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La filiale PEPS (Pour et par le soleil), implantée à Marrakech, fabrique de l’électricité avec des déchets.

La filiale PEPS (Pour et par le soleil), implantée à Marrakech, fabrique de l’électricité avec des déchets.
L’importation de déchets depuis l’Italie a créé un véritable scandale au Maroc. Mais une toute autre initiative a vu le jour pour rendre service à l’environnement. Des déchets sont transformés en électricité !
Pour et par le soleil…
C’est la filiale PEPS (Pour et par le soleil) implantée à Marrakech qui est à l’origine de cette prouesse. Les déchets solides sont collectés et réutilisés afin de créer de l’électricité. La société a un engagement avec la région Marrakech-Safi et la petite commune de Ras El Ain afin de construire la structure. Côté chiffres, il est annoncé que 54 tonnes de déchets seront traités par jour générant ainsi plus de 2 mégawatts d’électricité. Ce procédé de transformation est très récent. Dans le processus, le déchet est notamment transformé en charbon avant de subir d’autres étapes jusqu’à la création de l’électricité. Par ailleurs, PEPS pourrait s’engager à fournir 50% de l’éclairage public nécessaire à Marrakech.
Alors que le pays a officiellement supprimé les sacs en plastique et que la COP22 doit justement se tenir à Marrakech en 2016, les projets environnementaux fleurissent au Maroc. Et tant mieux !

SOURCE : 10 juillet 2016 : http://www.katibin.fr/2016/07/10/au-maroc-on-fabrique-de-lelectricite-avec-des-dechets/

Marrakech : Le palais du prince saoudien Bandar Bin Sultan visité par un étrange voleur

Y aurait-il anguille sous roche à Marrakech, derrière l’entrée par effraction dans le somptueux riyad de Bandar Bin Sultan, l’ex-patron des services de renseignement d’Arabie saoudite, et la mystérieuse somme dérobée de 10 000 dollars, qui ont quelque peu assombri des cieux marocains des plus cléments envers une personnalité saoudienne très en vue?

Il s’en passe de drôles de choses au royaume chérifien, derrière les portes cossues qui abritent les forteresses dorées des nababs de la monarchie wahhabite, en l’occurrence celle où vient régulièrement se ressourcer le fils de feu le prince Sultan Bin Abdulaziz, connu pour sa grande proximité avec le Maroc mais aussi pour sa parfaite connaissance des réseaux terroristes.

Se faisant l’écho de ce cambriolage sur lequel planent certaines zones d’ombre, aussi obscures que le royaume saoudien est obscurantiste, le quotidien marocain Al Masse, indiscrétions à l’appui, avance la thèse d’un Arsène Lupin féminin, qui aurait soulagé le prince Bandar Bin Sultan de plusieurs milliers de dollars via sa carte bancaire, ce qui tenderait à prouver que la voleuse n’est pas totalement étrangère à sa victime. Mieux encore, l’éminent personnage saoudien aurait été dépouillé d’effets personnels que l’on suppose hors de prix, à moins qu’ils n’aient une valeur affective, voire fétichiste insoupçonnée…

Moralité : les palais marocains impénétrables ne sont plus ce qu’ils étaient, et d’ultra-confidentiels, les séjours d’un prince saoudien omnipotent et expert du terrorisme sont devenus, à son corps défendant, de notoriété publique.