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Flash info du 30 Joumada Al Awwal 1438.

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154 parlementaires demandent à Hollande de reconnaître (enfin) l’Etat de Palestine.
Quelque 154 députés et sénateurs français de tous les bords politiques demandent à François Hollande la reconnaissance de l’Etat de Palestine, dans un courrier transmis dimanche à l’AFP.
« La France doit marquer sa volonté de sortir de l’impasse sur ce conflit en réaffirmant solennellement, au nom du droit inaliénable à l’autodétermination, que le peuple palestinien est fondé à se doter d’un État. Il en va du respect du droit international comme de la sécurité d’Israël », écrivent ces parlementaires au chef de l’Etat.
Rappelons que la reconnaissance de la Palestine faisait partie du programme électoral de Hollande en 2012. Mais près de 5 ans plus tard, le président élu n’a pas honoré son engagement, préférant un alignement à 100% sur la politique des assassins qui gouvernent Israël.
« Monsieur le président, montrez-vous à la hauteur de l’enjeu et ne manquez pas ce rendez-vous avec l’Histoire, en reconnaissant dès à présent l’Etat de Palestine », demandent les parlementaires.
La plupart des groupes politiques, de gauche comme de droite, sont représentés dans la liste des signataires. Dans celle-ci figurent notamment Gilbert Roger, sénateur PS président du groupe d’amitié France-Palestine, les communistes Marie-George Buffet et Pierre Laurent, les sénatrices écologistes Aline Archimbaud et Esther Benbassa, les socialistes Marie-Noëlle Lienemann, Mathieu Hanotin, Catherine Tasca ou les LR Jean-Luc Reitzer et Michel Voisin.
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A quoi ressemblerait la France de Marine Le Pen ?
Marine le pen a présenté son programme, dimanche 5 février, à Lyon, reprenant les thématiques traditionnelles du Front national, ainsi que de nombreuses mesures de sa campagne de 2012. Le leitmotiv est la préférence nationale, déclinée dans tous les domaines. Trois semaines plus tard, dimanche 26 février, alors que la candidate frontiste donne un grand meeting à Nantes, franceinfo imagine à quoi pourrait ressembler le pays si Marine Le Pen devenait présidente.
Vers une sortie de l’Union européenne.
C’est la priorité pour la présidente du FN, qui accuse régulièrement l’Union européenne de tous les maux : renégocier les traités européens avant d’organiser un “référendum sur l’appartenance” à l’UE. La candidate entend ainsi “rendre à la France sa souveraineté”, notamment “monétaire et législative”. Le programme ne mentionne plus explicitement la “sortie de l’euro”, une proposition qui inquiète beaucoup dans l’électorat, notamment âgé. Mais, en réalité, cette mesure est toujours à l’ordre du jour, comme l’expliquent Les Echos . Le FN parle à présent du “rétablissement d’une monnaie nationale”, sans s’étendre dans son programme sur les moyens d’y parvenir. Sur Europe 1 , Marine Le Pen assure “qu’il n’y aura pas deux monnaies en France” mais qu’“il est possible d’envisager une monnaie commune exclusivement pour l’Etat ou les grandes entreprises”.
Des mesures économiques et sociales orientées à gauche.
Les dirigeants du Front national n’en font pas mystère : c’est avant tout sur ces thématiques qu’ils doivent convaincre s’ils veulent remporter l’élection. Cette année, le FN a donc choisi de rester assez évasif sur les modalités pratiques de la sortie de l’euro. Pour le reste, Marine Le Pen présente plusieurs mesures en faveur du pouvoir d’achat des plus modestes, donnant à cette thématique une coloration de gauche. Dans Les Echos , le maire FN d’Hénin-Beaumont, Steeve Briois, assure ainsi que “ la défense des acquis sociaux est au cœur du projet” .
La mesure la plus emblématique de ce positionnement est le retour de l’âge légal de la retraite à 60 ans, avec 40 ans de cotisations pour une retraite à taux plein. Marine Le Pen propose aussi une prime de pouvoir d’achat pour “les salariés et les retraités qui touchent moins de 1 500 euros”, financée par une taxe sur les importations, qui pourrait coûter 20 milliards d’euros. Cette prime s’élèverait à “à peu près 80 euros par mois” pour une personne gagnant 1 500 euros, a estimé la candidate lors de l’émission “Questions d’info”. L’impôt sur le revenu des trois premières tranches serait baissé de 10%. Un impôt que tous les Français devraient payer, même de façon symbolique, alors qu’aujourd’hui, un foyer sur deux s’en acquitte.
Sur les questions liées au travail, la candidate veut abroger la loi El Khomri. La durée légale du travail resterait fixée à 35 heures, mais les branches pourraient négocier des durées supérieures, à condition d’aboutir à des formules du type “39 heures payées 39”, comme Marine Le Pen l’explique dans Le Parisien . Elle veut aussi rétablir la défiscalisation des heures supplémentaires, mise en place sous Nicolas Sarkozy puis supprimée par François Hollande.
Le financement de toutes ces mesures reste toutefois assez flou, estiment Les Echos . Elles se traduiraient d’abord par un accroissement du déficit à court terme, reconnaît le FN. Mais le parti compte sur la lutte contre la fraude fiscale et sociale, ainsi que sur des gains liés à la simplification administrative, deux leviers censés rapporter 60 milliards d’euros sur un quinquennat. Le magazine Challenges estime, lui, que la facture de ce programme est “délirante” .
Une France plus fermée.
C’est un incontournable des programmes du FN : une batterie de mesures censée réduire l’immigration, illégale mais aussi légale. Pour cela, Marine Le Pen veut supprimer le droit du sol et la binationalité extra-européenne. Elle compte réduire à 10 000 le solde annuel d’entrées légales sur le territoire. Le regroupement familial ne serait plus autorisé, tout comme l’acquisition automatique de la nationalité française par le mariage. Le droit d’asile serait aussi restreint. Les étrangers en situation irrégulière ne pourraient pas être régularisés ni naturalisés. La France sortirait de l’espace Schengen et instaurerait à nouveau des contrôles à ses frontières.
La candidate veut faire de la “priorité nationale” la règle pour les politiques publiques, et prévoit donc de l’inscrire dans la Constitution. Cela se traduirait, par exemple, par le fait de réserver les logements sociaux aux Français, de taxer les emplois occupés par des étrangers, ou encore d’instaurer une carence de deux ans avant d’avoir accès au système de soins ou de toucher des prestations sociales. L’aide médicale d’Etat serait supprimée.
Le rétablissement de la “souveraineté” implique aussi des mesures protectionnistes, avec une taxation, voire une interdiction des importations de certains produits. Une partie de la commande publique pourrait être réservée aux entreprises françaises. La candidate demande aussi l’abrogation de la directive européenne sur les travailleurs détachés. Enfin, l’embauche d’un salarié étranger (même européen) serait taxée à hauteur de 10%.
Côté institutions, des propositions dans la lignée de 2012.
Le FN veut faire de la proportionnelle la règle pour tous les scrutins. A l’Assemblée nationale, ce serait une proportionnelle intégrale, avec une prime de 30% pour la liste arrivée en tête. Le nombre de députés baisserait de 577 à 300. Marine Le Pen entend aussi s’attaquer au mille-feuille administratif français. Avec sa réforme territoriale, seuls trois niveaux d’administration subsisteraient : les communes, les départements et l’Etat.
En matière sécuritaire, la doctrine du FN n’a pas changé. Marine Le Pen est clairement sur un axe répressif, qui passe notamment par l’embauche de 15 000 policiers, le rétablissement des peines planchers, la suppression des remises de peine automatiques, la création de 40 000 places de prison… Le programme n’évoque cependant plus la peine de mort, remplacée par la perpétuité réelle incompressible.
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Santé : Ces sucres qui favorisent l’Alzheimer.
Des chercheurs, dont les travaux sont publiés dans la revue Scientific Reports, ont montré comment un taux élevé de sucre (glucose) dans le sang pourrait être l’une des causes du développement de la maladie d’Alzheimer.
Des études ont déjà montré que les personnes diabétiques ont un risque accru de développer la maladie. Les scientifiques savaient déjà que le glucose et ses produits de dégradation peuvent endommager des protéines dans les cellules via une réaction appelée glycation. Jean van den Elsen et ses collègues des universités de Bath et King’s College London ont maintenant montré un lien entre la glycation et le développement de la maladie d’Alzheimer.
En étudiant des échantillons de cerveaux de personnes avec et sans Alzheimer, ils ont découvert que dans les stades précoces de la maladie, la glycation endommage une enzyme, la MIF (pour macrophage migration inhibitory factor), qui joue un rôle dans la réponse immunitaire et la régulation de l’insuline. La MIF est impliquée dans la réponse des cellules immunitaires gliales contre les plaques et enchevêtrements de protéines, caractéristiques de l’Alzheimer, qui endommagent progressivement les cellules nerveuses.
Les chercheurs pensent que l’inhibition et la réduction de l’activité de la MIF causée par la glycation pourraient être le « point de basculement » dans la progression de la maladie. À mesure que la maladie d’Alzheimer progresse, la glycation de ces enzymes augmente. Les chercheurs estiment que ces travaux pourront aider au diagnostic de la maladie et mener à de nouveaux traitements.
« L’excès de sucre est bien connu pour être mauvais quand il s’agit du diabète et de l’obésité, mais ce lien potentiel avec la maladie d’Alzheimer est une autre raison pour laquelle que nous devrions contrôler l’apport de sucre dans notre alimentation », souligne Omar Kassaar, coauteur.
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Donald Trump envisagerait de faire sortir les Etats-Unis du Conseil des droits de l’homme de l’ONU.
L’institution est jugée partiale, notamment dans ses positions envers Israël, et accusée de fermer les yeux sur les pratiques de certains de ses membres, tels l’Arabie saoudite ou la Chine. Les Etats-Unis n’en sont membres que depuis 2009.
Selon le site Politico, Donald Trump envisagerait de faire sortir les Etats-Unis du Conseil des droits de l’homme des Nations unies. L’entourage du président américain reprocherait à l’institution d’agir de manière partiale contre l’Etat israélien, mais également de fermer les yeux sur les exactions commises par la Chine et l’Arabie saoudite.
Les Etats-Unis ne se retireraient pas dans l’immédiat – du moins pas avant la prochaine réunion du Conseil qui doit avoir lieu le 27 février. Mais le sujet aurait d’ores et déjà été abordé au cours de différentes réunions à la Maison-Blanche, comme le rapporte un ancien membre de la diplomatie américaine. «La question de l’utilité générale d’une telle institution et de la pertinence d’un maintien des Etats-Unis en son sein a été soulevée», affirme-t-il.
Lors d’une rencontre avec des membres du département d’Etat, le secrétaire d’Etat Rex Tillerson avait déjà fait part du scepticisme de son administration à l’égard de l’orientation politique présumée du Conseil, pourtant supposé neutre.
Lors de la création du Conseil des droits de l’homme des Nations unies en 2006, en remplacement de la Commission des droits de l’Homme jugée inefficace, George W. Bush avait refusé que les Etats-Unis y siègent. Barack Obama avait finalement décidé de rejoindre l’organisation en 2009.
Le Conseil des droits de l’homme des Nations unies est régulièrement accusé de se servir du prétexte de la lutte contre les violations des droits fondamentaux pour mettre en oeuvre une politique orientée. Si la Russie en a été exclue en 2016 à cause de son intervention dans le conflit syrien, la présence de la Chine, de l’Arabie Saoudite ou du Qatar, pays pourtant régulièrement accusés de violer les droits de l’Homme, suscite de vives critiques de la part de plusieurs associations.
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France : Pétition pour la réouverture de la mosquée de Lagny-sur-Marne.
Depuis le 2 décembre 2015, les musulmans de Lagny-sur-Marne qui représentent 10% de la population, sont privés de leur unique lieu de culte. Après la perquisition de la mosquée, l’assignation à résidence de quelques fidèles et la dissolution de l’association gestionnaire, une nouvelle association cultuelle a été créée dont l’objectif est la réouverture de la mosquée. Malgré les relances, le ministre de l’intérieur Bruno Le Roux refuse d’autoriser sa réouverture.
Conséquence de cette situation : les fidèles de la commune se retrouvent à prier en pleine rue. Une situation scandaleuse qui, semble-t-il ne dérange pas le gouvernement. Une pétition pour la réouverture de la mosquée a été lancée.
La nouvelle assocation Es-Salam qui représente les musulmans de la commune nous a fait parvenir le communiqué a lire sur www.mouslimradio.info.


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« Injustifiable », « inefficace » et « détourné de son objectif » : l’état d’urgence en France dans le viseur d’Amnesty International.
« Le risque est que la France s’habitue à ce que des droits, considérés comme acquis, soient remis en cause », s’alarme l’ONG alors que son rapport annuel est publié, mercredi.
L’état d’urgence en France est dans le collimateur d’Amnesty International. Dans son rapport annuel, publié mercredi 22 février, l’ONG estime que les autorités françaises ont mis à mal « certains droits fondamentaux » avec les multiples prolongations de ce régime d’exception. Selon l’organisation, « le risque est que la France s’habitue à ce que des droits, considérés comme acquis, soient remis en cause ».
Après avoir déjà épinglé l’état d’urgence en France, à la mi-janvier, dénonçant des mesures « discriminatoires », Amnesty international en remet une couche. Franceinfo revient sur les trois principales critiques.
Des prolongements « injustifiables » .
« Pour qu’un état d’urgence soit déclaré ou prolongé, il faut que les autorités en démontrent, à chaque fois, la nécessité », explique à franceinfo le responsable du programme « Libertés » à Amnesty International, Nicolas Krameyer. Or, notre lecture, c’est qu’il n’y a plus de nécessité de l’état d’urgence, ou que cette nécessité n’est plus du tout démontrée par les autorités, ni même par les faits avancés. »
Des experts du terrorisme, auditionnés par l’Assemblée nationale, ont indiqué que « les bénéfices de l’état d’urgence ont essentiellement été durables pendant quelques semaines, après son déclenchement en novembre 2015 », rapporte également Nicolas Krameyer.
« Nous n’avons pas à prolonger l’état d’urgence au-delà de ce qui est strictement nécessaire, mais le gouvernement considère qu’à partir du moment où il y a toujours un danger terroriste, on sera toujours sous l’état d’urgence. Donc, on peut faire comme les Egyptiens, et y être pendant cinquante ans », estime auprès de franceinfo Michel Tubiana, président d’honneur de Ligue des droits de l’Homme. Pour l’avocat de l’ONG, Patrice Spinosi, le renouvellement de l’état d’urgence est une mesure « essentiellement politique ».
A partir du moment où on a vendu aux Français que l’état d’urgence était une nécessité pour combattre le terrorisme, aucun gouvernement ne peut se permettre d’y mettre fin car ce serait prendre un risque politique considérable.
Patrice Spinosi, avocat de la Ligue des droits de l’Homme,
à franceinfo
Un dispositif inefficace.
« Le gouvernement exploite la peur et ment ostensiblement quand il soutient que l’état d’urgence a une quelconque efficacité dans la lutte contre le terrorisme », lance Michel Tubiana.
Les chiffres avancés par Amnesty International sont accablants. L’ONG souligne que « de la fin 2015 à la fin 2016, seules 0,3% des mesures liées à l’état d’urgence ont débouché sur une enquête judiciaire pour faits de terrorisme ».
Dans le détail, quelque 6 500 mesures (perquisitions administratives, assignations à résidence, etc.) ont été prises dans le cadre de l’état d’urgence. Mais cela n’a débouché que sur le lancement de 20 enquêtes judiciaires et sur l’ouverture de 196 enquêtes par le parquet antiterroriste.
Derrière ces chiffres, il y a des personnes et des vies parfois en miettes. Comme celle de Julien, 31 ans, que franceinfo a rencontré au début du mois de février. Il est assigné à résidence depuis quatorze mois. Il n’a plus le droit de quitter sa commune de Lagny-sur-Marne (Seine-et-Marne) sauf pour aller pointer au commissariat de Noisiel, trois fois par jour, dimanche et jours fériés compris.
Converti à l’islam, il lui est reproché d’avoir suivi les cours d’un « militant pro jihad » et d’être en relations avec des « personnes radicalisées ». Julien fréquentait la mosquée de Lagny, présentée par le gouvernement comme un « foyer d’idéologie radicale », et fermée le 1er décembre 2015. Une assignation à résidence injustifiée pour son avocat : « Si les enquêteurs n’ont pas réussi à rassembler assez d’éléments en plus d’un an, c’est qu’il y a un problème. » Sauf qu’entre-temps, Julien a perdu son travail et que sa vie sociale est désormais quasi-inexistante.
Un texte détourné du cadre anti-terroriste.
« Si c’est la lutte antiterroriste qui a été invoquée pour déclencher l’état d’urgence, ce qui était tout à fait justifié, selon Amnesty International, en novembre 2015, il faut bien voir que la rédaction même de la loi pose problème », déclare Nicolas Krameyer.
Dans le texte, on ne parle pas de mettre en place des mesures contre des personnes suspectées d’actes terroristes ou d’intentions terroristes, mais des personnes dont le comportement est susceptible de constituer une menace pour l’ordre public.
Nicolas Krameyer, responsable du programme Libertés chez Amnesty International.
En clair, avec ce texte, il est possible de viser d’autres personnes que celles soupçonnées de préparer des attentats. Ce qui a permis au gouvernement d’interdire des manifestations de militants écologistes pendant la COP21, à la fin 2015, et pendant les débats sur la loi Travail. Ainsi, 141 manifestations ont été interdites en France à cause de l’état d’urgence pour la seule année 2016. « C’est beaucoup plus que les années précédentes, mais nous attendons encore les chiffres détaillés des autorités », précise Nicolas Krameyer.
Pour Michel Tubiana, « la situation est plus grave que ce que dit Amnesty International ». « Aujourd’hui, nous retrouvons dans la loi un certain nombre de mesures qui ont été prises sous couvert de l’état d’urgence et qui sont passées dans le droit commun : on a fait de l’exception la règle », s’inquiète-t-il.
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Santé : José Bové, Nicolas Hulot, Yann Arthus-Bertrand… Même les écolos n’échappent pas aux perturbateurs endocriniens.
L’association Générations Futures publie jeudi 23 février une étude édifiante que franceinfo s’est procurée. Les cheveux de sept personnalités de l’écologie française ont été analysés, les sept contiennent des perturbateurs endocriniens.
Personne n’échappe aux perturbateurs endocriniens, même les plus écolos d’entre nous. Ces substances chimiques qui perturbent le système hormonal s’insinuent dans notre organisme. En effet, une étude de l’association Générations Futures publiée jeudi 23 février, et que franceinfo s’est procurée, le montre.
Sept personnalités de l’écologie, dont le photographe Yann Arthus-Bertrand, l’écologiste Nicolas Hulot, ou encore la députée Delphine Batho, ont fait analyser la présence de pesticides, phtalates et autres PCB dans une mèche de cheveux, et les résultats sont édifiants.
Même des substances interdites retrouvées .
Avec le record de 68 perturbateurs endocriniens, le bonnet d’âne revient à Isabelle Autissier. L’ancienne navigatrice, présidente actuelle de WWF France était « terrifiée par ces résultats, d’autant plus que j’essaye de manger bio, je ne me mets quasiment rien sur ma figure, chez moi je n’ai pas de produits ménagers… »
Pourtant, on aurait pu croire que la vie au grand air, en pleine mer, aurait épargné Isabelle Autissier de la contamination de ses substances qui perturbent le système hormonal, mais c’est tout le contraire. « Du coup, j’ai mis cela en rapport avec le fait que j’ai travaillé dans des chantiers de construction de bateaux, raconte la navigatrice (…) où j’ai manipulé des produits qui sont très mauvais pour la santé, des colles, des peintures, des solvants… D’autant plus qu’il y a 20 ans ou plus, on ne prenait aucune précaution. »
Bisphénol, phtalate, PCB… la navigatrice fait la course en tête, y compris pour des substances interdites aujourd’hui, comme le lindane, utilisé longtemps dans le traitement anti-poux, ou le fipronil, pesticide néfaste aux abeilles.
Une petite dose suffit.
Nicolas Hulot et Yann Arthus-Bertrand se retrouvent juste derrière elle au classement, avec une cinquantaine de substances. Le pourfendeur de la « malbouffe » et député européen en a, lui, 48. José Bové n’en revient pas. « Quand j’ai regardé la liste, je me suis dit, ce n’est pas possible, décrit-t-il. Trois PCB, 11 plastifiants, des pesticides, un insecticide, alors que je n’en ai jamais utilisé sur mon exploitation agricole ! »
Il suffit qu’il y ait une bombe [d’insecticide] qui soit passée dans les moquettes au Parlement européen ou ailleurs, et pourquoi pas Radio France… Tout le monde se retrouve face à [ces substances].
José Bové, agriculteur et député européen pour EELV,
à franceinfo.
Logiquement, les plus jeunes décrochent les meilleurs résultats, ou plutôt les moins mauvais : 36 perturbateurs endocriniens pour la députée Delphine Batho, 19 pour le candidat à la présidentielle d’Europe Écologie-Les Verts, Yannick Jadot. Ils ont tous accepté de participer à cette étude, parce qu’ils souhaitent l’interdiction de ces substances. Une nouvelle réunion européenne est prévue le 28 février pour définir ce qu’est un perturbateur endocrinien.
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####### Aujourd’hui en Palestine #######
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Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
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L’ingénieur Fatash arrêté depuis 70 jours
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Sinwar et Machaal discutent de plusieurs sujets lors d’une réunion téléphonique
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France: 154 députés appellent Hollande à reconnaître l’Etat de palestine
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Netanyahu propose de contrôler Gaza par des forces internationales
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Solidarité croissante avec les prisonniers en grève de la faim à Jérusalem
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L’occupation envahit une école à Bethléem et attaque les enseignants
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Le début de la deuxième journée de la Conférence populaire des Palestiniens à l’étranger
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Un conseiller d’Abbas: Notre bataille avec l’occupation israélienne est « intellectuelle »
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De violents affrontements avec l’occupation à Silwan
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3 palestiniens arrêtés à Azzoun à l’est de Qalqilia
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La sécurité de l’Autorité Palestinienne réprime une marche contre la détention administrative à Hébron
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Tente de solidarité avec al-Qiq à Doura
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Istanbul: Le Congrès populaire des Palestiniens à l’étranger entame ses travaux
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Qaraqe: le rapport médical confirme la responsabilité de l’occupation dans la mort du prisonnier Jalad
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Ribhi Halloum: 3 messages du Congrès des Palestiniens à l’étranger
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Haniyeh : La mosquée d’al-Aqsa est le centre de notre lutte
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D’Information, sur http://french.palinfo.com

Flash info du 8 Rabi Al Thanni 1438.

Flash info du 8 Rabi Al Thanni 1438.
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France : Pierre Laurent sur les assassinats ciblés: « on ne peut pas s’asseoir sur le droit ».
Selon un livre publié ce mercredi, François Hollande aurait donné son feu vert à une quarantaine d’assassinats ciblés pendant son quinquennat contre des cibles terroristes au Sahel ou en Syrie.
« On ne peut pas s’asseoir sur le droit », a estimé le patron du PCF Pierre Laurent jeudi sur BFMTV et RMC en écho aux assassinats ciblés autorisés par François Hollande. « La guerre est déjà quelque chose de terrible: on ne peut pas la faire n’importe comment. (…) Ces révélations montrent l’extrême danger à s’engager sans cesse dans des logiques de guerre », a-t-il aussi jugé.
Surtout, pour Pierre Laurent ces révélations posent aussi la question de la stratégie. « Depuis 2001 on nous dit qu’on va résoudre tout ça (les attentats terroristes, ndlr) par la guerre. En réalité ces logiques ont tout amplifié », assure-t-il. « Il faut combattre les terroristes en mettant fin à l’engrenage de la guerre. Je crois que le temps est de revenir le plus vite possible à des logiques de paix ».
Selon le livre Erreurs fatales de Vincent Nouzille, paru ce mercredi, le chef de l’État aurait donné son feu vert à une quarantaine d’assassinats ciblés pendant son quinquennat contre des cibles terroristes au Sahel ou en Syrie.
Reportage vidéo a voir sur www.mouslimradio.info.
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Etats-Unis : Une pancarte interdit aux Musulmans d’entrer dans une épicerie.
Dans l’Etat du Nouveau-Mexique, l’épicier du coin est islamophobe et ne le cache pas. Il a installé une pancarte qui interdit l’accès aux Musulmans tout comme à Barack Obama.
« Obama et les autres musulmans ne sont pas les bienvenus ici ».
Acte purement islamophobe et raciste, l’épicerie de la ville de Mayhill n’est pas prête de servir tous ses clients. Parmi l’affichage dense de sa vitrine, se trouve un message indiquant que toutes les personnes ne sont pas les bienvenues dans le commerce. On peut y lire très précisément : « Obama et les autres musulmans ne sont pas les bienvenus ici ». D’ailleurs même ceux et celles qui dénoncent ce message n’ont pas le droit d’entrer. De son côté, l’organisation The Council on American-Islamic Relations a demandé au propriétaire de retirer sa pancarte dans un souci de vivre-ensemble.
L’arrivée de Donald Trump à la Maison Blanche donne de plus en plus de place aux discours racistes et notamment islamophobes. Que nous réserve donc la suite ?
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Facebook et Google favorisent Israël et oublient les Palestiniens.
Il n’y a pas que sur le terrain que les Palestiniens sont lésés. Facebook et Google s’y mettent sur la toile.
Facebook et Google font la promotion d’Israël.
Sur Facebook, des publicités pour des projets immobiliers dans des colonies israéliennes se trouvant dans les Territoires Occupés Palestiniens apparaissent régulièrement. Avaaz.org a lancé une pétition pour que ces annonces soient purement et simplement supprimées puisque contraires au droit international. Les colonies elles-mêmes sont illégales au regard de ce droit. Des juristes en Cisjordanie ont aussi saisi le dossier pour peut-être attaquer Facebook en justice. Du côté de Google, ce sont cette fois-ci les villages en Cisjordanie qui sont oubliés tout en indiquant les routes autour des colonies. Là encore une campagne Avaaz a été lancée. .
En Israël, le gouvernement a approuvé un projet de loi pour que Facebook supprime photos ou vidéos violentes. Les documents pouvant montrer des scènes de violation des droits de l’homme de la part de Tsahal en font donc partie. Un moyen en moins pour dénoncer !
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France : Le maire de Six-Fours-Les-Plages ne veut pas de cours d’arabe et envoie la police.
A Six-Fours-Les-Plages, les cours d’arabe à l’école ont eu un accueil mitigé. En effet, la police municipale a été envoyée à l’école pour montrer l’opposition du maire.
Faire intervenir la police pour des cours d’arabe.
A la rentrée 2016, les réseaux sociaux s’affolent au sujet de ces fameux cours d’arabe. Les parents ne souhaitent pas voir leurs enfants étudier cette langue. A Six-Fours-Les-Plages, dans le sud de la France, le député-maire Jean-Sébastien Vialatte du parti Les Républicains informe l’inspecteur d’académie qu’il ne laissera pas ces cours se tenir. Il demande l’intervention de la police municipale à l’école et auprès du professeur. Les forces de l’ordre interviennent à deux reprises. Pour rappel, ces cours d’arabe sont organisés en dehors des heures de classe et sont non obligatoires.
Dans cette affaire, le tribunal administratif de Toulon a déclaré qu’il n’y a pas eu « d’obstacle effectif à l’exercice de l’enseignement ». Le maire a indiqué que le professeur d’arabe n’intervient plus à l’école.
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Kal Penn gagne MasterChef et donne 25000$ à l’UNRWA pour les réfugiés palestiniens.
L’acteur Kal Penn qui vient de participer à l’émission de cuisine MasterChef a remis le prix qu’il vient de remporter à l’Agence aux réfugiés palestiniens (United Nations Relief and Works Agency for Palestine Refugees). La somme totale est de 25000$.
Les réfugiés palestiniens sur le devant de la scène.
Ce geste est aussi une manière de mettre la situation des réfugiés palestiniens sur le devant de la scène. L’UNRWA prend en charge ces réfugiés en Syrie, au Liban, en Jordanie mais aussi dans la bande de Gaza et en Cisjordanie (vivant auparavant à l’intérieur des frontières qui sont celles d’Israël aujourd’hui). L’agence gère les questions de santé, d’éducation notamment. Sur les réseaux sociaux, les messages de gratitude n’ont pas manqué : « Merci monsieur pour votre générosité. La Palestine et tout son peuple partout dans le monde apprécient ce que vous avez fait, que Dieu vous bénisse » , avait par exemple écrit un utilisateur sur Facebook .
Par ailleurs l’émission MasterChef réunissait des personnalités connues et chacune avait choisi une association à qui remettre les gains de sa victoire. Sur son compte Twitter Kal Penn a aussi appelé ses followers à faire des dons à l’UNRWA.
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France : Le sort des musulmans en France est comparable à celui des juifs sous Vichy selon Peillon.
Invité de l’émission « Entretien politique » ce mercredi sur France 2, Vincent Peillon, a comparé la situation actuelle des musulmans en France avec celles juifs sous le régime de Vichy dans les années 1940.
L’ancien ministre de l’Éducation a fustigé ceux qui « veulent utiliser la laïcité – ça a déjà été fait dans le passé – contre certaines catégories de populations ». « C’était il y a quarante ans (sic) les Juifs, à qui on mettait des étoiles jaunes, c’est aujourd’hui un certain nombre de nos compatriotes musulmans, qu’on amalgame d’ailleurs souvent avec les islamistes radicaux: c’est intolérable », a poursuivi le candidat à l’élection présidentielle.
Vincent Peillon a tenu a rappeler que la laïcité est un « instrument de liberté » qui vise à assurer la liberté de conscience et la neutralité de l’État vis-à-vis des religions tout en déplorant qu’elle soit aujourd’hui détournée de son sens pour cibler les musulmans.
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Palestine : les juges ayant condamné un soldat israélien pour homicide volontaire menacés de mort.
Ces deux personnes, un homme et une femme, auraient publié sur les réseaux sociaux des messages de haine et même des menaces de mort à l’encontre de juges. Ces juges militaires ont présidé le procès d’Elor Azaria, ce soldat israélien accusé d’avoir achevé un activiste palestinien.
Dans un de ces messages postés sur Facebook, il est question d’éliminer « à la grenade » l’un des juges. Des menaces de mort prisent au sérieux par le pouvoir israélien qui craint de nouvelles manifestations de violences.
Reportage vidéo a voir sur www.mouslimradio.info.
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France : Avec l’affaire Cédric Herrou, le délit de solidarité de retour.
« Ce que je fais n’est pas un sacrifice, c’est un honneur », a déclaré Cédric Herrou avant son procès. Près de 300 personnes avait fait le déplacement au palais de justice de Nice ce mercredi 4 janvier pour soutenir l’agriculteur.
Le procureur de la République a requis huit mois de prison avec sursis contre cet Azuréen de 37 ans. Son crime ? Avoir aidé 200 personnes en situation irrégulière à passer la frontière franco-italienne. L’agriculteur, qui a fondé l’association Roya Citoyenne pour porter secours aux migrants de passage dans la vallée de la Roya, est aussi poursuivi pour avoir ouvert un camp illégal avec 57 migrants dans un bâtiment désaffecté de la SNCF, à Tende, en octobre 2016, pour les soigner, les héberger et les aider à repartir.
« J’ai ramassé des gamines qui ont tenté 12 fois de passer la frontière, il y a eu des morts sur l’autoroute… J’ai fait ce que j’ai fait parce qu’il fallait le faire. Mon inaction me rendrait complice d’un État qui met des frontières en place mais qui ne gère pas du tout leurs conséquences », s’est-il défendu. Avec cette affaire, Cédric Herrou bénéficie d’un soutien populaire. En décembre, plus de 4 000 internautes de Nice-Matin l’élisaient « Azuréen de l’année ».
Le procureur de la République Jean-Michel Prêtre y voit pour sa part un militantisme actif de la part de l’accusé qui aurait voulu ce procès, « qui procède d’une stratégie générale de communication, de portage militant d’une cause et qui fait que la justice est saisie aujourd’hui de faits reconnus ».
« Cédric Herrou a clairement revendiqué son action et reconnu avoir violé la loi. Cette audience procède d’une intention générale de communication. C’est une tribune politique. Mais ce n’est pas à la justice de donner une leçon de démocratie. On peut critiquer les lois, mais tant qu’elles ne sont pas modifiées, elles doivent être appliquées », a-t-il déclaré.
Pourtant, fin 2012, le gouvernement supprimait le délit de solidarité. Auparavant, les individus ou associations qui venaient en aide à un clandestin risquaient jusqu’à cinq ans de prison et 30 000 euros d’amende. Cependant, la loi abrogée concernait l’aide au séjour et non l’aide à l’entrée et à la circulation dans le pays à laquelle Cédric Herrou pourrait bien être condamné.
« Je risque la prison pour avoir aidé des migrants : je ne regrette rien et je continuerai », a fait savoir l’agriculteur dans une tribune à L’Obs dans l’attente du verdict qui aura lieu le 10 février. « Moi, j’attends la relaxe : c’est l’État qui est dans l’illégalité, et tous les habitants de la vallée en sont témoins. »
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Suisse : l’université de Berne veut former des aumôniers musulmans .
L’université de Berne, en Suisse, ouvrira en été 2017 une formation continue en aumônerie qui s’adressera, entre autres, aux cadres musulmans. « Je reçois constamment des demandes de la part d’institutions concernées, c’est-à-dire des hôpitaux, des prisons et de responsables sécuritaires, qui réclament une meilleure formation des responsables religieux en milieu institutionnel » autres que chrétiens, explique Isabelle Noth, présidente de la formation, dans un entretien accordé au Temps mercredi 4 janvier.
« Nous vivons dans une société multiculturelle, c’est un fait, mais nous mettons du temps à nous adapter à cette réalité. L’université de Berne est la seule en Suisse à offrir une spécialisation en aumônerie. Jusqu’ici, cette offre se limitait aux représentants chrétiens », a-t-elle expliqué.
Les cours ont vocation à aider les cadres religieux à mieux prévenir la radicalisation tout en veillant « à ce que l’aumônerie ne serve pas d’instrument de chasse aux islamistes ». Des examens sont prévus pour les candidats. « Cette évaluation devra nous permettre de vérifier les compétences psycho-sociales des candidats : écoute, capacité de gestion des conflits. Mais aussi leurs positions à l’égard de la violence, des femmes, ou du fondamentalisme », annonce Isabelle Noth.
Les aumôniers qui n’auront pas suivi ce cursus pourront toujours exercer sous certaines condition, mais « les institutions concernées – prisons et hôpitaux – auront intérêt à engager du personnel au bénéfice d’une solide formation ».
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France : Une requête judiciaire contre un document sur la radicalisation en milieu scolaire rejetée.
L’affaire qui remonte au mois de novembre 2014 avait fait grand bruit : l’académie de Poitiers avait distribué un document controversé sur la « prévention de la radicalisation en milieu scolaire ». Le tribunal administratif de Poitiers a rendu son verdict mardi 3 janvier, rejetant une requête déposée voilà deux ans par la Coordination contre le racisme et l’islamophobie (CRI).
L’association souhaitait l’interdiction du document car elle refusait d’accepter « la démarche infamante d’une administration de l’Etat qui stigmatise toute la communauté musulmane ». Le PowerPoint incitait les enseignants à détecter certains signes de radicalisation tels que la « perte de poids liée à des jeûnes fréquents », « une barbe longue non taillée (moustache rasée) », un « repli identitaire », une « exposition sélective aux médias » et « une rhétorique politique » sur les sujets ayant trait à la Palestine, à la Tchétchénie ou à l’Irak.
La justice a justifié le rejet de la requête par le caractère interne du document qui est « dépourvu de tout effet juridique » et ne comporte « aucune disposition impérative ». Selon le tribunal, le document « se borne à apporter des éléments d’information, pour maladroits qu’ils puissent être perçus, dont les chefs d’établissement peuvent tenir compte pour apprécier, au sein d’un faisceau d’indices, la situation individuelle d’un élève et se forger une opinion personnelle sur l’utilité d’un éventuel signalement d’un risque de radicalisation religieuse ».
La CRI ne fait pas appel.
« On savait déjà que ce n’était pas un document public mais notre plainte les a amenés à en réduire la portée. Ils pensaient le généraliser mais notre réaction a tempéré leur élan », estime Abdelaziz Chaambi, président de la CRI, qui indique à Saphirnews que son association n’entend pas faire appel de la décision. « On va se contenter d’en rester là car on n’aura pas de chance d’obtenir plus vu le climat et la paranoïa entretenue », affirme-t-il, tout en dénonçant « une islamophobie institutionnelle » à travers cette affaire.
L’académie a précisé lors de la présentation du document en novembre 2014 qu’il a été conçu grâce aux contributions de la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes), du CNAPR (Centre national d’assistance et de prévention de la radicalisation) et du Centre de prévention contre les dérives sectaires liées à l’islam (CPDSI) de Dounia Bouzar. Cette dernière avait dénoncé « l’amalgame élaboré dans ce PowerPoint », ajoutant qu’« arrêter de stigmatiser, de discriminer, de considérer les citoyens de référence musulmane comme des gens « à part » est une des conditions de base pour désamorcer l’autorité des discours radicaux ».
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Etats-Unis : une jeune femme voilée traitée de « terroriste » filme son explication avec son agresseur.
Lorsque la Texane de confession musulmane, Shifa Abuzaid, 21 ans, a annoncé à ses parents sa décision de porter le hijab en mai dernier, après avoir longuement mûri la question, ce n’est pas l’étonnement qu’elle a lu sur leur visage mais l’inquiétude qui en avait crispé les traits, en ces temps tourmentés où la bête immonde de l’islamophobie rôde partout, même à Houston, et peut surgir à chaque coin de rue.
C’est précisément au moment où les parents de la jeune femme pensaient que leurs craintes étaient exagérées, voire infondées, que la dure réalité du racisme anti-musulmans a frappé, leur donnant tristement raison en ce samedi 31 décembre qui ne présageait rien de bon pour l’avenir, à quelques heures de la célébration de la nouvelle année…
La journée de leur fille avait pourtant bien commencé, sans nuages à l’horizon, et s’était poursuivie agréablement, entourée de ses plus jeunes frères et sœurs, ainsi que de cousins, autour d’un déjeuner en famille, très animé, dans un restaurant situé en plein cœur de Sugar Land Town, une localité au sud-ouest de Houston.
Mais les choses se gâtèrent en sortant, quand la joyeuse petite bande, emmenée par l’aînée Shifa Abuzaid, la seule à être voilée, eut le malheur de croiser le chemin d’un couple de cinquantenaires dont le mari s’écria à sa vue : « Terroriste ! »
A ces mots outrageants, les sourires disparurent et les rires se turent, laissant percevoir l’immense choc ressenti par la jeune femme et les siens, tandis que son petit frère, âgé de 15 ans, défiait l’homme du regard, avant d’être violemment bousculé par ce dernier.
Le pire dans l’histoire, comme le confiera plus tard Shifa Abuzaid qui vit désormais dans la peur que son islamité visible ne se retourne contre elle, c’est qu’elle arborait son plus gracieux sourire en voyant le couple approcher, s’apprêtant même à les saluer en les laissant passer. Mais son amabilité, pleine de civisme, fut refroidie par la terrible insulte qui jaillit de la bouche de son interlocuteur fulminant.
L’émoi des premiers instants passé, elle puisa en elle des ressources insoupçonnées, se mettant à suivre son agresseur jusqu’à l’intérieur du magasin où il était entré avec sa femme, afin de lui demander poliment les raisons de son hostilité à son égard.
Filmée par son cousin, la scène de cette franche explication qui a tourné au dialogue de sourds – où l’on entend l’un des proches de Shifa Abuzaid s’emporter « Vous ne pouvez pas traiter une personne de terroriste parce qu’elle porte un foulard sur la tête ! », et son interlocuteur lui répondre, narquois, « Vous polémiquez » – a fait le buzz sur les réseaux sociaux, nombreux étant les internautes qui ont reproché vertement à la police locale d’avoir refusé de recueillir sa plainte et d’ouvrir une enquête.
Condamnée avec vigueur par le maire de Houston, Joe Zimmerman, qui a qualifié cette agression verbale d’ « inacceptable », la confrontation de Shifa Abuzaid et de ses proches avec la détestation de l’altérité a fait monter au créneau l’influent Conseil des relations américano-islamiques (CAIR), par la voix de Mustafa Carroll, son directeur général au Texas. « Houston n’échappe pas au racisme anti-musulmans, et cette agression intolérable nous prouve qu’il y a encore beaucoup trop de gens qui haïssent les musulmans ici », a-t-il déploré, en tirant la sonnette d’alarme.
Alors que 2016 s’est achevée brutalement, en lui laissant des bleus à l’âme, les premiers jours de 2017 ont fait renaître une petite lueur d’espoir chez Shifa Abuzaid, après que le chef de la police locale l’ait appelée pour lui fixer une entrevue, en se montrant particulièrement rassurant : « Si le crime de haine est avéré, nous diligenterons une enquête », lui a-t-il promis.
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####### Aujourd’hui en Palestine #######
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Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
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Les forces israéliennes tirent vers les agriculteurs à l’est de Gaza
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Mechaal et al-Ahmed discutent de la réconciliation et de la prochaine réunion du CNP
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L’occupation interdit à un malade de se soigner en Turquie
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Un colon israélien poignarde un palestinien à Ashdod
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L’occupation pulvérise des pesticides mortels à la frontière de Gaza
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Le prisonnier blessé Nafa’a transféré à la clinique de la prison de Ramleh
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Le Djihad islamique accepte de participer à la réunion de réconciliation à Moscou
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Deux enfants jérusalémites condamnés à deux ans de prison
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L’armée israélienne tire sur la voiture du sous-secrétaire du ministère de la Santé en Cisjordanie
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Affrontements après l’installation d’un checkpoint militaire à l’est d’Hébron
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Esam Yousuf appelle le Qatar et la Turquie à améliorer l’électricité à Gaza
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Des colons envahissent Kifl Haris pour effectuer des rites religieux
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L’assassin d’al-Sharif condamné pour homicide involontaire
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L’occupation arrête 5 Palestiniens et saisit des fonds à Hébron
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Arrestation d’environ 20 palestiniens dans le camp de Shuafat
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Abou Marzouk: la relation avec l’Egypte est une nécessité nationale
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