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Flash info du 11 Rabi Al Awwal 1438.

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France : Alerte aux rats à Paris : «Une menace sanitaire réelle».
Le docteur Georges Salines, chef des services parisiens de santé environnementale, constate une une augmentation de la présence des rats dans la capitale depuis quelques mois.
À la tête des services parisiens de santé environnementale, le docteur Georges Salines doit faire face à tous les problèmes de santé publique : de la pollution à la prolifération de rats.
Y a-t-il une vraie prolifération de rats dans Paris ?
GEORGES SALINES. Depuis quelques mois, en effet, il y a une véritable augmentation. Depuis une semaine, nous fermons quatre jardins dans le IVe arrondissement, dont le square de la tour Saint-Jacques. Et cela pour au minimum quinze jours. Nous traitons aussi sur le Champ-de-Mars sur lequel nous procédons à des fermetures partielles.
Est-ce un vrai problème sanitaire ?
Les rats sont une menace sanitaire réelle. Il n’y a pas de risque de maladie ou de peste… Que les Parisiens se rassurent. Mais ce sont des problèmes de propreté ainsi qu’un réel désagrément visuel et psychologique. Aujourd’hui, nous sommes confrontés à un nouveau défi : la Ville se transforme avec davantage d’espaces verts constitués de buissons qui sont autant de lieux propices au développement des rats. Les corbeilles sont aussi pensées pour la lutte contre le terrorisme. Mais les rats peuvent très facilement en atteindre les contenus. Nous allons devoir les repenser dans les espaces verts.
Quelle politique de dératisation menez-vous ?
La réglementation sur les raticides a évolué. Nous n’avons plus le droit de répandre des graines que les oiseaux, les chats ou les chiens pouvaient manger. Nous sommes en train d’expérimenter de nouveaux pièges : ce sont des boîtes avec un trou par lequel les rats entrent et trouvent le poison. Pour cela, nous sommes obligés de fermer les squares afin d’éviter que les gens donnent de la nourriture. Nous allons aussi lancer une vraie communication pour éviter que des personnes nourrissent les pigeons et donc les rats. Ces nourrisseurs compulsifs sont une catastrophe sanitaire.
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France : La CIA appelée au secours par l’antiterrorisme français.
Submergée par les données informatiques liées au terrorisme, la DGSI vient de signer un contrat déléguant leur traitement à une société américaine, créée par la CIA. Une décision nécessaire dans un souci d’efficacité mais qui donne des informations secrètes aux services de renseignements américains et pose une question de souveraineté nationale.
La guerre contre le terrorisme se mène aussi sur Internet. Or, la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) ne dispose pas des moyens technologiques pour traiter l’afflux de données informatiques liées ou échangées entre les djihadistes. Fin novembre, après plusieurs mois de négociations, le service policier de renseignement français a signé un contrat avec la firme américaine Palantir. Cette société, basée à Palo Alto en Californie, va désormais analyser le Big Data en matière de terrorisme pour le compte de la DGSI. Concrètement, la très puissante technologie de Palantir et ses experts, qui ont formé des agents français à leurs outils, vont extraire, recouper et décrypter les précieuses données informatiques permettant d’identifier et de remonter des réseaux terroristes, voire de déjouer des attentats.
Depuis la Syrie et via Internet, des djihadistes de l’État islamique, notamment le Français Rachid Kassim, ont pu recruter et commanditer plusieurs attentats. Celui-ci était en contact direct avec les auteurs des attaques de Magnanville, Saint-Étienne-du-Rouvray et de la tentative avortée d’attentat à la voiture piégée bourrée de bonbonnes de gaz en plein coeur de Paris. Pour communiquer, les terroristes utilisent des messageries cryptées, comme Telegram. Ils ont aussi recours à des forums en ligne, tel Ansar-alhaqq (Les compagnons du Vrai) ou, plus simplement, à Facebook où les communications se comptent par plusieurs dizaines de milliers. Littéralement submergée, la DGSI n’a eu d’autre choix que de recourir à l’expertise et à l’expérience de Palantir. Cette firme a été créée en 2004 par la CIA via son fonds d’investissement In-Q-Tel, avec Alex Karp et Peter Thiel, le fondateur du système sécurisé de paiement en ligne PayPal.
Outre son activité pour la CIA, Palantir œuvre dans le traitement des données pour le compte de la NSA, du FBI et des forces armées américaines. On lui prête un rôle majeur dans la localisation d’Oussama Ben Laden qui a conduit à son élimination en mai 2011.
Une coopération internationale intelligente et non naïve
Cette nouvelle coopération franco-américaine (dûment tarifée), n’est pas sans soulever d’épineuses questions : la dépendance de la France vis à vis des États-Unis et les informations sensibles ainsi offertes aux services américains. Le mois dernier, Guillaume Poupard, directeur général de L’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (ANSSI, le bras armé de l’État en matière de cyberdéfense) déclarait : « Nous sommes pour une coopération internationale intelligente et non naïve ».
Traduction faite pour Paris Match par un agent de la lutte antiterroriste : « Il est habituel et normal que la DGSI, comme les services secrets, la DGSE, partagent certaines informations avec des services de renseignement de pays alliés, au premier rang les États-Unis. Mais l’accord avec les Américains n’a pas été choisi, ils sont les seuls à disposer de cette technologie qui nous est nécessaire. Surtout, avec Palantir, les services US vont disposer d’une fenêtre grande ouverte sur des informations sensibles et notre lutte antiterroriste. C’est un moindre mal, mais il ne faut pas être dupe ».
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France : L’état d’urgence devrait être prolongé jusqu’au 15 juillet.
François Hollande a annoncé mi-novembre vouloir prolonger ce dispositif, instauré après les attentats du 13 novembre 2015, jusqu’à l’élection présidentielle d’avril-mai en raison de la menace sécuritaire.
L’état d’urgence, qui devait prendre fin à la mi-janvier, a déjà été prolongé quatre fois et est loin de faire l’unanimité en France.
Ses détracteurs jugent cette mesure au mieux inefficace, au pire comme une atteinte aux droits fondamentaux.
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Pays-Bas: le député anti-islam Geert Wilders reconnu coupable de discrimination.
Il a annoncé qu’il ferait appel. Ce vendredi, le député anti-islam néerlandais Geert Wilders, jugé pour avoir promis en 2014 « moins de Marocains » aux Pays-Bas, a été reconnu coupable de discrimination.
Il a, par contre, été relaxé d’incitation à la haine. Les juges ont décidé de ne pas prononcer d’amende, contrairement aux réquisitions du parquet, qui réclamait une amende de 5000 euros. L’élu, qui ne s’est pas présenté à l’audience, va faire appel, selon son avocat.
« Une distinction » entre populations
Dans son jugement, le juge Hendrik Steenhuis a estimé que les déclarations du député « font une distinction entre la population marocaine et d’autres groupes de population aux Pays-Bas. » « Le caractère inflammatoire de la manière dont les déclarations ont été faites a incité d’autres personnes à discriminer les personnes d’origine marocaine », a-t-il ajouté. Geert Wilders avait fait l’objet d’une relaxe dans un précédent procès en 2011.
Geert Wilders, connu pour ses positions anti-islam, était poursuivi pour des propos tenus lors d’une soirée après les élections municipales de mars 2014 à La Haye. Il avait demandé à ses militants s’ils voulaient « plus ou moins de Marocains dans (leur) ville et aux Pays-Bas ». Face à une foule scandant « Moins! Moins! Moins! », il avait répondu dans un sourire: « Nous allons nous en charger ».
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Arabie Saoudite : un travailleur immigré moqué sur le Net couvert de cadeaux.
« Il ne mérite que de regarder des ordures. » Voici comment un balayeur bangladais travaillant à Riyad a été moqué sur le web pour s’être arrêté un court instant devant la vitrine d’une bijouterie. En réponse à ce comportement aussi puéril qu’exécrable, des internautes choqués se sont mobilisés pour venir en aide au travailleur, qui s’est vu couvert… de bijoux.
L’histoire se passe en Arabie Saoudite. Tout est parti d’une photo du sexagénaire, prise à son insu par un inconnu qui a décidé de le publier sur Instagram. Mal lui en a pris. Sa publication a été massivement relayée non pas pour moquer le balayeur anonyme mais pour dénoncer la publication.
Abdullah Al-Qahtani, homme d’affaires saoudien, a décidé de retrouver le travailleur pour lui offrir son aide. « J’invite ceux qui connaissent ce travailleur à entrer en contact avec moi. J’ai un ensemble de bijoux en or à lui offrir », a-t-il lancé sur les réseaux sociaux. La publication, massivement partagée, a fini par payer : le balayeur a été retrouvé grâce au reflet sur la vitrine. Des imposteurs ont bien tenté de se faire passer pour le travailleur mais ont été vite démasqués.
Des internautes, touchés par cette histoire, ont apporté leur aide à Nazer Al-Islam Abdul Karim via Abdullah Al-Qahtani qui déclare : « Certains voulaient lui offrir des bijoux, d’autres de l’argent, des iPhones ou des Galaxy. Il y a même une entreprise qui a voulu donner des sacs de riz. »
« J’étais simplement en train de faire mon travail comme agent d’entretien pour la municipalité. Et je me suis retrouvé devant cette bijouterie. J’ai vu un flash, je ne savais pas ce que c’était. Ensuite, on m’a dit que ma photo était partout sur Internet », a déclaré le principal intéressé. Une histoire qui finit bien pour cet homme.
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Belgique : Après le couac de l’Aïd al-Adha 2016, Bruxelles indemnise les musulmans.
Les autorités bruxelloises ont décidé de verser des indemnités aux musulmans qui n’ont pas reçu le mouton qu’ils ont commandé lors de l’Aïd al-Adha en septembre 2016. Ce sont des centaines de particuliers qui vont chacun recevoir 75€ à titre de compensation de la part de la région.
Celle-ci avait pris pour la première fois en charge l’organisation de l’abattage rituel, rappelle vendredi 9 décembre la presse belge, ceci pour « concilier le respect des rites musulmans et la nouvelle réglementation européenne sur le bien-être animal ». Elle avait ainsi décidé de remplacer les quatre abattoirs mobiles des communes de Schaerbeek, Molenbeek, Anderlecht et Bruxelles-ville que ces dernières géraient pour ne proposer qu’un seul et grand lieu d’abattage.
Cependant, la société flamande ITC, chargée par la région d’abattre et de livrer les moutons pendant l’Aïd el-Kébir, n’avait alors pas réussi à remplir pleinement sa mission, loin de là. Des centaines de familles, qui avaient déboursé 220 € par animal, ont vu leur fête gâchée par l’absence d’une commande qu’elles attendaient.
Pour chacune d’elles, la Région de Bruxelles a souhaité débloquer un montant forfaitaire de 75 €, soit un tiers de la somme dépensée. « Si quelqu’un doit éventuellement indemniser c’est l’entreprise privée pas le gouvernement bruxellois », a dénoncé l’opposition, qui juge un geste financier relevant « d’un insupportable communautarisme ». En réponse, les autorités régionales rapportent que l’indemnisation est possible grâce à une ristourne de 50 000 € obtenue auprès d’ITC sur les 150 000 €. La société prendra à sa charge toute éventuelle nouvelle demande d’indemnité supérieure à 75 €.
Après l’énorme couac de l’Aïd al-Adha, la Région bruxelloise a annoncé fin novembre ne plus vouloir organiser la fête musulmane.
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La Libye toujours dans le chaos malgré la victoire contre Daesh à Syrte.
En Libye, les forces progouvernementales poursuivent leurs opérations de « nettoyage et de ratissage à Syrte », où elles ont proclamé lundi la victoire contre le groupe Etat islamique, qui contrôlait la ville depuis plus d’un an. En deux jours, les troupes libyennes disent avoir retrouvé les corps de plus de 260 djihadistes. Mais la prudence reste de mise, certains combattants pouvant être encore retranchés dans des maisons.
Reportage vidéo a voir sur www.mouslimradio.info.
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Rachid Nekkaz affirme avoir été expulsé d’Algérie.
Dans une vidéo enregistrée depuis l’aéroport d’Alger et publiée sur les réseaux sociaux, le jeudi 8 décembre 2016, Rachid Nekkaz affirme avoir été expulsé d’Algérie après avoir été « kidnappé » alors qu’il se trouvait sur l’autoroute, avant d’être contraint de prendre un vol pour Paris. Il met en cause le Premier ministre Abdelmalek Sellal et le chef de cabinet de la présidence, Ahmed Ouyahia.
Reportage vidéo a voir sur www.mouslimradio.info.
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Moussa quitte Baraka City.
Dans un message envoyé sur Facebook le 6 décembre, Moussa Tchantchuing révèle qu’il ne travaille plus pour Baraka City. Rappelons que Moussa est revenu en France le 7 août 2016 après avoir été retenu plusieurs mois au Bangladesh.
Message de Moussa publié sur Facebook le 6 décembre 2016:
« Je tiens à vous préciser que je suis actuellement en route pour le Bangladesh afin de continuer à apporter mon aide aux #Rohingyas qui ont plus que jamais besoin de soutien.
Pour répondre à la question que vous êtes nombreux à me poser, j’ai décidé de continuer d’apporter mon humble effort pour cette cause dans le cadre exclusif du projet Bani Street en lien avec mes contacts locaux.
Je ne travaille donc plus pour Baraka City. »
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Edward Snowden déclare : L’Afrique est également dans le viseur des services secrets.
L’Afrique, ses dirigeants, ses élites politiques et économiques, ses mouvements rebelles, ses télécoms, ainsi que les organisations internationales qui y opèrent ont été la cible d’écoutes à grande échelle des services secrets américains et britanniques, a rapporté jeudi le journal français Le Monde, sur la base des archives Snowden.
Dans son édition datée de vendredi, le quotidien précise avoir examiné, en collaboration avec le site internet The Intercept, dépositaire des millions de pièces des archives divulgées par Edward Snowden, des documents prouvant que “l’Afrique et les télécoms” ont été placés par Londres et Washington “sous surveillance massive” – comme d’autres pays.
Ces documents, dont l’exploitation se poursuit, prouvent qu’une vingtaine de pays africains ont été placés, au moins entre 2008 et 2011, par les satellites du GCHQ, les services secrets britanniques. Dans ces pays, les cibles sont nombreuses, au premier rang desquelles des chefs d’États, des chefs de gouvernement, puis des ministres, des conseillers, des opposants, des militaires, des chefs rebelles, des hommes d’affaires, des ONG.
Ainsi le GCHQ intercepte-t-il les échanges entre le président kényan Mwai Kibaki, ses principaux conseillers et son Premier ministre, Raila Odinga, en mars 009. Même chose en Angola, en République démocratique du Congo, au Nigeria, au Ghana, en Sierra Leone, au Togo, en Guinée-Conakry et au Soudan.
“Si les services secrets britanniques privilégient les interceptions massives en Afrique anglophone, ils ne s’interdisent pas de lorgner le pré carré français”, ajoute le journal.
Ainsi, le ministère français des Affaires étrangères, la direction de la coopération internationale et du développement, des ambassades de France sur le continent, des diplomates mais aussi des ONG comme Médecins sans frontières et des grands groupes comme Total ou Thalès ont été mis sous surveillance.
Insistant sur le caractère massif et systématique de cette surveillance – les documents Snowden ont prouvé qu’elle s’étendait à toute la planète- Le Monde ajoute que “la plupart des opérateurs de télécommunications” opérant en Afrique “sont espionnés, comme le sud-africain MTN, les Saoudiens de Saudi Telecoms, France Télécom et Orange.
Le lanceur d’alerte américain Edward Snowden, actuellement réfugié en Russie, a révélé en 2013 l’ampleur du système de surveillance mondiale des communications et d’internet par les Etats-Unis. Inculpé d’espionnage, l’ancien consultant de l’Agence de sécurité nationale (NSA) encourt jusqu’à 30 ans de prison dans son pays pour avoir divulgué des données secrètes.
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Amérique : Obama reconnaît le rôle des États-Unis dans l’apparition du groupe terroriste état Islamique deach isis.
Le président sortant des États-Unis Barack Obama estime que dans la lutte contre le groupe terroriste État islamique, les autorités américaines n’ont pas répété les erreurs commises en 2003 lors de l’invasion de l’Irak.
Barack Obama a reconnu que son pays était impliqué dans l’apparition du groupe État islamique. Cette idée a déjà été énoncée par le président syrien Bachar el-Assad et d’autres hommes politiques, y compris le successeur d’Obama Donald Trump.
« Quand nous avons réfléchi à notre réponse (aux actions de l’EI, ndlr), nous avons refusé de répéter certaines erreurs commises lors de l’invasion de 2003 (de l’Irak par l’armée américaine) qui avaient contribué à donner naissance à l’organisation devenue État islamique », a déclaré Barack Obama dans son discours sur la lutte contre le terrorisme prononcé mardi 6 décembre en Floride et dont le texte intégral a été publié sur le site de la Maison Blanche Medium.com.
M. Obama a expliqué qu’au lieu de recourir à leurs propres forces dans la lutte contre Daech, les États-Unis ont mis l’accent sur le soutien des formations locales et ont créé une coalition internationale réunissant environ 70 pays.
En résultat, plus de 16 000 raids aériens ont été menés contre les terroristes, ces derniers ont perdu plus de la moitié des territoires contrôlés, leur moral est en berne et la population locale leur tourne le dos. Barack Obama constate que les terroristes affirment combattre au nom de l’islam, tout en appelant à ne pas assimiler la lutte contre le terrorisme à la lutte contre une religion concrète.
« Si nous agissons comme si c’était une guerre entre les États-Unis et l’islam, non seulement nous allons perdre davantage d’Américains dans des attaques terroristes, mais aussi nous perdrons de vue les principes que nous prétendons défendre », a-t-il signalé en s’adressant apparemment au président élu Donald Trump qui entrera en fonction en janvier 2017.
Rappelons, au passage, que lors de sa campagne électorale, Donald Trump s’en est pris violemment aux musulmans et que les attaques xénophobes se sont multipliées au lendemain de sa victoire électorale. Il est à noter que précédemment, Donald Trump avait plusieurs fois accusé Barack Obama d’avoir créé Daech.
« Daech tient en estime Obama. Celui-ci est le fondateur de Daech. Il a créé Daech », a-t-il déclaré, ajoutant que l’ex-secrétaire d’État Hillary Clinton était sa cofondatrice.
Mme Clinton, pour sa part, a qualifié Donald Trump de « meilleur recruteur de Daech » suite à ses propos sur l’intention d’interdire aux musulmans l’entrée des États-Unis.
En octobre, le président syrien Bachar el-Assad a signalé dans une interview accordée au quotidien russe Komsomolskaïa pravda que « Daech avait été créé en Irak sous la supervision américaine » et que « les Américains avaient joué un rôle, direct ou indirect, dans la création de Daech ».
Il y a deux ans, en novembre 2014, le parlementaire russe Alekseï Pouchkov a accusé les États-Unis de connivence dans la création de Daech.
« Daech n’est pas issu du néant, il est le résultat de l’activité consciente et finalisée de plusieurs États du Golfe, complices des États-Unis, et des États-Unis eux-mêmes, qui ont financé tous ceux qui étaient animés par l’idée de renverser Bachar el-Assad », a déclaré le parlementaire russe.
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####### Aujourd’hui en Palestine #######
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Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
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Les autorités israéliennes ferment un théâtre palestinien à Jérusalem
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L’occupation libère le directeur du journal La Palestine
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L’occupation arrête quatre citoyens à Jérusalem et à Bethléem
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Le directeur du CICR appelle à lever le siège de Gaza
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Des milliers de personnes participent à l’enterrement de Shamali et Ar’eer
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Al_Qassam: La bataille de la préparation est de longue haleine
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Ouverture du passage de Rafah à partir de samedi prochain
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29e anniversaire de la première Intifada palestinienne
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L’occupation tue un jeune palestinien au sud de Naplouse
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UE : légaliser les colonies sauvages est une violation du droit international
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L’occupation ordonne aux palestiniens de quitter leurs maisons dans la vallée du Jourdain
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Un homme d’affaires de Gaza est libéré après un mois de détention en Israël
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770 habitations illégales sur des terres palestiniennes
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Gaza: Fondation de la première école amie des enfants
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Des colons israéliens prennent d’assaut al-Aqsa
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Elargissement du champ de manoeuvres dans la Vallée du Jourdain
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Le Centre Palestinien D’Information, sur http://french.palinfo.com

Une campagne publicitaire italienne contre le racisme et la discrimination


Le racisme et la discrimination font rages. Cela s’observe dans toute société qu’elle soit française, américaine, marocaine ou italienne. Ainsi l’agence de publicité italienne Armando testa lance une campagne de lutte contre les discriminations et le racisme.
« Les mots peuvent tuer »
Nous ne nous rendons pas toujours compte de l’impact des mots prononcés à l’égard d’une personne membre d’une communauté. Les musulmans sont-ils des terroristes ? Les gens du voyage sont-ils tous des voleurs ? Une personne à forte corpulence doit-elle supporter qu’on la traite de « gros lard » ? La réponse est bien évidemment non. Les mots sont blessants voire très blessants et nous avons tendance à minimiser cela. C’est pourquoi Armando testa lance sa campagne publicitaire « words can kill » (traduction : les mots peuvent tuer) dans le but de sensibiliser la population et particulièrement la jeunesse à l’impact des mots prononcés.
« Les mots aussi peuvent tuer. Non à la discrimination. L’autre est mon égal »