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Flash info pour le 2 Ramadan 1439.

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Sur Ajib.fr, voici les titres.

Ramadan: évitons le gaspillage alimentaire.
Souvent, pendant le mois béni du Ramadan, la nourriture prend une place trop importante. Emissions culinaires, arrivages de denrées alimentaires très variés, budget alloué à la nourriture à la hausse, sans oublier les heures passées des ménagères dans leur cuisine à préparer d’innombrables plats de l’iftar. En effet, des foyers cuisinent des quantités conséquentes de nourriture surestimant souvent les capacités de l’estomac du jeûneur. Et, dans bien des foyers, ce surplus de nourriture finit malheureusement aux ordures.
C’est le cas par exemple au Bahreïn, où, selon un écologiste, plus de 40% des plats préparés pour le mois de Ramadan seront jetés. Les foyers du Bahreïn ont tendance à cuisiner environ 6 à 7 plats traditionnels pour l’iftar. Ce gaspillage alimentaire a des conséquences néfastes sur l’environnement. Dans un petit pays comme le Bahreïn, ce trop plein de déchets sera difficilement recyclé, et créera donc des émissions nocives.
Outre l’aspect écologique, le gaspillage alimentaire est détestable en islam. Dans le Noble Coran, Notre Seigneur nous dit :
« Ô vous qui croyez ! Ne vous interdisez pas les bonnes choses que Dieu a rendues licites pour vous, en évitant cependant tout excès, car Dieu n’aime pas ceux qui dépassent les limites permises. » (Sourate La Table servie verset 87)
ou encore :
« C’est Lui qui a créé les jardins treillagés et non treillagés, les palmiers et les cultures au goût si varié, l’olivier et le grenadier de même espèce ou d’espèces différentes. Mangez de leurs fruits quand ils ont atteint leur maturité, et acquittez-en la dîme le jour de la récolte ! Mais évitez tout gaspillage, car Dieu n’aime pas ceux qui gaspillent. » (Sourate Les animaux verset 141)
Adoptons donc le meilleur comportement envers la nourriture. A chacun de nous de calculer la quantité de nourriture à préparer afin d’éviter tout gaspillage. Rappelons nous que le Tout-Puissant nous offre ces bienfaits : fruits et légumes divers et variés qui poussent par la grâce d’Allah. Prenons en soin, et ne provoquons pas Sa Colère. Ne gaspillons pas ces trésors que certains jeûneurs n’ont même pas. Réduisons par ailleurs la quantité de nourriture que nous mangeons, car trop manger est aussi néfaste pour la santé.
Soyons prudents, et évitons d’acheter plus que ce que l’on a besoin. En clair, n’ayons pas les yeux plus gros que le ventre, même lorsque parfois, la faim et la gourmandise nous guettent.
Le Ramadan des enfants.
Chaque année, nous préparons tous le mois de Ramadan. Mais qu’en est-il de nos petits trésors ? Comment accueillir Ramadan avec nos enfants ? Faut-il qu’ils accomplissent le jeûne ? Que faire avec eux durant ce mois sacré afin qu’ils en tirent des bénéfices incha Allah ? Voici tant de questions auxquelles nous tenterons de répondre par le biais d’un éclairage psychologique, pédagogique et bien évidemment, islamique incha Allah.
Ne pas obliger à jeûner mais inciter à s’habituer…
Le jeûne n’est pas une obligation pour les enfants. Cela le sera lorsqu’ils auront atteint la puberté considérée comme l’âge de la responsabilité. En effet, ‘Aisha (qu’Allah soit satisfait d’elle) a rapporté que le Prophète (‘alayhi salat wa salam) a dit : « La plume est levée pour trois (personnes) : le dormeur jusqu’à ce qu’il se réveille, le jeune enfant jusqu’à ce qu’il atteigne la puberté et le fou jusqu’à ce qu’il retrouve la raison. » Ainsi, les enfants n’ont pas à effectuer le jeûne du mois de Ramadan avant leur puberté. Celle-ci apparaît vers l’âge de quinze ans. Comme le souligne Cheikh Ibn Jibrine, « Dès lors qu’une personne atteint l’âge de quinze ans, elle devient responsable. Cet âge est un signe de la puberté. Celui donc, qui a été négligent vis-à-vis de son jeûne, malgré l’apparition de sa puberté, a certes, délaissé un acte obligatoire. » Cette affirmation souligne le fait que le jeûne n’est pas obligatoire pour l’enfant impubère.
Bien que le jeûne ne soit pas imposé aux enfants, il est préférable qu’ils jeûnent s’ils en ont la capacité. En effet, cela ne peut leur être que bénéfique car c’est une manière de les sensibiliser à l’obéissance envers Allah et à l’adoration que nous devons Lui vouer. Ils comprendront alors que nous sommes tous soumis à un Dieu unique et qu’il faut lui obéir. De plus, cela leur permettra de s’habituer au jeûne qu’ils auront à effectuer quelques années plus tard. C’est ainsi que procédaient les pieux prédécesseurs avec leurs enfants. Ils les incitaient à jeûner et lorsque la faim se faisait ressentir, ils faisaient diversion avec un jouet. Prenons-les comme exemples afin d’apporter une bonne éducation à nos enfants incha Allah. Cependant, il ne faut pas les forcer à jeûner. Cela est une évidence car si nous les obligeons à jeûner, nous irons à l’encontre de l’ordre d’Allah. Ainsi, nous devrions les inciter à jeûner quelques journées durant ce mois sacré incha Allah voire quelques demies-journées pour les petits bambins.
Définir la règle, expliquer le jeûne.
Il est important d’expliquer à nos enfants en quoi consiste le jeûne. Le fait qu’un enfant voit ses parents se priver de nourriture toute la journée peut lui paraître étrange. C’est pourquoi il est primordial de lui faire comprendre ce qu’est le jeûne, de répondre à ses interrogations et d’éclairer ce qui lui semble intrigant.
Le fait d’expliquer les choses à son enfant lui sera bénéfique. En effet, la célèbre psychologue Diana Baumrind a décrit quatre styles d’éducation parentale différents que sont le style autoritaire, le style permissif, le style démocratique et le style désengagé. Celui qui est le plus avantageux pour le bien être et l’équilibre psychologique des enfants est le style démocratique. Ce dernier appartient aux parents qui ont un niveau d’exigence plutôt important et qui édictent des règles claires tout en privilégiant un niveau d’affection et d’attachement élevé. Les parents qui adoptent ce style parental exposent clairement les règles à leurs enfants tout en les expliquant. Ils répondent alors aux questions de leurs enfants et sont très ouverts au dialogue. Cela permet une communication parents/enfants des plus équilibrées, basée sur l’entente, l’échange et la compréhension mutuelle. Les études ont prouvé que les enfants baignant dans ce style parental sont les plus compétents et les plus équilibrés psychologiquement. Ainsi, l’idéal durant ce mois de Ramadan serait d’expliquer la règle qu’est le jeûne à nos enfants de manière claire, tout en répondant à leurs questions incha Allah. Cela leur permettra de saisir un des piliers de l’Islam d’une part, et d’accéder à un équilibre psychologique d’autre part.
Cependant, précisons que donner trop d’explications à un enfant dans certains domaines peut être un inconvénient. À titre d’exemple, le fait de trop lui expliquer un jeu peut entraver ses facultés de découverte et de recherche ainsi que sa curiosité intellectuelle.
Leur apprendre leur religion entre découverte et révisions.
Le mois de Ramadan est également un mois durant lequel nous devons redoubler d’efforts dans l’apprentissage de notre belle religion. Or, nous ne devons pas exclure nos enfants de cet apprentissage mais leur en faire profiter. Ce mois sacré est l’occasion de faire connaître l’Islam à nos enfants, avec des mots simples et des activités ludiques. De plus, nous sommes en vacances d’été donc le moment idéal pour éviter l’ennui de nos bambins. Quoi de mieux pour les occuper intelligemment que de leur apprendre notre religion ?
Afin de ne pas surcharger l’apprentissage de nos petits musulmans, il serait préférable d’effectuer un planning pour ce mois sacré. Ainsi, diviser le mois en quatre semaines où chacune correspondrait à un thème serait intéressant, en proposant apprentissages et activités ludiques. De plus, partager la semaine en deux : un temps d’apprentissage et un temps de révisions et questions/réponses incha Allah semblerait bénéfique.
Ainsi, nous vous proposons une répartition pour ce mois de Ramadan afin de vous donner des idées, mais d’autres possibilités sont évidemment envisageables incha Allah. Le but est d’initier à l’Islam tout en développant la créativité de nos enfants.
Exemple de planning pour nos enfants :
1ère semaine : Thème : Qui est Allah ?
– Explication simple du monothéisme.
– Sensibilisation à la Création d’Allah : la nature, les animaux…
– Apprentissage d’une ou plusieurs sourates courtes.
– Apprentissage d’une ou plusieurs invocations.
Révisions.
Questions/réponses avec les parents, frères et sœurs.
2ème semaine : Thème : Qui sont les Prophètes ?
– Raconter simplement et brièvement l’histoire du Prophète (‘alayhi salat wa salam).
– Raconter simplement et brièvement l’histoire des Prophètes (‘alayhoum salam).
– Apprentissage d’une ou plusieurs sourates courtes.
– Apprentissage d’une ou plusieurs invocations.
Révisions.
Questions/réponses avec les parents, frères et sœurs.
3ème semaine : Thème : C’est quoi être musulman ?
-Explication simple des piliers de l’Islam.
– Explication simple de la foi en Islam.
– Apprentissage d’une ou plusieurs sourates courtes.
– Apprentissage d’une ou plusieurs invocations.
Révisions.
Questions/réponses avec les parents, frères et sœurs.
4ème semaine : Thème : Activités ludiques autour de ma religion.
– Apprendre à écrire Allah en arabe, utiliser différentes couleurs et encadrer.
– Confectionner un livret illustré des invocations apprises durant le mois de Ramadan.
– Apprendre à écrire le nom du Prophète en arabe et décorer autour pour encadrer.
– Confectionner une carte de vœux pour l’Aid al fitr…
Qu’Allah permette à nos enfants de suivre le chemin de la piété. Qu’Il fasse d’eux des serviteurs pieux jusqu’au jour dernier.
Palestine : Voici l’histoire de Fadi Abou Salah, un héros que l’on oubliera jamais.
Cette photo a fait le tour du monde. Un Palestinien handicapé muni d’un lance-pierre se bat jusqu’à son dernier souffle contre l’occupant sioniste.
Un héros du nom de Fadi Abou Saleh âgé de 29 ans. Son handicap, il le doit à l’armée israélienne il y a quelques années après un bombardement. Il a perdu ses deux jambes mais n’en a pas pour autant perdu la volonté de recouvrer la liberté après des décennies de colonisation.
Un visage que l’on est pas prêt d’oublier.
La manifestation pour la Marche du Grand Retour le long de la frontière de la bande de Gaza qui devait s’achever le 15 mai, a fait des dizaines de morts et des centaines de blessés.
Parmi les nombreux morts, Fadi Abou Saleh a été abattu par les snipers israéliens qui ont régulièrement pris pour cible les manifestants non armés.
Pourtant, les Palestiniens ne réclament que leur dû, les terres qui leur ont été spoliées après 1948, année de création de l’état sioniste.
Saleh n’est pas le premier handicapé qui a été exécuté de sang froid par « l’armée la plus morale de la région », plusieurs autres handicapés Palestiniens ont malheureusement connu le même sort ces dernières années.
Salah a perdu ses jambes lors d’un bombardement israélien en 2008, il fait partie aujourd’hui des 60 Palestiniens, dont huit enfants et un bébé de 8 mois, qui ont été exécutés par les soldats israéliens.
Son ami Walid Mahmoud Rouk a partagé un hommage sur Twitter tout en confirmant la mort de Salah. Il a déclaré le connaître depuis des années, ils étaient voisins avant de devenir des amis.
Les dirigeants Palestiniens ont déclaré que 2.700 Gazaouis ont été blessés lors des violences déclenchées par les forces occupantes israéliennes.
Les Palestiniens ont manifesté à l’occasion du 70 e anniversaire de la Nakba, jour de la catastrophe, qui marque le déplacement de milliers de Palestiniens pour créer un état israélien.

Sur Katibin.fr, voici les titres.

Palestine : Ahed Tamimi: la Wonder Woman palestinienne.
Depuis décembre dernier, Ahed Tamimi, cette jeune palestinienne de 18 ans, est devenue un véritable symbole de la lutte contre l’occupation des territoires palestiniens par Israël. Retour sur son incroyable destin.
Le courage des enfants palestiniens .
Le courage des enfants palestiniens n’est plus à prouver. Rien que le fait d’être né et de vivre dans un pays en guerre où les injustices sont quotidiennes en font de véritable héros. Ahed Tamimi en fait parti. C’est le 15 décembre 2017 que sa vie bascule. En effet, c’est dans une vidéo, qui est depuis devenue virale, que l’on voit Ahed Tamimi tenir tête à deux soldats israéliens lors d’une manifestation contre la décision américaine de reconnaître Jérusalem comme capitale d’Israël. Plus tôt, ce même jour, le cousin de Ahed, Mohammed al-Tamimi a été touché à la tête par une balle en caoutchouc tirée par un soldat israélien, ce qui explique sa colère. Elle sera arrêtée 4 jours plus tard. Son procès débutera le 13 février 2018 où elle écopera de 8 mois de prison.
Free Ahed Tamimi .
Ahed Tamimi est toujours détenue dans les prisons israèliennes, où elle serait victime de maltraitances. Son seul tort ? S’être défendue contre l’injuste colonisation de ses terres. Son histoire ne laissa pas insensible. Elle attira même l’attention de l’artiste irlandais Jim Fitzpatrick, ce même artiste qui il y a 50 ans dessinait le célèbre portrait du Che Guevara. Selon ses dires, il aurait décidé de joindre la cause et d’illustrer Ahed Tamimi car il sentait que sa vie était menacée et qu’aucun enfant (elle n’avait que 17ans au moment des faits) n’avait à subir ce genre de traitement.
En ce mois béni du Ramadan, nous avons une pensée émue pour Ahed Tamami et tous ces enfants palestiniens dont on a volé, et dont on continue de voler, l’enfance et l’innocence. Qu’Allah leur facilite.

Sur journal du musulman.fr, voici les titres.

France : Mantes-la-Jolie : en chantier, la mosquée ouvre exceptionnellement pour le ramadan.
L’Etat vient d’autoriser l’accueil du public pendant le mois sacré des musulmans. Une procédure qui permet de rassurer élus et habitants.
Les musulmans de Mantes-la-Jolie pourront prier dans des conditions normales pendant le ramadan, qui débute ce mercredi soir et prendra fin le jeudi 14 juin. Jean-Jacques Brot, le préfet des Yvelines, a signé mardi un arrêté d’« ouverture temporaire au public » de la mosquée Othmane située en plein cœur du Val-Fourré. « Le bâtiment […] pourra accueillir les fidèles pendant la période du ramadan », peut-on lire dans l’article 1 de ce document.
La décision a été prise en concertation avec la mairie, le président du conseil départemental Pierre Bédier (LR) et le royaume du Maroc, propriétaire des lieux.
«Le préfet souhaite que le ramadan puisse se dérouler dans des conditions normales», souligne une source préfectorale.
France : 10 fédérations musulmanes de France cosignent un communiqué.
Réunies mercredi 16 mai 2018 à la Grande Mosquée de Paris, dix fédérations musulmanes de France ont cosigné un communiqué sur des sujets tels que l’unité des musulmans de France en ce début du mois de Ramadan, l’Islamophobie et le massacre inqualifiable des Palestiniens.
Communiqué de presse des fédérations musulmanes de France.
Paris, mercredi 16 mai 2018.
En cette veille du 1er jour du mois sacré du Ramadhan 1439/2018, l’ensemble des fédérations musulmanes de France et les responsables du Conseil Français du Culte Musulman (CFCM) se sont réunis ce jour à la Grande Mosquée de Paris.
Dans un esprit d’unité et de fraternité, cette réunion a permis d’échanger sur la préoccupante situation que connaissent les musulmans de France et leur légitime inquiétude.
Unanimement, les responsables musulmans :
Se réjouissent que les musulmans de France commenceront le 1er jour du Ramadhan béni dans l’unité à l’instar de tous les musulmans du monde.
Prient Dieu que ce mois sacré de Ramadhan soit marqué par la piété, la solidarité et le partage.
Examinent la situation des musulmans en France et notamment les dernières polémiques accusant systématiquement et injustement les fondements mêmes de la religion musulmane. À ce sujet, ils saluent les différentes réactions condamnant cet amalgame entre islam et terrorisme et ce prétendu concept du « nouvel antisémitisme musulman ».
Dénoncent toute forme de racisme et rendent hommage à l’attitude responsable et citoyenne des musulmans en France devant la montée préoccupante des actes islamophobes. Ils dénoncent et condamnent l’appel à la haine contre les musulmans véhiculé et alimenté sur les réseaux sociaux de manière extrêmement violente et raciste.
Saluent les initiatives des musulmans de France qui œuvrent à l’apaisement et à la consolidation de la cohésion nationale.
Rappellent l’attachement aux instances représentatives créées pour l’exercice du culte musulman en France dans le respect de la loi de séparation de l’État et de l’Église (Loi du 19 septembre 1905). Ils précisent que les musulmans de France sont profondément attachés à la laïcité et à la neutralité de l’État, garantes du libre exercice du culte.
Rappellent et saluent le rôle capital des responsables de mosquées et des imams aux comportements exemplaires pour transmettre le message d’humanité et de fraternité de l’Islam, seuls remparts contre toutes les formes d’extrémisme et de radicalisme.
Demandent à tous les musulmans en France d’avoir une pieuse pensée pour les peuples en souffrances dans le monde et particulièrement le peuple palestinien qui subit un massacre inqualifiable. Ils appellent l’ensemble des mosquées de France à multiplier ce vendredi 18 mai 2018 des prières pour les victimes palestiniennes et toutes les victimes de la haine et de la violence partout dans le monde.
Les fédérations musulmanes signataires sont :
Fédération nationale de la Grande Mosquée de Paris (FNGMP),
Union de Mosquées de France (UMF),
Fédération Musulmans de France,
Rassemblement des Musulmans de France (RMF),
Comité de Coordination des Musulmans Turcs de France (CCMTF),
Confédération Islamique Milli Görüs (CIMG France),
Fédération Nationale des Musulmans de France (FNMF),
Fédération Française des Associations Islamiques d’Afrique, des Comores et des Antilles (FFAIACA),
Fédération Foi et Pratique,
Grande Mosquée de Saint Denis de la Réunion.

Sur saphirnews.com, voici les titres.

France : Un restaurant chic parisien accusé de discriminer Arabes et femmes voilées.
L’Avenue est une brasserie très select du 8e arrondissement de Paris. Trop select même au point de discriminer les Arabes et les femmes voilées à l’entrée, selon BuzzFeed. L’adresse du 41 avenue Montaigne, bien connue des stars, est épinglée jeudi 17 mai par le site d’informations, qui a révélé des pratiques discriminatoires du personnel du restaurant, qui auraient été mises en place par la direction. « Un véritable système discriminatoire en plusieurs étapes », précise-t-on, sur la base de témoignages de serveuses et de messages échangés entre des employées.
Parmi les consignes, figurent, selon quatre ex-serveuses interrogées, celle de ne prendre aucune réservation de personnes aux noms à consonance arabe et de touristes venant du Moyen-Orient, en particulier du Qatar, des Émirats arabes unis, du Bahrein et de l’Arabie saoudite, celle de refuser l’entrée du restaurant aux femmes voilées en « prétextant que le restaurant était plein, même s’il ne l’était pas » ou encore, si leur venue était programmée, « de lui faire croire que (leur) réservation n’a pas été enregistrée ».
Un scandale dont les Noirs ne seraient pas épargnés.
« Si la personne au téléphone insiste trop, « on devait proposer les derniers services, par exemple 15h ou 22h » », raconte une des serveuses. « La consigne était claire : il fallait qu’au rez-de-chaussée et en terrasse les clients soient « beaux et présentables » selon le directeur. »
« Les clients du Moyen-Orient étaient les plus discriminés, devant les Asiatiques ou les Noirs, qui peuvent être acceptés « même s’il ne faut pas qu’il y en ait trop » », témoigne une autre.
Alexandre Denis, directeur du restaurant, réfute les accusations. « Ce qui est certain, c’est que je n’ai jamais donné de consigne pour refuser des clients », déclare-t-il. Mais des employées assurent que « ce système bien rodé est toujours à l’œuvre aujourd’hui ».
Pour vérifier ces dires, BuzzFeed a tenté une réservation depuis le Qatar au nom de « Ahmed ». Impossible à plusieurs créneaux proposés… sauf quand c’est « Yann » qui le fait depuis Paris. L’expérience d’amener une femme voilée dans le restaurant, après confirmation de la réservation, tourne aussi au désavantage du restaurant : la réservation aurait soudainement disparu. Après avoir longuement insisté, c’est un oui… mais uniquement à l’étage alors que des places étaient disponibles au rez-de-chaussée.
Ces résultats, qui accréditent les témoignages, font tâche sur la réputation de la « cantine des stars ». Une demi-douzaines d’anciennes serveuses de L’Avenue ont alerté, « de manière anonyme en février dernier », l’inspection du travail sur les méthodes du restaurant. Sans nouvelles pour le moment.
Choc : Coupe du monde 2018 : l’Arabie Saoudite saoulée par une marque de bière allemande.
Une belle bourde de la brasserie allemande Eichbaum. En l’honneur des équipes participantes à la Coupe du monde en Russie, elle a affiché les drapeaux des pays sur les capsules des bières produites par la marque. Une initiative qui n’était pas du tout au goût des autorités saoudiennes qui a mal pris ce coup de com comme une insulte à leur étendard.
Pour l’ambassade saoudienne en Allemagne, il s’agit ni plus ni moins d’une « humiliation du drapeau saoudien » – sur lequel est inscrite la profession de foi reconnaissant Allah comme l’Unique et Muhammad comme son Prophète – et d’une « provocation à l’égard du sentiment des musulmans ».
« L’ambassade a immédiatement pris contact avec le ministère des Affaires étrangères allemand et les autres instances concernées pour arrêter la production (de la bière), et pour obtenir son retrait du marché et la présentation d’excuses pour le comportement de l’entreprise », a-t-il été exigé.
Bien que la brasserie s’est justifiée en expliquant qu’il est « logique et juste » que le drapeau saoudien soit représenté au même titre que ceux des 31 autres pays participants à la Coupe du monde, elle a finalement accepté de retirer du marché les bouteilles en question et a arrêté l’impression du drapeau d’Arabie Saoudite sur les capsules afin de faire cesser « les insultes » à leur encontre.
Les autorités des autres pays musulmans n’ont, en revanche, pas réagi à la présence de leur drapeau sur les capsules de bière Eichbaum.

Sur oumma.com, voici les titres.

Dominique Vidal : « Israël a commis un massacre sans précédent dans la bande de Gaza ».
Devant la caméra d’Oumma, le journaliste et historien Dominique Vidal, qui connaît parfaitement les tenants et les aboutissants du conflit israélo-palestinien pour les avoir décryptés dans de nombreux ouvrages, dénonce avec force le « massacre sans précédent » perpétré par l’armée israélienne d’occupation dans la bande de Gaza, signe de la radicalisation de l’extrême droite au pouvoir à Tel Aviv et du sentiment de toute-puissance qui l’anime.
Cette démesure meurtrière qu’il qualifie « d’hybris » dévastatrice, confortée par le soutien sans faille des Etats-Unis et de l’Arabie saoudite, à travers Donald Trump et MBS, ainsi que par le silence de la communauté internationale, marque, selon lui, un « tournant historique » dans ce combat tragiquement disproportionné du pot de terre contre le pot de fer.
reportage a voir sur oumma.com.
Arabie saoudite : elle n’accepte pas la naissance de sa petite fille et accuse la maternité d’avoir échangé son enfant.
Même dans une société aussi rigoureusement patriarcale que l’est l’Arabie saoudite, le déni, poussé à son paroxysme, dans lequel s’est enfermée une jeune maman saoudienne, refusant obstinément d’accepter la naissance de sa petite fille, en a stupéfié plus d’un dans la province de Hail. Les autorités sanitaires de la région se disant même profondément choquées par cette histoire peu banale, qui a carrément dépassé l’entendement…
Est-ce la forte pression familiale qui aurait conduit cette femme, dont c’était le premier accouchement, à esquiver, puis à nier une réalité insupportable, car ne répondant pas aux attentes fébriles qui s’étaient cristallisées autour de sa personne et de ce premier enfant ? Un nouveau-né dont elle savait pertinemment qu’il serait source d’une amère désillusion, parce que n’étant pas du sexe masculin.
C’est en tout cas ce que la direction de l’hôpital de Hail et l’équipe médicale qui l’a prise en charge subodorent fortement, non sans cacher leur sidération devant l’extrémité à laquelle cette patiente, en proie à une détresse frisant la crise de délire aigu, a été acculée : elle n’a pas hésité à porter plainte contre eux pour avoir échangé son enfant, s’appuyant sur le fait qu’on lui avait annoncé la naissance d’un bébé, un vocable qui n’a pas de sexe…
Il aura fallu que l’hôpital organise une réunion en cellule de crise pour démentir les allégations fantaisistes portées à son encontre, et faire recouvrer la raison à cette mère qui avait totalement perdu pied avec la réalité.
Alors, comment expliquer le plus rationnellement possible un tel déni et la véritable paranoïa qu’il a entraînée ? Pour Lamis, un travailleur social saoudien interrogé par les médias locaux, il ne fait pas l’ombre d’un doute que cette jeune maman, désespérée de ne pas avoir donné naissance à un petit garçon, a été incapable d’affronter une vérité de mauvais augure, qui ne ferait pas le bonheur des siens.
« Malheureusement, même si nous avons beaucoup progressé ces dernières années, dans de nombreuses familles du royaume, la naissance d’un garçon est toujours mieux accueillie que celle d’une fille, surtout quand il s’agit du premier enfant. C’est parce que nous vivons dans une société patriarcale qui continue d’accorder plus d’importance aux hommes qu’aux femmes », a-t-il déclaré, en insistant toutefois sur le fait que ce cas précis revêt, à ses yeux, un caractère tout à fait exceptionnel.
Ramadan : Comment bien gérer son sommeil durant le mois de Ramadan ?
Dans la chronique bien-être sur OummaTV , le naturopathe Stéphane Tétart, donne quelques conseils pour bien gérer son sommeil durant le mois de Ramadan. Stéphane Tétart est co-auteur avec Vanessa Lopez du livre: «Secrets de Naturopathes» paru aux éditions Leduc.
reportage a voir sur oumma.com.

Sur des domes et des minarets.fr, voici les titres.

Palestine : Gaza, terre de résistance.
Fondée il y a plus de 3500 ans, Gaza est une des Cités les plus anciennes du monde. Mentionnée jusque dans la Bible, elle fut successivement dominée par les Égyptiens, Philistins, Assyriens, Babyloniens, fils d’Israël, Perses, Chaldéens, Grecs, Romains et Byzantins. Elle devint au final une partie du Dar al Islam dès le 1er siècle hégirien sous le califat d’Omar ibn al Khattab, second calife de l’histoire. Un temps prise par les Croisés francs au Moyen Age, elle repasse sous drapeau musulman grâce à Salahuddin al Ayubi, avant de devenir ville des Mamelouks, ces Européens convertis à l’islam passés d’esclaves à maîtres, pour ensuite rester aux Turcs qui sous la dynastie ottomane, tiendront la ville pendant 4 siècles.
L’histoire moderne et tragique de Gaza ne démarre qu’en 1917 lorsque les Britanniques obtiennent un mandat sur la Palestine (de Philistine, nom donné par Romains jadis). En 1948, sans aucune concertation avec les premiers concernés, la Palestine est choisie pour accueillir les Juifs d’Europe et d’ailleurs afin qu’ils y établissent une nation nouvelle : Israël. Un plan de partage est décidé, Gaza est sensée restée du côté arabe. Très vite, une guerre menée par l’Egypte voisine éclate afin de mettre en déroute le projet d’occupation. À la fin du conflit, la paix signée, Gaza tombe sous le giron égyptien, des réfugiés par milliers y affluent de l’entité sioniste, la Cité devient une « bande » bientôt peuplée de 300 000 âmes. C’est la fameuse Nakba qui voit la Palestine se vider de ses propres Palestiniens…
En 1956, lors de la crise du Canal de Suez impliquant Français et Anglais contre l’Egypte, les forces israéliennes en profitent pour prendre Gaza. Sous la pression internationale, Gaza est rendue aux Égyptiens ; mais avec la guerre de 6 jours de 1967, voilà que Gaza retombe dans les mains des colons juifs. Rapidement, ils y installent des kibboutz, colonies de peuplement, là même où les ressources énergétiques sont les plus importantes. Les tensions sont au comble, et à défaut de pouvoir ensevelir « sous la mer » la région, comme le souhaita Ytazk Rabin dans une glaçante allocution, l’idée va être de renverser la balance démographique au profit des immigrés juifs. Ils viennent par familles entières y vivrent. En 1979, l’accord de paix signé avec l’Egypte de Saddat intensifie encore la colonisation de la région.
En 1987, la 1ère intifada a lieu dans la bande toute entière. Le sang va y couler pendant des semaines, quand émerge sur la scène internationale une personnalité depuis longtemps active et qui sera son visage durant deux décennies : Yasser Arafat. De luttes en négociations, la bande de Gaza passe finalement sous contrôle de l’Autorité palestinienne nouvellement crée. Des colonies juives sont alors évacuées par les forces de l’ordre israéliennes.
Mais les pressions constantes opérées à l’égard de l’Autorité palestinienne accusée de laisser se créer sur son sol des mouvements islamistes violents exacerbent les tensions. En 2001, une seconde intifada démarre.
D’attentats en bombardements, les explosions vont pendant des années être le lot quotidien à la fois de tous. D’une largeur de 6 km et long de 12, la bande de Gaza accueille à ce moment bientôt près de 2 millions d’habitants, soit près de 6000 habitants au km2. Si la population est dans sa presque quasi-totalité musulmane, plusieurs milliers de Chrétiens y subsistent, alors complètement occultés par la communauté internationale. C’est aussi l’époque où le Hamas se fait connaître, perdant déjà nombre de ses hommes et combattants au travers d’attaques câblées israéliennes occasionnant à chaque fois d’importants « dommages collatéraux », soit des dizaines de victimes civiles. Gaza devient un champ de guerre, les photos et vidéos de jeunes hommes affrontant les chars israéliens à l’aide de pierres font le tour du monde. Observé par le monde entier, le gouvernement israélien dirigé par Ariel Sharon se décide enfin en 2005 à l’évacuation totale des dernières colonies israéliennes présentes à Gaza. 8000 colons sont in extremis renvoyés au-delà des frontières désormais officialisées.
Mais Gaza sombre bientôt dans une nouvelle vague de violences, cette fois interne. C’est le conflit entre le Hamas et le Fatah, les deux entités politiques dominant l’échiquier gazaoui qui démarre en 2006 avec pour issue la victoire des premiers. Avec le Hamas à la tête de toute la bande, la communauté internationale décide alors de frapper d’un embargo les Gazaouis, tandis que l’Etat sioniste fait de Gaza son ennemi numéro un. Alliée à l’Egypte, Israël fait alors interdire à Gaza la plupart des biens de consommation courante, ceci allant du simple shampoing aux médicaments et matériels médicaux les plus indispensables.
Pour se défendre des tirs de roquettes effectués par les militants du Hamas depuis Gaza, l’Etat israélien lance alors de réguliers et meurtriers raids aériens. L’opération « plomb durci » démarrée en décembre 2008 fera en ce sens plus de 1300 morts en 3 semaines. Des convois de l’ONU comme des bâtiments officiels étrangers sont même bombardés par l’armée de Tsahal. Des ONG menacent de porter plainte auprès de la Cour pénale internationale quand le Conseil des droits de l’homme des Nations Unies annonce son intention d’enquêter sur les crimes de guerre israéliens. Mais l’Etat hébreu ne veut rien savoir, il ferme Gaza aux journalistes comme aux enquêteurs.
Gaza devient alors l’une des régions les plus pauvres du monde, et surtout la plus densément peuplée. Le chômage y atteint des chiffres record et la plupart des habitants n’ont même plus accès à l’eau courante. Au côté du Hamas, d’autres mouvements, parfois proche d’Al Qaïda se forment : du côté gazaoui, seule une solution armée semble rencontrer les intérêts de chacun. Partout, dans le monde, les mouvements islamistes annoncent en cœur leur volonté de libérer Gaza. Isolée, telle une prison à ciel ouvert, les quelques tunnels reliant Gaza à l’Egypte sont aussi régulièrement détruits par leurs voisins arabes. Des bateaux, chargés de biens et de civils sont même attaqués par la marine israélienne, qui prétextant leur sécurité, n’hésiteront pas à tantôt tuer des humanitaires désarmés…
De nombreuses opérations militaires sont alors conduites par l’armée israélienne, usant parfois de bombes et munitions pourtant interdites par le droit international. En 2014, la plus meurtrière de ces opérations, baptisée Bordure protectrice, fera en quelques semaines plus de 2000 morts, dont près de 600 enfants… Le Hamas et le Fatah ont tenté depuis de se rapprocher, mais la dissolution de la Palestine et l’impossibilité des différents belligérants arabes à trouver une ligne d’entente commune n’ont depuis pas aider Gaza à se redresser. Si avant les années 2000, les Gazaouis vivaient encore de leurs exportations agricoles ou en travaillant comme main d’œuvre dans des usines et firmes israéliennes, l’économie ne tient à ce moment debout plus que grâce aux dons récupérés par les nombreuses ONG locales.
4 ans plus tard, Israël trouvera dans Donald Trump, nouveau président américain, un allié indéfectible. Déménageant son ambassade à Jérusalem, il officialise une volonté sioniste de longue date : faire de la ville sainte la capitale indivisible d’Israël. La date choisit pour le déménagement tant redouté est alors vu, surtout à Gaza, comme une véritable provocation. Effectuée le 14 mai 2018, ce déménagement se fait jour pour jour 70 ans après la Nakba. Le symbole est fort autant que terrible, assurément, du côté israélien comme américain, l’hypothèse d’une sortie vers la paix est enterrée. Ce seul jour, une manifestation organisée aux abords de la frontière israélienne fera près de 60 morts du côté des Gazaouis, abattus par des snipers et soldats postés de l’autre côté, pour plusieurs milliers de blessés…

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

Le Premier ministre Hamdallah se rendra à Istanbul pour assister à la réunion d’urgence de l’OCI
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Le Premier ministre palestinien Rami al-Hamdallah se rendra jeudi à Istanbul pour assister, au nom du président de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas, à la réunion d’urgence de l’Organisation de la coopération islamique (OCI), convoquée par le président turc Recep Tayyip Erdogan, au sujet de la Palestine: principalement Gaza et Jérusalem occupée.
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Un syndicat de journalistes poursuivra Israël devant la CPI
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Erdogan condamne le silence international face à la « tyrannie israélienne »
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UNICEF: Plus de 1000 enfants blessés dans les marches du Retour
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Le Hamas prévient que la tension à Gaza pourrait dégénérer de manière incontrôlable
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Plusieurs écoliers asphyxiés au sud de Bethléem
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Le Croissant rouge koweitien lance une campagne de dons pour Gaza
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Les ministres des Affaires étrangères arabes discutent de l’agression israélienne
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Les colons envahissent Al Aqsa le premier jour de Ramadon
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Après le transfert de son ambassade à Jérusalem, que fait Washington en ce moment?
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Le Canada appelle à une enquête indépendante sur le massacre de Gaza
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Les élites tunisiennes appellent à la fermeture de l’ambassade américaine dans leur pays
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Erdogan mène une action islamique contre Israël
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Sinwar: Israël s’est retiré d’un éventuel échange de prisonniers
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L’occupation arrête cinq jeunes en Cisjordanie
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En une seule nuit: 7 raids israéliens sur la bande de Gaza
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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Flash info pour le 1er Ramadan 1439.

Flash info pour le 1er Ramadan 1439.

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Sur Ajib.fr, voici les titres.

Ramadan : Les cinq fruits préférés de notre Prophète (saws).
Le mois sacré de Ramadan est à nos portes et au-delà de nos obligations religieuses envers Allah soubhana wa ta’ala, nous devons aussi accorder de l’importance à notre alimentation.
Pour tenir de longues heures de jeûne, il convient de se nourrir convenablement sans toutefois dépasser les limites en se goinfrant de mets lourds et gras.
Et quel meilleur comportement adopter que celui de notre Prophète Mohammed (Salla Allah alayhi wa salam).
D’après l’ouvrage Tib An-Nabawi (médecine prophétique) de l’imam Ibn Al-Qayyim (Rahimah Allah), le Messager d’Allah avait une préférence parmi la multitude de fruits qui existent.
Voici les cinq fruits privilégiés par notre Prophète (Salla Allah alayhi wa salam).
Les dattes.
Elles sont un aliment incontournable en période de jeûne, les dattes contiennent des fibres qui régulent le transit intestinal et évite de ce fait la constipation. Elles sont une source d’énergie grâce à leur teneur en glucose, en fructose et en saccharose, mais aussi en potassium, en magnésium et en fer.
Le Prophète (Salla Allah alayhi wa salam) a dit qu’une maison sans dattes est sans nourriture. (rapporté par Boukhari )
Les figues.
Elles contiennent des minéraux et oligo-éléments, du calcium, des vitamines, du fer, du zinc, du potassium,etc..
La figue a bien des vertus et notamment pour la femme en l’aidant à combattre le fibrome, le dérèglement hormonal, l’absence d’ovulation, l’aménorrhée etc.. Prise sous forme de sirop, elle se transforme en véritable adversaire contre l’asthme, l’angine, la toux, … Il faut pour cela faire cuire 40 à 100 grammes de figues sèches par litre d’eau.
Abu Ad-Darda’ rapporte qu’ : “On a offert au Prophète (Salla Allah alayhi wa salam) un plat de figues”, il dit : “Mangez” et en mangea lui-même, et il dit : “Si je devais dire qu’un fruit est descendu du Paradis, je dirais celui-ci, car les fruits du Paradis n’ont pas de noyau. Mangez-en, car elles éliminent les hémorroïdes et sont utiles contre la goutte ”.
Les raisins.
Ils apportent toute l’énergie nécessaire grâce au sucre qu’ils contiennent, mais aussi aux vitamines C, B, aux sels minéraux et aux oligo-éléments tels le calcium, le potassium, le fer et le magnésium.
Ces bienfaits sur le corps sont très nombreux. Manger du raisin soulage de la constipation, de l’anémie, de la fièvre, du dysfonctionnement sexuel et d’un tas d’autres maux comme les maladies cardiovasculaires, les infections de l’estomac, le cancer du colon et de la prostate, de la maladie d’Alzheimer.
Consommer sec, le raisin lutte contre la prise de poids, mais il a un impact positif sur la vue, le soin dentaire et la qualité osseuse.
Az-Zuhri a dit : « « Celui qui veut mémoriser le hadith, doit manger du raison sec » (Al-Jami’ de Al-Khatib, 2/394.
Le melon.
Désaltérant en période estivale, le melon n’en apporte pas moins les vitamines nécessaires à notre organisme. Riche en pro-vitamine A (carotène), en oligo-éléments et en fibres, il s’avère aussi être un puissant antioxydant qui lutte contre la progressiond el’arthrite, diminue la rétention d’eau, réduit les risques de cancers, fait baisser l’hypertension et prend soin des yeux et de la peau, grâce à sa forte teneur en eau (90%).
Le Prophète (Salla Allah alayhi wa salam) a dit : « Aucune de vos femmes qui sont enceintes et mangent du melon n’échouera à avoir une descendance bonne dans la mine et dans le caractère » .
La grenade.
Le jus de grenade a le vent en poupe ces dernières années et pour cause, de nombreuses études ont démontré ses incroyables bienfaits pour le corps. La grenade a l’avantage de réduire de nombreuses maladies, elle est anti-inflammatoire, antivirale et antibactérienne. Elle protège aussi le cœur et le cerveau.
« Lequel donc des bienfaits de votre Seigneur nierez-vous ? Ils contiennent des fruits, des palmiers et des grenadiers » (Sourate 55- verset 67-68 )
Anas questionna le Prophète (Salla Allah alayhi wa salam) sur ce qu’était la grenade. « Il n’y a pas une grenade, dans laquelle il n’y a pas un grain des grenades du Paradis », répondit le Prophète (Salla Allah alayhi wa salam).
Ramadan : Comment maigrir pendant le Ramadan ?
Le sage Rumi nous enseigne que nous devons, au cours du mois saint du ramadan, “affamer notre corps afin de nourrir notre âme”. Le ramadan est donc un mois consacré entièrement à la recherche de l’illumination divine. Dans cette sagesse de Rumi, nous apprenons que l’hygiène corporelle est le préalable à une hygiène spirituelle.
Nous devons donc rechercher la légèreté de corps afin de faciliter l’ascension de notre esprit et son ouverture à la sagesse divine. Perdre du poids n’est donc pas qu’un impératif de santé.
Contrairement au jeûne intermittent spécialement conçu pour maigrir, le jeûne du Ramadan ne réalise pas souvent cet objectif parce que nous avons tendance à nous goinfrer lors des repas autorisés afin de rendre plus supportables les heures de privation.
Afin de maigrir pendant le Ramadan, nous devons faire plus attention à ne pas adopter des habitudes alimentaires et d’hygiène qui pourraient nous éloigner desdits objectifs.
Boire pour maigrir.
Nous connaissons les vertues purificatrices de l’eau utilisée notamment pour les ablutions, mais peut-être ne savons-nous pas toute l’étendue de ces vertues à l’intérieur de notre corps. L’eau facilite, en effet, l’hydrolyse des protéines, c’est-à-dire que plus nous consommons de l’eau, plus de protéines sont converties en énergie prête à être brûlée par le corps. Une étude révèle que boire plus d’un litre d’eau par jour fait perdre en moyenne plus de 2 kg sur 12 mois et aussi que notre dépense énergétique s’accroît de 24 à 30% dans les 60 à 90 minutes qui suivent une prise d’eau.
Lors du jeûne, nous serons amenés au cours de la journée à être déshydratés, nous devons donc boire beaucoup lors de la rupture du jeûne. Nous vous recommandons entre 2 et 3 litres répartis comme suit:
Prendre deux verres d’eau à l’iftar, le repas léger pour rompre le jeûne;
Prendre 4 verres d’eau entre l’iftar et le souhour (le grand repas avant la reprise du jeûne);
Prendre 2 derniers verres lors du souhour.
Boire beaucoup d’eau entretient également la sensation d’être rassasié, ce qui limite l’absorption d’aliments. De plus, l’eau permettra de brûler les réserves de graisses abdominales, et vous pourrez maigrir du ventre en plus de perdre quelques kilos.
Faire le juste plein d’énergie à l’iftar.
Pour l’iftar, nous vous recommandons des dattes. Elles sont riches en carbohydrates et constituent des réserves immédiates d’énergie quand on observe un jeûne. Elles procurent l’énergie requise avec un faible volume. Vous n’aurez besoin que de quelques dattes pour revigorer votre organisme. Accompagnez-les d’une soupe.
Faites surtout une croix sur tout aliment fait à base de sucre ajouté, les sodas notamment.
Ne ratez pas le souhour et privilégier les fibres.
Nous le disions tantôt, nous avons tendance à toujours nous empiffrer plus quand nous savons que nous devons faire un effort de privation. Sauter un suhur ne va pas nous faire maigrir parce que nous serons tentés d’abuser davantage de la nourriture au suhur suivant.
Nous devons plutôt veillez tant à la qualité qu’à la quantité de ce que nous consommons.
Vous devriez faire la part belle aux fruits, noix, laitues et graines. Pour consommer à équivalentes quantités de calories avec les protéines animales, il faudra bien plus de fibres. Celles-ci auront le mérite de remplir plus vite votre estomac et de vous donner la sensation que votre faim est apaisée.
Continuez de rester actif, pour maigrir.
Maigrir du ventre, perdre la cellulite disgracieuse des fesses, ou encore réduire ce double menton est possible si vous restez actif.
Le jeûne ne saurait être une excuse pour rester inactif. Il est peu probable de maigrir en ne faisant aucune activité physique. Assurez-vous de marcher ou de faire des travaux domestiques pendant au minimum 40 minutes dans la journée.
En résumé, l’eau, les aliments riches en fibres, et une activité physique régulière sont les moyens les plus sûrs pour perdre du poids au cours du Ramadan.
Karim Jemaï, un exemple de réussite. Il concrétise son rêve et devient apiculteur.
Karim Jemaï est la preuve vivante qu’avec de la volonté et de la détermination, tout est possible. Cet apiculteur amoureux de la nature a concrétisé son rêve, vivre de l’apiculture.
Pourtant les débuts étaient peu prometteurs tant la tâche semblait insurmontable.
Originaire de la cité des 3000 d’Aulnay-sous-Bois, Karim vend aujourd’hui son miel pour le grand plaisir des habitants de la ville.
Son étal au marché de Sevran dans le quartier de la Rose-des-Vents à Aulnay-sous-Bois, les vendredis et les dimanches attire les amateurs de miel mais aussi les sceptiques. Mais Karim, sûr de lui et n’hésite pas à faire goûter son miel de châtaigne, d’acacia, crémeux ou encore de forêt.
Mohamed, client régulier de Karim ne tarit pas déloge :
« C’est bien d’avoir un vrai producteur qui vend ses produits ici ! »
Pourtant avant de pouvoir produire lui-même son miel, l’ancien informaticien a du batailler.
« J’ai dû batailler pour être apiculteur. Pôle Emploi refusait de m’orienter vers la filière apicole car ma demande semblait farfelue par rapport à mon métier ».
Mais pour obtenir le statut de professionnel, Karim devra travailler encore quelques années :
« En France, il faut avoir plus de 200 ruches pour être reconnu comme professionnel », explique-t-il.
En attendant, Karim est considéré comme un « producteur familial » comme la grande majorité des apiculteurs en France.
Propriétaire d’une cinquantaine de ruches, l’homme de 37 ans produit actuellement entre 20 et 40 kg de miel par ruche, ce qui représente entre 600 et 1200 kg par an répartis sur quatre récoltes.
Après avoir fréquenté un lycée agricole de province proposant une option apiculture, il s’inscrit finalement au CFPPA (Centre de formation professionnelle et de promotion agricole), pour par la suite suivre une formation en Tunisie et en Bourgogne.
Son intérêt pour les abeilles date de sa jeunesse, très tôt il est interpellé par la mortalité des abeilles.
« J’ai été marqué par la mortalité des abeilles, il y avait beaucoup de communication là-dessus. J’ai voulu en savoir plus, comprendre ce qui n’allait pas ».
Rapidement son passe-temps se transforme en véritable passion.
Lors de ses stages en Tunisie, Karim est convaincu que son avenir se fera avec les abeilles et il met tout en œuvre pour y parvenir.
« J’ai été en contact avec des abeilles, il a fallu se faire piquer pour voir si j’avais des allergies et ça m’a aussi permis d’observer la charge de travail que ça représentait. Ca m’a beaucoup plu de gérer ce vivant et de comprendre cet insecte social, d’observer la manière dont il vit ».
L’Aulnaysien s’entoure de professionnel, avec Ahmed Taouassart, son mentor, il développe son activité.
« Grâce à son expérience, surtout sur la division des essaims, nos ruches ont triplé sur six mois ! » se réjouit-il..
Deux ans plus tard, le trentenaire est satisfait du travail accompli même s’il reste encore beaucoup à faire.
Jamais il n’aurait pu imaginer étant jeune qu’il se lancerait dans l’apiculture.
« C’est vrai que si on m’avait parlé d’apiculture lorsque j’étais plus jeune, j’aurais vu ça comme une sanction ! Parce que les lycées agricoles et ces filières-là sont peu valorisés. Alors que si on expliquait aux enfants ce que ça représente, de travailler en connexion avec la nature, en extérieur, de voir la concrétisation de son travail lorsqu’on récolte son premier miel, de vivre de sa passion tout respectant l’écologie et l’environnement, ça changerait les regards ! »
Oui, il n’en revient toujours pas !
« Venant d’un quartier populaire, je n’aurais jamais imaginé faire ce métier ».

Sur Katibin.fr, voici les titres.

Donnons-nous une renaissance avec le Ramadan.
À la veille du mois sacré du Ramadan notre communauté est au plus mal dans les quatre coins du monde. C’est l’occasion de rectifier tir.
Une communauté décimée .
Entre les massacres en Palestine, les horreurs perpétrées au levant, le génocide des rohingyas en Birmanie, les régimes dictatoriaux qui piétinent les peuples, notamment en Égypte, les pays en famine, les crimes haineux dont sont victimes les musulmans en Occident et les actes terroristes injustement commis au nom de l’Islam on ne sait plus où donner de la tête. Et pourtant, alors que nous devrions être plus unis que jamais, la communauté musulmane est on ne peut plus fracturée, ce qui donne a nos détracteurs le pouvoir de décrédibiliser notre belle religion et de vouloir trouver des solutions pour reformer l’Islam alors qu’en réalité l’Islam est la seule et unique solution.
Le mois de tous les possibles .
Le mois du ramadan est le mois le plus important dans la vie du musulman d’hier, d’aujourd’hui et de demain. En effet, c’est durant ce mois que le Coran a été révélé.
« Le mois de Ramadan durant lequel le Coran a été descendu comme guide pour les gens et preuves claires de la bonne direction et du discernement ». (Sourate Al Bakara – Verset 185).
De ce fait, nous devons profiter de ce mois béni pour multiplier les bonnes actions et nous reformer. Pour cela il nous faut suivre le Coran et la Sunna de notre Prophète bien-aimé (que la paix soit sur lui) nous a transmis et qui sont des exemples de bonté et de sagesse dont voici quelques exemples (liste non exhaustive):
Étudier et apprendre l’islam, ainsi qu’appliquer toutes les obligations divines.
Respectez-vous mutuellement, pas de dispute ni de médisance ni de mensonge.
Ne jamais être malhonnête, ne pas tromper ou voler qui que ce soit.
Souriez ! C’est une aumône 🙂.
Visitez vos voisins et faites preuve de gentillesse envers eux.
Soyez propre, c’est la moitié de l’Iman (la foie).
Visiter le malade chez lui ou à l’hôpital.
Garder votre coeur pur et apprenez à pardonner.
Créez une ambiance agréable, joyeuse et musulmane dans vos foyers.
Faites la charité et aidez les pauvres.
Multipliez les invocations.
Saluez-vous mutuellement en disant « Assalam Aleykoum » (Que la paix soit sur vous).
Montrez du respect et de la tolérance envers les autres croyances, races (animaux) et cultures.
Profitions du mois du ramadan pour redorer l’image de l’Islam, cette Amana (dépôt, engagement moral) que nous avons tous plus ou moins délaissée, et pour nous, musulmans, perfectionner dans la durée.

Sur saphirnews.com, voici les titres.

Avec la mousson, un Ramadan laborieux pour les Rohingyas du Bangladesh .
Le mois du jeûne, qui commencera vendredi 18 mai, s’annonce difficile et pénible pour les Rohingyas dans les camps de réfugiés précaires au Bangladesh où ils ont trouvé refuge suite à des persécution de l’armée birmane.
« En Birmanie, faire le Ramadan aurait été plus facile, ici il n’y a rien. Nous ne recevons aucune nourriture spéciale pour rompre le jeune. Mais peu importe, nourriture ou pas, nous ferons quand même le Ramadan », explique un réfugié auprès d’Euronews.
Des centaines de milliers de familles vivant dans des structures aussi fragiles qu’insalubres ne possèdent pas les ressources nécessaires pour rompre le jeûne correctement. Aggravant encore plus la situation, la mousson qui débute risque d’apporter de fortes pluies dans des camps où l’eau n’est ni évacué, ni purifié, entraînant des maladies intestinales et des diarrhées aux conséquences souvent fatales.
Le Haut commissaire de l’ONU pour les réfugiés Filippo Grandi a adressé, mercredi 16 mai, ses meilleurs vœux aux réfugiés du monde entier dont les Rohingyas.
France : Festival de Cannes : quand le massacre à Gaza s’invite sur le tapis rouge.
Sous les flashs des photographes du Festival de Cannes qui célèbre cette année sa 71e édition, la jeune actrice franco-libanaise Manal Issa a brandi, lors de sa montée des marches mardi 15 mai, une pancarte témoignant de sa condamnation publique de la récente attaque israélienne à Gaza, en marge de l’inauguration du transfert de l’ambassade américaine à Jérusalem.
Âgée de 26 ans, Manal Issa, actrice dans Peur de rien, Nocturama et One of these days, se tenait aux côtés de Gaya Jiji et d’Étienne Kallos pour la présentation du film Solo : A Star Wars Story.
Contre toute attente, alors qu’ils prenaient la pose sur le tapis rouge du Festival, la jeune actrice a brandi une pancarte sur laquelle on pouvait lire le message « Stop the attack on Gaza », bien visible. Le bilan humain de la dernière attaque d’Israël contre Gaza s’élève à 60 morts, parmi lesquels des enfants.

Sur oumma.com, voici les titres.

France : Cannes : Benicio del Toro se recueille à la mémoire des 60 Gazaouis abattus par Israël.
Il fut un Che Guevera plus vrai que nature sur grand écran, Benicio del Toro a gravé son nom dans l’histoire du Festival de Cannes pour y avoir reçu la palme du meilleur interprète masculin en 2008.
Dix ans après avoir impressionné la pellicule et le jury présidé par Sean Penn dans le film “Che”, le célèbre acteur portoricain-espagnol revient sur la Croisette en sa qualité de président de la sélection « Un certain regard » dont la spécificité est de mettre en perspective un cinéma plus audacieux, voire décalé, que celui de la sélection officielle.
C’est moins pour sa mission cannoise honorifique que pour avoir observé une minute de silence en hommage aux 60 manifestants palestiniens pacifiques de Gaza, qui ont péri sous les salves de tirs de l’armée israélienne d’occupation, que Benicio del Toro aura marqué les esprits.
Hier après-midi, il s’est joint aux festivaliers qui s’étaient rassemblés dans le tout premier pavillon de la délégation palestinienne dont le drapeau était en berne, afin de s’incliner devant la mémoire des victimes palestiniennes abattues froidement. Il est à noter qu’il était entouré d’autres membres de son jury, parmi lesquels figuraient la comédienne française Virginie Ledoyen et la réalisatrice palestinienne Annemarie Jacir.
Le cinéma a-t-il le prodigieux pouvoir de panser les blessures béantes de la guerre ? C’est le fol espoir que nourrit l’un des membres de la délégation palestinienne et qu’il a tenu à faire partager largement, en marge de la diffusion du film “Samouni Road”, un documentaire sur la bande de Gaza présenté à la Quinzaine des réalisateurs.
France : Le geste politique d’une actrice fait sensation à Cannes : “Stop the Attack on Gaza”.
Violent télescopage d’images, au moment même où Cannes, pavoisé aux couleurs de son Festival tout en strass et paillettes, s’étourdit dans un tourbillon de mondanités, de luxe ostentatoire et de soirées de gala, un massacre de civils palestiniens innocents se déroule en direct sur nos petits écrans, endeuillant cruellement la terre de souffrances qu’est Gaza, avec dans le rôle de l’exterminateur sans pitié : Israël.
Face à cette réalité sanglante effroyable, qui dépasse largement la fiction puisqu’elle perdure depuis des décennies sous les yeux indifférents ou faussement indignés de la communauté internationale, rares sont les stars du septième art qui osent jouer les trouble-fête sur les tapis rouges que l’on déroule sous leurs pieds pour en dénoncer l’horreur absolue.
Pourtant hier soir, sur les marches les plus célèbres du monde que certains gravissent allègrement et présomptueusement, comme s’ils se hissaient au sommet de la gloire, une actrice franco-libanaise a fait sensation au milieu de ce ballet incessant de célébrités qui s’exhibent chaque année, avec la même insouciance, sous les crépitements des flashes.
Manal Issa peut en effet se targuer d’avoir offert un contraste saisissant avec le glamour, la frivolité et l’hypocrisie ambiants, en posant devant les photographes pour la bonne cause, ô combien désespérée et urgente, munie d’une affichette délivrant un puissant message politique : « Stop the Attack on Gaza ».
Il y a fort à parier, malheureusement, qu’il en faudra beaucoup plus à la Croisette, en pleine effervescence, que ce coup d’éclat courageux pour détourner les yeux des idoles devant lesquelles elle se prosterne, et les ouvrir enfin sur l’abomination d’un nettoyage ethnique qui ne dit pas son nom.

Sur tribune lecteurs.com, le journal d’algérie, voici les titres.

IL A INAUGURÉ LA ZAOUÏA BELKAIDIA ET INSPECTÉ LE PROJET DE LA GRANDE MOSQUÉE D’ALGER : BOUTEFLIKA EN VISITE D’INSPECTION À ALGER.
Les tirs sionistes sur les civils désarmés ont fait 61 morts et plus d’un millier de blessés : L’horreur à Ghaza !.
Un rapport du Sénat se situe à contre-courant des allégations du ministre marocain des AE : » L’Algérie, un acteur incontournable dans la stabilisation du Sahel « .
Gaid Salah à propos du lien solide entre le peuple et son armée : Un sens et une symbolique gravés à travers l’histoire.
89 opérateurs présents au marché de solidarité de l’UGTA : Une affluence record.
Algérie, Union Européenne : Nouveau cadre de coopération financière pour 2020.
Promoteurs Ansej, Cnac et Angem de Tizi Ouzou : Marche suivi d’un sit-in devant la wilaya.
Sécurisation du mois du Ramadhan par la gendarmerie nationale : Un plan spécial mis en place.
Les modalités financières du programme LPA 2018 publiées au J.O : Tout ce que vous-devez savoir.
Elle a amplement mérité cette distinction : « Alger, capitale du vivre-ensemble en paix ».

Sur le muslim post.com, voici les titres.

Ramadan 2018 : Ayyème lance un calendrier gourmand et éducatif.
Depuis plusieurs années, les calendriers du Ramadan ont envahi les rayons des supermarchés, tout comme les calendriers de l’Avent, durant la période de Noël. Une tradition du 19e siècle d’origine germanique pour faire patienter les enfants avant la fête, devenue depuis très commerciale.
Aziza, mère de deux enfants, l’a bien compris. Exit les banals calendriers aux chocolats ou aux dattes des grandes surfaces. Ancienne financière, elle a décidé d’innover avec un nouveau calendrier du Ramadan, répondant davantage aux attentes des parents et avec une portée plus éducative.
« Les calendriers que j’ai trouvé dans le commerce n’étaient pas très élaborés, avec du chocolat bas de gamme et un graphisme très simple », remarque t-elle.
Ainsi, la mère de famille a créé un calendrier au prix un peu plus élevé, mais beaucoup plus éthique. Il contient en effet des chocolats 100% français, fabriqués par une entreprise familiale, sans colorants ni conservateurs.
Chaque jour, un hadith, un rappel religieux, une bonne action ou une invocation
Du chocolat donc, « pour le côté festif », mais durant trente jours, les enfants pourront découvrir également un enseignement de l’Islam : un hadith à méditer, un rappel religieux, une invocation ou encore des idées de bonnes actions.
Pour Aziza, originaire d’Algérie, c’est une façon de transmettre sa « culture arabo musulmane » à ses enfants mais aussi de les faire participer au mois de Ramadan, même s’ils ne jeûnent pas.
« A Noël, il y a beaucoup de féérie, de décorations. C’est une période très joyeuse. Le Ramadan est souvent associé à la privation pour les enfants. J’ai donc voulu créer un calendrier coloré, festif, avec des symboles forts de l’Islam mais moins axé sur les interdits que sur les bons comportements du musulman au quotidien », explique la jeune entrepreneure.
Chaque jour, comme dans le calendrier, sur la page Facebook Ayyème Ramadan, sera aussi publié une activité à réaliser : la préparation de biscuits en forme de lune et croissant, la fabrication de photophores, etc … « C’est important que les parents puissent prendre du temps avec leurs enfants pendant cette période », note Aziza.
« Des mamans non musulmanes ont acheté mon calendrier pour faire découvrir l’Islam à leurs enfants »
Présenté le mois dernier au Salon musulman du Bourget (93), son calendrier à d’ailleurs déjà séduit les familles mais aussi quelques parents non musulmans.
« Dans la classe de mon fils, des mamans non musulmanes ont acheté mon calendrier pour faire découvrir l’Islam à leurs enfants. Mon fils pourra ainsi partager sa tradition avec ses amis », se réjouit Aziza.
La jeune femme commercialise également d’autres objets éducatifs, de la papeterie et de la décoration autour des fêtes religieuses musulmanes, via sa société Ayyème (les jours en arabe).
Pour l’Aïd, Aziza a déjà prévu des cartes de voeux, une bonne manière de « garder des liens avec les familles dans les pays d’origines » ou avec « les cousins et cousines éparpillés en France ».
Rohingyas : un premier ramadan difficile, loin de chez eux.
Alors que les musulmans du monde entier vont vivre un ramadan festif, certaines communautés sont moins lotis. Comme en Birmanie, à la frontière avec le Bangladesh. Après avoir fui les violences, les Rohingyas vont vivre un mois béni dans des camps de réfugiés. Malgré les promesses de retour faites par Aung San Suu Kyi, ces musulmans apatrides sont coincés à la frontière avec le Bangladesh.
Ils sont environ un million à avoir fui leur logement en Birmanie, menacé par les intégristes bouddhistes et par l’armée. A l’AFP, l’un d’eux explique que le mois béni sera difficile : « Ici, nous n’avons pas les moyens de faire des cadeaux, nous n’avons pas de bonne nourriture… Car ce n’est pas notre pays », dit-il. La végétation, qui a été rasée pour planter les camps, est devenue rare. Mais les Rohingyas vivent désormais dans une pauvreté terrible.
C’est le premier ramadan que ces Rohingyas vont vivre loin de chez eux. Et alors que la mousson pointe le bout de son nez, le manque de nourriture est flagrant, notamment parce que les réfugiés ne sont pas autorités à travailler et à gagner d’argent. En Birmanie, ils étaient considérés par les autorités comme des sous-citoyens et n’avaient pas les mêmes droits que le reste de la population. La bonne réussite du ramadan dépend donc désormais des ONG.
De plus, la chaleur est harassante, le manque de végétation n’aidant pas et l’eau manquant cruellement. Un humanitaire, qui aide actuellement les Rohingyas exilés, explique : « Malheureusement, ce sera leur premier ramadan à se remémorer pour les mauvaises raisons. Ils n’auront que de la terre et la poussière pour jouer. Il passeront le ramadan loin de leur foyer, de leurs parents et de leurs amis. »
France : Le Crif souhaite un bon ramadan… avant de justifier les meurtres de Palestiniens.
« Golda Meir avait raison, il y a plus de 40 ans. » Hier, le Conseil représentatif des institutions juives de France s’est fendu d’un post étonnant, sur Twitter et sur Facebook. « Nous pouvons pardonner aux arabes de tuer nos enfants mais nous ne pouvons pas leur pardonner de nous forcer à tuer leurs enfants », écrit le Crif, attribuant cette citation à Golda Meir, Premier ministre d’Israel de 1969 à 1974.
Sauf que, comme le souligne Libération, cette citation semble être sortie de nulle part. En effet, dans un long article, Haaretz indiquait qu’« on ne peut pas savoir avec certitude si Meir a dit cela » un jour.
Quoi qu’il en soit, cette (fausse) citation prouve l’avis du Crif sur les événements qui se déroulent actuellement à la frontière de la bande de Gaza. Plusieurs dizaines de Palestiniens ont été tués par l’armée israélienne. Le discours de l’Etat hébreu est le même depuis le début de la « Grande marche du retour » : le Hamas enverrait sa population manifester dans le but de mourir en martyr.
Le Crif estime donc qu’Israël est « forcé » de tuer des Arabes. Avant ce tweet insensé justifiant le meurtre de Palestiniens, le Conseil représentatif des institutions juives de France avait osé souhaiter un joyaux ramadan à ses « amis musulmans. »
Halal : l’ONG foodwatch dénonce les fausses promesses d’Isla Délice.
Des produits au bœuf sans bœuf ? Selon foodwatch, la marque Isla Délice « abuse de sa position de leader et fait miroiter du bœuf ou du veau dans des produits qui n’en contiennent pas. » L’organisation à but non lucratif, qui indique qu’elle « se bat pour une alimentation sans risques, saine et abordable pour tous et toutes », a décidé de lancer une pétition pour demander des comptes à l’industriel qui se dit « fièrement halal » dans ses publicités.
« Avec ses produits Saveur’Délice goût bœuf ou goût veau, Isla Délice fait aux millions de musulmans qui consomment halal une promesse qu’elle ne tient pas », écrit dans un communiqué foodwatch qui assure que « ces deux produits ont quasiment la même recette que le Saveur’Délice goût volaille. » Au final, assure l’ONG, seule la couleur de l’emballage change.
Isla Délice représente 40 % du marché du halal, rappelle Mégane Ghorbani, responsable de campagnes chez foodwatch France, qui estime que « le rayon halal n’échappe pas aux arnaques sur l’étiquette. » Sauf que, « à la différence d’autres rayons où il y a pléthore de choix, le rayon halal est plus limité. »
De faibles proportions de viande.
L’occasion pour foodwatch de faire le procès de la VSM, la viande séparée mécaniquement. C’est le procédé qui permet d’obtenir les charcuteries halal vendues dans la grande distribution. En réalité, cette méthode permet de rogner os et cartilages des animaux, et le pourcentage de viande est donc très faible dans les produits. Or, Isla Délice n’indique pas la présence de VSM ni d’eau à l’avant de l’emballage, ni celle d’additifs.
L’organisation foodwatch veut donner aux consommateurs « l’occasion de se faire entendre car c’est inacceptable », assure Mégane Ghorbani qui n’a pas réussi à obtenir de réponse de la marque halal. Pourtant, la démarche mérite qu’on s’y intéresse : foodwatch avait déjà interpellé la marque pour son « Délice de poulet 100 % filet » qui ne contient que… 35,7 % de poulet. L’ONG « foodwatch s’étonne du refus d’Isla Délice de s’expliquer, d’autant que la marque est bien moins discrète dans les dépliants publicitaires à l’occasion du ramadan », ironise l’organisation.

Sur agence media palestine.fr, voici les titres.

Projections de SAMOUNI ROAD de Stefano SAVONA au Forum des Images à Paris.
Dans le cadre de la Reprise de la Quinzaine des Réalisateurs 2018,
Le FORUM DES IMAGES de Paris propose 2 projections du film,
SAMOUNI ROAD, de Stefano SAVONA.
(Italie-France, 2h08).
> SAMEDI 2 JUIN,
séance à 17H30.
RENCONTRE avec le REALISATEUR Stefano SAVONA
et la PRODUCTRICE Penelope BORTOLUZZI.
> DIMANCHE 3 JUIN,
séance à 14h30.
Réservations : Forum des Images.
Forum des Images,
Forum des Halles.
2 rue du cinéma,
75001 Paris.
01 44 76 63 00.
Accès :
Métro Les Halles – Métro Châtelet – RER Châtelet-Les Halles.
SAMOUNI ROAD
Long métrage documentaire et animation de Stefano SAVONA
France / Italie, 2018, 128 min.
SYNOPSIS :
Dans la périphérie rurale de la ville de Gaza, la famille Samouni s’apprête à célébrer un mariage. C’est la première fête depuis la dernière guerre. Amal, Fouad, leurs frères et leurs cousins ont perdu leurs parents, leurs maisons et leurs oliviers. Le quartier où ils habitent est en reconstruction. Ils replantent des arbres et labourent les champs, mais une tâche plus difficile encore incombe à ces jeunes survivants : reconstruire leur propre mémoire. Au fil de leurs souvenirs, Samouni Road dresse un portrait de cette famille avant, pendant et après l’événement qui a changé leur vie à jamais.
STEFANO SAVONA est né à Palerme. Avant de déménager à Paris pour poursuivre une carrière dans le cinéma, il a étudié l’archéologie à Rome et au Royaume-Uni et a beaucoup voyagé à travers le Proche-Orient pour participer à différentes fouilles archéologiques. C’est dans cette même région qu’il tourne plus tard la plupart de ses films: « Notes d’un rebelle kurde » (2006) récompensé par le prix international de la SCAM au Cinéma du Réel et nominé pour le David di Donatello, « Plomb durci » (2009) lauréat du Prix spécial du jury au Festival de Locarno. « Tahrir Liberation Square » (2011), lauréat du David di Donatello et de Nastro d’Argento, meilleur documentaire de l’année.
Entretien avec Stefano Savona.
SIMONE MASSI est né à Pergola (Italie) en mai 1970. Ancien ouvrier d’origine paysanne, il étudie l’animation cinématographique à l’école d’art d’Urbino. Animateur indépendant, à partir de 18 ans, il tente, de manière propre, de faire de sa passion pour le dessin un métier. Malgré les difficultés qu’il a imaginées et réalisées (seul et entièrement à la main), une douzaine de petits films d’animation ont été présentés dans 60 pays des 5 continents et ont récolté plus de 200 prix.
– réalisateur : Stefano Savona,
– directeur artistique de l’animation : Simone Massi,
– image : Stefano Savona,
– scénario : Stefano Savona, Léa Mysius, Penelope Bortoluzzi,
– montage : Luc Forveille,
– son : Jean Mallet, Margot Testemale,
– musique : Giulia Tagliavia,
– produit par : Penelope Bortoluzzi, Marco Alessi, Cécile Lestrade.
Une coproduction Picofilms, Alter Ego Production, ARTE France Cinéma (France), Dugong Films, RAI Cinema (Italie).
Avec le soutien de : Eurimages, CNC (aide au Cinéma du Monde / Nouvelles Technologies en Production / FAIA) , Ciclic Région Centre-Val de Loire, Région Île-de-France, Mibact, Marche Film Commission, Cineteca di Bologna, Trentino Film.
Commission, Lazio Film Commission, la Scam.
Distribution : Jour2Fête.
Ventes internationales : Doc&Film International.

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

Israël a tué 18 enfants depuis le début de l’année
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Israël a tué 18 enfants palestiniens en Cisjordanie et dans la bande de Gaza depuis le début de 2018, selon la Défense internationale des enfants.
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Incitation sioniste contre les étudiants palestiniens de 48 en solidarité avec Gaza
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ISESCO: Ce qu’Israël a commis contre les manifestants est un crime contre l’humanité
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Arrestations par l’armée israélienne signalées en Cisjordanie
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Grève générale dans l’interieur occupé pour condamner le massacre de Gaza
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Plusieurs centaines de manifestants en France en soutien au peuple palestinien
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Gaza: 3 morts des suites de leurs blessures
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Macron exprime sa très vive préoccupation sur la situation à Gaza, appelle au dialogue
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Al-Azhar annonce l’envoi d’un convoi d’assistance médicale et de secours pour la bande de Gaza
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La Belgique convoque l’ambassadrice d’Israël pour avoir qualifié de « terroristes » les victimes à Gaza
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Un ministre britannique critique vivement Washington sur le massacre de Gaza
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Chicago: une manifestation dénonce le transfert de l’ambassade américaine à Jérusalem occupée
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Un homme âgé tué et 248 autres blessés dans des affrontements en Cisjordanie
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La Turquie expulse le consul d’Israël à Istanbul après le massacre à Gaza
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Une minute de silence à Cannes suite au massacre israélien à la frontière de Gaza
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Eurovision en Israël : Un appel au boycott recueille 8 000 signatures en Islande
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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