Programmes de diffusion sur MouslimRadio

Actuellement, en direct sur Loading ...


Flash info du 29 Ramadan 1438.

Flash info du 29 Ramadan 1438.
Pour écouter MouslimRadio partout ou vous voulez, télécharger l’application Tunein, disponible pour tout les types de téléphone, tablette et même les pc. Android, iPhone, Windows phone, etc… Tapez MouslimRadio dans la barre de recherche Tunein et hop, vous nous écouter, inch Allah… Les liens sont aussi visible sur notre site, www.mouslimradio.info.
******************************************************************


Samedi 24 juin 2017 : Nuit de l’Annonce de la célébration de l’Aïd Al Fitr.
Conformément à la tradition de l’Islam, la Nuit de l’annonce de la célébration de l’Aïd Al Fitr, aura lieu le samedi 24 juin 2017, correspondant au 29ème jour du mois de Ramadan de l’année hégirienne 1438.
Fidèle à la tradition de la Mosquée de Paris, qui remonte à sa création en 1926, comme chaque année à cette période si importante pour la vie religieuse des musulmans, une commission théologique se tiendra le samedi 24 juin 2017, à 19h00, à la Mosquée de Paris, pour déterminer le jour de l’Aïd Al Fitr.
Cette commission religieuse se tiendra en présence du président du Conseil français du culte musulman, des membres du bureau du Conseil français du culte musulman, des représentants des fédérations musulmanes, des représentants de la communauté musulmane dans toute sa diversité, des imams, des responsables de mosquées et des fidèles.
L’objectif de tous est d’unir dans une volonté commune et fraternelle l’ensemble des musulmans de France, autour d’une même date de la célébration de l’Aïd Al Fitr.
Nous implorons Allah Tout Puissant d’accepter notre jeûne
et de nous combler de Sa Clémence et de Sa Miséricorde.
Recteur Dalil Boubakeur.
Président de la Fédération nationale de la Grande Mosquée de Paris.
CLIC POUR VOIR LA SOURCE
***
https://sd3.ajib.fr/wp-content/uploads/2011/05/lever-du-soleil.jpg
il n’y a pas de nationalisme en Islam !
Diviser pour mieux régner est un proverbe inconnu en Islam puisque le musulman doit combattre pour éviter de diviser sa communauté.
Le nationalisme est une doctrine étrangère à notre religion car il fait partie de la jahiliya (époque d’ignorance).
Le Messager d’Allah (sallAllahou ‘alayhi wa salam) a dit également :
«Celui qui lutte, sous un drapeau en faveur d’une cause partisane ou qui répond à l’appel d’une cause partisane ou pour aider une cause partisane et meurt par la suite, sa mort est une mort pour la cause de la jahiliya».
Les conséquences du nationalisme sont dévastateurs puisqu’il pousse les croyants à se disputer ou à commettre des crimes.
Le Messager d’Allah (sallAllahou ‘alayhi wa salam) a dit :
«N’est pas des nôtres celui qui appelle à al ‘assabiyah [nationalisme / tribalisme…] qui combat pour la ‘assabiyah, ou qui meurt pour la ‘assabiyah». (Rapporté par Abou Daoud).
Dans un autre hadith, le prophète Muhammad (sallAllahou ‘alayhi wa salam) dit :
«Délaissez-le (l’esprit tribal, nationaliste), c’est une pourriture».
(Rapporté par Muslim et al Boukhari).
Le nationalisme entraîne de graves dissidences et accentue les défauts humains tels que l’arrogance ou la fierté.
Les musulmans doivent se considérer comme des enfants d’Adam englobés dans un corps et une structure uni dans l’adoration d’Allah (soubhanou wa ta’ala).
«Un arabe n’est pas meilleur qu’un non-arabe. De même q’un non-arabe n’est pas meilleur qu’un arabe. Un homme de race rouge n’est pas meilleur qu’un noir excepté dans la piété. L’humanité descend d’Adam et Adam a été crée d’argile».
(Rapporté par al Boukhari et Muslim d’après Abou Houraira)
Ce hadith symbolise exactement l’état d’esprit à adopter par les musulmans.
Aujourd’hui les arabes ne sont que les habitants de la péninsule arabique.
Il existe des musulmans partout dans le monde (Europe, Afrique, Asie, Amérique du Nord, Amérique du Sud etc) sans limite de frontière spirituelle avec la même foi et la même dévotion envers notre Créateur.
Aucune nation n’est souveraine ou prédominante à une autre car le Tout Puissant est Allah (soubhanou wa ta’ala).
«Ô hommes! Nous vous avons créés d’un mâle et d’une femelle, et Nous avons fait de vous des nations et des tribus, pour que vous vous entre-connaissiez.» (Coran, 49/13).
AJIB.FR
***

France : Le chef de la task force contre Daesh condamné pour diffamation envers un imam.
Pierre de Bousquet de Florian a été condamné, jeudi 22 juin, à une amende de 500 euros avec sursis. Récemment intronisé à la tête du Centre national de contre-terrorisme, la fameuse task force créé par Emmanuel Macron pour lutter contre l’Etat islamique, l’ancien préfet du Hérault est accusé d’avoir diffamé Mohammed Khattabi.
L’imam de Montpellier avait été assigné à résidence par le préfet dans le cadre de l’état d’urgence en novembre 2015. Il reprochait à l’imam de tenir des « prêches anti-occidentaux, incitant au jihad et prônant l’usage de la violence ». Pierre de Bousquet de Florian s’était épanché sur le cas dans Le Figaro, affirmant que l’imam « a des paroles de haine contre notre mode de vie, pouvant être influentes sur les jeunes, il symbolise l’islam dont on ne veut pas dans ce pays ».
Il ajoutait en outre que la perquisition administrative du domicile de Mohammed Khattabi a permis de débusquer « le fraudeur et le tricheur ». L’imam était, selon lui, coupable d’une « fraude importante aux prestations sociales et familiales. (…) il vit en outre avec son épouse, qui touche une allocation de parent isolé ».
Le recteur de la mosquée Aïcha de Montpellier a vu son assignation à résidence abrogée par le ministère de l’intérieur dès le 11 décembre 2015. Il a en revanche été condamné en mai 2016 à six mois de prison avec sursis pour recel de fraudes aux allocations et de « travail dissimulé ». Il a fait appel de cette décision. « Aujourd’hui, l’Etat ne lui reproche aucune dangerosité et encore moins un lien avec le terrorisme », avance Arié Alimi, l’avocat de Mohammad Khattabi. Il ajoute que, « compte tenu de cette diffamation, la nouvelle task force commence un peu difficilement » sa tâche.
saphirnews.com
***

Incendie à Londres : ils ont choisi de rester avec leurs parents plutôt que de les laisser mourir seuls.
Les histoires relatives aux derniers moments vécus par les victimes de l’incendie de la tour Grenfell à Londres émergent doucement. Parmi elles, celle de la famille Miah dont cinq membres ont péri dans la nuit du 13 au 14 juin, en plein mois du Ramadan, est déchirante.
Trois jeunes adultes ont préféré mourir avec leurs parents plutôt que de les laisser mourir seuls dans leur appartement situé dans le 17e étage. Husna, 22 ans, et ses frères Hanif, 26 ans, et Hamid, 29 ans, ont choisi ce destin, préférant sacrifier leur vie que de vivre hantés le restant de leurs vies pour avoir abandonné père et mère qui n’étaient pas en capacité de s’enfuir. Kamru Miah, âgé de 82 ans, n’était en effet physiquement plus apte à marcher. Son épouse Rabeya, 65 ans, n’a pas voulu abandonner son mari.
Leurs enfants auraient pourtant pu s’en sortir, rapportent les médias britanniques. Ils avaient encore une heure devant eux avant qu’il soit impossible de sortir de la bâtisse. Conscients de l’issue fatale qui les attendait, ils ont consacré le temps qui leur restait à appeler leurs proches pour leur dire qu’ils ne pouvaient décemment pas laisser leurs parents périr seuls dans les flammes.
Samir Ahmad, un cousin de la famille, a témoigné auprès du Times que sa tante a parlé à Hanif et qu’il était « très calme » : « Il a dit que son heure est arrivée, qu’il ne fallait pas s’endeuiller pour eux et il nous a demandé de se réjouir pour eux car ils seront dans un lieu meilleur. » « La famille était très importante pour eux. Ils ont vécu ensemble et sont mort ensemble », a-t-il ajouté.
Husna Begum devait se marier à Leicester le mois prochain. Son fiancé et le reste de sa famille ont décidé de leur rendre hommage au cours d’une cérémonie de prière publique jeudi 22 juin. Parmi la fratrie, Mohammed Hakim est le seul survivant connu. Il aurait quitté l’immeuble quelques heures avant que l’incendie ne se déclare.
Le drame a provoqué la mort de 79 personnes. La Première ministre britannique Theresa May a présenté ses excuses mercredi 21 juin pour la gestion du sinistre, dénoncée par les habitants de la tour et leurs proches.
saphirnews.com
***

Victorieuse Syrie.
Comme par un matin calme, le paysage s’éclaircit peu à peu en Syrie. Partout à l’offensive, l’armée nationale a reconquis des milliers de kilomètres carrés de territoire à l’est d’Alep, de Homs et de Damas. Elle s’apprête à reprendre le contrôle intégral des frontières syro-jordanienne et syro-irakienne, traditionnelles voies de transit des mercenaires venus dévaster le berceau de la civilisation pour une poignée de pétrodollars. En restaurant la souveraineté de l’Etat sur le sol national, cette courageuse armée de conscrits inflige un camouflet à tous ceux qui rêvaient de détruire cet Etat récalcitrant, à tous ceux qui voulaient le mettre en charpie parce qu’il osait déjouer leurs plans néo-coloniaux.
Victorieuse sur le plan militaire depuis la libération d’Alep, la Syrie souveraine l’emporte aussi sur le plan politique. Le temps paraît lointain où “Le Monde diplomatique” pouvait prédire, sans craindre le ridicule, l’exil doré de la famille Assad quelque part en Sibérie. Ses adversaires, le président syrien les a vus défiler, qui psalmodiaient les mêmes stupidités sur un pays dont ils ignoraient tout. A en croire les Occidentaux, le départ de Bachar Al-Assad devait être un “préalable” à la solution de la crise. En réalité, c’était tout le contraire. La résistance de l’Etat syrien dont le président est la clé de voûte exigeait son maintien. Là où tant d’autres auraient pris la poudre d’escampette, le chef est resté à son poste, et il a bien fait.
Fervent admirateur d’Al-Qaida, Laurent Fabius estimait que le chef de l’Etat syrien “ne méritait pas d’être sur terre”. Mauvaise pioche ! Car si M. Fabius cultive son éthylisme mondain au Conseil constitutionnel, M. Assad, lui, est toujours aux commandes à Damas. Son armée élimine la nébuleuse de groupes sectaires dont l’ancien ministre espérait le triomphe, et le peuple syrien goûte l’espoir renaissant d’une issue à la guerre. Ce qui est frappant avec les dirigeants occidentaux, c’est leur tendance à parler trop vite. Pendant six ans, leur presse aux ordres répétait comme un mantra l’effondrement imminent du régime syrien. Heureusement pour les journalistes, ils ne sont pas payés au résultat.
Pour comprendre les raisons de cette résistance à une offensive internationale sans précédent, il suffisait de consulter des sources fiables et d’exercer son jugement critique. Les officines de propagande avaient beau prétendre qu’un peuple unanime se dressait contre le tyran, on pouvait voir sur “Al-Mayadeen”, en mars et octobre 2011, de gigantesques rassemblements populaires en faveur du “gouvernement et des réformes”. Clamant sa fidélité à l’Etat nationaliste laïc et son rejet de la charia wahhabite, la foule inondait les rues de Damas, Alep, Tartous et ailleurs. Mais les médias occidentaux préféraient braquer leurs caméras vers des attroupements de barbus en les faisant passer pour un soulèvement populaire.
Des faits majeurs, indispensables à l’intelligence des événements, ne firent donc l’objet d’aucune narration, tandis qu’on nous proposait une narration des “faits” qui consistait à les fabriquer pour les besoins de la cause. Les “rebelles modérés” massacraient les familles des fonctionnaires baasistes, par exemple, et ces horreurs étaient imputées à une armée nationale dont il était entendu qu’elle “tire sur les civils”. Les “neocons” de Washington étant à la manoeuvre, ce genre de supercherie était pourtant plus que prévisible. “Pendant que vous parlez de la réalité que nous produisons, nous produisons une nouvelle réalité”, disait Karl Rove, conseiller de George W. Bush et apôtre distingué du “chaos constructif”.
Heureusement, vient un moment où l’épreuve des faits dissipe les mensonges les plus grossiers. Difficile de répéter les sornettes habituelles lorsque les populations fuient manifestement les zones rebelles, l’armée reconquiert peu à peu le territoire national et le gouvernement syrien, à l’évidence, bénéficie du soutien sans faille de ses alliés. Après avoir renoncé à la formule rituelle sur le “régime aux abois”, la presse occidentale a fini par proscrire son ironie coutumière sur les “victoires en trompe-l’oeil” de Damas. Pour se divertir, il aurait fallu conserver les centaines d’articles expliquant que les Russes et les Iraniens allaient “lâcher Bachar”, que c’était cuit pour le “despote”, et autres prédictions dont a pu mesurer la vacuité.
Victorieuse sur le plan militaire face aux milices takfiristes, soutenue par la majorité du peuple syrien qui veut en finir avec cette tragédie, confortée par un jeu d’alliances qui penche en sa faveur, la Syrie souveraine entrevoit le bout du tunnel. L’impérialisme n’ayant pas l’habitude de lâcher le morceau, la route sera encore longue, mais l’évolution favorable de la “guerre du désert” laisse augurer une accélération des événements. Combat d’arrière-garde mené par une puissance en déclin, les provocations militaires US n’y changeront rien. La dernière agression, qui a vu un SU-22 syrien abattu par un F-16 près de Raqqa, a eu pour seul effet de torpiller les velléités de coopération russo-américaine contre Daech, Moscou ayant annoncé que tout aéronef étranger serait dorénavant ciblé par la DCA russe.
Cette provocation a aussi incité les Iraniens à effectuer leur premier tir de missile en territoire syrien contre Daech, l’implication militaire de Téhéran ayant fait preuve d’une discrétion qui n’est plus de mise dès lors que le bras de fer avec Washington atteint un seuil critique. En réalité, cette montée des tensions sert Damas, qui condamne fermement la présence occidentale sur le territoire national, et dont l’allié russe joue sa crédibilité à chaque provocation US. Même s’ils prennent Raqqa, les alliés arabo-kurdes des Etats-Unis vont se retrouver le bec dans l’eau, et l’armée syrienne y retournera sous peu. Bientôt chassé de ses pseudo-capitales (Mossoul et Raqqa), privé de ses voies de ravitaillement, pris en tenailles par les forces irakiennes et syriennes, Daech est en mauvaise posture.
Mais ce n’est pas tout. Une enquête du “Wall Street Journal” vient de donner de précieuses informations sur le soutien d’Israël aux rebelles syriens qui assurent la garde rapprochée du Golan occupé. Peu préoccupé par le sort de ces supplétifs, le journal de la finance new-yorkaise ironise sur le “cash” touché par les chefs de milices. Lorsque Damas en aura fini avec Daech, ces collaborateurs de l’occupant auront du souci à se faire. Quant aux pseudo-défenseurs de la cause palestinienne qui réclamaient des armes pour la “rébellion syrienne”, ils ont l’air malin. “Provoquer la chute de Bachar al-Assad est le meilleur moyen de protéger Israël”, écrivait Hillary Clinton. Après six années de mensonges, les masques tombent. La Syrie a affronté l’envahisseur sioniste en 1948-49, 1967, 1973 et 1982, et elle n’a jamais capitulé. Aujourd’hui, l’heure de vérité approche, mais on sait déjà qui a gagné la partie.
oumma.com
###################################
####### Aujourd’hui en Palestine #######
####################################

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
Le Hamas appelle la Nation à soutenir la cause palestinienne et la résistance
.
Le mouvement de la résistance islamique « Hamas » a appelé toute la population de la Nation Arabe à supporter la Palestine et à soutenir la résistance de son peuple qui lutte bravement pour libérer sa terre de l’occupation israélienne.
.
Al-Qassam: La nation devrait éradiquer le « cancer sioniste »
.
Des députés israéliens incitent contre le soutien turc à la mosquée Al-Aqsa
.
Incursion des bulldozers israéliens au nord de Jabalia
.
Des militants soutiennent les détenus libérés privés de leurs allocations
.
Alain Gresh : « Le mouvement palestinien organisé n’est pas antisémite »
.
7000 nouveaux logements à Jérusalem
.
5 citoyens arrêtés en Cisjordanie et Jérusalem occupée
.
Des détenus libérés sur le bord de la route…qui les défendra ?
.
Lieberman : « Abbas veut pousser le Hamas à la guerre contre Israël »
.
6 500 palestiniens croupissent dans les prisons israéliennes à la veille de l’Aid al-Fitr
.
Hamas: Les menaces de l’armée israélienne ne font pas peur à notre peuple
.
Incursion limitée à l’est de Jabalya
.
Adouane: aucune information sur l’ouverture du passage de Rafah avant l’Aid
.
Al-Quds occupé: Arrestation de trois palestiniens dont une jeune fille
.
L’occupation réduit encore son approvisionnement en électricité à Gaza
.
Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
.

Le Centre Palestinien D'Information