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Flash info du 30 Mouharram 1438.

Flash info du 30 Mouharram 1438.
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Témoignage de Mélanie Jane, reconvertie à l’Islam.
Nous nous intéressons aujourd’hui au témoignage de Mélanie Jane, une britannique reconvertie à l’Islam. Cette dernière dit avoir toujours été croyante mais sans religion définie puisqu’aucune des religions sur lesquelles elle s’était penchée, ne répondait aux questions qu’elle se posait.
Mélanie Jane affirme avoir trouvé l’Islam après s’être installée à Dubaï mais elle précise que l’éducation que ses parents lui ont transmise a également participé à ce cheminement. Cette sœur nous confie : « Mes parents sont très ouverts et très gentils. Ce sont des gens bienveillants et ils m’ont toujours appris à ne pas faire de discrimination contre quiconque, sur la religion, la culture, la couleur, ou quoi que ce soit ». Elle considère donc que l’éducation dont elle a fait l’objet constitue une des bases de son cheminement vers l’Islam puisque sans cette tolérance, elle n’aurait pu s’intéresser à la religion musulmane.
Évoquant la réaction de certaines de ses connaissances lorsqu’elles la voient avec le hijab, la jeune femme explique que beaucoup imaginent que cette tenue lui a été imposée par un homme. Mélanie Jane partage donc son sentiment au sujet du hijab : « Je pense que quand vous portez le hijab, vous avez une raison unique de le porter. Il n’est pas fait pour tout le monde, il est pour vous et pour l’amour d’Allah, qui est la raison pour laquelle nous le portons et non pas parce que quelqu’un d’autre nous l’a demandé« . Cette sœur fait donc part de son amour pour le hijab, voile qu’elle porte dans le but de satisfaire son Créateur.
Le déclic pour cette jeune femme a été son changement de pays : passer de la Grande Bretagne à Dubaï, découvrir une autre culture, un nouveau pays, une toute autre religion… C’est donc en rencontrant des musulmans à Dubaï qu’elle s’est renseignée au sujet de l’Islam. « Quand je suis arrivée d’Angleterre, je suis venue avec des stéréotypes sur les musulmans, alors que je me suis totalement trompée sur ce que je pensais ». Mélanie Jane avoue donc avoir découvert la véritable image de l’Islam une fois qu’elle a quitté la Grande Bretagne et que cette religion a gagné son cœur par la suite.
Cette sœur a embrassé l’Islam car comme elle l’explique, dans cette religion, « chaque question que vous vous posez a une réponse. […] Dans l’Islam, tout est si parfait et tout est si bien mis ensemble que cela m’a convaincue« . Notre sœur Mélanie Jane a tout dit : l’Islam est une religion parfaite. Allah, par Sa Grâce et Son infinie Miséricorde ouvre les yeux et le cœur de qui Il veut.
Qu’Allah raffermisse le cœur et la foi de chacun d’entre nous. Qu’Il guide nos proches vers la Droiture, Lui qui est capable de tout.
Reportage vidéo a voir sur www.mouslimradio.info.
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Fraternité générale : une semaine pour promouvoir la fraternité en France .
Du 2 au 10 novembre 2016, le mouvement Fraternité générale organise une semaine d’actions culturelles, pédagogiques et citoyennes dans toute la France. L’initiative lancée par Abdennour Bidar fédère plus de 240 manifestations avec le soutien d’éminentes personnalités.
La fraternité, un concept oublié ? Le philosophe Abdennour Bidar, auteur en 2015 du Plaidoyer pour la Fraternité publié un mois après le rassemblement du 11 janvier, milite pour faire revivre cette notion.
Un an après la tragédie du 13 novembre, il impulse le mouvement Fraternité générale en grande pompe au travers d’une semaine d’actions culturelles, pédagogiques et citoyennes à l’échelle nationale. Sur son site il déclare que « la fraternité est un principe fort, à la fois symbolique et concret. Elle est aujourd’hui mise à mal, à la fois par la gravité accrue des fractures sociales et par le choc dramatique des ignorances entre cultures et communautés, des intolérances et des replis sur soi. Or, la fraternité, morale et sociale, est une urgence. »
Abdennour Bidar a rassemblé autour de lui un certain nombre de personnalités du monde associatif, des affaires, du sport, universitaire, médiatique et artistique. On retrouve par exemple l’écrivaine et ancienne boxeuse Aya Cissoko, le coordinateur d’ACLEFEU Mohamed Mechmache, le sociologue Edgar Morin, l’astrophysicien Hubert Reeves, la fondatrice de l’agence publicitaire BETC Mercedes Erra, l’actrice Juliette Binoche, les présentateurs Stéphane Bern et Claire Chazal ou encore le docteur Ghada Hatem-Gantzer, fondatrice de la maison des femmes de Saint-Denis.
Dans le but de promouvoir la semaine de la Fraternité générale qui se déroulera du 2 au 10 novembre, une série de 30 clips de 45 secondes a été produite par Cinétévé, l’ARP, le Forum des images et l’agence Bronx. Les vidéos sont diffusées depuis le 15 octobre sur les chaînes de télévision, les salles de cinéma et les stades. Plusieurs cinéastes et personnalités y dévoilent leur vision de la fraternité.
« À la diversité de leurs propos et de leurs sensibilités fera écho la diversité des formes que prennent leurs créations audiovisuelles : fiction, documentaire, animation et même captation », détaille le site de la Fraternité générale. La campagne se veut participative puisque des associations de jeunes à travers à la France peuvent également proposer leur vision en envoyant leurs court-métrages.
Les artistes et photographes en herbe ont également été convié à participer au concours « Une image pour la fraternité ». Les participants devaient envoyer une photo, un dessin ou une création graphique représentant la fraternité. Le concours a été organisé par la RATP qui présentera les images des lauréats dans une exposition à la station de métro Hôtel de Ville, à Paris, du 2 au 14 novembre.
Mais là où le Mouvement pour la fraternité prend tout son sens, c’est avec « les rencontres fraternelles ». L’idée est que chaque volontaire organise à l’échelon local, des rencontres et des débats afin de « parler de nos différences et de ce qui nous unit, dans un café, un lieu de culture ou une entreprise ».
Les volontaires peuvent ensuite remplir un formulaire sur le site de la Fraternité générale qui recense toutes les actions, aujourd’hui principalement concentrées en Ile-de-France. Les élèves de l’Ecole de l’Art Oratoire, par exemple, mettent en place à Paris le 4 novembre trois ateliers-débats pour aider les gens à progresser dans la prise de parole en public.
Le week-end du 4 au 6 novembre, point d’orgue de la manifestation sera notamment dévolu à la musique avec les « Terrasses Musicales ». Une série de concerts gratuits seront mis en place à la façon d’une Fête de la Musique dans les lieux culturels, bars, gares, lieux municipaux, places publiques ou établissements scolaires. La SACEM autorise exceptionnellement une autorisation gratuite de diffusion de musique pour ces trois jours.
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Le cancer et son lot de préjugés, le combat de Charlène Caty.
Ne vous fiez pas aux apparences ! C’est le leitmotiv de Charlène Caty, fondatrice d’une jeune association dunkerquoise d’accompagnement des malades du cancer. Dans le climat d’islamophobie ambiante, elle a produit une vidéo afin de briser des préjugés sur le cancer. Pari réussi pour cette jeune femme qui raconte le sacré bout de chemin qu’elle a parcouru contre la maladie.
Charlène Caty revient de loin. Elle qui pensait arriver au terme de sa jeune vie est aujourd’hui en phase de rémission d’un carcinome épidermoïde de stade 4, autrement dit d’un cancer de la langue. La jeune femme, originaire de Saint-Pol-sur-Mer, près de Dunkerque, savoure cette victoire qu’elle est en train de remporter contre la maladie, diagnostiquée en octobre 2015. Seule « stigmate » visible du cancer, le foulard qu’elle porte sur la tête et qui a été la source d’inspiration d’une vidéo que Saphirnews a repéré en septembre.
Intitulée « Stop les préjugés et les stéréotypes », elle met en scène un groupe de jeunes étudiantes en bibliothèque qui s’aperçoivent de la présence d’une de leurs connaissances, voile sur la tête, en compagnie d’une amie de confession musulmane. Elles n’ont pas vu Charlène depuis un moment mais plutôt que d’aller la voir pour prendre de ses nouvelles, elles ont déjà fait leurs conclusions : si elle porte le foulard, c’est qu’elle s’est « radicalisée » à cause notamment de son compagnon qui se trouve être « un Noir, un Comorien ». « En même temps, quand tu vois avec qui elle traîne, ça m’étonne pas trop… », lance l’une des filles.
« Ne vous inquiétez pas, je ne suis pas radicalisée. J’ai juste un cancer », fait part Charlène dans un message final percutant. Un uppercut contre les préjugés qui a été sous-titré en anglais pour diffuser le message à très grande échelle.
Charlène, qui s’est mise en scène dans cette vidéo, raconte à Saphirnews la genèse de cette vidéo, une action au compteur de sa toute jeune association J’ai juste un cancer, fondée en été 2016 pour aider et accompagner les malades et leur entourage dans l’épreuve qu’ils vivent. « Les premiers symptômes sont apparus fin juin – juillet 2015 », dit-elle. Au départ, ce n’était qu’un aphte, pensait-on, sauf que « j’avais de plus en plus de mal à manger et à parler, je perdais du poids et ma langue avait doublé de volume ». Commence pour elle un parcours du combattant qui l’a conduite plusieurs fois aux urgences et dans divers hôpitaux, sans résultat probant pendant de longues semaines.
« On me renvoyait chez moi avec des antalgiques. (…) Un jour, j’étais en larmes, mon compagnon a décidé de partir au culot à Paris » pour obtenir une explication à la maladie naissante. Le couple accomplit avec difficultés un nouveau tour des établissements hospitaliers mais le diagnostic finit par être posé en octobre 2015 dans un hôpital de la région parisienne. A un stade très avancé du cancer de la langue, il fallait réagir vite. Ce sont les débuts d’une chimiothérapie – entamée à Lille – qui durera six mois, non sans conséquences sur son apparence : des dents enlevées – un moindre mal pour éviter l’amputation d’une partie de sa langue qui l’aurait alors défigurée – et surtout une perte conséquente de poids et de cheveux.
Le jour où elle réalise le poids des préjugés sur les musulmanes
« Un jour, pendant mon traitement, je suis partie au restaurant avec mes parents. Nous avons croisé des personnes que l’on connait, et j’ai senti un regard différent », explique Charlène. « Le traitement a causé une perte de cheveux, j’ai donc dû m’habituer au foulard. Mon compagnon est musulman et d’origine comorienne, j’ai alors compris que les gens ont dû se dire que j’étais devenue musulmane. Au vu du changement brusque, je ne serais pas étonnée si on me fichait S », poursuit-elle avec humour. Dans la vidéo comme dans la vie, Charlène n’est effectivement pas musulmane.
« J’ai réalisé et ressenti ce que les femmes portant le voile par choix peuvent ressentir face au jugement des autres. Par conséquent, j’ai décidé de réaliser cette vidéo avec mes amis : une musulmane, une catholique, une protestante et une athée afin de sensibiliser sur les jugements et raccourcis trop faciles, mais surtout pour montrer que, quelles que soient notre origine, notre religion, nous sommes capables de réaliser ensemble des projets sur les réalités de la vie », explique Charlène, qui veut sensibiliser les personnes aux « à-côtés du cancer », tout autant difficiles à gérer que la maladie elle-même. D’ailleurs, « l’acceptation du cancer a été très dure », indique-t-elle. Le rôle de son compagnon ainsi que de sa famille fut essentiel face à l’épreuve qu’elle est maintenant en passe de remporter.
A 24 ans, elle reprend doucement la vie qu’elle avait laissée avant l’apparition des premiers symptômes de la maladie. Charlène a repris son travail dans le prêt-à-porter, mais entend désormais consacrer son temps à son association locale et accorder son aide à celles et à ceux qui en ont besoin.
Reportage vidéo a voir sur www.mouslimradio.info.
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La langue arabe, sujet de discorde ?
À la rentrée 2016, la langue arabe est introduite en langue vivante 1 dès le CP (au lieu du CE1), à l’instar, d’ailleurs, de toutes les langues étrangères enseignées à l’école élémentaire. Une initiative prise par la ministre de l’Éducation nationale Najat Vallaud-Belkacem et qui a fait délier de nombreuses langues. État des lieux sur l’apprentissage de l’arabe en France.
On sait le politique français contestataire mais lorsqu’il s’agit des questions liées à l’arabe, et sous-entendu l’islam, les discours de tout bord s’affolent.
Ainsi, lorsque le ministère de l’Éducation a annoncé sa volonté de réformer l’apprentissage de l’arabe, en abandonnant progressivement les ELCO (enseignements de langue et de culture d’origine) et en introduisant l’arabe dès le cours préparatoire, la députée LR Annie Genevard n’a pas hésité à mettre le feu aux poudres : « Vous réduisez par votre réforme du collège la place du français, celle des langues anciennes qui sont nos racines ou des langues européennes comme l’allemand, qui prospéraient dans les classes bilingues. (…) Ne croyez-vous pas que l’introduction des langues communautaires dans les programmes scolaires encouragera le communautarisme qui mine la cohésion nationale ? »
Des propos appuyés par d’autres politiques, comme les tweets enflammés du FN, dont Robert Ménard, le maire de Béziers, qui s’indigne d’un « processus de défrancisation évident ».
Sixième langue officielle à l’UNESCO.
Ghassan Alaouf, conseiller pédagogique de cours d’arabe à l’Institut international de langues et de cultures (IILC), déplore ces amalgames précipités : « Ces polémiques n’ont absolument pas lieu d’être. Taxer l’arabe de langue communautaire, c’est ignorer son histoire, sa civilisation, son statut de sixième langue mondiale, selon l’UNESCO. C’est une langue internationale [parlée par plus de 270 millions de personnes. »]urlblankhttp://www.saphirnews.com/L-arabe-est-la-troisieme-langue-mondiale_a13389.html Cet enseignant, depuis 20 ans, connait la réalité actuelle : « Il n’est pas question de discuter le fait que le français soit évidemment la première langue pour les enfants de la République. Mais il s’agit de leur apporter en plus une richesse en les exposant à l’arabe, qu’elle soit ou non leur langue maternelle. »
Rappelons que c’est en 1905 qu’est créée l’agrégation d’arabe de cette langue une discipline à part entière. Le certificat d’aptitude au professorat de l’enseignement du second degré (CAPES) est, lui, créé en 1975.
Vers la disparition des ELCO.
À l’origine, les ELCO résultaient d’accords mis en place dès les années 1970 entre la France et 8 États (Algérie, Maroc, Tunisie, Turquie, Espagne, Portugal, Italie, ex-Yougoslavie) visant à aider l’assimilation des enfants d’immigrés en leur proposant des cours supplémentaires, d’une heure et demie à trois heures, de leurs langues d’origine. Ces accords visaient alors directement les enfants de la première génération d’immigrés et étaient dispensés par des professeurs originaires des pays en question et payés par ces derniers. Aujourd’hui, les cours d’ELCO concernent 59 000 enfants du primaire et du secondaire, dont 0,1 % d’arabisants du CP au CM2.
La réforme de la ministre vise à faire disparaitre progressivement (en 3 ans) les ELCO au profit d’un contrôle de l’enseignement et d’une normalisation de l’apprentissage dès la primaire. Des cours seront réintégrés au temps scolaire et ouverts à tous, comme c’est déjà le cas avec l’anglais dès la primaire. L’idée est de rendre l’arabe « langue étrangère », et non plus « langue d’origine », luttant au passage contre une possible « dérive de catéchisme islamique » pointée à l’époque par le (très décrié) Haut Conseil à l’intégration (qui n’existe plus depuis 2012).
« L’arabe des mosquées » en crise.
Il est vrai qu’en l’état « l’arabe des mosquées » possède ses failles, se désole Ghassan Alaouf : « Aujourd’hui, les parents qui veulent inscrire leurs enfants à un cours d’arabe ont le choix entre les associations arabo-musulmanes des mosquées, des instituts de langues et de cultures ou encore des écoles privées d’arabe. Pour leur pluralité, leur moindre coût et leur praticité, la majorité se tourne vers les mosquées mais celles-ci souffrent de défaillances importantes. »
Sans tabou, cet enseignant excédé dénonce pêle-mêle : la vétusté de certains locaux (« souvent en sous-sol, dans des espaces confinés, séparés par des rideaux ») ; un programme scolaire quasi inexistant, s’appuyant sur des manuels édités à l’étranger qui ne prennent pas en compte l’esprit européen ; et le manque de qualification des enseignants : « Le seul fait de parler arabe ne suffit pas pour s’autoproclamer prof ! », avertit-il.
Ce que Mohamed Bahou, responsable de l’enseignement de l’arabe à l’Association musulmane de Gonesse, modère : « Face au boom de la demande, environ + 70 % ces dix dernières années, nous avons dû adapter l’enseignement aux exigences des parents. Même si la transition est lente, de plus en plus de mosquées font l’effort d’apporter une place plus importante à la culture, luttant ainsi contre une instruction purement religieuse. » Obsolète devient la méthode qui consistait uniquement à apprendre par cœur des versets du Coran qui, au final, « participe plutôt à être écœuré rapidement », souligne Ghassan Alaouf.
Le boom du e-learning.
En moyenne, 18 000 personnes par mois ont tapé sur Google « Apprendre l’arabe » en France sur l’année écoulée. Créé en 2004, l’Institut musulman d’enseignement à distance (IMED), créé par Zakaria Seddiki, est pionnier en la matière. À l’ère du numérique, les universités jouent également le jeu depuis peu, comme l’atteste le MOOC « Kit de contact en langue arabe » de l’Institut national de langues et civilisations orientales (INALCO), premier établissement d’enseignement supérieur à enseigner l’arabe depuis 1795. Démarrant en novembre prochain, ce MOOC propose d’apprendre gratuitement les bases de la conversation courante en arabe grâce à des cours vidéo et des exercices en ligne dans un programme intensif de 6 semaines.
L’engouement pour la langue arabe n’est ainsi pas seulement lié à l’apprentissage de la lecture coranique. Outre l’aspect culturel et le souhait de maitriser la conversation courante, c’est bel et bien les débouchés professionnels qui peuvent intéresser les apprenants.
Les besoins de l’économie.
Sur ce point, Ilham Moustachir, vice-présidente de la communauté d’agglomération Roissy Pays de France, et chargée de l’emploi, de la formation et de l’insertion professionnelle, est très claire : « L’arabe littéraire n’est pas une lubie communautaire, c’est un réel besoin pour l’économie ! Dans ma région, sur les 40 % de jeunes chômeurs, une grande majorité est d’origine maghrébine. Or si on intégrait dans leur cursus l’arabe, ils pourraient trouver facilement du travail dans des secteurs aussi variés que l’aéroportuaire, le commerce, les échanges d’import-export… Sans compter l’épanouissement personnel pour les binationaux de maitriser leurs langues d’origine, et non plus baragouiner un dialecte. »
Et d’insister : « Les acteurs de formation ne peuvent plus continuer à faire la sourde oreille face à ce contexte économique et social, il en va du mieux vivre ensemble ! »
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Palestine : Des soldats israéliens jettent des pierres aux enfants palestiniens qui se rendent à l’école.
Cela se passe près d’ Hébron, jeudi 27 octobre et on peut clairement voir des soldats israéliens en train de jeter des pierres aux enfants palestiniens qui se rendent à l’école.
Ces soldats sont censés protéger les enfants palestiniens du village d’al-Tuwani, qui sont régulièrement attaqués par les colons de la colonie voisine de Havat Maon.
Au lieu de cela, ils les agressent à coups de pierre et ont blessé à la tête, de cette manière, une fillette de 6 ans, l’année dernière.
Et pendant ce temps les 5 garçons de Hares purgent depuis plus de 3 ans une peine de 15 ans de prison pour avoir été accusés de jeter des pierres, ce qu’ils nient au demeurant.
Cette vidéo a été publiée par une organisation de volontaires internationaux « Opération Colombe » basés dans ce village d’al-Tuwani où les habitants résistent courageusement à toutes sortes d’agressions de l’occupant, destinées à leur faire abandonner leur village.
Reportage vidéo a voir sur www.mouslimradio.info.
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Les coupeurs de tête à l’ONU.
Elire l’Arabie saoudite au conseil des droits de l’homme, c’est comme nommer un pédophile directeur d’école. Mais ça y est, c’est fait. Cette monarchie est esclavagiste et corrompue. Pudibonde et obscène, elle se prosterne devant le dieu-dollar et vomit tout ce qui n’est pas wahhabite. Elle diffuse à l’échelle planétaire une idéologie débile et sectaire. Elle invoque le Créateur à chaque virement bancaire, mais elle décapite comme d’autres font un barbecue. Seulement voilà, elle a beaucoup d’amis. Et ils trouvent qu’elle a un excellent pedigree pour se voir confier la promotion des droits de l’homme. Remarquez, on a échappé au pire. On a failli lui confier les droits de la femme.
Voilà donc l’Arabie saoudite chargée, avec notre bénédiction, de soutenir les droits de l’homme comme la corde soutient le pendu. Car les Occidentaux ont voté comme un seul homme pour la candidature de Riyad. Avec une bienveillance de marchands de canons soucieux de la réputation du client, ils ont arrosé d’eau bénite cette fosse à purin. Vus de Paris, les dix milliards de contrats d’armements valent bien cette petite mascarade dont personne ne parlera plus dans 48 heures. On leur a vendu des armes, distribué des médailles, bradé l’honneur national. Tant qu’on y est, on peut aussi leur permettre de parader au sein de ce conseil qui de toutes façons ne sert à rien. Puisqu’ils y tiennent !
On pourrait craindre, bien sûr, que l’ONU y perde de sa crédibilité. L’organisation internationale s’en remettra-t-elle ? En réalité, aucun risque. L’ONU est une avaleuse de couleuvres professionnelle. Elle n’est pas à un paradoxe près. Elle tente de donner une apparence de réalité à cette fiction qu’est la communauté internationale, mais personne n’est dupe. Le conseil des droits de l’homme a des attributions ronflantes, mais ce machin onusien est devenu la bonne-à-tout faire des ploutocrates. L’arène internationale est un champ de forces où les alliances se font et se défont. Richissime, la monarchie wahhabite a des moyens de persuasion que n’a pas le Burkina Faso.
Que cette élection au CDH (28 octobre) ait eu lieu trois semaines après le massacre perpétré à Sanaa par l’aviation saoudienne (8 octobre) ne manque pas de sel. Quel symbole ! L’admission en grande pompe au conseil des droits de l’homme, c’est la prime à l’assassin. On a heureusement échappé au Prix Nobel de Laurent Fabius, l’apologiste alcoolique des psychopathes d’Al-Nosra. On a frôlé celui des Casques blancs « auto-reverse », brancardiers le jour et tortionnaires la nuit. Mais c’était plus fort que tout. On n’a pas pu éviter l’élection des coupeurs de tête saoudiens au conseil des droits de l’homme de l’ONU.
On aurait dû surtout demander ce qu’il en pense au peuple yéménite. Il subit tous les jours des bombardements qui ont fait 10 000 morts et provoqué une crise humanitaire sans précédent. Mais on s’est bien gardé de lui demander son avis, à ce peuple arabe martyr, avant de coller ce nouveau fion de hamster au revers du veston wahhabite. Car les droits de l’homme, en fait, c’est bon pour justifier les bombardements, pas pour les interdire. Sauf s’ils sont russes. Et même lorsqu’il n’y a pas de bombardement ! Explication.
Comme par hasard, deux jours avant le scrutin onusien, une école a été attaquée à Idlib (Syrie). Selon l’ONU, il y a eu 28 morts dont 22 enfants. L’ONU n’a accusé personne, faute de preuves. Mais les officines de propagande et les médias occidentaux ont accusé la Russie. Niant toute implication, le ministère russe de la Défense a fourni les preuves qu’il n’y avait pas eu de bombardement aérien. Aucune importance ! L’essentiel, c’est le vacarme organisé contre Moscou avant l’élection des membres du conseil des droits de l’homme. Résultat : la Russie a obtenu moins de voix que la Croatie. Contrairement à l’Arabie saoudite, elle ne fait plus partie du CDH. Mission accomplie.
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####### Aujourd’hui en Palestine #######
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Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
Visage de Jérusalem: Un projet judaique à un coût de 2,5 milliards de dollars.
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Des efforts israéliens pour bloquer l’accession de l’Autorité Palestinienne à l’Interpol.
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Le barrage de Zatara, le point de la mort, la cible des révolutionnaires.
Il sépare le nord de la Cisjordanie de son centre et de son sud, le barrage de Zatara. Il est au milieu de trois départements : Naplouse, Ramallah et Silfit.
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Campagne sioniste pour imposer la souveraineté sur «Ma’aleh Adumim» et l’annexer à l’entité.
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Les canonnières sionistes ciblent les pêcheurs et leurs barques dans la mer de Gaza.
Les canonnières sionistes ont ciblé le samedi soir 29, les pêcheurs palestiniens et leurs navires dans la mer de Gaza.
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Mort du père du prisonnier Bassem Khandakji.
Le père du prisonnier Bassem Khandakji (Saleh Adib Khandakji 68 ans) dans la ville de Naplouse au nord de la Cisjordanie occupée.
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Les colons profanent les esplanades d’al-Aqsa sous la protection de la police.
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L’occupation mène une campagne d’arrestations en Cisjordanie.
Les forces armées d’occupation israéliennes ont mené le dimanche 30 une campagne d’arrestations dans un certain nombre de parties de la Cisjordanie occupée.
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Ramallah: Les soldats israéliens attaquent un mineur palestinien.
Un enfant palestinien a souffert le samedi soir, des fractures et des contusions après avoir été battu sévèrement par les forces armées d’occupation israéliennes.
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Qalqilia: Un civil palestinien arrêté à Azzoun.
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Hébron: l’occupation annonce une zone militaire fermée.
Les forces armées d’occupation israéliennes ont annoncé, plus tard hier soir samedi 29, le village de Seir au nord-est de la ville d’Hébron une zone militaire fermée.
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Des tirs de feu sur une voiture d’un colon près de Atsioun.
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7 détenus palestiniens poursuivent leur grève de la faim.
L’Instance des affaires des détenus palestiniens a indiqué que sept détenus dans les prisons d’occupation israéliennes poursuivent encore leur grève ouverte de la faim.
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Le Centre Palestinien D’Information, sur http://french.palinfo.com