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Flash info du 13 Joumada al Awwal 1439.

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AJIB.FRkatibin.frjournaldumusulman.frislametinfo.fr
saphirnews.comoumma.comdesdomesetdesminarets.frC P I, Centre Palestinien D'Information
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Sur Ajib.fr, voici les titres.

Vidéo : la générosité des turcs vis-à-vis des réfugiés Syriens.
La Turquie a ouvert ses frontières à près de trois millions de réfugiés Syriens qui ont fui les affres de la guerre. Contrairement à l’Europe qui déplore l’afflux de migrants et ne cesse de multiplier les mesures de répression à leur égard, la Turquie est l’un des pays à accueillir le plus de réfugiés Syriens avec le Liban et la Jordanie.
Etrangement ces pays ne se plaignent pas, bien au contraire. Le gouvernement turc a installé des camps pour les migrants qu’il gère totalement, les réfugiés sont tous enregistrés et chacun reçoit une aide financière et une carte de paiement qui lui permet de faire des achats.
Des écoles et des centres de santé ont également été aménagés pour le bien-être des réfugiés. Plusieurs enfants de parents Syriens sont nés dans ces camps qui se sont transformés peu à peu en véritable foyer pour ces personnes qui ont tout perdu durant leur fuite. D’ailleurs, ils se sont intégrés à la population turque et ont fini par quitter les camps pour aller travailler dans les villes.
Une image qui contraste avec la vie des migrants en Europe qui sont quotidiennement chassés ou molestés par la police. Dans cette vidéo qui circule actuellement sur le net, on voit un policier turc acheter une paire de chaussures pour l’offrir à un réfugié Syrien.
Après s’être rendu compte que le Syrien, atteint d’un handicap, vivait dans la rue et portait pour seules chaussures, des claquettes en plein hiver, le fonctionnaire de police au grand cœur lui a offert une bonne paire de chaussures pour réchauffer ses pieds.
Son geste lui semblant encore insuffisant, il lui a aussi offert un repas qu’il a pris en sa compagnie.
Cette belle histoire se passe dans la ville de Sanliurfa au sud-est de la Turquie, elle met en évidence la générosité des musulmans qu’ils soient policiers ou simples citoyens.
reportage a voir sur Ajib.fr,.

Sur Katibin.fr, rien de neuf.

Sur journal du musulman.fr, rien de neuf.

Sur islam et info.fr, rien de neuf.

Sur saphirnews.com, voici les titres.

Vidéos islamophobes : Donald Trump prêt à s’excuser mais ne le fait pas vraiment.
Donald Trump s’est dit prêt à présenter ses excuses pour ses retweets de vidéos islamophobes en novembre 2017, au cours d’une interview à la chaîne britannique ITV diffusée dimanche 28 janvier et enregistrée trois jours plus tôt en marge du Forum économique mondial de Davos.
Le président américain a assuré face à l’intervieweur Piers Morgan
qu’il ne connaissait pas Britain First, le parti d’extrême droite britannique dont Jayda Fransen, auteure des tweets, est la vice-présidente. Il va jusqu’à affirmer qu’il est « la personne la moins raciste que l’on puisse rencontrer ».
« Si vous me dites que ce sont des gens horribles, des gens racistes, je m’excuserai certainement si vous souhaitez que je le fasse », a déclaré le président américain. Des excuses formelles n’ont pas été faites pour autant lors de l’interview.
Il s’agit pour Donald Trump de sa première interview télévisée accordée à une chaîne étrangère. Piers Morgan, animateur de l’émission matinale Good Morning Britain depuis 2015, est aussi le gagnant de la saison 7 de l’émission américaine The Apprentice en 2008 présentée à l’époque par… Donald Trump.

Sur oumma.com, voici les titres.

La fille du prince Al-Walid ben Talal annonce la libération de son père sur Twitter.
C’est une princesse soulagée et laissant éclater sa joie qui a annoncé dimanche, sur Twitter, la libération de son père bien-aimé, à qui elle voue une admiration sans bornes : le richissime prince Al-Walid ben Talal, enfermé pendant trois mois dans une cage dorée, celle de l’hôtel Ritz Carlton de Riyad, sur ordre du tout-puissant Mohammed ben Salman, le grand réformateur et Monsieur propre saoudien.
Aucune fille ne pouvait être plus heureuse de la remise en liberté de son milliardaire de père, d’autant plus que ce dernier, accusé de corruption comme des dizaines d’autres éminents saoudiens et mis derrière les barreaux d’un palace où, d’ordinaire, tout n’est que luxe, calme et volupté, a été relâché « sans charges ».
« Tu as illuminé le monde, tu es mon monde », a écrit Reem bin Alwaleed en postant une photo montrant un Al-Walid ben Talal visiblement fatigué. Il n’aura pas fallu attendre longtemps avant que son tweet devienne viral et recueille un nombre impressionnant de « Al Hamdoulilah » sur les réseaux sociaux en plein émoi.
Pris dans les filets de la purge spectaculaire orchestrée, en novembre dernier, par MBS, l’omnipotent prince héritier du royaume wahhabite, le nabab saoudien avait déclaré, quelques heures avant sa libération, à Katie Paul, une correspondante de Reuters en Arabie saoudite, que cette vague d’arrestations dans les hautes sphères n’était qu’un « malentendu » le concernant.
« Soyez assurés qu’il s’agit d’une opération de transparence et que nous sommes en discussion avec le gouvernement sur diverses questions que je ne peux pas divulguer en ce moment. La fin de ce mauvais épisode est proche. Je suis très à l’aise parce que je suis dans mon pays, je suis dans ma ville, donc je me sens à la maison. Il n’y a pas de problème du tout », avait-il insisté.
En décembre dernier, le procureur général du Royaume, Saud al-Mojeb, indiquait pour sa part que « la plupart des détenus, confrontés à des accusations de corruption par le comité, ont accepté un accord. Les arrangements nécessaires sont en cours pour conclure de tels accords ».
Trois acteurs indiens musulmans ont boycotté la venue de Netanyahou à New Delhi.
Premier chef de gouvernement israélien à fouler le sol de l’Inde depuis 2003, Benyamin Netanyahou ne pouvait pas rêver plus belle escale sur le tapis rouge déroulé sous ses pieds et meilleur accueil de la part de son homologue indien, le très chaleureux Narendra Modi, visiblement conquis d’avance par son ami ultra-sioniste…
Riches en accolades cordiales, l’idylle israélo-indienne, ébauchée durant ces dernières années, s’est consolidée le 14 janvier dernier, à la faveur des accords signés sur le pétrole, le gaz, l’énergie renouvelable et la cybersécurité, sans oublier des engagements visant à stimuler le commerce bilatéral et l’investissement.
Depuis que le parti nationaliste hindou Bharatiya Janata a accédé au pouvoir en 2014, l’Inde s’est lancée dans un vaste programme de modernisation militaire d’une valeur de plus de 100 milliards de dollars dont Israël, son marchand de canons préféré, tire de larges profits. De quoi nouer de solides amitiés…
Le temps où New Delhi se rangeait du côté de l’injustice et de l’opprimé, en défendant inconditionnellement la cause palestinienne, semble désormais appartenir au passé, mais pas pour trois célèbres acteurs indiens de confession musulmane qui se sont chargés de jouer les trouble-fête en le faisant renaître de ses cendres.
Grands absents de la soirée de gala organisée par Bollywood, en l’honneur du criminel de guerre israélien et de son épouse, Shah Rukh Khan, Aamir Khan et Salman Khan ont boycotté les festivités de toutes les compromissions en solidarité avec le peuple palestinien.
Salués en héros sur les réseaux sociaux, ils n’étaient pas encore au bout de leur stupeur ou désillusion, lorsqu’il ont appris que leur Premier ministre, Narenda Modi, après avoir multiplié les ronds de jambe auprès de Netanyahou et été le premier dirigeant indien à se rendre en Israël en juillet dernier, est attendu avec impatience en Cisjordanie le 10 février prochain, dans le cadre d’une visite qualifiée « d’historique » par l’Autorité palestinienne.
« C’est le premier Premier ministre indien à visiter les territoires palestiniens et cela va être historique », s’est enthousiasmé Majdi Khaldi, un conseiller du président Mahmoud Abbas, qui se réjouit manifestement du vaste jeu dupes qui se trame dans la région…
Incroyable ! Trump l’affirme : “J’aime les musulmans et les musulmans m’aiment”.
Ne vous y trompez pas ! Quand l’incendiaire président des Etats-Unis livre à la vindicte les musulmans à toutes les tribunes, en fait des êtres indésirables sur le sol américain en paroles et en actes, et, avec l’inconséquence qui le caractérise, retweete frénétiquement trois vidéos islamophobes, hautement inflammables, postées par la furie Jayden Fransen, la vice-présidente de Britain First, le parti d’extrême droite britannique, il ne faut pas y voir la manifestation de son aversion pour l’islam ou pour la communauté musulmane. Non, pas du tout !
Il faut au contraire y déceler avec un regard perçant (un véritable œil de lynx…), et un sens du discernement particulièrement aiguisé, son « amour pour les musulmans », ainsi qu’il l’a affirmé sans craindre de se couvrir de ridicule à Piers Morgan, le journaliste vedette de la chaîne ITV, qui réveille tous les matins les spectateurs anglais au son de son sonore « Good Mornig Britain ».
C’est peu dire que Donald Trump cache bien son jeu, car il faut faire preuve d’une sacrée sagacité pour discerner, derrière ses violents coups de boutoir et son décret anti-immigration très ciblé, le « respect et l’amour » qu’il assure porter à ceux qu’il adore détester… Une bienveillance qui a même échappé à Theresa May, la Première ministre britannique, laquelle avait blâmé ses retweets délétères en novembre dernier, les jugeant indignes de la fonction suprême qu’il s’évertue à désacraliser.
Il vaudrait mieux être sourd que de l’entendre divaguer davantage, notamment lorsqu’il a prétendu « avoir été soutenu par les musulmans pendant sa campagne présidentielle » et est persuadé qu’il compte de « nombreux sympathisants parmi eux » aujourd’hui, car avec lui « ils se sentent en sécurité ».
On savait son cynisme sans nom, d’aucuns le traitant « d’instable, immature, inculte et colérique », à l’image du journaliste américain Michael Wolff, mais n’est-ce pas plus grave docteur ? Trump, grisé par l’ivresse des cimes dans sa « Maison des fous » à Washington, selon la description peu flatteuse qu’en a faite Wolff, n’aurait-il pas totalement perdu pied avec la réalité ?!

Sur Mizane.info, rien de neuf.

Sur des domes et des minarets.fr, voici les titres.

France : Une mosquée de la région bordelaise recouverte de tags pro-PKK.
Les profanations des mosquées appartenant à la communauté turque se multiplient en Europe depuis le début de l’offensive turque contre les groupes terroristes au nord de la Syrie. Dernière en date, la nuit dernière dans la région bordelaise à Latresne où un local servant de salle de prière pour la section locale de la Confédération Islamique du Millî Görüş a été tagué.
La porte d’entrée ainsi que la principale façade de la salle de prière sise allée du Bastard ont été recouvertes de tags peints à la bombe sur plusieurs mètres. Des slogans à la gloure du PKK (Parti des Travailleurs du Kurdistan), de l’YPG et de Afrin où se déroule actuellement l’offensive turque contre ces mêmes groupes considérés comme terroristes.

Sur tribune lecteurs.com, le journal d’algérie, voici les titres.

Ouyahia invite les membres de l’UA à une conférence pour porter plus loin l’action antiterroriste : L’Algérie veut en tarir les sources de financement.
Les chefs d’Etat ou, de gouvernement africains tiennent depuis hier, leur 30ème session ordinaire de la Conférence des chefs d’Etat et de Gouvernement de l’Union africaine (UA) dans la capitale éthiopienne Addis Abeba. Hormis les questions diplomatiques, l’Afrique est attendue sur la question sécuritaire. Un des points clé de ce sommet que l’Algérie abordera avec la proposition d’accueillir en Mars prochain, une conférence africaine sur le tarissement des nombreuses sources de financement du terrorisme. Le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, représentant du président de la république a porté à Adis Abeba la disponibilité algérienne d’accueillir les africains autour d’une rencontre qui permette de » porter plus loin l’action » anti- terroriste, un engagement effectif de l’Algérie pour réussir le retour de la paix et le recouvrement de la stabilité dans certaines régions d’Afrique très éprouvées par les différentes formes que prend la violence comme le terrorisme, l’extrémisme et la prise d’otage. » Mon pays est disposé à accueillir, au mois de mars prochain, une conférence africaine sur le sujet « , a indiqué M. Ouyahia dans son intervention à la réunion du Conseil de paix et de sécurité de l’Union africaine (UA) au niveau des chefs d’Etat et de gouvernement. Il s’agira, de » mobiliser » l’ensemble de la communauté internationale à travers l’élaboration, par les Nations Unies, » d’un protocole complémentaire à la Convention Internationale pour la répression du terrorisme de 1999 ou à la Convention internationale contre la prise d’otages de 1983 « . Un document élaboré par l’Algérie sera présenté aujourd’hui en plénière, il porte sur les moyens de prévention la prévention et la lutte contre le terrorisme et l’extrémisme violent en Afrique. Ce document est conçu dans le cadre du mandat confié au président de la République, Abdelaziz Bouteflika, désigné par ses pairs en 2017 comme coordonnateur de l’UA dans la prévention et la lutte contre le terrorisme et l’extrémisme violent en Afrique.
Commémoration de l’assassinat de Abdelhak Ben Hamouda : Une perte inestimable pour l’UGTA et les travailleurs.
Le 27 janvier 1997, fut un jour noir dans l’histoire du syndicalisme national algérien. En effet l’un des leaders du mouvement syndicaliste national Abdelhak Benhamouda fut assassiné dans des circonstances épouvantables, puisque il est tombé sur les balles assassines d’un groupe terroriste. Pour ne pas oublier cette figure emblématique, hier au siège de la centrale syndicale, sis à la place du 1er Mai, un vibrant hommage lui a été rendu en présence de quelques ministres en l’occurrence M. Abdelghani Zaalane, ministre des transports, M. Mourad Zemali , le ministre du travail , de l’emploi et de la sécurité sociale, le Secrétaire général du FLN Ouled Abbes ainsi que les travailleurs et les syndicalistes. La commémoration de cet anniversaire, a été l’occasion pour le secrétariat national de l’UGTA, les syndicalistes et les travailleurs de se rappeler le riche parcours de ce syndicaliste, martyr du devoir et de la démocratie. De son côté, le secrétaire général de l’UGTA, Abdelmadjid Sidi Said a mis en avant les qualités du feu Abdelhak Benhamouda en le qualifiant de militant, et une personnalité de valeur tout en précisant que sa vision et son approche syndicales répondaient aux attentes de tous les travailleurs et syndicalistes. Evoquant les rumeurs sur sa maladie, le SG de l’UGTA a indiqué : » Je ne veux pas répondre à ces personnes. Ces rumeurs ne servent pas l’intérêt du pays. Je tiens à préciser que je me porte bien. » Par ailleurs, il a fait savoir qu’entant que syndicalistes ils ont le devoir de défendre les acquis du pays, et ceux des travailleurs. M. Abdelamadjid Sidi Said a laissé entendre que la grande alliance avec le président de la République génère la stabilité sociale, selon lui, c’est la base de l’unité nationale. Le même interlocuteur a évoqué la nouvelle culture liant la présidence, les patronats et les syndicalistes qui est le fruit de la fusion entre le public et le privé. » Cette culture vise à booster et promouvoir l’économie nationale » a-t-il ajouté. Au sujet, de la grève des médecins résidents, le SG de l’UGTA a appelé à l’ouverture du dialogue entre la tutelle et les grévistes en précisant que le règlement de toutes les préoccupations des travailleurs doit passer par le dialogue en soulignant que la violence n’est pas la meilleure solution. M. Abdelmadjid Sidi Said a annoncé l’hommage qui sera rendu à la femme travailleuse et syndicaliste à Oran le 24 février prochain. Pour sa part, Takdjout Amar, membre de la direction de l’UGTA, a évoqué la décennie noire et les pertes engendrées durant cette période. Il a également appelé à la nécessité de préserver l’unité nationale et ses acquis. » Il faut préserver la République et les droits des travailleurs » a-t-il conclu. Secrétaire général de l’UGTA de 1990 à 1997, Benhamouda est né le 12 décembre 1946 dans une famille modeste à Constantine. Après ses études, il exerça le métier d’enseignant pour devenir directeur d’école.
Liste des produits interdits d’importation : Une simple mesure temporaire.
La suspension des produits à l’importation sera levée dans deux ou trois ans pour être remplacée par un dispositif d’encadrement du commerce extérieur basé essentiellement sur les tarifs douaniers, a affirmé dimanche le ministre du Commerce, Mohamed Benmeradi. « Le dispositif de suspension de 851 produits à l’importation a un caractère temporaire (…), probablement pour deux ans, trois ans peut-être, mais nous reviendrons à la levée de ces mesures », a précisé le même responsable qui s’exprimait sur les ondes de la radio nationale. Il a également avancé que les marchandises concernées par la suspension à l’importation feraient l’objet d’un suivi permanent durant la période de la suspension. A ce propos, il a expliqué que la suspension des importations vise fondamentalement à redresser la balance commerciale qui demeure déficitaire et à promouvoir la production nationale : « J’ai entendu dire par ici ou par là que nous voulions priver les Algériens de consommer ce qu’ils veulent. Non, ce n’est pas du tout ça l’objectif (…) Il faut arriver à tout prix à assurer progressivement une intégration de tout ce qui se produit localement pour faire de la substitution à l’importation ». Pour lui, il s’agit d’un « choc » à provoquer dans l’économie nationale où l’ensemble des filières hors hydrocarbures présentent une balance commerciale déficitaire. Citant l’exemple de la filière boissons qui a importé entre 400 et 450 millions de dollars en 2017 contre 12 millions de dollars d’exportations, M. Benmeradi a souligné que le gel des importations visait à assurer les intrants de la production nationale au niveau local en donnant aux entreprises nationales l’opportunité d’émerger. « Les investissement consentis en Algérie depuis des années tournent seulement entre 20% et 25% de leurs capacités du fait que les entreprises, qui interviennent en aval, ne recourent souvent pas aux produits (fabriqués localement) », a-t-il constaté.
Solde d’hiver : » Glacial » accueil.
Les soldes d’hiver de cette année 2018 ont été lancées mercredi 18 janvier. Du côté du centre commercial et de loisir de Bab Ezzouar, c’est le grand rush. Les clients viennent des quatre coins du pays. Bien qu’une foule soit massée devant les caisses des magasins, les gérants se montrent très » réservés » sur le succès des soldes. Au niveau du centre commercial City Center. Il est 10h du matin. Chez les grandes marques, les soldes ont été préparées une semaine à l’avance et tout le monde travaille d’arrache- pied. Les premiers clients affluent déjà dans le hall, plusieurs sacs à la main. C’est le cas de Khadidja que nous avions rencontrée à Bab Ezzouar, elle a acheté plusieurs articles d’une enseigne turque. Pour lui, » il n y a pas vraiment de soldes, les prix sont les mêmes » mais » je devais acheter pour mes enfants, donc je les fait « , explique- t-il. Un peu plus loin, on rencontre in père de famille qui attend que ses deux filles terminent leurs achats chez un magasin d’habillement pour femmes. Pour lui, il est plus intéressant de faire des emplettes pendant les soldes. Pour un budget de 10.000 dinars » Ma fille est venue acheter un pantalon et des pulls. Tout est cher en ce moment, donc ça vaut le coup d’acheter pendant les soldes « . De son côté, Amina espère revenir avec des articles bien précis. Au dernier étage, la gente féminine semble trouver son bonheur chez d’autres marques. » Les soldes de cette année se déroulent mieux que celles de l’année dernière » nous confie Sara, assistantemanager dans une boutique. C’est le troisième jour des soldes et leur objectif à court terme est déjà atteint. » Malgré l’austérité annoncée pour cette année, beaucoup de personnes sont venues faire leurs achats chez nous. Il y a un monde fou, nous n’avons pas eu une minute de répit » lâchet- elle. Au niveau du centre commercial de Bab Ezzouar, la présence de plusieurs marques a fait de ce lieu une destination privilégiée. L’ensemble des échoppes sont prises d’assaut par des clients à l’affût de la moindre bonne occasion.
Musée de l’Homme de Paris : La restitution des crânes enclenchée.
Le dossier des crânes de résistants algériens, dont le chérif Boubaghla, mais également de simples Algériens, envoyés par l’armée coloniale française et conservés au Muséum d’histoire naturelle de Paris, comme reliques historiques et trophées de guerre, va enfin connaître son dénouement. Après bien des hésitations, des réticences, la France va restituer, entre autres, les restes de résistants, tués et décapités par l’armée coloniale, entre 1850 et 1864. La demande sur la restitution des crânes, elle a été cosignée par le ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel, et le ministre des Moudjahidine, Tayeb Zitouni, alors que celle concernant les archives a été signée par M. Messahel. Tous les éléments du dossier étant « prêts », le président français Emmanuel Macron devrait accélérer la procédure en envoyant un texte de loi à l’Assemblée nationale française. L’Algérie avait, à la suite de cet engagement du chef de l’Etat français, fait une demande officielle de restitution des crânes de ses résistants. Hier samedi, une nouvelle porte s’est ouverte pour clore définitivement ce dossier, avec les déclarations du président du Muséum national d’histoire naturelle de Paris, Bruno David, qui a affirmé que (le Muséum) se tient « prêt pour accompagner le processus de restitution » des crânes de combattants algériens tués lors de la colonisation de leur pays par la France au XIXe siècle et conservés dans ses collections, affirme-t-il. « Pour notre part, nous sommes prêts. Nous attendons les instructions du gouvernement », a-t-il ajouté. Après la visite de Macron à Alger, « un dialogue bilatéral a été engagé depuis sur ce sujet », a précisé de son côté vendredi le ministère de l’Europe et des Affaires étrangères. « Nous comprenons parfaitement la nécessité de ces restitutions, étant donné le contexte historique », déclare Bruno David, selon lequel « ces restes humains sont entrés dans nos collections d’anthropologie à la fin du XIXe siècle à la suite de différents épisodes liés à la conquête française de l’Algérie ». Sur les 18.000 crânes du monde entier (dont celui du philosophe Descartes) conservés au musée, « une liste de 41 crânes identifiés provenant d’Algérie » a été « transmise à l’Elysée », explique par ailleurs Bruno David, selon lequel il y a parmi eux, « à la fois des résistants, des Algériens ayant combattu avec les Français mais aussi possiblement des « droits communs ». « Pour le moment, nous avons pu établir que sept crânes sont, de manière indubitable, ceux de résistants algériens », indique M. David.

Sur le muslim post.com, voici les titres.

Emmanuel Macron lance sa police : réel besoin ou coup de communication ?
En octobre dernier, Emmanuel Macron, devant des centaines de hauts responsables de la police et de la gendarmerie, défendait sa future « police de sécurité du quotidien. » Rien à voir avec la police de proximité de Lionel Jospin, assurait alors le président de la République, qui voulait que les agents soient « au plus près des habitants. »
Quatre mois après son grand discours sur la sécurité, Emmanuel Macron siffle le début de l’expérimentation. Cette police de sécurité au quotidien (PSQ) sera, comme annoncé, à l’œuvre dans une vingtaine de sites pilotes. Le projet a pris beaucoup de retard, puisqu’il devait initialement être lancé en fin d’année dernière. Mais le test commencera finalement ce 1er février.
« Une PSQ à effectif et budget constants est une PSQ qui n’est pas viable à long terme »
Cette nouvelle police va-t-elle révolutionner les choses ? A priori non, puisque, en réalité, il n’y a pas de création d’un nouveau corps de police. Il s’agira plutôt, indiquent les proches du président, d’une nouvelle façon de travailler pour les services existants. « Ce n’est pas seulement en période de crise que la population doit être fière de sa police, c’est tous les jours », expliquait Macron en octobre. C’est finalement le principal objectif de ce projet : rapprocher la population de sa police.
Concrètement, les policiers concernés devraient prendre plus de temps pour aller sur le terrain. Reste cependant un problème : si aujourd’hui les policiers sont si peu sur le terrain, c’est parce qu’ils sont occupés à des tâches administratives. La PSQ, sans budget supplémentaire alloué, ne servira pas à grand-chose. « Une PSQ à effectif et budget constants est une PSQ qui n’est pas viable à long terme », estime Eddy Sid, porte-parole du syndicat Unité SGP Police.
L’idée n’est donc pas inintéressante, puisque l’on verra plus de policiers se rendre dans certains quartiers, qui pourront intervenir auprès de la population. Sauf que les policiers sont dans le flou le plus total et déplorent d’ores et déjà le manque d’effectifs. Huit Français sur dix seraient favorables à la police de sécurité au quotidien. Les citoyens présents dans les villes tests pourront donner leur avis.
« Il faut arrêter de croire qu’il y a un divorce entre la police et les quartiers populaires »
Côté politique, c’est autant le flou que pour les policiers. Azzédine Taïbi, maire PCF de Stains, ne sait pas si sa ville pourra bénéficier du programme. Mais il le souhaite. Le maire de la ville de Seine-Saint-Denis assure que le désamour de la population envers la police vient d’un manque d’effectifs. « La défiance résulte du manque de policiers », explique-t-il, ajoutant : « Il faut arrêter de croire qu’il y a un divorce entre la police et les quartiers populaires, c’est de l’instrumentalisation véhiculée par certains politiques ou médias. (…) Il faut recréer du lien et faire en sorte que la police ait une présence sur le terrain utile et quotidienne auprès de tous les habitants, y compris les jeunes. »
Plus qu’un coup de communication, la police de sécurité au quotidien semble donc être un réel besoin. Mais les autorités vont rapidement devoir mettre des moyens financiers et humains pour permettre aux agents de faire du terrain. Mais également réfléchir à une vraie stratégie. Sans quoi ceci n’aura effectivement été qu’un coup d’épée dans l’eau.
Conversions et discriminations : une semaine (presque) normale en Europe.
Une vague de conversions a lieu en Europe, touchant des réfugiés demandeurs d’asile ainsi que les figures politiques qui cherchent à les garder hors de nos frontières, comme c’est le cas en Autriche, aux Pays-Bas et en Allemagne.
Cette semaine, on a appris qu’Arthur Wagner, membre influent du parti Alternative pour l’Allemagne (AfD), s’est converti à l’Islam. Le 11 janvier, le vice-président du Land de Brandebourg a démissionné du parti d’extrême droite dont l’un des objectifs déclarés était d’interdire les musulmans, les mosquées et les niqabs en Allemagne.
« C’est une affaire privée », a déclaré Wagner à Der Tagesspiegel lorsqu’il a été interrogé sur son départ du parti, ajoutant qu’il s’agissait d’une décision qui lui est propre.
Sa conversion n’est pas la première à faire frémir l’ultra-droite européenne. En 2013, Arnoud van Doorn a également embrassé l’Islam. À l’époque, il était membre du Parti pour la liberté (PVV), une formation nationaliste néerlandaise dirigée par le suprémaciste blanc Geert Wilders.
Depuis les élections de 2017, le PVV est le deuxième parti de la Chambre des représentants. Pendant ce temps-là, alors qu’il aurait pu être un des fers de lance de la haine et de l’intolérance, Van Doorn est maintenant président de la Fondation européenne Da’wah et a accompli le Hajj (pèlerinage à la Mecque).
Il s’agit là de coups durs pour les partis politiques dont les membres et les campagnes aux visées électoralistes insistaient sur la prétendue « islamisation » des nations occidentales.
Mais une autre histoire de conversions émerge, qui reçoit encore moins d’échos.
Des témoignages suggèrent qu’un nombre croissant de réfugiés musulmans en Europe deviennent chrétiens. Au cours des trois premiers mois de 2016, l’Eglise catholique autrichienne a enregistré 300 demandes de baptêmes pour adultes. L’institut pastoral autrichien a estimé que 70 % des personnes converties sont des réfugiés venus de pays musulmans.
A l’église de la Trinité, dans la banlieue de Berlin, le pasteur Gottfried Martens assure que sa congrégation est passée de 150 à près de 700, gonflée par des musulmans convertis au christianisme. De plus, les églises de Berlin et de Hambourg auraient organisé des conversions de masse pour les demandeurs d’asile dans… des piscines municipales.
Rien de très surprenant. Certains réfugiés seront sans aucun doute sincères dans leur nouvelle foi. Mais il y a aussi d’autres facteurs plus complexes qui entrent en jeu tels que la gratitude envers les groupes chrétiens qui offrent leur soutien lors des opérations de départ de régions déchirées par la guerre. Sans parler du fait que la conversion puisse favoriser les demandeurs d’asile dans leurs démarches.
Les conversions ne doivent pas être considérées comme une menace mais comme une histoire de recherche mutuelle et de partage des compréhensions. Alors que l’histoire de la religion dans l’Europe du 21e siècle se déroule, peut-être que cette année, nous verrons Tommy Robinson et Katie Hopkins — tous deux membres de l’ultra-droite britannique— se convertir à l’Islam.
Préjugés.
Il semble que les femmes musulmanes subissent de nombreux préjugés dans les villes occidentales, où nous sommes visibles. Après tout, si un homme avec une barbe peut être considéré comme un hipster, la plupart des femmes portant le hijab sont forcément et uniquement considérées comme des musulmanes.
Mais le hijab nous permet également de nous reconnaître et de nous aider les unes les autres dans la rue. Cela devrait nous encourager à nous saluer et à montrer un bon comportement et de bonnes manières envers tout le monde dans les espaces publics. Cependant, cela peut aussi contribuer à la discrimination.
Le rapport de la Chambre des communes, intitulé « Possibilités d’emploi pour les musulmans au Royaume-Uni (2016) », reconnaît que les femmes musulmanes constituent le groupe le plus défavorisé sur le plan économique en Grande-Bretagne. Et ce pour trois raisons : nous sommes confrontées à des préjugés liés à l’emploi parce que nous sommes des femme, BME — Black and Minority Ethnic — et visiblement musulmanes.
Désormais, nous avons des preuves d’une discrimination des consommateurs musulmans liée à leur nom. Des journalistes ont montré que des compagnies d’assurance automobile facturaient des contrats plus élevés pour les clients s’appelant Mohammed.
« John Smith » qui désire une assurance complète pour une Ford Focus à Leicester, a trouvé en ligne un contrat de 1 333 livres sterling. Mais pour « Mohammed Ali », la couverture d’assurance s’élève à 2 252 livres. 919 livres de différences pour le même produit.
Pour Mohammed Butt, victime de ces discriminations, « c’est du racisme pur et simple. Ils ne peuvent pas dire que les Mohammed sont des plus mauvais conducteurs que les John. J’ai reçu un email de la part de mon assureur Bell (une société nommée dans l’enquête) qui dit :
‘Ce n’est pas le cas et nous n’avons jamais utilisé cette information — l’origine du nom — pour fournir un devis à nos clients. Nous sommes désolés si cette histoire vous a causé du tort.’ »
Tout cela me rappelle une blague lue sur les réseaux sociaux :
« Comment appelez-vous un conducteur musulman qui veut une assurance automobile ?
“Surfacturé”.Il est temps d’utiliser le pouvoir de la livre sterling verte (musulmane) et de changer d’assureur.
* Lauren Booth est journaliste et éditrice, elle donne des conférences sur l’islamophobie dans les médias. Elle donne régulièrement des conférences dans des facultés à l’échelle mondiale sur les questions sociales et politiques.
Au Royaume-Uni, un assureur facture un Mohammed 1 000 livres de plus qu’un John.
2 252 livres sterling. C’est le prix que paiera un Mohammed Smith à son assurance pour une Ford Focus de 2007. Il n’y aurait rien de choquant si un John Smith, pour le même véhicule, ne payait pas 919 livres de moins.
La discrimination des assurances vient d’être dénoncée par The Sun. Le journal britannique a utilisé un comparateur d’assurances et demandé des devis à plusieurs assureurs. Et le constat est effrayant : quasiment tous les organismes proposent des tarifs plus chers pour un Mohammed que pour un John. L’écart est compris entre 200 et près de 1 000 livres sterling. Et ce aussi bien en ligne qu’en agence.
Pour Mohammed Butt, interrogé par The Sun, la coupe est pleine : « C’est du racisme, pur et simple. Ils ne peuvent pas dire que les Mohammed sont les plus mauvais conducteurs que les John. » En effet, ces différences de prix sont inexplicables. Le géant de l’assurance Admiral est l’organisme qui discrimine le plus. Et si Mohammed ne s’appelle pas Smith mais Alamy, le forfait d’Amiral augmente de 50 livres supplémentaires.
Du « racisme pur et simple », dénonce Mohammad Butt, qui estime qu’il est « présumé coupable » à cause de son prénom. Le patron de l’assurance Admiral a beau nier toute discrimination, les chiffres sont là. L’organisme a assuré qu’il allait étudier les raisons de ces différences de tarifs.

Sur agence media palestine.fr, voici les titres.

Faites connaissance avec les espions qui injectent de la propagande israélienne dans votre fil d’informations.
Lorsque Sima Vaknin-Gil a pris la direction générale du ministère israélien des Affaires Stratégiques début 2016, un fait essentiel est passé complètement inaperçu.
Pendant des années, elle avait été officier supérieur dans une agence d’espionnage.
Cela signifie que, ces deux dernières années, un ancien officier de renseignement a dirigé la guerre qu’Israël mène mondialement contre BDS, le mouvement de boycott, désinvestissement et sanctions.
Son chef au ministère est Gilad Erdan, un ami précieux du Premier ministre Benjamin Netanyahu.
On a découvert le mois dernier qu’ils avaient dépensé des sommes énormes pour créer une propagande anti-BDS en direction des média sociaux et des média d’information.
Ce devrait être une forte sonnette d’alarme pour tous les défenseurs de la liberté d’expression et des droits de l’Homme de voir une campagne pacifique de la société civile ciblée par des agences d’espionnage responsables de piratage, de torture, d’enlèvements et de meurtres en Palestine et dans le monde.
Renseignement militaire.
Même s’il n’est pas vraiment secret, le passé de Vaknin-Gil fut à peine évoqué par les média qui couvraient sa nomination, se focalisant davantage sur son rôle précédent en tant que censeur en chef d’Israël.
En cherchant bien, on n’a trouvé qu’un article – une interview de 2015 avec le magazine de l’industrie de l’armement Israel Defense – qui parlait de sa carrière dans le renseignement.
Cette interview a eu lieu la veille de sa nomination en tant que haut fonctionnaire dans ce qui est vraiment le ministère israélien Anti-BDS. Elle y révélait qu’elle avait passé plus de 20 ans comme espionne dans les services de renseignement de l’armée de l’air israélienne, atteignant le grade de général de brigade – position qu’elle a toujours, en parallèle.
Pendant cette période, déclarait le magazine, elle a travaillé « étroitement avec les fonctionnaires américains et les responsables les plus gradés du renseignement israélien ».
En 2005, elle a entamé son parcours, long de dix ans, en tant que censeur militaire en chef, rôle qui requerrait une coordination régulière avec les principaux espions et les chefs militaires d’Israël, dont le directeur du renseignement militaire, le chef du Mossad et le chef d‘Etat-Major des armées.
« Inonder internet ».
« Je veux créer une communauté de combattants », a dit Vaknin-Gil peu après sa nomination au ministère des Affaires Stratégiques.
Précisant qu’elle avait l’intention d’ « inonder internet » avec de la propagande israélienne ; ce qui serait officiellement sans lien avec le gouvernement.
Plus récemment, lors d’une conférence du Jerusalem Post, elle a glissé qu’elle venait « du renseignement dans les FDI », l’armée israélienne.
Transmise en direct sur YouTube, la réunion de décembre 2017 fut un débat sur comment combattre au mieux BDS.
Vaknin-Gil a reconnu que les arguments sur les droits de l’Homme des militants BDS sont si convaincants pour le peuple en Europe et aux Etats-Unis que « là-bas, à moins que nous ne fassions quelque chose, nous serons perdants ».
Elle a reconnu que les défenseurs des droits des Palestiniens « agissaient très, très intelligemment ».
Les militants de la solidarité avec la Palestine « se battent pour conquérir les esprits et les cœurs dans le peuple », a-t-elle dit et d’ajouter : « Nous venons juste de nous réveiller [face à BDS] et nous devons le faire très vite. »
Le cofondateur du mouvement BDS, Omar Barghouti, a dit à The Electronic Intifada qu’Israël n’avait pas réussi à gagner « la bataille pour conquérir les esprits et les cœurs au niveau populaire ».
Selon Barghouti, Israël « essaie désespérément de réprimer la formidable croissance du mouvement BDS pour les droits des Palestiniens, dans le courant dominant, en prenant des mesures draconiennes de répression et en les exportant grâce à ses lobbies vers les gouvernements occidentaux.
Les liens profonds du ministère avec les espions.
L’agenda officiel 2016 du ministre des Affaires stratégiques Gilad Erdan, obtenu par des militants israéliens et retranscrit par The Electronic Intifada, confirme ses liens intimes avec les agences d’espionnage du pays.
L’agenda indique une rencontre le 17 janvier avec le chef du Shin Bet – police intérieure secrète d’Israël. L’agence a une longue histoire de harcèlement, d’enlèvements, de torture et de meurtres de militants palestiniens.
L’agenda montre aussi que, le 16 février 2016, Erdan a déjeuné avec le chef du Mossad, agence israélienne d’outremer pour l’espionnage et l’assassinat.
Et le 20 mars, Erdan a apparemment rencontré le « chef du 8200 » – référence à l’Unité 8200, espions israéliens responsables des efforts pour mener une cyberguerre.
Selon les anciens combattants de l’Unité 8200, ses activités comprennent l’écoute illicite des communications des civils palestiniens qui vivent sous occupation israélienne en vue d’une persécution politique ou pour trouver des informations embarrassantes personnelles ou sexuelles qu’on pourrait utiliser pour les amener à collaborer grâce au chantage.
Acheter la presse.
Le projet de Vaknin-Gil d’ « inonder internet » reprend les efforts secrets précédents pour répandre la propagande pro-Israël.
En 2014, The Electronic Intifada a révélé un complot du site technique Israel21c pour mettre ses pièces montées en ligne et dans les média en utilisant des méthodes trompeuses.
Sous Vaknin-Gil – experte en censure de la presse – le ministère essaie de son côté d’acheter les rédacteurs.
Le chien de garde des média israéliens, Le Septième Œil a rapporté le mois dernier, que le ministère qu’elle dirige a payé à l’éditeur du quotidien le plus vendu d’Israël 100.000 $ pour qu’il publie des articles et des vidéos attaquant BDS en tant qu’ « antisémite ».
Publiés à la fois en hébreu et en anglais par Yediot Ahronot et son site web Ynet, les articles n’ont pas explicitement dévoilé que leur contenu était payé.
Un article anglais a vaguement déclaré que c’était le résultat d’une « association » entre le ministère et l’éditeur, tandis que deux articles hébreux déclaraient qu’ils étaient dus à une « collaboration » avec le ministère.
Guerre de propagande.
Le Septième Œil a expliqué que cette propagande était « faite pour amener les lecteurs à soutenir une campagne qu’Israël conduit contre ses critiques ».
Comme avec Yediot, le ministère a également acheté du faux journalisme afin d’engranger du soutien de la part d’un public mondial, y compris de la part du Times of Israel et du Jerusalem Post.
L’agenda de 2016 d’Erdan y est conforme, notant pour le 18 juillet une « rencontre avec le rédacteur du journal The Jerusalem Post, Yaakov Katz. « L’inscription n’indique pas le sujet de la rencontre. »
Les articles payés faisaient partie d’une plus vaste campagne du ministère des Affaires stratégiques, qui comprenait un budget de 740.000 $ « pour promouvoir le contenu sur les média sociaux et les moteurs de recherche, dont Google, Twitter, Facebook et Instagram », a rapporté Le Septième Œil.
570.000$ supplémentaires ont été dépensés pour construire Act.il, application anti-BDS, et pour produire des vidéos en incitant les supporters à les mettre en ligne.
Selon The Jewish Daily Forward, l’une des « missions » assignées aux fantassins de la propagande israélienne utilisant l’application Act.il, en novembre dernier, « était de laisser un commentaire sur un post spécifique de la page Facebook du site web pro-palestinien Electronic Intifada ».
Les opérateurs des relations publiques d’Israël voulaient contrer l’impact du reportage de The Electronic Intifada sur le soutien du gouvernement néerlandais pour une promotion par la chaîne de supermarchés israéliens Shufersal qui profite de la colonisation.
L’appli. Act.il a été largement financée par le milliardaire des casinos Sheldon Adelson – grand donateur des causes anti-palestiniennes et de la campagne présidentielle de Donald Trump.
Le ministère des Affaires stratégiques a été obligé de révéler au Septième Œil, l’information sur le financement en conformité avec les lois israéliennes sur la liberté de l’information.
Mais cette révélation pourrait bien être l’une des dernières divulgations de ce genre si le ministère obtient ce qu’il veut.
Ministère opaque.
En juillet, le parlement israélien a donné son approbation préliminaire à un projet de loi qui exempte le ministère des Affaires stratégiques de la loi sur la liberté de l’information.
Erdan a défendu le projet de loi, rédigé par son ministère, déclarant que BDS était un « front comme tous les autres » et qu’il était nécessaire de garder « nos modalités d’action secrètes ».
Une note du 7 novembre dans l’agenda 2016 d’Erdan suggère que l’ancienne espionne Vaknin-Gil était directement impliquée dans la rédaction des lois israéliennes contre BDS.
Au sujet de la « loi BDS », la note dit : « Rencontre avec Liat et Sima sur les amendements législatifs à la Loi Boycott. » (Tout au long de l’agenda, on fait référence à l’équipe d’Erdan au ministère par leurs prénoms.)
Si la loi est votée, le ministère d’Erdan se retrouvera dans la même catégorie que le Mossad et le Shin Bet, qui, eux aussi, sont exemptés de la liberté de l’information.
Le ministère d’Erdan fonctionnant de plus en plus comme une agence d’espionnage à l’échelle mondiale, et non comme un département conventionnel du gouvernement, cela ne sera peut-être pas une grande surprise.
Haaretz décrit ce ministère comme « un endroit dont la terminologie interne vient du monde de l’espionnage et de la sécurité ; ses personnages principaux semblent se voir comme un commando des affaires publiques engagé sur de multiple fronts ».
De même qu’il est dirigé par une espionne, le ministère est largement pourvu en anciens espions.
Le prédécesseur de Vaknin-Gil au poste de directeur général était Ram Ben Barak, ancien directeur adjoint du Mossad.
Comme l’a révélé l’année dernière The Electronic Intifada, le directeur de la section « renseignement » du ministère est Shai Har-Zvi, lieutenant colonel dans l’armée d’Israël et probablement un autre ancien revenant.
Sans donner de noms, le journaliste chevronné du renseignement israélien Yossi Melman avait précédemment raconté que ce poste avait été autrefois occupé par « un ancien enquêteur du système de sécurité ».
« Sources secrètes », activités illégales.
Melman – qui a confirmé le dévoilement par The Electronic Intifada du nom de Har-Zvi – écrit que le rôle de sa section « est de récolter de l’information et des données sur BDS et ses militants auprès de sources et ouvertes et secrètes ».
Melman précise également que le ministère a embauché 25 employés « principalement anciens fonctionnaires du renseignement en Israël » dont les noms sont classifiés.
Quelles sont ces « sources secrètes » sur lesquelles s’appuie le réseau d’espions d’Erdan ? Comprennent-elles des activités illégales ? Et vont-elles à l’encontre de lois d’autres pays dans lesquels il opère ?
« Nous voulons que la majeure partie du travail du ministère soit classifiée », a dit Vaknin-Gil au parlement d’Israël en septembre 2016, lorsqu’elle a reconnu que « une très grande partie de ce que nous faisons échappe à tout contrôle ».
Erdan a également reconnu que son ministère se servait d’associations à l’échelle internationale – outil historique des agences d’espionnage israéliennes. « La plupart des actions du ministère n’appartiennent pas au ministère, mais à des organismes du monde entier qui ne veulent pas que l’on connaisse leur connexion avec l’Etat », a-t-il dit.
Un ministère rival a accusé en 2016 Erdan et son fief de « se servir d’organisations juives britanniques dans le dos de l’ambassade [israélienne] de telle sorte que cela pouvait les mettre en violation avec la législation britannique ».
On a aussi rapporté dans Haaretz que le ministère avait créé une « unité de dénigrement » pour répandre des mensonges sur les militants de BDS.
Menaces de mort et piratage.
Dans un article pour le journal hébreu Maariv, Melman a fait remarquer les attaques contre les sites web du Comité National BDS de Palestine et d’autres associations de défense des droits, suggérant que ces attaques pouvaient être en lien avec le ministère d’Erdan.
Il parle aussi des menaces de mort visant Nada Kiswanson, avocate de l’association de défense des droits de l’Homme Al-Haq, qui avait travaillé à La Haye pour recueillir des preuves des crimes de guerre israéliens pour le Tribunal Criminel International.
Les autorités néerlandaises mènent des investigations sur ces menaces. Melman laissait entendre que celles-ci pouvaient également être en lien avec le ministère.
Parallèlement au harcèlement et au sabotage, les attaques contre les associations palestiniennes ont aussi comporté des campagnes de dénigrement destinées à saper leur soutien politique et financier.
Al-Haq et Al-Mezan, autre association de défense des droits des Palestiniens qui a aussi aidé à réunir des preuves de crimes de guerre, ont dû, ces deux dernières années, faire face à une campagne soutenue de diffamation.
Elles ont comporté, à la fois publiquement de la part de fonctionnaires israéliens, et via des campagnes plus sournoises, de fausses déclarations faites en leur nom et des menaces de mort et autres harcèlements contre leurs équipes.
La guerre secrète d’Israël semble aussi cibler les militants de la solidarité dans les pays occidentaux.
Jeter le masque.
En juillet, les membres d’une délégation interconfessionnelle en route pour la Palestine ont été interdits de vol par le personnel de Lufthansa qui agissait sur ordre des Israéliens.
Le rabbin Alissa Wise de Voix Juives pour la Paix a dit à The Electronic Intifada que le personnel de la compagnie aérienne lisait les noms de militants dont on n’avait jamais annoncé publiquement qu’ils faisaient partie de cette délégation et qui n’avaient pas de billets, cela prouve qu’une liste de personnes, obtenue par la surveillance israëlienne des communications des militants, avait été remise à Lufthansa.
Alors que la campagne secrète d’Israël vise à réprimer les informations négatives sur ses violations des droits des Palestiniens, la campagne elle-même ne fait que ternir un peu plus son image délabrée.
Au vu de ces mesures répressives contre la solidarité avec la Palestine, le cofondateur de BDS Omar Barghouti dit qu’Israël « jette le masque de la démocratie et du libéralisme et dévoile son vrai visage en tant que régime d’occupation et d’apartheid ».
« Israël alloue des centaines de millions de dollars, consacre un ministère tout entier, utilise ses services de renseignement et fait jouer ses muscles politiques dans le monde entier pour combattre ce mouvement », a ajouté Barghouti. « Mais il s’agit là d’un combat sur une pente raide et ardue qu’Israël ne peut que perdre. »
Traduction et enquête par Dena Shunra.
Traduction en français : J. Ch. pour l’Agence Média Palestine.
Source : The Electronic Intifada.

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

Un soldat israélien attaque à la voiture bélier un enfant palestinien
Un enfant palestinien est blessé ce lundi soir suite à une attaque menée par un soldat israélien à la voiture bélier près de la mosquée Ibrahimi à Hebron, au sud de la Cisjordanie occupée.
L’occupation arrête un jeune palestinien à Hébron et un enfant à Jérusalem
Des colons mènent des attaques au sud de Naplouse et l’occupation arrête un étudiant
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Les forces sionistes ont arrêté lundi matin un étudiant de l’école secondaire Al-Sawiya, au sud de Naplouse, dans le nord de la Cisjordanie. ​
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Hamas: les déclarations hostiles de Greenblatt couvrent les crimes de l’occupation
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Un congrès international sur Jérusalem organisé à Istanbul
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Une colonie israélienne menace un village palestinien qui se noie
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Hamas : le gouvernement pousse la bande de Gaza vers le chaos
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L’occupation démolit des maisons à Beit Jala
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Une grève générale des institutions de l’UNRWA à Gaza
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L’hôpital de Beit Hanoun arrête de fonctionner après l’épuisement du carburant
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26 Palestiniens de Gaza visitent leurs fils détenus à Nafha
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Les autorités prennent d’assaut Tulkarem
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Saydam annonce le retour de 1200 fonctionnaires au ministère de l’Éducation
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Israël décide de fermer une association agricole palestinienne
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L’occupation arrête deux jeunes hommes qui ont franchi la barrière de séparation à l’est de Gaza
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18 Palestiniens arrêtés et autres blessés lors d’affrontements nocturnes
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L’Occupation prétend avoir déjoué une attaque près de Naplouse
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Les factions à Gaza appellent l’Egypte à ouvrir le passage de Rafah
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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Sur Ajib.fr, rien de neuf.

Sur Katibin.fr, rien de neuf.

Sur journal du musulman.fr, rien de neuf.

Sur islam et info.fr, voici les titres.

My Nisf : Le mariage devient enfin accessible ! VIDEO.
A une époque où la vie est facilité par les nouvelles technologies, la rapidité de l’information et de la communication (internet, smartphone…); en parallèle il est devenu de plus en plus difficile pour notre communauté de s’unir tout en respectant les préceptes de l’islam.
Le mariage est pourtant d’une grande importance pour notre stabilité physique et psychologique : Allah (tabaraka wa ta3ala) a dit :
«Et parmi Ses signes Il a créé de vous, pour vous, des épouses pour que vous viviez en tranquillité avec elles et Il a mis entre vous de l’affection et de la bonté. Il y a en cela des preuves pour des gens qui réfléchissent.» Sourate 30 verset 21.
Le mariage est une institution qui permet d’unir deux êtres afin de se compléter, d’avoir un équilibre, une personne sur qui compter en toute circonstance:
Allah (tabaraka wa ta3ala) a dit :
«Et de toute chose Nous avons créé [deux éléments] de couple. Peut-être vous rappellerez-vous ?» Sourate 51 Verset 49.
Le meilleur des hommes qui n’est autre que notre noble prophète (que la prière d’Allah et Son salut soient sur lui) nous incite à nous marier :
D’après Anas (qu’agrée), le Prophète (que la prière d’Allah et Son salut soient sur lui) a dit :
«Lorsque le serviteur se marie, il a certes complété la moitié de sa religion alors qu’il craigne Allah pour l’autre moitié ». (Rapporté par Tabarani).
Malgré tout un constat est cependant accablant : le taux de célibat est en constante croissance dans notre communauté et ceci est un fléau pour notre société :
D’après Aicha (qu’Allah l’agrée), le Prophète (que la prière d’Allah et Son salut soient sur lui).
a dit: «Le mariage est ma sounna et celui qui ne pratique pas ma sounna ne fait pas partie de moi. Mariez-vous je serais certes fier que vous soyez la communauté la plus nombreuse parmi les autres communautés le jour du jugement. Celui qui en a les moyens qu’il se marie et celui qui ne trouve pas de quoi se marier qu’il jeûne car le jeûne sera pour lui une protection». (Rapporté par Ibn Maja).
Notre religion facilite et pousse à nous marier. Donc les conditions de mariage dans la religion ne représentent pas un obstacle, bien au contraire ils sont aisément réalisables.
En théorie oui mais en pratique il y’a une problématique qui revient constamment avec la fameuse question :
“Où vais-je rencontrer mon ou ma future épou(x)se?”
Cette question est la cause du lancement du site Mynisf.
Mynisf est une plateforme de mise en relation, qui permet de faire des rencontres tout en respectant les préceptes de l’islam. Ce site qui a été supervisé par des imams et donne la possibilité aux musulmans de France de trouver leur moitié.
Quel est le principe de ce site ?
Les membres doivent remplir leur profil (plusieurs champs comme : présentation, pratique religieuse, habitudes …) puis peuvent se demander un rendez-vous (en contactant l’admin) avec ou sans imam (en passant directement par le mahram).
Il y a déjà plus de 300 membres, et 30 mouqabala (rencontres) qui ont été organisées en seulement 1 mois !
Des personnes de différentes origines, qui viennent de toute la France se sont inscrites afin de concrétiser la moitié de leur religion.
Nous vous en disons pas plus, un seul clic peut changer votre vie … incha’Allah : www mynisf.fr .
reportage a voir sur islam et info.fr.
Eric Fassin revient sur la laïcité et l’islamophobie.
Faute de ne pouvoir être présent, le sociologue Eric Fassin a transmis ce texte qu’il aurait du prononcer lors de la Quatrième Journée Internationale contre l’Islamophobie qui se tenait le dimanche 10 décembre 2017 à la Bourse du Travail de Saint-Denis.
Un texte à lire et méditer qui tranche avec la timidité et la soumission intellectuelle des “leaders” musulmans de France qui ont renoncé à toute radicalité dans leurs pensées et actions politiques. La honte de soi et les pressions ont en effet cassé toute audace ou initiative chez ceux qui se réclamaient de l’émancipation communautaire.
Eric Fassin dénonce sans ambages une laïcité dévoyée au service d’une islamophobie systémique qui gagne jour après jours victoire sur victoire culturelle.
Les faux dévots de la laïcité: islamophobie et racisme anti-musulmans.
Samedi 9 décembre, en France, c’était la journée de la laïcité. Dimanche 10 décembre, c’est la journée contre l’islamophobie. Quel rapport entre les deux ? En principe, aucun : la laïcité, c’est la séparation des Églises et de l’État : la condition de la liberté religieuse, c’est la neutralité de l’État. Par principe, si celui-ci est laïque, il ne saurait être islamophobe – pas plus qu’islamophile, d’ailleurs.
En principe, donc ; mais en pratique, quand on invoque la laïcité aujourd’hui en France, c’est d’ordinaire pour parler d’islam. Gageons que ce sera le cas, par exemple, lundi 11 décembre, lors de la journée sur la laïcité organisée par l’ESPE de Paris ; et qu’il sera fort peu question de l’Église catholique. Pourtant, nul ne peut croire que l’islam soit religion d’État en France – sauf à prendre pour la réalité les fantasmes de Michel Houellebecq et de l’extrême droite. Mais qu’importe la réalité, pour ceux qui veulent croire que la laïcité se loge dans les supérettes halal et les burkinis de femmes sur les plages ?
Catholaïcité.
En revanche, en France, on ne discute pas du financement public d’écoles catholiques mis en place depuis la loi Debré en 1959. Ou plutôt, on n’en débat plus depuis la reculade du pouvoir socialiste en 1984 face à la mobilisation massive du lobby de l’école libre. C’est seulement quand la République a cédé devant l’Église catholique que la rhétorique républicaine s’est retournée contre l’islam, à partir de la première affaire du voile en 1989. Les deux fronts doivent pourtant être pensés ensemble : si Nicolas Sarkozy communiait avec Benoît XVI dans une même « laïcité positive », c’était pour mieux réserver à l’islam ce que j’ai qualifié de « laïcité négative ».
La rhétorique laïque n’a donc plus rien à voir avec l’universalisme de la laïcité. Par exemple, ceux qui dénoncent les prières de rue oublient les militants anti-mariage pour tous de Civitas agenouillés devant un tableau de la Sainte famille à l’entrée du Sénat en 2013 : ils songent uniquement aux musulmans qui, faute de lieux de culte suffisamment grands, débordent dans la rue à l’heure de la prière. De même, si la loi de 2010 contre la dissimulation du visage dans l’espace public n’est pas censée concerner la religion, mais seulement la sécurité, chacun sait qu’elle vise en fait le voile intégral de femmes musulmanes. La preuve ? nul n’a même imaginé de l’invoquer à propos des Hommen, ces militants catholiques mobilisés contre la loi Taubira ; ils manifestaient pourtant avec un masque sur le visage.
Nouvelle laïcité ?
Depuis 1989, on n’est pas seulement passé du catholicisme à l’islam, soit d’une religion majoritaire, historiquement liée à l’État, à une religion minoritaire, qui bénéficie très peu des financements de l’État : sur les 17% d’élèves scolarisés dans des écoles privées sous contrat, 2 millions sont inscrits dans les 8000 écoles catholiques, contre 2000 pour les trois écoles musulmanes…
Dans le discours sur la laïcité, on a aussi basculé de l’État à la société. C’est un renversement, de la laïcité comme liberté des individus face à l’État à la sécularisation comme injonction de l’État aux individus. Le glissement de sens du mot « public » en est le signe : hier encore, il renvoyait à l’État – en particulier s’agissant de l’école publique. Aujourd’hui, il s’étend à l’espace public, qu’il s’agit de neutraliser, soit une manière de cantonner l’expression religieuse à la sphère privée.
Bref, la « nouvelle laïcité » préconisée par François Baroin en 2003, loin de prolonger une histoire républicaine, est radicalement nouvelle ; les juristes Stéphanie Hennette Vauchez et Vincent Valentin l’ont démontré à propos de l’affaire de la crèche Baby-Loup, elle n’a pas grand-chose à voir avec la loi de 1905. Comme le dit sans ambages l’historien de la laïcité Jean Baubérot, c’est une « laïcité falsifiée ». En fait, la « nouvelle laïcité » n’est pas laïque, bien au contraire. C’est une forme de religion qui prétend imposer sa croyance à toute la société.
C’est pourquoi il me paraît important de ne plus accepter les distinctions médiatiques entre « deux conceptions de la laïcité », l’une exigeante ou stricte, l’autre laxiste ou tolérante. Aujourd’hui, ceux qui n’ont que ce mot à la bouche, mais qui n’ont que l’islam en tête, ne doivent plus être qualifiés de « laïcards » ; en réalité, ce sont de faux dévots de la laïcité. Ne faisons pas le cadeau à ces Tartuffe de les prendre pour des laïcs, et moins encore de leur abandonner la laïcité : c’est en son nom qu’il faut les combattre.
Islamophobie : le mot et la chose.
La bataille politique est d’abord une bataille de mots : ceux qu’on refuse, et ceux qu’on choisit. Car nommer les choses, c’est leur donner un sens ; et ceux qui définissent le lexique politique sont ceux qui définissent le monde dans lequel nous vivons. C’est pourquoi il est important de revendiquer la liberté de nommer – par exemple, d’organiser une journée contre l’islamophobie. Pour ma part, c’est précisément parce que certains voudraient bannir ce terme que je tiens à l’employer.
Pour l’État, il sera sans doute difficile d’interdire le mot islamophobie, même si rien ne paraît plus impossible depuis que le ministre de l’Éducation veut censurer tout un vocabulaire antiraciste, à commencer par la notion de « racisme d’État ». En revanche, les offensives se multiplient contre celles et ceux qui prennent la parole « pour les musulmans ». Or nombreux sont ceux qui se laissent ébranler par l’argument des faux dévots de la laïcité : en démocratie, on a le droit de critiquer toute religion. Mieux : dans une société laïque, le blasphème est un droit ! Et c’est vrai.
Cependant, en France aujourd’hui, dénoncer l’islam, c’est aussi une manière de s’en prendre aux musulmans. Ou plutôt, c’est faire référence à un groupe social défini moins par la religion que par l’origine – voire par l’apparence : un président de la République n’avait-il pas évoqué des « Français d’apparence musulmane » ? Bref, il y a bien une racialisation de la référence religieuse. Car la question raciale ne suppose pas des « races » différentes, mais des traitements différents qui racialisent des groupes sociaux, c’est-à-dire qui les stigmatisent et les assignent à des places subalternes, en fonction de leur origine, de leur apparence, mais aussi de leur religion, réelle ou supposée. Une comparaison nous aide à le comprendre : dans l’antijudaïsme, nous avons appris à entendre l’antisémitisme. De même, l’islamophobie va et vient entre deux registres – religieux et racial.
Racisme anti-musulmans.
Ceux qui refusent le terme « islamophobie » veulent lui substituer l’expression : « racisme anti-musulmans ». Et si on les prenait au mot ? Non pas pour leur céder le choix du vocabulaire, mais pour analyser le double jeu de l’islamophobie et du racisme anti-musulmans, comme on le fait de l’antijudaïsme et de l’antisémitisme. La bataille du vocabulaire est essentielle. Il ne faut donc pas laisser interdire des mots ; il ne faut pas davantage se faire imposer un lexique. Toutefois, il ne faudrait pas non plus renoncer à parler, en même temps que d’islamophobie, de racisme anti-musulmans – même si les faux dévots de la laïcité l’utilisent pour faire obstacle à la lutte contre l’islamophobie en détournant l’attention de la chose vers le mot. Car qui peut nier qu’un racisme vise aujourd’hui en France les musulmans, réels ou supposés, et que la rhétorique laïque en est un instrument privilégié quand elle est définie par l’obsession de l’islam ?
Faute de pouvoir être présent, j’ai envoyé ce texte aux responsables de la Quatrième Journée Internationale contre l’Islamophobie qui se tient dimanche 10 décembre 2017 à la Bourse du Travail de Saint-Denis.

Sur saphirnews.com, rien de neuf.

Sur oumma.com, voici les titres.

Une photo réunissant Barack Obama et Louis Farrakhan, le leader de Nation of Islam, dévoilée Outre-Atlantique.
Sortie du tiroir secret où elle avait été rangée pendant 13 ans par Askia Muhammad, un journaliste américain conscient de sa nature explosive pour le futur premier président noir des Etats-Unis, la photo réunissant les souriants Barack Obama et Louis Farrakhan, le leader de Nation of Islam, vient d’être dévoilée sur la scène publique.
Plus d’une décennie après avoir été prise sous la coupole du Capitole, lors du Caucus noir du Congrès rassemblant les parlementaires Afro-américains, y aurait-il prescription pour cette photo à hauts risques, qui aurait immanquablement entaché l’image policée de celui qui n’était alors que sénateur de l’Illinois et sur le point de déclencher une Obamania à l’effervescence contagieuse ?
Une chose est certaine, Askia Muhammad s’est senti libéré du poids du secret quand, en 2016, le sulfureux Louis Farrakhan, 84 ans, accusé de sexisme, d’antisémitisme et d’homophobie, a révélé qu’Obama était venu lui rendre visite chez lui, à Chicago, juste avant de se lancer dans la course à l’élection suprême.
Lors de son prêche détonant dans l’enceinte de la Mosquée Maryam, le lieu de culte et quartier général de Nation Of Islam, celui-ci a affirmé l’avoir soutenu financièrement pour les sénatoriales, puis avoir voté pour lui pour la présidentielle. En d’autres termes, la carrière au firmament de Barack Obama doit beaucoup au Ministre Louis Farrakhan, selon les dires de ce dernier.
Le journaliste Askia Muhammad aura tout de même attendu deux années supplémentaires, le temps de mettre le point final à son ouvrage contenant cette fameuse prise de vue, avant de l’exhumer du passé où elle reposait en paix depuis 2005, à seule fin de protéger le nouvel homme fort de Washington et ses deux mandats successifs.
« J’avais juré secrètement de ne pas nuire à l’avenir politique d’Obama », a déclaré jeudi Askia Muhammad au Trice Edney News Wire, convaincu que cette prise de vue aurait eu un impact désastreux sur sa présidence.
Une présidence longue de huit ans qui, malgré cela, n’aura pas été préservée pour autant des assauts livrés par ses farouches détracteurs, ni des différentes théories du complot qu’ils ont savamment alimentées, demeurant jusqu’au bout entourée de la suspicion de l’islamité du premier locataire noir de la Maison Blanche.
Et ce n’est pas en réitérant sa « ferme condamnation des positions de Farrakhan », au cours d’un débat présidentiel à Cleveland, en 2008, que Barack Obama a réussi à faire taire les rumeurs persistantes sur ses liens présumés avec l’islam et l’un de ses représentants les plus controversés de l’autre côté de l’Atlantique.
La rencontre entre Muhammad Ali et Malcolm X. vidéo.
La première rencontre entre Malcolm X et Muhammad Ali, lequel à cette époque se nommait Cassius Clay et n’était pas encore converti à l’Islam, eut lieu à Détroit en 1962. Va naître entre les deux hommes une véritable amitié. L’ex-leader de la Nation of Islam a également joué un rôle important dans la conversion à la religion musulmane de Muhammad Ali. Malcolm X avait la plus grande estime pour celui qui allait devenir le meilleur boxeur de tous les temps: “Clay est le meilleur athlète noir que j ai jamais vu et il signifie plus pour son peuple que tout autre athlète avant lui. Plus encore que ne le fut Jackie Robinson, parce que Robinson était le héros de l’homme blanc. La presse blanche voulait que Clay perde parce que c’est un Muslim. Vous aurez remarqué que personne ne prête attention à la religion des athlètes, mais les préjugés contre Clay sont tels qu’ils les ont rendus aveugles sur ses capacités » . Mais cette estime réciproque connaîtra une fin quelques années plus tard. Le 8 mars 1964, Malcolm X annonce son départ de Nation of islam. Muhammed Ali, qui critiquera publiquement cette rupture, rompera également définitivement avec Malcolm X.
reportage a voir sur oumma.com.

Sur Mizane.info, rien de neuf.

Sur des domes et des minarets.fr, rien de neuf.

Sur tribune lecteurs.com, le journal d’algérie, voici les titres.

Huit dangereux terroristes abattus à Khenchela : L’ANP » nettoie » les dernières poches de maquis.
L’Armée Nationale Populaire est déterminée à éradiquer le terrorisme. Ses différentes neutralisations des terroristes dangereux en sont la preuve de sa détermination et son efficacité. Ces résultats positifs successifs réalisés sur le terrain par les unités de l’Armée Nationale Populaire dans le cadre de la lutte antiterroriste, viennent renforcer davantage la ferme détermination à faire régner la sécurité et la sérénité à travers tout le pays, en pourchassant les résidus terroristes jusqu’à leur élimination ou leur reddition. La dernière opération de qualité, et qui a abouti à l’élimination de huit dangereux terroristes dans la commune de Cherchar, à Khenchela, dans la 5ème région militaire par un détachement de l’Armée Nationale Populaire en est la preuve. Hier, le ministère de la Défense nationale (MDN) a communiqué l’identité des deux terroristes abattus au cours de cette même opération. Il s’agit par ailleurs, » S. Abderrahim » alias » Al Mountassir » et » N. Khaled » alias » Charhabil « , ce dernier avait rallié les groupes terroristes en 2005. Cette opération a permis la récupération de cinq pistolets mitrailleurs de type kalachnikov, un fusil à lunette, un fusil semi-automatique de type Simonov, quatorze chargeurs garnis de munition et quatre grenades. Suivront d’autres opération qui entre dans le même contexte à savoir la découverte à Laghouat/4e RM, d’une cache de munitions contenant 320 balles de différents calibres, tandis que des éléments de la Gendarmerie Nationale ont arrêté un élément de soutien aux groupes terroristes à Batna/5e RM. A Tindouf, un détachement de l’Armée nationale populaire (ANP) a découvert vendredi lors d’une patrouille menée près de la bande frontalière à Tindouf, deux pistolets mitrailleurs de type Kalachnikov, deux chargeurs et une quantité de munitions. D’autre part, dans le cadre de la lutte contre la contrebande et la criminalité organisée, des détachements de l’ANP en coordination avec les éléments des Douanes ont arrêté, à Tamanrasset et Bordj Badji Mokhtar /6e RM, Tébessa, El-Tarf, et Souk-Ahras /5e RM, deux camions, 2 véhicules tout-terrain, un détecteur de métaux et une importante quantité de carburant destinée à la contrebande s’élevant à 41910 litres, tandis que 384 unités de différentes boissons ont été saisies à Biskra/4e RM, et 40 kilogrammes de Kif traité ont été interceptés par les éléments des Garde-côtes à Mostaganem/2e RM. Des détachements de l’ANP et des éléments de la Gendarmerie Nationale ont arrêté 18 immigrants clandestins de différentes nationalités à Tlemcen, Tindouf, Béchar, Adrar, Laghouat et Ghardaïa, alors qu’une tentative d’immigration clandestine de 48 personnes à bord d’une embarcation de fabrication artisanale a été déjouée par des Gardecôtes à Ain Témouchent/2e RM. A El Oued et Biskra des éléments de la Gendarmerie Nationale ont saisi 16410 unités de différentes boissons et 2820 unités de produits détergents. Il y lieu de signaler que l’Algérie a le privilège et l’honneur d’avoir une armée efficace qui a toujours exprimé un dévouement exemplaire dans l’accomplissement de leur mission au service de la patrie. En conclusion comme la toujours rappelé, le Général de Corps d’Armée, Ahmed Gaïd Salah : » Notre armée demeurera une armée républicaine, engagée à défendre la souveraineté nationale et l’intégrité territoriale et à préserver l’indépendance du pays. Une armée qui ne se départira pas de ses missions constitutionnelles quelles qu’en soient les conditions et circonstances « .
Ahmed Ouyahia préside la délégation algérienne à Abidjan : La corruption au coeur du sommet de l’U.A.
Le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, est arrivé vendredi après-midi à Addis-Abeba pour représenter le président de la République, Abdelaziz Bouteflika aux travaux de la 30ème session ordinaire de la Conférence des chefs d`Etat et de gouvernement de l`Union africaine (UA), prévue aujourd’hui et demain dans la capitale éthiopienne. Ahmed Ouyahia préside la délégation algérienne aux travaux de la Conférence des chefs d’Etat et de gouvernement africains, placée cette année sous le thème « Remporter la lutte contre la corruption: une voie durable pour la transformation de l’Afrique ». Selon le communiqué du Premier ministère, En marge de ce sommet, le Premier ministre aura un agenda chargé avec notamment, la présentation par l’Algérie d’un rapport sur la prévention et la lutte contre le terrorisme et l’extrémisme violent en Afrique et ce, dans le cadre du mandat confié au président de la République Abdelaziz Bouteflika, désigné par ses pairs en 2017 comme coordonnateur de l’UA dans la prévention et la lutte contre le terrorisme et l’extrémisme violent en Afrique. Les Africains se sont fixé comme objectif de renforcer la coopération sur le continent afin d’encourager l’intégration des pays notamment en travaillant en faveur de la libre circulation des personnes et des biens pour impulser une nouvelle dynamique aux échanges entre Etats. Lors du précédent sommet, les chefs d’Etat ont fait le point sur l’état d’avancement de l’Agenda 2063 de l’UA. L’une des questions qui a particulièrement retenu l’esprit, c’est la mise en place de la Zone de libre-échange continentale (ZLEC), un chantier qui permettra d’instaurer un marché unique de 1,3 milliard de consommateurs et au sein duquel les produits circuleront et s’échangeront librement. Le président du Niger, Mahamadou Issoufou, qui a été chargé par ses homologues de chapeauter ce chantier au nom de l’organisation.
Mermouri à propos du problème de marketing dans le domaine de l’hôtellerie : » Les entreprises doivent mettre en place un plan d’action « .
Le ministre du tourisme et de l’artisanat, Hacène Mermouri a procédé, hier, à l’inauguration de la 12ème édition, du salon international des équipements et services pour l’hôtellerie, la restauration et les collectivités (SIEL). S’exprimant, lors d’un point de presse animé à cette occasion, le ministre a souligné la diversité et la richesse des services et des équipements, mais aussi la présence en force de la production nationale. D’après Marmouri l’organisation de ce salon a pour objectif de créer un climat d’affaire et l’échange entre les professionnels dans le domaine de l’hôtellerie. Notamment explique le ministre : » nous avons constaté une activité et une dynamique dans ce domaine. Chaque année il y a des centaines de nouveaux hôtels et il y a une grande demande sur les équipements de l’hôtellerie « , » c’est pour cette raison que nous appelons les opérateurs à être un facteur fondamental dans le développement touristique, afin de créer une diversité dans l’économie nationale, et d’avoir une touche algérienne dans les hôtels, en particulier en ce qui concerne le décor, pour attirer les étrangers que ce soit des touristes et des hommes d’affaires étrangers. Ainsi, poursuit le ministre, » il est important de s’adapter avec le développement technologique et technique « . Evoquant le problème du marketing, Mermouri a appelé les entreprises et les producteurs à préparer un plan d’action sur ce sujet, précisant qu’il est nécessaire d’utiliser les moyens existants pour commercialiser les produits à l’intérieur et à l’extérieur du pays. A une question sur le taux de la participation du secteur du tourisme dans le produit national du brut, le ministre a indiqué que le secteur a participé avec 2%, ajoutant, par ailleurs, qu’en 2018 de nouvelles données et de nouveaux indicateurs nous encouragent d’élever le taux de participation au PIB. Interrogé sur les classifications des hôtels, le ministre a fait savoir qu’un comité de classification a été installé au niveau national à partir de deux étoiles et plus et d’autres comités au niveau régional de moins de deux étoiles. Nous sommes entrain de préparer une grande opération au niveau national pour classifier et re-classifier certains hôtels qui ont perdu leur qualité de service. Il est à noter que plus de 90 exposants, nationaux et internationaux ont participé à ce t évènement à vocation strictement professionnelle et opérant dans le domaine des équipements spécifiques aux activités et aux services dédiés aux secteurs mis en exergue dans son attitude. Les exposants présents, aux côtés des représentent plusieurs pays dont la France, le Portugal, la Turquie, la Tunisie. L’objectif principal est d’adopter les réponses les plus pertinentes aux différentes problématiques et attentes des professionnels du » Hors de chez moi « , de l’accueil et de l’hospitalité.
Procès du Hirak : Les accusés contestent le qualificatif de « séparatistes ».
C’est sous des slogans « vive le Rif, vive la patrie » et « la mort plutôt que l’humiliation » que l’audience de vendredi s’est ouverte à la Cour d’appel de Casablanca pour les 54 militants du Hirak. En effet, la première partie de l’audience du 26 janvier s’est principalement articulée sur le rapport des accusés avec Nasser Zafzafi et le port du drapeau du Rif. Le juge Ali Torchi a d’abord convoqué trois détenus poursuivis en état de liberté pour « participation à des manifestations non autorisées », « incitation à manifester », ou encore « atteinte à la dignité d’agents des forces de l’ordre ». Les médias marocains ont rapporté que Me Mohamed Aghnaj, a d’abord tenu à réagir à la décision du juge Ali Torchi de ne pas retenir les demandes de convocations de témoins formulées par la défense. « Bien que nous ne comprenions pas pourquoi la cour n’a pas donné suite à nos demandes, je vous prie, monsieur le juge de convoquer un certain nombre de témoins clés dans cinq dossiers sensibles », a interpellé l’avocat. Et pour cause les témoins réclamés par l’avocat attesteraient de l’ »innocence » de cinq détenus du Hirak. Ces derniers sont accusés entre autres d’avoir pris part à des manifestations violentes le 26 mars entre Imzouren et Beni Bouayach, d’avoir perçu de l’argent de l’étranger, ou encore d’avoir insulté les forces de l’ordre sur les réseaux sociaux. Le juge a alors répondu qu’il se prononcera sur la question une fois tous les accusés entendus. Par ailleurs, au cours de cette première partie de l’audience, le premier prévenu, propriétaire d’un café à Imzouren, a été interrogé par le juge sur ses rapports avec Nasser Zafzafi et son implication dans les manifestations du Hirak. « Je ne connais pas très bien Nasser Zafzafi et je n’ai rien à voir avec les manifestations », répond l’accusé, visiblement confus.
Rencontre entre le président sahraoui et Horst Kohler : Des discussions « franches » et « positives ».
La récente rencontre entre le président sahraoui, secrétaire général du Front Polisario, Ibrahim Ghali et l’envoyé personnel du secrétaire général des Nations unies au Sahara occidental, Horst Kohler a été qualifiée de « franche » et « positive » a déclaré en substance vendredi à Berlin M’hamed Kheddad, membre du secrétariat national du Front Polisario et coordonnateur sahraoui avec la Minurso. Celle-ci a notamment porté sur voies et moyens d’aboutir à une solution « pacifique, juste et durable » garantissant au peuple sahraoui le droit à l’autodétermination, Kheddad a aussi précisé que la rencontre de l’envoyé onusien avec la partie sahraouie qui s’est étalée sur deux jours a pris fin vendredi. Le Front a réaffirmé son soutien aux efforts de l’envoyé personnel et secrétaire général des Nation Unies à l’effet de parachever le processus de décolonisation du Sahara Occidental », a-t-il ajouté. Les discussions entre Kohler et le président sahraoui et la délégation qui l’accompagne ont débuté jeudi au bureau de l’envoyé onusien à Berlin (Allemagne), quelques jours avant les discussions prévues entre les deux parties au conflit au Sahara Occidental le Front Polisario et le Maroc- auxquelles a appelé l’ONU pour trouver une solution au conflit du Sahara occidental et garantir au peuple sahraoui son droit à l’autodétermination et à l’indépendance. Kohler avait adressé une invitation au président sahraoui ainsi qu’au ministre marocain des Affaires étrangères pour des consultations bilatérales entre le Front Polisario et le royaume du Maroc durant les mois de janvier et de février, en présence des pays observateurs l’Algérie et la Mauritanie, représentées par leurs chefs de la diplomatie, et ce dans le cadre des concertations en application des résolutions du conseil de sécurité et des efforts de l’ONU pour la décolonisation du Sahara occidental. Inscrit depuis 1966 sur la liste des territoires non autonomes, et donc éligible à l’application de la résolution 1514 de l’Assemblée générale de l’ONU portant déclaration sur l’octroi de l’indépendance aux pays et peuples coloniaux, le Sahara occidental est la dernière colonie en Afrique, occupé depuis 1975 par le Maroc.
Le prix du panier Opep à 68,46 dollars : L’or noir retrouve des couleurs.
Le prix du panier de référence du brut de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) s’est établi hier à 68,46 dollars le baril, contre 67,61 dollars la veille, a indiqué l’Organisation sur son site web. Introduit en 2005, le panier de référence de l’Opep comprend 14 types de pétrole, dont le Sahara Blend (Algérie), l’Iran Heavy (Iran), Es-Sider (Libye), Basra Light (Irak), Bonny Light (Nigeria), Arab Light (Arabie Saoudite), Girassol (Angola) et le Mery (Venezuela). Jeudi, les prix du pétrole repoussaient encore en fin d’échanges européens leur plus haut niveau depuis plus de trois ans, profitant de la dixième baisse hebdomadaire des stocks américains de brut et du bas niveau du dollar. En début de soirée, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en mars valait 70,88 dollars sur l’Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en hausse de 35 cents par rapport à la clôture de mercredi. Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de « light sweet crude » (WTI) pour la même échéance prenait 44 cents à 66,05 dollars. Peu avant, le Brent a touché 71,28 dollars et le WTI 66,66 dollars, à leur plus haut niveau depuis décembre 2014. « Il est évident que la baisse continue des stocks américains de brut et la faiblesse du dollar américain ont permis au pétrole d’effacer ses pertes de la semaine dernière », a commenté un analyste. Les stocks de pétrole brut ont affiché leur dixième semaine consécutive de baisse aux Etats-Unis la semaine dernière, selon des chiffres publiés mercredi par le département américain de l’Energie (DoE). Cette baisse des stocks américains rassure au moins à court terme les investisseurs, qui s’inquiètent de voir la production américaine augmenter. La semaine dernière, les Etats-Unis ont produit 9,88 millions de barils par jour, le plus haut niveau observé depuis que ces données ont commencé à être compilées en 1983. « Nous nous attendons à une hausse de la production mondiale, avec des puits plus efficaces et plus nombreux aux Etats-Unis et une augmentation des exportations d’autres pays non membres de l’Opep », ont estimé des analystes.
3.109 tentatives d´émigration clandestine déjouées en 2017 : » Un holocauste moderne «.
« L’émigration clandestine a atteint ces dernières années une proportion inquiétante, ces Algériens, qui risquaient leur vie dans des embarcations de fortune et de la mort en direction de l’autre rive de la Méditerranée, surtout que cela génère désormais, quasi quotidiennement, des drames en Méditerranée, un holocauste moderne « , écrit d’entrée de jeu la LADDH (ligue algérienne de défense des droits de l’homme), dans un communiqué vitriolé au regard de l’ampleur qu’est en passe de prendre ce phénomène. » A titre de comparaison, précise encore le même document, du 1 janvier 2017 au 31 décembre 2017, la LADDH a recensé plus 3.109 tentatives d’immigration clandestine déjouées par les gardes-côtes algériens sur le littoral de 1200 km de longueur « . La situation sociale, qui est pour beaucoup, n’en finit plus de se dégrader. Preuve en est que » seuls 10 % d’Algériens détiennent 80 % des ressources du pays, une situation très inquiétante et qui confirme que les différences s’agrandissent entre les classes du peuple de façon inédite dans l’histoire de l’Algérie « . Le communiqué finit par enfoncer le clou en livrant le détail des personnes ainsi interceptées durant l’année écoulée : » la LADDH attire l’attention de l’opinion publique nationale et internationale que les chiffres avancés font également état de 189 femmes, 839 mineurs, accompagnés ou bien non accompagnés « , ce qui est franchement énorme. Or, lesdits chiffres, » ne reflètent en aucun cas la réalité du terrain, puisqu’il s’agit uniquement des harragas qui ont été arrêtés, sans tenir compte de ceux qui sont morts noyés en mer lors de leur fatale aventure et qui n’ont jamais été repêchés à ce jour. C’est le cas aussi de ceux qui ont pu atteindre leur objectif en arrivant sur les côtes espagnoles ou italiennes. Aucune information, ni encore un chiffre ne sont, pour le moment, disponibles à propos de ces derniers « . » Cet état de fait conduit la LADDH, notamment le secrétaire national de la Ligue en charge de la communauté et des relations extérieures, Mahmoud Djenane, à prendre en charge ce lourd dossier , en absence de statistiques officielles, la LADDH a tenté de cerner le chiffre de ressortissants Algériens détenus à l’étranger en se basant sur les informations partielles collectées auprès des familles de détenus, dans les rapports des O.N.G , ces informations restent surement incomplètes et exigent plus d’efforts pour cerner de plus près ces chiffres plus de 17.500 algériens sont détenus en Europe « . Le document relève en outre que le » tout répressif » n’a rien réglé du tout. Les prétendants à une vie meilleure n’hésitent pas en effet à prendre le risque d’écoper d’une peine d’emprisonnement de deux mois, doublée d’une amende de 60.000 dinars. C’est dire qu’il y a bel et bien péril en la demeure, face aux horizons bouchés dont souffre la jeunesse algérienne.
Messahel pointe du doigt de nouveau le Maroc concernant le trafic de drogue : » On sait qui fait quoi «.
Le ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel, a affirmé vendredi qu’en matière de trafic de drogue « on sait qui fait quoi », soulignant que l’Algérien n’en est producteur. Dans un entretien à RFI, diffusé à partir d’Addis-Abeba et capté à Paris, le chef de la diplomatie algérienne a indiqué, à une question sur une « coupure » du dialogue entre l’Algérie et le Maroc dans la lutte contre le trafic de drogue, que le dialogue (entre les deux pays) « s’inscrit dans le cadre de la volonté politique des uns et des autres », faisant remarquer que l’Algérie « n’est pas un pays producteur de hachich, de drogue ou autre chose ». « Nous faisons en sorte que chacun essaie, par les moyens qu’il a, de lutter contre ce phénomène pour la stabilité de la région. Donc il va falloir que chacun fasse l’effort de son côté, sans qu’il n’y ait de grandes polémiques. On sait qui fait quoi et on sait qui est derrière quoi. Donc, ça, tout le monde le sait », a-t-il expliqué, faisant référence aux rapports des Nations unies « qui sont très, très clairs sur les trafics dans le monde ».Il a affirmé que c’est un phénomène mondial qui doit être pris en charge dans le cadre des Nations unies, « pour faire face à ce genre de fléau ». Le ministre des Affaires étrangères a rappelé, dans ce contexte, que lors de la conférence à Alger du Forum global de lutte contre le terrorisme, coprésidé par l’Algérie et le Canada, l’accent était mis sur le lien qu’il y a entre le crime organisé et la lutte antiterroriste « Aujourd’hui, le problème se pose qu’au niveau du Sahel il n’y a pas d’autre source que les grands trafics. Donc il y a la drogue, il y a le trafic humain », a-t-il insisté, préconisant une coordination des efforts « dans le cadre des mécanismes au sein de l’Union africaine et de l’organisation sous-régionale à laquelle nous appartenons pour lutter contre ce phénomène ». Sur un autre registre, le ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel, a indiqué vendredi que les Maliens doivent s’approprier le processus de mise en oeuvre de l’Accord d’Alger, soulignant que l’Algérie s’est « beaucoup » investie dans ce processus. « Nous nous sommes beaucoup investis dans le processus qui a amené aux accords d’Alger. Nous pensons, nous continuons à penser – d’ailleurs, tout comme pour ce qui est de la Libye -, que le problème concerne d’abord les Maliens, c’est à dire toutes les parties signataires. Il faut que les Maliens s’approprient le processus de mise en oeuvre des engagements qu’ils ont pris », a expliqué le chef de la diplomatie algérienne dans un entretien accordé à Radio France Internationale (RFI) captée à Paris, relevant que Maliens « en ont la capacité ».

Sur le muslim post.com, rien de neuf.

Sur agence media palestine.fr, rien de neuf.

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

Barack Obama à New York : « je suis un juif libéral »
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Barack Obama dit être un « juif libéral ». Les propos du président américain ont été prononcés lors d’un événement qui s’est déroulé cette semaine à New York
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Les services de l’Autorité Palestinienne arrêtent 3 prisonniers politiques et un détenu entame une grève de la faim
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Naplouse: l’intensification des Protestations contre les réductions de l’UNRWA
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Oglu: nous continuons à soutenir la cause palestinienne
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Le Likoud propose à la Knesset un projet d’annexion de la Cisjordanie occupée
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19 colons prennent d’assaut la mosquée al-Aqsa
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Israël réprimande l’ambassadeur polonais à cause de l’Holocauste
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Israël prêt pour la paix avec les Palestiniens, prétend Netanyahou
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Un congrès international pour discuter la crise monétaire de l’UNRWA
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Khatib: L’escalade des incursions d’al-Aqsa nécessite une position sérieuse
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3 jeunes arrêtés à l’ouest de Jénine
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Pour Abbas, les accords d’Oslo sont morts
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Les forces d’occupation dévastent une mosquée à Hébron
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Le Hamas organise une manifestation à Khan Younès
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Des combattants de la résistance tirent sur une patrouille de l’occupation au nord de la Cisjordanie
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Londres: un congrès pro-palestinien dénonce la Déclaration de Trump sur Jérusalem
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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