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Flash info du 19 Joumada al Awwal 1439.

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Sur Ajib.fr, voici les titres.

Hondelatte « tord le cou à la bêtise », et défend l’histoire de Diam’s en live sur la radio Europe 1.
« De la folie à la sagesse».
Tel est le titre de l’émission de Christophe Hondelatte du 31 janvier 2018 où il couvre l’histoire de notre sœur Mélanie, alias Diam’s dans un passé dont elle a fait le deuil et le repentir.
Et l’émission vaut le détour. Car le journaliste a fait preuve de courage. Et a couvert, dans un style journalistique unique qui le caractérise, la fabuleuse histoire de Mélanie qui l’a conduit des ombres à la lumière. Et la lumière n’est pas la lumière des projecteurs du show business dont des millions de jeunes rêvent. Mais la lumière de la foi. Celle qui nous illumine et nous fait sortir de l’esclavage de nos passions, d’une vie de paillettes, d’apparences, de faux-semblant,…
Le goût de la foi sincère dépasse de loin le goût de la vie de star. Mélanie nous explique qu’elle a « essayé » d’aimer toutes ces choses qui viennent avec le succès : la gloire, l’argent, le succès mondain, les honneurs…mais que c’est dans la foi et la modestie d’une vie de famille presque anonyme dans la banlieue parisienne qu’elle a trouvé son bonheur. Nous ne couvrirons pas le reste, elle a écrit deux livres magnifiques pour le raconter : « Est-ce que c’est ça la vie ? (…) Moi je sais que c’est pas ça. »
Ajib.fr souhaite toutefois rendre hommage à Christophe Hondelatte pour avoir couvert la vie d’une personne, avec beaucoup d’humanisme et le courage journalistique de raconter tout simplement ce qu’il s’est passé dans la vie de Mélanie il y a 8 ans de cela. Hondelatte en a pris plein la tête pour l’avoir fait. Il cite les invocations de Mélanie au moment de son passage de l’ombre à la lumière. Il cite sa rencontre avec Allah. Il cite la « décision mal comprise » de Mélanie d’avoir quitté sa carrière pour trouver la paix. Dans le détail. Et pour avoir fait cela, il s’attire les foudres de ses pairs, des identitaires, des fous de la laïcité.
« Je suis venu, j’ai vu, j’ai vaincu, puis j’ai fait marche arrière ». Tels sont les mots de Mélanie dans son dernier album. Nous inspirons que Christophe Hondelatte ne fera pas marche arrière. Car il a vaincu les préjugés. Les journalistes peuvent encore en 2018 couvrir la vie de certains de leurs compatriotes en toute simplicité et sans jugement de valeur. Et n’en déplaise aux identitaires, les français l’ont écouté, en masse, et comprennent peu à peu que quand les journalistes leur parlent de musulmans sans leur créer la peur, ils sont tout de suite la cible des attaques. Bravo Christophe. Et merci pour votre empathie et votre humanisme.

Sur Katibin.fr, rien de neuf.

Sur journal du musulman.fr, rien de neuf.

Sur islam et info.fr, voici les titres.

Syrie : le régime de Bachar à nouveau accusé d’utiliser des armes chimiques.
Les Etats-Unis ont accusé le gouvernement syrien d’utiliser des armes chimiques contre son peuple.
Heather Nauert, porte-parole du département d’Etat américain, a déclaré jeudi que les rapports sur le gaz chloré utilisé contre des civils dans la Ghouta orientale étaient “très préoccupants”.
“La Russie fait le mauvais choix en n’exerçant pas son influence unique, il est inadmissible de permettre au régime syrien d’utiliser des armes chimiques contre son propre peuple”, a-t-elle déclaré sur Twitter.
La Russie est le plus proche allié de la Syrie et a déjà bloqué les tentatives d’enquête sur l’utilisation présumée d’armes chimiques.
Les commentaires de Nauert font suite à une attaque au chlore gazeux dans le territoire rebelle de la Ghouta orientale, à la périphérie de Damas, jeudi.
Samedi, le ministère syrien des Affaires étrangères a démenti ces allégations, selon l’agence de presse Reuters.
Le groupe de sauvetage bénévole des Casques blancs a posté des photos de l’attaque sur Twitter, sous le hashtag «Douma Suffocation».
Attentat de la mosquée de Finsbury Park : le terroriste islamophobe condamné à la prison à vie.
Un tribunal britannique a condamné à la prison à vie l’homme qui avait perpétré un attentat meurtrier contre les fidèles d’une mosquée à Londres l’année dernière.
En juin, Darren Osborne a tué un fidèle musulman et en a blessé plusieurs autres devant la mosquée de Finsbury Park, au nord de Londres, alors que les fidèles quittaient les prières du soir (tarawih) pendant le Ramadan.
Vendredi, un juge a condamné Osborne à une peine de prison d’au moins 43 ans après avoir été reconnu coupable de meurtre et de tentative de meurtre la veille.
Au cours du procès, les jurés ont entendu comment Osborne avait l’intention d’attaquer une marche célébrant le «Jour de Jérusalem» plus tôt le 18 juin, mais n’a pas pu le faire.
L’homme de 48 ans originaire de la ville galloise de Cardiff a ensuite fait le tour de la capitale anglaise jusqu’à ce qu’il choisisse ses cibles à Finsbury Park peu avant minuit.
Un groupe de fidèles s’était rassemblé autour de Makram Ali, un grand-père de 51 ans, qui s’était effondré lorsque Osborne a foncé sur le groupe avec son véhicule, tuant Ali.
Des témoins ont déclaré au tribunal qu’Osborne a crié: «J’ai fait mon travail» avant d’être pris et retenu par des passants alors qu’il tentait de s’échapper.
Au tribunal, il avait tenté de se défendre contre les accusations de meurtre et de tentative de meurtre en affirmant qu’un complice nommé Dave avait pris sa place sur le siège du conducteur pendant l’attaque.
Cependant, il n’a pas été en mesure de fournir une explication quant aux raisons pour lesquelles les images de vidéosurveillance ne montraient qu’une seule personne dans la voiture.
Sue Hemming du Service des poursuites de la Couronne britannique a déclaré qu’Osborne était motivé par sa “haine des musulmans”.
“Il a plus tard inventé une histoire peu convaincante pour contrer le poids écrasant de la preuve, mais le jury l’a reconnu coupable”, a-t-elle dit.
“Nous avons été clairs quant aux motivations terroristes, et il doit maintenant faire face aux conséquences de ses actions.”
Le ministre de la Défense du Qatar : “l’Arabie saoudite avait l’intention d’envahir le Qatar”.
L’Arabie Saoudite et les Emirats Arabes Unis avaient l’intention d’envahir le Qatar au début de la crise diplomatique qui a éclaté en juin 2017, selon le ministre de la Défense du Qatar.
Dans une interview au Washington Post vendredi, Khalid bin Mohammad Al Attiyah a déclaré que ses voisins du Golfe avaient “tout essayé” pour déstabiliser le pays, mais que leurs intentions d’invasion étaient claires pour le Qatar .
“Ils ont l’intention d’intervenir militairement”, a déclaré Attiyah.
Lorsqu’on lui a demandé de confirmer s’il pensait qu’une telle menace existait encore aujourd’hui, il a répondu:
” Nous avons contrarié cette volonté, mais au début de la crise, ils avaient cette intention”.
“Ils ont essayé de provoquer les tribus, ils ont utilisé des mosquées contre nous, puis ils ont essayé de trouver des marionnettes pour remplacer nos dirigeants”.

Sur saphirnews.com, voici les titres, .

The Voice : Mennel émerveille le jury avec une reprise de Hallelujah en arabe. vidéo.
Qui sortira vainqueur de The Voice ? Les pronostics sont lancés depuis la diffusion le 27 janvier des auditions à l’aveugle marquant le début de la saison 7 du télécrochet. Les téléspectateurs ont découvert de nouveaux visages et de nouvelles voix samedi 3 février. Une candidate a ainsi marqué par son charme le jury, composé de Florent Pagny, Zazie, Mika et Pascal Obispo. A l’unanimité.
Grâce à sa magnifique reprise du célèbre titre « Hallelujah » de Leonard Cohen en anglais et en arabe, Mennel a su se faire retourner les quatre coachs. Voyez plutôt la prestation de cette jeune étudiante de 22 ans, en master pour devenir professeure d’anglais, et qui nous vient de Besançon.
Qui se cache derrière cette belle voix ? La musique est sa passion et c’est grâce à sa chaîne Youtube que Mennel Ibtissem a été repérée par les équipes de The Voice. Née d’un père syrien et turc et d’une mère marocaine et algérienne, Mennel est de confession musulmane, ce qui explique pour partie son port d’un turban qui la distingue d’entre d’autres candidats.
« On peut dire que c’est une façon de porter un voile d’une façon plus moderne. Mais ça fait surtout partie de mon look. Vous ne me verrez jamais sans », a-t-elle signalé au Figaro, « à l’instar de Maître Gims qui ne retire jamais ses lunettes noires ».
Mennel a décidé de poursuivre l’aventure avec le chanteur Mika. Et si elle a hésité au dernier moment avec Zazie, elle est restée sur son premier choix, celui d’un coach dont elle aime l’univers musical et le côté multilingue que Mika cultive de par ses multiples origines, l’une d’elles étant libanaise. Une belle aventure s’annonce pour elle.
reportage a voir sur saphirnews.com.

Sur oumma.com, rien de neuf.

Sur Mizane.info, rien de neuf.

Sur des domes et des minarets.fr, rien de neuf.

Sur tribune lecteurs.com, le journal d’algérie, voici les titres.

Quinze terroristes abattus et 23 éléments de soutien arrêtés en janvier : La fin d’AQMI et de Daesh en Algérie.
Pas moins de 15 terroristes ont été abattus et 23 éléments de soutien aux groupes terroristes ont été arrêtés, alors que 5 autres terroristes se sont rendus aux autorités militaires au cours du mois de janvier, selon un bilan actualisé des opérations de l’Armée nationale populaire (ANP). Les opérations de l’ANP se sont soldées également par le sauvetage de noyade de 205 personnes en pleine mer et la détection et la destruction de 70 casemates pour terroristes et armes. Les unités de l’ANP ont découvert aussi 33 caches de munitions, a précisé la même source, ajoutant que 9 obus, 21 kalachnikovs, deux mitrailleuses lourdes, 47 grenades, 4.008 cartouches, 19 fusils, 10 roquettes anti-personnel et 4 panneaux photovoltaïques ont été récupérés. Les éléments de l’ANP ont saisi 17 appareils de transmission, 12 paires de jumelles, 2,7 kg de dynamite, une quantité de produits chimiques destinée à la fabrication d’explosifs, 80.664 unités de boissons, 12.505 paquets de cigarettes et 1.800 litres d’huile de table.Par un détachement de l’Armée Nationale Populaire près de la Commune de Ouled Ahlal, wilaya de Médéa/1°RM, permettant d’éliminer deux (02) dangereux terroristes et de récupérer leur armes, il a été procédé à leur identification. Il s’agit, en l’occurrence, du criminel « T. Abderahmane » alias » Abou El Banet « , qui avait rallié les groupes terroristes en 1993. Il s’agit également de « M. Mustapha » alias » Lokman Abou Rabah « , qui avait rallié les groupes terroristes en 1994. Ces terroristes étaient responsables de plusieurs actes criminels à Médéa, Ain Defla, Tissemsilt et Chlef. Ces résultats de qualité concrétisés sur le terrain par les unités de l’Armée Nationale Populaire lors des opérations menées notamment durant le mois de janvier passé et qui se sont soldées par l’élimination de plusieurs terroristes à Khenchla, Jijel, Médéa et Boumerdes, confirment la volonté et la détermination de l’Armée Nationale Populaire à venir à bout du fléau du terrorisme et consolider la sécurité et la quiétude parmi les citoyens. Par ailleurs, les éléments de l’ANP ont arrêté 225 contrebandiers, 862 immigrants clandestins et saisi 100,4 tonnes de denrées alimentaires, 1.145 quintaux de tabac et 56.128 unités de tabac, 97 véhicules, 177.245 litres de carburants, 71 marteaux piqueurs, 100 groupes électrogènes et 26 détecteurs de métaux. En outre, les éléments de l’ANP ont arrêté 52 trafiquants de drogue et saisi 15,9 quintaux de kif traité et 15.651 unités de psychotropes.
Affaire du kidnapping du nourrisson : Lait-Mahfoud Kaoua à Constantine, Réclusion à perpétuité à l’encontre des trois accusés.
L’affaire du kidnapping du nourisson Lait- Mahfoud Kaoua du service néonatal de la maternité centre hospitalo-universitaire, CHU – Benbadis et qui remonte à 2014 a connu un rebondissement. En effet, le tribunal criminel près la cour de Constantine a prononcé jeudi la réclusion à perpétuité à l’encontre des accusés, S.N., M.K. et M.B. dans cette même affaire. Par ailleurs, la même instance a prononcé l’acquittement des deux sages femmes A.L. et N.S., exerçant au service de la maternité du même établissement de santé. Selon l’arrêt de renvoi, S.N., l’époux de Z.B., chez qui le bébé enlevé a été retrouvé à Tamalous, dans la wilaya de Skikda, est poursuivi pour association de malfaiteurs, kidnapping d’un mineur, faux et usage de faux, octroi d’avantages, port d’arme blanche prohibée. Les accusés M.K. et M.B. étaient poursuivis pour, entre autres association de malfaiteurs, enlèvement d’un mineur et faux et usage de faux. Lors de son réquisitoire, le procureur général a souligné la gravité de l’acte commis par les accusés et a requis 20 ans de prison ferme à l’encontre des trois accusés, 15 ans pour N. S. et 3 ans à l’encontre de A. L. L’affaire de Laïth-Mahfoud Kaoua, dont l’enlèvement a suscité une vague de compassion à travers le territoire national remonte au 27 mai 2014, quand le bébé d’à peine un mois a été porté disparu du service de la maternité du CHU Constantine, juste après son admission pour un problème d’ictère néonatal. L’enquête déclenchée, par les services de la police, dés l’alerte donnée a permis de remonter la piste des kidnappeurs et localiser le bébé dans un domicile à Tamalous. Aussitôt, une perquisition fut ordonnée, et les enquêteurs ont pu récupérer l’enfant, du domicile d’une femme Z.B., dont le mari est le principal accusé dans cette affaire. La femme en question, âgée au moment des faits de 47 ans était décédée l’année dernière en prison. Les accusés disposent d’un délai de dix jours pour introduire un recours.
Donald Trump attaque frontalement le ministère de la justice et le FBI : L’empire contre-attaque.
Le président des Etats-Unis a autorisé la publication d’une note de quatre pages qui dénoncerait un biais » anti- Trump » dans l’enquête conduite par le FBI. Un rapport à charge, un président à l’attaque. Donald Trump a autorisé ce vendredi la publication d’un rapport controversé rédigé par le président républicain de la commission du renseignement de la Chambre des représentants, Devin Nunes (Californie), mettant en cause l’intégrité de la police fédérale dans l’enquête consacrée aux piratages informatiques pendant la campagne présidentielle. Ces piratages ont été prêtés à la Russie par le renseignement américain. Confirmant les informations déjà publiées, le rapport, en fait une note de trois pages et demie, se concentre pour l’essentiel sur un point de l’enquête » russe » : l’utilisation d’un dossier controversé rédigé par un ancien agent secret britannique, Michael Steele, pour obtenir en octobre 2016, soit quelques semaines seulement avant l’élection présidentielle, une autorisation de surveillance qui a ensuite été renouvelée à trois reprises. Ces autorisations visent notamment les personnes soupçonnées de travailler pour des puissances étrangères. La cible en question était un lobbyiste prorusse identifié de longue date et contacté par le FBI dès 2013, Carter Page, qui avait brièvement participé à l’équipe de campagne de Donald Trump. L’entourage du président n’a cessé de relativiser son rôle au cours des derniers mois. Il n’a pas été poursuivi jusqu’à présent par le procureur spécial chargé des investigations, Robert Mueller. Le président de la Commission du renseignement affirme que la police fédérale, le FBI, a masqué à l’autorité administrative l’origine partisane du dossier, commandité initialement par une faction républicaine, puis par un groupe lié au Parti démocrate. La note cite également le numéro deux de la police fédérale, le FBI, selon lequel ce dossier a été essentiel pour l’obtention de cette autorisation. Le document controversé a été rendu public en janvier 2017. Sans attendre la publication du document, en milieu de journée, Donald Trump est passé à l’offensive sur son compte Twitter, vendredi matin. » Les plus hauts responsables et enquêteurs du FBI et du ministère de la justice ont politisé le processus sacré d’investigation en faveur des démocrates et contre les républicains « , a-t-il assuré. Une attaque virulente sans précédent, même selon les critères du président. » Ce qui se passe dans notre pays est une honte « , a-t-il insisté plus tard dans la journée. » Beaucoup de gens devraient avoir honte, et même plus que cela « , a-t-il grondé. Ces critiques visent paradoxalement des responsables classés comme républicains et qui ont tous été nommés sous son autorité. Est concerné au premier chef Rod Rosenstein, le numéro deux du ministère de la justice, chargé de ce dossier depuis que son supérieur, Jeff Sessions, proche de Donald Trump, s’est récusé pour cette enquête pour avoir passé sous silence des contacts pendant la campagne avec des responsables russes. Christopher Wray, qui a remplacé à la tête du FBI James Comey, limogé en mai par M. Trump pour son opiniâtreté dans l’enquête » russe « , est également en ligne de mire.
Tariq Ramadan mis en examen pour viols et incarcéré : La fin d’un » mythe « .
L’islamologue a été mis en examen hier pour viols sur deux femmes. Le débat sur sa détention provisoire, requise par le parquet, a été différé à sa demande et aura lieu dans les quatre jours. C’est la chute d’une icône aussi controversée qu’influente. Tariq Ramadan, 55 ans, a été mis en examen, vendredi soir, pour viol en 2012 et viol sur personne vulnérable en 2009 puis incarcéré. Une onde de choc dans la communauté musulmane. Dans le sillage du scandale Weinstein aux Etats-Unis, deux femmes de confession musulmane avaient porté plainte contre l’islamologue. Le théologien a été incarcéré dans l’attente d’un débat différé en début de semaine sur son placement en détention devant le juge des libertés et de la détention (JLD). » Cette mise en examen est le résultat d’une enquête minutieuse de trois mois effectuée dans le secret et le silence par les policiers du 2e district de la PJ parisienne « , se félicite Me Eric Morain, l’avocat de l’une des deux victimes présumées qui préfère conserver l’anonymat. Le parquet avait demandé le placement en détention afin notamment d’empêcher une pression sur les témoins, selon une source judiciaire. Plusieurs femmes ayant témoigné anonymement pendant l’enquête préliminaire pourraient déposer plainte à leur tour. » Cette mise en examen n’est pas un aboutissement, mais une étape vers la reconnaissance des faits et du droit des victimes. Il y a eu une chape de plomb pendant des années qui est en train de sauter « , souligne Me Jonas Haddad, l’avocat de l’autre plaignante, Henda Ayari, une ex-salafiste devenue militante laïque et féministe. L’instruction promet d’être complexe, longue et peut-être même tentaculaire. Trois juges d’instruction ont été désignés. Une démarche peu fréquente. Ces derniers mois, les policiers ont entendu plusieurs femmes de confession musulmane qui ont décrit un même modus operandi : une demande de conseils religieux transformée en relation sexuelle compulsive, parfois consentie, souvent violente et humiliante. Certaines d’entre elles qui pourraient porter plainte disent avoir entretenu avec le prédicateur une relation de dépendance, voire de soumission. Elles décrivent une emprise quasi sectaire. Par ailleurs, de nombreux échanges à caractère érotique et sexuel entre Tariq Ramadan et certains de ces témoins ont été versés au dossier. Durant ses deux jours de garde à vue et devant les juges, Tariq Ramadan a reconnu des relations de séduction mais démenti tout acte sexuel. Jeudi après-midi, il avait été confronté à une de ses deux victimes présumées, une femme de 40 ans, handicapée et convertie, qui l’accuse de viol dans une chambre d’hôtel de Lyon, en 2009. Selon nos informations, l’islamologue a reconnu avoir rencontré la quadragénaire après des mois de correspondance sur les réseaux sociaux. Mais cette rencontre, qui n’aurait pas duré plus d’une demi-heure selon lui, serait restée au stade de la conversation. Pourtant, cette femme a identifié un détail intime chez son agresseur présumé, comme le site de notre journal l’a révélé hier. Une petite cicatrice à l’aine que le prédicateur a reconnu posséder, sans pouvoir trouver d’explication à cet élément rapporté par sa contradictrice.
Tout en appelant les pouvoirs publics à satisfaire les revendications des médecins et des enseignants : Louisa Hanoune dénonce le bradage de la SNTA.
Attendue sur plusieurs dossiers chauds de l’actualité nationale, la secrétaire générale du Parti des travailleurs, Louisa Hanoune, n’a pas pris de gants à l’occasion de la conference de presse qu’elle a animée vendredi à l’occasion de l’ouverture des travaux de la session ordinaire du comité central de son parti. C’est ainsi qu’elle a appelé, les pouvoir publics à prendre en charge les revendications des protestataires dans plusieurs secteurs, notamment la Santé et l’Education, estimant que « le recours à la justice pour interdire les grèves ne fera qu’exacerber la situation ». Pour la première responsable du PT, « Les pouvoirs publics doivent emprunter la voie du dialogue » dans le règlement des conflits tout en rappelant que l’Algérie « est signataire de conventions liées à l’action syndicale et aux droits politiques et civiques », elle a prévenu que « toute violation de ces traités est susceptible de donner un motif d’ingérence étrangère dans les affaires du pays ». A propos de la privatisation, la conférencière n’a pas été tendre à propos de ce qu’elle considère comme une privatisation déguisée de la SNTA. Ace propos, elle a indiqué que cela » ressemble à une privatisation déguisée « . « 49% des actions sont revenues à la SNTA, alors que le partenaire émirati a obtenu 41%. Mais cinq individus, quatre émiratis et une algérienne, détiennent 2% chacun. Et cette personnalité algérienne soutient toujours les émiratis », a déclaré Hanoune. Pour celle-ci, « le partenaire émirati a commencé par s’accaparer des unités commerciales à taux très fort de valeur ajouté », avant de faire de même, ces derniers jours, « avec la production ». Plus que cela, la secrétaire générale du PT a dénoncé le licenciement d’une partie du personnel. « Il y a eu licenciement de 1 100 travailleurs sans indemnités. Des travailleurs qui ont été recrutés à nouveau avec des contrats à durée déterminée (CDD). Les 18 travailleurs qui ont refusé de signer leurs contrats d’emploi précaires ont subi des menaces de toute nature. Ils ont même tenté de les corrompre », a-t-elle dénoncé. Plus globalement, la femme politique dit ne pas comprendre pourquoi vendre une société qui dégage des bénéfices. « Est-il acceptable de céder une entreprise publique qui fait 3 900 milliards de centimes de bénéfices nets d’impôts ? », s’est-elle interrogée. Abordant la question de la migration clandestine, la première responsable du PT a estimé que ce phénomène « est une des répercussions de la mauvaise conjoncture que traverse le pays ». Mme Hanoune a précisé que cette session permettra d’ »examiner la situation dans le pays, notamment sur les plans économique et social, en vue de préparer les bases populaires du parti à faire face à la conjoncture actuelle et à proposer les solutions qu’elles jugent idoines ». Au volet économique, elle a demandé à l’Agence nationale de développement de l’investissement (ANDI) de « présenter un bilan global de ses activités, faisant ressortir le nombre et la valeur des crédits à l’investissement et l’apport des projets créés dans ce cadre à la création d’emploi ». « L’ANDI a distribué plus de 500 milliards de dinars de crédits en 2017. Qui contrôle les projets d’investissement, le respect du code du travail, le nombre d’emplois créés dans ce cadre et le paiement des impôts », s’est-elle interrogée.
Palestine : Le ministre palestinien de l’Information parle de l’avenir du conflit avec l’entité sioniste : La judaïsation d’Al Qods est un mirage.
Tout en fustigeant la dernière décision du président Trump concernant la reconnaissance par les États-Unis de Jérusalem comme capitale de l’entité sioniste et insistant sur le fait que l’Autorité palestinienne ne renoncera pas aux frontières de 1967,le ministre palestinien de l’Information, Mohamed Assaf, a affirmé, avant-hier à Alger, que les États-Unis n’auront, à l’avenir, aucun rôle dans le processus de paix, en dehors d’un mécanisme international multilatéral sous l’égide de l’ONU. Par ailleurs, Assaf a mis en relief les tentatives de l’entité sioniste tendant à la judaïsation d’Al Qods qui n’est autre » qu’un processus systématique entamé par les forces d’occupation israéliennes depuis 1967″ a affirmé vendredi soir, à Sétif, le poète palestinien Raid Nadji, à l’ouverture du séminaire international, « Al Qods, la mosquée Al Aqsa et l’avenir du conflit ». Au cours de sa communication intitulée « la stratégie israélienne dans la judaïsation de la ville Sainte » le conférencier a assuré que « l’ennemi sioniste a promulgué des lois faisant de la ville d’Al Qods partie intégrante d’Israël » ajoutant « qu’à travers une décision militaire, les forces d’occupation considèrent la ville Sainte (Est et Ouest), comme capitale d’Israël, dès son occupation, contrairement aux résolutions des Nations Unis ». En présence de l’ambassadeur de la Palestine en Algérie, Louai Aïssa, d’un représentant de l’ambassade de la République arabe sahraouie démocratique, du président de l’association des oulémas musulmans algériens, Abderazak Guessoum et des autorités locales, le conférencier a souligné que le parlement sioniste a modifié « la loi sur l’autorité et la juridiction » mettant la ville Sainte sous le contrôle israélien et à urgé l’amendement de « la loi de la municipalité » pour faire d’El Qods « une municipalité de l’entité sioniste ».
LES FRONTIÈRES DE 1967 DEMEURENT UNE LIGNE ROUGE.
« L’autorité palestinienne ne renoncera jamais aux frontières de 1967, et les Etats Unis n’auront, à l’avenir, aucun rôle dans le processus de paix en dehors d’un mécanisme international multilatéral sous l’égide de l’ONU » a souligné M. Assaf. Lors d’une conférence de presse animée au siège de l’ambassade de Palestine à Alger, le ministre palestinien de l’Information a déclaré que les Etats Unies adoptent, au quotidien, une nouvelle position, soulignant que ces positions ont pour véritable objectif d’exercer une pression sur l’autorité palestinienne et tenter de provoquer le peuple palestinien pour l’amener à renoncer à sa cause. « Nous refusons toute pression. Si Washington cherche des concessions à travers cette démarche, elle échouera comme ce fut le cas par le passé, car nous ne renoncerons pas à l’instauration d’un Etat palestinien indépendant sur les frontières de 1967, avec pour capitale Al-Qods Est », a-t-il martelé. L’administration américaine est responsable de l’échec des pourparlers de paix, vu son parti pris pour Israël », a déclaré le ministre palestinien, ajoutant qu’ »elle n’aura, à l’avenir, aucun rôle dans le processus de paix en dehors d’un mécanisme international multilatéral sous l’égide de l’ONU ». Le ministre palestinien a également évoqué la stratégie de son pays pour la prochaine étape visant notamment à « renforcer la résilience palestinienne, activer la résistance et à réaliser la réconciliation nationale sur tous les plans ». Il a indiqué, à ce propos, que les visites effectuées par le Président palestinien, Mahmoud Abbas, en Chine et à Bruxelles et celles qui le conduiront en Russie et dans d’autres pays outre la demande de la qualité de membre à part entière au sein de l’ONU et de membre au sein d’organisations internationales ainsi que la demande de reconnaissance internationale de l’Etat de Palestine, sont autant de démarches qui s’inscrivent dans le cadre de la mobilisation du soutien international au rejet de la décision américaine concernant Al- Qods et pour l’établissement d’un Etat palestinien indépendant selon les frontières de 1967.M. Assaf a salué, en outre, la position internationale « honorable » rejetant la décision américaine concernant Al-Qods. Le ministre palestinien avait tenu ces déclarations lors d’une conférence de presse à l’issue de sa visite en Algérie à l’invitation du ministre de la Communication, Djamel Kaouane, dans le cadre du renforcement de la coopération entre les deux pays dans le domaine de l’information.
Benghebrit menace les grévistes de radiation : Le Cnapeste sous pression.
Dans sa démarche de grève illimitée lancée le 30 janvier dernier, le Conseil national autonome du personnel enseignant du secteur ternaire de l’éducation (Cnapeste) se trouve embarrassé, suite à la récente décision de la ministre de l’Education nationale, Nouria Benghebrit, qui se montre intransigeante. » Il n’y aura pas de discussions avec le CNAPESTE avant l’arrêt de la grève et ceux qui l’a poursuivront risquent la radiation « , a déclaré Benghebrit. C’est ce qu’elle a affirmé la ministre dans un entretien accordé au site « Tous sur l’Algérie ». A la question est-ce qu’il y aura d’autres sanctions contre les grévistes, la ministre répond « Ce sera la radiation ». » Ils ont quinze jours pour se décider » a telle – souligné. » Les enseignants seront informés individuellement. Chacun doit prendre ses responsabilités, ils ont le droit au recours car on applique la réglementation car nous sommes tenus de respecter et d’appliquer la réglementation en vigueur », a-t-elle ajouté. Benghebrit affirme que les revendications contenues dans le PV numéro 15, évoqué par le syndicat, ont été satisfaites. Mais pour celle relative aux ponctions sur salaire, ce ne sera pas possible parce que « les ponctions salariales ont été appliquées comme cela se fait pour toutes les catégories de travailleurs à travers tout le territoire national ». La ministre affirme par ailleurs qu’il n’y aura pas d’année blanche à Bejaia, Tizi Ouzou et Blida, puisque des mesures ont été prises. Par exemple, « 400 vacataires, notamment des retraités, ont été recrutés à Blida depuis décembre ». La tutelle ne semble pas donc prête à faire machine arrière. Il faut rappeler, en dernier lieu, que le Conseil national autonome du personnel enseignant du secteur ternaire de l’éducation (CNAPESTE) est en grève nationale illimité depuis le 30 janvier. Par ailleurs, la ministre de l’éducation a déclaré » qu’il n’y aura pas une année blanche à Blida, à Tizi Ouzou et à Béjaïa « . Le spectre d e l’année blanche est écarté selon la ministre. » Nous sommes en train de prendre des mesures pour assurer les enseignements aux élèves » a telle ajouté. Il a noté que, la fédération des parents d’élèves et association nationale des parents d’élèves avait dépose plainte à l’échelon local contre le bureau du Cnapeste. Répondant à une question sur les mesures prises par le département pour faire face à cette grève, la première responsable de son secteur, a souligné que » nous avons recomposé le calendrier de travail de l’élève. La deuxième consiste à identifier les enseignants qui ne sont pas contre le fait de faire des heures supplémentaires. La troisième mesure est de recruter des vacataires « . D’autre part, les syndicalistes accusent le gouvernement de remettre en cause le droit de grève. Selon les explications de Benghebrit, le problème n’est pas dans la grève mais dans son caractère illimité. » La grève est évidemment un droit constitutionnel .Ce qui particulier cette année est que la grève du Cnapeste n’a pas de contenu « . Il y a lieu de rappeler que le tribunal a déclaré la grève d’illégale. Les principales revendications de ce syndicat autonome portent sur le plein respect de la teneur des conventions signées avec le ministère de l’Education nationale, notamment en ce qui concerne la régularisation de la situation des personnels occupant des postes en voie de disparition, la médecine du travail, l’actualisation de la prime de zone pour le travail dans le sud, le logement et les promotions. Jeudi, les partenaires sociaux signataires de la Charte d’éthique du secteur de l’Education nationale ont indiqué dans un communiqué que cette grève était « injustifiée » et qu’elle donne une « image négative » du mouvement syndical devant l’opinion publique. Les parents d’élèves considèrent la grève comme une « fuite en avant, un complexe et un dérapage syndical », exprimant leur « désarrois » et leur « frustration » de voir l’avenir de leurs progénitures compromis, a déploré l’Anpe.

Sur le muslim post.com, rien de neuf.

Sur agence media palestine.fr, voici les titres.

Pourquoi la suppression de l’aide financière américaine à l’AP n’est pas une mauvaise chose.
Par Alaa Tartir, 8 janvier 2018.
Si les États-Unis suspendent leur aide financière à l’Autorité palestinienne, les Palestiniens seront peut-être contraints d’avoir le courage politique de se battre pour ce qui est juste.
De nombreux observateurs et analystes préviennent que la suppression de l’aide américaine à l’Autorité palestinienne (AP) est dangereuse et pourrait compromettre la stabilité. Certains affirment même que la menace du président Donald Trump sur l’aide financière aux Palestiniens est plus dangereuse que sa décision de transférer l’ambassade des États-Unis en Israël à Jérusalem.
« Pensez-vous que les jours de l’AP sont désormais comptés ? » est l’une des questions les plus récurrentes des journalistes ces derniers jours, après que Donald Trump a déclaré : « Nous payons les Palestiniens des centaines de millions de dollars par an sans obtenir de reconnaissance ou de respect. Ils ne veulent même plus négocier. »
Et Donald Trump d’ajouter : « Puisque les Palestiniens ne sont plus disposés à parler de paix, pourquoi devrions-nous leur verser des paiements massifs à l’avenir ? ».
Des actions contre les Palestiniens.
Cependant, la menace de Trump de retirer son aide à l’AP ne devrait surprendre personne.
L’aide américaine a toujours été utilisée comme un outil politique, et les conditions qui lui sont attachées ont été préjudiciables et néfastes pour les Palestiniens.
Mais si la menace de suspension de l’aide versée à l’AP se concrétisait, serait-ce vraiment si grave ? Je pense que non. Cela serait probablement bénéfique – peut-être pas à court terme, mais à long terme, sans aucun doute.
L’aide américaine à l’AP vise essentiellement à consolider le rôle de cette dernière en tant que sous-traitant de l’occupation israélienne et a rendu l’occupation israélienne moins coûteuse et plus durable, ce qui a profité à l’économie israélienne, ancré la fragmentation palestinienne et nié le potentiel démocratique palestinien. Pour toutes ces raisons, la suppression de l’aide des États-Unis à l’AP n’est pas si grave.
Le principal objectif des États-Unis vis-à-vis de la Palestine consiste à promouvoir « la prévention et l’endiguement du terrorisme contre Israël ». En d’autres termes, l’aide est fournie aux Palestiniens pour sécuriser Israël ; mais s’agit-il d’un soutien aux Palestiniens ou à Israël ?
Le paradigme « Israël d’abord ».
Selon le paradigme sécuritaire « Israël d’abord », l’administration américaine a versé des millions de dollars d’aide à l’AP afin de « professionnaliser » ses forces de sécurité pour la stabilité et la sécurité d’Israël, de son occupation et des colons de Cisjordanie occupée.
Cette logique biaisée signifiait que l’AP devenait un sous-traitant de l’occupation israélienne, grâce à l’aide et selon les conditions des États-Unis.
Cela a non seulement soutenu l’occupation israélienne, mais a aussi profité à Israël, à son économie et à ses entreprises. L’aide américaine aux Palestiniens sert souvent à payer directement les créanciers de l’AP, parmi lesquels figurent de nombreuses entreprises israéliennes qui pratiquent des tarifs prohibitifs et profitent de l’économie captive de l’AP.
En outre, la majeure partie de l’aide versée par les États-Unis à la Palestine (jusqu’à 72 %), en particulier l’aide allouée à la sécurisation, finit dans l’économie israélienne. Par conséquent, une grande partie de « l’aide » des États-Unis aux Palestiniens se traduit en réalité par un soutien supplémentaire à Israël et à son appareil sécuritaire.
L’aide des États-Unis a également ancré la fragmentation palestinienne au cours de la dernière décennie et a alimenté le fossé entre la Cisjordanie et la bande de Gaza. De plus, l’aide nie non seulement le potentiel démocratique palestinien mais parraine l’émergence d’un style de gouvernance autoritaire en Cisjordanie.
Les procédures de sécurisation soutenues par les États-Unis, qui répondent à leurs objectifs en matière de sécurité, visent à criminaliser la résistance contre l’occupation israélienne et à étouffer les besoins et les aspirations du peuple palestinien.
L’aide des États-Unis.
Les opérations et les interventions de l’Agence des États-Unis pour le développement international (USAID) et le bureau du coordonnateur de la sécurité des États-Unis (USSC) ont contribué à causer tous ces préjudices. Ce faisant, ces deux institutions violent non seulement les principes internationaux clés de la fourniture d’aide, mais elles agissent effectivement comme un bras complémentaire de l’occupation coloniale israélienne.
Certes, ces dommages et conséquences néfastes de l’aide des États-Unis ne seront pas automatiquement inversés si la menace de Donald Trump de supprimer l’aide devient réalité.
C’est beaucoup plus complexe que cela, car cela implique de démanteler des structures complexes, des dynamiques et des institutions qui ont émergé et se sont consolidées au cours du dernier quart de siècle.
Ce qui est crucial à ce stade, c’est que les Palestiniens ne paniquent pas et ne maudissent pas leur sort de « perdre » 300 à 400 millions de dollars par an ; ils devraient plutôt agir – et de nombreux choix s’offrent à eux. Pour commencer, ils devraient tenir l’USAID et l’USSC pour responsables, et abroger les dérogations d’enregistrement que le défunt dirigeant palestinien Yasser Arafat avait accordées à l’USAID pour fonctionner sans aucune surveillance palestinienne.
Inversion du processus de contrôle.
Il est temps d’inverser le « processus de contrôle » ; plutôt que d’être soumis au contrôle de l’USAID, il est temps que les Palestiniens effectuent les vérifications nécessaires concernant l’USAID et les autres organismes américains de l’industrie de l’aide en Palestine.
Pour ce faire, il faut que les dirigeants palestiniens fassent preuve de volonté et de courage politiques. Mais la direction actuelle de l’AP reste bloquée sur l’échec de ses approches et formules.
L’incapacité des dirigeants de l’AP à réaliser de petites actions telles que la révocation des dérogations d’enregistrement de l’USAID reflète une crise de légitimité plus profonde et illustre les manœuvres tactiques des dirigeants actuels de l’AP pour gagner du temps, rester au pouvoir ou réorganiser les cartes des pourparlers de « paix ». Il faut d’urgence résister à ces idées et les remplacer par de nouvelles orientations stratégiques qui soient dictées par le peuple palestinien.
Le principal défi qui reste à relever est toutefois de savoir comment canaliser les revendications et les aspirations du peuple palestinien vers des institutions politiques et représentatives légitimes.
Du point de vue du peuple palestinien ordinaire, il y aura des conséquences négatives à court terme dans l’éventualité où la menace de Donal Trump de couper l’aide se concrétise. Cependant, il est également crucial de reconnaitre que l’aide à l’AP ne se traduit pas automatiquement par une aide au peuple palestinien.
Il est trompeur d’affirmer que l’aide et ses avantages se répercutent sur le peuple palestinien ordinaire. L’industrie de l’aide est conçue pour bénéficier à peu et nuire à beaucoup.
Sam Bahour, le président de Americans for a Vibrant Palestinian Economy, a récemment déclaré : « Je ne vais pas perdre le sommeil si le Congrès cesse totalement de financer l’Autorité palestinienne. Cela ne facilitera pas la vie quotidienne sous l’occupation, mais peut-être que cela réveillera suffisamment de dirigeants américains qui verront l’absurdité d’être menés comme un troupeau de moutons par leur éleveur israélien. »
Cela ne m’empêchera pas de dormir moi non plus. Alors qu’une coupure de l’aide américaine aura quelques conséquences négatives sur la vie des Palestiniens, les perspectives à long terme pourraient s’avérer plus positives car cette action pousserait l’AP à abandonner le cadre du modèle d’aide des accords d’Oslo. Il est temps d’enterrer le modèle d’aide d’Oslo, qui a échoué.
Mais un processus d’abandon progressif requiert des actions sérieuses, des mesures concrètes et claires et un plan d’action/de sauvetage national pour une transition vers une formule post-solution à deux États et un cadre post-accords d’Oslo.
Enfin, alors que l’aide humanitaire est importante, ce qui importe plus pour les Palestiniens ordinaires n’est pas d’avoir un bon pour obtenir du blé ou des sardines, mais plutôt les racines politiques pour lutter contre le déni de leurs droits.
Tant qu’on n’abordera pas la question de ces racines politiques, peu importe l’étendue de l’aide, les Palestiniens ordinaires ne ressentiront pas le bénéfice positif de l’aide, qu’elle vienne des États-Unis, d’Europe ou des pays arabes.
La menace de Donald Trump de suspendre l’aide financière offre aux Palestiniens ordinaires une nouvelle opportunité de placer les principes d’auto-détermination et de dignité au cœur du cadre et de l’industrie de l’aide.
Alaa Tartir est directeur de programme à Al-Shabaka: The Palestinian Policy Network et chargé de recherche invité au Centre on Conflict, Development and Peacebuilding (CCDP) de l’Institut des hautes études internationales et du développement (IHEID), situé à Genève (Suisse).Vous pouvez le suivre sur Twitter : @alaatartir.Vous pouvez consulter sa publication sur le site www.alaatartir.com.
Les opinions exprimées dans cet article n’engagent que leur auteur et ne reflètent pas nécessairement la politique éditoriale de Middle East Eye.
Photo : un enfant palestinien appuyé sur des sacs d’aide alimentaire fournis par l’Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine (UNRWA) à Rafah, dans le sud de la bande de Gaza, le 22 août 2017 (AFP).
Traduction de l’anglais (original) par VECTranslation.
Source : MiddleEastEye.

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

L’OLP se penche sur la suspension de la reconnaissance d’Israël
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Le Comité exécutif de l’Organisation de libération de la Palestine (OLP) a ouvert samedi la voie à une suspension de la reconnaissance d' »Israël », mais s’est abstenu d’ordonner une application immédiate de cette initiative.
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L’épouse du prisonnier politique Louai Freij demande la libération immédiate de son mari
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Des groupes successifs de colons prennent d’assaut les cours saintes d’al-Aqsa
.
Israël craint que l’effondrement économique de Gaza n’entraîne à la violence
.
Des Palestiniens arrêtés et des maisons saccagées à l’aube par l’armée israélienne
.
Un jeune tué à Jénine et l’occupation échoue à arrêter Ahmed Jarrar
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L’occupation démolit deux salles d’une école palestinienne à Jérusalem-Est
.
L’OLP appelle le gouvernement à adopter un plan de désengagement avec Israël
.
Hamas : la continuité des protestations fait signe d’un soulèvement populaire
.
Une ministre néerlandaise critiquée pour son don de 13 millions d’euros à l’UNRWA
.
Les affaires étrangères : l’inscription de Haniyeh sur la liste des terroristes vise la réconciliation
.
Suisse: Des centaines de personnes à Berne en soutien au peuple palestinien
.
L’occupation bombarde un site de la résistance au sud de Gaza
.
Abbas travaille jour et nuit pour être efficace
.
Haniyeh : nous tenons à la résistance et « la transaction du siècle » ne passera pas
.
Des colons attaquent des agriculteurs palestiniens au nord d’Hébron
.

Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
.


Le Centre Palestinien D'Information
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