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Flash info du 22 Cha’ban 1438.

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WannaCryptor : 5 questions sur une cyberattaque d’une ampleur inédite.
Une vague de cyberattaques « sans précédent », selon Europol, a frappé depuis vendredi une centaine de pays dont la France. De nombreuses entreprises et organisations, comme les hôpitaux britanniques et le constructeur Renault, sont affectées. L’attaque a fait plusieurs dizaines de milliers de victimes et une enquête judiciaire a été ouverte ce samedi 13 mai en France.
Quelle est l’ampleur de l’attaque ?
L’attaque a fait « plus de 75.000 victimes », selon un bilan provisoire communiqué ce samedi par la police nationale. Le bilan « devrait très vraisemblablement s’alourdir dans les jours qui vienne », a précisé samedi à l’AFP Valérie Maldonado, adjointe à la chef de la sous-direction de la lutte contre la cybercriminalité.
Parmi les organisations touchées, on trouve :
Le service public de santé britannique (NHS), qui emploie 1,7 millions de personnes,
Le groupe Renault, dont des sites de production ont été mis à l’arrêt en France et en Slovénie,
La Deutsche Bahn, la comagnie ferroviaire publique allemande,
Le groupe de livraison de colis américain FedEx,
La compagnie de télécoms espagnole Telefonica,
Plusieurs ministères russes, selon la Banque centrale russe, qui a aussi annoncé samedi que le système bancaire du pays avait été visé.
Selon la société de sécurité informatique Kaspersky, la Russie est le pays le plus touché.
Comment fonctionne-t-elle ?
L’attaque est basée sur un logiciel malveillant baptisé WanaCrypt0r 2.0, qui crypte les fichiers des utilisateurs et leur demande de payer une somme d’argent sous forme de bitcoin pour qu’ils soient restaurés. Il s’agit d’un « rançongiciel ».
Ce logiciel exploite une faille dans les systèmes Windows, divulguée dans des documents piratés de l’agence de sécurité américaine NSA.
Les captures d’écran d’ordinateurs infectés du NHS britanniques montrent ainsi que les pirates demandent un paiement de 300 dollars en bitcoins. Le paiement doit intervenir dans les trois jours ou le prix double. et si l’argent n’est pas versé dans les sept jours les fichiers piratés seront effacés.
« Une fois la première machine infectée, il se propage à l’ensemble du réseau sur lequel il est connecté, paralysant ainsi tous les ordinateurs dont il chiffre les fichiers », précise la police française.
Qui est à l’origine de l’attaque ?
Selon la société Kaspersky, le logiciel malveillant a été publié en avril par le groupe de pirates « Shadow Brokers », qui affirme avoir découvert la faille informatique par la NSA.
Selon Guillaume Poupard, patron de l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information, interrogé par « le Monde », « tout, dans ce scénario, fait penser à une attaque criminelle ».
La propagation est-elle terminée ?
Non. Mais elle a été freinée ce samedi par accident, par un jeune chercheur en cybersécurité basé au Royaume-Uni. Souhaitant rester anonyme, il a expliqué à l’AFP :
« Généralement un logiciel malveillant est relié à un nom de domaine qui n’est pas enregistré. En enregistrant simplement ce nom de domaine, on arrive à stopper sa propagation. »
« Il a clairement réussi à enrayer la propagation », a assuré à l’AFP Marco Cova, spécialiste en cybersécurité chez Lastline.
De là à l’arrêter complètement ? Laurent Maréchal, expert en cybersécurité chez McAfee, a préféré rester prudent. « Le nom de domaine en question est-il le seul nom de domaine concerné ? Il est trop tôt pour le dire. Il se pourrait très bien que le logiciel vienne à se décliner sous d’autres formes. »
Comment se protéger ?
Les particuliers peuvent aussi être infectés.
« Pour les utilisateurs de postes Windows, il est fortement recommandé même en l’absence d’infection apparente, d’appliquer le correctif Microsoft MS 17-010 disponible à l’adresse https://technet.microsoft.com/fr-fr/library/security/ms17-017.aspx », selon le bulletin d’information et de prévention de la police nationale. Celui-ci précise :
« En cas d’infection, il est indispensable d’isoler la machine infectée en la coupant du réseau familial ou de l’entreprise, ce qui empêchera toute propagation, en éteignant de préférence l’ordinateur ou en retirant le câble réseau ou encore en désactivant l’antenne wifi. »
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Yémen: le choléra fait 115 morts en deux semaines.
Le choléra se répand rapidement depuis deux semaines dans un Yémen ravagé par la guerre.
Le Yémen est touché depuis plusieurs semaines par une grave crise de choléra. Le 9 mai, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) annonçait déjà le décès de 34 personnes. Le bilan s’élève aujourd’hui à 115 morts depuis le 27 avril, selon le ministère yéménite de la Santé. Plus de 8.500 cas suspects ont été recensés dans les 14 provinces du pays.
Les infrastructures hospitalières du pays ont été fortement endommagées par deux ans de guerre et où la qualité de l’hygiène s’est fortement dégradée. L’afflux des malades, souffrant de diarrhée et de vomissement, dépasse de loin les capacités d’accueil des centres hospitaliers.
« Quatre patients dans un seul lit ».
« Nous sommes maintenant confrontés à une grave crise de choléra », a déclaré Dominik Stillhart, directeur des opérations du Comité international de la Croix-Rouge (CICR), lors d’une conférence de presse dans la capitale Sanaa, au terme d’une mission au Yémen.
« Il y a jusqu’à quatre patients atteints du choléra dans un seul lit », a-t-il déploré. « Certains patients restent dans le jardin ou même dans des voitures avec leurs équipements de perfusion intraveineuse pendant à la fenêtre » du véhicule, a-t-il ajouté devant les journalistes à Sanaa.
Le manque d’hygiène à Sanaa, où la situation à empiré la semaine dernière avec une grève des éboueurs qui réclamaient leurs salaires impayés, « est un phénomène qui menace notre communauté », s’est inquiété un habitant cité par l’AFP, Ashraf Al-Hadi, qui en veut au gouvernement rebelle qui administre la ville.
Des tas d’ordures nauséabondes ont jonché pendant plusieurs jours les rues et les places de la capitale, contribuant à la dégradation de l’hygiène dans la ville. Après un débrayage d’une dizaine de jours, les éboueurs ont repris le travail le weekend, au grand soulagement de la population.
Un responsable local de l’OMS, Jameel Nashir, a appelé les habitants à soigner leur « hygiène personnelle » et à prendre « conscience de la dangerosité de la maladie ».
Une pénurie d’eau à Sanaa.
En outre, a-t-il ajouté, « ils devraient utiliser de l’eau provenant de sources sûres et éloignées des zones polluées », en allusion à la pénurie d’eau à Sanaa.
Dans une ville où le robinet ne coule dans certains quartiers qu’un jour par mois, les quelque 2 millions d’habitants dépendent des forages privés qui puisent l’eau dans des nappes phréatiques en voie d’épuisement et la revendent dans des camions-citernes.
Ali Al-Washali, hospitalisé pour diarrhée sévère, explique « boire depuis longtemps l’eau d’un puits artésien », servie par camion-citerne sans avoir de problème « mais de nos jours on en tombe malade ».
L’OMS classe désormais le Yémen comme l’une des plus grandes urgences humanitaires de la planète avec la Syrie, le Soudan du Sud, le Nigeria et l’Irak.
Selon cette même organisation, les combats ont fait plus de 8 000 morts et plus de 44.500 blessés depuis mars 2015. Quelque 19 millions de personnes, soit 60% de la population, vivent en situation d’insécurité alimentaire, selon l’ONU.
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Diesel : 38 000 décès imputés au trucage des moteurs en 2015.
Depuis 2015, on sait que Volkswagen et d’autres constructeurs ont utilisé des dispositifs destinés à minimiser le niveau réel des émissions d’oxyde d’azote. Des mécanismes qui ont provoqué 38 000 morts prématurées dans le monde en 2015, selon une étude parue ce lundi dans la revue Nature.
Les oxydes d’azote (NOx), en particulier le dioxyde d’azote (NO2), sont des gaz d’échappement nocifs pour le système respiratoire. Le dioxyde d’azote (NO2) contribue en outre à la formation d’ozone, un autre polluant, lors de journées chaudes et ensoleillées.
107 600 décès prématurés dans le monde.
La pollution provoquée par les émissions de NOx des véhicules diesel en circulation a été à l’origine de 107 600 décès prématurés dans le monde en 2015, indique l’étude réalisée par l’ONG ICCT (Conseil international pour des transports propres) en collaboration avec l’Université du Colorado, l’Institut de l’Environnement de Stockholm et l’Institut international pour l’analyse des systèmes appliqués, basé aux Etats-Unis. Sur ce total, 38 000 sont imputables aux « émissions générées en excès » par rapport à celles prévues par les tests effectués en laboratoire, précisent les chercheurs.
Environ 80% de ces décès ont eu lieu dans trois régions: l’Union européenne (UE), la Chine et l’Inde, écrivent les chercheurs. Les émissions de NOx ont été les plus meurtrières en Chine, avec 31 400 morts prématurées, dont 10 700 attribuées aux émissions en excès. L’Union européenne a enregistré 28 500 morts, dont 11 500 dues aux émissions en excès et l’Inde 26 700 dont 9 400 attribuées au dépassement par rapport aux valeurs limites affichées par les constructeurs.
50% d’oxyde d’azote de plus que les limites.
Globalement, les véhicules au diesel des principaux marchés automobiles mondiaux « produisent 50% d’oxyde d’azote de plus que ce qu’indiquent les limites officiellement certifiées », affirme l’ICCT dans un communiqué.
Les chercheurs ont étudié onze marchés représentant plus de 80% des ventes de véhicules diesel neufs en 2015 (Australie, Brésil, Canada, Chine, UE, Inde, Japon, Mexique, Russie, Corée du Sud, Etats-Unis). Ces véhicules ont émis 13,2 millions de tonnes de NOx, dans les conditions de conduite réelles, soit 4,6 millions de tonnes de plus que les 8,6 millions attendus selon les tests réalisés en laboratoire. Les poids lourds et les cars sont « de loin » les véhicules ayant le plus contribué à ce dépassement, avec 76% du total des émissions en excès.
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Accusé d’obstruction à la justice, Trump risque-t-il la destitution ?
Critiqué pour avoir limogé le patron du FBI et dévoilé des informations confidentielles au chef de la diplomatie russe, Donald Trump est désormais accusé d’avoir tenté de mettre fin à une enquête fédérale. Les appels à lancer une procédure de destitution se multiplient.
Donald Trump ira-t-il jusqu’au bout de son mandat ? A peine quatre mois se sont écoulés depuis son investiture, mais déjà le spectre d’une destitution commence à planer au-dessus de Washington, alimenté par les scandales à répétition. Le dernier en date, révélé mardi soir par le New York Times, est sans doute le plus accablant pour le président américain. Selon le quotidien, Donald Trump aurait demandé mi-février au directeur du FBI James Comey, qu’il a brutalement limogé la semaine dernière, de mettre un terme aux investigations visant Michael Flynn, son éphémère conseiller à la sécurité nationale. «C’est quelqu’un de bien. J’espère que vous pourrez laisser tomber», aurait dit le milliardaire à James Comey. Lequel a aussitôt retranscrit la conversation dans un mémo confidentiel cité par le journal.
Toujours selon le New York Times, la scène se serait déroulée le 14 février, au lendemain de la démission de Michael Flynn. Après une réunion consacrée à l’état de la menace terroriste, Donald Trump aurait demandé à tous les participants – dont le vice-président Mike Pence et le ministre de la Justice Jeff Sessions – de quitter le bureau Ovale, à l’exception de James Comey. Une fois seul avec le patron de la police fédérale, le président aurait défendu l’ancien général Flynn, poussé à la démission pour avoir omis de révéler des contacts répétés avec l’ambassadeur russe aux Etats-Unis au cours de la période de transition. Donald Trump aurait assuré à James Comey que Flynn n’avait rien fait de mal.
Obstruction.
Si les faits sont avérés, ils pourraient constituer une possible obstruction à la justice, un crime passible de destitution pour un président américain. Consciente de la gravité des accusations, la Maison Blanche les conteste catégoriquement. «Le président n’a jamais demandé à M. Comey ou à qui que ce soit d’autre de clore une enquête, y compris toute enquête impliquant le général Flynn», a réagi l’exécutif dans un communiqué. Ajoutant : «Le président a le plus grand respect pour nos agences chargées de faire respecter la loi, et pour toutes les enquêtes. Ce n’est pas un récit fidèle de la conversation entre le président et M. Comey».
Potentiellement dévastatrices, les révélations du New York Times fragilisent encore un peu plus la Maison Blanche, secouée depuis une semaine par des affaires à répétition. Le limogeage surprise et sans ménagement de James Comey, la semaine dernière, a suscité de vives critiques, l’opposition démocrate accusant Donald Trump de chercher à étouffer les enquêtes du FBI sur le rôle de la Russie dans la campagne présidentielle. Lundi soir, l’autre quotidien américain de référence, le Washington Post, a quant à lui révélé que le président avait livré des informations ultra confidentielles au chef de la diplomatie russe, lors d’une rencontre à la Maison Blanche.
«L’histoire nous regarde».
«Trop c’est trop. Le Congrès doit aller au fond de ces questions», a tonné l’élu démocrate Adam Schiff, membre de la puissante commission du Renseignement de la Chambre. Le chef de l’opposition démocrate au Sénat, Chuck Schumer, s’est dit «secoué» par les révélations du New York Times. «C’est un test sans précédent pour le pays. Je dis à tous mes collègues du Sénat : l’histoire nous regarde», a lancé, grave, le sénateur de New York dans l’hémicycle.
«Plus que jamais, nous avons besoin d’un procureur spécial pour déterminer s’il y a eu une collusion entre la campagne Trump et la Russie», a réagi de son côté Bernie Sanders dans un communiqué. Le sénateur du Vermont a appelé en outre les républicains du Congrès à travailler avec les démocrates «pour exiger que Trump rende des comptes pour ses actions».
«Une nouvelle donne».
Si la plupart des dirigeants démocrates rechignent encore à parler ouvertement de destitution, certains élus estiment au contraire qu’un cap a été franchi. «Cela aide à sceller le dossier» de la destitution, s’est réjouie l’élue de Californie, Maxine Waters. Son collègue du Texas, Joaquin Castro, a quant à lui prédit que si les faits étaient avérés, «le Congrès prendrait probablement le chemin de la destitution». Tout aussi révélateur, les discussions sur une possible procédure de destitution visant Donald Trump ont envahi les réseaux sociaux et les plateaux de télévision. «J’ai été réfractaire aux discussions sur la destitution jusqu’à présent, mais si le mémo de Comey est véridique – et Comey est très crédible -, nous sommes dans une nouvelle donne», a tweeté David Axelrod, ancien conseiller de Barack Obama, qui estime que ces dernières révélations pourraient «conduire à la fin» de la présidence Trump.
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International – Le Canada va interdire le débarquement forcé de passagers d’un avion.
Suite aux images choquantes d’un passager récemment expulsé d’un avion aux Etats-Unis, le voisin canadien veut prendre des dispositions.
Quelques semaines après les images choc de l’expulsion musclée d’un voyageur sur un vol d’United Airlines aux Etats-Unis, les compagnies aériennes auront l’interdiction de débarquer des passagers en cas de surréservation au Canada. Un projet de loi déposé mardi par le gouvernement canadien dans ce but.
«Nous avons tous entendu parler de mauvais traitements de passagers. De tels incidents ne seront pas tolérés au Canada», a déclaré à la presse le ministre des Transports, Marc Garneau. «Lorsque les Canadiens achètent un billet d’avion, ils s’attendent à ce que la compagnie aérienne fournisse le service pour lequel ils ont payé, et à ce qu’elle fasse preuve de respect à leur égard».
Ce projet de loi prévoit un plancher de compensations pour les passagers volontaires pour céder leur place lorsqu’un vol est surréservé, ou dont les bagages ont été égarés ou endommagés.
Des indemnisations sont également prévues en cas de retard prolongé sur le tarmac et les compagnies seraient obligées de placer un enfant près d’un parent, sans frais supplémentaires.
«Lorsque des imprévus surviennent, les voyageurs méritent une indemnisation claire, transparente, équitable et uniforme», a souligné M. Garneau.
Indignation internationale.
La loi permettrait, selon lui, d’assurer que les passagers «soient traités comme des personnes et non comme des numéros».
La loi, qui devrait entrer en vigueur en 2018, portera par ailleurs de 25 à 49% la limite de la participation étrangère au capital des compagnies aériennes canadiennes et obligera les entreprises ferroviaires à installer des enregistreurs audio-vidéo à bord des locomotives.
En avril, un passager avait été brutalement expulsé par la police de l’aéroport de Chicago d’un vol surréservé d’United Airlines, une scène filmée par d’autres passagers qui avait soulevé une vague d’indignation internationale.
L’incident avait sérieusement écorné l’image de la compagnie américaine, qui a finalement décidé de réduire la surréservation et d’offrir désormais jusqu’à 10.000 dollars à des passagers acceptant de céder leur place volontairement lorsque l’avion est plein.
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Préparons-nous à accueillir le mois de Ramadan.
Le mois du ramadan est un mois béni où tous les croyants sont invités à jeûner (à l’exception des femmes enceintes, des malades).
Il s’agit d’une période sacrée au cours de laquelle le Saint-Coran est descendu.
Le quatrième pilier de l’Islam donne une chance à tous les musulmans d’acquérir de bonnes œuvres et de montrer sa foi envers Notre Créateur.
Ainsi, accomplir je jeûne du Ramadan apporte de nombreux bénéfices, et c’est aussi l’occasion d’adopter de nouvelles habitudes et une meilleure hygiène de vie.
Le croyant peut profiter de ce mois sacré pour donner du sens à sa spiritualité.
Le musulman peut multiplier les bonnes actions en offrant de la nourriture pour les nécessiteux ou encore en distribuant la Zakât al-Fitr.
C’est un moment privilégié pour renouer avec le Coran en apprenant de nouvelles sourates et en redoublant ses lectures du Livre Saint.
D’autre part, les parents ont la tache de préparer leurs enfants pour ce mois.
Pour cela, on peut montrer notre enthousiasme à pratiquer notre jeûne en les faisant participer à la préparation des repas, leur apprendre le sens de l’entraide ou encore les éveiller lors d’activités ludiques.
Saviez-vous qu’une ‘Omra pendant le Ramadan équivaut à un Hajj avec le Prophète (sallAllahou ’alayhi wa salam) ? Les avantages d’un ramadan passé à la Mecque sont très nombreux : la récompense de la ’Omra, le bénéfice du lieu, l’ambiance exceptionnelle et des journées de jeûne plus courtes qu’en France !
Le meilleur temps pour s’acquitter de la ‘Omra est pendant le mois de Ramadan.
D’après Ibn ‘Abbas (qu’Allah l’agrée), Oum Souleym (qu’Allah l’agrée) est venue vers le Prophète (sallAllahou ’alayhi wa salam) et a dit: Abou Talha et sont fils sont partis faire le hajj et ils m’ont laissé.
Le Prophète (sallAllahou ’alayhi wa salam) a dit: « Ô Oum Souleym! Une ‘omra durant le ramadan équivaut à un hajj avec moi ».
(Rapporté par Ibn Hibban dans son Sahih n°3699 et authentifié par cheikh Albani dans Sahih Targhib n°1118).
AJIB.FR***

Témoignage : l’histoire d’amour improbable entre une ex-militante FN et un migrant de Calais.
Ancienne militante au FN, Béatrice Huret ne pensait jamais se rapprocher un jour d’un migrant et encore moins tomber amoureuse de l’un de « ces étrangers, si différents » comme elle les qualifiait.
L’histoire d’amour improbable.
Veuve depuis 2010 après la mort de son ancien mari policier, Béatrice a toujours été l’une des militantes du FN parce que son mari le souhaitait. L’ancienne aide-soignante a alors vu ses convictions et sa vie changer le soir où elle s’est arrêtée pour prendre en stop l’un de ces migrants qu’elle fuyait tant. Mokhtar fait partie des migrants iraniens qui s’étaient cousus la bouche en signe de protestation suite à la destruction de leurs abris à Calais. Touchée par la condition de vie des migrants qu’elle découvre, elle décide de s’engager au sein de « Belgium Kitchen », une association caritative qui distribue des repas.
« On s’est regardés et ça a fait comme un flash » : voilà comment l’ex-militante du FN décrit le début de son histoire d’amour improbable avec Mokhtar. Elle décide alors de l’accueillir lui et un autre migrant chez elle. Mais pour le jeune iranien hors de question de rester en France.
Arrestation et placement sous contrôle judiciaire.
En juin 2016, Mokhtar décide de rejoindre l’Angleterre où Béatrice ne pourra pas encore le suivre puisque 2 mois après elle est arrêtée, placée sous contrôle judiciaire et fichée S pour « aide à l’entrée, à la circulation ou au séjour irrégulier d’un étranger en France en bande organisée. » L’ex-militante FN aujourd’hui en couple avec un ancien migrant de Calais risque 10 ans de prison et 750 000 euros d’amende…
Le 3 mai 2017, Béatrice publie son livre « Calais mon amour » où elle raconte son histoire d’amour improbable. Aujourd’hui, elle attend toujours la date de son procès.
katibin.fr
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France : Législatives : après Francis Lalanne, Dieudonné candidat contre Valls.
L’humoriste controversé Dieudonné réalise un nouveau coup d’éclat médiatique en présentant sa candidature dans la première circonscription de l’Essonne où candidate l’ancien Premier ministre Manuel Valls. L’information a été révélée mercredi 17 mai par Le Parisien, qui affirme que plusieurs témoins ont croisé l’humoriste à la préfecture de l’Essonne, à Evry.
En janvier 2014, Manuel Valls, alors ministre de l’Intérieur, avait mené une bataille judiciaire afin de faire interdire les spectacles jugés antisémites de l’inventeur de « la quenelle ».
Dieudonné ne sera pas titulaire mais seulement suppléant de Nolan Lapie, un jeune homme qui a fait le buzz après avoir giflé Manuel Valls lors d’un déplacement dans les Côtes-d’Armor, en janvier 2017. Nolan Lapie avait été condamné à trois mois de prison et 105 heures de travaux d’intérêt général.
Elu depuis 2002, l’ancien maire d’Evry aura également comme adversaire l’artiste Francis Lalanne, suppléant de Jacques Borie, candidat du mouvement 100 % la force éco-citoyenne.
Reportage vidéo à voir sur www.mouslimradio.info.
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saphirnews.com
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France : GenerationLaicité : Nikola Karabatic s’engage auprès des jeunes sur la laïcité.
La Commission nationale consultative des droits de l’homme (CNCDH) et l’Observatoire de la Laïcité s’associent pour le projet #GenerationLaicité, à destination des collégiens. En voulant « donner des clés aux collégiens pour mieux comprendre la laïcité » selon leur communiqué, les organisations ont fait appel à Nikola Karabatic, joueur français de handball, comme figure emblématique du projet, lancé mercredi 17 mai.
« Nous avons donc développé un projet qui correspond au mode de vie et de communication des jeunes : un ton non moralisateur, la présence d’une personnalité qui apporte les éléments de réponses, des films courts, faciles à partager sur les réseaux sociaux, un site dynamique », ajoutent-elles.
En effet, le projet porte sur des mini-films pédagogiques sur Youtube d’une quarantaine de secondes chacun, dans lesquelles on voit des collégiens qui s’interrogent sur la laïcité à l’école autour de quatre grandes questions : sport et religion, le port de signes distinctifs à l’école, les fêtes religieuses et absentéisme et les repas sans porc à la cantine.
Nikola Karabic apparaît à la fin de chaque vidéo en donnant des éléments de réponse aux jeunes afin de leur permettre « d’être au top sur la laïcité ». De courtes vidéos qui terminent par un slogan : « La laïcité, c’est la liberté d’avoir des convictions et le devoir de les vivre dans le respect de celles des autres. »
Le site associé à ces vidéos est organisé de façon ludique, avec un certain nombre de questions posées dans des encadrés telles que « A-t-on le droit de parler de religions avec les copains ? Et avec les professeurs ? » ou « Est-ce que mon père peut demander à aménager ses horaires pour le Ramadan ? ». L’internaute n’a plus qu’à cliquer pour avoir une réponse détaillée. Une initiative salutaire pour permettre aux jeunes (ou non) de mieux connaître leurs droits et devoirs en matière de laïcité.
Reportage vidéo à voir sur www.mouslimradio.info.
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France : Plus de 300 boucheries signataires d’une charte contre le halal.
Plus de 300 boucheries seraient aujourd’hui titulaires du label « Viande de tradition française ». Cette étiquette a priori anodine engage ses propriétaires à ne vendre que de la viande garantie non halal.
« Aux manettes de ce label, l’association islamophobe Vigilance Halal », fondée en 2012, rapporte Streetpress mardi 16 mai. Sous couvert de préserver le bien-être animal, l’association a lancé son label en 2016 en démarchant plus de 5 000 bouchers artisanaux qui ne distribuent ni halal, ni casher. « Notre but, c’est que le non halal devienne un argument commercial. Ça incitera les abattoirs à faire de moins en moins d’abattage rituel » explique Lou Mantély, porte-parole de l’association.
Si certains bouchers n’assument pas encore leur signature de la charte, d’autres affichent ostensiblement le label « Viande de tradition française » sur la devanture de leur boutique. « Je l’ai fait pour me démarquer, il y a de la concurrence à Cannes. Pas mal de boucheries halal. Je sais que ça peut m’aider à récupérer des clients, surtout des personnes âgées », témoigne ainsi Eric, un boucher cannois.
Tous les établissements labellisés sont recensés sur un site, mis en ligne en décembre 2016. Marc Lyraud, membre de Vigilance Halal, souhaite développer une application de géolocalisation qui intègrerait par ailleurs les restaurants garantis sans halal. Il espère à terme obtenir le ralliement de grandes marques, en surfant donc sur la vague islamophobe.
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Centrafrique : des centaines de civils menacés de mort exfiltrés d’une mosquée.
Plus de 2 000 civils, pris au piège dans une mosquée, une église et un hôpital de Bangassou, ont été libérés, lundi 15 mai, par la Mission des Nations unies en Centrafrique (Minusca).
Bangassou, au sud-est de la Centrafrique, est au centre d’attaques de centaines d’hommes armés ces derniers jours. Les civils tentait d’échapper à des attaques de miliciens anti-balaka. Les personnes ont été mises à l’abri, selon France 24, sur le site de l’église qui compte en son sein 7 000 déplacés à ce jour.
« Je vous confirme que la mosquée (où se trouvaient quelque 500 civils, ndlr) est vide. Les 250 hommes qui étaient encore à l’intérieur cet après-midi ont été exfiltrés », a déclaré Hervé Verhoosel, porte-parole de la Minusca. Un camp de cette mission onusienne a aussi été pris pour cible et des casques bleus supplémentaires ont du être déployés. Six soldats de cette force, quatre Cambodgiens et deux Marocains, ont été dernièrement tués dans cette région.
Les soldats onusiens ont réussi à rétablir le calme dans une partie de la ville dans la soirée de dimanche mais des combats se poursuivaient lundi dans d’autres secteurs. « La situation est extrêmement déplorable et nous faisons tout pour reprendre rapidement le contrôle de Bangassou », a-t-il déclaré à Reuters. « Nombre de combattants sont des enfants soldats qui semblent sous l’emprise de drogues », a-t-il ajouté.
Selon l’ONU, plus 20 personnes ont été tuées en trois jours à Bangassou. Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, s’est dit « scandalisé » par ces attaques. « Toute la lumière devra être faite sur ces actes odieux, qui peuvent constituer des crimes de guerre et dont les auteurs doivent être traduits en justice », a déclaré le porte-parole du Quai d’Orsay. La France a estimé qu’elles pouvaient même « constituer des crimes de guerre »
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22 ans après l’extermination de 8 000 musulmans à Srebrenica, les Serbes de Bosnie nient le génocide.
Seulement deux décennies se sont écoulées depuis l’horreur du génocide contemporain qui a fait de la ville martyre de Srebrenica un immense charnier, frappant en plein cœur un Vieux Continent qui se targuait, depuis les heures funestes du nazisme, d’avoir éradiqué en son sein la barbarie à visage humain, et déjà le déni de cette effroyable épuration ethnique et de son long cortège de victimes musulmanes (8 000 hommes) fait son chemin dans les esprits, au point d’être taraudé par une question angoissante : une telle abomination commise à nos portes, froidement et méthodiquement, pourrait-elle à nouveau survenir dans une Europe gangrenée par la résurgence des nationalismes et l’islamophobie ?
Depuis ce mois de juillet 1995 macabre, planifié et orchestré par les bouchers serbes que furent Slobodan Milošević, Radovan Karadžić et Ratko Mladić, au cours duquel 8 000 Bosniaques musulmans, jeunes et moins jeunes, furent séparés de leurs proches, emprisonnés, torturés et abattus, avant d’être jetés dans des fosses communes, parfois éloignées d’une vingtaine de kilomètres, la force dévastatrice du racisme anti-musulmans a rechargé ses accus en Serbie et contamine la Republika Srpska, cette région semi-autonome du nord et de l’est de la Bosnie-Herzégovine, passée aux mains des Serbes de Bosnie, qui comprend Srebrenica.
Placée sous le joug des Serbes de Bosnie dont l’écrasante majorité affiche fièrement son négationnisme, balayant d’un revers de main la qualification officielle de génocide qui, aux yeux du Tribunal Pénal International pour l’ex-Yougoslavie, est pourtant la seule désignation appropriée à la monstruosité de ce crime de masse, Srebrenica pleure toujours ses morts après 22 ans d’un interminable deuil, rendu longtemps impossible par la recherche désespérée des dépouilles.
« Le déni du génocide nous fait mal », a confié Mejra Dzogaz, submergée par l’émotion, aux journalistes Alastair Sloane et Peter Oborne venus enquêter sur « L’histoire macabre de la dissimulation de Srebrenica ». Pour cette femme arrivée au soir de sa vie, le temps n’apaise nullement la douleur d’avoir perdu ses deux fils, assassinés dans les collines entourant Srebrenica.
« Nous espérons toujours que les négationnistes finiront par revoir leurs positions et par penser à nous et à toutes les autres mères. Mais tout ce qu’ils veulent faire, c’est nier. Si vous allumez la télévision, tout ce que vous entendez, ce sont ces personnes en train de nier. Nous pleurons encore et toujours et ils continuent de nier », s’indigne cette mère dont le cœur saigne depuis cet été mortifère de 1995. Elle décrit l’effroi qui la saisit à chaque fois qu’elle croise, au détour d’une rue, des Serbes qui ont perpétré ces massacres et qui se drapent désormais dans leur respectabilité de notables, siégeant au Conseil municipal ou occupant de hautes fonctions au sein de la police locale.
Alors que chaque année, la ville martyre de Srebrenica se rappelle à nos mémoires lors de la commémoration, poignante et solennelle, des atrocités qui l’ont à jamais marquée de leur empreinte sanglante, il se pourrait que les préparatifs soient, cette année, fortement perturbés par le nouveau maire de la ville Mladen Grujičić, un homme politique nationaliste serbe qui nie de toutes ses forces le génocide anti-musulmans, allant jusqu’à refuser d’employer le terme qui lui écorche la bouche.
« C’est une ironie cruelle de constater que l’élection à Srebrenica d’un maire qui nie le génocide n’a été rendue possible qu’en raison du nettoyage ethnique de sa population musulmane », fait observer le docteur Waqar Azmi, président de Remembering Srebrenica, une association caritative britannique.
En 2015, une enquête d’opinion terriblement édifiante révélait que 54% des personnes interrogées en Serbie reconnaissaient la brutalité du crime commis en juillet 1995, mais que 70% d’entre elles réfutaient l’idée même du génocide.
Parmi les nombreuses sources d’inquiétude nées de leur pérégrination au cœur de la Serbie d’aujourd’hui, les reporters Alastair Sloane et Peter Oborne ont été traversés par un frisson de peur en apprenant les liaisons dangereuses nouées entre l’administration Trump et les nationalistes Serbes de Bosnie, farouches tenants des thèses négationnistes.
En effet, le premier magistrat de Srebrenica, Mladen Grujičić, a eu l’insigne honneur d’être invité à participer au grand rituel du petit-déjeuner national de prière à Washington, deux semaines après l’investiture du 45ème président des Etats-Unis, se réjouissant de l’opportunité qui lui était offerte de « nouer des contacts avec des personnes importantes ».
L’inquiétude est à son comble, quand on découvre la noirceur de la pensée qui anime Milorad Dodik, le président de la Republika Srpska, au sujet du massacre génocidaire de Srebrenica : « c’est la plus grande supercherie du XXème siècle ! », assène-t-il sur un ton glacial qui trahit une haine anti-musulmans implacable.
De là à imaginer que le scénario du pire pourrait se répéter dans une Europe frappée d’amnésie et de cécité, où refont surface les vieux démons, il n’y a qu’un pas que les deux journalistes britanniques ont franchi avec une extrême anxiété.
oumma.com
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Tourisme Halal: Le Maroc destination Halal préférée au Maghreb.
Les vacances venues et à mesure que leur désir d’évasion s’est accru en l’espace de quelques années, les milliers de familles musulmanes disséminées à la surface du globe sont de plus en plus nombreuses à opter résolument pour le tourisme Halal, seul à même de leur offrir une parenthèse exotique enchantée, mêlant harmonieusement découverte, détente et accomplissement du devoir religieux.
Parmi les destinations phares qui attirent un nombre croissant de touristes musulmans, assurés de passer un séjour des plus agréables sans que leur éthique musulmane soit sacrifiée sur l’autel du dépaysement touristique, la Tunisie, la variété de ses paysages et ses prestations hôtelières constituent une belle invitation au voyage, susceptible de plaire aux chercheurs de sérénité comme aux curieux, avides de la visiter.
Sur les 130 pays passés au crible par l’entreprise américaine Mastercard et le leader mondial du voyage et tourisme Halal CrescentRating, la Tunisie pointe à la 19ème place d’un prestigieux classement international hiérarchisant les petits coins de paradis Halal les plus prisés par les visiteurs musulmans.
Alors que la Malaisie, les Emirats arabes unis et l’Indonésie forment un trio de tête indétrônable, le Maroc, pour sa part, demeure la destination Halal préférée au Maghreb et se classe 7ème, quant à Singapour qui ferme la marche de ce Top10, son offre touristique « halalisée » de qualité en fait le premier pays non musulman le plus attractif pour les familles musulmanes.
Pour se hisser au sommet de la pyramide des destinations Halal les plus plébiscitées, il fallait réunir 11 critères principaux classifiés comme suit : le caractère familial de la destination, la sécurité pour les voyageurs musulmans, le nombre de touristes musulmans, l’offre de dîners et d’assurances Halal, l’accès aux lieux de prières, les installations aéroportuaires, l’accès à un hébergement, la facilité de communication, la connectivité aérienne, l’accès au visa et enfin l’attractivité dans les autres pays.
Atteignant l’excellence en matière d’accès aux lieux de prière (un score de 100 pour 100), et forte de ses très bons résultats obtenus pour l’accès au visa (un score de 88 sur 100) qui lui permettent de décrocher la troisième place, juste derrière la Malaisie et l’Indonésie, et pour son offre de dîners à la sauce Halal (un score de 80 sur 100), la Tunisie parvient à contrebalancer ses failles relatives sur le plan de la sécurité, au même titre que la France, les Etats-Unis, le Pakistan ou encore l’Egypte, et de l’afflux de touristes musulmans sur son sol.
Alors que le secteur florissant du tourisme Halal a incontestablement de beaux jours devant lui, sous des latitudes d’autant plus idylliques qu’elles sont respectueuses des valeurs musulmanes, le remarquable potentiel d’attractivité de la Tunisie reste intact et lui permet de rivaliser d’attraits avec de nombreux pays, dont entre autres les Maldives, le Sultanat de Bruneï et l’Egypte.
oumma.com
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Palestine : Le courage des prisonniers politiques palestiniens.
Pendant que l’opinion française se distrait avec des péripéties politiciennes, les Palestiniens, eux, vivent au rythme de la lutte engagée par un millier de prisonniers contre leurs geôliers sionistes. Leur crime ? Avoir osé résister à l’occupation militaire étrangère. Pour avoir combattu l’oppresseur, ils sont reclus dans des prisons israéliennes où les privations, les vexations et les exactions sont quotidiennes. En grève de la faim depuis le 17 avril, ces résistants ont donc décidé de se battre, de ne pas baisser les bras. Emprisonnés depuis des années, ils dénoncent désormais, à la face du monde, la scandaleuse injustice dont ils sont victimes.
On dira peut-être que ce combat engagé du fond des geôles sionistes par une poignée d’irréductibles est perdu d’avance, que c’est le pot de terre contre le pot de fer. Mais en menant cette lutte, pourtant, ils manifestent leur détermination, ils adressent au peuple palestinien un message d’espoir, ils l’invitent à suivre leur exemple. Dans une lettre diffusée hier, Marwane Barghouti incite ses compatriotes à la désobéissance civile, il rappelle que le droit au retour des réfugiés est inaliénable et qu’aucune paix n’est possible sans le démantèlement des colonies érigées sur les territoires conquis en 1967.
Chef de file du mouvement des prisonniers, le dirigeant du Fatah lance aussi un appel à la solidarité internationale. Il demande l’amplification du programme Boycott-Désinvestissement-Sanctions, qui fut initié et promu par un collectif d’associations palestiniennes. C’est ce même programme qui vaut à ses militants, en France, des intimidations et des interpellations en cascade, en application d’une circulaire du ministère de la Justice maintenue sous les deux présidences précédentes, y compris par Mme Taubira. Pendant la campagne électorale, M. Macron a également condamné BDS, estimant qu’il était totalement inopportun d’exercer des pressions sur Israël.
Un candidat investi par “En Marche” pour les législatives vient d’ailleurs de faire les frais de la ligne politique du nouveau président. “A quand la séparation du Crif et de l’État ?” demandait Christian Gerin. Dans un autre tweet, il accusait Manuel Valls d’être “viscéralement sioniste, raciste et islamophobe”, et dans un troisième, il proclamait : “une seule solution : BDS !”. Traité d’antisémite, cet impudent a été évincé à la demande expresse du CRIF. L’accusation d’antisémitisme, la “reductio ad hitlerum”, une fois de plus, est l’argument-massue employé par cette officine communautaire. On savait qu’elle était vouée à la défense d’un Etat-voyou. Désormais, on sait qu’elle est aussi chargée de faire le tri entre les bons et les mauvais candidats aux élections.
Ainsi vont les choses. Pendant que les uns se battent pour leur dignité, les autres leur tirent dans le dos. Les millions d’électeurs qui ont voté pour le commis de la finance ont aussi porté à l’Elysée un ami de l’occupant sioniste. Ils ont fourni à ce serviteur de l’Empire la caution démocratique dont il avait besoin. Les Palestiniens n’en seront pas surpris. Il y a belle lurette qu’ils n’attendent plus rien de la France. Il est loin, le temps où un président français en exercice pouvait dire : “Dans les territoires qu’il a pris, Israël a instauré une occupation qui n’ira pas sans oppression, répression et expulsions, et il se lèvera contre elle une résistance qu’il qualifiera de terrorisme” (Charles de Gaulle, conférence de presse du 27 novembre 1967).
oumma.com
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####### Aujourd’hui en Palestine #######
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Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
Ramallah: Un jeune palestinien blessé par les tirs d’un colon juif
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Ce matin mercredi, le jeune homme palestinien Ibrahim Rassem Hamed, du village de Selwad, a été blessé par les tirs d’un colon juif, tout en se trouvant sur la route coloniale N°60 près du village de Selwad à la province de Ramallah.
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Démantèlement d’une cellule qui aurait planifié des attentats, selon l’occupation
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Les colons installent 6 tentes à l’entrée du camp de Fawar à Hébron
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Un responsable de l’ONU: la situation est tragique à Gaza en raison des répercussions du blocus
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Blessés dans des affrontements avec l’occupation à Toulkarem
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Liban: La police arrête un réfugié palestinien pour le forcer à évacuer sa maison
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L’occupation blesse deux jeunes palestiniens et arrête 18 autres en Cisjordanie
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L’occupation menace l’ex-prisonnier Rizek Rajoub de la déportation ou l’assassinat
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Un tribunal américain interroge le prisonnier Abdullah Barghouti par vidéoconférence
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Les familles des prisonniers ferment le Siège de l’ONU à Ramallah
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Naplouse:Affrontements lors d’une marche en solidarité avec les prisonniers grévistes
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Bethléem: une marche enflammée par solidarité avec les grévistes de la faim
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L’occupation encercle la maison d’un militant du Hamas à Doura
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76 prisonniers transférés dans des hôpitaux et Barghouthi arrête de boire de l’eau
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L’occupation rend le corps de Fatima Hajiji
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Berri félicite Haniyeh pour son élection en tant que président du Hamas
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information

Flash info du 23 Joumada At-Thani 1438.

Flash info du 23 Joumada At-Thani 1438.
Ecouter le coran, des hadith, des conférences, des annonces divers, des anashids (sans musique), et bien d’autres choses, en direct sur MouslimRadio :
www.MouslimRadio.info
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Le mariage et les jeunes: obstacles et solutions.
Le mariage, sujet sensible et si précieux à la fois.
Dans l’article précédent de cette série consacrée au mariage et les jeunes, nous avons essayé de nous remémorer le caractère obligatoire du mariage en islam. A l’énumération d’ahadiths et versets coraniques, entre recommandations, exhortations et permissions, certains peuvent se sentir perdus. Pourtant la religion est claire.
Selon le consensus des savants, le refus du mariage ne peut être sujet à polémique, et encore moins envisagé. En témoigne la parole du Prophète, paix et salut sur lui, à fin du hadith cité dans le précédent article : «Celui qui refuse ma tradition ne m’appartient pas».
Dans cet article nous allons rechercher à comprendre les obstacles au mariage chez les jeunes et tenter d’apporter des éléments de solutions avec la permission d’Allah Azza wa Jal.
Mais tout d’abord, qu’est-ce qui empêche nos jeunes de se marier ?
Le manque d’argent.
L’un des premiers motifs évoqués qui barre la route vers le mariage est la question financière. Se marier requiert évidemment un coût pour les prétendants à une vie paisible en couple loin de toutes tentations et fornications, qu’Allah nous préserve ainsi que nos jeunes. Les ignorer n’est pas judicieux. Même avec la volonté de vivre une vie simple, en commençant par de modestes moyens, s’engager dans le mariage signifie, surtout pour les jeunes hommes, avoir la responsabilité de prendre soin d’une autre personne que soi. Ce n’est pas une aventure à prendre à la légère.
Garder en mémoire que le Rizq, la subsistance, ne provient que d’Allah Le Grand Pourvoyeur, et en avoir la certitude n’empêche pas de faire les causes pour préparer une situation stable favorable au mariage et ses exigences. La multiplication d’invocations sincères mais aussi finir ses études et rechercher activement un emploi et un logement font partie des causes à mettre en œuvre, avec l’aide d’Allah. C’est ce qu’englobe le terme de «man astata’a al baa minkoum» «(…)Et celui d’entre vous qui en a les capacités(…)» dans l’exégèse du hadith rapporté par Boukhari.
L’accord des parents.
Se voir refuser son choix, ou même l’idée de se marier par ses parents est un énorme handicap encore actuel auquel les jeunes sont plus souvent confrontés que l’on ne croit. Cela pose problème évidemment et rend difficile la voie vers le mariage, mais cela permet de rappeler l’importance du rôle des parents et des règles du mariage en islam pour que tout un chacun sache ce qu’il a à respecter.
1. Le Prophète, salla Allah ‘alayhi wa salam, a dit : «Pas de mariage sans tuteur» Rapporté par Ahmad. Les parents sont ceux qui connaissent et défendent le plus l’intérêt de leurs enfants. Respecter leur refus c’est respecter leur capacité à choisir ce qui peut convenir, et leur autorité sur nous. Cela induit notre devoir d’obéissance envers eux sauf en cas de contrainte. Car ils ne peuvent forcer à épouser quelqu’un que le ou la jeune ne désire pas.
2. Si par contre, la raison des parents évoquée pour refuser le mariage est d’ordre raciale, culturelle ou autre, cela n’est pas permis en islam.
«Et si un prétendant vous vient et que vous êtes satisfait de sa religion et de son comportement, mariez-le ( avec votre fille). Si vous ne le faites pas, il y aura une tentation sur terre et une grande corruption». Rapporté par Tirmidhi et Ibn Majah.
Et l’on peut avoir recours à une tierce personne de confiance pour leur faire entendre raison ou annuler un mariage forcé. Cela ne doit bien sûr être utilisé qu’en dernier recours. Et l’issue favorable que l’on espère à tous ne provient que d’Allah ta’ala.
La bonne personne à trouver.
Quand beaucoup préfèrent choisir leur promise et se plaignent de la lenteur à laquelle vont les choses, désespérant de la venue du jour où ils l’épouseront, certaines se lamentent de l’absence de prétendants, et d’autres encore de ne pas avoir trouver la bonne personne.
A vous tous, nous demandons : Avez-vous perdu de vue l’objectif premier de notre existence, adorer Allah sans rien lui associer. Ni votre propre discernement devant Sa Volonté, ni le désespoir inspiré par le Maudit ne fera bouger les choses en votre faveur.
C’est plutôt revenir à un attachement sincère aux prescriptions divines, fuyant les flèches que le diable maudit envoie dans vos cœurs, qui vous aidera à trouver la certitude qu’Il, Azza wa Jal, a un meilleur projet pour vous.
Nul impatience ou tristesse devant ce qui tarde à vous arriver ne vous facilitera la tâche. Se laisser mûrir, s’éduquer à ce qui nous attend comme responsabilités et préparer sa situation dans la positive attitude sont le comportement du musulman ou de la musulmane qui attend le meilleur à venir.
En résumé, quels sont les solutions au problème du mariage des jeunes ?
La confiance en La Volonté de notre Seigneur. Il connaît ce qui est caché et ce qui est apparent, et vous réserve une issue favorable à la condition d’y croire fermement et de vous attacher à Son Amour.
Le respect des prescriptions d’Allah. Aucun mariage ne peut se construire sur la base de ce que vos yeux ont choisi en transgressant les limites de la religion comme la mixité et les relations inspirées par Sheytan.
Multiplier les invocations pour demander Son Secours.
et les causes à renouveler sont le mode d’emploi qui vous manquent. Que ce soit si l’on n’a pas de moyens, ou pas trouver de personnes sérieuses à qui demander la main, l’issue favorable viendra si l’on joint le cœur, l’invocation du Très Haut à l’action.
Et parmi les causes, que l’on ne mentionne que peu souvent, il y a la demande d’aide aux proches comme les parents, la famille, les responsables de mosquées de confiance. En faisant renaître ce que signifie le mot solidaire, la Oumma sera actrice du bien-être et de l’équilibre de tous.
C’est en toute sincérité que l’on prie pour que tous ceux et toutes celles qui espèrent se marier, vivent heureux une fois le beau jour venu, car certes « A côté de la difficulté, est certes une facilité». Sourate Sharh, verset 5 et 6.
AJIB.FR
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La gravité de célébrer les anniversaires.
Fêter un anniversaire revient à ouvrir la porte à une nouvelle innovation, appelée en arabe « bidaa ».
Les seuls fêtes que le musulman doit célébrer sont la fête du sacrifice (‘Aïd el-Adhâ), ainsi que la fête de la rupture du jeûne du mois de Ramadan (‘Aïd el-Fitr).
Lorsque le Prophète Muhammad (sallAllahou ‘alayhi wa salam) est arrivé à Médine, il trouva ses habitants en célébration et les interrogea:
« Que sont donc ces deux jours ? » Les gens dirent: « Nous avions l’habitude de les célébrer durant la période de l’Ignorance. »
Le Prophète Muhammad (sallAllahou ‘alayhi wa salam) répliqua alors:
« Allah vous a donné en échange deux jours bien meilleurs que ces deux là, le jour de Ide oul Adha et le jour de Ide oul Fitr. » (Aboû Dâoûd).
Organiser un anniversaire pour se réunir, offrir des cadeaux, souffler des bougies et chanter un cantique est un rituels d’origine païenne qui mène le croyant à sa perte.
Les bougies étaient censées protéger des démons celui qui célébrait son anniversaire; on assurait ainsi sa sécurité pour l’année à venir. Jusqu’au IVe siècle, même les savants chrétiens ont rejeté la célébration des anniversaires, les considérant comme une coutume païenne.
Allah (soubhanou wa ta’ala) dit :
« Ne vous entraidez pas dans le péché et la transgression. Et craignez Allah, car Allah est, certes, dur en punition! » (Coran 5/2).
Le Prophète Muhammad (sallAllahou ‘alayhi wa salam) a aussi dit:
« La meilleure parole est le livre d’Allah, et le meilleur des guides est Muhammad. Les plus mauvaise des choses sont celles qui sont inventées et chaque innovation est un égarement. » (Mouslim et Nasa’i).
Fêter l’anniversaire du Prophète (sallAllahou ‘alayhi wa salam) est également une innovation. Il n’a jamais fait cela ou il n’a jamais ordonné à quelqu’un de de le faire pendant sa vie ou après sa mort. De même les sahabas et les califes bien guidés ne l’ont jamais pratiqué.
A ce sujet, Il disait:
« N’exagérer pas sur moi comme les chrétiens ont exagérés au sujet du fils de Maryam. Je suis seulement un serviteur ainsi dites : « serviteur d’Allah et son Messager. » (al-Boukhari).
De plus, ne pas fêter l’anniversaire d’un enfant ne doit pas être perçu comme une frustration. En effet, si on explique dés le plus jeune âge de l’enfant, que l’anniversaire ne fait pas partie de nos préceptes religieux, il se familiarisera vite à cette position adoptée par les parents. Mieux vaut profiter des deux fêtes islamiques pour offrir des cadeaux à nos enfants.
Si le parent veut souhaiter longue vie ou bonne santé à son enfant, il est préférable de le faire à travers des invocations auprès d’Allah (soubhanou wa ta’ala).
Le musulman a plus de mérites à se concentrer sur ses obligations envers Allah (soubhanou wa ta’ala), plutôt que de suivre le chemin épineux de la mécréance.
AJIB.FR
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France : La mosquée de Fréjus ne sera pas démolie comme le réclamait le maire FN.
La cour d’appel d’Aix-en-Provence a tranché mardi 21 mars 2017 : la mosquée de Fréjus ne sera pas démolie comme le réclamait le maire Front national David Rachline.
La cour d’appel n’a pas retenu les infractions relatives aux permis de conduire délivrés dans des conditions contestées. Les juges ont simplement estimé que la construction de la mosquée n’avait pas respecté les obligations du plan de protection des risques d’inondation (PPRI) et qu’il n’était pas nécessaire pour autant de détruire le lieu de culte musulman ouvert en janvier 2016.
En février 2016, la municipalité FN de la ville remet en cause le permis de construire de la mosquée sur le plan pénal. Le tribunal correctionnel de Draguignan condamne l’association El-Fath à 60 000 € d’amende pour avoir construit l’édifice religieux avec un permis périmé et au mépris de certaines dispositions sur les zones inondables.
Communiqué de la mosquée de Fréjus
Aujourd’hui, la Cour d’Appel d’Aix en Provence a rendu un arrêt extrêmement important qui, nous l’espérons, viendra conclure définitivement le volet pénal de ce dossier.
L’association El Fath et son président, M. Maaroufi ont été relaxé de la plupart des infractions qui leur avaient été reprochées.
En effet, les juges ont confirmé qu’aucune fraude n’a été commise par l’association dans l’obtention de ses permis de construire.
Les juges ont par ailleurs estimé que les permis n’étaient pas caduc contrairement au TGI de Draguignan en première instance, ou plus récemment, au Tribunal administratif de Toulon.
Seul un point a été retenu à l’encontre de l’association et de son président.
De façon surprenante, la Cour d’appel d’Aix en Provence estime qu’il n’existe pas de vide sanitaire. Or, nous savons tous que cela n’est pas le cas.
Nos avocats travaillent pour régulariser ce point.
De manière générale, l’arrêt de la Cour d’appel d’Aix en Provence reste un franc succès. Les amendes prononcées par le Tribunal de grande instance de Draguignan ont été divisées par trois.
Nous ne pouvons donc que nous féliciter de cette décision qui clôt une procédure pénale particulièrement à charge et durant laquelle le Maire FN de Fréjus David Rachline et le Maire LR de Saint-Raphaël Goreges Ginesta ont usé de tous les artifices juridiques pour faire condamner la Mosquée et obtenir sa démolition pour des raisons purement idéologiques et politiques.
Face à la commune de Fréjus et de Saint-Raphaël, nos avocats ont su faire avancer et respecter le Droit.
De son côté, l’association El Fath n’a pas « échappé » à la démolition comme l’indique la Presse, elle a fait face à ses responsabilités et mené cette bataille juridique et politique avec dignité et un grand sens des responsabilités.
C’est un grand jour pour toute la communauté musulmane et tous nos concitoyens attachés au Droit et aux libertés fondamentales.
Aussi nous remercions toutes celles et ceux, et ils sont nombreux, qui nous ont toujours témoigné leur soutien.
journaldumusulman.fr
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France : Double meurtre à Paris : le cri pour l’honneur de la mère de famille.
La vie de Khedija a basculé dans la tragédie, vendredi 17 mars, lorsque l’un de ses fils a tué son autre fils et son mari. Il a été hospitalisé en psychiatrie.
Au drame qui dévaste la famille s’est ajouté le déshonneur. C’est pour cela que Khedija veut prendre la parole. Son cri, vibrant de douleur, tient en ces mots : «Mon fils n’est pas un terroriste ! Ce n’est pas la vérité ! Il adorait son père, ses frères, sa famille… Il était en arrêt maladie à cause d’un harcèlement au travail. Il a une femme et deux enfants…»
Vendredi 17 mars, rue de Montreuil à Paris (XIe arrondissement), Ramzi, son aîné de 31 ans, est retrouvé prostré près des corps ensanglantés de son père et de son jeune frère. Ils ont été égorgés. Soupçonné d’être l’auteur de ce double homicide, Ramzi est interpellé. Son état n’est pas compatible avec une garde à vue. Dans l’après-midi, il est placé à l’infirmerie psychiatrique de la préfecture de police de Paris, où il était toujours hospitalisé dimanche. Depuis, Khedija est sans nouvelles. Dans l’appartement où se pressent amis et proches, elle a revêtu sa tenue de deuil. De son mari, Mohamed, 63 ans, chauffeur de taxi, et de Skander, 27 ans, «le plus jeune de mes fils», elle ne parvient à parler qu’au présent. «On n’y croit pas», soupire un ami.
Fiché S, une incompréhension pour ses proches.
Khedija ne pleure pas encore ses morts. Ce n’est pas d’eux qu’elle parle, mais de son aîné. Comme si elle ne réalisait pas. Elle se réfugie dans sa colère. Car très vite après le drame, des informations selon lesquelles son fils aurait fait l’objet d’un signalement par sa famille comme «radicalisé», ont circulé – et ce jusqu’en Tunisie, le pays d’origine des parents. «Ils mentent !», rétorque-t-elle, scandalisée.
journaldumusulman.fr
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France : Eclaboussé par un scandale, Bruno Le Roux démissionne du ministère de l’Intérieur.
Il n’aura pas tenu 24 heures après l’annonce d’un scandale. Le ministre de l’Intérieur a remis sa démission, mardi 21 mars, après l’ouverture d’une enquête préliminaire du parquet national financier (PNF), qui fait suite aux révélations de l’émission Quotidien sur les emplois de ses filles à l’Assemblée nationale entre 2009 et 2016. Or, ces dernières étaient âgées de 15 et 16 ans seulement lorsque leurs premiers contrats de travail auraient été signés.
L’enquête a été confiée à l’Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales. Bruno Le Roux a annoncé la nouvelle lors d’une conférence de presse à Bobigny, son fief en Seine-Saint-Denis dont il a été député de 1997 jusqu’à son entrée au gouvernement en décembre 2016.
« J’affirme mon honnêteté dans les rapports humains comme dans toutes mes actions politiques. Mais ma responsabilité est de préserver l’action gouvernementale. J’ai présenté ma démission au président de la République », s’est-il défendu.
L’Elysée a annoncé que Mathias Fekl, actuel secrétaire d’Etat chargé au Commerce, prendra la succession de Bruno Le Roux au poste de ministre de l’Intérieur chargé des Cultes pour le dernier mois du quinquennat de François Hollande.
saphirnews.com
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France : Débat pour la présidentielle : passe d’armes entre candidats sur la laïcité .
Benoît Hamon, Jean-Luc Mélenchon, Emmanuel Macron, François Fillon et Marine Le Pen. Cinq des 11 candidats à l’élection présidentielle ont participé, lundi 20 mars, au débat organisé par TF1. Parmi les thématiques passées au crible, celle sur la laïcité a créé un climat de tension sur le plateau, marqué par un clash entre Emmanuel Macron et Marine Le Pen.
Le débat s’est tendu lorsque la présidente du Front national a accusé Emmanuel Macron d’être pro-burkini. « Je n’ai pas besoin d’un ventriloque », lui a-t-il lancé, lui demandant de ne pas parler à sa place. « Ça n’a rien à voir avec la laïcité, ce n’est pas cultuel, c’est un sujet d’ordre public », a-t-il estimé, en indiquant avoir été favorable aux arrêtés anti-burkini.
Le candidat du mouvement En marche ! a accusé à son tour son interlocutrice de vouloir faire tomber les Français dans une embûche consistant à « diviser la société » en agitant à tout-va le drapeau de la laïcité, et de « faire des quatre millions de Français dont la religion est l’islam et qui ne sont, pour la très grande majorité, absolument pas dans le communautarisme (…) des ennemis de la République ».
De son côté, le candidat des Républicains, qui n’a pas attendu la première minute du débat pour évoquer la menace du « totalitarisme islamique », a préféré parler de « la montée de l’intégrisme qui menace la laïcité, le vivre ensemble et l’intégration de la religion musulmane dans la République », lançant une énième injonction aux musulmans à aider la France à lutter contre l’extrémisme.
« La laïcité n’a pas besoin qu’on en rajoute » et « ne doit pas servir de prétexte à (stigmatiser) les musulmans », a fait part Jean-Luc Mélenchon, candidat de La France insoumise, préférant ironisé sur la proposition de Marine Le Pen d’interdire les signes religieux dans l’espace public au nom supposé de la laïcité. « Vous ne pouvez pas aller jusqu’à établir une police du vêtement dans la rue. (…) Vous voulez interdire aux gens de porter les cheveux verts dans la rue ? ». Son rival socialiste Benoît Hamon a, quant à lui, rappelé que la laïcité doit demeurer une « condition du vivre ensemble ».
saphirnews.com
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France : Une mosquée des Hauts de Rouen cambriolée.
Le cambriolage s’est déroulé dimanche 19 mars entre 14h et 19h. Un ou des individus se seraient introduits dans la mosquée des Hauts de Rouen, en Seine-Maritime, en escaladant le portail, rapporte la presse locale.
Profitant du fait qu’elle n’était pas verrouillée, ils sont entrés dans le lieu de culte par la porte d’entrée. Plusieurs portes ont ensuite été forcées. Les brigands se sont notamment introduits dans le logement de l’imam et se sont emparés d’un ordinateur portable, d’un téléviseur, d’un téléphone et de plusieurs centaines d’euros en espèces.
La sûreté départemental enquête sur l’affaire qui, a priori, aurait un mobile uniquement crapuleux et non islamophobe.
saphirnews.com
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L’Arabie saoudite accrédite sa première femme guide touristique.
La richesse historique et patrimoniale de Médine, sa ville natale, n’a aucun secret pour Ayesha Khaja. En mêlant leurs pas aux siens, c’est un guide touristique affable, passionné et incollable que sont conviés à suivre les milliers de visiteurs qui convergent annuellement, tel un flot continu, vers la deuxième ville sainte de l’islam et la majesteuse Al-Masjid Al-Nabawi, la mosquée du Prophète (saws).
Nul besoin pour elle d’arborer une casquette de guide pour en avoir le talent et la légitimité. En effet, cette experte fraîchement certifiée en patrimoine islamique par le Centre de recherches et des études islamiques (ISRC) vient de graver son nom dans l’histoire de son pays, en sa qualité de première femme saoudienne habilitée à prendre en charge des groupes de touristes, dans le cadre de visites à thème qu’elle anime avec un bonheur renouvelé.
Après avoir évolué dans le domaine de l’éducation pendant 14 ans, où ses qualités de pédagogues ont fait merveille, Ayesha Khaja, titulaire d’un diplôme en langue anglaise, a choisi de s’orienter vers son secteur de prédilection et de vivre pleinement sa passion pour l’histoire du patrimoine culturel de sa ville.
Ayant travaillé d’arrache-pied pour obtenir le certificat délivré par l’ISRC, ce précieux sésame lui ouvrant les portes d’un avenir radieux en tant que guide-conférencière de la Commission saoudienne pour le tourisme et le patrimoine national (SCTH), la Médinoise se fait aujourd’hui la fervente avocate de la féminisation de cette profession auprès des autorités du royaume.
« Je demande à la commission (SCTH) de permettre à de plus en plus de femmes de devenir guides touristiques », plaide-t-elle sans relâche, comme elle l’a fait récemment dans un entretien à la Saudi Gazette. « Le nombre de touristes est en augmentation constante. Les saisons de tourisme durent désormais toute l’année, et non plus quelques semaines par an. Médine a une histoire tellement riche, c’est l’une des cités les plus visitées du royaume », a-t-elle souligné.
Avant de repartir pour de nouvelles excursions vers les Saintes mosquées et des sites d’exception, en se réjouissant à l’avance de la qualité des échanges qu’elle nouera avec les visiteurs issus des quatre coins du monde, forte de son sens inné de la communication et de sa parfaite maîtrise de la langue de Shakespeare, Ayesha Khaja a eu une dernière pensée pour ses concitoyennes désireuses de lui emboîter le pas : « Il y a un nombre croissant de femmes qui veulent être accréditées par la commission pour devenir guides touristiques. La commission serait bien inspirée de leur offrir une formation spécifique », appelle-t-elle de ses vœux.
oumma.com
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Israël, Palestine : les renoncements de François Hollande.
En 1967, après la guerre des six jours, le général de Gaulle mit brutalement fin à l’alliance stratégique franco-israélienne, un des axes majeurs de la diplomatie de la IVeRépublique. La France était le premier fournisseur d’équipements militaires d’Israël et l’avait aidé à obtenir l’arme nucléaire. Les deux pays s’étaient lancés de concert avec la Grande-Bretagne dans la catastrophique intervention de Suez de 1956. En mai 1967, avant le déclenchement de la guerre des six jours, de Gaulle déclare : « Si Israël est attaqué, nous ne le laisserons pas détruire, mais si vous attaquez, nous condamnerons votre initiative. ». Il prédisait une victoire militaire israélienne mais, du point de vue international, des « difficultés grandissantes ». Regrettant de ne pas avoir été entendu, il déclarait lors d’une conférence de presse en novembre 1967 : « Maintenant (Israël) organise sur des territoires qu’il a pris, l’occupation, qui ne peut aller sans agression, répression, expulsion et où s’y manifeste une résistance qu’à son tour, il qualifie de terroriste. »
De Gaulle avait opéré une rupture profonde de la politique française, contre l’avis de la majorité de la population française, à l’époque très pro-israélienne. Selon un sondage IFOP, réalisé les 5 et 6 juin 1967, 58% des Français éprouvaient de la sympathie pour Israël (contre 8% pour les pays arabes). Le président ne s’était bien sûr pas soucié des réactions du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF) ou d’autres associations communautaires.
En mars 1982, François Mitterrand, considéré comme l’ami d’Israël – qui avait en 1967 condamné la rupture de l’alliance franco-israélienne – déclare devant la Knesset (parlement israélien) que les Palestiniens doivent aller au bout de leur droit « ce qui peut, le moment venu, signifier un État ». Le discours est prononcé avant la guerre du Liban de l’été, qui contribuera à dégrader l’image d’Israël en France. François Mitterrand sauvera ensuite Yasser Arafat encerclé à Beyrouth en 1982, allant à l’encontre de l’opinion française et, plus encore, du Parti socialiste globalement pro-israélien. En 1988, il reçoit Yasser Arafat à Paris, visite durant laquelle ce dernier déclarera la charte de l’Organisation de libération de la Palestine (OLP) caduque. Le CRIF allait fortement protester contre la venue de celui qu’il considérait comme un terroriste, ce à quoi Mitterrand répliqua faire la politique de la France et non celle d’une communauté.
Le Premier ministre, Jacques Chirac, devant se rendre au dîner du CRIF, reçut le discours qu’entendait prononcer le président de l’organisation. Or, celui-ci contenait des passages très critiques de la diplomatie française, concernant le conflit israélo-palestinien. Jacques Chirac protesta et menaça de ne pas s’y rendre. Le président du CRIF accepta de modifier ses propos afin de les rendre moins abrasifs.
En février 2017, François Hollande, quant à lui, se rendait au dîner du CRIF – où, depuis Sarkozy, le président prononce son discours au lieu du Premier ministre[1]. Le ministre des Affaires étrangères, Jean-Marc Ayrault, n’y avait pas été invité, « puni » d’avoir organisé la conférence pour la paix au Proche-Orient à Paris, le 15 janvier 2017, sans que cela ne suscite aucun émoi, à l’Elysée comme au gouvernement.
À la lecture du discours du président français, on réalise que pour plaire à son auditoire, il reprend les arguments de ses hôtes. François Hollande s’est, en effet, félicité que la France soit le « seul pays à avoir une législation interdisant l’appel au boycott » tout en assurant « la faire appliquer ». Il assume donc qu’un mouvement de protestation non violent, issu de la société civile, soit interdit en France et nulle part ailleurs. De plus, la poursuite de la colonisation – qu’il a brièvement critiquée – ne provoque/provoquera aucune réaction française. Il a ensuite précisé que « (…) la solution ne sera jamais imposée par la communauté internationale, jamais. C’est aux Israéliens et aux Palestiniens qu’il reviendra de s’entendre sur chacune des questions du statut final et notamment sur celle de Jérusalem. » Il reprend donc mot pour mot l’argumentation israélienne et laisse le gouvernement Netanyahou décider seul, sans la moindre menace de pression extérieure, d’accepter ou non la paix. Or, au vu de la composition dudit gouvernement, comment penser qu’en promettant de s’abstenir de toute pression, il puisse avancer vers la paix ?
Dans une lettre adressée aux parlementaires qui lui demandaient de procéder à la reconnaissance de la Palestine, il renouvelle cet abandon en écrivant : « La France restera prête à prendre ses responsabilités si la voie de la négociation et l’objectif de l’État devaient être abandonnés ». Mais ils le sont depuis longtemps !
François Hollande n’a donc pas tenu sa promesse électorale de 2012 de reconnaitre l’État de Palestine. On aurait pu penser que la voie de la négociation ayant été vainement poussée à son maximum, le président français, qui ne se portait pas candidat à sa réélection, respecterait sa promesse de se (re)mettre en phase avec la politique étrangère de la Ve République et s’exprimerait, au nom de la France, en faveur du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes et du droit international.
François Hollande, non content de rompre ses engagements et ceux de la France, autrefois championne du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, défie notre intelligence.
oumma.com
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Le Maroc accueillera une «ville industrielle» chinoise.
Le Maroc a signé une convention avec le groupe chinois Haite pour l’édification d’une «ville industrielle» près de Tanger, dans le nord du pays. Elle accueillera quelque 200 entreprises chinoises et devrait créer des milliers d’emplois.
Au cours d’une cérémonie présidée par le roi du Maroc, le 20 mars au palais de Tanger, les autorités marocaines ont signé une convention avec le groupe Haite, basé à Chengdu, dans le centre de la Chine, et présenté les grandes lignes de cette future «Cité Mohammed VI Tanger Tech», selon un journaliste de l’AFP
Erigé sur 2 000 hectares et porté par la région Tanger-Tétouan-Al Hoceima, Haite et le groupe marocain BMCE Bank, ce vaste projet fait suite à un mémorandum d’entente signé en mai 2016 au cours d’une visite officielle de Mohammed VI à Pékin.
Mobilisant une enveloppe d’un milliard de dollars [930 millions d’euros], il consiste en «la construction d’un pôle économique capable de générer 100 000 emplois, dont un minimum de 90 000 emplois bénéficiera aux habitants de la région de Tanger», selon la présentation officielle.
«Les opérateurs économiques chinois sont à la recherche de plateformes compétitives. Et ils ont choisi le Maroc comme l’une de ces plateformes», s’est réjoui dans une déclaration à l’AFP le ministre de l’Industrie Moulay Hafid El Alamy. «Le premier coup de pioche sera donné durant le deuxième semestre de 2017» et l’édification de cette cité chinoise devrait durer dix ans, a-t-il ajouté.
Selon la présentation officielle, la «Cité Mohammed VI Tanger Tech» accueillera 200 entreprises chinoises des secteurs de la construction automobile, de l’industrie aéronautique ou encore du textile. «L’investissement total des entreprises dans la zone après dix ans atteindra dix milliards de dollars (9,3 milliards d’euros)», a annoncé Li Biao, président du groupe chinois, cité par l’agence de presse officielle marocaine MAP.
Le Maroc mène ces dernières années une politique d’industrialisation dynamique, notamment autour de Tanger, ville d’un million d’habitants qui abrite aujourd’hui plusieurs parcs industriels. Le secteur automobile y est particulièrement développé, notamment depuis l’implantation sur une zone franche d’une usine Renault, la plus grande d’Afrique. En septembre dernier, l’américain Boeing avait annoncé la création d’une zone industrielle spécialisée pour ses sous-traitants, dans la même région.
Porte du Maroc vers l’Europe, l’Atlantique et la Méditerranée, Tanger se veut un hub industriel depuis la création d’une zone franche et d’un port en eaux profondes.
Africa24.info
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Kim Jong-Un s’engage à réduire en “cendres” les USA avec des frappes nucléaires si Trump tire “même une seule balle” à la Corée du Nord.
Kim Jong-Un a menacé de réduire les États-Unis «en cendres» avec des armes nucléaires si les Américains tire «même une seule balle» à la Corée du Nord.
Pyongyang a déclaré qu’il utiliserait ses «fusées Hwasong invincibles incliné avec des ogives nucléaires» pour défendre son territoire alors que les tensions avec la Corée du Sud continuaient de s’aggraver.
Séoul a insisté sur le dernier test de la Corée du Nord d’un moteur de fusée , une étape dangereuse vers son objectif de développer une fusée qui pourrait frapper les États-Unis.
La déclaration, de Kim Jong-Un , a été publié plus tôt ce mois-ci avant les derniers tests.
«L’Armée populaire coréenne réduira les bases de l’agression et de la provocation en cendres avec ses fusées Hwasong invincibles dotées d’ogives nucléaires et défendra de façon fiable la sécurité du pays et le bonheur de son peuple au cas où les forces américaines et sud-coréenne tire même une seule balle sur le territoire de la RDPK.
Africa24.info
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La surdouée camerounaise Stéphanie Mbida entre à l’université aux USA à l’âge de 11 ans.
La jeune Stéphanie Mbida, actuellement âgée de 16 ans est une surdouée. Elle a été révélée aux africains il y a quelques temps à travers quelques articles parus dans la presse internationale. Stéphanie, américaine d’origine camerounaise, vit à New York avec ses parents camerounais et a à son jeune age, un parcours hors du commun. Parcours qu’elle résume elle-même ci-dessous dans une récente interview publiée dans les quotidiens camerounais:
Je viens tout juste de fêter mon seizième anniversaire. Je pourrais être qualifiée de précoce. A quatre ans, je connaissais déjà toutes les tables de multiplication et à l’âge de six ans, je lisais, résumais et interprétais les œuvres et essais philosophiques d’auteurs tels que Voltaire, Victor Hugo, Charles Dickens, ou encore Emerson. J’ai passé mon premier examen d’entrée à l’université (le Sat II Us History) à l’âge de onze ans avec un score de 780 points sur un total maximum de 800, surpassant de loin 96% de tous les candidats aux Etats-Unis qui avaient en moyenne l’âge de dix-sept ans. Présidents Bush et Clinton m’ont félicité pour cette performance. J’ai entre-temps passé deux autres examens avec des résultats comparables l’année suivante, à l’âge de douze ans. Au début de cette année, j’ai été invitée dans 5 pays différents (Etats-Unis, France, Royaume Uni, Allemagne, Irlande) par les chanceliers de 10 des universités les plus prestigieuses et sélectives du monde à aller étudier dans leur établissement, en l’occurrence l’université de Cambridge au Royaume Uni, l’université de Dublin, la Sorbonne (Paris 1er), l’université technique de Munich, la Columbia University à New York, l’université de Boston, l’université de North Carolina Chapel Hill, Georgia Tech, l’université de Wisconsin-Madison, et la Nortwestern University.
Elle a aussi correspondu avec 190 leaders des pays les plus développés, parmi lesquels 25 chefs d’état et de gouvernement à l’instar des Présidents Bill Clinton, George W. Bush et Barack Obama, du Pape Benoît XVI, de la reine d’Angleterre Elizabeth II, 16 ministres de l’éducation, 103 PDG des plus grandes compagnies du monde, et bien d’autres.
J’ai en effet correspondu avec un total de 190 des plus grands dirigeants de ce monde dans les domaines de la politique, de l’éducation et de l’industrie. En fait, j’ai échangé ma première correspondance avec un président à l’âge de huit ans. Cependant, la majorité de ces échanges de correspondances datent des années 2009 et 2010 et portent sur les observations et recommandations que j’ai faites à ces dirigeants concernant la crise économique mondiale et les catastrophes industrielles de grande envergure, telles que la marée noire de BP ou encore les rappels massifs de produits défectueux qui non seulement mettent les vies d’un grand nombre de personnes en danger et déstabilisent les entreprises qui les produisent, mais affaiblissent aussi considérablement le système financier international. Tous ces dirigeants m’ont répondu qu’ils avaient énormément apprécié mes conseils et m’ont promis qu’ils feraient de leur mieux pour les mettre en pratique.
Et ensuite:
J’ai reçu des lettres de 25 présidents, chefs d’Etat et de gouvernements tels que le Président Obama, le Pape Benoît XVI, la Reine Elizabeth II d’Angleterre, la Présidente Tarja Halonen de Finlande, les Premiers ministres d’Espagne et d’Australie, la Chancelière allemande Mme Angela Merkel, et bien d’autres. J’ai également reçu des lettres de 16 ministres de l’Education de pays comme la Suisse , les Pays-Bas, le Royaume Uni, le Danemark, Singapour, Taiwan, ou encore l’Espagne. J’ai suggéré à ces ministres de réviser le curriculum de leurs universités et de leurs établissements d’enseignement secondaires. Je leur ai également proposé des méthodes pratiques afin de réadapter ces curricula aux problèmes du vingt-et-unième siècle. De plus, 103 Présidents-Directeurs-Généraux des plus grandes entreprises mondiales et 41 chanceliers des universités les plus sélectives et prestigieuses du monde m’ont eux aussi remercié pour mes conseils.
Clinton m’a dit qu’il était très impressionné par le caractère unique de mes idées et par ma détermination d’améliorer la qualité de vie des êtres humains aux Etats-Unis et dans le reste du monde. Il m’a d’ailleurs écrit deux autres lettres après celle-là.
Meme Paul Wolfowitz, Président de la banque mondiale, n’a pas résisté à l’idée de recevoir la jeune fille dans ses bureaux de Washington DC, aux Etats Unis:
C’était une expérience chaleureuse et inoubliable, un des événements les plus marquants de ma vie. M. Wolfowitz m’a fait l’honneur inestimable de m’accorder un entretien entre deux meetings extrêmement importants, alors que je n’avais que dix ans, en signe d’appréciation pour les conseils que je lui ai donnés sur la réduction de la pauvreté de masse et ses corollaires. Je lui en serai éternellement reconnaissante.
Africa24.info
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####### Aujourd’hui en Palestine #######
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Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
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L’occupation a arrêté Omar Barghouti, l’un des fondateurs du mouvement BDS
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Pour la 3ème semaine de Mars .. 7 opérations de commando et un palestinien tué
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L’occupation arrête un jeune Palestinien à un poste de contrôle militaire
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Le parlement britannique acquitte la baronne Tonge d’antisémitisme
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Sit-in à Gaza en solidarité avec Rima Khalaf et condamnant le retrait du rapport de la CESAO
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Nombreux palestiniens arrêtés dont le député al-Tal en Cisjordanie
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Les soldats israéliens répriment les chauffeurs palestiniens à Tulkarem
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La e-campagne « Mère des Héros » débutera sur les réseaux sociaux
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Jihad islamique dément la tentative d’assassinat contre Shallah
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Centre juridique:11 députés palestiniens incarcérés dans les geôles de l’occupation
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Israël organise des festivités sacrilèges en plein lieu saint
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L’expansion illégale d’une colonie sauvage va bon train à Erka
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Une agricultrice renversée par une jeep israélienne
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Un officier palestinien meurt dans les prisons égyptiennes
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L’Egypte ouvre le passage de Rafah pour rapatrier deux corps de Palestiniens
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Le Hamas condamne la position de Washington sur la situation des droits de l’homme en Palestine
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Le Centre Palestinien D'Information