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Flash info du 14 Rabi al Awwal 1439.

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AJIB.FRkatibin.frjournaldumusulman.frislametinfo.fr
saphirnews.comoumma.comdesdomesetdesminarets.frC P I, Centre Palestinien D'Information
www.mizane.infowww.actualiteislamiquedebelgique.comwww.agencemediapalestine.fr

Sur Ajib.fr, voici les titres.

L’importance des compagnons en Islam, et de les suivre.
Le Messager d’Allah (sallAllahou ‘alayhi wa salam) a promis le Paradis à dix de ces Compagnons (qu’Allah les agrée): Abu Bakr As-Siddiq, ’Umar Ibn Al Khattab,‘Uthman Ibn ‘Affan, Ali Ibn Abi Talib,Talha Ibn ‘UbaydAllah,Zubeyr Ibn Al ‘Awam, Sa’ad Ibn Abi Waqas, Sa’id Ibn Zayd,Abu ‘Ubayda ‘Umar Ibn Jarâh, ‘Abderrahmane Ibn ‘Awf (Qu’Allah les agrée).
Dans l’Islam, les « sahaba » désignent les compagnons du Prophète Muhammad (sallAllahou ‘alayhi wa salam). Ils sont vus par l’ensemble des musulmans comme les premiers à avoir adhéré à la foi prônée par Notre Messager (sallAllahou ‘alayhi wa salam) et qui l’ont propagée après la mort du celui-ci. De ce fait, les musulmans leur attribuent une haute autorité morale.
L’Imam Abou Muhammad Al Hassan Ibn Ali Al Barbahary, qu’Allah lui fasse miséricorde, a dit :
« Les meilleurs de cette communauté et de toutes les communautés après les Prophètes sont respectivement Abou Bakr As-Siddiq , Omar et Othman comme cela nous a été rapporté d’après Ibn Omar. Il a dit : “Alors que le Prophète (sallAllahou ‘alayhi wa salam) était parmi nous, nous disions que les meilleurs des gens sont Abou Bakr As-Siddiq, Omar et Othman. Le Prophète (sallAllahou ‘alayhi wa salam) écoutait cela sans contester”. »
Le meilleur des compagnons est Abou Bakr As-Siddiq qu’Allah l’agrée, celui qui a aussitôt cru au Messager (sallAllahou ‘alayhi wa salam) dès son envoi, il l’a assisté, l’a protégé, a dépensé ses biens pour le soutenir et l’a accompagné jusqu’à sa mort.
Il est le premier homme à être entré en Islam doté de très belles qualités comme l’indulgence, le courage et la générosité.
Il est considéré comme le meilleur de Notre communauté car après la mort de Notre Prophète (sallAllahou ‘alayhi wa salam), Allah soubhanou wa ta’ala a raffermi Abou Bakr As-Siddiq comme une montagne au point qu’il fut la cause du raffermissement de la communauté et du rejet des apostats et des mécréants.
« Les tout premiers [croyants] parmi les Emigrés et les Auxiliaires et ceux qui les ont suivis dans un beau comportement, Allah les agrée, et ils L’agréent. Il a préparé pour eux des Jardins sous lesquels coulent les ruisseaux, et ils y demeureront éternellement. Voilà l’énorme succès! » (Coran, 9/100).

Sur Katibin.fr, rien de neuf.

Sur journal du musulman.fr, rien de neuf.

Sur islam et info.fr, rien de neuf.

Sur saphirnews.com, voici les titres.

Palestine : Donald Trump compte reconnaître Jérusalem comme capitale d’Israël.
D’une promesse électorale … à l’action. Donald Trump pourrait prochainement reconnaître Jérusalem comme la capitale d’Israël, selon Wall Street Journal qui délivre l’information jeudi 30 novembre en citant des sources officielles.
Le président Donald Trump devrait même, selon un haut responsable de l’administration américaine cité par Reuters vendredi 1er décembre, prononcer un discours mercredi 6 décembre pour déclarer Jérusalem comme capitale « indivisible » d’Israël.
L’ambassade américaine ne devrait pas déménager pour autant dans la foulée de l’annonce officielle. Une loi du Congrès américain adoptée en 1995 stipule que la représentation diplomatique de Washington en Israël doit se trouver à Jérusalem. Mais une clause dérogatoire, signée tous les six mois depuis deux décennies par tous les présidents américains successifs, permet à l’exécutif américain de bloquer son application. Le président américain, qui a signé une première dérogation en juin 2017, est appelé à décidé prochainement s’il maintient ou non l’ambassade à Tel Aviv durant six mois.
Jérusalem, disputé par Israéliens et Palestiniens, n’est jusqu’à présent pas reconnu comme la capitale d’Israël par la communauté internationale. C’est d’ailleurs à Tel Aviv que siègent les ambassades étrangères.
L’Autorité palestinienne a mis en garde, vendredi 1er décembre, contre toute tentative visant à nier les droits des Palestiniens sur Jérusalem dont la partie orientale, annexée depuis 1967, est appelée à être la capitale d’un futur Etat palestinien.
France : Une fausse victime du 13-Novembre du Bataclan condamné à deux ans de prison.
Cédric Rey croyait se faire passer pour une victime des attentats du 13-Novembre au Bataclan sans être repéré. L’imposture a finalement été dévoilée. Cet employé de la sécurité civile a été condamné, vendredi 1er décembre, à deux ans de prison dont six mois ferme pour tentative d’escroquerie au tribunal correctionnel de Versailles (Yvelines). Une peine assortie d’une mise à l’épreuve de deux ans et d’une obligation de suivre des soins.
L’homme âgé de 29 ans, qui résidait ces derniers mois en Nouvelle-Calédonie, n’avait pas hésité à raconté avec moult détails ce qu’il aurait vécu à la terrasse du Bataclan le soir du 13 novembre 2015. Il racontait avoir bu un verre avec des amis quand il a vu arriver les tireurs et avoir vu une femme enceinte tuée ce soir-là près de lui, une personne « qui a pris les balles qui m’étaient destinées », dira-t-il.
Il avait constitué en janvier 2016 un dossier d’indemnisation auprès du Fonds de garantie des victimes de terrorisme, qui n’a pas donné suite à sa demande faute de pièces suffisantes.
C’est un an après que les enquêteurs se sont intéressés sur son cas, voyant qu’il n’avait pas porté plainte. Des incohérences sont aussi apparues dans son récit, notamment sur le fait qu’aucune femme enceinte n’avait été tuée le soir du drame. Ils se rendent compte par la suite que le téléphone du jeune homme a été détecté à une trentaine de kilomètres du Bataclan au moment de l’attentat.
Au moins sept cas de fraude autour des attentats du 13 Novembre avaient été jusque là jugés.

Sur oumma.com, voici les titres.

Nouvelle émission sur Oumma: La fraternité en action.
Oumma inaugure une nouvelle émission “La fraternité en action” présentée par Daoud Tatou. Ce nouveau rendez-vous vise à faire connaître les associations tournées vers la solidarité et la fraternité. Le premier invité de cette émission est Stéphane Benhamou président de l’association “Le silence des Justes” dont l’objectif est de permettre “aux jeunes et aux adultes autistes de se développer, s’épanouir et gagner en autonomie”
reportage a voir sur oumma.com.
France : Un faux courrier officiel, à caractère islamophobe, a prétendu qu’un “statut halal serait créé” pour le don de sang…
La diabolisation de l’islam ne connaît aucune trêve, n’a pas de limites, et ses sinistres artisans, toujours en embuscade, ne reculent devant rien pour semer le trouble, pas même devant la rédaction d’un faux courrier officiel annonciateur d’une fausse nouvelle, ayant osé usurper la signature du docteur Lionel Collet, conseiller spécial de la ministre de la Santé.
Convaincus qu’il restera toujours quelque chose de la vile calomnie dans les esprits impressionnables, d’autant plus qu’ils sont soumis à de fortes pressions, de redoutables faussaires n’ont pas hésité à franchir la ligne jaune en produisant un document fallacieux sur le site réseau libre pour propager un mensonge éhonté, aux effets ravageurs : le ministère des Solidarités et de la Santé travaillerait sur un don du sang « des musulmans pratiquants » qui serait classé « halal », afin que « nos compatriotes musulmans ne puissent plus être souillés dans leurs croyances ».
« Il est avéré que ce document est un faux », a déclaré le cabinet d’Agnès Buzyn, la ministre de la Santé, au site 20 Minutes, renchérissant : « Il n’y a aucun projet de modification de don du sang en ce sens ». De son côté, le professeur Jean-Paul Vernant, président du conseil d’administration de l’Institut national de la transfusion sanguine, qui était censé être le destinataire de ce mystérieux courrier tombant sous le coup de la loi, a précisé : « Je n’ai rien reçu du tout. Cette lettre a été inventée de toutes pièces ».
Aux grands pourfendeurs de la deuxième religion de France qui avancent masqués pour distiller le poison de la calomnie anti-musulmans, on aimerait dire que ce sont eux, leurs énormes contrevérités, leur haine inextinguible et leur totale absence de scrupules qui mettent véritablement en danger la démocratie.
France : Le conseil municipal de Tremblay-en-France demande la libération immédiate de Salah Hamouri.
Un vœu a été adopté à l’unanimité par le conseil municipal de Tremblay-en-France le 23 novembre dernier sur la proposition du maire, demandant la libération immédiate de Salah Hamouri.
“J’exprime toute ma solidarité à sa famille et à ses proches dans le combat pour sa libération. A leurs côtés, des milliers de citoyens français, des artistes, et des intellectuels”, écrit le maire, de Tremblay-en-France, François ASENSI, en rappelant que Salah Hamouri, avocat franco-palestinien “nous avait fait l’amitié de sa présence en 2012 à l’Hôtel de ville de Tremblay.”
Les parlementaires européens envisagent d’interdire l’utilisation d’additifs alimentaires dans la viande de kebab.
Les parlementaires européens envisagent d’interdire l’utilisation d’additifs alimentaires dans la viande de kebab, en particulier les phosphates qui permettent de conserver la saveur de la viande et son côté moelleux. De quoi créer la polémique en Allemagne, le plus gros producteur et consommateur de “döner kebab” en Europe. Les députés de la commission de la santé du parlement européen se sont prononcés cette semaine contre l’emploi de ces substances dans la viande surgelée. Ils se basent sur une étude scientifique de 2012 qui démontre le lien potentiel entre les additifs phosphatés dans les aliments et l’augmentation du risque cardiovasculaire.
reportage a voir sur oumma.com.
Le 1er décembre 1955, Rosa Parks refusait de céder sa place à un passager blanc . 62 ème anniversaire de cet acte de résistance contre les lois ségrégationnistes aux États-Unis. reportage a voir sur oumma.com.

Sur Mizane.info, voici les titres.

Mustapha Chérif : Muhammad, sceau des prophètes.
Mustapha Cherif est islamologue, philosophe, ancien ministre algérien de l’éducation et auteur notamment de « Le Prophète et notre temps » (éditions Albouraq). A l’occasion de la célébration de la naissance du Prophète (mawlid), Mizane Info publie la première partie d’un portrait spirituel et moral du Prophète (PBDSL) dans lequel Mustapha Cherif nous rappelle la place centrale qu’a occupé la miséricorde, valeur cardinale dans l’ensemble de l’apostolat muhammadien.
Né en l’an 570 à la Mecque et rappelé à Dieu 63 ans plus tard, le Prophète (PBDSL), grâce à ses qualités humaines hors du commun, a reçu la Révélation à l’âge de 40 ans, vers l’an 610. Dictée surnaturelle, le Coran, qui s’adresse à toute l’humanité, est descendu sur son cœur vierge, graduellement. La révélation va durer une vingtaine d’années. La vie du Prophète doit être connue de tout musulman. Pendant 13 ans, pacifiquement et avec douceur, il tenta de transmettre le Message. En l’an 622, vu l’hostilité des tribus, il quitte sa ville natale et se réfugie avec ses compagnons, communauté naissante, à Yathrib, devenue Médine l’illuminée, où il fonde une nouvelle ère civilisée, temps de l’hégire, qui va changer la face du monde. Dans toutes les langues, lorsque le mot « Prophète » est écrit ou prononcé, tout le monde sait d’emblée qu’il désigne le prophète de l’islam, sans avoir même besoin d’ajouter son prénom : Muhammad (PBDSL). Il est la figure universelle de l’Envoyé. Il ne prétendait à rien d’autre. Il a vécu et agi dans le cadre de cette mission divine, dépassant toutes les frontières, pour apprendre à tous ce qui est attendu de chaque être humain et comment vivre ensemble. Dieu ordonne aux musulmans d’obéir au Prophète et de suivre son exemple.
Le rôle du Prophète : sortir l’humanité des ténèbres vers la lumière.
Suivre le sceau des prophètes a pour bénéfice de faire connaître Dieu, apprendre la religion, savoir comment l’adorer « Celui à qui rien ne ressemble » (42 : 11). Connaître le Prophète c’est éviter les dérives, les excès, les contresens et discerner. Le Prophète a cru au Message coranique révélé et l’a vécu comme accomplissement final pour toute l’humanité. Le Coran est clair : le Prophète accomplit la phase finale de l’histoire des révélations. Pour la dernière phase de l’histoire de l’humanité, il aide à sortir de l’obscurité vers la lumière, de l’ignorance vers la connaissance, de l’angoisse vers la sérénité. Sa voie en est la mise en œuvre. Sans lui nous ne saurions pas comment pratiquer la religion. Il guide vers Dieu, comme il l’a fait avec ses compagnons. Les musulmans sincères sont ses héritiers, ses frères, dont il avait dit qu’ils croient en lui sans l’avoir vu. Pratiquer la religion c’est entrer en sa personne, sur ses pas : « Un Prophète, issu de vous-mêmes, est venu vers vous ! Il compatit à ce que vous endurez et il est plein de sollicitude pour vous, car il est toute bonté et toute compassion pour les croyants ! » ( Le repentir, 9. 128).
Transmettre le Message aux humains.
Le Prophète est l’intermédiaire grâce à qui se réalise le lien avec le Créateur. La première partie de la double profession de foi islamique « il n’y a pas d’autres dieux que Dieu » se réalise dans la seconde « et Muhammad est l’envoyé de Dieu ». Comme le précise le hadith inspiré, grâce au Prophète, le pieux reçoit le flux divin : « Lorsque je l’aime, je suis son ouïe par laquelle il entend, son regard par lequel il voit, sa main par laquelle il saisit, et son pied avec lequel il marche… ». Le Prophète est le guide offert par Dieu à l’humanité pour s’élever : Dis-leur : « Obéissez à Dieu, obéissez au Prophète ! » S’ils refusent d’obéir, le Prophète aura, au moins, assumé sa responsabilité. À vous d’assumer la vôtre ! Si vous lui obéissez, vous serez bien guidés. La mission du Prophète consiste à vous transmettre le Message en toute clarté. (La lumière, 24.54).
Le saint Coran définit le sceau des prophètes comme doté d’un caractère sublime. Il est le Coran personnifié. Il l’a mis en pratique, l’a interprété et vécu avec guidance, mesure et sagesse. Jamais il n’a exclu ou violenté quiconque. Il reconnaissait les signes divins en tous êtres et toutes choses.
Il nous donne la possibilité de l’élévation, vivre notre ascension intérieure. Suivre le Prophète c’est être aimé par Dieu : « Dis-leur : « Si vous aimez Dieu, suivez-moi et Dieu vous aimera et vous pardonnera vos péchés. Dieu est Indulgent et Miséricordieux. » (La famille d’Imran, 3.31). Le Prophète a été envoyé comme miséricorde pour les mondes. Aucun concept n’est plus fort que celui de miséricorde. La rahma ne signifie pas le simple pardon, ou la simple bonté et tolérance. Il est des disciplines, des sanctions, des mesures fermes qui sont une miséricorde et au contraire des pardons qui sont une punition. Le Prophète nous appelle au discernement et à l’élévation.
Vivre pour Dieu et au service des autres.
Le Prophète appelle à la miséricorde, en vouant sincèrement notre vie pour Dieu, et au service de l’humanité, comme clef pour le bonheur ici-bas et le salut dans l’au-delà : « Dis : en vérité, ma prière mes actes de dévotion ma vie et ma mort appartiennent à Dieu Seigneur de l’univers » (La famille d’Imran, v-165). Le Prophète nous apprend que nous devons adorer Dieu comme si on Le voyait, car si on ne Le voit pas, il est certain qu’Il nous voit ». Il nous apprend le grand effort, comment se maîtriser, se comporter, devenir exemplaire, pour le bien commun et la bienveillance divine. « Je suis venu parfaire les caractères », précise le hadith. Le Prophète est le plus bel exemple : « Vous avez, dans le Prophète de Dieu, un si bel exemple pour celui qui espère en Dieu et au Jugement dernier, et qui évoque souvent le Nom du Seigneur. » (Les Coalisés, 33.21) Dans notre monde en crise, troublé par les antireligieux et par les mauvais croyants, le Prophète indique le chemin droit, la voie du juste milieu, ni fanatisme, ni athéisme, ne cherchant ni à oppresser les autres, ni être oppressé, ni faire peur, ni avoir peur.
L’islam, une voie médiane et responsable.
La voie du Prophète est médiane, ouverte sur la plénitude de la vérité : « C’est Lui qui a envoyé Son Prophète pour indiquer la bonne direction et instaurer la religion de la Vérité qu’Il fera prévaloir sur toute autre religion. Et Dieu suffit amplement pour en témoigner. » (L’Ouverture, 48.28). Le saint Coran définit le sceau des prophètes comme doté d’un caractère sublime. Il est le Coran personnifié. Il l’a mis en pratique, l’a interprété et vécu avec guidance, mesure et sagesse. Jamais il n’a exclu ou violenté quiconque. Il reconnaissait les signes divins en tous êtres et toutes choses. En fidélité au saint Coran, le Prophète nous responsabilise : « Celui qui fera un bien du poids d’un atome le verra et celui qui fera un mal du poids d’un atome le verra. » (Le séisme, 7-8). Il rappelle que nous sommes vicaires, califes de Dieu sur terre. Il nous apprend que Dieu guide vers sa lumière qui Il veut, il dit à une chose « sois » et elle est, et en même temps nous sommes responsables de notre devenir. Obéir au Prophète c’est raisonner et respecter le pacte de prééternité, pour se garder de tous les aveuglements: « Celui qui obéit au Prophète obéit en fait à Dieu. Quant à ceux qui se détournent de toi, Nous ne t’avons pas envoyé pour assurer leur sauvegarde. » (Les femmes, 4.80) Il appelait à faire notre examen de conscience. Il enseigne que le Coran est inépuisable et recèle des aspects multiples. L’interpréter en fonction de la sunna, de notre contexte et de l’évolution est un devoir, une responsabilité de chaque génération. Il nous apprend que le sens profond n’est pas en opposition avec le sens apparent. Le Prophète aime ceux qui agissent pour prendre soin de l’âme et pour le bien de la nation et de l’humanité.

Sur des domes et des minarets.fr, voici les titres.

France : Tags racistes sur une mosquée : communiqué de la mairie de Mulhouse.
Une semaine après les tags racistes et nazis découverts sur un bâtiment appartenant à une association musulmane à Mulhouse, la mairie de la deuxième ville d’Alsace vient de diffuser un communiqué dans lequel, elle condamne “avec la plus grande fermeté” des tags “xénophobes, antisémites et islamophobes”. La ville réaffirme “son combat contre l’extrémisme et toutes formes de racisme et espère que la police retrouve rapidement les coupables et que la justice sanctionne ces actes avec une sévérité exemplaire”.

Sur Actualite islamique de Belgique, rien de neuf.

Sur agence media palestine.fr, voici les titres.

Comment les travaux de réconciliation palestinienne peuvent-ils sauver le projet national ?
La réunion de réconciliation nationale qui a réuni toutes les factions politiques palestiniennes au Caire les 21 et 22 Novembre 2017, s’acheva sur une déclaration qui se réfère aux précédents accords de réconciliation et demandait l’activation de plusieurs comités, dont la capacité à produire des résultats significatifs reste à déterminer. C’est vrai, l’Autorité Palestinienne (AP) a reprit ses fonctions dans les ministères de Gaza, conformément à l’accord d’Octobre signé par le Fatah et le Hamas au Caire, sous l’œil attentif du président égyptien Abdel Fattah el-Sisi, et le Hamas a fait preuve de bonne volonté.
Cependant, plus que toute autre chose, la réunion du Caire fut le signe de la faiblesse du mouvement palestinien et de son incapacité à gérer les pressions, qu’elles soient internes ou internationales. Excluant jusqu’à présent l’ouverture limitée du passage de Rafah par l’Égypte, il n’y a pas eu d’améliorations notables dans les vies des Palestiniens de la Bande de Gaza en terme d’accès aux services de base comme l’électricité, l’eau propre et l’assainissement, des soins médicaux ou la reconstruction. Pour comprendre pourquoi il est si difficile de parvenir à l’unité nationale, il faut se pencher sur les complexités des problèmes que le Fatah et le Hamas doivent résoudre, ainsi que les objectifs propres à Israël.
Que veut Israël ?
Israël pense que la tentative actuelle de réconciliation est voué à l’échec comme les 11 précédentes (dont il a souvent aider à assurer l’échec). Cependant, si jamais cette tentative devait réussir, Israël attend de voir comment le processus va être réalisé sur le terrain, et comment il peut le manipuler pour servir ses intérêts sécuritaire. Israël veut voir l’AP avoir les pleins pouvoirs sur la Bande de Gaza et mettre en place la même politique qu’en Cisjordanie, particulièrement concernant la coordination de sécurité et la prévention des attaques.
Dans un tel scenario, Israël reprendrait véritablement le contrôle total, sur le plan de la sécurité, de Gaza et éviterait d’avoir à faire des concessions (même de courte durée) en échange d’une trêve avec le Hamas, le Jihad Islamique, et leur alliés. Le contrôle des passages de frontières par les forces de sécurité de l’AP garantirait la stabilité dans les colonies israéliennes voisines, empêcherait le trafic d’armes vers Gaza, et pourrait mener à ce que les Palestiniens fassent en sorte de désarmer les groupes de résistance.
Israël sait aussi que le président de l’AP, Mahmoud Abbas, n’autorisera pas la détention de prisonniers israéliens dans des territoires sous son contrôle. Ceci pourrait faciliter une avancée dans l’échange de prisonniers entre le Hamas et Israël, négocié sous l’égide de l’Égypte, ce qui serait une victoire pour le premier ministre israélien Benjamin Netanyahu. Son gouvernement est accusé d’être indifférent au sort des citoyens israéliens retenus par le Hamas ainsi qu’à retrouver les corps des deux soldats israéliens tués pendant l’attaque israélienne de 2014 sur Gaza.
Toute réconciliation qui ne respectera pas les conditions d’Israël rencontrera de graves difficultés.
La position d’Israël dans l’échange de prisonniers a récemment été renforcée par le fait qu’il détient maintenant les corps de cinq des douze Palestiniens qu’il a tué lors du bombardement, fin octobre, d’un tunnel à l’Est de Khan Younis sous la large “zone tampon” qu’il a créé le long de sa frontière avec Gaza. Cette attaque avait aussi pour but d’envoyer un message israélien aux Palestiniens, celui que tout accord de réconciliation devrait s’attaquer au problème des tunnels.
Si l’AP échouait à désarmer le Hamas, Israël pourrait geler ses relations avec elle n’importe quand et prétexter l’absence de partenaire palestinien pour la paix. Israël pourrait même prétendre que l’AP est complice du Hamas. En bref, toutes réconciliations ne suivant pas les conditions d’Israël seront confrontées à de graves difficultés et il est fort probable qu’elles devront reprendre à la case départ.
Les délicats problèmes du programme de réconciliation.
Indépendamment des obstacles qu’Israël pourrait créer, les problèmes qui doivent être réglés par le Fatah et le Hamas pour parvenir à la réconciliation n’ont fait que se complexifier. Ils tournent autour de quatre axes principaux.
Le premier est la formation d’un gouvernement d’unité nationale. Il est peu probable que le Hamas se soumette aux conditions du Quartet (États-Unis, Russie, Union Européenne et Nations Unies) de reconnaître Israël, de s’engager à la non-violence et de reconnaître les précédents accords de paix. Certains Palestiniens craignent que si le Hamas continue de refuser les conditions du Quartet, tous les Palestiniens, pas seulement ceux de Gaza, subiront de nouvelles sanctions et un siège.
Même en imaginant le meilleur scenario dans lequel la communauté internationale et Israël seraient d’accord pour fermer les yeux sur la participation du Hamas au gouvernement d’unité, surtout si un tel gouvernement comprenait des personnalités proches mais pas membres du Hamas, il a un risque qu’un double système Fatah-Hamas pour gouverner les institutions se mette en place, qui exclurait les expert.e.s indépendant.e.s palestinien.ne.s ainsi que les autres factions. Dans une récente note stratégique, Khalil Shaheen avertit des pièges de ce genre de régime et du risque de raviver la discorde lors d’opérations du gouvernement.
Une réelle réforme de l’OLP sera réalisée en réformant sa structure et en s’assurant de la participation de tous les palestiniens.
Il faut aussi pointer un autre nœud introduit dans la déclaration tout juste conclue lors de la réunion du Caire, qui stipulait que tout sera fait dans le plein respect du droit. Cependant, de nombreuses lois passées par le Hamas et les systèmes qu’il a mis en place pendant les 10 années de division violent le droit. Ceci sera une équation difficile à résoudre.
La tenue d’élections est le deuxième obstacle majeur à la réconciliation, bien qu’il soit en tête des priorités de l’accord. Le Hamas n’a pas encore oublié son expérience de victoire des élections législatives de 2006 sans avoir le droit d’exercer ses pouvoirs. En effet, plusieurs parlementaires incarcérés immédiatement après les élections sont encore captifs dans les prisons d’Israël. Il est probable que dans le cas où le Hamas participait à des élections il demande des garanties que l’AP et la communauté internationale reconnaissent les résultats, quels que soient les vainqueurs. Il est difficile de croire en de telles garanties étant donné que l’AP, contrôlée par le Fatah, miserait sur la défaite électorale du Hamas.
La réforme de l’Organisation de Libération de la Palestine (OLP) est la troisième pierre d’achoppement. Le Document de Principes Politiques Généraux annoncé par l’ancien chef du Bureau politique du Hamas, Khaled Meshal, à Doha en Mai dernier présente une position positive envers l’OLP. Cependant, le Hamas tient à garder sa position de rejet d’Oslo, son droit à résister à l’occupation par tous les moyens, et son refus de coordination de sécurité avec Israël. Le Hamas pense également qu’à l’intérieur de l’OLP, le Fatah a monopolisé les prises de décisions palestiniennes depuis la création de l’organisation.
Quoi qu’il en soit, on n’atteindra pas une réelle réforme de l’OLP en incluant le Hamas et le Jihad Islamique, mais en réformant la structure de l’organisation et en assurant une pleine participation de tout.e.s les Palestinien.ne.s, en Palestine et à l’étranger, dans le processus de prise de décision. De véritables réformes exigent un programme de participation politique pour empêcher le monopole sur des décisions critiques et une direction équilibrée afin de remplacer l’ancienne direction qui gêne les réformes.
Les Palestiniens n’ont pas seulement besoin d’en finir avec la division mais aussi de protéger le projet national palestinien.
Le dernier obstacle, mais pas le moindre, est la question de la résistance armée. L’AP refuse l’existence de toute arme à feu qui ne serait pas sous son contrôle et rejette le modèle consistant à avoir un mouvement de résistance à l’intérieur d’un état, comme c’est le cas du Hezbollah au Liban. A l’inverse, le Hamas considère les armes à feu comme un instrument de libération et refuse le désarmement avant de parvenir à la libération et d’avoir établit un état palestinien. Ce problème sera un obstacle à la réconciliation si aucune accord n’est trouvé.
Comment protéger le projet national.
La cause palestinienne se trouve à un tournant critique à cause des développement régionaux et internationaux. Les principaux désaccords entre les différentes parties concernent bien plus le programme politique que le partage du pouvoir et le gouvernement, même si aucun de leurs programmes n’a permit d’obtenir les droits palestiniens. Il est vital d’atteindre un consensus sur un programme politique commun sur lequel baser un accord national pleinement inclusif. Ci-après quelques propositions :
Redessiner les relations entre les composantes du système politique palestinien afin de marquer clairement la limite du contrôle politique et des fonctions de l’OLP et de ceux de l’AP. Dans ce processus, revoir la représentation des factions et organisations palestiniennes dans le système afin d’assurer une vraie représentation et une plus grande participation dans l’élaboration des politiques.
Introduire les mécanismes pour une participation politique à travers des élections. Des élections régulières, libres et équitables assureraient la responsabilité et empêcheraient le monopole du pouvoir et l’exclusion qui persiste depuis des décennies.
Stimuler la participation de la communauté aux prises de décisions nationales palestiniennes en sollicitant les avis et les expériences de groupes de réflexions, des institutions de la société civile, des gouvernements locaux, des syndicats, des associations locales, et mettre en place des organisations qui s’assurent de la bonne gouvernance et des performances du gouvernement.
Communiquer avec les Palestinien.ne.s de la diaspora, à l’intérieur des camps de réfugiés, et au-delà, afin de s’assurer que leur représentation soit proportionnelle à leur poids politique et économique, afin de renforcer les liens, et afin de les impliquer dans les programmes nationaux.
Le régime d’occupation d’Israël bénéficie de et exploite les divisions palestiniennes pour opprimer encore plus le peuple palestinien et pour éviter tout engagement vers la paix. Pour affronter l’occupation et restaurer le pouvoir palestinien dans la lutte pour le droit à l’autodétermination, la liberté et l’indépendance, et à un état souverain et indépendant ayant Jérusalem pour capital, les Palestinien.ne.s ne doivent pas seulement mettre fin aux divisions mais aussi protéger le projet national palestinien. Il existe de sérieuses tentatives israéliennes et américaines, aux côtés de certains pays arabes, d’imposer des solutions régionales ou une “paix économique.”
Les travaux actuels pour unifier les institutions gouvernementales et le système politique palestiniens sont d’importantes premières étapes pour mettre fin aux divisions. Les deux parties doivent être comprendre que la division ne peut continuer, que la cause nationale fait face à de réels dangers, et que le peuple palestinien refuse la domination et l’oppression. Elles doivent continuer de résoudre les problèmes restant, aussi difficiles qu’ils soient.
COLLOQUE Palestine : l’occupation nuit-elle gravement à la santé ?
La Plateforme des ONG françaises pour la Palestine et Médecins du Monde organisent un colloque international sous les auspices de Yannick Botrel, sénateur des Côtes d’Armor.
Le vendredi 15 décembre, 9h30-17h.
Palais du Luxembourg.
Salle Monnerville.
26 rue de Vaugirard.
75006 Paris.
Inscription obligatoire, ouverte jusqu’au 12 décembre 2017, minuit.
2017 marque les 50 ans d’occupation de la Palestine. 50 ans de violations du droit international et des droits de l’Homme, et une colonisation qui se poursuit et s’accélère.
Concrètement, les Palestiniens doivent faire face aux entraves et restrictions de circulation, aux expulsions, à la démolition de leurs infrastructures et de leurs habitations, au vol de leurs ressources et de leurs terres et à des violences permanentes de la part de colons ou de l’armée. La Bande de Gaza est quant à elle de plus en plus isolée et sera, selon l’avis des Nations unies, inhabitable d’ici trois ans si le blocus n’est pas levé.
Cette situation ne peut qu’avoir des impacts sur la santé des palestiniens. Est-il possible de rester en bonne santé sous occupation ? Combien de temps peut-on survivre à un blocus ? La Palestine est-elle en train de devenir un laboratoire des effets de ces contextes sur la santé humaine ? Que font les associations locales et internationales pour la santé des palestiniens ? Quelles solutions envisager ?
Autour des témoignages d’acteurs de terrain, palestiniens et internationaux, nous vous proposons une journée de débats sur les conséquences sur la santé de la plus longue occupation de l’histoire et des perspectives d’actions concrètes pour garantir un droit à la santé effectif en Palestine.
Programme :
9h-9h30 : accueil des participants.
9h30-10h : ouverture et introduction.
Monsieur le Sénateur Yannick Botrel, Claude Léostic, Présidente de la Plateforme Palestine, Reem Mansour, Responsable de la mission Palestine à Médecins du Monde.
10h-11h30 Panel n°1 : Fragmentation du territoire et violences chroniques : les impacts de l’occupation de la Cisjordanie dont Jérusalem-Est sur l’accès aux soins.
Dr. Mustafa Barghouti, Président de Palestine Medical Relief Society : Les principaux défis de l’accès aux soins en Cisjordanie et les réponses de la société civile palestinienne.
Rana Nashashibi, Directrice de Palestinian Counseling Center : Qu’est-ce que les jeunes de Jérusalem Est ont dans la tête ?
Muath Zyoud, Travailleur social, Médecins du Monde : Violence des colons, harcèlement de l’armée et démolitions : la peur est-elle une arme de guerre ?
Débat : 30 minutes.
11h30 – 13h Panel n°2 : Blocus : la santé en état de siège.
Mariam Farina, Directrice de Red Crescent Society for Gaza Strip : Gaza sous les bombes : le double défi du blocus et de l’urgence.
Ran Goldstein, Directeur de Physicians for Human Rights Israël : Entre les guerres : quand les médicaments ne rentrent plus et que les patients ne peuvent pas sortir…
Majeda Al Saqqa, Directrice de Culture et Pensée libre à Gaza : Entre les guerres : les enjeux de la santé des femmes.
Débat : 30 minutes.
Pause déjeuner.
14h30-16h Panel n°3 : Perspectives d’action : les Européens ont-ils leur mot à dire ?
Jessica Tropea, Juriste référente pour les opérations internationales, Médecins du Monde France : droit international et droit à la santé.
Pascal Durand, député européen : initiatives politiques : une chance pour un droit à la santé effectif des palestiniens ?
Dr. Nizar Badran, Palmed : les médecins doivent-ils être activistes ?
Débat 30 min.
Conclusion (16h-16h45).
Majeda Al-Saqqa, Culture et Pensée libre.
Violaine Gagnet, responsable du pôle Moyen-Orient MdM France.
Le Tour d’Italie, Giro d’Italia, s’incline devant la pression israélienne, rétropédale et reconnaît l’annexion illégale de Jérusalem.
Après que les ministres israéliens ont menacé de retirer leur soutien au Giro d’Italia en raison de l’utilisation du terme «Jérusalem-Ouest», les organisateurs de la course choisissent de reconnaître l’annexion illégale de Jérusalem-Est occupée par Israël.
La société civile palestinienne a dénoncé le Giro d’Italia pour avoir cédé aux pressions politiques du gouvernement d’extrême droite de Netanyahu en supprimant les références à Jérusalem-Ouest « West Jerusalem » sur son site internet et en utilisant « Jérusalem » à la place. Selon les militants palestiniens des droits de l’homme, le Giro «est directement complice de la propagande israélienne» selon laquelle Jérusalem est une ville «unifiée» sous sa souveraineté, ce qui n’est reconnu ni par l’ONU, l’UE ou l’Italie.
L’ONU considère Jérusalem-Est comme faisant partie du territoire palestinien occupé et ne reconnaît aucune partie de Jérusalem comme capitale d’Israël.
Deux ministres israéliens ont menacé hier soir de retirer le parrainage israélien de la course, à moins que les organisateurs ne reconnaissent officiellement Jérusalem comme relevant de la souveraineté israélienne.
Mais quelques heures après la publication des menaces , les organisateurs de la course ont modifié le site officiel du Tour d’Italie pour effacer la distinction Est-Ouest (comme le montrent les images avant et après), reconnaissant ainsi la présence illégale d’Israël sur Jérusalem Est occupée.
Désireux d’utiliser le Tour d’Italie pour blanchir son occupation vieille de plusieurs décennies et les violations des droits de l’homme contre les Palestiniens, Israël verserait 10 millions d’euros pour le départ de la course, en plus de 2 millions directement au meilleur cycliste Chris Froome. pour sa participation à la course.
Stephanie Adam de la campagne palestinienne pour le boycott académique et culturel d’Israël a déclaré:
« En menaçant de retirer le parrainage de la course du fait de la référence à «Jérusalem Ouest», Israël a offert au Tour d’Italie une «stratégie de sortie» pour mettre fin à sa complicité dans les violations du droit international et des droits humains des Palestiniens.
Le Tour d’Italie, au contraire, a honteusement choisi de se plier aux pressions israéliennes et de reconnaître l’annexion illégale par Israël de Jérusalem-Est occupée, en violation du droit international et de la propre position du gouvernement italien.
Le Tour d’ Italie renforce la revendication illégale d’Israël sur la ville de Jérusalem, alors qu’ aucun état ne reconnaît la souveraineté d’Israël sur Jérusalem-Est ou ne fait de Jérusalem, Est ou Ouest, la capitale d’Israël.
Les premières tentatives maladroites des organisateurs de course d’atténuer l’implication du Tour d’Italie dans les crimes d’Israël en ajoutant « Ouest » à l’étape de Jérusalem n’ont rien changé au fait que l’une des principales courses du cyclisme est complice des actions d’un gouvernement oppresseur opérant en dehors de la règle de droit.
L’insistance malhonnête du Tour d’Italie à maintenir la politique hors du sport s’est avérée être un moyen de détourner la critique pour son acceptation d’un gros pot-de-vin israélien en échange de politiser la course et d’utiliser son nom pour blanchir les violations des droits humains.
Il est temps que l’Union cycliste internationale (UCI), l’organisation cycliste mondiale restée sur la touche dès le départ, intervienne et prenne des mesures pour éviter de ternir l’une des courses cyclistes les plus appréciées au monde. Le plan B que le Tour d’Italie a évoqué doit être mis en œuvre immédiatement en relocalisant la course. Il se dit que les Pouilles sont magnifiques au printemps. »
La Fédération israélienne de cyclisme sponsorise et organise des compétitions dans les zones sous occupation militaire israélienne en violation du droit international. Quelques jours avant le Tour d’Italie l’équipe cycliste israélienne, qui se prépare à participer au Giro, participera à une course entre Jérusalem-Est occupée et la colonie israélienne illégale de Pisgat Ze’ev.
Le Tour d’Italie est un événement de l’UCI World Tour..
La Campagne Palestinienne pour le Boycott Académique et Culturel d’Israël (PACBI) a été lancée en 2004 pour contribuer à la lutte pour la liberté, la justice et l’égalité palestiniennes. PACBI plaide pour le boycott des institutions académiques et culturelles israéliennes, étant donné leur complicité profonde et persistante dans le déni par Israël des droits palestiniens tel que stipulé dans le droit international. Visitez notre site et suivez-nous sur Twitter @PACBI.
Palestrine : En direct de Gaza : Dix raids israéliens sur la bande de Gaza.
L’armée d’occupation israélienne a blessé deux palestiniens dans la bande de Gaza ce jeudi 30 novembre 2017 lors de bombardements qui ont visés plusieurs régions dans cette prison à ciel ouvert.
Les avions militaires israéliens ont mené dix raids sur différents lieux dans la bande de Gaza.
C’était dans les villes de Gaza, de Buriej au Centre, de Beit-Hanoun au nord, et de Rafah au sud de la bande de Gaza.
Les agressions israéliennes contre les civils palestiniens se poursuivent dans tous les territoires palestiniens.
Ce bombardement s’ajoute aux différentes mesures atroces de l’occupation israélienne contre la population civile de cette région abandonnée : fermeture des passages, réduire l’électricité et interdire les malades de se soigner à l’étranger.
Rien ne semble changer pour les Palestiniens de Gaza trois ans après la dernière offensive militaire israélienne de 2014, et deux mois après l’accord de la réconciliation palestinienne: blocus, agressions, incursions, bombardements , morts, blessés et souffrance.
L’armée israélienne veut provoquer les factions palestiniennes et freiner les efforts de la réconciliation palestinienne.
Quelle honte de bombarder cette région sous blocus en pleine période de fête !
Devant le silence complice de cette communauté internationale officielle.
Et devant l’absence des médias qui occultent cette réalité.
Gaza et la Cisjordanie défient l’occupation !
La Palestine occupée résiste !
La Palestine digne est plus que jamais déterminée !
Gaza résiste, existe et vit !
Gaza sous blocus patiente !
Gaza la dignité garde toujours espoir !
Gaza la déterminée continue de s’accrocher à la vie !
Gaza l’agressée résiste, persiste et existe !
La lutte continue !
La Palestine vivra !
La justice triomphera !

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

4 blessés dans la répression des marches hebdomadaires de Kafr Kadoum et Nalin
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4 palestiniens ont souffert d’asphyxie vendredi après-midi, lors de la répression des forces d’occupation la marche hebdomadaire pacifique anti-colonisation et pour demander l’ouverture de la route principale bloquée depuis plus de 14 ans de Kafr Kadoun. ​ ​
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Des blessés dans des affrontements avec l’occupation à Qusra
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L’armée israélienne réduit en ruines une maison palestinienne à Qabatiya
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Après la mort du soldat israélien … Une grande campagne de recherches à Hébron
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Hamas : l’occupant israélien doit assumer les conséquences de son agression sur Gaza
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Une ferme menacée de démolition à l’ouest de Salfit
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150 logements en construction dans la colonie d’Avni Hvitz
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Les forces d’occupation prennent d’assaut Kafr Thulth et Azzun
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Les agressions israéliennes se renouvellent sur la bande de Gaza
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Un soldat israélien tué dans une attaque au couteau au Néguev
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Avertissements contre des activités de normalisation dans les écoles de Jérusalem
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Raids aériens israéliens intensifs sur la Bande de Gaza, au moins trois blessés
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Des colons agressent violemment des Palestiniens au sud de Naplouse
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Badran: Le meurtre du martyr Ouda ne restera pas impuni
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Confrontations lors de l’attaque des colons à Qusra
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Les forces d’occupation israéliennes arrêtent 10 fermiers à Yatta au sud d’Hébron
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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Flash info du 13 Rabi al Awwal 1439.

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Sur Ajib.fr, voici les titres.

Quel est le jugement concernant celui qui abandonne sa mère ?
On dit très couramment que le Paradis est sous les pieds de la mère.
En effet, la mère est une cime incommensurable d’affection et de dévouement pour son enfant.
Dans l’Islam, elle a toujours eu un rôle distingué et très privilégié par rapport à celui du père car elle donne la vie à son enfant, le nourrit, le protège et parfois aux dépens de sa propre santé.
Alors qu’en est-il de celui qui ose abandonner sa mère ?
D’après Abou Hourayra Abou Hourayra (qu’Allah l’agrée), un homme se présenta au Messager d’Allah (sallAllahou ‘alayhi wa salam) et lui dit :
– Qui parmi les gens mérite mieux mon bon traitement ?
– « Votre mère. »
– « Puis qui ? »
– « Votre mère. »
– « Puis qui ? »
– « Votre mère. »
– « Puis qui ? »
« Votre père. »
(rapporté par Boukhari, 4/13 et Mouslim, 2548).
Question:
Un frère demanda : Un étudiant qui observe ses Salâ, jeûne, et fait acte de charité, mais ayant abandonné sa mère; est-ce que ses Salâ, sa charité et son jeune lui profitent alors qu’il a abandonné sa maman, ne lui prête pas attention pourtant, telle que nous la connaissons, elle est musulmane, elle prie et jeûne ?
Réponse de Cheikh ‘Abdel-‘Azîz Ibn ‘Abdi-llâh Ibn Bâz:
Qu’un musulman abandonne sa maman est répréhensible et relève d’une désobéissance majeure.
Il doit se repentir auprès d’Allah et revenir à son obéissance, recommencer à lui faire du bien, à la réconforter, et lui demander pardon.
Voila ce qui lui incombe, il ne doit pas continuer dans l’abandon et la désobéissance, car cela est abominable et un péché majeur.
Il se doit de cesser, de demander des excuses à sa maman, d’aspirer à son agrément et de se repentir auprès d’Allah le Très-Haut.
Cependant, ses Salats, son jeûne et ses cultes ne s’annulent pas.
Ses cultes et ses œuvres restent correctes s’ils sont accomplis de manière juridique.
Mais alors, sa foi s’affaiblit sous l’effet de ce péché qui la diminue.
Pour ‘Ahl As-Sounna les péchés amoindrissent la foi et l’affaiblissent mais celui qui les commet n’est pas incrédule.
Mais il l’est chez les Kharijites qui jugent incrédule le pécheur.
Ils sont injustes et criminels à ce propos.
Ils sont en erreur et dans la fausseté du point de vue des gens de la Sunna et du consensus (‘Ahl As-Sounna wal Djamâ`a).
Pour ‘Ahl As-Sounna : le péché diminue la foi et ne fait pas de son auteur un incrédule et ne l’éternise pas en Enfer.
Il est pécheur et son péché diminue sa foi et l’affaiblit et provoque la colère d’Allah contre lui et le rend susceptible d’aller en Enfer, mais il n’est pas incrédule.
Même s’il va en Enfer il n’y sera pas éternellement.
Voilà l’avis des gens de la Sunna et du consensus à leur sujet.
Ils n’éternisent pas les pécheurs à l’Enfer s’ils y entrent pour leurs péchés.
Somme toute, c’est pour lui un péché majeur que d’abandonner sa maman, et lui désobéir.
Toutefois cela n’est pas une cause de reniement ni de la nullité de son œuvre sauf s’il considère cela licite, s’il trouve que la désobéissance à ses parents est licite, dans ce cas il est mécréant, puisse Allah garde de rendre halal la désobéissance aux parents.
Quiconque le fait et le considère comme halal, ou considère l’usure et la fornication comme halal renie l’Islam à moins qu’il soit polythéiste et ignorant à cause de son éloignement de l’Islam, comme celui qui grandit dans un pays non islamique, en l’occurrence on devra lui enseigner l’Islam et lui montrer que la désobéissance aux parents est l’un des choses qu’Allah interdit à ses serviteurs.
L’obéissance aux parents est l’un des devoirs qu’Allah soubhanou wa ta’ala commande à tout musulman, et leur désobéir est interdit pas Allah soubhanou wa ta’ala. Une fois que l’ignorant et celui qui s’est islamisé l’ont appris, ils sont apostats, Puisse Allah soubhanou wa ta’ala nous en prémunir, si jamais ils continuent à commettre cette faute, à plus forte raison un étudiant : son péché est plus considérable.

Sur Katibin.fr, rien de neuf.

Sur journal du musulman.fr, rien de neuf.

Sur islam et info.fr, voici les titres.

France : Une islamophobe terrorise les femmes voilées à Perpignan !
Nous continuons à vous faire parvenir les témoignages glaçants de mères portant le hijab qui sont victimes d’une traque islamophobe en plein Perpignan.
Agressions, attaque à la voiture, menace avec un couteau, faut-il un drame pour que le préfet de la région se saisisse de l’affaire sérieusement ?
A vous de faire savoir ce qui peut se passer en 2017 en France sans réaction proportionnée des médias, des politiques et des services.
– COMMUNIQUE DU CRI –.
Depuis plusieurs mois, à Perpignan et dans le secteur des écoles Romain Roland et Cassanyes des agressions parfois physiques ou verbales sont perpétrées par une femme qui quelques fois exhibe également un couteau qu’elle porte dans son sac à main.
Les victimes ont des points communs ; ce sont toutes des femmes, elles sont lors de ses agressions la plupart du temps en présence de leurs enfants, elles ont toutes la même religion, elles portent toutes le voile.
On parle de tentative d’écrasement par véhicule , d’agression physique sur une femme enceinte accompagnée de son fils sur un passage piéton !
Elles ont porté plainte. Cette islamophobe met en danger tout les enfants et les mères portant un voile sur Perpignan.
La Coordination contre le Racisme et l’Islamophobie des P-O les accompagnent dans leurs démarches afin d’obtenir justice. Nous savons que cela concerne hélas bien plus de victimes.
Nous lançons un appel. Si vous avez été agressée par cette femme raciste et que vous n’aviez oser porter plainte, vous pouvez encore le faire !
Ces agressions sont le résultat de la libération du discours médiatico-politique au relent ISLAMOPHOBE qui donne le sentiment aux agresseurs d’accomplir un acte d’héroïsme, ce qui rappelle les pages les plus noirs de notre histoire.
Pascal Boniface, directeur de l’institut des relations internationales (IRIS)
“On entend et on cite sur les musulmans, le même type d’arguments que l’on réservait aux juifs dans les années 30″
Nous appelons les autorités préfectorales ainsi que la mairie et la police à réagir rapidement afin de garantir la sécurité à ces femmes et a ces enfants traumatisés face à de lâche agressions islamophobe.
CRI 66, cri.perpignan@gmail.com, Mr Rhighi Abdelaziz.

Sur saphirnews.com, voici les titres, rien de neuf.

Attentat en Egypte : les imams de France appelés à élever des prières vendredi pour les victimes.
Le Conseil régional du culte musulman (CRCM) Rhône-Alpes a lancé, jeudi 30 novembre, un appel aux imams à élever des prières en hommage aux victimes de l’attentat contre une mosquée en Egypte, qui a provoqué la mort de 305 fidèles en pleine prière du vendredi 24 novembre.
Une semaine après la tragédie, l’instance régionale appelle également les imams à conduire des prêches ce vendredi 1er décembre « en faveur de la paix, de l’apaisement et de la stabilité ».
Pour le CRCM Rhône-Alpes, présidé par Benaissa Chana, cet attentat « vise à conduire le Sinaï au chaos » en s’attaquant à une mosquée, « lieu de paix, de sérénité et de quiétude ». Le CRCM exprime de cette façon « sa totale solidarité avec le peuple égyptien dans ces moments difficiles ».
Turquie : une fatwa contre le Bitcoin, une monnaie qui bat des records.
Le Bitcoin a franchi, mercredi 29 novembre, le seuil des 10 000 dollars (8 400 €), une valeur jamais atteinte jusqu’ici depuis la création de cette monnaie virtuelle en 2009. A son lancement, le Bitcoin ne valait pourtant que quelques centimes. Elle n’a cessé de monter pour devenir aujourd’hui une monnaie sur laquelle de très nombreux investisseurs ont misé dessus.
La valeur de cette cryptomonnaie, stockée sur un support électronique, a ainsi été multipliée par dix depuis le début de l’année 2017, faisant craindre une bulle spéculative qui, en explosant, finisse par ruiner des investisseurs parmi les moins avertis.
Cette monnaie digitale n’est cependant pas compatible avec l’islam, la spéculation faisant notamment partie des interdits en matière d’économie et de finance islamiques, a fait savoir mercredi le Diyanet, le ministère turc des Affaires religieuses à l’issue d’une réunion consacrée à cette question vendredi 24 novembre.
« Acheter et vendre des monnaies virtuelles n’est pas compatible avec la religion en raison du fait que leur évaluation est ouverte à la spéculation. Elles peuvent aussi être facilement utilisées dans le cadre d’activités illégales comme le blanchiment d’argent et elles ne sont pas sous le contrôle et la surveillance de l’Etat », a expliqué la plus haute autorité religieuse du pays.
Arabie Saoudite : quand une femme fait du wakeboard dans une ville inondée, (vidéo).
La vidéo diffusée sur le Web le 21 novembre fait le buzz depuis une semaine. En Arabie Saoudite, une femme, accessoirement voilée, a décidé de profiter des rues inondées de Djeddah pour faire du wakeboard.
La drôle de scène filmée montre une femme debout être tirée par une voiture en pleine rue pour une séance insolite de wakeboard. Et elle se débrouille plutôt bien avec sa planche !
La ville de Djeddah a subi d’importantes intempéries qui ont provoqué la mort de trois personnes.
reportage a voir sur saphirnews.com.

Sur oumma.com, voici les titres.

La population musulmane pourrait plus que doubler en Europe, à l’horizon 2050.
Alors que l’orage du nationalisme gronde sur le Vieux Continent, les dernières projections chiffrées établies par le très sérieux Pew Research Center, l’institut américain indépendant spécialisé dans l’étude de la démographie religieuse, risquent fort de faire l’effet d’un coup de tonnerre pour ceux que la présence musulmane en Europe dérange grandement.
On entend d’ici les cris d’orfraie poussés par nos polémistes de salons et autres propagandistes de l’islamophobie des beaux quartiers, en apprenant que les musulmans, dont ils souhaiteraient gommer la visibilité dans l’espace public, pourraient représenter entre 7,4% et 14% de la population européenne à l’horizon 2050, contre 4,9% en 2016.
Trois scénarios de flux ont été élaborés par l’institut américain, qui estime à 53% le taux de musulmans parmi les migrants arrivés en Europe entre 2010 et 2016, sur un périmètre comprenant les 28 pays membres de l’Union européenne (Royaume-Uni compris), la Norvège et la Suisse incluses.
Le premier scénario (immigration zéro), qui prévoit un arrêt immédiat et permanent de l’immigration même régulière vers les Etats concernés, estime que la population musulmane passerait de 4,9% à la mi-2016 à 7,4% des habitants de ces pays en 2050. Pew l’explique par le fait que “les musulmans sont plus jeunes (de 13 ans en moyenne) et ont une fécondité plus grande (environ un enfant de plus par femme) que les autres Européens“.
Le deuxième (immigration moyenne), qui prédit la poursuite de l’immigration légale en Europe et la fin de l’arrivée des migrants y cherchant asile, évalue que le nombre de musulmans atteindrait 11,2% de la population européenne en 2050.
Enfin, le troisième et dernier scénario (forte immigration), qui imagine la poursuite d’un afflux d’exilés jusqu’en 2050, avance que les musulmans représenteraient 14% de la population européenne. Soit une proportion près de trois fois supérieure à celle d’aujourd’hui, mais “considérablement moindre” que celle des chrétiens et des “sans religion” réunis, fait observer l’institut.
On n’ose imaginer la réaction épidermique de Finkielkraut, à la lecture de cette étude publiée jeudi et indiquant que la communauté musulmane française demeurerait la plus importante d’Europe, lui qui, récemment, frisait la crise d’hystérie en clamant que le hashtag #balancetonporc était un subterfuge (mais alors très grossier) pour « noyer le poisson de l’islam »… C’est plutôt le philosophe, atteint d’une obsession maladive de l’islam et d’un ridicule achevé, qui est en train de se noyer dans un verre d’eau !
Ne lui en déplaise, les 5,7 millions de citoyens français de confession musulmane (soit 8,8% de la population), tels qu’ils ont été dénombrés en 2016 par le Pew Research Center, continueraient de caracoler en tête des communautés musulmanes européennes, que ce soit dans le cadre d’une « immigration zéro » (8,6 millions, soit 12,7% de la population), d’une « immigration moyenne » (12,6 millions soit 17,4% de la population), voire d’une « immigration forte (13,2 millions, soit 18% de la population).
Donald Trump critiqué par Theresa May pour avoir retweeté des vidéos islamophobes.
C’est à se demander si l’outrancier Donald Trump sait faire autre chose que tweeter, en désacralisant chaque fois un peu plus la fonction suprême, quand il joue les maîtres du monde derrière le Bureau ovale…
On reste atterré devant la rare inconséquence du 45ème président des Etats-Unis qui gazouille à tort et à travers, en exacerbant particulièrement la haine anti-musulmans, et plus encore devant l’inertie de son entourage proche qui serait bien inspiré de lui confisquer ses joujoux électroniques, avant qu’une grave crise diplomatique n’éclate.
L’homme fort de Washington, selon la formule consacrée, a encore fait des siennes depuis sa tour d’ivoire dorée, en retweetant trois vidéos hautement délétères publiées par la sulfureuse Jayden Fransen, la vice-présidente du parti d’extrême droite britannique Britain First.
Donald Trump est-il à ce point irresponsable et oisif qu’il n’ait rien trouvé de mieux à faire que de relayer des vidéos islamophobes abjectes, qui polluent le Net depuis plusieurs années, sous l’impulsion maléfique des ultras du nationalisme et autres suprémacistes blancs ?
Ces vidéos aux titres choc et racoleurs sont diffusées sans garde-fous et, bien évidemment, sorties de leur contexte pour mieux faire trembler dans les chaumières : « Un immigré musulman tabasse un Néerlandais en béquilles!», «Un musulman détruit une statue de la Vierge Marie!» et «Foule islamiste pousse un adolescent du toit et le bat à mort ! ».
Mais c’était sans compter la réaction scandalisée de Theresa May, la Première ministre britannique, qui, rompant avec la traditionnelle langue de bois diplomatique et contrastant avec le ton cordial qui caractérise les échanges entre deux alliés si proches, a reproché à son homologue américain d’avoir commis « une erreur ».
Piqué au vif, le m’as-tu-vu, raciste et sexiste, de la bannière étoilée, loin de calmer le jeu, a au contraire répondu sèchement aux critiques venues de l’autre côté de l’Atlantique, de surcroît émises par une femme…
La consternation qui a étreint l’ami de toujours, le Royaume-Uni, a traversé l’océan pour gagner les rangs des démocrates américains, affligés d’avoir aux commandes d’un « pays qui protège la liberté de religion et où vivent des millions de musulmans, un islamophobe notoire », et pire encore, fier de l’être.
Reportage sur la Maison Soufie à Saint-Ouen.
Oumma s’est déplacée à Saint-Ouen pour un reportage sur la Maison Soufie qui “est un espace polyvalent visant à faire rayonner les enseignements du Soufisme sous tous ses aspects, culturel , artistique, intellectuel et spirituel.” Dans cette vidéo, son directeur Abd el Hafid Benchouk nous présente cette Maison Soufie ainsi que le programme de la première édition du Festival Soufi de Paris sous le thème : « La cité, au coeur… » qui aura lieu du 24 novembre au 17 décembre 2017.
reportage a voir sur oumma.com.

Sur Mizane.info, voici les titres.

L’appel d’Omar Sy en faveur des réfugiés rohingyas.
Plusieurs artistes dont le comédien Omar Sy ont fait le déplacement dans un camp de réfugiés Rohingyas, cette minorité musulmane chassée de Birmanie et du Bangladesh, pour témoigner de la situation et appeler à la solidarité humanitaire. Un appel qui n’est pas tombée dans l’oreille de sourds. La vidéo et le hashtag #LoveArmyForRohingya faisaient partie des tendances twitter les plus virales. Plus d’un million de dollars a été réuni en leur faveur.
reportage a voir sur Mizane.info.
Ziauddin Sardar : l’accord entre foi et raison a permis l’essor scientifique en Islam.
Ziauddin Sardar est un écrivain, érudit et intellectuel londonien extrêmement prolifique. Dans un long article en anglais publié par nos partenaires de islam-science.net, et traduit par Mizane Info, il traite de la question du statut de la science dans la philosophie de la connaissance islamique. Enrichi par de nombreux exemples historiques replacés dans leur contexte, l’auteur plaide pour un mariage éclairé et intelligent entre foi et raison et rappelle, à l’inverse des postures de rupture contemporaine, que la condition de l’émergence massive de nombreux savants musulmans à l’âge d’or islamique reposait sur cette alliance synthétique, féconde et équilibrée.
Dans son approche de l’étude de la nature, l’Islam tente de synthétiser la raison et la révélation, la connaissance et les valeurs. Les connaissances acquises par des efforts humains rationnels et par le Coran sont considérées comme complémentaires : toutes deux sont des « signes de Dieu » qui permettent à l’humanité d’étudier et de comprendre la nature. Entre le IIe et le VIIIe siècle, lorsque la civilisation musulmane était à son zénith, la métaphysique, l’épistémologie et les études empiriques de la nature fusionnèrent pour produire une explosion d‘ « esprit scientifique ». Des savants comme Ibn al-Haytham, ar-Razi, Ibn Tufayl, Ibn Sina et al-Biruni ont associé les idées de Platon et d’Aristote sur la raison et l’objectivité avec leur foi musulmane, produisant ainsi une synthèse unique de religion et de philosophie. Ils ont également mis l’accent sur la méthodologie scientifique, donnant de l’importance à l’observation systématique, l’expérimentation et la construction de la théorie. Initialement, l’enquête scientifique était motivée par les besoins liés aux pratiques quotidiennes de l’Islam. Par exemple, les développements en astronomie ont été influencés par le fait que les temps de la prière musulmane étaient définis astronomiquement et que sa direction était définie géographiquement. À un stade ultérieur, la quête de la vérité pour elle-même est devenue la norme, entraînant de nombreuses nouvelles découvertes et innovations. Les scientifiques musulmans ne reconnaissaient pas les frontières disciplinaires entre les « deux cultures » de la science et des sciences humaines, et les chercheurs individuels avaient généralement tendance à être polymathes. Récemment, des érudits musulmans ont commencé à développer une philosophie islamique contemporaine de la science en combinant des concepts islamiques fondamentaux tels que « ilm » (connaissance), « khilafa » (vicariat sur le monde) et « istislah » (intérêt public) dans un cadre de politique scientifique intégrée.
La synthèse entre science et métaphysique.
L’inspiration musulmane pour l’étude de la nature vient directement du Coran. Le Coran demande spécifiquement et à plusieurs reprises aux musulmans d’enquêter systématiquement sur les phénomènes naturels, non seulement comme un moyen de comprendre la nature, mais aussi comme un moyen de se rapprocher de Dieu. Dans la sourate 10, par exemple, nous lisons : « C’est lui qui a fait du soleil une [source de] lumière radiante et de la lune une lumière [réfléchie], et a déterminé pour elle des phases afin que vous sachiez calculer les années et mesurer [le temps] … dans l’alternance de la nuit et du jour, et dans tout ce que Dieu a créé dans les cieux et sur la terre, il y a des signes pour ceux qui sont conscients de Lui ». (Sourate 10: 5-6). Le Coran consacre aussi environ un tiers de ses versets à la description des vertus de la raison. L’investigation scientifique, fondée sur la raison, est ainsi vue dans l’Islam comme une forme de culte. La raison et la révélation sont des méthodes complémentaires et intégrées pour la poursuite de la vérité. La philosophie de la science dans l’Islam classique est un produit de la fusion de cette métaphysique avec la philosophie grecque. Nulle part cela n’est plus apparent que dans la théorie de la connaissance humaine d’Ibn Sina qui, après Al-Farabi, transfère le schéma coranique de la révélation à la philosophie grecque. Dans le Coran, le Créateur s’adresse à un homme – le Prophète – par l’intermédiaire de l’archange Gabriel ; dans le schéma néoplatonicien d’Ibn Sina, la parole divine est transmise à la raison et la compréhension à toute personne qui se soucie d’écouter.
Pour al-Biruni, les universaux sont sortis d’un travail pratique et expérimental ; les théories sont formulées après les découvertes. La critique était la clé pour progresser vers la vérité.
Le résultat est un amalgame de rationalisme et d’éthique. Pour les savants musulmans, les valeurs sont objectives et le bien et le mal sont des caractéristiques descriptives de la réalité qui ne sont pas moins présentes dans les choses que leurs autres qualités, telles que la forme et la taille. Dans ce cadre, toute connaissance, y compris la connaissance de Dieu, peut être acquise par la raison seule. L’humanité a le pouvoir de savoir et d’agir et est ainsi responsable de ses actions justes et injustes. Ce que cette philosophie impliquait à la fois en termes d’étude de la nature et de façonnement du comportement humain a été illustrée par Ibn Tufayl dans son roman intellectuel, Hayy ibn Yaqzan.
Hayy est un humain spontanément généré qui est isolé sur une île. Grâce à son pouvoir d’observation et à l’utilisation de son intellect, Hayy découvre des faits généraux et particuliers sur la structure de l’univers matériel et spirituel, déduit l’existence de Dieu et parvient à un système théologique et politique. Tandis que les savants mu’tazilites avaient de sérieuses différences philosophiques avec leurs principaux adversaires, les théologiens ash’arites, les deux écoles s’accordaient sur l’étude rationnelle de la nature. Dans son al-Tamhid, Abu Bakr al-Baqillani définit la science comme « la connaissance de l’objet tel qu’il est réellement ». Tout en réagissant aux violations des mu’tazilites dans les domaines de la foi, les ash’arites ont reconnu la nécessité d’une étude objective et systématique de la nature. En effet, certains des plus grands scientifiques de l’Islam, comme Ibn al-Haytham (mort en 1039), qui a découvert les lois fondamentales de l’optique, et al-Biruni (mort en 1048), qui mesuraient la circonférence de la terre et discutaient de la rotation de la terre sur son axe, étaient des partisans de la théologie ash’arite.
La vérité, rien que la vérité.
La préoccupation générale des scientifiques musulmans était la délimitation de la vérité. Comme Ibn al-Haytham l’a déclaré, «la vérité est recherchée pour elle-même », et al-Biruni a confirmé dans l’introduction à son al-Qanun al-mas’udi : « Je ne fuis pas la vérité de quelque source qu’elle vienne ». Cependant, il y avait des disputes au sujet du meilleur chemin pour atteindre la vérité rationnelle. Pour Ibn Sina, les questions générales et universelles sont venues en premier et ont conduit au travail expérimental. Il commence son al-Qanun fi’l-tibb (Canon de médecine), qui était un texte standard en Occident jusqu’au XVIIIe siècle, avec une discussion générale sur la théorie de la drogue. Pour al-Biruni, cependant, les universaux sont sortis d’un travail pratique et expérimental ; les théories sont formulées après les découvertes.
La critique était la clé pour progresser vers la vérité. Comme l’a écrit Ibn al-Haytham, « il est naturel pour tout le monde de considérer favorablement les scientifiques …. Dieu, cependant, n’a pas préservé le scientifique de l’erreur et n’a pas protégé la science contre les défauts » (voir Sabra 1972). C’est pourquoi les scientifiques sont souvent en désaccord entre eux. Ceux qui s’intéressent à la science et à la vérité, poursuit Ibn al-Haytham, « devraient se transformer en critiques hostiles » et devraient critiquer « à tous les points de vue et sous tous les aspects ». En particulier, les défauts dans le travail des prédécesseurs devraient être impitoyablement exposés. Les idées d’Ibn al-Haytham, d’al-Biruni et d’Ibn Sina, ainsi que de nombreux autres scientifiques musulmans, ont jeté les bases de « l’esprit scientifique » tel que nous le connaissons.
Méthodologie, modèles et constructions théoriques.
La « méthode scientifique », telle qu’elle est comprise aujourd’hui, a d’abord été développée par les scientifiques musulmans. Les partisans du mu’tazilisme et de l’ash’arisme accordaient beaucoup d’importance à l’observation systématique et à l’expérimentation. L’insistance sur l’observation précise est amplement démontrée dans le zij, la littérature des manuels et des tables astronomiques. Ceux-ci ont été constamment mis à jour, avec des scientifiques vérifiant et corrigeant le travail des chercheurs précédents. En médecine, les observations cliniques détaillées et très précises d’Abou Bakr Muhammad al-Razi, au début du IIIe siècle de l’Hégire, nous fournissent un modèle universel. Al-Razi a été le premier à observer avec précision les symptômes de la variole et a décrit de nombreux « nouveaux » syndromes. Cependant, ce n’était pas seulement une observation précise qui était importante ; la clarté et la précision avec lesquelles les observations sont décrites sont également significatives, comme l’a montré Ibn Sina dans ses écrits. L’accent sur la construction de modèles et la construction de la théorie peut être vu dans la catégorie de la littérature astronomique islamique connue sous le nom d’ilm al-haya ou science de la structure de l’univers, qui consiste en une exposition générale des principes sous-jacents à la théorie astronomique. C’est sur la base de l’observation précise et de la construction de modèles que l’astronomie islamique a lancé une attaque rigoureuse sur ce qui était perçu comme un ensemble d’imperfections dans l’astronomie de Ptolémée. Ibn al-Haytham fut le premier à déclarer catégoriquement que les arrangements proposés pour les mouvements planétaires dans l’Almagest étaient « faux ». Ibn Shatir (mort en 1375) et les astronomes du célèbre observatoire de Maragha, Adharbayjan, construit au XIIIe siècle par Nasir al-Din al-Tusi, développèrent le couple Tusi et un théorème pour la transformation des modèles excentriques en modèles épicycliques. C’est ce modèle mathématique que Copernic a utilisé pour développer sa notion d’héliocentrisme, qui a joué un rôle important dans la « révolution scientifique » européenne.
Les conditions de l’essor scientifique du monde musulman.
En dehors des sciences exactes, le domaine le plus approprié et intéressant dans lequel le travail théorique jouait un rôle essentiel était la médecine. Les médecins musulmans ont tenté d’améliorer la qualité de la pratique médicale et leurs utilisations thérapeutiques par un développement théorique continu. L’accent a également été mis sur l’élaboration d’une terminologie précise et la garantie de la pureté des médicaments, une préoccupation qui a conduit à un certain nombre de procédures chimiques et physiques précoces. Les auteurs musulmans étant d’excellents organisateurs de la connaissance, leurs textes purement pharmacologiques étaient eux-mêmes une source de développement des théories. L’évolution des théories et la découverte de nouveaux médicaments ont lié la croissance de la médecine islamique à la chimie, à la botanique, à la zoologie, à la géologie et au droit, et ont conduit à de nombreuses élaborations de classifications grecques.
Dans sa philosophie et sa méthodologie, l’Islam a cherché une synthèse complète de la science et de la religion. Des polymathes tels que al-Biruni, al-Jahiz, al-Kindi, Abu Bakr Muhammad al-Razi, Ibn Sina, al-Idrisi, Ibn Bajja, Omar Khayyam, Ibn Zuhr, Ibn Tufayl, Ibn Rushd, as-Suyuti et des milliers d’autres savants n’ont pas été une exception mais la règle générale dans la civilisation musulmane.
Les connaissances pharmacologiques devinrent ainsi plus diversifiées et produisirent de nouveaux types de littérature pharmacologique. Comme cette littérature abordait son sujet à partir d’un certain nombre de perspectives disciplinaires différentes et d’une grande variété de nouvelles directions, de nouvelles façons d’envisager la pharmacologie se sont développées ; de nouvelles zones ont été ouvertes pour une exploration plus poussée et une investigation plus détaillée. La fabrication du papier rend la publication plus complète et moins coûteuse que l’utilisation du parchemin et du papyrus, ce qui a rendu les connaissances scientifiques beaucoup plus accessibles aux étudiants. Alors que les scientifiques musulmans accordaient une confiance considérable à la méthode scientifique, ils étaient également conscients de ses limites.
Même un adepte du réalisme mathématique, comme al-Biruni, a soutenu que la méthode d’enquête dépendait de la nature de l’investigation : différentes méthodes, toutes également valables, étaient nécessaires pour répondre à différents types de questions. Al-Biruni lui-même a eu recours à un certain nombre de méthodes. Dans son traité sur la minéralogie, Kitab al-jamahir (Livre des pierres précieuses), il est le plus exact des scientifiques expérimentaux. Cependant, dans l’introduction de son étude novatrice sur l’Inde, il déclare que « pour exécuter notre projet, il n’a pas été possible de suivre la méthode géométrique » ; il recourt donc à la sociologie comparative.
Une inflation de savants polymathes.
Le travail d’un érudit du calibre et de la prolificité d’al-Biruni défie inévitablement la simple classification. Il a écrit sur la minéralogie, la géographie, la médecine, l’astrologie et toute une gamme de sujets qui traitaient de la datation des festivals islamiques. Al-Biruni est un produit spécifique d’une philosophie de la science qui intègre la métaphysique à la physique, n’attribue ni à une position supérieure ni à une position inférieure, et insiste sur le fait que les deux sont dignes d’être étudiés et tout aussi valables. En outre, les méthodes d’étude de la vaste création de Dieu – du mouvement des étoiles et des planètes à la nature des maladies, l’aiguillon d’une fourmi, le caractère de la folie, la beauté de la justice, le désir spirituel de l’humanité, l’extase d’un mystique – sont tous également valables et façonnent la compréhension dans leurs domaines respectifs d’enquête. Dans sa philosophie et sa méthodologie, l’Islam a cherché une synthèse complète de la science et de la religion. Des polymathes tels que al-Biruni, al-Jahiz, al-Kindi, Abu Bakr Muhammad al-Razi, Ibn Sina, al-Idrisi, Ibn Bajja, Omar Khayyam, Ibn Zuhr, Ibn Tufayl, Ibn Rushd, as-Suyuti et des millirs d’autres savants n’ont pas été une exception mais la règle générale dans la civilisation musulmane. La civilisation islamique de la période classique était remarquable par le nombre de polymathes qu’elle produisait. Ceci est considéré comme un témoignage de l’homogénéité de la philosophie islamique de la science et de l’accent mis sur la synthèse, les recherches interdisciplinaires et la multiplicité des méthodes.
Les tentatives de renaissance scientifique.
À la fin du XXe siècle, des érudits, des scientifiques et des philosophes du monde musulman tentent de formuler une version contemporaine de la philosophie de la science islamique. Deux mouvements dominants ont émergé. Le premier s’inspire du mysticisme soufi et soutient que les notions de « tradition » et de « sacré » devraient constituer le noyau de l’approche islamique de la science. La seconde affirme que les questions de science et de valeurs dans l’Islam doivent être traitées dans le cadre de concepts qui façonnent les objectifs d’une société musulmane. Dix concepts islamiques fondamentaux ont été identifiés comme constituant le cadre dans lequel la recherche scientifique devrait être menée, quatre autonome et trois paires opposées : tawhid (unité), khilafa (vicariat), ‘ibada (adoration),’ ilm (connaissance), halal (licite) et haram (illicite), ‘adl (justice) et zulm (tyrannie), istislah (intérêt public) et dhiya (souillure). On fait valoir que, lorsqu’il est traduit en valeurs, ce système de concepts islamiques embrasse la nature de la recherche scientifique dans sa totalité ; elle intègre les faits et les valeurs et institutionnalise un système de savoir fondé sur la responsabilité sociale. Il est trop tôt pour dire si l’un ou l’autre de ces mouvements portera de vrais fruits.

Sur des domes et des minarets.fr, rien de neuf.

Sur Actualite islamique de Belgique, rien de neuf.

Sur agence media palestine.fr, voici les titres.

Plus de cent vingt groupes de défense des droits de l’homme exhortent le Giro d’Italia à déplacer le départ d’Israël en raison des violations des droits des Palestiniens.
Aujourd’hui, plus de cent-vingt organisations de défense des droits humains, syndicats, associations de tourisme éthique, groupes sportifs et confessionnels de plus de 20 pays lancent un appel international appelant l’événement majeur cycliste Giro d’Italia à déplacer son « Big Start » 2018 d’Israël en raison des graves et croissantes violations du droit international et des droits humains des Palestiniens.
Le célèbre linguiste Noam Chomsky, les éminents juristes John Dugard et Richard Falk ancien rapporteur spécial des Nations Unis sur la Palestine, le dramaturge italien Moni Ovadia, les parlementaires européens Eléonore Forenza, Curzio Maltese et Sergio Cofferati, l’ancienne vice-présidente du Parlement européen Luisa Morgantiniont également signé l’appel.
L’appel est lancé à la veille de la présentation officielle de la course prévue le 29 novembre à Milan, qui coïncide avec la Journée internationale de solidarité des Nations Unies avec le peuple palestinien.
Les signataires soulignent que la tenue du Giro d’Italia en Israël masquerait à la fois l’occupation militaire israélienne, la discrimination contre les Palestiniens et augmenterait le sentiment d’impunité d’Israël, encourageant le déni continu des droits des Palestiniens tels que stipulés par les Nations Unies.
Giro d’Italia travaille avec la société israélienne Comtec Group, l’organisateur de l’événement «Big Start», qui a des activités dans les colonies israéliennes illégales. Dans des images officielles de course, cartes et vidéos , le Giro d’Italia décrit de manière trompeuse Jérusalem-Est, qui est sous occupation militaire israélienne depuis cinquante ans, comme si elle faisait partie d’Israël et la capitale unifiée de l’État d’Israël.
L’étape finale prévue pour le sud d’Israël passera par des douzaines de villages bédouins palestiniens qu’Israël refuse de reconnaître ou à qui Israël refuse de fournir « les services les plus élémentaires, y compris électricité, eau, cliniques, écoles et routes », l’un de ces villages ayant été détruit plus de cent fois .
Les soutiens de la déclaration condamnent également le projet du Giro d’Italia de « célébrer » 70 ans de la création de l’État d’Israël alors que les Palestiniens commémorent 70 ans de dépossession, de déplacement forcé et de déni des droits des réfugiés palestiniens conformément aux résolutions des Nations Unies .
Quelques jours avant le Giro d’Italia, l’équipe nationale israélienne de cyclisme, en lice pour l’une des quatre invitations privilégiées au Giro d’Italia, participera à une course illégale à travers Jérusalem-Est occupée jusqu’à la colonie illégale de Pisgat Ze’ev. La Fédération israélienne de cyclisme sponsorise et organise des compétitions de la ligue nationale dans les zones sous occupation militaire israélienne.
L’appel exhorte le propriétaire de la course, RCS MediaGroup, à «déplacer le départ de la course vers un autre pays pour s’assurer de ne pas être impliqué dans les violations israéliennes du droit international et des droits humains palestiniens».
Les signataires rappellent également à RCS, aux équipes participantes et aux sponsors «les conséquences juridiques et les atteintes à la réputation découlant de la collaboration avec des institutions israéliennes et des entreprises impliquées dans des violations des droits humains et du droit international».
Bien que RCS affirme qu’il s’agit d’un évènement purement sportif, aucun des commentateurs cyclistes n’est dupe de la manœuvre. Ainsi, le départ de la course en Israël a été décrit par les journalistes et les journalistes sportifs comme un «coup de maître de la diplomatie douce» , un «coup de relations publiques » et un «polissage de l’image» en échange de millions d’euros de parrainage officiel israélien.
Des groupes de la société civile palestinienne ont également écrit au Pape François pour l’exhorter à ne pas accepter l’invitation du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu à donner le départ de la course en Israël l’année prochaine et à ne pas « associer son nom d’une quelconque façon au Tour cycliste d’Italie 2018 en raison de l’insistance malheureuse à blanchir l’occupation militaire d’Israël et les graves violations des droits humains. «
Des milliers de défenseurs des droits de l’homme et de passionnés de cyclisme ont écrit à RCS pour lui demander de déplacer le départ d’Israël.
Des villes de toute l’Italie organiseront des manifestations sur deux roues , les 25 et 26 novembre, pour protester contre l’utilisation d’un sport étroitement associé à la liberté afin de masquer l’occupation militaire brutale et le régime d’apartheid d’Israël.
Rencontre « Voix juives décoloniales ».
Eléonore Merza-Bronstein et Eitan Bronstein (De-Colonizer) et Maxime Benatouil (UJFP) aborderont les mouvements décoloniaux en Israël/Palestine et en France, le croisement des répressions ici et là-bas, ainsi que les spécificités d’une voix juive au sein de l’antiracisme politique et du mouvement de solidarité avec la Palestine. Une discussion ouverte est prévue.
Le 5 décembre à 19h30 au CICP 21ter rue Voltaire 75011 PARIS.
Venez nombreux/euses !
Pour info :
De-Colonizer est un centre de recherche alternatif sur Palestine / Israël, crée par des militantEs anticolonialistes à Tel Aviv. Fortement enraciné dans le mouvement de solidarité avec le peuple palestinien, l’objectif de De-Colonizer est de dénoncer la nature coloniale du régime israélien et de décoloniser la société israélienne, notamment en produisant des outils scientifiques et militants.
De-Colonizer est un laboratoire de recherche et d’art ouvrant un nouvel espace pour penser et créer de pour touTEs celles/ ceux qui souhaitent vivre ensemble et dans une égalité réelle en Palestine/ Israël. Mais « vivre ensemble », « paix » ou « cohabitation » ne sont que des coquilles vides sans la reconnaissance essentielle que nous sommes des occupantEs, et sans un processus profond de décolonisation de notre propre société et de notre identité collective de colons.
Pour cela, nous dressons la perspective d’un futur dépassant le régime colonialiste et raciste dans lequel nous vivons actuellement au profit d’un nouvel espace commun dans lequel touTEs seraient égaLES/aux. Il n’y a pas d’occupation sereine, dans tout contexte colonial, le colon, l’occupant paie aussi un prix. Nous pensons que les JuifVEs-IsraélienNEs paient également le prix du projet colonial, plus d’actualité que jamais, en vivant dans une peur constante et sans espoir de paix.
De-Colonizer a été établi en Janvier 2015 par Eitan Bronstein, fondateur de l’ONG Zochrot et militant anticolonialiste israélien et Eléonore Merza, anthropologue du politique, spécialiste de la société israélienne contemporaine, militante féministe et anticolonialiste franco-syrienne.
Nous vous invitons à un voyage inédit au cœur de la société israélienne, à travers une présentation de notre travail et des vidéos, et nous vous présenterons notre dernière carte « Colonialisme en destru(A)ction : Localités palestiniennes, syriennes et juives détruites depuis le début du sionisme jusqu’à aujourd’hui ».
Événement Facebook.
Pour plus de renseignements sur De-Colonizer.
Voir en ligne : l’évènement sur Démosphère.
Rendez-vous.
À Paris (11ème), rencontre « Voix juives décoloniales ».
Le mardi 5 décembre 2017 de 19h30 à 21h30.
au CICP, 21ter, rue voltaire, 75011 PARIS.
Source : Union juive française pour la paix.

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

Raids aériens israéliens intensifs sur la Bande de Gaza, au moins trois blessés
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3 Palestiniens ont été légèrement blessés jeudi soir dans une série de raids intensifs par les avions militaires d’occupation israéliens sur des sites de la résistance palestinienne dans toute la bande de Gaza.
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Le Mossad impliqué dans l’attentat du Sinaï (Analyse)
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Un palestinien tué par un colon à Qusra
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Jordanie : 4 conditions pour la réouverture de l’ambassade israélienne
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Des ONG appellent l’ONU à annuler la résolution sur la partition de la Palestine
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Des photographies suspectes de l’armée d’occupation dans la vallée du Jourdain
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Abbas menace ceux qui tiennent des propos nuisibles à la réconciliation
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Guterres se dit « résolu » à concrétiser la solution à deux Etats
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Al-Sinwar appelle les factions palestiniennes à une réunion urgente
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Tel-Aviv : Deux palestiniens arrêtés pour possession de couteau
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Exercices militaires et explosions dans les environs de Qalqiliya
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L’occupation arrête un activiste du bloc islamique à l’université de Birzeit
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Les Marocains exigent la criminalisation de la normalisation avec Israël
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La réunion des factions à Gaza a-t-elle empêché l’effondrement de la réconciliation?
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L’occupation transforme un site historique à Jérusalem en un complexe résidentiel
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France: La femme et le fils d’un prisonnier palestinien invités en mairie de Bezons
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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