
Nous commençons par cela car il est probable que c’est ce que les enfants aiment le plus, si on ne les arrêteraient pas, ils seraient capables de regarder la TV et de jouer à la console toute la journée ! En même temps, pour les parents c’est la solution facile ! pendant ce temps les enfants sont calmes, c’est l’occasion de se reposer, de ranger la maison, surfer sur AJIB.fr … mais ce n’est pas pour autant la meilleure solution.
Ce que nous conseillons, c’est de délimiter un temps bien précis 1 heure, 2 heures par jour (chacun appréciera selon son point de vue) et responsabiliser vos enfants de l’arrêt de la TV en leur montrant par exemple l’horloge : « Vous pouvez regardez la tv jusqu’à ce que la petite aiguille arrive sur le 2 et la petite aiguille sur le 6 ». En parallèle, ce qu’il est possible de faire c’est de leur mettre des dessins animés islamiques sur la vie du Prophète (pbsl) , sur le tajwid, sur la vie des Prophètes…
L’ école arabe :
Pour les petits musulmans les vacances c’est aussi synonyme « d’école arabe ». Dans la plupart des mosquées en France, pendant les vacances il y a un programme sur plusieurs demi journées pour les enfants de 6 et plus, les enfants y révisent/apprennent l’arabe et les petites sourates du Coran. Ces cours sont intéressants pour les enfants et ce pour plusieurs raisons, tout d’abord de par leur contenu, l’enseignement de l’arabe et du Coran. La plupart des enfants en France ont appris à lire le Coran grâce à l’école arabe. Ensuite car durant ces cours ils se retrouvent entre musulmans et c’est aussi comme cela que se construit leur identité musulmane. Cependant, rares sont les mosquées acceptant les enfants plus jeunes et c’est assez dommage car à partir de 3 ans , l’enfant sait parler et il est capable d’apprendre si la pédagogie et le rythme sont adaptés. Pour combler ce manque, il est intéressant de faire un petit programme à la maison une à deux heures par jours, en enseignant à travers le jeux, le chants…
Les activité manuelles :
Pratiquer régulièrement des activités manuelles améliore l’organisation, l’autonomie, la motricité, la concentration… et tout comme la lecture d\’une histoire avant le dodo, c’est un moment privilégié entre vous et votre enfant. Certes cela demande un peu de temps, mais ces séquences seront vraiment profitables pour vos enfants et si vous n’avez pas d’idées, rendez vous sur le blog de Materner avec un grand AIME.
Entre deux activités, proposez leur des coloriages ! Le blog à la maison avec Oummi met à disposition des coloriages islamiques (Mosquées, Calligraphies, familles…) imprimez les et amusez vos petits muslims.
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Syrie : Alep : régime, alliés, rebelles accusés de crimes de guerre par l’ONU.
La Commission d’enquête internationale indépendante sur la Syrie vient de rendre ses conclusions concernant la ville d’Alep. Sur place, aussi bien le régime que les rebelles et tous les soutiens sont accusés de crimes de guerre contre l’humanité.
De graves violations des lois humanitaires.
Selon le rapport, « toutes les parties ont commis de graves violations des lois humanitaires internationales constitutives de crimes de guerre » . Pour l’ONU, chacun doit prendre ses responsabilités et la mesure des actes perpétrés sur le terrain. L’enquête en question concerne la période de juillet 2016 au 22 décembre de la même année. Il est indiqué que les frappes aériennes russes notamment ont ciblé des écoles, des marchés, des hôpitaux. L’usage d’armes interdites est également mentionné. De plus, le régime de Damas est pointé du doigt pour avoir délibérément visé un convoi humanitaire de l’ONU et du Croissant-Rouge en septembre 2016, dans la banlieue d’Alep. Par ailleurs, les opposants à Bachar Al Assad sont aussi dans le viseur de l’ONU pour avoir bombardé Alep-Ouest depuis Alep-Est et pour avoir empêché les civils de quitter la zone.
Même l’évacuation forcée de la population de l’est est considérée comme crime de guerre alors que cet accord avait été conclu avec le soutien de la Turquie. Quelles seront donc les suites données à ce rapport alors que le conflit en Syrie ne semble pas avoir de fin, les civils étant les premières victimes ?
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France : Fin de vie : le Conseil d’Etat appelé à trancher sur le cas de Marwa.
L’histoire de Marwa Bouchenafa remet sur le devant de la scène le délicat débat autour de la fin de vie.. Cette petite fille de 15 mois, née en bonne santé avec une jumelle, souffre d’une « atteinte neurologique sévère et définitive » qui la paralyse des quatre membres. Victime d’un virus foudroyant causant de sévères troubles neurologiques et la défaillance de plusieurs organes, dont le cœur, la petite Niçoise est hospitalisée depuis le 25 septembre à l’hôpital de la Timone à Marseille, sous assistance respiratoire.
Depuis le 4 novembre, un bras de fer est engagé entre les parents de Marwa et le corps médical. A l’issue d’une réunion, les médecins ont décidé à l’unanimité de débrancher le nourrisson car ils n’entrevoient aucune chance de rétablissement. Une décision que les parents refusent, les clignements des yeux, les mouvements et les gestes de ses mains leur prouvant, selon eux, que leur enfant mérite une deuxième chance.
Mohamed Bouchenafa, père de Marwa, avait alors lancé une pétition en ligne « Jamais sans Marwa ». Cette dernière a récolté plus de 244 000 signatures et plus de 94 000 « likes » sur une page Facebook pour soutenir le nourrisson malade.
Il avait aussi saisi en novembre en référé-liberté le tribunal administratif de Marseille. Le 8 février, la justice tranchait en faveur des parents, considérant que la poursuite des soins ne relevait pas d’« une obstination déraisonnable ». La décision avait aussitôt été contestée par l’Assistance publique-Hôpitaux de Marseille qui a déposé un pourvoi devant le Conseil d’Etat.
La décision du Conseil d’Etat quant au cas de Marwa est appelée à être définitive lors une audience à huit clos jeudi 2 mars devant un juge des référés. Une marche de soutien est prévue samedi 4 mars à Marseille pour épauler la famille Bouchenafa.
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France : Fréjus : le permis de construire de la mosquée jugé caduc.
La guerre larvée entre David Rachline, sénateur-maire de Fréjus, et l’association El Fath qui gère la mosquée de la ville se poursuit. Le rapporteur public a déclaré illégal le permis de construire du lieu de culte devant le tribunal administratif de Toulon, rapporte 20 Minutes mardi 28 février. Le permis avait été livré en avril 2011 et avait été « atteint par la péremption de deux ans sans le commencement d’exécution significatif de travaux », ce qui le rendait ainsi « caduc » d’après le rapporteur dont l’avis est, dans la majorité des cas, suivi par le TA.
Frédéric-Pierre Vos, avocat de la commune de Fréjus, a déclaré à la presse que « le tribunal d’Aix a désormais une preuve supplémentaire des travaux sans permis effectués par l’association El Fath ». Le maire FN David Rachline espère pouvoir obtenir la destruction de la mosquée, qui avait été rejetée en février 2016 par le tribunal de Draguignan.
Le tribunal administratif de Toulon devrait rendre son jugement d’ici trois semaines, avant l’arrêt de la cour d’appel d’Aix-en-Provence attendu pour la date du 21 mars.
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Canada : une université évacuée face à un risque d’attentat islamophobe.
L’université Concordia de Montréal a été menacée, mercredi 2 mars, par un courriel signé du « Conseil des citoyens conservateurs du Canada » adressé dans le même à plusieurs médias locaux.
Dans le mail, ce groupuscule de défense de la suprématie blanche menaçait de faire exploser plusieurs « petits engins artisanaux » au sein de l’établissement pour protester contre la présence d’étudiants de confession musulmane. « Maintenant que le président Trump est en poste au sud de la frontière, les choses ont changé. Nous ne tolérons plus votre comportement. (…) Les bombes ne sont pas destinées à tuer des gens. Le but principal est de blesser des étudiants musulmans », pouvait-on lire dans le message.
Les auteurs de la lettre affirment avoir « vu des étudiants musulmans et leurs invités utiliser les toilettes publiques au 7e étage pour se laver les pieds dans l’évier de la salle de bain ». Ils faisaient ainsi référence aux toilettes du pavillon Hall, où se trouve la salle de prière pour les musulmans, selon le Journal de Montréal.
L’université a procédé à une évacuation d’urgence de près de 4 000 personnes. La police a organisé dans la foulée une fouille mais qui n’a révélé aucune trace d’explosif. Une « semaine de sensibilisation à l’islam » devait se tenir dans l’un des trois pavillons évacués. Le nom du groupe à l’origine du mail fait écho à celui auquel faisait référence, Dylan Roof, l’auteur de la tuerie de Charleston ayant tué neuf personnes dans une église afro-américaine en 2015. Cependant, aucun lien n’a été établi pour l’heure entre les deux groupuscules.
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Arabie saoudite : des contrebandiers utilisent des Corans pour leur trafic de drogue.
Habitués à franchir toutes les lignes jaunes, que ne feraient pas les contrebandiers qui sévissent sur la zone frontalière de la monarchie saoudienne pour déjouer la vigilance de ses forces de l’ordre et passer frauduleusement leurs marchandises au nez et à la barbe de ses douaniers ?
Ne reculant devant aucun stratagème, plus ou moins élaboré, pour parvenir à leurs fins, auraient-ils à ce point épuisé toute la panoplie de leurs ruses qu’il leur faille user d’un artifice sacrilège : glisser des substances illicites dans de vrais faux exemplaires du Coran ?
Les autorités saoudiennes croyaient avoir tout vu, entre ceux qui ingurgitent des centaines de petits paquets de drogues, au risque de mourir d’une overdose massive si jamais ils se perçaient, et ceux qui dissimulent leurs produits délictueux (alcool et récemment des comprimés de Captagon, la drogue des djihadistes) dans des intestins de mouton, des mandarines, des tomates, voire des pièces automobiles, des lampes, ou encore des livres… la liste n’est pas exhaustive.
Mais elles n’étaient pas au bout de leurs surprises en découvrant la dernière trouvaille de ces experts en dissimulation ou en grosses ficelles qui, à trop vouloir tirer sur la corde, ont fini par ce qu’elle se rompe.



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Un jeune Américain d’origine égyptienne brigue le poste très convoité de gouverneur du Michigan.
A seulement 32 ans, le Dr. Abdul El-Seyed, un fils d’immigrés égyptiens installés aux Etats-Unis depuis plus de trente ans, en quête d’un pays de cocagne, a déjà creusé profondément son sillon dans sa région natale du Michigan, ayant à son actif un brillant parcours académique et de belles réalisations qui en ont fait une notabilité locale.
Sur cette terre de contrastes mais aussi d’abondance que sont les Etats-Unis, ce fils qui fait la fierté de ses parents, titulaire d’un doctorat en médecine décroché au sein de la prestigieuse université d’Oxford grâce à la non moins très renommée et sélective bourse Rhodes (la plus ancienne bourse de recherches au monde octroyée aux étudiants les plus méritants) ne vise que l’excellence dans tout ce qu’il entreprend.
Nourrissant de grandes ambitions à l’aune de son formidable potentiel, le plus jeune directeur du département de la Santé que l’Etat du Michigan ait jamais connu a toujours placé très haut le curseur sur l’échelle de l’exigence, de la rigueur et de l’éthique, afin que le doux rêve américain ne soit pas que pure chimère mais une réalité bien tangible.
A l’âge où d’autres font leurs premières armes dans la sphère professionnelle, Abdul El-Seyed entrait il y a deux ans, à tout juste 30 ans, dans les annales de la fonction publique américaine en devenant le plus jeune directeur de la santé d’une cité phare, en l’occurrence Lensing.
Comment s’étonner dès lors qu’il voie plus grand et plus loin en briguant le siège de gouverneur ? Fort de sa notoriété grandissante et de son expérience concluante à ce poste clé de l’Etat du Michigan, il est en première ligne depuis deux ans pour observer les disparités criantes, entre riches et pauvres, qui fragilisent la cohésion sociale sur le sol de la première puissance mondiale, mais aussi pour dénoncer la stigmatisation subie par ses coreligionnaires de la part des professionnels de santé depuis le 11 septembre, dans le cadre d’un rapport circonstancié qui a connu un fort retentissement.
La victoire fracassante du populiste Trump et les premiers jours affolants de sa nouvelle administration, entamés dans le bruit et la fureur de décrets liberticides signés à tour de bras, dont son décret anti-immigration viscéralement anti-musulmans, ont précipité sa décision de se lancer en politique avec la ferme intention de ne pas faire de la figuration…
« La politique de la peur et la haine menacent de nous diviser. Nous ne sommes pas assis sur le banc de touche. Nous devons agir urgemment », a-t-il récemment déclaré au journal le plus lu de Detroit, en se sentant parfaitement légitime pour être le porte-parole des sans voix et des sans grades de l’Etat du Michigan, terre d’implantation de la plus grande mosquée des Etats-Unis, où se concentre une forte population arabo-musulmane.
« Je suis convaincu que nos administrés attendent un représentant qui leur inspire confiance et soit capable de tenir ses engagements. Je pense être celui-ci », a-t-il insisté, tandis que l’un de ses plus fervents soutiens, Jeff Maltas, un scientifique de renom vivant au Michigan, perçoit en lui l’homme providentiel. « La santé mêlée à la science, le tout combiné avec une grande humanité et le sens de l’intérêt général, voilà brossé, me semble-t-il, le portrait du candidat idéal, et c’est celui de Abdul El-Seyed », a-t-il souligné, intarissable d’éloges à son égard.
Fin prêt à se jeter dans le grand bain bouillonnant de la politique, le Dr Abdul El-Seyed bat déjà la campagne avec de l’énergie à revendre, mû par un seul et unique objectif à l’horizon 2018 : sortir vainqueur de ce qui sera sa première grande bataille électorale pour avoir l’honneur de représenter à Washington, sous la coupole du Capitole, cette autre Amérique pointée du doigt et livrée à la vindicte, qui redoute plus que tout de voir ses droits fondamentaux sournoisement grignotés, et pire encore totalement niés, sous l’ère Trump de sinistre augure.
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Des dignitaires musulmans et chrétiens appellent à la coexistence interreligieuse au Caire.
Devant un aréopage composé de dignitaires religieux du Moyen-Orient, musulmans et chrétiens, la coexistence pacifique entre les religions dans cette région du monde minée par les conflits confessionnels a été largement débattue au Caire jusqu’à ce mercredi, dans le cadre de la conférence de haut vol initiée par Al-Azhar, la prestigieuse institution de l’islam sunnite.
A l’heure où des dizaines d’Egyptiens chrétiens ont déserté le nord de la péninsule du Sinaï, fuyant devant les offensives sanglantes conduites par Daesh, Al-Azhar redouble de virulence dans sa condamnation de la folie meurtrière de ses combattants, les accusant de « souiller l’image de l’islam », tout en se rangeant résolument du côté de ceux qui prônent un « islam modéré » et se font les chantres du dialogue avec les chrétiens et de la paix.
« Exonérer les religions du terrorisme ne suffit plus, face à ces défis barbares », a lancé le cheikh d’Al-Azhar, Ahmed al-Tayeb, en tirant la sonnette d’alarme, avant d’appeler à dépasser urgemment « le manque de confiance et les tensions persistantes entre les dirigeants religieux qui n’ont plus aucune justification aujourd’hui: si la paix ne se réalise pas d’abord entre ceux qui la prêchent, ils ne peuvent pas la transmettre aux individus ».
Le pape copte orthodoxe Tawadros a, pour sa part, exhorté à « lutter contre l’idéologie extrémiste avec une idéologie éclairée ». « L’Egyte et la région ont souffert de l’idéologie extrémiste, qui résulte d’une compréhension erronée de la religion qui a conduit au terrorisme », a-t-il insisté, en présence du patriarche maronite Mgr Bechara Raï.
En Egypte, la branche locale de Daesh a plus que jamais la minorité copte dans son viseur, après avoir revendiqué, en décembre, un attentat suicide contre une église copte orthodoxe du Caire qui a coûté la vie à 29 personnes.
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Grave révélation sur le pacte colonial entre la France et quelques pays africains.
La chaîne de télévision Vox Africa vient de diffuser une information qui fait froid dans le dos et qui pourrait sans doute renforcer le sentiment anti-français en Afrique.
Selon cette chaîne panafricaine, la France oblige encore de nos jours, plusieurs pays d’Afrique francophone à payer un impôt colonial à la France. En d’autres termes, il y a encore des pays africains qui reversent d’importantes sommes d’argent à la France pour la simple raison que ces pays d’Afrique francophone sont redevables envers la France pour les avoir colonisés.
Cet impôt colonial continue d’être versé malgré l’indépendance des pays africains. Aujourd’hui, 13 pays d’Afrique Francophone ainsi que la Guinée-Equatoriale sont obligés par la France de mettre 85% de leurs réserves à la banque centrale de France.
Ces quatorze pays africains qui sont obligés de payer l’impôt colonial et de verser 85% de leurs réserves à la banque centrale de France sont entre autres: le Bénin, le Burkina Faso, la Guinée Bissau, la Côte d’ivoire, le Mali, le Niger, le Sénégal, le Cameroun, le Togo, la République Centrafricaine, le Tchad, le Congo Brazzaville, la Guinée-Equatoriale, et le Gabon.
La France permet à ces différents pays africains d’avoir accès à seulement 15% de leur argent. S’ils veulent avoir un montant un peu plus élevé que ces 15%, ils doivent nécessairement emprunter à des taux commerciaux. Il faut dire que cette démarche est grave de conséquence, car elle suscite la révolte des peuples africains qui se sentent grossièrement exploités mais aussi, cette méthode française d’exploitation du continent africain cultive une haine profonde de la part des Africains envers la France.
Plusieurs observateurs africains convergent sans exception à l’idée que les Africains doivent mettre un terme à de tels accords qui visiblement maintiennent l’Afrique dans le sous-développement et par conséquent entraine le continent dans la misère permanente.
Reportage vidéo a voir sur www.mouslimradio.info.
w w w . m o u s l i m r a d i o . i n f o .

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####### Aujourd’hui en Palestine #######
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Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
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Un point de contrôle militaire érigé à l’entrée d’Hébron et un jeune étudiant arrêté
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Une délégation de jeunes devrait quitter Gaza pour se rendre en Egypte demain
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L’artillerie de l’occupation vise deux sites de la résistance dans le nord de Gaza
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20 palestiniens enlevés de la Cisjordanie dans des campagnes sionistes
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77 Violations contre les journalistes en Février 2017
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L’occupation tire sur les maisons et les terres palestiniennes au nord de Beit Lahiya
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11 palestiniens blessés lors d’affrontements à Jérusalem-Est
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Amnesty: L’emprisonnement du journaliste al-Qiq est injuste et une honte à la justice
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63% des israéliens tiennent Netanyahou responsable de l’échec de la guerre à Gaza
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Incursion de 4 bulldozers et de véhicules militaires au nord de Gaza
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L’occupation a démoli 48 maisons et installations en Cisjordanie et Jérusalem en Février
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Liban: Le Hamas rencontre le Front de lutte populaire
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Un colon sioniste blessé dans une attaque au couteau à Hébron, l’auteur tué
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Des colons envahissent une colonie évacuée en pleine nuit
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L’occupant prétend la chute d’un missile sur le rivage d’Ashkelon (Adel)
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Une roquette aurait atterri sur le rivage d’Ashkelon, prétend l’occupation
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D’Information, sur http://french.palinfo.com

Flash info du 3 Joumada At-Thani 1438.

Flash info du 3 Joumada At-Thani 1438.
Ecouter le coran, des hadith, des conférences, des annonces divers, des anashids (sans musique), et bien d’autres choses, en direct sur MouslimRadio :
www.MouslimRadio.info
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Santé : Comment bien choisir son type de miel ?
Le miel est largement reconnu pour ses nombreux bienfaits d’une part par la science, mais également par l’Islam. Mais comment s’y retrouver face à ce nombre incroyable de variétés ? Il en existe des tonnes, tous aussi goûteux les uns que les autres et possédant chacun ses propres vertus. Voici un petit guide rapide et simple pour s’y retrouver et l’adapter selon vos besoins.
Miel d’Acacia.
Recommandé pour l’incontinence (notamment pour les jeunes enfants qui font encore pipi au lit). Régule tous les symptômes liés aux troubles digestifs (ballonnements, maux de tête, etc.).
Miel d’Aubépine.
Possède un effet calmant. Conseillé en cas d’insomnies, de nervosité, d’angoisses, d’hypertension et de palpitations. Idéal pour les personnes cardiaques.
Miel de Bourdaine.
À utiliser en cas de constipation. Améliore le transit intestinal.
Miel de Bruyère.
Recommandé en cas de fatigue, d’anémie, d’infection intestinale et de cystites chroniques.
Miel de Châtaignier.
Excellent pour la circulation sanguine et les rhumatismes. Efficace dans le traitement des affections respiratoires. Il accélère aussi la cicatrisation des plaies.
Miel de Citronnier.
Traitement idéal contre la fatigue et les problèmes de circulation. Conseillé en cas de digestion difficile ou de mal de gorge.
Miel de Colza.
Idéal pour les personnes souffrant de maladies cardiaques ou de problèmes de circulation sanguine.
Miel d’Eucalyptus.
Recommandé pour traiter la toux, la bronchite ou toute autre maladie ORL.
Miel de Lavande.
Possède des propriétés antiseptiques et cicatrisantes. À utiliser en cas de brûlure ou de piqûre d’insecte. Connu pour ses vertus calmantes. Il peut aussi être utilisé en cas de rhumatisme.
Miel de Manuka (arbre à thé).
Conseillé pour soigner les maux de gorge, les problèmes de cordes vocales, la mauvaise haleine ou les ulcères d’estomac.
Miel de Mélisse.
Soulage et apaise les problèmes de digestion.
Miel d’Oranger.
Possède un effet calmant et favorise le sommeil. Également recommandé en cas de nervosité et de migraine.
Miel de Romarin.
Idéal pour les personnes asthmatiques. Régule la digestion et le fonctionnement du foie.
Miel de Sapin.
Possède de puissantes propriétés antiseptiques. Conseillé en cas de grippe, rhume, bronchite, pharyngite ou asthme.
Miel de Sarrasin.
Excellent pour les personnes souffrant d’anémie, de fatigue ou de déminéralisation. Il est également efficace pour réguler les taux de cholestérol trop élevés.
Miel de Tilleul.
Recommandé en cas de nervosité, d’angoisses ou d’insomnie.
Miel de Tournesol.
Riche en calcium, il est conseillé pour stimuler la croissance des enfants.
Miel de Thym.
Favorise le sommeil car il possède un effet calmant. Idéal pour le traitement des maladies infectieuses, digestives et respiratoires. Possède aussi des propriétés antiseptiques.
Vous trouverez facilement ces miels en boutique musulmane ou en magasin bio.
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L’oisiveté en Islam.
Le travail est un acte de culte et d’adoration pour Allah (subhannou wa ta’ala). En Islam, l’oisiveté est mère de tous les vices. Notre religion nous inculque de ne jamais se retrouver dans une situation où l’on pourrait se dire «je n’ai rien à faire» ou «je m’ennuie».
En effet, Allah (subhannou wa ta’ala) a décrit le temps terrestre comme quelque chose d’incontrôlable pour l’être humain et qui doit être utilisé à bon escient: « Ô vous qui avez cru ! Craignez Allah comme Il doit être craint. Et ne mourez qu’en pleine soumission. » [Sourate 3 Al Imran : 102].
La paresse est un défaut pernicieux qui cause de nombreux maux dans la société comme la lenteur, la pauvreté ou le retard matériel et moral. L’oisiveté peut pousser à un état de paresse tel qu’elle peut ouvrir la voie à des activités immorales ou des choses blâmables.
Même si le travail est fatiguant, le temps libre est très dangereux pour le croyant. Celui-ci ne doit pas rester vide, il est nécessaire de le combler en se fortifiant dans notre religion, prier, réciter des invocations ou aider les autres.
«Puis, quand la mort se présente à l’un d’eux, il s’écrie : «Seigneur, fais-moi revenir sur Terre, afin que j’accomplisse quelques bonnes actions que j’avais négligées de faire !» [Sourate 23 Al Muminoon (Les croyants): 99-100].
Le temps doit être considéré comme une Amana (cadeau) confiée par Allah (subhannou wa ta’ala). Notre prophète Muhammad (sallAllahou ‘alayhi wa salam) combattait ardemment ce vice: « Ô Seigneur ! Je me réfugie auprès de Toi contre les soucis et la tristesse, l’impotence et la paresse, l’avarice et la lâcheté, et contre le poids des dettes et la domination des hommes. » [Boukhari].
L’Islam nous demande de gagner notre vie licitement, de ne pas mendier et de ne pas vivre aux crochets des autres sans raison valable (enfant, femme, maladie, handicap, vieillesse etc). De plus, le musulman doit vivre en adéquation avec les valeurs de notre tendre religion sans Ribâ et en évitant les secteurs qui poussent à commettre des pêchés. Allah nous dit dans le Coran : « …Puis quand la Salât (prière) est achevée, dispersez-vous sur la terre, et recherchez [quelque effet] de la grâce de Dieu… » [Sourate 62 Al Jumu’a (Le vendredi): 10].
« Et dis : Œuvrez, car Dieu va voir votre oeuvre, de même que Son messager et les croyants, et vous serez ramenés vers Celui qui connaît bien l’invisible et le visible. Alors Il vous informera de ce que vous faisiez. » [Sourate 9 At-Tawba (Le repentir) : 105].
« Et quiconque émigre dans le sentier de Dieu trouvera sur terre maints refuges et abondance. » [Sourate 4 An-Nisa (Les femmes): 100].
Si on suit les préceptes de l’Islam, il est impossible de tomber dans la paresse puisque chacun a une responsabilité ici-bas (le père de famille envers sa famille, la femme envers son époux, les enfants envers leurs vieux parents etc): Le Prophète (sallAllahou ‘alayhi wa salam) a dit : « Vous êtes tous des bergers et tout berger est responsable de son troupeau… » [Rapporté par Al-bukhârî et Muslim].
Le croyant doit être très vigilant concernant la mise en place des périodes de vacances. Souvent, la société nous pousse à rester inactif en été, au point de se laisser aller à une extrême paresse. Le musulman doit profiter de cette période de temps libre pour approfondir sa foi.
Ayat Al Kursi (Verset du Trône) : « Ô Fils d’Adam ! Je ne vous ai pas crée pour combler un manque, ni pour M’en réconforter devant une solitude, ni pour que vous M’aider à réaliser ce que Je n’ai pu faire, ni pour attirer un profit, ni pour repousser un dommage. Je ne vous ai crées que pour M’adorer longuement, que vous rendiez grâce amplement et que vous Me glorifiez matin et soir. Ô fils dAdam ! Si vous vous rassemblez du premier au dernier, humains et jïnns, petits et grands, libres et esclaves, pour M’obéir cela n’augmente point Mon royaume, même pas le poids d’un atome.Celui qui redouble d’effort ne le fait que pour lui-même.Car Allah se passe des mondes. Ô fils d Adam ! De la même manière que tu nuis on te nuit et de la même manière que tu œuvres on oeuvre pour toi. » (Exhortations sublimes Al Gazali, exhortation 6).
Allah (subhannou wa ta’ala) sanctifie le travail comme il réprouve la paresse: Allah (subhannou wa ta’ala) a dit : « Lorsque la prière est achevée, dispersez-vous sur terre, recherchez la grâce d’Allah ; invoquez souvent le nom d’Allah. Afin que vous réussissiez » [Sourate 63 Al Munafiqoon (Les hypocrites): 10].
Sur ce sujet, suivons la conduite de nos pieux prédécesseurs tel que Abdullah ibn Masʿūd qui a dit : «Je n’ai aucun regret qui équivaut à celui de voir un jour passé sans que j’aie à accroître mon œuvre».
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Devant le Congrès, Donald Trump prône une immigration « basée sur le mérite ».
Difficile à croire. Un mois et demi après son investiture, Donald Trump s’exprimait pour la première fois devant le Congrès mardi 28 février.
Lors de son discours adressé sur un ton inhabituel, le président s’est dit favorable à un système d’immigration choisie qui serait calquée sur les modèles canadien et australien. « Ceux qui veulent entrer dans un pays doivent être capables de subvenir financièrement à leurs besoins par eux-mêmes », a-t-il déclaré. Convaincu de pouvoir réaliser des économies avec ce système, Donald Trump a affirmé son souhait d’« abandonner le système actuel d’une immigration peu qualifiée et adopter à la place un système basé sur le mérite ».
Face aux 535 élus du Congrès, Donald Trump a réitéré son souhait d’établir un mur le long de la frontière du Mexique, sans préciser qui devrait le payer : « Nous devons restaurer l’intégrité et l’Etat de droit à nos frontières. C’est pourquoi nous allons entamer la construction d’un grand mur tout au long de nos frontières au Sud ».
Depuis son arrivée à la Maison Blanche, Donald Trump ne cesse de faire l’objet de manifestations, de critiques. Il n’entend d’ailleurs pas laisser tomber son idée de décret, en contradiction avec l’idée d’« immigration choisie ». Selon la presse américaine, le président devrait garder la liste des pays dont les ressortissants seraient interdits de séjour aux Etats-Unis, à l’exception de l’Irak.
La dernière critique en date vient celle d’un de ses prédécesseurs, l’ancien président George W. Bush. « Je suis pour une politique d’immigration accueillante, et qui soit conforme à la loi », a-t-il déclaré, interrogé le 27 février dans l’émission Today sur NBC. George W. Bush, qui s’est aussi dit contre le décret anti-immigration, prône la liberté de croyance : « C’est très important pour nous de reconnaître qu’une de nos forces, c’est de laisser les gens prier comme ils veulent, ou ne pas prier du tout. Le fondement de notre liberté, c’est le droit de croire librement. »
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Fichage des musulmans : Amnesty et 16 ONG montent au créneau.
Amnesty International et 16 ONG tirent le signal d’alarme. Les organisations signent une lettre, adressée lundi 27 février à une cinquantaine de « data brokers » (courtiers en données, en français) à qui leur est demandé de s’engager publiquement à ne jamais autoriser la divulgation de données à caractère privé.
« Nous leur demandons d’annoncer publiquement les mesures prises pour prouver qu’elles agissent de manière éthique et ne contribuent pas à des abus. Nous leur demandons de donner un gage qu’elles n’autorisent pas aux autorités de recourir à leurs données pour des violations des droits humains, surtout ceux des musulmans et des migrants, clairement menacés aujourd’hui », réclament-ils.
Des géants du Web comme Google, Facebook et Twitter s’étaient déjà engagés à ne pas participer à un tel fichage si le nouveau résident de la Maison Blanche leur demandait. Ce n’est probablement pas le cas d’autres sociétés « dont vous n’avez probablement pas entendu parler » qui collectent et revendent des données, selon les ONG.
La proximité d’entreprises du data avec Donald Trump inquiète
Le plus inquiétant reste que des dirigeants d’entreprises du data font partie ou ont fait campagne pour Donald Trump. C’est le cas de Stephen Bannon, membre de la société Cambridge Analytica qui fut directeur exécutif de la campagne présidentielle de Donald Trump puis conseiller du président élu.
La collecte et vente de données d’ordre privée de ces entreprises laisse craindre Amnesty que ces pratiques donnent lieu à une surveillance de masse, détentions arbitraires et expulsions de millions d’individus vivant aux Etats-Unis. Certaines entreprises détiendraient déjà des données que l’administration Trump pourrait être tentée de reprendre.
L’exemple du site Exact Data est largement relayé dans la presse. Ce site internet permettrait en quelques clics de retrouver des données sur 1 845 071 individus fichés comme musulmans aux Etats-Unis, sur les 200 millions que compte sa banque de données. Avec près de 140 000 dollars, il serait possible d’obtenir possible d’obtenir les détails comme des noms ou des adresses.
Plusieurs sociétés comme Acxiom, Recorded Future et CoreLogic, rapporte Le Monde, ont déjà promis qu’elles ne participeraient pas à la création d’un registre de musulmans. Amnesty n’est pas pour autant rassurée : « Il n’y a besoin que de la coopération d’une petite ou d’une moyenne entreprise pour que les autorités puissent avoir accès à des informations extraordinairement détaillées sur les musulmans ou les immigrés aux Etats-Unis ».
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Halima Aden, le premier mannequin voilé de la Fashion Week à New York.
De nouveau sous les feux de la rampe, Halima Aden, 19 ans, une Américaine de confession musulmane originaire de Somalie, poursuit sa trajectoire unique en pleine lumière de l’autre côté de l’Atlantique. C’est avec grâce et aisance qu’elle est passée du podium ultra-médiatisé de Miss Minnesota, où sa présence inattendue avait créé l’évènement début décembre, à celui ultra-tendance de la Fashion Week de New York, en février.
Quand une participation très remarquée, car singulièrement atypique, à un grand concours de la beauté stéréotypée, voire formatée devient un tremplin propulsant sur le devant de la scène de la mode, cela donne l’incroyable percée d’une jeune fille musulmane voilée, au demeurant très belle, dans un univers suprêmement superficiel qui subit le diktat des apparences au moins autant qu’il l’impose.
Très élégante sous son hijab haute couture et dans un long manteau beige soyeux, Halima Aden, ce mannequin si différent au parcours personnel hors norme, a réussi une fois encore à transcender sa particularité, subjuguant un public trié sur le volet venu assister au défilé du rappeur Kanye West.
Dans le rôle de son pygmalion, Kanye West a en effet décidé de faire de la première prétendante voilée à la couronne de Miss Minnesota le premier mannequin voilé de sa marque « Yeezy », et par là même du grand rendez-vous international de la mode à Big Apple.
«Je veux véhiculer un message positif sur la beauté et la diversité et montrer aux jeunes femmes musulmanes qu’il y a de la place pour elles ! », clame la jeune femme qui, pour connaître une ascension fulgurante et quasi inespérée dans le milieu du mannequinat (elle vient d’être recrutée par l’agence internationale IMG Models), n’en oublie pas pour autant ses racines et ses valeurs musulmanes, et encore moins son enfance passée dans les camps de réfugiés au Kenya.
Halima Aden veut bien tordre le cou aux préjugés, d’où qu’ils viennent et quels qu’ils soient, et montrer à la face du monde, ainsi qu’au microcosme de la mode, que l’on peut défiler revêtue d’un voile, mais pas à n’importe quel prix. C’est en imposant ses conditions non négociables que le nouveau visage de l’agence IMG Models et l’égérie de Kanye West a fait ses premiers pas dans un univers tout en strass et paillettes où, contrairement au vieil adage, l’habit fait le moine…
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France : Laïcité et islam, la réponse d’Emmanuel Macron.
Interpellé par Philippe Gaudin, président de la commission des relations avec l’islam de la FPF, Emmanuel Macron a répondu aux protestants sur la laïcité et l’islam.
Philippe Gaudin, président de la Commission des relations avec l’islam de la Fédération protestante de France : La France de 2017 ne ressemble pas à la France de 1905. Entre ceux qui soutiennent une « laïcité barricade », hostile aux religions, et ceux qui se contentent d’un rappel à la loi, où vous situez-vous ? Seriez-vous prêt à mener une politique publique énergique, en soutenant notamment les initiatives de la Fondation pour l’islam de France, qui consiste à dire que la situation est nouvelle et qu’il faut mettre en œuvre des projets inédits ?
J’essaie de tenir ce chemin de crête qui consiste à refuser de faire de la laïcité quelque chose qui exclue, ou qui viserait à construire une religion républicaine, sans rien céder pourtant à l’angélisme. De fait, le fonctionnement de notre laïcité se trouve en panne. Un monothéisme très présent chez nous s’est développé avec d’autres règles, d’autres pratiques cultuelles et culturelles, et des tensions fortes en résultent.
Je ne suis pas favorable à une transformation de notre laïcité. Mais je tiens à ce que l’on mette un terme à ces compromis qui ont été noués depuis trente ans par des élus de tous bords, soucieux de conserver la paix civile. Ce laisser-aller a permis de renforcer le rôle et l’influence des prédicateurs indifférents aux lois de la République. Démanteler des associations qui masquent des structures religieuses et ne respectent pas nos lois est possible. Il est également possible, grâce au régime de l’état d’urgence, de fermer les lieux dans lesquels elles se réunissent. Il me semble important qu’une loi soit votée pour que nous puissions continuer de fermer des lieux de culte en dehors des périodes d’état d’urgence.
Il faut encore que la République récupère ces territoires. Les tensions qui surgissent dans certains quartiers résultent aussi de l’abandon où la République les a laissé tomber. Quand l’école s’est dérobée, quand la promesse a disparu d’un progrès pour chacun, quand l’assignation à résidence a fait partie du quotidien, les forces religieuses les plus radicales ont pris l’ascendant. De nos jours, dans certains quartiers, la religion est devenue un contreprojet politique et culturel. L’émergence de ce que l’on appelle souvent communautarisme – un mot un peu fourre-tout – n’est rien d’autre qu’une contre-culture politique. Les enfants de ceux qui, dans leur pays d’origine, s’étaient battus contre le radicalisme religieux et pour l’émancipation, veulent porter le niqab. Pourquoi ? Parce qu’ils pensent que cette République n’est pas pour eux.
La République doit affirmer un projet politique permettant à chacun d’exercer sa religion, en autonomie de conscience. Nombre de nos concitoyens se trompent en pensant que la loi de 1905 établit une société qui doit être laïque. Ce n’est pas vrai. C’est l’État qui est laïc et garantit l’exercice libre et autonome de la conscience individuelle, donc de l’adhésion éventuelle à une religion.
En tant qu’homme politique, je ne promets ni le bonheur ni la transcendance car ce serait une folie, un projet totalitaire et mortifère. Si je ne reconnaissais pas cette part de transcendance que porte le dialogue avec les religions, j’accepterais de rabaisser nos semblables à l’extrême solitude du quotidien. Dans ce cadre, je suis tout à fait favorable à ce que l’on confie à la Fondation pour l’islam de France le soin de faire vivre un islam moderne dans notre société contemporaine. Cela implique aussi que la France entretienne un dialogue vigoureux avec certains pays. Je pense en particulier à l’Arabie saoudite, puisque ce pays encourage les formes les plus rétrogrades du wahhabisme à s’étendre partout dans le monde.
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Belgique : Séminaire : Le voyage de l’âme Organisé par Islamopedie.
L’équipe d’Islamopedie est heureuse d’organiser son deuxième séminaire qui sera à nouveau exceptionnel in shâ Allah. Fidèle à sa ligne de conduite, Islamopedie a fait appel à deux grands hommes de science, le cheikh Adil al-Jattari et le cheikh Mustafa Kastit, afin d’offrir une formation intensive d’un week-end.
Pour sa deuxième édition, Islamopedie propose un séminaire sur le voyage de l’âme, de la mort jusqu’à sa demeure ultime.
L’au-delà est une thématique omniprésente dans le Coran et la Sunna. Cependant, nous tombons souvent dans l’insouciance et nous oublions l’importance du rappel de la mort et de l’au-delà.
Il était donc essentiel de consacrer un séminaire entier sur la description du voyage de l’âme dans l’au-delà, afin de mieux connaitre le parcours que nous allons tous emprunter. Cependant, la simple description est insuffisante. Elle doit impérativement être accompagnée de l’étude des sagesses et des leçons que l’on doit tirer de cette thématique et de la manière de les appliquer dans notre quotidien.
Durant un week-end entier, les participants seront au contact direct de deux hommes de science, pour tirer profit de leur savoir et pour échanger et interagir avec eux. De plus, chaque participant recevra un syllabus complet qui lui servira de support pour toutes les thématiques étudiées durant ce séminaire.
Lors de sa première édition, Islamopedie avait financé la construction d’un puits au Burkina Faso, grâce aux revenus générés par le séminaire. Pour cette deuxième édition, trois puits seront in shâ Allah creusés dans des régions musulmanes du Cambodge. Fidèle à ses principes, Islamopedie organise ses séminaires en partenariat avec l’ONG Nouvelle Optique, afin de soutenir des projets humanitaires à travers le monde.
Ce séminaire approfondi poursuit deux objectifs majeurs :
1. Se former intensivement sur des questions essentielles, auprès d’homme de science.
2. S’impliquer, construire plusieurs puits au Cambodge, grâce aux inscriptions des étudiants.
Informations :
Le samedi et dimanche 11 et 12 mars 2017, de 8h30 à 18h, à l’Espace Poincaré, 47 Boulevard Poincaré, 1000, Bruxelles.
Prix 65€, un syllabus est prévu, repas matin et midi inclus,
construction d’un puits (aumône permanente), 12h de cours avec des conférenciers de qualité.
Informations complémentaires :
Site web : Islamopedie.be.
ou,
Téléphone : +32 (0) 483 42 78 88
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Venez nombreux, innch Allah
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Algérie : neuf islamistes armés tués en Kabylie.
Neuf islamistes armés ont été tués mardi par l’armée algérienne dans une opération «antiterroriste» en Kabylie, une région à l’est d’Alger, a annoncé le ministère de la Défense. Depuis le début de l’année, l’armée algérienne a multiplié les opérations dans les régions montagneuses de l’Est tuant, en incluant celle de mardi, plus de 30 islamistes armés.
L’opération qui se poursuivait mardi a lieu «près d’Azzefoun (170 km à l’est d’Alger) et l’armée a neutralisé neuf terroristes», selon un communiqué du ministère. Les autorités algériennes utilisent le mot «terroriste» pour désigner les islamistes armés qui sont actifs dans le pays depuis le début des années 1990.
Plusieurs fusils retrouvés.
Selon une source sécuritaire, les neuf islamistes ont été abattus suite à une opération de fouille et de bouclage. Deux kalachnikovs, un fusil à lunette, un fusil à pompe, cinq fusils de chasse et des munitions ont été saisis, selon cette source. Il y a dix jours, l’armée avait annoncé avoir tué 14 islamistes lors d’une vaste opération de ratissage dans la région de Bouira (125 km au sud-est d’Alger).
Malgré l’adoption en 2005 d’une Charte pour la paix et la réconciliation, censée tourner la page de la guerre civile qui a fait 200.000 morts pendant la «décennie noire» (années 1990), des groupes armés islamistes restent actifs dans l’est et le sud du pays et visent principalement les forces de sécurité. Dimanche, la police a déjoué une attaque suicide contre un commissariat à Constantine, revendiquée par le groupe ultraradical Etat islamique.
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####### Aujourd’hui en Palestine #######
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Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
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Un israélien et un palestinien blessés dans une attaque au couteau à Hébron
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98 colons israéliens envahissent Al-Aqsa
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L’occupation a empêché l’Adhan dans la mosquée Ibrahimi 44 fois
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Un palestinien de Rafah succombe à ses blessures subies en 2003
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Une version révisée du projet de loi de l’Adhan sera proposée à la Knesset
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45 enfants et 22 femmes sur 405 arrestations signalées en février
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17 opérations commando en Février 2017
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Jérusalem: l’occupation démolit un immeuble palestinien à Isswia
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Israël face à son échec cuisant dans sa lutte contre la résistance
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L’UNRWA suspend ses services temporairement dans le camp de réfugiés d’Ain al-Hilwah
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Tubas: Sit-in de solidarité avec les prisonniers en grève de la faim
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Azzam al-Ahmed: des parties libanaises impliquées dans les événements de Ain al-Hilweh
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Raids en Cisjordanie et des confrontations à Salfit
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Al-Qassam: La résistance saura répondre à toute agression sur Gaza
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Incursion sioniste limitée au nord de Beit Hanoun et à l’est de Rafah
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Un tribunal israélien permet aux juifs de prier à al-Aqsa
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