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Flash info du 4 Dhou al Qa’da 1438.

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France : Saint-Etienne-du-Rouvray : « Non, la haine n’a pas triomphé et elle ne triomphera pas ».
Un hommage national a été rendu au matin du mercredi 26 juillet au Père Jacques Hamel à Saint-Etienne-du-Rouvray (Seine-Maritime).
Une messe a d’abord été célébrée à 9h à l’église de Saint-Etienne de Saint-Etienne-du-Rouvray par Mgr Dominique Lebrun, archevêque de Rouen. Le président de la République Emmanuel Macron, son Premier ministre Edouard Philippe et le ministre de l’Intérieur Gérard Collomb y ont assisté aux côtés de Roselyne Hamel, la sœur du prêtre, de Joachim Moyse, maire de la ville, et du député Hubert Wulfranc.
« Vous êtes là ce matin, entourés mais encore atterrés, peut-être révoltés ou simplement fatigués, après une année particulièrement difficile », a déclaré Mgr Lebrun. « Aujourd’hui, nous faisons mémoire d’un père qui continue de veiller sur nous. Le père Hamel a été réduit au silence. Non, la haine n’a pas triomphé et elle ne triomphera pas. »
« La République n’a pas à combattre la religion, ni à se substituer à elle »
Aux alentours de 10h, une stèle républicaine pour la paix et la fraternité a été dévoilée. « A la mémoire de Jacques Hamel, prêtre catholique », est-il inscrit, accompagné des articles de la Déclaration universelle des droits de l’homme de 1948.
« La Déclaration rappelle notre attachement aux valeurs républicaines qui sont les nôtres : la liberté, l’égalité et la fraternité », a expliqué le maire de Saint-Etienne-du-Rouvray, en présence du chef de l’Etat. « La cicatrisation sera longue. Mais le sang versé nous a mobilisé dans notre irréversible volonté de vivre ensemble. Pour qu’à jamais, les Stéphanais et les Stéphanaises demeurent unis dans l’espoir et dans la paix », a-t-il ajouté.
Emmanuel Macron, pour qui « le visage de Jacques Hamel est devenu le visage de ce qui, en nous, refuse cette culture de mort, et ce terrorisme arrogant. », a salué la réaction des catholiques, les remerciant « d’avoir trouvé la force du pardon, d’avoir refusé cette soif de vengeance et de représailles ».
« La République, oui, repose sur l’amour et le respect de l’humanité. Chacun œuvre à cet idéal, avec ses croyances, avec sa philosophie, sa morale. Lorsque c’est la foi qui soutient cet idéal, elle a toute sa place dans la République. C’est pour cela que la République garantit la liberté de croire, comme la liberté de ne pas croire. C’est pour cela qu’elle protège les lieux de culte. La République n’a pas à combattre la religion, ni à se substituer à elle. Elle œuvre chaque jour à ce que chacun puisse croire, en homme libre », a-t-il indiqué.
« Passons ensemble vers la lumière de l’amour ! »
« Permettez-moi, au nom même du Père Jacques Hamel, de lancer cet appel à ceux qui hésitent encore : quittez l’ombre de la haine, passons ensemble vers la lumière de l’amour ! Quittez l’ombre de la division et passons ensemble à la lumière de l’unité ! Quittez l’ombre des mensonges, des égoïsmes et des égos, passons ensemble à la lumière de la vérité et de la fraternité ! Quittez l’ombre de la guerre, passons ensemble à la lumière de la paix ! », a fait part Mgr Lebrun.
La cérémonie prend fin à 18h avec une prière du soir (vêpres) à la basilique Notre-Dame de Bonsecours, suivie d’un temps de prière sur la tombe du père Jacques Hamel avec la délégation musulmane qui prendra la parole.
saphirnews.com
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France : Calais : la police accusée de gazages routiniers au poivre contre les migrants.
La police française est accusée par un rapport de Human Rights Watch (HRW) d’utiliser régulièrement du gaz de poivre contre les migrants à Calais.
« L’usage de sprays au gaz poivre par la police à Calais est tellement répandu que beaucoup de demandeurs d’asile et de migrants avaient du mal à se rappeler précisément combien de fois ils en avaient été victimes », rapporte l’organisation de défense des droits humains dans le rapport « ‘C’est comme vivre en enfer’ : Abus policiers à Calais contre les migrants, enfants et adultes ».
Entre fin juin et début juillet 2017, HRW a interrogé 61 migrants dont 55 qui se souviennent avoir subi un gazage pendant leur sommeil, quelques jours avant l’entretien. Le rapport explique que ces opérations provoquent « une cécité temporaire, de fortes douleurs oculaires et des difficultés respiratoires, qui durent en général de 30 à 40 minutes ».
« Parfois ils aspergent même de gaz poivre la nourriture et l’eau des migrants – tout cela apparemment dans le but de les pousser à quitter la région », indique également l’ONG. « De tels agissements de la part de la police violent l’interdiction d’infliger un traitement inhumain et dégradant, mais aussi les normes internationales de comportement des forces de l’ordre. »
« On est dans des pratiques qui s’inscrivent dans la routine, sans qu’il y ait de sanctions, alors que ce sont des abus graves », affirme Bénédicte Jeannerod, directrice de HRW France. Waysira, un des adolescents interrogés, témoigne que « chaque jour, la police nous poursuit. Ils utilisent leurs sprays. Ils nous donnent des coups de pied. C’est ça notre vie, tous les jours ».
Fabien Sudry, préfet du Pas-de-Calais a « réfuté catégoriquement les allégations mensongères et calomnieuses » de l’ONG. « Les forces de police agissent bien entendu sur Calais dans le respect des règles de l’État de droit, avec le seul objectif de faire respecter l’ordre et la sécurité publics », a-t-il ajouté.
saphirnews.com
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Leçons vénézuéliennes.
La déstabilisation à grande échelle subie par le Vénézuela – dernier épisode d’une guerre larvée contre cet empêcheur de tourner en rond dans “l’arrière cour” impérialiste – vient administrer quelques leçons que les partisans d’un changement radical – c’est-à-dire tout autre que cosmétique – gagneraient à méditer. La première leçon, c’est qu’on ne peut construire une alternative politique sans prendre le risque d’un affrontement décisif avec les détenteurs du capital, qu’ils soient à l’intérieur ou à l’extérieur des frontières. Par alternative politique, on entendra exactement l’opposé de ce que l’on nomme “alternance”, c’est-à-dire la simple permutation des équipes au pouvoir. C’est un processus beaucoup plus profond, qui ne se contente pas de quelques modifications de surface, mais qui met explicitement en jeu les structures déterminant la répartition des richesses.
Cette alternative politique s’identifie donc avec la reprise expresse, par le peuple, des attributs de la souveraineté. Elle suppose la rupture des liens qui rattachent le pays au capital étranger dominant et au capital local “compradore” qui en dépend. Mais c’est une tâche colossale. A peine entreprise, la pesanteur objective des structures s’y conjugue avec la guerre acharnée que mènent les nantis pour conserver leurs privilèges de classe. La presse internationale décrit le Vénézuela comme un pays en faillite, mais elle oublie de préciser que cette faillite est celle d’un pays capitaliste latino-américain. Ce pays a accompli des progrès significatifs jusqu’en 2014, mais l’absence de transformation structurelle l’a laissé dans l’ornière de la dépendance économique. Ruiné par la chute des cours du pétrole, il n’a pas su – ou pu – bâtir un modèle alternatif.
Si les nervis de la droite vénézuélienne se déchaînent dans les rues de Caracas sous les vivats de la presse bourgeoise et des chancelleries occidentales, c’est parce que Maduro n’est ni Castro ni Tsipras. S’il était Castro, c’est-à-dire si le Vénézuéla avait pleinement restauré sa souveraineté et s’était engagé dans un processus de développement autonome non capitaliste, il n’y aurait pas de nervis à Caracas. Mais c’est de la politique fiction : Maduro n’est pas Castro, et le Vénézuela n’est pas Cuba. Inversement, Maduro n’est pas non plus de la graine d’un Tsipras. Il n’entend pas rendre les armes et céder à l’opposition malgré la crise économique gravissime que connaît le pays. Résolu – ou résigné – à occuper cet entre-deux, Maduro ne peut ni renier un chavisme dont il est l’héritier ni pousser les feux d’une “révolution bolivarienne” que la paralysie économique du pays et la victoire électorale de l’opposition ont suspendue de facto.
La crise qui sévit depuis 2014 a tendance à le faire oublier, mais le chavisme fut porté par un puissant mouvement social qui est loin d’avoir disparu – comme en témoigne la grande manifestation chaviste du 19 avril 2017 -. Depuis la première élection de Chavez en 1998, il a combattu les préjugés de race et de classe. Il a fait reculer de manière spectaculaire la pauvreté et l’analphabétisme. Nationalisant le pétrole, il a restitué à la nation la maîtrise de ses ressources naturelles. Bouleversant la politique étrangère du pays, il a rompu avec Israël, inventé l’alliance bolivarienne et défié l’Oncle Sam au coeur de son “arrière-cour” sud-américaine. Approuvé par le peuple vénézuélien, le chavisme a bousculé le désordre établi de manière séculaire en Amérique latine au profit des firmes multinationales nord-américaines et de la bourgeoisie raciste qui leur sert de VRP.
Bien sûr, la “révolution bolivarienne” n’a pas supprimé du jour au lendemain tous les maux de la société vénézuélienne, et elle traîna avec elle son lot d’erreurs et d’imperfections. Elle a utilisé la manne pétrolière pour sortir de la misère les couches sociales les plus déshéritées, mais elle a renoncé à transformer les structures sociales profondes du pays. Au Vénézuela, l’économie est toujours entre les mains d’une bourgeoisie réactionnaire qui en organise le sabotage pour exaspérer la crise et chasser Maduro du pouvoir. Ce n’est pas le gouvernement qui crée une inflation à trois chiffres, et l’immobilisme auquel le condamne une majorité parlementaire hostile devrait au moins tempérer les jugements hâtifs portés sur les responsabilités de l’exécutif.
Depuis l’élection de cette majorité réactionnaire, en décembre 2015, la droite vénézuélienne ouvertement appuyée par Washington et relayée par des médias locaux affidés rêve d’abattre Maduro et de liquider le chavisme. La “révolution bolivarienne” eut beau n’avoir de révolution que le nom, elle ne pouvait que déchaîner la haine revancharde des nantis et susciter l’hostilité mortifère des USA. Lorsqu’elle s’indigne des victimes – présumées – de la répression policière plutôt que des sanglantes opérations de l’ultra-droite, la gauche bien-pensante oublie qu’une protestation de rue n’est pas toujours progressiste, qu’une revendication démocratique peut servir de paravent à la réaction, et qu’une grève peut contribuer à la déstabilisation d’un gouvernement de gauche, comme le mouvement des camionneurs chiliens en fit la démonstration en 1973.
La leçon a été oubliée par les progressistes boboïsés des pays riches, mais les vrais progressistes latino-américains le savent : si l’on veut changer le cours des choses, il faut agir sur les structures. La nationalisation des secteurs-clé, la protection contre la mondialisation libérale, la restauration de l’indépendance nationale, la consolidation d’une alliance internationale des Etats souverains, la mobilisation populaire pour une meilleure répartition des richesses, l’alphabétisation, l’éducation et la santé pour tous sont les différentes facettes d’un même projet progressiste. Contrairement à ce que prétend une idéologie qui recycle les vieilles lunes social-démocrates, ce n’est pas sa radicalité qui condamne un tel projet à la défaite, mais la peur de l’assumer.
Dès qu’il s’attaque aux intérêts géopolitiques et géo-économiques des puissances dominantes, le projet progressiste franchit la ligne rouge. Ce cap une fois passé, toute imprudence peut devenir fatale. L’impérialisme et ses exécutants locaux ne font pas de cadeaux. Pourquoi faudrait-il leur en faire ? Franco n’a laissé aucune chance à la République espagnole (1936), ni la CIA à Mossadegh (1953), ni Mobutu à Lumumba (1961), ni Suharto à Soekarno (1965). Allende commit l’erreur tragique de nommer Pinochet au ministère de la Défense, et Chavez dut son salut en 2002 à la fidélité de la garde présidentielle. Il ne suffit pas d’être du côté du peuple, il faut se donner les moyens de ne pas le perdre en laissant ses ennemis prendre le dessus. Comme disait Pascal, il ne suffit pas que la justice soit juste, il faut aussi qu’elle soit forte.
Comme d’habitude, la majeure partie de la “gauche” occidentale ne comprend rien et elle hurle avec les loups. Comme si sa seule source d’information était “Le Monde”, elle exige de Maduro qu’il renonce au pouvoir pour mettre fin à la crise. Face à la rébellion de quelques milliers de fils de famille et d’une masse de lumpen-prolétaires manipulés, le président élu du Vénézuela devrait aller à Canossa. Capitulant devant la rue, il devrait renoncer à la convocation d’une Assemblée constituante (le 30 juillet) dont le mérite est pourtant, comme son nom l’indique, de remettre le pouvoir entre les mains du peuple. Faute d’avoir pu lui infliger le sort d’Allende, cette gauche “humaniste” se réjouirait, sans doute, de le voir finir comme Tsipras. Ce n’est pas gagné d’avance, et le peuple vénézuélien tranchera.
oumma.com
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Palestine : Jérusalem : crise des portiques ou éruption du chaudron colonial ?
Dans la nuit du 24 juillet, Benyamin Netanyahu a décidé de retirer les portiques de la discorde aux abords de l’Esplanade des mosquées au profit d’un système de surveillance aux contours encore flous mais que l’on sait plus discret. Israël a écouté les recommandations de son service de sécurité intérieur, le Shin Bet, qui martelait depuis plusieurs jours qu’ils ne constituaient pas un outil efficace pour lutter contre l’insécurité rampante sur l’Esplanade, alors que cinq Palestiniens et trois colons ont été tués depuis vendredi. Israël s’est plié aux injonctions de la communauté internationale, appelant courageusement au respect du statu quo de 1967 confiant la gestion de la sécurité du Haram el Sharif (le noble sanctuaire) à la Jordanie. Un retour au calme est annoncé, les passions religieuses des Palestiniens ayant été satisfaites. Ouf. Circulez, il n’y a plus rien à voir.
Voici, en substance, ce que l’on pouvait lire ce matin dans la plupart des grands titres de presse internationaux. Brillaient par leur absence toutes références explicites aux effets de la colonisation forcenée de Jérusalem depuis son annexion en 1967 et de la situation catastrophique à Gaza, que le blocus et la pénurie organisée d’électricité continuent d’asphyxier, comme si rien de tout cela n’était lié. C’est à se demander si le bureau de presse de Netanyahu ne leur a pas mâché le travail…
Commençons par appeler un chat un chat. Ce à quoi nous avons assisté à Jérusalem est un acte massif de désobéissance civile. Les Israéliens ont joué la carte de la sécurité pour s’assurer d’un contrôle plus étroit des abords de l’Esplanade, rompant de fait avec la logique du statu quo et faisant peser comme à son habitude la responsabilité de l’assassinat des policiers israéliens sur l’ensemble de la population palestinienne de Jérusalem. Mais les Palestiniens ont refusé de jouer le jeu de cet humiliant et inutile contrôle de sécurité. La désobéissance civile a ratissé bien plus large que le refus d’islamistes supposés, comme voudrait nous le faire croire l’extrême-droite religieuse et nationaliste israélienne, toujours prompt à instrumentaliser le fait religieux pour mieux dépolitiser l’analyse des mobilisations populaires palestiniennes – et, ainsi, dédouaner la puissance occupante et colonisatrice de toute responsabilité.
La solidarité active des Palestiniens chrétiens, venus nombreux aux abords de l’Esplanade des mosquées protester contre l’érection des portiques de sécurité, montre bien que la violation de la souveraineté des lieux saints musulmans n’est pas qu’une question strictement religieuse. L’opposition multiconfessionnelle à la provocation intrusive des forces de sécurité israéliennes nous rappelle que c’est d’une lutte de libération nationale dans un contexte colonial qu’il s’agit, d’une lutte contre l’accaparement de la seule partie de la Palestine qui ne soit pas sous contrôle israélien, d’une lutte contre l’effacement de leur présence historique et politique à Jérusalem, d’une lutte contre une étape supplémentaire de la colonisation de leur ville. Mais de tout cela, pas un mot.
Depuis la conquête de la partie orientale de la ville en 1967, Israël a fait de « Jérusalem réunifiée la capitale éternelle et indivisible du peuple juif ». Mesure-t-on la violence raciste de cette déclaration ? Réalise-t-on l’étendue des politiques publiques de dépossession déployées à l’encontre des « résidents permanents » palestiniens qui, pourtant soumis aux mêmes impôts que les Israéliens, ne disposent d’aucun droit politique, d’aucune protection juridique contre la violence des colons et des arrestations arbitraires de la police, d’aucune autorisation pour assurer le bon développement de leur communauté ? Nous contenterons-nous d’une opposition de principe à la colonisation de peuplement de la partie orientale de la ville à chaque annonce de construction de nouveaux blocs de logement, judaïsation de fait visant à rendre impossible la perspective d’en faire un jour la capitale d’un Etat palestinien souverain ?
Mais de tout cela, pas un mot. De la menace proférée par Tzachi Hanegbi, ministre de la coopération régionale et proche de « Bibi », menaçant les Palestiniens d’une troisième Nakba – c’est à dire d’une expulsion massive et donc d’un nettoyage ethnique – s’ils ne rentraient pas dans le rang, là non plus, pas un mot. Emmanuel Macron préfère garder le silence. C’est vrai qu’il avait déjà tout dit en annonçant, l’air grave, en présence de son « cher Bibi », « que l’antisionisme est une forme réinventée de l’antisémitisme ». L’Union Juive Française pour la Paix tient à apporter tout son soutien aux Palestiniens en lutt e à Jérusalem.
Le Bureau national de l’UJFP, le 25 juillet 2017.
oumma.com
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####### Aujourd’hui en Palestine #######
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Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
30 Journalistes blessés en deux semaines dans les évènements d’al-Aqsa
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Le Forum des médias palestiniens a fermement condamné les attaques continues de l’occupation contre les journalistes, indiquant que plus de 30 journalistes ont été différemment blessés au cours des deux dernières semaines
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Haniyeh adresse des messages aux dirigeants des pays arabes et islamiques pour soutenir Al-Aqsa
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400 mineurs palestiniens incarcérés dans les geôles de l’occupation
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La Knesset sioniste ratifie une loi consacrant le contrôle de Jérusalem
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Hébron: La Paix maintenant appelle à évacuer la maison volée par les colons
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CJUE: le Hamas retiré de la liste terroriste de l’UE
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Jérusalem occupée: des caméras de surveillance intelligentes installées dans les 6 mois
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Des colons prennent d’assaut une maison pour la confisquer
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Guerre américano-sioniste contre les militants de BDS
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Un Gazaoui arrêté par l’occupant sur les frontières de la Bande de Gaza
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L’occupation transfère le prisonnier gréviste Diab en détention administrative
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L’occupation arrêtent des citoyens à jérusalem
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Jordanie: Funérailles de masse pour un civil assassiné par l’agent de sécurité de l’ambassade sioniste
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Blessés et arrestations dans la répression des fidèles près d’al-Asbat
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Autriche: Un palestinien condamné à la perpétuité pour avoir planifié un attentat contre l’occupation
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Le Hamas appelle à une intervention urgente pour protéger Al-Aqsa des projets sionistes
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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Flash info du 24 Joumada Al Awwal 1438.

Flash info du 24 Joumada Al Awwal 1438.
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France : L’Etat offre une prime de 200 euros pour l’achat d’un vélo électrique.
Depuis samedi, l’Etat offre à tout acheteur d’un vélo à assistance électrique une prime de 200 euros. Un coup de pouce visant à encourager les Français à se déplacer au moyen de « mobilités douces ».
Vous avez un an pour en profiter. Jusqu’au 31 janvier 2018, l’Etat propose une subvention de 200 euros à tout acheteur – particulier ou entreprise – d’un vélo à assistance électrique (VAE). Visant à encourager le développement des mobilités douces, cette aide est similaire au « bonus écologique » mis en place depuis 2008, qui permet de bénéficier d’une aide financière pour l’achat d’un véhicule neuf peu polluant. Dans le décret publié samedi au Journal Officiel, il est précisé que cette prime concerne « l’acquisition ou la location de véhicules à moteur à deux ou trois roues et de quadricycles à moteur électriques d’une puissance maximale nette du moteur inférieure à 3kW et n’utilisant pas de batterie au plomb ». Autrement dit, les trottinettes électriques ou gyropodes peuvent aussi faire l’objet d’un remboursement, à la condition de recourir à une batterie autre qu’au plomb.
Comment obtenir cette aide?
Comment bénéficier du bonus, valable à compter de ce dimanche? Rien de plus simple: il suffit simplement d’envoyer sa facture d’achat à l’Agence de services et de paiement. Un coup de pouce non négligeable, quand le prix d’un vélo électrique s’élève en moyenne à 1000 euros. Mais cette subvention « est exclusive de toute autre aide allouée par une collectivité publique ayant le même objet », précise le décret, alors qu’une quarantaine de communes en France proposent déjà une aide à l’achat d’un vélo électrique. Ainsi, la ville de Paris prend en charge 33% du prix d’achat d’un VAE, jusqu’à 400 euros, rappelle Le Parisien. Enfin, « une personne physique ne peut bénéficier qu’une fois » de ce bonus, indique le décret. Selon Le Télégramme, un site conçu spécifiquement pour ce dispositif ouvrira « dans les prochaines semaines ».
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Espagne : manifestation monstre à Barcelone pour l’accueil des réfugiés.
Près de 160 000 personnes ont défilé dans la capitale catalane pour exiger de l’Espagne et de l’Union européenne l’accueil de milliers de réfugiés.
Quelque 160 000 personnes ont participé samedi à une manifestation à Barcelone pour réclamer que l’Espagne accueille «dès maintenant» des milliers de réfugiés comme elle s’y était engagée en 2015, selon une estimation de la police municipale. La maire de gauche de la deuxième ville d’Espagne, Ada Colau, avait appelé les manifestants à «emplir les rues» pour cette marche intitulée «nous voulons accueillir« («volem acollir», en catalan).
Le défilé était organisé par la plateforme «Chez nous c’est chez vous». En vertu de ses engagements envers l’Union européenne, l’Espagne devait recevoir quelque 16.000 candidats à l’asile déjà admis dans d’autres pays, à partir de 2015. Mais seuls 1 100 sont arrivés jusqu’à présent. Les manifestants étaient nombreux à porter sur eux la pancarte «plus d’excuses, accueillons maintenant».
En Europe, «très peu a été fait, particulièrement en Espagne», a confié Jacint Comelles, 62 ans, venu manifester en famille. «Nous réclamons ce minimum de dignité, qu’au moins ce nombre de réfugiés-là puisse arriver. En Catalogne, tout est prêt pour les accueillir».
Le plan de Barcelone pour accueillir des réfugiés.
Mercredi, la présidente de la députation provinciale de Barcelone, Mercè Conesa, avait jugé «honteux» que l’Espagne n’ait accueilli qu’un millier de réfugiés. Aux côtés de maires de villes de Catalogne, elle avait demandé que la Commission européenne «commence à sanctionner de façon sévère» les pays ne respectant pas leur engagement en la matière.
Barcelone avait présenté dès le mois d’août 2015 un plan pour accueillir des réfugiés en provenance de Syrie, d’Irak, d’Afghanistan ou d’Erythrée. Mais en 2016, la maire de la ville Ada Colau avait déploré le faible nombre de réfugiés accueillis en Espagne et, à Bruxelles, avait «critiqué la réponse donnée par l’Europe» à la crise des migrants.
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France : Comme Théo, Alexandre a été violé par des policiers : « Ils ont pris mon intimité ».
Le tribunal de Bobigny va rendre son jugement à l’encontre d’un policier municipal, poursuivi pour violences volontaires et non pas pour viol, ce que ne comprend pas la victime.
Alors que l’affaire Théo est dans tous les esprits, le tribunal de Bobigny rend lundi son jugement à l’encontre d’un policier municipal de Drancy, en Seine-Saint-Denis. Il est accusé d’avoir violenté avec sa matraque le jeune Alexandre, lors d’une arrestation mouvementée il y a un an et demi.
« Ils ont pris mon intimité ». Depuis, Alexandre, 28 ans, a toujours des séquelles. « J’ai toujours des saignements. La nuit, je fais des cauchemars. Tout le monde parle sur moi dans la rue. Je suis suivi par un psychologue, je me sens mal », confie-t-il. Le mois dernier, le procès n’a rien arrangé. Le policier municipal n’a livré aucune explication. Quant au procureur, il a évoqué une pénétration quasi-accidentelle. Un argumentaire inacceptable pour Alexandre. « Ils ont pris mon intimité. Il y en a un qui m’a dit : ‘Tu te rappelleras de la police municipale' », se remémore-t-il. « Pour moi, ce n’est pas une violence volontaire. C’est un viol », insiste le jeune homme.
Un seul policier poursuivi sur les trois présents. Dans cette affaire, Alexandre dénonce une forme de « deux poids, deux mesures ». « Pour moi, la justice est différente pour les jeunes et pour les policiers. Si c’était moi, ce serait un viol, je serais en prison avec un mandat de dépôt », estime-t-il. « Le pire, c’est qu’il [le policier] travaille. Il n’y a pas de sanctions, il n’y a rien », peste le jeune homme. Alexandre ne comprend pas non plus pourquoi un seul des trois policiers municipaux se trouve sur le banc des accusés. « Pourtant, quand il m’a rentré la matraque, ses collègues me tiraient bien les épaules, avec les menottes dans le dos et allongé sur le ventre », témoigne-t-il.
Six mois de prison avec sursis requis. Au procès, le policier municipal « a parlé comme si j’étais un chien », dénonce Alexandre. « Les juges ont même constaté qu’il me parlait comme si j’étais un animal. Il ne s’est même pas excusé, rien… », déplore-t-il. En pleine affaire Théo, Alexandre espère voir le policier lourdement condamné. Bien plus que les six mois de prison avec sursis, requis par le procureur.
Reportage vidéo a voir sur www.mouslimradio.info.
w w w . m o u s l i m r a d i o . i n f o .

Comme Théo, Alexandre a été violé par des… par Europe1fr
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Crowdfunding Musulman: un modèle social pour la communauté.
Dans un monde où les inégalités se creusent, il est vital de revenir au message coranique sur le partage des richesses et l’importance de contribuer au développement de sa communauté.
Les associations ou bien les entrepreneurs sont les mieux placés pour savoir combien il est parfois difficile de de lever des fonds pour financer des projets. Le terme Crowdfunding, vous parle peut-être, c’est la nouvelle tendance aujourd’hui qui surfe sur internet pour financer des projets par le plus grand nombre.
Il ne fallut pas très longtemps pour que la communauté musulmane s’en empare et y trouve sa version islamique. Comme toujours, c’est la communauté musulmane anglo-saxonne qui fut la pionnière avec le lancement de nombreuses plateformes de financement tel que Halalfunder.com, launchgood.com etc…
De quoi s’agit-il ? Le principe réside dans la possibilité offerte à tout un chacun via des sites internet dédiés, d’investir financièrement selon ses moyens à un ou plusieurs projets au bénéfice de la communauté musulmane.
Les initiatives sont diverses et nombreuses et vont de l’achat de locaux pour la création de groupes scolaires privés musulmans ou l’achat fourniture d’équipements et matériels scolaire ou encore des prêts sans intérêt pour des étudiants et ou bien des créateurs d’entreprise…etc.
Il existe actuellement principaux acteurs au sien de la communauté musulmane en France respectueuses des principes de l’Islam dans le cadre du Crowdfunding : easiup.fr et aoon.org .On compte également un nouveau venu musulman-participatif.com
Alors si vous aussi, vous voulez devenir acteur de votre communauté et contribuer à votre tour au bénéfice de nos frères et sœurs ici en France, les projets ne manquent pas. Devenir bienfaiteur ou donateur est à la portée de tous, il n’y a pas de petits de dons, n’oublions pas que les plus grands fleuves ne sont en définitive qu’une somme de gouttes d’eau.
Celui qui contribue à une œuvre pérenne trouvera sa récompense auprès de Son Seigneur, innshaAllah.
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Le saviez-vous ? Le précieux apport d’Al-Zahrawi dans médecine actuelle.
D’un point de vue scientifique ou intellectuel, le monde musulman n’a rien à envier à l’Occident. De prestigieux savants, scientifiques et médecins ont contribué à la connaissance des techniques et de l’anatomie du corps humain.
L’un des plus célèbres se nomme de son nom complet Abu Al-Qasim, ou Abū al-Qāsim Khalaf ibn Abbās al-Zahrāwī, connu en Occident sous le nom de Abulcasis ou Albucasis et en France sous le nom d’Aboulcassis. Considéré comme l’un des plus grands chirurgiens du monde musulman, il a écrit le Al-Tasrif (La pratique), une encyclopédie médicale qui fait le bilan des connaissances médico-chirurgicales de son époque, confrontées à sa propre expérience personnelle.
Dans son livre très complet pour l’époque, il aborde plusieurs points révolutionnaires comme le régime chez l’enfant et les vieillards, la goutte, les rhumatismes, les abcès, les plaies, les poisons et les venins, les affections externes de la peau, la fièvre,et surtout la chirurgie.
Il précise la chirurgie opératoire et signale les dangers possibles et les moyens de les éviter. La partie chirurgicale de son oeuvre a très tôt intéressée l’Occident et partout son ouvrage fut imprimé à grande échelle, pour devenir une référence en matière de chirurgie.
Sa science dépassait les simples techniques médicales puisqu’il était aussi un précurseur dans d’innombrables avancées chirurgicales comme la méthode de traitement d’une peau disloquée, l’appareil dentaire ou encore les grossesse extra-utérines.
Ce célèbre chirurgien musulman a marqué l’Histoire avec son encyclopédie composée de trente livres qui représente une mine d’or pour la médecine actuelle.
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Islam à Taïwan: partagé entre le poids des traditions et l’espoir du renouveau.
Chaque Joumou’aa environ 1 millier de fidèles se réunissent dans la grande mosquée de Taipei, nichée au cœur de la capitale, pour la prière hebdomadaire. En proportion, seuls 20% des fidèles sont d’origine taïwanaise, la majorité proviennent d’Indonésie,du Pakistan, de la Malaisie mais aussi d’Afrique et du Moyen-Orient. La mosquée date de 1960 et fut construite grâce aux dons de la communauté locale et à l’aide financière de l’Arabie Saoudite. Depuis des liens étroits demeurent comme en témoigne la visite symbolique du roi saoudien Fayçal en 1971.
Selon le président de la grande mosquée de « la ville du nord », Omar Yang :
«Il y a une crise de la foi parmi la communauté musulmane ici, qui découle principalement de l’absence d’éducation sur l’islam pour la jeune génération. Le poids de la culture locale et la persistance des traditions chinoises ont conduit à la disparition progressive des pratiques islamiques».
Lors d’un entretien accordé à Al-Jazeera, il relate cette histoire émouvante d’une famille ancienne de Taipei qui a découvert tardivement que leurs ancêtres étaient musulmans. Ainsi, ils honoraient par héritage certaines pratiques islamiques comme la non consommation de porc mais pratiquaient aussi des rites traditionnels extérieurs à la religion de Muhammad (PBSL). Un jour, en ce rendant au sanctuaire familiale, ils découvrirent, parmi les legs laissés par leurs ancêtres, un exemplaire du Saint Coran en langue arabe.
Pour Omar Yang, c’est une tragédie car «La connaissance de l’Islam n’est pas transmise à la prochaine génération».
Pourtant, l’histoire de l’implantation des premiers musulmans sur l’île autrefois appelée Formose remonte à 1683 sous le règne de la dynastie des Qing. Puis avec le temps, la grande majorité d’entre eux furent assimilée par la culture dominante chinoise et progressivement la pratique de l’islam déclina.
En 1949, c’est l’arrivée des soldats du Kuomintang (KMT), le Parti nationaliste chinois dirigé par le général Chiang Kaï-chek, qui fuient le communisme de Mao Zedong. Le tiers d’entre eux, soit environ 20 000 personnes sont des Hui, une ethnie chinoise musulmane. Selon un rapport de 2012 de l’institut Pew Research Center, les musulmans représentent moins d’ 1% de la population totale de 23 millions de personnes.
Pour Yang, c’est une question de survie ; la « petite » république de Chine défie depuis 1945 la république Populaire de Chine ; Taïwan n’est toujours pas membre des nations unies et son statut de nation indépendante reste fragile.
Une de ses plus grandes réalisations a été la mise en place d’un régime démocratique qui reconnaît officiellement 26 religions, dont l’islam, connu sous le nom «Hui Jiao, la religion du peuple Hui». Le petit pays occupe le deuxième rang dans le monde dans l’indice de diversité et de tolérance religieuse, après Singapour (Selon un rapport de 2014 du Pew Research Center).
Si la tolérance envers tous les cultes est grande dans ce pays, les jeunes générations sont très fortement imprégnées par les us et coutumes de l’imposant voisin continental. Yang Sharifa, une étudiante de 21 ans, témoigne :
« Grandir à Taïwan, ce n’est pas évident, au sujet de mon identité je sentais toujours une contradiction entre la culture taïwanaise et l’islam ».
Beaucoup de jeunes musulmans déboussolés priorisent à tort la culture chinoise sur leur identité d’origine. Elle poursuit:
« Je pense que les jeunes musulmans taïwanais souffrent de la faible connaissance de leur religion parce qu’ils ne viennent pas à la mosquée pour apprendre, mais aussi parce que l’environnement taïwanais les influence ».
Leur méconnaissance de l’Islam découle aussi d’un manque de connaissance de leur propre histoire ; l’attrait pour la culture chinoise est défini par le travail, la richesse et le statut, un modèle de société matérialiste en contradiction avec les valeurs islamiques.
Désormais, Le renouveau de l’Islam sur l’île est symbolisé par l’émergence des nouveaux convertis taïwanais et l’arrivée d’une nouvelle vague de populations de travailleurs migrants en provenance de pays musulmans.Par exemple, à elles seules , les travailleuses domestiques indonésiennes représentent une population de 200 000 personnes. A tel point que le bahasa est maintenant la troisième langue d’affichage à la Grande Mosquée de Taipei, après le mandarin et l’arabe.
C’est un signe d’espoir pour l’Imam d’origine syrienne, Omar Ayash, qui officie à la Grande Mosquée de Taipei. Selon lui, il est plus facile d’enseigner l’islam à cette nouvelle génération qui n’a pas été exposée aux méthodes traditionnelles du passé. Il précise que :
«L’islam à Taïwan a été mélangé avec le confucianisme, le bouddhisme et le taoïsme » ce qui explique à ses yeux pourquoi cela rend si difficile d’enseigner les rites et le dogme musulman à l’ancienne génération. »
Avec cette récente vague d’immigration, La petite communauté musulmane du pays tente de redéfinir son identité ; un nouveau paysage social et religieux se dessine lentement à Taïwan. Dans un pays majoritairement bouddhiste, l’arrivée de nouvelles et diverses populations musulmanes participe au remodelage de la société taïwanaise moderne.
Masha Allah, un exemple de plus de cette magnifique capacité de l’Islam à s’enraciner dans un pays quel que soit la culture et la tradition d’origine.
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Etats-Unis : « Aujourd’hui, je suis aussi musulman » scandé dans les rues de Times Square.
Environ 1 000 manifestants se sont rassemblés hier à Times Square en signe d’unité contre la politique de Donald Trump.
Un peuple uni.
Les participants au mouvement, issus de diverses ethnies et religions, ont proclamé tout en brandissant des drapeaux américains : « today, I am a Muslim too » (Aujourd’hui, je suis aussi musulman ), pour montrer leur solidarité avec les Musulmans américains : certains portaient des pancartes sur lesquelles on pouvait voir une femme portant un voile aux couleurs du drapeau américain, d’autres scandaient : « Donald Trump doit partir ».
Contre l’islamophobie.
Des personnalités ont pris part à cet événement, comme Russell Simmons connu dans le monde du hip hop, qui a déclaré : « Nous devons reconnaître qu’il y a un changement dans notre pays. Il y a un changement vers plus de crimes de haine ». « Nos frères et sœurs musulmans ont non seulement été diabolisés, mais ils ont aussi été victimes. »
Un rabin qui a pris la parole a comparé cette chasse au musulman à la traque des juifs par l’Allemagne nazie : « Jamais plus ! » a-t-il scandé, « la communauté musulmane est notre plus grand allié dans la lutte contre le terrorisme ».
Ce rassemblement est une belle preuve de solidarité en faveur de l’égalité et de la tolérance. Elle montre la fracture qui s’est créée entre les Américains, avec d’un coté ceux qui soutiennent leur nouveau président, et de l’autre ceux qui ne reconnaissent plus dans l’Amérique de Trump.
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Des manifestants islamophobes devant la grande mosquée de Toronto pendant le prière du vendredi.
Une quinzaine de personnes ont manifesté devant la grande mosquée de Toronto pendant la grande prière du vendredi.
Vendredi 17 février, une quinzaine de personnes ont manifesté devant la grande mosquée de Toronto. Pendant la grande prière du vendredi, le groupuscule a crié des slogans islamophobes lancés au mégaphone afin de perturber les musulmans. Des témoins ajoutent que les quelques manifestants ont tenté de barrer la route aux fidèles désirant se rendre à l’intérieur du lieu de culte.
« Les fidèles avaient l’air de prendre la situation avec un grain de sel, mais moi, je trouve ce geste haineux et discriminatoire. » selon Tera Goldblatt, témoin de la manifestation, qui témoigne à Radio Canada que « les cris des manifestants étaient si forts » qu’elle « pouvait les entendre de la fenêtre de son bureau au 21e étage d’un gratte-ciel, juste à côté ».
Les manifestants xénophobes brandissaient des pancartes « les musulmans sont des terroristes ».
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« La guerre contre le terrorisme ne doit pas être une guerre contre l’Islam » a affirmé la ministre allemande de la Défense.
Ursula von der Leyen a appelé les Occidentaux, Américains en tête, à ne pas transformer la guerre contre le terrorisme en guerre contre l’Islam.
Lors de la 53e conférence de Munich sur la sécurité, la ministre allemande de la Défense Ursula von der Leyen a appelé les Occidentaux, Américains en tête, à ne pas transformer la guerre contre le terrorisme en guerre contre l’Islam. La ministre fédérale faisait certainement référence au « muslim ban », un décret migratoire controversé du président américain Donald Trump.
« On doit se garder de transformer cela en front (commun) contre l’islam et les musulmans. Sinon, nous encourrons le risque de creuser encore les fossés qui sont le terreau de la violence et du terrorisme », a déclaré Ursula von der Leyen selon l’Obs.
Plus de trente chefs d’État et de gouvernement ont participé à la conférence sur la sécurité de Munich, ainsi que quelque quatre‑vingts ministres des Affaires étrangères et de la Défense venus du monde entier et une délégation nombreuse du Congrès des États‑Unis.
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France : Jean-Marc Ayrault choqué par les propositions de Donald Trump pour la Palestine.
Jean-Marc Ayrault, ministre des Affaires Etrangères, a tenté de rassurer les français face à la nouvelle orientation américaine au Proche Orient. Donald Trump a déjà fait savoir qu’il était favorable a l’installation de l’ambassade US à Jérusalem en guise de reconnaissance de la ville Sainte comme capitale d’Israël. Il a égalé indiqué être favorable à une solution à un Etat.
Deux positions qui tranchent avec la traditionnelle politique américaine au Proche Orient et le maintien d’une solution à deux états malgré la colonisation des terres palestiniennes par les colons israéliens.
Reportage vidéo a voir sur www.mouslimradio.info.
w w w . m o u s l i m r a d i o . i n f o .

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Au Liban, Marine Le Pen répète son soutien à Bachar-al-Assad.
Marine Le Pen s’est rendu au Liban lundi 20 février pour une visite de deux jours. La présidente du Front national, aux côtés du député Gilbert Collard, a rencontré le président Michel Aoun, premier chef d’Etat étranger à la recevoir, et le Premier ministre Saad Hariri.
La lutte contre l’Etat islamique, le conflit syrien et la crise des réfugiés ont figuré parmi les thèmes de discussions. Le Liban, qui compte quatre millions d’habitants, accueille environ un million de réfugiés syriens. « Les Libanais et les Arabes, comme la majorité du monde, considèrent que la France est la patrie des droits de l’Homme et de l’Etat républicain qui ne fait aucune distinction ethnique, religieuse ou de classe entre ses citoyens », a-t-il signifié dans un communiqué suivant sa rencontre avec la candidate de l’extrême droite française.
Saad Hariri a également mis en garde la présidente du FN contre tout « amalgame entre islam et terrorisme ». « Les musulmans sont les premières victimes du terrorisme se réclamant de la religion, alors qu’il n’en a aucune, et que les modérés qui constituent l’écrasante majorité des musulmans dans le monde sont la cible première du terrorisme prétendu musulman car en ils sont en fait le premier rempart contre l’extrémisme », a-t-il indiqué.
A l’issue de l’entretien, Marine Le Pen a répété son soutien à Bachar al-Assad, qu’elle a exprimé auprès de Saad Hariri, hostile au régime syrien qu’il accuse être derrière l’assassinat de son père Rafic Hariri en 2005. « Dans le cadre de la politique du moindre mal, qui est une politique réaliste, il m’apparaissait que Bachar al-Assad était évidemment aujourd’hui une solution bien plus rassurante pour la France que le groupe Etat islamique si celui ci venait à prendre la tête de la Syrie comme il a pris en partie le pouvoir en Libye après la disparition de Mouammar Kadhafi », a-t-elle affirmé.
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Turquie : Moïse caricaturé, le journal satirique Girgir contraint de disparaître.
L’un des quatre derniers journaux satiriques de Turquie a été contraint à la fermeture suite à une polémique déclenchée par une caricature de Moïse. La vignette incriminée présente le prophète guidant les juifs hors d’Egypte tandis que les personnes qui le suivent se plaignent qu’il ne cesse de se vanter d’avoir ouvert la mer Rouge.
Jugé offensant pour les juifs et les musulmans, le dessin a provoqué de nombreuses réactions indignées, et des appels au meurtre ont essaimé sur les réseaux sociaux. Les propriétaires de Girgir ont été assignés par la justice pour blasphème vendredi 17 février. « La décision a été prise de fermer le magazine et de renvoyer tout le personnel à cause d’une caricature de mauvais goût », ont annoncé, dans la foulée, les éditeurs du journal. Ils ajoutent que « la caricature a gêné la société et nous a gênés en tant qu’entreprise de publication ».
Selon le site ActuaBD, Girgir est « le premier grand journal satirique de la période moderne créé en 1972 par l’éditeur Haldun Simavi mêlant esprit underground, érotisme, humour et politique ». Ce Charlie Hebdo version turque « a dû son immense notoriété à sa sourde opposition aux pouvoir militaires en place. Toute la génération des dessinateurs et des éditeurs des grands journaux satiriques actuels sont issus de ce journal fondateur ». Arrêté en 1993, Girgir a été racheté en 2015 par le groupe de presse Sözcü, d’orientation nationaliste, laïc et en opposition au président Recep Tayyip Erdogan.
Avant la décision de fermeture, Girgir s’était excusé, affirmant que la caricature avait échappé à l’attention des relecteurs « du fait de la fatigue et de l’insomnie ». Les propriétaires estiment que la caricature de Moïse est une tentative de « mettre l’entreprise dans une position délicate ». Ils annoncent qu’ils transmettront au procureur les noms des responsables.
Selon Ibrahim Kalin, porte-parole de la présidence, le dessin incriminé « n’a rien à voir avec l’humour et la liberté d’expression, c’est immoral et un crime de haine ». Ivo Molinas, rédacteur en chef de l’hebdomadaire turc juif Shalom, a déclaré que « la caricature a franchi les limites de la liberté d’expression. Les juifs sont exposés tous les jours à la discrimination et aux discours de haine de la part des médias », tout en jugeant cependant que « la disparition de la revue est très triste, ce n’est pas une décision appropriée ».
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Des centaines de Libanais ont signé une pétition pour dire Non à la venue de Marine Le Pen au Liban.
« La fasciste française Marine Le Pen n’est pas la bienvenue au Liban ». La semaine dernière, avant même qu’elle n’ait foulé le sol du pays du cèdre, le vernis de respectabilité de la présidente du FN s’était craquelé de toutes parts à Beyrouth, nombre de Libanais, qui ne s’en laissent pas conter, ayant appelé le président Michel Aoun et le Premier ministre Saad El Hariri à ne pas faire le jeu de l’extrême droite française en recevant sa figure de proue en grande pompe.
Hélas, ce fut en vain. La soif de crédibilité et de reconnaissance à l’échelle internationale de Marine Le Pen aura été ainsi étanchée au Liban, terre de sa première rencontre au sommet avec un chef d’Etat étranger, au grand dam des militants libanais anti-fascistes pour qui cette perspective insupportable équivalait à pactiser avec le diable.
Rien n’y a fait. Le pendant féminin de Donald Trump au pays des Lumières qui n’est pas prêt, grâce à elle, de retrouver son lustre d’antan, piétine en ce moment même, et pour deux jours, le tapis rouge que le président Aoun a bien voulu dérouler sous ses pieds, faisant fi de la pétition protestataire qui a récolté des centaines de signatures, en une petite journée seulement.
A l’heure où l’incendiaire de la concorde nationale s’évertue, hors de l’Hexagone, à parfaire sa stature de femme d’Etat, tout en prenant de la distance avec le scandale des emplois fictifs qui l’éclabousse au sein du Parlement européen et révèle son insondable duplicité, voici un extrait de la pétition trilingue (français/anglais/arabe) qui a fait florès sur le Net, mais a laissé de marbre les allées du pouvoir libanais.
« Nous, les soussignés, opposés à la visite prévue par Marine Le Pen – la Trump française -.. au Liban pour rencontrer le président Aoun et le Premier ministre Hariri. Le Pen est la présidente du parti fasciste, le Front National (FN), en France. Depuis de nombreuses années, le FN a attisé le racisme violent et l’islamophobie, au point d’en faire un axe fort de la politique française auprès du grand public.
Les discours xénophobes, islamophobes et haineux contre les immigrants et les communautés roms sont des aspects clés de la rhétorique et du programme du FN, et sont constamment martelés par Marine Le Pen, à l’approche de l’élection présidentielle en France ».
L’appel vibrant à lui infliger l’affront de ne pas la recevoir s’est, malheureusement, perdu dans un désert d’indifférence. L’imposture Marine Le Pen, l’héritière du parti de papa qui se proclame anti-système à grands cris, alors qu’elle en use et abuse avec un cynisme confondant, n’était certes pas la bienvenue au Liban, et pourtant…
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Chelsea Clinton participe à une manifestation anti-Trump en signe de solidarité avec les musulmans américains.
Un mois après que le magnat new-yorkais de l’immobilier a quitté sa tour dorée de la cinquième Avenue pour sa nouvelle tour d’ivoire de Washington, qui a pris depuis des couleurs, surtout celle de l’or, la protestation anti-Trump ne faiblit pas aux marches du palais, ses nombreux opposants serrant les rangs contre le décret anti-immigration foncièrement anti-musulmans.
Dimanche, à New York, la cité où le 45ème président des Etats-Unis a bâti son empire, amassé les dollars à la pelle et accumulé les casseroles, ils étaient des centaines à manifester contre une islamophobie d’Etat qui ne dit pas son nom, bien que l’ostracisme qui frappe les ressortissants de sept pays musulmans n’abuse personne.
Sous la bannière emblématique de la contestation à l’effigie de Munira Ahmed, un long cortège d’Américains en colère, de toutes origines et confessions, ont fait cause commune avec leurs concitoyens musulmans. Parmi eux, la présence de Chelsea Clinton, la fille d’Hillary, la va-t-en-guerre démocrate battue par le populiste républicain, et de Bill, président dans une vie antérieure, n’est pas passée inaperçue.
La fille unique de l’ancien couple présidentiel et mère de la petite Charlotte, 2 ans, dont c’était là la toute « première participation à un grand rassemblement », comme s’est empressée de le relater sa maman sur Twitter, voulait assurer la communauté musulmane américaine de son soutien, plein et entier.
« Merci à tous ceux qui ont organisé #IAmMuslimToo aujourd’hui – 1er rassemblement de protestation de Charlotte. #NoBanNoWallNoRaids », a-t-elle écrit à l’issue d’un dimanche où une clameur d’indignation est montée à Times Square, des rangs de la manifestation mais aussi de la tribune où se sont succédé des intervenants de premier plan, dont notamment Bill de Blasio, le maire de New York grâce à qui deux jours fériés ont été instaurés pour les écoliers musulmans afin de célébrer dignement l’Aïd al-Fitr et l’Aïd al-Adha, Mogul Russel Simons, l’homme d’affaires évoluant dans le hip hop et ancien ami de Trump, sans oublier l’actrice engagée, Susan Sarandon.
« Nous sommes ici, aujourd’hui, pour montrer à l’Amérique que nos belles et nobles valeurs, nos idéaux et engagements sont dévoyés et que les électeurs ont été trompés », a déclaré Mogul Russel Simons, avant de renchérir avec une pointe d’ironie : « Nous sommes ici, tous unis, à cause de Donald Trump. Nous tenons à le remercier de nous avoir réunis ».
C’est bien là, en effet, le seul tour de force réussi par le nouvel homme fort de Washington depuis le 20 janvier, date de son intronisation : faire descendre dans la rue cette autre Amérique, multiculturelle et fière de l’être, dans un arc-en-ciel de couleurs bien plus éclatant que les dorures clinquantes qu’il affectionne tant…
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Le célèbre scientifique Stephen Hawking demande de l’aide pour les étudiants palestiniens en science.
Ce grand physicien britannique, défenseur des droits des Palestiniens qui a appelé publiquement au boycott d’Israel, souligne la manière dont les étudiants palestiniens sont privés par l’occupant d’accès à des recherches, à des déplacements, à des publications scientifiques. Ceci l’amène à lancer un appel aux dons pour la “Palestinian Advanced Physics School » en Cisjordanie occupée.
Stephen Hawking demande aux 3.744.000 abonnés de sa page Facebook de soutenir la “Palestinian Advanced Physics School”, et plus particulièrement une série de conférences destinées aux étudiants en master en Cisjordanie.
L’enseignement supérieur a toujours été très important pour les familles palestiniennes qui font de nombreux sacrifices pour permettre à leurs enfants d’y accéder, malgré les obstacles mis par l’occupant qui fait tout pour leur rendre les études très difficiles.
Des diplômes supérieurs en physique sont décernés dans quatre universités de Cisjordanie et une université de Gaza. La majorité des étudiants qui poursuivent des études supérieures en physique sont des femmes. Les conditions d’existence de ces étudiants et étudiantes sont cependant très difficiles, notamment en raison des limitations imposées à leurs déplacement, tant à l’intérieur du territoire palestinien qu’à l’étranger par l’occupant israélien, qui vise à les isoler du monde extérieur. C’est vrai également pour les enseignants. Israël, qui s’indigne et hurle à l’antisémitisme quand il est question du boycott de ses institutions scientifiques et universitaires n’a aucune considération pour les libertés académiques des Palestiniens.
Tous les détails sur cet appel aux dons pour financer l’année 2017 des étudiant(e)s palestiniens en master de physique sur :
https://www.fiatphysica.com/campaigns/support-science-in-palestine
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####### Aujourd’hui en Palestine #######
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Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
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BDS: Le premier succès du boycott international en Equateur
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Egypte: deux roquettes tirées depuis le Sinaï s’abattent sur la colonie d’Eshkol
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Un journal libanais critique le Fatah malgré la visite d’Abbas prévue à Beyrouth
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Décès du père du député captif Azzam Salhab
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Trois jérusalémites arrêtés dans un bus
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Lieberman veut se débarasser des Palestiniens d’Umm al-Fahm
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Arrestations et raids nocturnes en Cisjordanie occupée
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Ramallah: Un ouvrier palestinien meurt après avoir été renversé par un colon
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27 palestiens de Gaza visitent leurs proches détenus à Eshel
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Deux mineurs arrêtés pour leur implication dans des fusillades
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Jérusalem: l’occupation transforme le village d’Issawia en caserne militaire
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Les colons attaquent les bergers palestiniens dans la Vallée du Jourdain
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Al-Qiq: Je suis détenu dans une tombe
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L’occupation réprime violement la marche de Qalandia
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Qassem: Les commentaires de l’occupation sur l’élection de Sinwar sont une provocation vouée à l’échec
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Le père du détenu politique Amarena appelle à libérer son fils
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