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Flash info du 10 Dhou al Qa’da 1438.

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France : Affaire Théo : du bamboulagate à la chronique de Canteloup, le Conseil supérieur de l’audiovisuel rend deux avis.
Le Conseil supérieur de l’audiovisuel a adressé, lundi 31 juillet, une mise en demeure à l’encontre de la radio Europe 1 pour la diffusion d’une chronique de Nicolas Canteloup. Il reproche à l’humoriste d’avoir « tourné en dérision le viol dont aurait été victime » le jeune Aulnaysien.
Le 8 février, l’imitateur avait parodié l’ex-président François Hollande, qui s’était rendu au chevet de Théo Luhaka et lui a fait dire : « J’ai rendu possible le mariage gay. (…) Si Théo, après réflexion, se découvre des sentiments pour le policier qui a introduit la matraque, ils pourront grâce à moi s’épouser ».
Le Conseil supérieur de l’audiovisuel a considéré que « le fait de moquer la victime nommément désignée d’un viol présumé, gravement blessée à cette occasion et toujours hospitalisée au moment de la diffusion de la séquence, traduisait une complaisance dans l’évocation de la souffrance humaine constitutive d’une atteinte à la dignité de la personne humaine ».
Le Conseil supérieur de l’audiovisuel se prononce sur le « bamboulagate ».
Le Conseil supérieur de l’audiovisuel s’est, dans le même temps, exprimé sur un autre dérapage en lien avec l’affaire Théo, à savoir la prise de parole de Luc Poignant, représentant du syndicat Force Ouvrière de la police sur le plateau de France 5, le 9 février.
Interrogé sur les conflits entre les jeunes et la police, il avait déclaré que l’insulte « bamboula », « ça ne doit pas se dire. Ça reste encore à peu près convenable ». Des propos qui ont tout de suite été réprimés d’un « non » par la présentatrice Caroline Roux. Selon l’autorité de l’audiovisuel, la chaîne a « parfaitement » maîtrisé son antenne « en condamnant directement et fermement ceux-ci ».
saphirnews.com
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Les époux Clooney assurent la scolarisation de 3000 enfants syriens au Liban.
The Clooney Foundation for Justice, dirigée par George Clooney et son épouse Amal, a annoncé, lundi 31 juillet, l’aide à la scolarisation de 3 000 enfants syriens présents au Liban après avoir fui leur pays.
L’action sera financée grâce à un partenariat avec Google à hauteur de 2,25 millions de dollars, qui s’ajoute à une dotation en équipement de 1 million de dollars de Hewlett Packard. Un partenariat avec l’Unicef permettra à sept écoles publiques de scolariser ces enfants déscolarisés.
« Des milliers d’enfants réfugiés syriens sont confrontés au danger, le danger de ne jamais être un élément productif de la société. Une éducation formelle peut permettre de changer cela », ont ajouté George et Amal Clooney dans un communiqué. « Nous ne voulons pas perdre une génération entière parce qu’ils n’ont pas eu de chance et sont nés au mauvais endroit au mauvais moment. »
Plus d’un million de Syriens – dont plus de 500 000 enfants – sont enregistrés comme réfugiés au Liban, pays de naissance d’Amal Clooney, marié au célèbre acteur depuis 2014.
saphirnews.com
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France : Migrants : la maire de Calais rejette l’injonction du Conseil d’Etat.
Natacha Bouchart, la maire de Calais, a annoncé lundi 31 août qu’elle ne « donnera pas suite aux injonctions » du Conseil d’Etat. La plus haute juridiction de France avait, quelques heures auparavant, ordonné des mesures d’aide aux migrants.
« La décision de justice du Conseil d’État est une injustice pour les Calaisiens, car elle les met de nouveau sous la menace de la recréation d’une énième jungle », a déclaré l’édile par communiqué. Elle ajoute qu’en l’absence « de politique nationale et européenne offrant une solution globale de maîtrise de l’immigration, la Ville de Calais ne donnera pas suite aux injonctions qui lui ont été faites ».
La mairie s’expose ainsi à une amende de 100 € par jour mais Nathalie Bouchart a fait savoir, via La Voix du Nord, que « c’est déjà inscrit dans le budget des dépenses imprévues de la Ville », préférant s’acquitter de l’amende plutôt « que d’encourager une situation qui mènerait à 10 000 migrants à Calais dans un an »
Le gouvernement réagit à la décision.
Saisi par 11 associations et une cinquantaine d’exilés, le tribunal administratif avait ordonné fin juin que les droits humains élémentaires des 400 à 700 migrants qui survivent dans les camps clandestins soient respectés. Ainsi, l’Etat et la municipalité de Calais devaient faire en sorte que les migrants puissent disposer de douches et de toilettes.
Le ministère de l’Intérieur et la ville de Calais ont lancé, début juillet, un recours auprès du Conseil d’Etat. Ce dernier a ainsi jugé lundi que « les conditions de vie des migrants révèlent une carence des autorités publiques, qui est de nature à exposer les personnes concernées à des traitements inhumains ou dégradants et qui porte donc une atteinte grave et manifestement illégale à une liberté fondamentale ».
Si la municipalité calaisienne a rejeté l’avis du Conseil d’Etat, il en va autrement pour le gouvernement. Le ministre de l’Intérieur Gérard Collomb a annoncé en conférence de presse que « des douches mobiles vont être déployées dans Calais afin d’éviter de fixer les migrants dans un lieu ».
Il a aussi affirmé l’ouverture prochaine de deux centres d’accueil à Troisvaux et à Bailleul, dans deux communes des Hauts-de-France. Ils auront pour objectif d’examiner la situation des migrants. « Nous ne voulons pas recommencer les mauvaises expériences du passé et nous ouvrirons deux centres assurant l’hébergement et l’examen des situations de ces personnes », a précisé le ministre.
saphirnews.com
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Une féministe musulmane allemande projette d’ouvrir des “mosquées libérales” dans toute l’Europe.
Sur un Vieux Continent où gronde l’orage du nationalisme et s’amoncellent les noirs nuages de l’islamophobie, l’Allemande Seyran Ates, 54 ans, une avocate née en Turquie, connue pour son militantisme en faveur des droits de l’Homme, s’érige en fer de lance de la « révolution » de l’islam occidental qui, d’après elle, est en marche, bousculant les mentalités et les traditions sur son passage, au risque de s’attirer les foudres des hautes instances islamiques Outre-Rhin, en Turquie ou encore en Egypte.
Fondatrice de la mosquée libérale Ibn Rushd-Goethe, à Berlin, qui a fait couler beaucoup d’encre et lui a valu des menaces de mort, cette juriste qui se définit elle-même comme une « féministe musulmane » veut cependant essaimer au-delà des frontières, nourrissant l’espoir de créer un second lieu de culte « inclusif » à Londres d’ici à un an, mais aussi ailleurs, dans toutes les cités phares européennes.
Placée sous protection policière depuis 2006, rien ne dissuadera Seyran Ates de parachever son grand dessein, ni l’hostilité exacerbée des musulmans conservateurs à son égard, ni la fatwa sans appel émise par le Département juridique de la prestigieuse Université Al-Azhar qui, depuis le Caire, a condamné fermement les mosquées libérales, jugées parfaitement « incompatibles avec l’islam ».
Imperméable à la levée de boucliers que son concept cultuel révolutionnaire a déclenché, favorisant l’éclosion de mosquées ouvertes aux hommes, aux femmes et aux fidèles issus des rangs LGBT (lesbiennes, gays, bisexuels et transgenres), celle qui se fait le chantre de l’islam sans exclusive et sans tabous, sauf à l’égard des femmes voilées intégralement considérées comme des intruses indésirables, a fait escale au Royaume-Uni la semaine dernière.
« Nous sommes des millions, à travers le monde, à partager cette même vision de la mosquée, convaincus de l’évolution irréversible de l’islam en Occident. Je peux être le visage de la mosquée libérale, mais je ne suis pas pour autant la mosquée », a-t-elle précisé dans un entretien au Guardian, après avoir repéré les lieux d’une future implantation, soutenue par plusieurs parlementaires éminents de la Chambre des Lords.
Bien que n’étant pas prophète en son pays, l’Allemagne, où son ambitieux projet et ses prises de position iconoclastes n’ont pas reçu l’assentiment des grandes figures de l’islam institutionnel, et ont été fustigées jusque de l’autre côté du Bosphore, par la principale autorité musulmane de Turquie, Diyanet, qui désapprouve vivement une initiative « visant à dépraver et ruiner la religion », Seyran Ates est plus que jamais convaincue du bien-fondé de sa démarche résolument émancipatrice.
« Il y a de plus en plus de gens désireux de briser les chaînes. Dans de nombreux pays, vous pouvez trouver des gens qui pratiquent ce que nous faisons, mais ils le font en cachette, sous couverture », insiste-t-elle.
Farouchement anti-voile, quelle que soit la longueur de son étoffe, Seyran Ates déplore qu’il coiffe un nombre croissant de femmes en Allemagne, se rangeant inconditionnellement derrière « les femmes du monde entier qui ne veulent pas être voilées », à la lumière des sources scripturaires dont elle affirme qu’elles « n’exigent pas, même dans les interprétations les plus rigoristes du Coran, de se couvrir la tête ».
Alors qu’elle prévoit d’ouvrir une deuxième mosquée libérale à Fribourg, en concertation avec d’autres musulmans progressistes qui adhérent pleinement à ses vues, qu’ils se trouvent en Allemagne ou sous d’autres latitudes – notamment au Danemark, à Copenhague, où elle a noué des liens étroits avec Shirin Khankan, une femme imam à la tête de la première mosquée dirigée par des femmes, mais aussi à Marseille, avec Ludovic-Mohamed Zahed, un imam homosexuel – Seyran Ates affiche une confiance à toute épreuve dans l’avenir qui sera forcément « libérateur » ou ne sera pas… Et peu importe, si cette libération peut prendre des allures de marche forcée.
oumma.com
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Un analyste américain démontre que le Coran est moins violent que la Bible.
Les sondages tendancieux sur l’islam se suivent et se ressemblent étrangement d’une rive à l’autre de l’Atlantique, tous, à de rares exceptions près, faisant état de statistiques anxiogènes et accablantes à l’encontre de la troisième religion monothéiste, accusée de bien des maux et notamment d’une violence intrinsèque.
Ainsi, 58% des Américains auraient une opinion défavorable de l’islam et seraient convaincus que le Coran est plus sanguinaire que la Bible, selon le prisme d’une énième étude censée prendre le pouls de la population sur le sujet qui inspire invariablement un traitement biaisé et passionnel, d’un continent à l’autre.
Loin de se satisfaire de ce diagnostic, Tom Anderson, un analyste américain de renom, lui a récemment opposé la contradiction étayée en comparant la teneur des versets de l’Ancien et du Nouveau Testament avec celle du Saint Coran, s’attelant à la tâche avec une rigueur toute scientifique.
Contrairement aux idées reçues que les Cassandre et autres grands pourfendeurs de l’islam s’acharnent à enraciner dans les esprits, Tom Anderson a mis en évidence que l’Ancien Testament est nettement plus violent que le Coran, 5,3% de son texte appelant à la « destruction et au meurtre » contre 2,1% pour le Livre Saint de l’islam. Le Coran s’avérant même moins violent que le Nouveau Testament, dont 2,8% des passages textuels n’incitent pas franchement à tendre la main à son prochain…
Pour cet empêcheur de diaboliser l’islam en rond, la différence la plus notable s’obverse dans la fréquence plus élevée des sentiments et émotions positifs prônés et émanant du Coran par rapport aux textes de la Bible.
Des conclusions édifiantes que ne démentiront pas deux jeunes néerlandais, lesquels en décembre 2015 s’étant employés, à leur manière, à bousculer les idées reçues sur la violence ou barbarie dont il est communément admis de dire qu’elles sont consubtantielles à l’islam, à travers un micro-trottoir qui en a laissé sans voix plus d’un…
Pour ce faire, les deux comparses avaient habilement dissimulé une Bible sous une couverture fabriquée maison, avec un titre tout trouvé : « De Heilige Koran » ou « Le Saint Coran ». La stupeur des citoyens ordinaires n’en a été que plus grande lorsqu’ils ont découvert que ce qu’ils croyaient être des préceptes coraniques étaient en réalité des paroles bibliques guère amènes et charitables. De quoi ébranler certaines certitudes et inciter à se méfier de la propagande islamophobe dont la sphère politico-médiatique nous abreuve dans toutes les langues.
oumma.com
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L’appel à la prière résonne à Iqaluit, depuis la mosquée la plus au nord du Canada.
Depuis deux ans, la voix mélodieuse de Ahmad Abdoul résonne à Iqaluit, la cité phare du Nunavut, le plus vaste des territoires canadiens, appelant les fidèles à la prière de midi dans une contrée qui, pour être recouverte d’un blanc manteau pendant huit mois de l’année, s’avère bien moins frileuse que les nôtres envers les modulations nuancées de l’Adhan.
Dans ce paysage enneigé, où émergent des bancs de neige et des icebergs au bord de l’océan Arctique, est sortie de terre, en 2016, la mosquée la plus au nord du pays de l’érable, sans susciter les sempiternelles polémiques passionnelles qui embrasent les esprits de nos régions, en théorie, moins glaciales…
A Iqaluit, cette ville paisible, sans bruit et sans bouchons, il est facile de rompre la glace avec la population non musulmane, pour le plus grand bonheur de Ahmad Abdoul qui ne regrette rien de sa vie antérieure passée dans le sud, à Montréal.
« J’étais venu ici, juste pour essayer d’y vivre quelques mois. Et puis les mois ont passé… et aujourd’hui, ça fait deux ans », explique-t-il, irradiant de sérénité, même s’il doit cumuler deux emplois pour assurer la subsistance de sa famille. « J’ai besoin de deux jobs ici. Je travaille à la prison fédérale et je suis également chauffeur de taxi à temps partiel. Mais la qualité de vie et les relations humaines y sont incomparables », souligne-t-il, en esquissant un large sourire.
Côtoyant le clocher de l’imposante et très originale église anglicane, construite en forme d’igloo, la mosquée bleu-turquoise d’Iqaluit, typique de l’architecture locale et flanquée d’un petit minaret blanc qui s’élève vers le firmament, laisse ses portes grandes ouvertes aux habitants de toutes origines et confessions, qu’ils soient Inuits, non-autochtones, métis, chrétiens ou pas, à l’image de Jason, un habitué des lieux.
« Les musulmans sont très actifs dans notre communauté et sont appréciés de tous. Ils donnent beaucoup aux banques alimentaires de la ville et aident plusieurs personnes dans le besoin », a-t-il déclaré au journal de Montréal au sortir de la messe, en se réjouissant de la qualité des échanges interreligieux qui se sont tissés au fil des ans, sur la passerelle consolidée du vivre-ensemble.
Une satisfaction que partage pleinement Sidakha Ali, le premier musulman à avoir posé ses bagages à Iqaluit il y a plus de 20 ans, après avoir quitté son Pakistan natal. « Les gens ici sont très accueillants. Ils nous font sentir que nous sommes chez nous », a confié, plein de gratitude, celui qui, bien qu’étranger à cette terre et y ayant vécu esseulé pendant plusieurs années, y a reçu un accueil des plus fraternels dès son arrivée.
Entouré désormais de plus d’une centaine de ses coreligionnaires, celui-ci éprouve un plaisir renouvelé quand s’élève la voix claire de Ahmad Abdoul, le muezzin de la petite mosquée qui se dresse au nord du 63e parallèle, là où il n’y a pas de minaret de la discorde.
oumma.com
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####### Aujourd’hui en Palestine #######
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Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
Bardawil: Nous ne changerons pas nos principes et ne renoncerons pas à nos alliés
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Un membre du Bureau politique du Mouvement de résistance islamique du Hamas, Salah Bardawil a déclaré que le dialogue initié par le mouvement avec le député Mohammed Dahlan
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La marine d’occupation tire des projectiles en direction des rivages de Gaza
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Amnesty: L’occupation s’en prend à une foule pacifique à Jérusalem
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Al-Quds: Les forces d’occupation renforcent leur présence pour protéger une marche de colons
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L’occupation construit un nouvel avant-poste colonial dans le nord de la Cisjordanie
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Pékin dévoile un plan pour résoudre le conflit palestino-israélien
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L’Occupation détruit le village d’al-Araqib pour la 116ème fois
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5 Jérusalémites arrêtés sur les entrées d’al-Aqsa
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Un politique mexicain visite les colonies sionistes en Cisjordanie et refuse le boycott
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Le parti travailliste australien vote pour la reconnaissance d’un Etat palestinien
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New York Times : Une nouvelle guerre est aux portes de Gaza
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Le « Printemps de Jérusalem » est une véritable lutte populaire dont l’Autorité Palestinienne et Fatah sont les plus perdants
31/Juillet/2017
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L’occupation resserre ses mesures militaires au sud de Qalqilya
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Le ministre israélien des Communications veut fermer al-Jazeera TV
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Jérusalem: Un homme âgé agressé et un ex-détenu arrêté
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Corrupation/Scandale des sous-marins: l’avocat de Netanyahou était censé toucher des millions
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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Flash info du 4 Dhou al Qa’da 1438.

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France : Saint-Etienne-du-Rouvray : « Non, la haine n’a pas triomphé et elle ne triomphera pas ».
Un hommage national a été rendu au matin du mercredi 26 juillet au Père Jacques Hamel à Saint-Etienne-du-Rouvray (Seine-Maritime).
Une messe a d’abord été célébrée à 9h à l’église de Saint-Etienne de Saint-Etienne-du-Rouvray par Mgr Dominique Lebrun, archevêque de Rouen. Le président de la République Emmanuel Macron, son Premier ministre Edouard Philippe et le ministre de l’Intérieur Gérard Collomb y ont assisté aux côtés de Roselyne Hamel, la sœur du prêtre, de Joachim Moyse, maire de la ville, et du député Hubert Wulfranc.
« Vous êtes là ce matin, entourés mais encore atterrés, peut-être révoltés ou simplement fatigués, après une année particulièrement difficile », a déclaré Mgr Lebrun. « Aujourd’hui, nous faisons mémoire d’un père qui continue de veiller sur nous. Le père Hamel a été réduit au silence. Non, la haine n’a pas triomphé et elle ne triomphera pas. »
« La République n’a pas à combattre la religion, ni à se substituer à elle »
Aux alentours de 10h, une stèle républicaine pour la paix et la fraternité a été dévoilée. « A la mémoire de Jacques Hamel, prêtre catholique », est-il inscrit, accompagné des articles de la Déclaration universelle des droits de l’homme de 1948.
« La Déclaration rappelle notre attachement aux valeurs républicaines qui sont les nôtres : la liberté, l’égalité et la fraternité », a expliqué le maire de Saint-Etienne-du-Rouvray, en présence du chef de l’Etat. « La cicatrisation sera longue. Mais le sang versé nous a mobilisé dans notre irréversible volonté de vivre ensemble. Pour qu’à jamais, les Stéphanais et les Stéphanaises demeurent unis dans l’espoir et dans la paix », a-t-il ajouté.
Emmanuel Macron, pour qui « le visage de Jacques Hamel est devenu le visage de ce qui, en nous, refuse cette culture de mort, et ce terrorisme arrogant. », a salué la réaction des catholiques, les remerciant « d’avoir trouvé la force du pardon, d’avoir refusé cette soif de vengeance et de représailles ».
« La République, oui, repose sur l’amour et le respect de l’humanité. Chacun œuvre à cet idéal, avec ses croyances, avec sa philosophie, sa morale. Lorsque c’est la foi qui soutient cet idéal, elle a toute sa place dans la République. C’est pour cela que la République garantit la liberté de croire, comme la liberté de ne pas croire. C’est pour cela qu’elle protège les lieux de culte. La République n’a pas à combattre la religion, ni à se substituer à elle. Elle œuvre chaque jour à ce que chacun puisse croire, en homme libre », a-t-il indiqué.
« Passons ensemble vers la lumière de l’amour ! »
« Permettez-moi, au nom même du Père Jacques Hamel, de lancer cet appel à ceux qui hésitent encore : quittez l’ombre de la haine, passons ensemble vers la lumière de l’amour ! Quittez l’ombre de la division et passons ensemble à la lumière de l’unité ! Quittez l’ombre des mensonges, des égoïsmes et des égos, passons ensemble à la lumière de la vérité et de la fraternité ! Quittez l’ombre de la guerre, passons ensemble à la lumière de la paix ! », a fait part Mgr Lebrun.
La cérémonie prend fin à 18h avec une prière du soir (vêpres) à la basilique Notre-Dame de Bonsecours, suivie d’un temps de prière sur la tombe du père Jacques Hamel avec la délégation musulmane qui prendra la parole.
saphirnews.com
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France : Calais : la police accusée de gazages routiniers au poivre contre les migrants.
La police française est accusée par un rapport de Human Rights Watch (HRW) d’utiliser régulièrement du gaz de poivre contre les migrants à Calais.
« L’usage de sprays au gaz poivre par la police à Calais est tellement répandu que beaucoup de demandeurs d’asile et de migrants avaient du mal à se rappeler précisément combien de fois ils en avaient été victimes », rapporte l’organisation de défense des droits humains dans le rapport « ‘C’est comme vivre en enfer’ : Abus policiers à Calais contre les migrants, enfants et adultes ».
Entre fin juin et début juillet 2017, HRW a interrogé 61 migrants dont 55 qui se souviennent avoir subi un gazage pendant leur sommeil, quelques jours avant l’entretien. Le rapport explique que ces opérations provoquent « une cécité temporaire, de fortes douleurs oculaires et des difficultés respiratoires, qui durent en général de 30 à 40 minutes ».
« Parfois ils aspergent même de gaz poivre la nourriture et l’eau des migrants – tout cela apparemment dans le but de les pousser à quitter la région », indique également l’ONG. « De tels agissements de la part de la police violent l’interdiction d’infliger un traitement inhumain et dégradant, mais aussi les normes internationales de comportement des forces de l’ordre. »
« On est dans des pratiques qui s’inscrivent dans la routine, sans qu’il y ait de sanctions, alors que ce sont des abus graves », affirme Bénédicte Jeannerod, directrice de HRW France. Waysira, un des adolescents interrogés, témoigne que « chaque jour, la police nous poursuit. Ils utilisent leurs sprays. Ils nous donnent des coups de pied. C’est ça notre vie, tous les jours ».
Fabien Sudry, préfet du Pas-de-Calais a « réfuté catégoriquement les allégations mensongères et calomnieuses » de l’ONG. « Les forces de police agissent bien entendu sur Calais dans le respect des règles de l’État de droit, avec le seul objectif de faire respecter l’ordre et la sécurité publics », a-t-il ajouté.
saphirnews.com
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Leçons vénézuéliennes.
La déstabilisation à grande échelle subie par le Vénézuela – dernier épisode d’une guerre larvée contre cet empêcheur de tourner en rond dans “l’arrière cour” impérialiste – vient administrer quelques leçons que les partisans d’un changement radical – c’est-à-dire tout autre que cosmétique – gagneraient à méditer. La première leçon, c’est qu’on ne peut construire une alternative politique sans prendre le risque d’un affrontement décisif avec les détenteurs du capital, qu’ils soient à l’intérieur ou à l’extérieur des frontières. Par alternative politique, on entendra exactement l’opposé de ce que l’on nomme “alternance”, c’est-à-dire la simple permutation des équipes au pouvoir. C’est un processus beaucoup plus profond, qui ne se contente pas de quelques modifications de surface, mais qui met explicitement en jeu les structures déterminant la répartition des richesses.
Cette alternative politique s’identifie donc avec la reprise expresse, par le peuple, des attributs de la souveraineté. Elle suppose la rupture des liens qui rattachent le pays au capital étranger dominant et au capital local “compradore” qui en dépend. Mais c’est une tâche colossale. A peine entreprise, la pesanteur objective des structures s’y conjugue avec la guerre acharnée que mènent les nantis pour conserver leurs privilèges de classe. La presse internationale décrit le Vénézuela comme un pays en faillite, mais elle oublie de préciser que cette faillite est celle d’un pays capitaliste latino-américain. Ce pays a accompli des progrès significatifs jusqu’en 2014, mais l’absence de transformation structurelle l’a laissé dans l’ornière de la dépendance économique. Ruiné par la chute des cours du pétrole, il n’a pas su – ou pu – bâtir un modèle alternatif.
Si les nervis de la droite vénézuélienne se déchaînent dans les rues de Caracas sous les vivats de la presse bourgeoise et des chancelleries occidentales, c’est parce que Maduro n’est ni Castro ni Tsipras. S’il était Castro, c’est-à-dire si le Vénézuéla avait pleinement restauré sa souveraineté et s’était engagé dans un processus de développement autonome non capitaliste, il n’y aurait pas de nervis à Caracas. Mais c’est de la politique fiction : Maduro n’est pas Castro, et le Vénézuela n’est pas Cuba. Inversement, Maduro n’est pas non plus de la graine d’un Tsipras. Il n’entend pas rendre les armes et céder à l’opposition malgré la crise économique gravissime que connaît le pays. Résolu – ou résigné – à occuper cet entre-deux, Maduro ne peut ni renier un chavisme dont il est l’héritier ni pousser les feux d’une “révolution bolivarienne” que la paralysie économique du pays et la victoire électorale de l’opposition ont suspendue de facto.
La crise qui sévit depuis 2014 a tendance à le faire oublier, mais le chavisme fut porté par un puissant mouvement social qui est loin d’avoir disparu – comme en témoigne la grande manifestation chaviste du 19 avril 2017 -. Depuis la première élection de Chavez en 1998, il a combattu les préjugés de race et de classe. Il a fait reculer de manière spectaculaire la pauvreté et l’analphabétisme. Nationalisant le pétrole, il a restitué à la nation la maîtrise de ses ressources naturelles. Bouleversant la politique étrangère du pays, il a rompu avec Israël, inventé l’alliance bolivarienne et défié l’Oncle Sam au coeur de son “arrière-cour” sud-américaine. Approuvé par le peuple vénézuélien, le chavisme a bousculé le désordre établi de manière séculaire en Amérique latine au profit des firmes multinationales nord-américaines et de la bourgeoisie raciste qui leur sert de VRP.
Bien sûr, la “révolution bolivarienne” n’a pas supprimé du jour au lendemain tous les maux de la société vénézuélienne, et elle traîna avec elle son lot d’erreurs et d’imperfections. Elle a utilisé la manne pétrolière pour sortir de la misère les couches sociales les plus déshéritées, mais elle a renoncé à transformer les structures sociales profondes du pays. Au Vénézuela, l’économie est toujours entre les mains d’une bourgeoisie réactionnaire qui en organise le sabotage pour exaspérer la crise et chasser Maduro du pouvoir. Ce n’est pas le gouvernement qui crée une inflation à trois chiffres, et l’immobilisme auquel le condamne une majorité parlementaire hostile devrait au moins tempérer les jugements hâtifs portés sur les responsabilités de l’exécutif.
Depuis l’élection de cette majorité réactionnaire, en décembre 2015, la droite vénézuélienne ouvertement appuyée par Washington et relayée par des médias locaux affidés rêve d’abattre Maduro et de liquider le chavisme. La “révolution bolivarienne” eut beau n’avoir de révolution que le nom, elle ne pouvait que déchaîner la haine revancharde des nantis et susciter l’hostilité mortifère des USA. Lorsqu’elle s’indigne des victimes – présumées – de la répression policière plutôt que des sanglantes opérations de l’ultra-droite, la gauche bien-pensante oublie qu’une protestation de rue n’est pas toujours progressiste, qu’une revendication démocratique peut servir de paravent à la réaction, et qu’une grève peut contribuer à la déstabilisation d’un gouvernement de gauche, comme le mouvement des camionneurs chiliens en fit la démonstration en 1973.
La leçon a été oubliée par les progressistes boboïsés des pays riches, mais les vrais progressistes latino-américains le savent : si l’on veut changer le cours des choses, il faut agir sur les structures. La nationalisation des secteurs-clé, la protection contre la mondialisation libérale, la restauration de l’indépendance nationale, la consolidation d’une alliance internationale des Etats souverains, la mobilisation populaire pour une meilleure répartition des richesses, l’alphabétisation, l’éducation et la santé pour tous sont les différentes facettes d’un même projet progressiste. Contrairement à ce que prétend une idéologie qui recycle les vieilles lunes social-démocrates, ce n’est pas sa radicalité qui condamne un tel projet à la défaite, mais la peur de l’assumer.
Dès qu’il s’attaque aux intérêts géopolitiques et géo-économiques des puissances dominantes, le projet progressiste franchit la ligne rouge. Ce cap une fois passé, toute imprudence peut devenir fatale. L’impérialisme et ses exécutants locaux ne font pas de cadeaux. Pourquoi faudrait-il leur en faire ? Franco n’a laissé aucune chance à la République espagnole (1936), ni la CIA à Mossadegh (1953), ni Mobutu à Lumumba (1961), ni Suharto à Soekarno (1965). Allende commit l’erreur tragique de nommer Pinochet au ministère de la Défense, et Chavez dut son salut en 2002 à la fidélité de la garde présidentielle. Il ne suffit pas d’être du côté du peuple, il faut se donner les moyens de ne pas le perdre en laissant ses ennemis prendre le dessus. Comme disait Pascal, il ne suffit pas que la justice soit juste, il faut aussi qu’elle soit forte.
Comme d’habitude, la majeure partie de la “gauche” occidentale ne comprend rien et elle hurle avec les loups. Comme si sa seule source d’information était “Le Monde”, elle exige de Maduro qu’il renonce au pouvoir pour mettre fin à la crise. Face à la rébellion de quelques milliers de fils de famille et d’une masse de lumpen-prolétaires manipulés, le président élu du Vénézuela devrait aller à Canossa. Capitulant devant la rue, il devrait renoncer à la convocation d’une Assemblée constituante (le 30 juillet) dont le mérite est pourtant, comme son nom l’indique, de remettre le pouvoir entre les mains du peuple. Faute d’avoir pu lui infliger le sort d’Allende, cette gauche “humaniste” se réjouirait, sans doute, de le voir finir comme Tsipras. Ce n’est pas gagné d’avance, et le peuple vénézuélien tranchera.
oumma.com
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Palestine : Jérusalem : crise des portiques ou éruption du chaudron colonial ?
Dans la nuit du 24 juillet, Benyamin Netanyahu a décidé de retirer les portiques de la discorde aux abords de l’Esplanade des mosquées au profit d’un système de surveillance aux contours encore flous mais que l’on sait plus discret. Israël a écouté les recommandations de son service de sécurité intérieur, le Shin Bet, qui martelait depuis plusieurs jours qu’ils ne constituaient pas un outil efficace pour lutter contre l’insécurité rampante sur l’Esplanade, alors que cinq Palestiniens et trois colons ont été tués depuis vendredi. Israël s’est plié aux injonctions de la communauté internationale, appelant courageusement au respect du statu quo de 1967 confiant la gestion de la sécurité du Haram el Sharif (le noble sanctuaire) à la Jordanie. Un retour au calme est annoncé, les passions religieuses des Palestiniens ayant été satisfaites. Ouf. Circulez, il n’y a plus rien à voir.
Voici, en substance, ce que l’on pouvait lire ce matin dans la plupart des grands titres de presse internationaux. Brillaient par leur absence toutes références explicites aux effets de la colonisation forcenée de Jérusalem depuis son annexion en 1967 et de la situation catastrophique à Gaza, que le blocus et la pénurie organisée d’électricité continuent d’asphyxier, comme si rien de tout cela n’était lié. C’est à se demander si le bureau de presse de Netanyahu ne leur a pas mâché le travail…
Commençons par appeler un chat un chat. Ce à quoi nous avons assisté à Jérusalem est un acte massif de désobéissance civile. Les Israéliens ont joué la carte de la sécurité pour s’assurer d’un contrôle plus étroit des abords de l’Esplanade, rompant de fait avec la logique du statu quo et faisant peser comme à son habitude la responsabilité de l’assassinat des policiers israéliens sur l’ensemble de la population palestinienne de Jérusalem. Mais les Palestiniens ont refusé de jouer le jeu de cet humiliant et inutile contrôle de sécurité. La désobéissance civile a ratissé bien plus large que le refus d’islamistes supposés, comme voudrait nous le faire croire l’extrême-droite religieuse et nationaliste israélienne, toujours prompt à instrumentaliser le fait religieux pour mieux dépolitiser l’analyse des mobilisations populaires palestiniennes – et, ainsi, dédouaner la puissance occupante et colonisatrice de toute responsabilité.
La solidarité active des Palestiniens chrétiens, venus nombreux aux abords de l’Esplanade des mosquées protester contre l’érection des portiques de sécurité, montre bien que la violation de la souveraineté des lieux saints musulmans n’est pas qu’une question strictement religieuse. L’opposition multiconfessionnelle à la provocation intrusive des forces de sécurité israéliennes nous rappelle que c’est d’une lutte de libération nationale dans un contexte colonial qu’il s’agit, d’une lutte contre l’accaparement de la seule partie de la Palestine qui ne soit pas sous contrôle israélien, d’une lutte contre l’effacement de leur présence historique et politique à Jérusalem, d’une lutte contre une étape supplémentaire de la colonisation de leur ville. Mais de tout cela, pas un mot.
Depuis la conquête de la partie orientale de la ville en 1967, Israël a fait de « Jérusalem réunifiée la capitale éternelle et indivisible du peuple juif ». Mesure-t-on la violence raciste de cette déclaration ? Réalise-t-on l’étendue des politiques publiques de dépossession déployées à l’encontre des « résidents permanents » palestiniens qui, pourtant soumis aux mêmes impôts que les Israéliens, ne disposent d’aucun droit politique, d’aucune protection juridique contre la violence des colons et des arrestations arbitraires de la police, d’aucune autorisation pour assurer le bon développement de leur communauté ? Nous contenterons-nous d’une opposition de principe à la colonisation de peuplement de la partie orientale de la ville à chaque annonce de construction de nouveaux blocs de logement, judaïsation de fait visant à rendre impossible la perspective d’en faire un jour la capitale d’un Etat palestinien souverain ?
Mais de tout cela, pas un mot. De la menace proférée par Tzachi Hanegbi, ministre de la coopération régionale et proche de « Bibi », menaçant les Palestiniens d’une troisième Nakba – c’est à dire d’une expulsion massive et donc d’un nettoyage ethnique – s’ils ne rentraient pas dans le rang, là non plus, pas un mot. Emmanuel Macron préfère garder le silence. C’est vrai qu’il avait déjà tout dit en annonçant, l’air grave, en présence de son « cher Bibi », « que l’antisionisme est une forme réinventée de l’antisémitisme ». L’Union Juive Française pour la Paix tient à apporter tout son soutien aux Palestiniens en lutt e à Jérusalem.
Le Bureau national de l’UJFP, le 25 juillet 2017.
oumma.com
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####### Aujourd’hui en Palestine #######
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Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
30 Journalistes blessés en deux semaines dans les évènements d’al-Aqsa
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Le Forum des médias palestiniens a fermement condamné les attaques continues de l’occupation contre les journalistes, indiquant que plus de 30 journalistes ont été différemment blessés au cours des deux dernières semaines
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Haniyeh adresse des messages aux dirigeants des pays arabes et islamiques pour soutenir Al-Aqsa
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400 mineurs palestiniens incarcérés dans les geôles de l’occupation
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La Knesset sioniste ratifie une loi consacrant le contrôle de Jérusalem
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Hébron: La Paix maintenant appelle à évacuer la maison volée par les colons
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CJUE: le Hamas retiré de la liste terroriste de l’UE
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Jérusalem occupée: des caméras de surveillance intelligentes installées dans les 6 mois
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Des colons prennent d’assaut une maison pour la confisquer
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Guerre américano-sioniste contre les militants de BDS
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Un Gazaoui arrêté par l’occupant sur les frontières de la Bande de Gaza
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L’occupation transfère le prisonnier gréviste Diab en détention administrative
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L’occupation arrêtent des citoyens à jérusalem
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Jordanie: Funérailles de masse pour un civil assassiné par l’agent de sécurité de l’ambassade sioniste
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Blessés et arrestations dans la répression des fidèles près d’al-Asbat
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Autriche: Un palestinien condamné à la perpétuité pour avoir planifié un attentat contre l’occupation
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Le Hamas appelle à une intervention urgente pour protéger Al-Aqsa des projets sionistes
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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